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 Timor: Les Quinze Royaumes

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MessageSujet: Timor: Les Quinze Royaumes   Timor: Les Quinze Royaumes Icon_minitimeLun 16 Déc 2013 - 6:32

http://lescontesdetimor.fr/
https://www.facebook.com/LesContesDeTimor
1.   L’engagement

La Grandeur

  « L’immensité d’un empire ne tiens pas de la pierre qui forme son mur, ni de son armée s’attrayant de chacune de ses guerres, et ni d’ailleurs des kilomètres qu’il représente sur l’échelle du monde. Non, les plus grandes choses comme l’empire d’Eness –empire ayant unifié tous les peuples du monde d’Eness, érigé par Phan le terrible, et se divisa après la disparition du second Empereur, Cerseï le juste– sont nées d’une idée, d’un murmure audacieux au destin, d’un asservissement oral d’un seul être capable d’exposé avec brio son opinion. »

Depuis la chute de l’empire du roi Phan, le monde avait vécu mainte bataille. Les contrés de l’ancien empire en étaient divisés aujourd’hui en plusieurs royaumes qui eux même unissaient plusieurs régions, qui enfin à leurs tour unissaient plusieurs villages, villes et cités. En l’an 1206, ils entrèrent dans une grande période de paix, laissant ainsi aux barbares du sous-centre, les honneurs de se querellé en se faisait oublié des hommes civilisé et de leurs textes sacrés. Considéré comme vérité absolue et d’origine du monde pour l’ordre du Magisterium –ordre politique (représente une souveraineté sur les partisan de la foi), religieux (prône les textes sacrés) et économique (régis la puissance de l’or blanc) qui règne sur l’allégeance des quinze– de texte mal interprété pour les croyants, et de légende pour les athées ; les textes dit « sacrés » sont aujourd’hui devenus les symboles d’une souveraineté, une idéologie, plus qu’une religion. Le conseil du Magisterium en gardera pourtant, avec grande noblesse, cette paix mondiale en promulguant sur ses bases ; des lois, des traités, et agitera les armes si le conseil l’a unanimement décidé.
  Mais certaines régions oubliées, sont aussi resté indépendante de la volonté de celui-ci. Ce qui ne manqua pas de faire la crainte, depuis toujours, du conseil du Magisterium, et menace aujourd’hui la fragile alliance des plus puissants royaumes des hommes. La dichotomie du mal et du bien qui avait autrefois foulé le monde, pour se livré une ultime bataille ; s’était occulter volontairement de la vie des mortels, les laissant pullulé à leur guise, et se battre pour leurs suprématie…
Jusqu’à ce fameux jour, ou la naissance d’un bâtard aller changer l’ordre des choses. Bien qu’inoffensif, les légendes qu’il portera sur lui, suffirons à créer conflits et soulèvement…

Quelque part, dans le monde d’Eness, il y a longtemps…

  Un homme entra dans une taverne où il eût ouï une voix éreintante, qui dans l’éclat, l’attirait comme les chuchotements secrets des limbes de l’avarice…  Un grand homme bedonnant y vociféré alors. Assis là, en amont, sur une haute chaise ; devant un parterre d’ivrognes tout en se bâfrant d’un énorme poulet. Alors, estomaqué devant ce spectacle des plus dégradant, l’homme s’apprêtant à repartir vers la sortie, ouï de terrible parole venant de l’individu susnommé, qu’il figea de son regard.
« …c’est ainsi que le monde fût divisé en quinze royaumes, tous connaissons cette histoire, bla bla bla, si les mots suffisent à découvrir une voie, il faut aussi un guide qui l’éclaira, on appelle cela en langage commun, un héros.
Il est sûr qu’on me pousse au cul quand je suis sur le champ de bataille ! « Le grand mage –dénomination réservé à des hommes de pouvoir ayant varié leurs attaquent sans utilisé d’épée de Crizen– vas nous sauver, c’est le meilleur » Le meilleur, le meilleur ; c’est sûr qu’en avant, et tout seul, y’auras pas beaucoup de concurrence ! Le pire, ça auras été quand on a envoyé ces follasse d’archers, « tirez quand vous verrez le signe ! ». A croire qu’on a fait un signe pour qu’ils partent ; enfin, vous me direz que la peur est utile parfois. J’ai pu voir ça face à un colosse de trois bon mètres, un Cerenti ; cette sale race démoniaque des montagnes barbare aujourd’hui probablement éteinte. Non pas que sa taille m’impressionnait!, non, mais… j’ai moins fait le malin quand j’ai vu l’armée au tour de lui et la mienne derrière qui devait être encore partis à cause d’un signe…
Enfin, c’était la bonne époque ! On rigolait bien, mais maintenant les guerres sont inutiles. Si ce n’est que pour montrer qui a la plus grande. Autant dire qu’on n’est pas venu beaucoup nous emmerdé ! C’est bien dommage d’ailleurs… Enfin, je ne perds pas espoir, et je guète les putins qui oserais affronter le royaume des trois couronnes –autre dénomination du royaume des trois rois– !
Pour divisé le monde, un seul a suffi, pour l’unir il en faudra quinze ; ou alors… monnayant quelques perte le nombre se discute, mais l’idée est là. « Ne me dites pas de si haut que vous gouvernez que vous ne voyez pas que l’élu approche ». Moi je l’appel, l’être le plus abrutis qui sois né. Evidemment, je ne puis compter votre femme sans quoi je réviserai surement mon classement –dit-il à cet intrus qui le perçais toujours du regard–, après tout si nous nous sommes forcé de croire en un être suprême, pourquoi ne pas croire en lui. Même si je doute qu’il aille plus loin que la première catin qu’il rencontrera, oui parfaitement, je l’imagine hideux comme ta pauvre tête ! Toi qui me gèle du regard, que ta mère me pardonne ! –rétorqua-t-il encore à l’homme qui s’était avancer encore plus près de lui, et à qui il reprit après un soupir– Et surtout qu’il soit d’une incroyable envie de faire la paix, LA PAIX!, comme ces impuissants qui siège au Magisterium. La politique, la démocratie, la religion et même les Bellator Dei –puissants hommes de pouvoir dont seuls les textes sacrés traduisent l’origine de leurs existences– c’est d’une aberration monumentale, si les légendes sont vraies, moi j’appellerais tout ça le pacte des hypocrites consanguins. Le libre arbitre ? Et pourquoi pas ta coureuse de rempart de sœur sous la table ! Aberration te dis-je ! Pour que le libre arbitre soit, il ne faudrait qu’aucun être soit supérieur à un autre, que nous naissions tous égaux, pourtant je suis le seul qui me considère égale aux gens du peuple alors que je suis roi ! Même le peuple se considère au-dessus de moi, c’est assez paradoxale quand on pense que le premier traitre que je croise, je lui enfonce ma lame au plus profond de son être, là où la virilité s’arrête ; et, que personne ne puisse rien faire contre se pouvoir de vie ou de mort ! »
L’homme qui avait attentivement écouté, se levas et tendu la main au Roi ;
« Je me présente, Orion, je suis sûr que nous allons nous entendre »

