Le sens de la vérité

Bon, Abi veut des nouveaux textes, donc je poste un peu de mon roman, vraiment bien avancé celui là.

Allez, on commence par un petit prologue pour vous mettre l'eau à la bouche.

Prologue


Tout le monde n’a pas la possibilité de survivre à une explosion de rayons gamma ou à une morsure d’araignée radioactive.
Mais il arrive que nous nous retrouvions en danger de manière moins impressionnante. Et si, en y survivant, nous obtenions des supers pouvoirs ?
Logiquement, quand nous obtenons ces aptitudes de manière quasi normale, nous ne sommes pas en mesure de sauver le monde.
Mais alors, qu’en faire ?
Ce livre est une réponse, parmi 7 milliards de possibles.

Et vu que ça déchaine les foules, le chapitre 1!!

Chapitre 1

Avec le chuintement caractéristique, la cannette s’ouvrit. Quand le liquide ambré eut coulé dans sa gorge, Az se sentit un peu mieux.
Sa tête le faisait encore souffrir, mais il allait mieux

« Saleté de cycliste, cria-t-il au milieu de son appartement »

L’homme qui l’avait percuté avec son vélo ne s’était même pas arrêté pour s’excuser.
Az avait dû attendre qu’une âme charitable l’aide à se relever, sonné qu’il était. Durant quelques minutes, Az essaya de planifier l’élimination systématique des cyclistes de la surface de la Terre.
Mais il y avait trop de difficulté : une différenciation génétique n’était pas possible, et l’utilisation d’une arme à feu bien trop lente.
Déçu, il est leva, chancelant encore un peu, pour aller examiner son crâne. Ce qui l’étonna le plus, ce fut l’absence totale de signe extérieur de son choc contre le trottoir. Ni rougeur ni bosse, sa tête comme il l’avait toujours vue.

Il semblait à Az que tous les dégâts étaient intérieurs. Ce qui représentait pour lui à la fois une perte, et bizarrement, un ajout.
Il se sentait différent, mais il était incapable de définir en quoi.
A ce moment, le soda se rappela à ses narines. En pensant à cette senteur, Az se rendit compte que sa vue, et tous ses autres sens avaient déclinés, au profit de son seul odorat, qui lui permettait de ressentir toutes les subtilités, et toute la puissance de l’odeur.

Pui les perceptions se rééquilibrèrent, et tout redevint normal. Excepté le mal de tête qui avait disparu, laissant derrière lui une sorte de bruit de fond.
Instinctivement, Az sut que l’aspirine n’aurait aucun effet. Alors il se contenta de finir d’une longue gorgée sa boisson, et d’aller se coucher, simplement.

Dans la salle de bain, la brosse à dent était encore dans son emballage.

Citation :

Az se sentit un peu mieux.
Sa tête le faisait encore souffrir, mais il allait mieux

répétition de mieux

Citation :

Az avait dû attendre qu’une âme charitable l’aide à se relever, sonné qu’il était

Tout sonné qu'il était passerait mieux, je trouve

Citation :

Déçu, il est leva

il se leva

Citation :

« Saleté de cycliste, cria-t-il au milieu de son appartement »

L’homme qui l’avait percuté avec son vélo ne s’était même pas arrêté pour s’excuser.

ça donne l'impression que le cycliste l'a percuté dans son appart. à moins que ce soit ton idée, il faudrait revoir la transition.


Sinon, c'est intriguant, et ça donne envie de savoir la suite.

Merci pour ce nouveau texte (la « foule » ne peut pas travailler et se déchaîner en lisant en même temps, elle rattrape son retard ce soir !).

C’est bien aussi que tu n’aies pas posté trop long, parce que vu la pile de repassage qui m’attend, je n’ai pas trop le temps de lire ce soir.

Intrigant comme début, je me suis demandé ce que voulait dire la dernière phrase et quel était le rapport avec la choucroute (enfin avec le reste de l’histoire… oui, je sais, c’est le soir, après une journée de boulot, j’ai parfois tendance à relâcher la pression et à écrire n’importe quoi…)

J’attends donc de voir la suite pour juger.

