Atelier d'écriture Communauté d'écrivains en herbe |
| | L'Heure qui sonne le glas | |
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Invité Invité
| Sujet: L'Heure qui sonne le glas Dim 26 Mai 2013 - 21:06 | |
| (Titre temporaire, je ne nomme quasiment jamais mes écrits avant de les avoir fini. Et bien souvent, je n'ai aucune idée de comment les nommer!) Je ne présente qu'une première partie de ma nouvelle, originalement destinée à un concours mais j'ai bien souvent la flemme de les finir à temps... Mais j'y travaille après! (Je suis désolée, je ne trouve pas comment faire d'alinéa, et les espaces ne sont pas pris en compte, si vous pouvez m'aider )
Lucy courait à en perdre haleine. Il ne lui restait plus beaucoup de temps. Au prochain carrefour, il lui faudra tourner à gauche et si par malheur elle se trompait, il ne lui servirait à rien de faire demi-tour. Elle ne pourrait pas le sauver. Les vapeurs des machines embrumaient les rues de Londres. Elle avait du mal à distinguer le paysage dix mètres devant elle. Il avait fallu que l'accident doive se produire dans la zone industrielle, à l'heure où les ouvriers quittaient les usines ! « Archie, éclaire la route ! » Les yeux du chien mécanique qui galopait à ses côtés redoublèrent de puissance. Il jappait à tout va pour alerter les passants de leur arrivée. Le cliquetis des pattes de métal couvrait le bruit de la respiration haletante de la jeune fille. Elle avait beau accomplir cette tâche depuis quelques années maintenant, son endurance ne s'était presque pas améliorée. Arrivée à l'angle, elle posa la main contre le mur pour tourner. Elle faillit du même coup rentrer dans un passant. Archie avait continué sa route, mais ses capteurs ne la détectant plus à ses côtés, il s'était arrêté et aboyait pour l'inciter à se dépêcher. Elle tira une montre à gousset de sa poche et l'ouvrit, puis reprit sa course. Des aiguilles rouges indiquaient l'heure, qui était arrêtée sur cinq heures trente-sept minutes et six secondes. Un deuxième trio d'aiguilles, noires cette fois, était mobiles et l'aiguille des minutes se rapprochait dangereusement de trente-quatre. Elle observa le croquis à l'intérieur du couvercle. Il représentait des chevaux se cabrant, un cocher horrifié et un petit garçon allongé à terre, les bras levés devant son visage. Elle avait reconnu une des enseignes dans le dessin, celui d'une librairie sur Fetter Lane. Elle referma la montre et la plongea dans sa poche tout en courant. Si elle ne le sauvait pas, elle ne s'en remettrait jamais. Elle ne pouvait pas le laisser mourir si jeune ! Encore une rue à droite et elle serait sur place. Les derniers mètres semblaient toujours les plus longs. Elle évita de justesse des ouvriers qui sortaient de l'usine, certains encore poisseux de l'huile de baleine utilisée pour faire fonctionner les machines. Une goutte de sueur roula le long de son front. Elle l'essuya d'un revers de la main et tourna au coin.
Archie était déjà sur place, jappant aux côtés des chevaux. Le cocher lui donnait des coups de fouet pour essayer de le faire reculer. Lucy avisa rapidement l'enfant. Il jouait aux billes de l'autre côté de la route avec un groupe. Il ajusta son geste pour l'envoyer au plus près de la cible, mais la force qu'il lui décocha fut trop violente. La bille jaillit hors du cercle des joueurs, et vint rouler devant la voiture. Le garçon donna une impulsion à l'aide de ses mains et bondit sur la route pour rattraper sa bille. Archie avait beau mordre les jarrets des chevaux, ils ne s'arrêtaient pas. Lucy ne prit pas le temps de réfléchir ; elle courut sur la chaussée, saisit le garçon par la taille et se jeta avec lui sur le trottoir. Son épaule vint heurter le mur de la librairie dont l'enseigne avait été un si précieux indice. Elle sentit le courant d'air dû à la course des chevaux soulever ses longs cheveux noirs. Il s'en était fallu de peu cette fois-ci. L'enfant, inconscient de ce à quoi il avait réchappé, pleurait et tempêtait d'avoir perdu sa bille. Lucy n'en tenait pas compte, elle savait que son travail ne serait jamais reconnu. Archie sautillait piteusement vers elle. Dans sa tentative d'empêcher le trajet de la voiture, un des chevaux lui avait piétiné une patte arrière qui s'était détaché. Elle embrassa le métal froid de la tête du chien avant de se relever. L'enfant criait toujours. Il se tut devant le regard qu'elle lui adressa. « De rien. » grommela-t-elle.