Il était l’heure à laquelle les jeunes hommes normaux, ici, à l’ouest de la région de l’Ars, s’endorment. Mais le village de Creusé, compte parmi sa jeunesse, un certain Kaal. De fouge, il courait depuis si longtemps dans les vastes champs en jachère du voisinage, que son corps était devenu une arme de rapidité et de reflexes. Ce fameux voisinage, était essentiellement composé de paysan, de tavernier ou encore de maître forgeron ; mais aucun n’était soldat, gradé ou non. Malgré cela, et un père qu’il ne connût pas, Kaal voulait devenir lui, ce que les autres n’étaient pas, un homme soldat.
Depuis son adolescence donc, quand ses amis l’accompagnaient dans la rêverie du ciel (sur le toit de la Taverne du pauvre Hasamel, quand elle était fermé), et qu’ils s’exprimés sur leur volonté futur, tous répondaient avant que Kaal n’eût le temps de le faire, « toi tu veux être soldat ». Oui mais pas que. Longtemps avant cette volonté de prendre les armes, lui et ses amis voulaient s’unir pour affronter le monde, et l’unir sous la bannière de la paix. Dans cette volonté donc, résidé l’espoir de voir ; Fanor fils de Hilt, Caranne fille de Makraor, Ollana fille de Katier et de Daren fils du général de l’Ars, venir avec lui dans la division d’armée de l’Ouest. Bien sûr ils rêvaient tous d’autre chose maintenant, mais comme le disait Nirra, le père de Daren, « on ne devient pas soldat, on né soldat ».
Le temps passa, et Kaal devenus majeur et il compte bien réaliser son rêve, se préparant depuis longtemps à entrer dans l’armée du Royaume d’Eneth, si étant inscrit, quelques mois plus tôt. Cela n’a jamais enchanté sa mère, qui le préférait dans un champ, à ne courir aucun risque ; mais tout homme voit un jour par-delà la vision matriarcale. Et la guerre reste une chose exceptionnelle en ces temps interminables de paix, ce n’est que d’exception que meurt des hommes d’exception, dira-t-elle, mais avec l’avènement des lois et droits des femmes imposé par la reine Hellena, ce ne sont plus des hommes d’exception mais bien des familles entière qui vont à la guerre.

Il fait nuit et chaud, nous sommes le 18 août 1326 dans le village de Creusé, et Kaal marche maintenant en direction de la taverne, éclairé par les torches du village qui jonchent tel des trophées, les portes d’une maison sur trois. Les ruelles de Creusé, était donc aussi bien éclairé qu’elles le pouvaient. Les maisons, de petite ou de grande fortune, connaissaient toutes l’étendus de la sagesse de gens qui s’aident, et même le Kaal, si jeune soit-il, tenait compte de l’ordre loyale, consensus de bas peuplade qui voulait briller parmi les hautes étoiles.
Il sortit donc, alors, de la grande rue qui traversé le Creusé du nord, en direction du château majeur, jusqu’au sud en direction du bois des trois rois (frontière de l’Ars et de l’Herk). Il entra alors dans une plus petite ruelle qui s’avérait, elle, beaucoup plus sombre et tortueuse, comme un corridor étroit dans une allé de grands murs uniforme, rappelant à Kaal, le chemin par-delà les rocheuses –qui fait frontière avec le royaume des trois– dont-on lui avait conté la bataille du même nom (voir les contes de Timor). On pouvait discerner deux types de maison. L’un était de pierre rouge avec le toit de paille, atypique des Terninis (voir les contes de Timor), l’autre de pierre grise et de toit en minerais d’ardoise, maisons typique de l’ouest d’Eness. La maison de Kaal était, elle, comme ceux de l’ouest entier, magnifiquement entretenue par sa chère mère dévouée. Mais Kaal ne se dirigé pas chez lui ; à cet instant, il s’en était partit vers la taverne d’Hasamel, confiant, sourire aux lèvres en voyant déjà la fumé s’échappé du dessus du toit du pauvre teneur. Le bâtiment était haut mais il disposé d’un toit régulier et assez plat, erreur monumentale de construction il faut le dire. Notre Creuséen aura fait le tour par le chemin du derrière des commerçant –allée réserver aux livreurs des denrées de ceux-ci– pour y grimpé. Pas d’éclairage, mais seulement une échelle avec à son pied, une lanterne de feu, disposé ainsi, pour lui. En haut, se tenait Fanor et Daren, fumant de drôle d’herbe avec la pipe acheter plutôt dans la journée, ainsi que les deux autres, Caranne et Ollana, qui se contentés de rêvassés encore et encore vers le ciel en croisant les bras.
Fanor, voyant Kaal enfin monté, lui engagea la conversation.

- Alors Ka, tu en as mis du temps pour grimpé, tu es sur que tu es prêt pour tuer des barbares !?, lui dit-il en prenant air de Duc en attrapant la pipe de la bouche de Daren qui crié abusivement au vol.
Caranne se retourna d’œil d’amour vers Kaal, et reprit,
- Mais Ka n’est pas un tueur, il veut juste pouvoir se rendre utile !, réprima-t-elle en le voyant s’assoir à côté d’eux. Lui n’en dit pas un mot et soupira.
- Ce n’est pas des barbares qui volent nos récoltes et demande impôt sur infortune !, déclara Ollana d’une voix douce, en regardant toujours le ciel.
- Il est vrai que le Roi abuse particulièrement de son pouvoir ces temps-ci, répondit Daren, mon père dit que bientôt il ne pourra plus payer et qu’au nord, les trois rois s’en sortent beaucoup mieux avec moins d’impôts.
- Et toi Ka, tu en penses quoi de tout cela ?, commença Caranne, tu ne dis pas un mot, mais tu as pourtant opinion sur le sujet ? Bien sûr qu’il avait opinion, Kaal adoré les contes des trois rois, pourtant, il se modérait.
- Et bien, les nuits sont douces, nous sommes tous là, sur ce toit, voilà notre richesse, finira-t-il clôturant le débat pour les ramenés vers leur moment de détente.

Malgré la tournure en dérision de la conversation, Daren toucha un point on ne peut plus véridique. Le Royaume au Nord-Ouest, était très riche et pour cause, outre les richesses individuelles, les trois ne souffraient pas de désir perpétuel de combattre «sous-centre» les royaumes barbares. Depuis maintenant quatorze mois, le royaume d’Eneth, lui, est entré en guerre contre la Crimée, puissance nouvellement émergé d’une seigneurie bancale. Si la force militaire est quasi-nulle en Crimée, leur détermination parait-il, est inégalable. Et pendant que des camps militaires apprennent à de jeune recrue du royaume d’Eneth à devenir des soldats, les royaumes barbares, eux, s’entrainent depuis très jeune à tuer des bêtes féroces dans les montagnes rouges ; à survivre face à dame nature, et à ne jamais crier devant douleur. D’un monde civilisé qui se veut donneur de leçon, basé sur l’or, la politique et pour certain, la démocratie ; les royaumes riches sont particulièrement instables en temps de paix. Sans but n’impliquant pas l’amassement de richesse, les Rois du monde sont las et voient le plus souvent leur empire, qui a mis des générations de sang à se créer, s’écroulé pour une chose aussi futile que l’or. Alors, le roi du royaume pieux d’Eneth, Aaron, fils du dit Eneth, entra en guerre contre son demi-frère, batard de sa famille, qui monta sur le trône d’une région rouge à l’âge de 8ans ; Némée. On ne sait ni comment, ni avec quel armée, ce jeune exilé de l’Indras à put survivre en plein royaume barbare et devenir roi d’une région occupé et si hostile à qui conque tente de s’en emparé. Mais il n’en fallait pas plus que d’être le fils indigne et non voulus d’une famille royale, pour se voir persécuté par un enfant légitime de celle-ci, menacé de ce demi-sang couronné.
Sous-estiment son adversaire par complexe d’infériorité, Aaron ; envoya du Tyles, les cinquante hommes menés par le Général Arl, vers la frontière de la Crimée. Seulement voilà, la Crimée comptant quatre cent unités, Arl ne tiendra pas, et cela malgré la haine consensuelle du royaume et c’est maintenant le Tyles qui est menacé d’invasion Crimérienne. Les régions du nord du royaume d’Eneth ne pouvant à la fois contenir une possible invasion des autres rois barbares et prendre d’assaut la Crimée, laissent aux régions ouest l’honneur d’aider le Tyles. Alors l’Erran et l’Ars se prépare à envoyer un grand maximum d’hommes, formé ou non, pour en finir avec la Crimée.