Sinon :

Citation :

Az avait dû attendre qu’une âme charitable l’aide à se relever, sonné qu’il était.

« sonné comme il était » irait mieux

Citation :

Mais il y avait trop de difficulté :

« trop de difficultés »

Citation :

En pensant à cette senteur, Az se rendit compte que sa vue, et tous ses autres sens avaient déclinés, au profit de son seul odorat, qui lui permettait de ressentir toutes les subtilités, et toute la puissance de l’odeur.

« avaient décliné »

Citation :

Pui les perceptions se rééquilibrèrent, et tout redevint normal.

« Puis »

Citation :

Dans la salle de bain, la brosse à dent était encore dans son emballage.

« à dents » (à moins qu’il n’en ait qu’une ? )

Vraiment content que ça vous plaises.
J'ai corrigé les fautes que vous avez pointés du doigt.

Et pour vous récompenser, le chapitre 2, qui est juste là pour donner encore plus envie de connaitre la suite (par contre, faudra attendre un peu pour le chapitre 4, faut que je finisse la première partie du roman et que je la relise.

Chapitre 2


Az se réveilla. D’habitude, lorsqu’il devait émerger de son lit tel un cachalot échoué sur la plage, il se blottissait dans sa couverture, et réfléchissait, jusqu’à ce que les brumes de son cerveau redeviennent les assemblages d’intuition fulgurante et de réflexion absurde qui le caractérisait.
A ce moment, Az savait qu’il était bien conscient, et qu’il pouvait se lever.

Seulement, là, Az ouvrit les yeux, et fut totalement opérationnel. Ce qui ne manqua pas de l’étonner. D’autant plus que quand il se dirigea vers la cuisine, évitant de manière réfléchie les piles qu’il avait l’habitude de cogner avec ses pieds, il vit par la fenêtre un lever de soleil.

Le plus étonnant n’était pas vraiment la beauté de la chose, mais plutôt que le soleil se levait alors à six heures et demie ! Vu le moment de son coucher, cela signifiait qu’il n’avait dormi que 5 heures.

La vue de ses céréales tombant dans un mouvement presque fluide fit penser Az aux billes qu’il faisait glisser sur le sol dans la cours de son école primaire. Ce qui lui fit penser à l’ennui des cours de maths de l’école primaire. Au moins, ceux du collège lui permettait de faire autre chose, en se mettant au fond.
Tiens, se rappela-t-il soudain. Le collège comporte 4 classes différentes. Tout comme … le sommeil est divisé en 4 phases différentes.

Oui, c’était bien cela. Donc, 4 phases : la somnolence, le sommeil léger, le sommeil profond, et le sommeil paradoxal. Les deux premiers étaient quasiment du temps gâché. Alors que les autres étaient fondamentaux.

Mais… le sommeil profond ajouté au sommeil paradoxal, sur une nuit classique, cela durait plus ou moins … 5 heures.
Incroyable ! Comme s’il avait été capable d’optimiser son sommeil. L’aurait-il fait de manière consciente ? Bien sûr que non, ce n’était pas possible. Mais peut-être que ses rêves pourraient l’aider à percer ce mystère.

Az laissa tomber la cuillère dans son bol à moitié fini, se posa les mains sur les tempes et se concentra de toutes ses forces. Il devait voir ses rêves.
Mais c’était peine perdue, ce n’était pas ainsi que fonctionnait un cerveau humain. C’est alors qu’il se retrouva projeté sur le haut d’une montagne. Az se trouvait au niveau d’une ouverture, juste à coté d’un vieillard en robe blanche, qui semblait méditer sur des idées et des concepts à la portée philosophique phénoménale.
Ce rêve était incroyable de vraisemblance. Le vent fort et dur qui tirait sur la peau d’Az tout en le vivifiant. Cette odeur de neige fraiche. La sensation craquant de sa voute plantaire sur la même poudreuse blanche. Il était certain qu’il lui suffirait de poser au vieux sage n’importe quelle question pour obtenir la réponse.