Elle prit le chien dans ses bras et alla récupérer la patte perdue. La réaction de ceux qu'elle sauvait entraînait toujours chez elle un profond désespoir. Mais dans quelques heures, lorsque la prochaine scène lui parviendrait, celui-ci aurait disparu. De nouveau, elle devrait se prendre pour Dieu et elle détesterait ça. Pour l'heure, elle avait droit à quelques instants de répit. Son ventre la rappela à l'ordre, elle avait encore dû se passer de repas ce midi. Elle se dirigea vers le marché pour glaner quelque nourriture restant sur les étals.
Merci d'avoir pris le temps de lire! |
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| Sujet: Re: L'Heure qui sonne le glas Dim 26 Mai 2013 - 23:15 | |
| Bonsoir ! Hum, je dirais que c'est vraiment bien ! Une bonne lecture, peu de fautes il me semble, mais d'autres passeront C'est très bien écrit, assez développé dans les descriptions, je trouve le "style" agréable. C'est pour un concours de nouvelle dis-tu ? Il y avait un thème où tu y vas les yeux bandés ? :pirat: Je lirais la suite, c'est qui Lucy, une sorte d'ange-gardien des âmes perdues ? Je n'ai pas grand chose à dire, c'est très bien J'ai quand même noté deux trois trucs, mais ce ne sont ( comme toujours ) que de simple avis ^^ Continues Lucy courait à en perdre haleine. Il ne lui restait plus beaucoup de temps. Au prochain carrefour, il lui faudra tourner à gauche et si par malheur elle se trompait, il ne lui servirait à rien de faire demi-tour. Elle ne pourrait pas le sauver. Les vapeurs ( « la vapeur des machines » a priori insinue déjà qu'il y en a plusieurs, ça enlèverait un "les" ) des machines embrumaient les rues de Londres. Elle avait ( verbe faible ^^ ' -merci Morrigan- « elle distinguait mal » ? ) du mal à distinguer le paysage dix mètres devant elle. Il avait fallu que l'accident doive (Oo, « L'accident devait se produire » ? )vse produire dans la zone industrielle, à l'heure où les ouvriers quittaient les usines ! « Archie, éclaire la route ! » Les yeux du chien mécanique qui galopait à ses côtés redoublèrent de puissance. Il jappait à tout va pour alerter les passants de leur arrivée. Le cliquetis des pattes de métal couvrait le bruit de la respiration haletante de la jeune fille. Elle avait beau accomplir cette tâche depuis quelques années maintenant, son endurance ne s'était presque pas améliorée ( vb faible était, « son endurance ne s'améliorait pas (vite) »?). Arrivée à l'angle, elle posa la main contre le mur pour tourner. Elle faillit du même coup rentrer dans un passant. Archie avait continué sa route, mais ses capteurs ne la détectant plus à ses côtés, il s'était arrêté et aboyait pour l'inciter à se dépêcher. Elle tira une montre à gousset de sa poche et l'ouvrit, puis reprit sa course. Des aiguilles rouges indiquaient l'heure, qui était arrêtée sur cinq heures trente-sept minutes et six secondes. Un deuxième trio d'aiguilles, noires cette fois, était mobiles et l'aiguille des minutes se rapprochait dangereusement de trente-quatre. Elle observa le croquis à l'intérieur du couvercle. Il représentait des chevaux se cabrant, un cocher horrifié et un petit garçon allongé à terre, les bras levés devant son visage. Elle avait reconnu une des enseignes dans le dessin, celui d'une librairie sur Fetter Lane. Elle referma la montre et la plongea dans sa poche tout en courant. Si elle ne le