Il est tard, les cinq du toit commence à fatigué, ils leurs faudra redescendre, reprendre la grande rues, faire un ou deux kilomètres, et ne pas faire de bruit, tout cela pour rentrer chez eux. Alors, ils fatiguent encore plus rien qu’à l’idée de faire ce monumental travail. Mais Kaal et Caranne ne sont pas très fatigué, regards et effleurement, ils cultivés la romance de finir tous deux, seuls. Fanor le comprit et d’un geste le fit comprendre à Daren, s’amusant de la situation, tous faisaient semblant d’être très en forme. Mais Kaal n’apprécia pas, et de son tempérament de feu, établit clairement, que si ce n’étaient pas eux qui partiraient, lui et Caranne s’en iraient autre part. Fanor joua le jeu et lui dit qu’il voulait rester pour… admirer le toit. Caranne offusquer se leva, et avec Kaal qui prit lanterne, descendirent du toit, laissant les trois se bidonné de leurs entreprise. Arriver en bas, ils laissèrent la lanterne à terre, et partirent rejoindre la ruelle pour retourner sur la grande rue, presque éteinte. Ils choisissent alors de se tenir la main avant de se séparer pour retourner chez eux. L’instant n’aura pas duré longtemps, mais main dans la main, ils venaient de créer le plus grand moment de la vie de chacun des deux. Ils savaient qu’ils n’allaient jamais se retrouvé seuls finalement, toujours entre deux destinations, d’un amour improbable, mais d’un amour si fort que de toucher la main de l’autre, suffira, à créer chaleur et frissons d’une épopée non violente d’un désir brulant d’avoir était. Les dernières torches de feu, s’éteignent, les trois restant du toit avaient eux aussi reprit chemin de leurs habitations, et tout le monde dormaient enfin. Le calme aussi plat que le toit d’Hasamel, la coloration lunaire sur les carreaux des fenêtres, le souffle indélicat du vent dans les feuillages mort des quelques arbres avoisinants, le Creusé était là, l’image brut de la beauté incontestable du royaume.

Armure aux dorures de monnaie, casque aux armoiries du royaume d’Eneth et médailles de bravoures, le colonel Haenel, chef des sections de l’Ars, est sur le chemin du Creusé. Il y a fort longtemps qu’un aussi haut gradé n’avait pas foulé les chemins du paisible village, tellement longtemps, que les gens sortaient et suivaient même quelque fois le colonel du regard quand il eût entrer, et se demandés indécis, ce qu’il pouvait bien faire ici. Certain prétendaient à leurs enfants, comme pour les motivés aux corvées, qu’il venait les cherchés. Mais en réalité, le colonel cherché Kaal et cela après acceptation de le faire entrer dans l’ordre de l’armée. Mais qui pourrait s’en douté, alors que cela ne se fait guère d’envoyé un gradé cherché un engagé. Non, nulle part il était coutume de faire cela ; même les barbares, laisser aux soins de la famille de les guidés dans cette étape considérable de la vie de leurs enfants. Après tout, ils étaient assez grands, même dans les esprits des rouges, pour assumer la tâche d’offrir sa vie sur l’autel de l’honneur. Haenel se rendit alors, intrigué, directement au-devant de la maison de l’engagé et descendit de son cheval, avec le bruit métallique clinquant des médailles qui se touchaient entrent elles. Il regarda un peu partout, et frappa à la porte d’entrée, où personne ne répondra. Les jeune gens qui s’étaient afférer non loin de lui, chuchoté sur l’épée lisse et neuve, magnifique pièce d’infanterie, qu’il portait à la ceinture. Mais il ne prêta pas attention aux enfants, et remonta sur son cheval, et reprit direction vers là où il entendait le plus de bruit, la fameuse taverne au toit plat. Arrivé devant la devanture, il descendit encore, et attacha son cheval au piquet libre devant celle-ci. Il entra ainsi en poussant la porte, et vit alors de jeune gens accoudé au comptoir.

- Vous, levez-vous ; dit-il à Kaal qui se leva aussitôt et qui s’interrogeait déjà.
- Que se passe-t-il ? Répondit-il.
- Vous êtes, selon la description du capitaine, Kaal de Creusé, fils d’Hoyiis, n’est-il pas ?
- Tout à fait, mais je ne comprends pas, je n’ai rien fait !
- Ne t’inquiète pas jeune Creuséen, je viens t’apporter l’ordre de mission, tu es officiellement soldat de l’armée de l’Ars, deuxième bataillon d’infanterie, déclara Haenel sous les encouragements de la plèbe tavernière. Mais Daren ne l’acclamera pas, il fixa sa choppe de Terentia sous la surprise d’Ollana.

- Qu’as-tu Daren ?, lui dit-elle.
- Regarde ce soldat, regarde le bien, commença-t-il avant de s’enivrait de sa boisson et hurler la suite au colonel, mon père vous envoies n’est-il pas ? Le colonel répondit par la positive, et Kaal et ses amis ne comprirent pas.
- Que se passe-t-il ?, demanda de point sur la table Fanor, inquiet de voir son ami se mettre dans tous ses états. Le colonel voyant que le jeune Daren a compris, partit de la taverne avant que problème ne surviennent.
- Mon père m’oblige à entrer dans l’armée, m’ayant menacé de m’enlever tout héritage, annonça-t-il froidement. Fanor se leva avec sa choppe, et la leva en l’air.
- Mesdames et messieurs, vous avez devant vous un autre soldat, moi ! Sur ces mots, Daren se rassura et esquissa un sourire en se perdant dans les craquelures du sol qu’il fixait, boudant le saint. Ollana et Caranne était tellement enivré de ce courage et de cette alliance qu’elle fixa leurs amis mâles et s’exclamèrent à leurs tours.

- Et nous ? Nous allons rester, là, par ici, ou par la bas ?, brayait Ollana, nous ne sommes pas fait de roche, si vous partez, nous venons ! Kaal se rapprocha de ses deux amis ivre, posa sont coude sur l’épaule de Daren en souriant en regardant ces filles impétueuse.