Et alors qu’enfin le vieillard se tourna vers lui, lui tendant la main pour lui signaler de poser sa question, Az eu chaud. Trop chaud. Il transpirait de tout son corps, alors qu’il se trouvait sur une montagne en pyjama ! Et pire encore, le mal de tête était revenu, fort, puissant, insupportable. Et il y avait ce bruit, lourd, régulier, comme… un cœur qui bat.

Cette réflexion ramena Az à son salon, où il était dégoulinant de sueur, regardant sans comprendre son bol de céréale. Il prit son battement cardiaque, ne trouvant pas la veine pendant une minute. Plus ou moins 186 battements par minutes, c’était beaucoup trop.

Alors il se relâcha, et respira, lentement. Il ne pensait à rien, il activait juste son mécanisme respiratoire de manière calme. Petit à petit, les battements se firent plus éloignés, et la migraine retrouva sa place de la tête d’Az, en bruit de fond impossible à déloger.

Il aurait voulu comprendre sur le champ ce qui s’était passé, mais il sentait au plus profond de lui-même que réfléchir intensivement était la pire des choses à faire à ce moment. Az s’habilla, prépara ses affaires, et sortit de son chaos personnel, poussant par l’ouverture de la porte un amoncellement d’ouvrages de science-fiction. Direction la faculté de sciences.

Sur la table de la salle à manger, au milieu d’un lac blanc, une céréale flottait, mouillée, jusqu’à ce que l’amidon disparaisse complètement d’elle, et qu’elle se soit dissoute dans le lait.

Citation :

La vue de ses céréales tombant dans un mouvement presque fluide fit penser Az aux billes qu’il faisait glisser sur le sol dans la cours de son école primaire. Ce qui lui fit penser à l’ennui des cours de maths de l’école primaire.

répétition d'école primaire

Citation :

Il devait voir ses rêves.

visualiser ses rêves?

Citation :

Az eu chaud

eut chaud

Au niveau du style

Citation :

Az laissa tomber la cuillère dans son bol à moitié fini, se posa les mains sur les tempes et se concentra de toutes ses forces. Il devait voir ses rêves.
Mais c’était peine perdue, ce n’était pas ainsi que fonctionnait un cerveau humain. C’est alors qu’il se retrouva projeté sur le haut d’une montagne

la transition est peu bizarre, d'un côté tu dis que ça ne marche pas, et puis, pouf, ça marche d'un coup.


sinon, je trouve pas mal le rendu du flot de ses pensée, quand une idée en appelle une autre.

Intéressant en tout cas

Merci pour ton commentaire. Content que la pensée en arborescence ai l'air réaliste (c'est toujours comme ça que je pense)

Intriguant, je me demande ce qui va se passer ensuite, et les enchaînements d'idées sont assez bien rendus, quelle partie est réelle, laquelle est rêvée ?

J'attends maintenant de lire le prochain chapitre.

Bon, pour mes deux seules lectrices, si vous êtes intéressées, je peux vous faire lire la première partie du roman, plus courte, qui se nomme "Conséquences Inattendues"
La suivante aura pour nom "That's the spirit", et je vais commencer à l'écrire cette nuit probablement.

Bien sûr que je suis intéressée pour lire la suite !
Tu vas la poster ici ou par un lien comme sur d'autres textes ?

Je l'ai envoyé par lien à abi. Quelqu'un d'autre est intéressé?

Citation :

Je l'ai envoyé par lien

Pourquoi tu fais toujours ça ? (pas besoin de répondre, c'est une question de rhétorique exprimant... je ne sais pas trop en fait...).

Ok, j'suis intéressé.

Et comme j'aime faire les choses à l'envers, maintenant, je commente. ("Je n'aime pas les plaisirs faciles" comme aurait dit Nils Amen dans Tobie Lolness)

L'histoire est plutôt fluide voir même trop. Il y a vraiment des moments où ça va trop vite, tu peux penser vite et écrire "calmement" sans pour autant te contredire je pense. (j'espère que t'as compris cette phrase parce que je vais avoir du mal à m'expliquer là... ^^).
C'est le seul point "négatif" que j'ai trouvé.
On retrouve pas mal des éléments qui te sont propres (les sens exacerbés, les sciences, les livres de S.F., le "chaos personnel" et même le sommeil... (et le coca )).