sauvait pas, elle ne s'en remettrait jamais. Elle ne pouvait pas le laisser mourir si jeune ! Encore une rue à droite et elle serait sur place. Les derniers mètres semblaient toujours les plus longs. Elle évita de justesse des ouvriers qui sortaient de l'usine, certains encore poisseux de l'huile de baleine utilisée pour faire fonctionner les machines. Une goutte de sueur roula le long de son front. Elle l'essuya d'un revers de la main et tourna au coin. Archie était déjà sur place, jappant ( déjà utilisé peut-être aboyant ? ) aux côtés des chevaux. Le cocher lui donnait des coups de fouet pour essayer de le faire reculer. Lucy avisa rapidement l'enfant. Il jouait aux billes de l'autre côté de la route avec un groupe. Il ajusta son geste pour l'envoyer au plus près de la cible, mais la force qu'il lui décocha fut trop violente. La bille jaillit hors du cercle des joueurs, et vint rouler devant la voiture. Le garçon donna une impulsion à l'aide de ses mains et bondit sur la route pour rattraper sa bille. Archie avait beau mordre les jarrets des chevaux, ils ne s'arrêtaient pas. Lucy ne prit pas le temps de réfléchir ; ( je crois que le ; est collé au dernier mot, c'est a voir avec les autres ^^ ) elle courut sur la chaussée, saisit le garçon par la taille et se jeta avec lui sur le trottoir. Son épaule vint heurter le mur de la librairie dont l'enseigne avait été un si précieux indice. Elle sentit le courant d'air dû à la course des chevaux soulever ses longs cheveux noirs. Il s'en était fallu de peu cette fois-ci. L'enfant, inconscient de ce à quoi il avait réchappé, pleurait et tempêtait d'avoir perdu sa bille. Lucy n'en tenait pas compte, elle savait que son travail ne serait jamais reconnu. Archie sautillait piteusement vers elle. Dans sa tentative d'empêcher le trajet de la voiture, un des chevaux lui avait piétiné une patte arrière qui s'était détaché ( détachée , ouch ça fais mal, tu es monstrueuse ). Elle embrassa le métal froid de la tête du chien avant de se relever. L'enfant criait toujours. Il se tut devant le regard qu'elle lui adressa. « De rien. » grommela-t-elle. Elle prit le chien dans ses bras et alla récupérer la patte perdue. La réaction de ceux qu'elle sauvait entraînait toujours chez elle un profond désespoir. Mais dans quelques heures, lorsque la prochaine scène lui parviendrait, celui-ci aurait disparu. De nouveau, elle devrait se prendre pour Dieu et elle détesterait ça. Pour l'heure, elle avait droit à quelques instants de répit. Son ventre la rappela à l'ordre, elle avait encore dû se passer de repas ce midi. Elle se dirigea vers le marché pour glaner quelque nourriture restant sur les étals. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'Heure qui sonne le glas Lun 27 Mai 2013 - 0:04 | |
| Bah oui détachée, le pauvre chien il a des vis comme articulations haha :p
Mais merci d'avoir lu ^^ Le thème était "Montres enchantées" pour la nouvelle collection dédiée au steampunk des Editions du Chat Noir.
Effectivement je ne me rendais pas compte que j'utilisais des verbes faibles, je vais tenter d'y remédier ^^
Pour le "doive", j'avoue m'y être reprise à plusieurs fois sur la phrase, ça me semble moche aussi, mais je n'arrive pas à trouver la formulation ou la conjugaison adéquate donc j'ai laissé comme je pensais, après si quelqu'un arrive à trouver ce qui cloche, je suis tout ouïe!