- C’est vrai, avec le manque de féminisme d’Ollana, Caranne aura l’air d’être son épouse, elle sera bien en sécurité ainsi ! Rigola-t-il avant de recevoir le contenu d’un récipient qu’Ollana trouva, et qui fit remarquer à Kaal que c’était « malin ».

Ollana et Caranne sont né à Olydis, petite contré près de la rivière de l’Ars, non loin du Creusé. Et c’est via la seule étendue d’eau de tout Eness, au nord-ouest de l’Ars, que les deux petites filles, jadis, rencontrèrent la bande des « trois frères du lac », Fanor, Daren et Kaal. Surnommé par ce sobriquet qui est lourd de sens sur leur amitié, c’est aussi là-bas que les trois du lac, firent serment d’allégeance à cette union des sens et des armes, et par le sang scellé dans l’eau noir du lac. Tous les cinq y allèrent régulièrement et cela malgré la distance, pour y admirer l’eau qui impressionnait tant tout Eness, n’ayant jamais su dominé ses grandes œuvres qui bordent l’île. Depuis cette époque, les frères du lac et les deux petites filles, une téméraire, et une autre qui ne connut nulle défaite au jeu de la lame fine, étaient amis pour la vie. Un vrai conte digne de ceux de Timor, mais leurs volontés de vouloir rester unis dans les épreuves, et cela même si elles engagent leurs vies, prendra le chemin d’union sacré scellé par le destin.
Nous avons Kaal, que l’on pourrait qualifier de feu de sang, d’environ un mètre quatre-vingt, qui non content d’être rapide, possède une grande intuitivité dans la nature. Cela en tenait même de l’improbable ; il disait de ses mots, qu’il était capable de communiqué avec la nature et qu’elle s’essayé même à lui offrir la magie de donné la vie. Il est vrai qu’étant petit, il avait réussi l’exploit de faire pousser une rose blanche dans une terre très sèche là où personne n’avait jamais réussi à faire pousser quelque chose, mais on dira alors, qu’il fait un incroyable herboriste, et non pas un mage vert. Il reste de fait, qu’il était beau, aussi intelligent qu’un paysan pouvait l’être, et qu’il savait survivre quand même parfois le monde ne tourne pas rond, et qu’un paysan, fussent-il dans son droit, le poursuivait pour littéralement lui « coupé la tête ». L’histoire est une autre histoire, et ses amis sont plus intéressants que celle-ci. Voici Caranne maintenant. Elle mesure quelques centimètres de moins que notre héros, et est beaucoup moins de tempérament électrique. Sa chevelure blonde cache cependant une intelligence hors du commun. Jamais les centres d’apprentissages du royaume n’avait connus de meilleurs élèves, et était capable de lire des textes anciens, ce qui se fait très rare à cette époque. D’ailleurs, le Magisterium, le haut ordre impérial religieux d’Eness, lui as accordé le rang de princesse, pour que sa vie, ses enfants, et petits enfants et ses biens, ne soit pas une insulte à son incroyable intelligence, et qu’elle est la meilleure vie qu’elle mérite. Cependant, n’ayant que le labeur de ses parents comme terres, l’ordre n’autorise pas la princesse à établir un royaume sur les terres d’un autre royaume. Mais peu importe, elle aurait déjà le prestige du titre, elle qui n’est pas doué de talents manuels, cela ne peut que l’arranger. A l’inverse, Ollana, est plutôt doué de ses mains, et est même meilleur à l’épée que ces amis garçons, un comble avorté, car elle fût entraîné par son père, Katier, le maître forgeron le plus prisé de tout le royaume. Elle mesure au moins autant que Kaal, et, à le même tempérament de feu ; ce qui les accordent fortement en des cas extrêmes. Mais à l’inverse de Kaal, elle ne voit pas le monde comme une terre a exploré pour vivre des aventures, non, elle le voit ténébreux aux besoins perpétuels de retrouvé la lumière par la voie de la guerre ensanglanté au nom de Dieu. Fanor quand à lui est entre tous, il est très grand, environ un mètre quatre-vingt-quinze et massif, outrageusement résistant, il n’en reste pas moins, pourtant, très calme et n’est vraiment pas favorable à se battre, quelque en soit les circonstances. Le petit dernier, Daren, est le plus important du groupe. Fils du général, il a du très tôt endosser la responsabilité de portée le nom que personne ne doit mépriser, sous peine d’affaiblir le commandement de son père. Très vite, son père comprit qu’il se noircissait l’esprit en restant trop près de soldats, et trop près de prisonniers aux cœurs noir de ténèbres. Alors il l’envoya dans le Creusé, là où la vie était moins difficile, et où il ne risquerait pas de devenir extrêmement favorable au prix du sang. Echec complet, du haut de son mètre quatre-vingt, son esprit avait déjà était tourmenté, la peur l’emplissait, et une fois sans ses amis, ils tombaient dans la folie. Alors il se rapprocha d’eux, et constitué maintenant un atout considérable dans la vie de ses amis, qui le considérait comme l’enfant roi, qui les mèneraient très loin. Un bref résumé de leurs vies et de ce qu’ils sont, néanmoins le plus important c’est ce qu’ils vont accomplir ensembles, et cela malgré leurs incroyable différences et divergences d’opinons.

Le matin se lève sur ce mardi 20 août 1326. Kaal se lève aux chants des enfants qui fredonné un air du pays « ils sont partis », ce qui ne manqua pas de violement le réveillé.
  « Le vent s’engouffrait, violement dans les toits de pailles
Les chevaux battaient, les sabots sur le chemin de bataille
Ils partaient, un beau matin fixant les montagnes
Et ils savaient, que plus jamais ils ne reverraient leurs femmes