Citation :

La vue de ses céréales tombant dans un mouvement presque fluide fit penser Az aux billes qu’il faisait glisser sur le sol dans la cours de son école primaire. Ce qui lui fit penser à l’ennui des cours de maths de l’école primaire. Au moins, ceux du collège lui permettait de faire autre chose, en se mettant au fond.
Tiens, se rappela-t-il soudain. Le collège comporte 4 classes différentes. Tout comme … le sommeil est divisé en 4 phases différentes.

D'abord, il y a répétition de "fit penser" (déjà dit ?) et ensuite, je trouve ça trop... "expliqué" (jamais content, ou c'est trop ou c'est pas assez avec moi...). Tu fais bien passer le message qui est justement la pensée en arborescence (hum... connais ça, moi...) mais ça pourrait être plus fluide.
exemple (<-- à prononcer à l'anglaise pour que ça sonne cool ): "la vue de ses céréales [...] cours de son école primaire. Les cours de maths aussi, d'un ennui mortel. Au moins [...]"

J'sais pas si ça va t'aider mais j'aurais essayé en tout cas. J'attends donc la suite maintenant.

Même si c'est une question réthorique, je réponds. Parce que le texte total est trop long pour être posté tel quel, et que j'evite de mettre un lien vers un texte que je veux publier.
Ensuite, je t'avoue que je voie en quoi je vais un peu trop vite, mais tu pourras me dire ce que tu en penses sur la suite.

Sinon, je trouve que ça ne peut pas être plus fluide, parce qu'il ne faut pas oublier que contrairement à toi et moi, ils ne pensent pas tout le temps comme ça.

Moi j'suis intéressée pour avoir la suite

Je me disais l'autre jour en lisant qu'un élément de ton texte me rappelait quelque chose, mais je n'arrivais pas à dire quoi.

Et là, après une heure passée à lire dans mon bain (ma meilleure détente après le boulot), j'ai mis la main dessus : ça m'évoquait le livre que je lis actuellement, "Duma Key" de Stephen King, pour le fait que ce soit un accident qui révèle ses pouvoirs à Az, même s'il est nettement moins grave que celui qu'a eu Edgar.

(et je confirme pour Duma Key, un des meilleurs King que j'ai lus jusqu'à présent, même si je n'avance pas trop vite dans sa lecture pour cause de manque de temps)

Hardkey, le Stephen King du 21ème millénaire ?

Ho mon dieu. Abi, tu sais que c'est le plus beau compliement qu'on puisse me faire?
Je suis tellement fan de cet auteur, de sa maîtrise, et de la manière avec laquelle il te fait ressentir une immense palette d'émotions.

Merci beaucoup

C'est sûr que Stephen King est un grand maître, même si je trouve parfois que certains de ses livres sont un peu moins bons que d'autres (je pense surtout à "Cellulaire" dont l'idée de départ me semblait bonne, mais plus j'avançais dans la lecture, plus j'étais déçue).

Il a écrit pas mal de nouvelles intéressantes qui étaient sorties en Librio il y a quelques années, que j'avais bien aimées.
Tes nouvelles m'y font penser un peu, quand tu y ajoutes un peu de fantastique.

Est-ce qu'un jour, l'élève dépassera le maître ? Réponse dans quelques années.

Je viens de découvrir sur un site qui lui est consacré qu'il serait question d'une venue en France en 2013, avec une séance de dédicaces (peut-être au salon du livre ?) ; je pense que si c'est le cas, tu seras au rendez-vous.
Voilà le lien si ça t'intéresse : http://www.stephenking999.com/Stephen-King-en-France.html

S'il y est, j'y serais bien sur. Oui, je le dépasserais. Mais putain, quand je lis Misery, je vois le chemin immense à parcourir.

Bon, le premier jet de ce court roman est fini. Si quelqu'un d'autre que mes deux fans est intéressé, qu'il m'envoie un MP .

Citation :

mes deux fans

?? pourquoi deux ? Il y a trois personnes qui commentent ici...