Je suis contente que tu trouves les descriptions suffisantes, j'avoue détester ça et ne mettre que le strict minimum ^^' Au grand dam de certains :p |
| | | Morrigan modératrice
Nombre de messages : 3518 Localisation : entre la terre de Bretagne et la Scandinavie Date d'inscription : 11/03/2007
| Sujet: Re: L'Heure qui sonne le glas Lun 27 Mai 2013 - 11:03 | |
| Au prochain carrefour, il lui faudra tourner à gauche => "faudrait" plutôt, puisqu'on est au passé Il avait fallu que l'accident doive se produire dans la zone industrielle => Il avait fallu que l'accident se produise (ce sera moins lourd) Un deuxième trio d'aiguilles, noires cette fois, était mobiles => mobile un des chevaux lui avait piétiné une patte arrière qui s'était détaché. => détachée « De rien. » grommela-t-elle. => De rien, grommela-t-elle Mais dans quelques heures => "mais" en début de phrase n'est pas spécialement conseillé, on lui préférera "cependant, néanmoins, toutefois," etc. T'en fais pas pour les alinéas, y en a pas besoin ^^ Et non, So, les ; prennent une espace avant (espace fine insécable si ça vous intéresse, d'ailleurs...) Bon, et si on en revenait à ce texte ? C'est bien écrit en effet, même si j'ai trouvé le premier paragraphe un peu trop haché au niveau du rythme. Peut-être pour reprendre l'urgence et la course, mais la succession de phrases très courtes ne m'a trop plu par rapport à la suite. J'ai aussi eu un bug de compréhension avec ça : "Elle avait du mal à distinguer le paysage dix mètres devant elle. Il avait fallu que l'accident doive se produire dans la zone industrielle, à l'heure où les ouvriers quittaient les usines !" J'ai cru au début que l'accident s'était produit dans une usine, mais en fait non. Donc ce serait pour dire qu'elle se plaint parce qu'elle doit traverser une zone enfumée ? Mais dans ce cas, pourquoi y a toujours autant de fumée alors que les ouvriers s'en vont ? Ça ne devrait pas être l'inverse, justement ? En plus, il faudrait peut-être mentionner (rapidement) lorsqu'elle quitte la zone enfumée, parce que j'ai bien l'impression que par la suite, elle y voit très bien. Du moins, je verrais mal des gamins jouer dans la fumée là où on y voit pas ^^ (sans compter que la librairie ne se serait pas installée là). Donc voilà, petit souci de compréhension, et soit il manque une petite info par la suite, soit cet élément d'ambiance n'est pas le plus utile pour moi. Lors du sauvetage, je me suis demandée aussi pourquoi il n'y avait pas une foule qui s'amenait, tout à coup. En général, c'est ce qu'engendre ce genre de spectacle. On dirait ici soit que la rue est vide à l'exception des gamins, soit que tout le monde s'en fout ^^ Or, une femme qui se jette sur un gamin, que ce soit pour le sauver ou non, ça devrait attirer l'œil, non ?... Et enfin, "elle savait que son travail ne serait jamais reconnu" : c'est "travail" au sens littéral du terme, elle est payée pour ? Ou elle se l'est donné à elle-même ? Dans le premier cas, j'ai l'impression qu'il existe une sorte de... guilde ? syndicat ? ^^ des gens comme elle, et je m'étonne justement qu'ils n'aient pas tenté de se faire reconnaître, ou du moins que ça ne se soit jamais passé. C'est pas rien ce qu'ils accomplissent ! Remarque, faudrait qu'ils aient un (ou plusieurs) riche mécènes, alors, parce que si ton boulot n'est pas reconnu par ceux que tu sauves, qui te paye ?... Bref, je trouve cette notion un peu floue, également. Ce sera sans doute explicité ensuite, mais comme je n'ai que ça sous la main pour l'instant, je le dis ^^ Les points positifs, tout de même (et y en a plein !) Outre l'écriture dont j'ai déjà parlé, l'idée est très sympa. J'aime beaucoup le steampunk, donc j'apprécie ce texte L'idée du compagnon mécanique est bien chouette (même si je trouve l'idée des capteurs un peu trop "évoluée" pour le contexte habituel du steampunk, mais c'est juste une impression personnelle), et son usage aussi. La montre également est excellente. Les aiguilles qui indiquent quand a lieu l'accident, celles qui te disent "tic tac, tu vas pas y arriveeeeeeeer !" (^^) et l'image qui s'inscrit pour dire ce qui va se passer... C'est juste génial Je me demande bien où elle a pu l'avoir. Le reste de la scène est très bien mené également, de la montée en haleine jusqu'au dénouement ; bref, c'est un très bon extrait dans l'ensemble A quand la suite ? | |
| | | The duke Je commence à m'habituer
Nombre de messages : 162 Age : 40 Localisation : Paris Loisirs : écrire, écouter ma musique à fond dans le RER, lire, rêver Date d'inscription : 17/05/2013