Ils sont partis, ils sont partis, ils sont partis
Ils sont partis venger leur mort
Ils sont partis, ils sont partis, ils sont partis
Et d’autre partirons encore »
C’est avec ce genre de contine que beaucoup renonce à l’armée, et on peut le comprendre ; l’origine même de cet air ainsi que son intonation, est le résultat du souffle coupé du soldat qui la chanté en s’éteignant à la bataille des rocheuses. C’est un engament en vers le royaume, mais surtout un engagement en vers soit même, les risques sont là, et ceux qui les nies, mourront au combat. Kaal voyait ça comme un voyage enchanteur, remplit d’inconvenants, mais où il pourrait voir du pays, et qui sait, faire couler du sang impure. C’est assez malsain de se motivé comme cela, mais après tout, il s’était engagé dans le métier le plus dur d’Eness, et il voyait les choses de la guerre d’une façon amère, triste et obscène, ainsi, il était prêt. A peine sorti de sa couche, il alla vite s’habillé et partir dans la salle, pour dire au revoir à sa mère et s’en aller.    Mais sa mère, encore une fois, n’était pas. Inquiet il alla voir à sa chambre, mais la porte était fermée. Le jour commencé alors à entrer dans la maison, rappelant à Kaal, qu’il allait être en retard. Alors il frappa à la porte et dit quelques mots à travers celle-ci, pour que sa mère comprenne bien qu’il part maintenant. Mais aucun bruit ne se fit entendre de l’autre côté de la porte. C’est donc le cœur lourd qu’il prit quelques pommes dans un récipient, rangea les chaises sous la table, et ouvra la porte, lentement, espérant encore que sa mère ouvre la porte. Il tourna la tête vers elle une dernière fois, et ne voyant pas qu’elle s’ouvre, il sortit alors, retrouver ses amis, impatient de commencé cette nouvelle aventure. Dans la grande rue, les gens lui souriait pour la première fois de sa vie, il n’en espérer pas tant, et même, il rendait se sourire. Kaal réemprunta le chemin vers la taverne, lieux, où ils devaient tous prendre un dernier verre avant de prendre la route. Arrivant dans la taverne, il vit ses amis à une table, non loin de l’entrée, et parmi les cris sans fins, il entendait son nom prononcé par Fanor, qu’i s’était levé pour l’occasion et faisait gestes et signes pour que Kaal le voit. Kaal alla donc vers la table et s’assiéra en posant son petit sac plein de pommes. Daren avait vêtu son armure de prince de région, et cela le rendait très menaçant, presque ennemi aux yeux des autres clients. A côté, Ollana elle aussi avait revêtu une magnifique armure, blanche et fine, doré de partout, et avec l’armoirie de son père, la lettre k magnifiquement gravé. Mais c’est son épée qui était beaucoup plus incroyable, posé là, dans son fourreau, contre une poutre. Le nom de son père était inscrit dans le cuir du fourreau, ainsi que gravé dans le petit morceau de lame qui sortait, nu. N’importe qui tuerais pour une lame de Katier, assurément, elle est Daren était fin prêt pour briller. Fanor avait une simple armure de cuir de moyenne facture où l’on pouvait discerner un mot sur le torse « Jiir ». Mais personne ne savait ce que cela était, cette armure était dans sa famille bien avant que Hilt, son père, ne s’en souvienne. Et enfin, Caranne avait pris une armure simple, fait de métal de très bonne facture, légère et qui lui allait incroyablement bien. Elle avait attaché ses cheveux avec une étrange tige de métal, ce qui lui allait, disons-le, à ravir, surtout celons Kaal. Les regards s’en intensifié, et Fanor dégrada un peu l’ambiance.

- Les nouvelles du front sont très mauvaise, dit-il en essuyant le regard mécontent de Kaal.
- Il est vrai que les dernières sont terribles, continua Daren, dix morts ai-je entendu !
- Dix morts ?, s’offusqua Ollana qui s’en était un peu étouffé en prenant une gorgé de Terentia.
- Et oui, reprit Daren en chuchotant, on dit même qu’un seigneur d’arme rouge les as tués, sans que perte ne se fasse chez les Crimériens.
- Peu importe, réprima Kaal, nous avons plus de chance de croisé Aaron qu’un seigneur d’arme ! Et encore moins, reprit-il en se moquant, un seigneur d’arme rouge ! Kaal dit vrai, un seigneur d’arme rouge, c’est un peu comme une biche blanche, personne n’en as jamais vu, et pourtant tout le monde connait son existence. Même si à la différence de la biche, il s’avère qu’un seigneur d’arme rouge, serait quelque peu hostile ! Se disait-il dans le monde.
- Et bien mes chers amis, commença Ollana en se levant, il va falloir que moi et Caranne soyons plus homme que vous semble-t-il ! Allons-y maintenant, dit-elle en prenant épée et vidant sa Terentia. Sur ces mots, ils se levèrent tous, et prirent chemin de la sortie, et à peine toucher la porte, qu’ils partaient sous les acclamations et les encouragements « bon courage ! » pouvaient-ils entendre, « vous êtes la fierté de Creusé ! ». Sous ces hola, ils se sentirent soulagé du poids de l’indifférence, et souriaient tous en quittant l’établissement. Une fois dehors, ils prenaient alors le soin de remettre correctement leurs habits, de vérifié leurs épées, pour ceux qui en avaient, et de se mettre enfin en route. Le soleil est assez haut dans le ciel pour qu’ils espèrent arriver pour le banquet du midi, mais il ne faut pas tarder, Nirra n’est pas du genre à retarder le repas pour des invités en retard et encore moins quand c’est son fils qui ose faire cet affront. Ils arrivent donc à la bordure extérieur du village, ayant passé les quelques fermiers accoudés à leurs fourches, et prenaient enfin le chemin du château, ce qui leurs prendraient tout au plus quatre heures de marche.
 