Merde, j'avais sauté le message de sombreféline ^^
Bon, je lui envoie le roman en entier dès qu'elle rentre.

Sinon, je me suis rendu compte que certains ne commentaient pas, probablement parce qu'ils n'ont pas le temps de lire tout le bouquin. Donc, je vais remettre quelques chapitres :

Chapitre 3

Enfin, l’université était visible au bout de l’avenue. Cependant, il restait tout de même à Az quelques kilomètres à franchir avant d’y parvenir.
Il ne savait que faire. Il pouvait réfléchir, et atteindre un état de complétude ahurissant, pour comprendre la signification de son rêve. Mais son problème au niveau du cœur ne lui disait rien qui vaille.
L’utilisation nouvelle qu’il était capable de faire de son cerveau nécessitait probablement plus d’énergie. Donc plus de sang dans le cerveau, ce qui entrainait une augmentation des battements cardiaques.
Restait que le plus gros problème était celui de la durée. Az ne savait combien de temps il avait ainsi utilisé son esprit à plein régime pour que son cœur aille aussi vite. L’heure à laquelle il avait émergé du rêve était très claire dans son esprit. Par contre, celle où il s’y était perdu avait disparue, comme balayé de sa mémoire.
Az décida donc qu’il utiliserait les prochains jours afin de tester jusqu’où il pourrait aller avec son nouveau cerveau. Son interrogation première était évidemment de comprendre ce qui lui était arrivé. Il remarqua le comique de la chose : il allait utiliser une modification cérébrale pour comprendre en quoi son cerveau avait été modifié.
Soudain, alors qu’il passait à côté d’un café, Az fut attiré par la terrasse. De nombreuses personnes y étaient assises, savourant une boisson fraiche ou un café en ce beau mois de mai, avec le soleil qui tapait si fort que l’on avait dû sortir les parasols. D’habitude, il ne comprenait pas toutes leurs interactions sociales. Pas qu’il n’aimait pas les gens, mais ce dont ils parlaient lui semblait si futile et inutile. Et pourtant, ce jour-là, Az vit de nombreux traits qui reliaient chaque personne, et formaient un immense réseau social. S’il avait voulu, il aurait pu examiner au moins un lien en particulier. Ce devait être fascinant.
Mais, encore chamboulé par l’expérience dans sa cuisine, il décida de passer son chemin. Il aurait tout le temps de s’occuper de ces sujets un autre jour. Maintenant, il se trouvait devant la faculté, imposante. De nombreuses personnes discutaient sur les marches du grand escalier. L’odeur de fleurs chatouillait les narines d’Az, mais il fit en sorte de ne pas trop s’y concentrer. Bizarrement, ici, il ne voyait pas de réseau social. Il y en avait nécessairement un mais il lui était invisible pour le moment.
Peut-être avait-il désiré pendant un moment s’assoir au café, et être normal. Ce qui avait poussé son cerveau à vouloir l’aider dans cette tâche. Alors qu’il n’avait pas le moins du monde l’envie de se mêler aux étudiants de l’université, ni aux professeurs d’ailleurs. Tout ce beau monde, qui se gargarisait d’être intelligent, alors qu’ils étaient tous bien plus stupide qu’Az, mais aussi bien plus arrogants.

Doucement, sans parler à personne, il se dirigea vers le département de physique théorique.

Bon, je commence le deuxième jet demain, pour mon départ en espagne. Avec 3000 mots par jour, je devrais pouvoir avoir un vrai roman à la fin des 25 jours de voyage.

Sinon, je ne sais pas si sombreféline est encore intéressée par le premier jet?

J'attends que tu m'envoies le texte en entier pour commenter du coup (tu m'avais oublié, vilain ! Le fouet ! )

Tain, comme je relis le texte a un an d'intervalle, je m'apercois que même si j'adore toujoues les idées, il est vraiment foutrement mal ecrit.

Mais... Mais... Mais... Mais ! Pourquoi j'ai jamais vu/lu/commenté ce texte là !!!?
Bien le bonjour tueur de caniche (WTF ?!), comment ça va depuis l'temps ? trève de blabla, envoi ton roman par mp ! viiiite !