| Sujet: Re: L'Heure qui sonne le glas Lun 27 Mai 2013 - 11:20 | |
| salut ! un extrait très agréable, je ne reviendrai pas sur les fautes car les filles s'en sont déjà chargées (elles sont mignonnes ) sinon, pour l'histoire, c'est très prenant, Lucy intrigue pas mal, c'est quoi son role ? un Ange ? ou un peu comme le gars dans "demain à la une" ? c'est très plaisant à lire en tout cas | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'Heure qui sonne le glas Lun 27 Mai 2013 - 15:03 | |
| @Morrigan : en me relisant (j'avoue que ce n'est que le premier jet), je me suis dit aussi que c'était bizarre qu'il y ait encore de la fumée alors que c'était la fin du travail. En fait je voulais vraiment retranscrire l'idée des machines omniprésentes, de toute la "pollution" visuelle qu'elles engendrent, et même du son, même si je ne l'ai pas traité (à faire lors de la réécriture!), mais il faudrait que je change ça en effet! Du coup, un horaire qui conviendrait plus à la sortie des écoles conviendrait plus à ce que les enfants soient seuls dans la rue et qu'il n'y ait pas beaucoup de passant. Je mettrais donc un attroupement, rendant plus pressante la fuite de Lucy, c'est qu'au début j'expliquais sa nécessité à rester "inconnue" plus tard En fait je n'utilise le terme de travail qu'ici, par la suite, c'est plus une mission, une contrainte qui l'empêche de vivre normalement, il faudrait que je change ce terme effectivement! Elle est toute seule à faire ça, sans aide ni rien ^^ Et surtout grand MERCI pour la tournure de phrase ^^ En fait je voulais insister sur le fait que l'accident ne s'était pas encore produit MAIS allait définitivement arriver, sauf que ça passe très bien comme ça en fait Merci à vous deux, sinon pour la suite, il suffit que je reprenne les maladresses avant de pouvoir le poster |
| | | sombrefeline Héros Légendaire
Nombre de messages : 2284 Age : 38 Localisation : Le Grand Nord Loisirs : Ecrire, dessiner, coudre et taquiner ses semblables avec des bouts de métal coupant Date d'inscription : 21/04/2012
| Sujet: Re: L'Heure qui sonne le glas Lun 27 Mai 2013 - 17:09 | |
| - Citation :
- Il avait fallu que l'accident doive se produire dans la zone industrielle
Que l’accident se produise, suffirait - Citation :
- Des aiguilles rouges indiquaient l'heure, qui était arrêtée sur cinq heures trente-sept minutes et six secondes. Un deuxième trio d'aiguilles, noires cette fois, était mobiles et l'aiguille des minutes se rapprochait dangereusement de trente-quatre
Trois fois « aiguilles ». Je sais que ce n’est pas évident, mais il faudrait trouver des synonymes. - Citation :
- Elle observa le croquis à l'intérieur du couvercle
Je pense qu’il existe un autre mot pour désigner cette partie de la montre, mais je dois avouer que pour l’instant, il m’échappe. - Citation :
- Il ajusta son geste pour l'envoyer au plus près de la cible, mais la force qu'il lui décocha fut trop violente. La bille jaillit hors du cercle des joueurs, et vint rouler devant la voiture. Le garçon donna une impulsion à l'aide de ses mains et bondit sur la route pour rattraper sa bille.
Je ne sais pas si c’est voulu, mais la description des gestes a quelque chose de très mécanique, qui, je dois l’avouer, me dérange un peu. Un petit côté steampunk à cette nouvelle, ce qui n’est pas pour me déplaire. Le texte est bien mené, je trouve, tu plantes bien le décor, tu donnes des informations sur Lucy et sa montre qui permet de voir dans le temps, tout en piquant l’intérêt du lecteur (qui est-elle ? Qu’est-ce que c’est que cette montre ? Sans parler du chien mécanique). Je lirai la suite avec plaisir. _________________ That is not dead which can eternal lie. And with strange aeons even death may die
There is no "overkill". There is just "open fire" and "time to reload"
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'Heure qui sonne le glas Lun 27 Mai 2013 - 18:13 | |
| Ca y est j'ai trouvé : pour que ce soit correct, j'aurais du dire en fait "il avait fallu que l'accident dût se produire"... Mais bon, le subjectif conditionnel actuellement... Je vais donc suivre vos suggestions!
Le problème de la description de gestes est dû, je pense, que je réfléchis en termes de plan (déformation scolaire!), donc je décris comme je verrais la succession et le cadrage. Il faudrait que je revois ça pour que ce soit plus fluide. Merci beaucoup! |
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