Au-delà des belles contrées du royaume d’Eneth, dans les tortueux tréfonds rocheux du Rou, et à l’intérieur de la cité des Worgga rouge tenue par le général Flonna ; une guilde du nom de « guilde de la dame noire », se réunit en secret, dans un grand édifice, en pleine ville rouge. Le temps y est au plus beau, la peuplade couvre alors les entrées et sorties de tous les bâtiments, ce qui arrange bien sûr les groupuscules qui viendraient à vouloir se réunir en secret. Les membres de cette guilde sortent de chez eux, comme s’ils vendaient du poulet, entre dans la foule, sans crier gare, ils continuent de marcher ainsi, et entre dans ce fameux bâtiment des Worgga rouge, inutilisé et que personne ne remarque si grand soit-il. Il y a beaucoup de chose d’ailleurs que personne ne remarque quand il s’agit de construction, et c’est normal. Un jour, la reine Hellena dispose de cinq cent pièce d’or, ce qui représente le revenu moyen d’une moyenne région ; elle demande alors à ses généraux de trouvé des architectes pour embellir les grandes villes de son royaume. Ceux-ci se réunissent dans le château royal, et soumettent des centaines de plans et croquis, la reine convaincus met en chantier les bâtiments en même temps, un peu partout. La gestion du projet est délégué aux généraux, qui délègue ensuite à leurs colonels ; et ces derniers n’ont vraiment pas le temps de jouer les soldats et de s’occuper de ce genre de choses, si futile à leurs yeux. Alors voilà, très vite, les chantiers ne sont l’affaire de personne et de tout le monde. Plus personne ne sait qui fait quoi et quand tout est fini, personne ne se rappel qui as ordonné sa construction, et ceux qui s‘en souviennent se disent que quelqu’un de supérieur dans la hiérarchie s’occupe de gérer le projet. Et c’est donc ce genre de bâtiment neuf qui sont complètement abandonné, et qui abrite des guildes en toute discrétion. Le Rou reste le berceau des guildes puisque c’est ici que la première guilde fût créée et que c’est ici qu’il y en reste le plus. La guilde de la dame noire, la guilde des Worgga rouge, la guilde Himmaniche, la guilde de Vespe et la guilde des Jiir ; sont les cinq plus puissantes guildes du monde, et le Rou compte les trois première dans son enceinte, tandis que la guilde de Vespe est établit dans le domaine des Dûnan, et que celle des Jiir est quant à elle, située, dans le Mankanor (royaume des trois rois). Il y a plusieurs types de guildes. Les fondateurs communautaires (religieux, ethnique, riche) qui veulent un jour créer un domaine indépendant (comme les Himmaniche, Toscen, Gargare) ; les missionnaires (assassinat, quêtes, juge) qui ont un but précis et n’existent que parce que ce but n’est pas atteints (comme la Dame Noire, Jiir, Doduvals) ; et les guildes commerciales (prêt, vente, achat) qui représente les plus grands fonds monétaires d’Eness, ceux qui font d’elles les investisseurs des temps de guerre (comme les Jiir, Vespe).
La guilde de la Dame noire à un but précis donc, mais particulièrement malsain, qui remonte à sa création, par le haut mage de Thèle. Son but est de trouvé la mort. Comprenons-nous bien, ils ne veulent pas mourir, ils veulent réellement traquer et trouvé la mort. On ne sait, ni eux d’ailleurs, comment cela a commencé, mais de fait, les membres ont connus de terrible tourment, et dans cette quête y espère trouver des réponses.
Mais la guilde de la Dame noire n’est surement pas une guilde de conspirateurs, ils ont même parfois de très bonnes influences sur le royaume et cela grâce au maitre de cette guilde, extrêmement influent dans tout le Rou. Mais le seigneur de cette guilde, Trayson, n’y préside pas, et les artisans de celle-ci sont particulièrement inquiets. Les temps sont troubles, les ennemis partout, il faut faire quelque chose de grand se disent-ils à longueur d’année. Ils décident de discuté alors, d’imaginé un complot pour en terminer avec la suprématie de la reine Hellena, reine du royaume, mais qui n’a, au sens des protagonistes, pas l’étoffe d’une vraie reine. En réalité, c’est bien autre chose qui les pousse à vouloir mettre fin à cette royauté, c’est la féminité de celle-ci.
En effet, jadis, au temps des grands ducs, là où toutes les frontière des royaumes étaient très mince ; le royaume actuel, divisé, fût uni par le duc du même nom. Il était si riche, qu’il acheta chaque parcelle de terrain de ce royaume aux autres ducs qui étaient avides de ce nouveau système de transaction appelé monnaie. Il était même un seigneur d’arme, ces fameux hommes capable d’utilisé leurs émotions pour faire de leurs désirs, une réalité ; et c’est en ces termes, que la guilde voit son suzerain, un homme et non une femme, doté de la notion de seigneur d’arme et accessoirement, riche. La seule véritable femme reine pour eux, c’est celle qui gouverne la guilde des Worgga rouge, Flonna. Là et le dilemme, si la reine Hellena venait à mourir, comment être sûr que l’ordre puissant du Magisterium, ne se rendrait pas maitre du royaume ? Alors ils renoncèrent à ce plan, et le plus proche du maitre de guilde, s’en alla voir ce dernier pour le tenir informé. Il sortit alors de la tour et se dirigea dans les hauts quartiers où réside le dit seigneur. Mais en arrivant près des grandes bâtisses, il vit que le seigneur était en pleine discussion avec un homme vêtu d’un grand manteau de cuir blanc, sans casque, sans lame, aux cheveux blonds long et aux yeux qu’ils discernaient, bleu clair. La voix du seigneur s’emportait, tandis que celle de l’inconnu blanc, était calme et douce.    L’espion entendit parler l’inconnu de détruire le Magisterium et d’exterminé la « vermine » impérial. Il en partit profondément choqué en entendant ces mots et prit cheval en direction du sud, pour fuir au plus vite la cité et transmettre en toute sécurité à Flonna ce qu’ils venaient d’entendre. Une fois sortie de la cité, il alla au galop, le plus vite possible, loin de ce qu’il venait d’entendre. Son cheval ne supporta pas le coup de cravache de trop, et se cambra pour laisser tomber son cavalier. En tombant, il vacilla très vite dans l’évanouissement et se voyait déjà mort, là, en aval du chemin. Le tapage de l’incident interpella un marchand qui revenait de cités voisines, sur son cheval, qui en conduisait trois autres, avec une carriole derrière lui. Il s’arrêta donc, et voyait le cheval fuir des quatre fer, où il comprit qu’un homme avait basculé. Le marchand était un vieillard radoteur, d’un mètre quatre-vingt environs, le dos vouté, les cheveux et la barbe longuement grise, il ne porté qu’un grand habit de tissu tenu à la taille par une corde, qui ne laissait discerné que des sandales de cuir. Le marchand regarda un peu partout, et descendit donc du chemin, à gauche, pour voir si l’homme n’était pas là. Il posa la main au-dessus de ses yeux pour cacher le soleil, et vit alors la personne qu’il cherché, là, sur les rochers aiguisés de la région. Il s’avança sur le chemin, et appela au loin un cavalier Worgga pour qu’il vienne l’aider.

- Vous, arrêtez-vous !, interpella-t-il le cavalier. Ce dernier s’arrêta, dépassé par ses congénères qui lui dirons de se dépêché.
- Que se passe-t-il marchand !, demanda le Worgga rouge, avez-vous été volé n’est-il pas ?
- Non jeune homme, reprenait-il de sa voix fatigué, il y a un homme en bas qui est tombé, gravement blessé, indiquant le marchand en montrant du doigt et se tenant le dos. Le cavalier regarda, et vit l’homme, inconscient, portant l’habit de la guilde de dame noire.
- Encore un de ses fous, je n’en ai cure de ce genre de choses, dit-il en se dirigeant vers son cheval qu’il s’apprêtait à monter, débrouillez-vous ! Le vieillard le regarda en souriant et leva les bras.
- Regardez-moi, j’ai quatre-vingt-deux ans, vous croyez vraiment que je puis aider ce jeune homme tout seul ?, rétorqua-t-il.
- Je, je, je n’en ai rien à faire, débrouillez-vous, bafouilla le soldat avant de remonté sur son cheval et d’indiqué à son bourrin d’avancer. Le marchand soupira et attendit que le cavalier fût partit et que le midi sonna, pour enfin aider l’homme qui semblé maintenant en phase critique de sa vie.
- Je n’ai pas fait ça depuis longtemps, mais je n’ai pas le choix ! marmonnait-il dans sa barbe en bougonnant.
Le vielle homme se dirigea vers le rescapé, et tendis la main en avant, vers ce dernier, agita la main comme si ses doigts se crispé, mais rien ne se passa. Il s’écria « ah oui, c’est vrai », et prit sa main gauche pour exécuter la même action. Le vent souffla d’un bruit sourd et pesait lourd, le temps s’assombrissait au-dessus de lui, les nuages formé un étrange ciel gris très foncé, chaque chose autour de la zone était comme aspiré vers le sol, et cette fois-ci, le corps bougea, et même, le corps ne toucha plus sol, à quelque centimètre de celui-ci, le marchand le guida avec sa main, vers le chemin, et le posa dessus. Il regarda un peu partout, pour que nul ne l’est vu, et de force incroyable pour un vieillard, il le mit sur son épaule en répétant « je suis trop vieux pour ça », et le mit dans sa carriole. Il reprit ensuite le chemin de son cheval de conduite, en se frottant le bras droit qui avait, jusqu’à l’avant-bras, noircis. Il prit soin de prendre un bandage dans l’avant de la carriole pour cacher cette « maladie » un peu trop visible. Il n’ira finalement pas à la cité, et reprit la route dans le sens inverse avec grande difficulté d’ailleurs, mais les routes sont larges dans le Rou, c’était indispensable pour de grands flots de transactions. Le marchand repartit chez lui, le seul endroit assez proche où le pauvre homme pourrait se reposé après une telle chute sans se voir mit dehors.

Pendant ce temps-là, l’inconnu et le maitre de guilde Trayson, était encore en pleine discussion. Mais l’inconnu s’arrêta alors de parler quand il sentit une étrangeté au sud de la cité. Ce qu’il avait senti, c’était le marchand et ses drôles d’aptitudes. Il l’avait perçu, comme on perçoit qu’un café trop chaud va tomber sur nos genoux. Le maitre de guilde voyait donc tout un coup, son hôte se taire et hoché la tête comme un animal qui souffre du cou. L’inconnu avait aussi, de cette sensation, les yeux qui était passé au rouge vif, puis, quand le moment fût passé, reprit ses yeux vert avant qu’ils ne redeviennent bleus.

- Qu’avez-vous mon cher ?, demanda Trayson, troublé et craintif.
- Ce n’est rien, je viens de retrouver un vieil ami, expliqua-t-il en souriant grandement.
- Un vieil ami ?, reprit Trayson, de qui s’agit-il ?
- Il ne posera pas de problème, continué comme c’est prévu, finira l’inconnu.

Quelque chose se tramait ici, quelque chose d’important, il semblerait que ce soit un complot. Une chose est sûr, il ne fait pas bon s’engagé dans l’armée quand un complot se murmure, et même à une centaine de kilomètres de la cité rouge, la guerre de Crimée risque d’être corrompus par une quelconque manœuvre d’une guilde aussi puissante.
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MessageSujet: Re: Timor: Les Quinze Royaumes   Timor: Les Quinze Royaumes Icon_minitimeLun 16 Déc 2013 - 10:09

Et hop, un petite critique pour se réveiller de bon matin.

Première remarque : peu de personnes liront un texte aussi long sur un forum, tu devrais le découper en de plus petits morceaux et les présenter au fur et à mesure. Deux à trois pages word sont un maximun.

Deuxième remarque : il serait bien de présenter un peu ton texte avant de nous lancer un pavé, pis encore de mettre des liens vers des sites inconnues. C'est un principe de base, quand on présente quelques choses à des personnes qui ne la connaisse pas, on présente un peu le schmilblick. C'est tout de suite plus vendeur.

Ensuite, je vais d'abord critiquer point par point ce qui me dérange (et j'en ai des choses à dire) puis je vais m'attaquer ensuite à l'ensemble. Je ne m'attarderais pas sur l'orthographe, je ne suis pas assez bon là dessus.

Citation :
« L’immensité d’un empire ne tiens pas de la pierre qui forme son mur, ni de son armée s’attrayant de chacune de ses guerres, et ni d’ailleurs des kilomètres qu’il représente sur l’échelle du monde. Non, les plus grandes choses comme l’empire d’Eness –empire ayant unifié tous les peuples du monde d’Eness, érigé par Phan le terrible, et se divisa après la disparition du second Empereur, Cerseï le juste– sont nées d’une idée, d’un murmure audacieux au destin, d’un asservissement oral d’un seul être capable d’exposé avec brio son opinion. »

Si je comprends bien tes attentions, tu écris ce passage en le mettant en forme un peu comme un livre d'histoire ou plutôt comme une leçon de morale un peu populaire. Dans ce cas, toute l’aparté concernant la fondation de l'empire d'Eness est inutile et surtout ennuyeuse. Ce genre de passage est censé accrocher le lecteur et là, tu m'as déjà sortis du texte sans me donner envie de lire la suite. C'est bien trop tôt pour placer des explications, des points de détails.

Citation :
Depuis la chute de l’empire du roi Phan, le monde avait vécu mainte bataille. Les contrés de l’ancien empire en étaient divisés aujourd’hui en plusieurs royaumes qui eux même unissaient plusieurs régions, qui enfin à leurs tour unissaient plusieurs villages, villes et cités. En l’an 1206, ils entrèrent dans une grande période de paix, laissant ainsi aux barbares du sous-centre, les honneurs de se querellé en se faisait oublié des hommes civilisé et de leurs textes sacrés. Considéré comme vérité absolue et d’origine du monde pour l’ordre du Magisterium –ordre politique (représente une souveraineté sur les partisan de la foi), religieux (prône les textes sacrés) et économique (régis la puissance de l’or blanc) qui règne sur l’allégeance des quinze– de texte mal interprété pour les croyants, et de légende pour les athées ; les textes dit « sacrés » sont aujourd’hui devenus les symboles d’une souveraineté, une idéologie, plus qu’une religion. Le conseil du Magisterium en gardera pourtant, avec grande noblesse, cette paix mondiale en promulguant sur ses bases ; des lois, des traités, et agitera les armes si le conseil l’a unanimement décidé.
  Mais certaines régions oubliées, sont aussi resté indépendante de la volonté de celui-ci. Ce qui ne manqua pas de faire la crainte, depuis toujours, du conseil du Magisterium, et menace aujourd’hui la fragile alliance des plus puissants royaumes des hommes. La dichotomie du mal et du bien qui avait autrefois foulé le monde, pour se livré une ultime bataille ; s’était occulter volontairement de la vie des mortels, les laissant pullulé à leur guise, et se battre pour leurs suprématie…
Jusqu’à ce fameux jour, ou la naissance d’un bâtard aller changer l’ordre des choses. Bien qu’inoffensif, les légendes qu’il portera sur lui, suffirons à créer conflits et soulèvement…

Hop, même problème, on a pas encore mis les pieds dans un bout de narration et on a déjà plein d'information inutile, exposer comme le serait ton monde dans un livre de jeu de rôle. Bref, ça donne pas envie.

Citation :
Quelque part, dans le monde d’Eness, il y a longtemps…

Grosse erreur de mettre cette phrase, tout simple car cela perd le lecteur. Il y a bien longtemps mais par rapport à quoi ? Notre époque, celle que tu décris péniblement avant ? Si c'est la dernière solution alors pourquoi passer vingt lignes à nous décrire une situation que nous ne connaîtrons pas avant longtemps ? Et si c'est la première, ce genre d'effet de style ne marche que dans des cas très particuliers et jamais utilisé de cette façon.

Citation :
Un homme entra dans une taverne où il eût ouï une voix éreintante, qui dans l’éclat, l’attirait comme les chuchotements secrets des limbes de l’avarice…  Un grand homme bedonnant y vociféré alors.

Personnellement, je trouves ce genre de tournure de phrase bien trop lourde, surtout vu ce que j'ai lu par la suite. Sans parler que là, tes points de suspensions ne servent strictement à rien.

Citation :
Assis là, en amont, sur une haute chaise ; devant un parterre d’ivrognes tout en se bâfrant d’un énorme poulet.

Cela se rapport à qui ? Le personne narrateur qu'on découvre après ?

Citation :
Alors, estomaqué devant ce spectacle des plus dégradant, l’homme s’apprêtant à repartir vers la sortie, ouï de terrible parole venant de l’individu susnommé, qu’il figea de son regard.
Sans même parler de la répétition du terme ouï, je suis totalement perdu. Qu'est ce qui est un spectacle dégradant, les ivrognes, la personne qui mange le poulet à moins que ce ne soit la bedaine du gros monsieur ?

Citation :
« …c’est ainsi que le monde fût divisé en quinze royaumes, tous connaissons cette histoire, bla bla bla, si les mots suffisent à découvrir une voie, il faut aussi un guide qui l’éclaira, on appelle cela en langage commun, un héros.

Les quillemets ne sont pas fermés et par pitié retire moi tout de suite les bla bla bla... Tout le début de la narration semble vouloir être écrit dans un style soutenu et là pouf, le niveau de langage de la narration chute.
Citation :

Il est sûr qu’on me pousse au cul quand je suis sur le champ de bataille !

Hop on passe à une narration avec un personnage narrateur en point de vu. Autant te dire que cela m'a choqué car rien ne l'annonçait et que tout le début de la narration est écrit d'un point de vue externe à la troisième personne.

D'ailleurs toutes cette partie ne sert à rien, c'est encore de l'explication d'univers donné brutalement et avec extrêmement de maladresse. Qui, et c'est une erreur monumentale, vouloir expliquer tout on univers au début autant nous balancer une atlas et une encyclopédie, plutôt que de chercher à utiliser des artifices en plus mal employé. Sans parler du niveau d'écriture qui chute en flèche.

Citation :
Il était l’heure à laquelle les jeunes hommes normaux, ici, à l’ouest de la région de l’Ars, s’endorment. Mais le village de Creusé, compte parmi sa jeunesse, un certain Kaal.

Hop, retour à la narration à la troisième personne, comme ça ? Même s'il est tout à fait possible d'utiliser les deux types de narrations dans un même récit, il faut que cela ai un sens. Je remarque aussi qu'après 50 lignes ont pas peut-être enfin droit à autre chose que de l'exposition.

Citation :
De fouge, il courait depuis si longtemps dans les vastes champs en jachère du voisinage, que son corps était devenu une arme de rapidité et de reflexes. Ce fameux voisinage, était essentiellement composé de paysan, de tavernier ou encore de maître forgeron ; mais aucun n’était soldat, gradé ou non. Malgré cela, et un père qu’il ne connût pas, Kaal voulait devenir lui, ce que les autres n’étaient pas, un homme soldat.
Depuis son adolescence donc, quand ses amis l’accompagnaient dans la rêverie du ciel (sur le toit de la Taverne du pauvre Hasamel, quand elle était fermé), et qu’ils s’exprimés sur leur volonté futur, tous répondaient avant que Kaal n’eût le temps de le faire, « toi tu veux être soldat ». Oui mais pas que. Longtemps avant cette volonté de prendre les armes, lui et ses amis voulaient s’unir pour affronter le monde, et l’unir sous la bannière de la paix. Dans cette volonté donc, résidé l’espoir de voir ; Fanor fils de Hilt, Caranne fille de Makraor, Ollana fille de Katier et de Daren fils du général de l’Ars, venir avec lui dans la division d’armée de l’Ouest. Bien sûr ils rêvaient tous d’autre chose maintenant, mais comme le disait Nirra, le père de Daren, « on ne devient pas soldat, on né soldat ».
Le temps passa, et Kaal devenus majeur et il compte bien réaliser son rêve, se préparant depuis longtemps à entrer dans l’armée du Royaume d’Eneth, si étant inscrit, quelques mois plus tôt. Cela n’a jamais enchanté sa mère, qui le préférait dans un champ, à ne courir aucun risque ; mais tout homme voit un jour par-delà la vision matriarcale. Et la guerre reste une chose exceptionnelle en ces temps interminables de paix, ce n’est que d’exception que meurt des hommes d’exception, dira-t-elle, mais avec l’avènement des lois et droits des femmes imposé par la reine Hellena, ce ne sont plus des hommes d’exception mais bien des familles entière qui vont à la guerre.

Et ben non encore de l'exposition ! Pourquoi ne pas commencer directement par montrer Kaal adulte, si c'est à ce moment que l'histoire débute ? Le lecteur à pas besoin de savoir tout ça et à mon avis beaucoup auront déjà décroché car là cela n'en finis plus.
Citation :

Il fait nuit et chaud, nous sommes le 18 août 1326 dans le village de Creusé  

Mettre maintenant une date précise, ne fait que démolir complètement l'effet que tu voulais donner avec ton il y a longtemps plus haut. De plus, j'aurais commencé par donner la date pour ensuite commencer à décrire ce qui ce passe. Là tu as un bout de description, une information qui te tombe dessus, puis on recommence la description.

Citation :
et Kaal marche maintenant en direction de la taverne, éclairé par les torches du village qui jonchent tel des trophées, les portes d’une maison sur trois. Les ruelles de Creusé, était donc aussi bien éclairé qu’elles le pouvaient. Les maisons, de petite ou de grande fortune, connaissaient toutes l’étendus de la sagesse de gens qui s’aident, et même le Kaal, si jeune soit-il, tenait compte de l’ordre loyale, consensus de bas peuplade qui voulait briller parmi les hautes étoiles.

Aucun ressentit et surtout une description qui manque d’intérêt en te donnant des informations inutiles. C'est lourd et en plus tu relève ton niveau de narration, ce qui fait encore plus ressentir tout ton manque de maîtrise sur le passage en « Je »

Citation :
Il sortit donc, alors, de la grande rue qui traversé le Creusé du nord, en direction du château majeur, jusqu’au sud en direction du bois des trois rois (frontière de l’Ars et de l’Herk).

Ba je croyais qu'il était déjà dehors et en direction de la taverne ? Autre détail, les parenthèses, tu devrais t'en passer. Encore une fois, cela sort le lecteur de la narration où il a déjà du peiner à entrer.

Citation :
Il entra alors dans une plus petite ruelle qui s’avérait, elle, beaucoup plus sombre et tortueuse, comme un corridor étroit dans une allé de grands murs uniforme, rappelant à Kaal, le chemin par-delà les rocheuses –qui fait frontière avec le royaume des trois– dont-on lui avait conté la bataille du même nom (voir les contes de Timor). On pouvait discerner deux types de maison. L’un était de pierre rouge avec le toit de paille, atypique des Terninis (voir les contes de Timor), l’autre de pierre grise et de toit en minerais d’ardoise, maisons typique de l’ouest d’Eness. La maison de Kaal était, elle, comme ceux de l’ouest entier, magnifiquement entretenue par sa chère mère dévouée. Mais Kaal ne se dirigé pas chez lui ; à cet instant, il s’en était partit vers la taverne d’Hasamel, confiant, sourire aux lèvres en voyant déjà la fumé s’échappé du dessus du toit du pauvre teneur. Le bâtiment était haut mais il disposé d’un toit régulier et assez plat, erreur monumentale de construction il faut le dire. Notre Creuséen aura fait le tour par le chemin du derrière des commerçant –allée réserver aux livreurs des denrées de ceux-ci– pour y grimpé. Pas d’éclairage, mais seulement une échelle avec à son pied, une lanterne de feu, disposé ainsi, pour lui. En haut, se tenait Fanor et Daren, fumant de drôle d’herbe avec la pipe acheter plutôt dans la journée, ainsi que les deux autres, Caranne et Ollana, qui se contentés de rêvassés encore et encore vers le ciel en croisant les bras.
Fanor, voyant Kaal enfin monté, lui engagea la conversation.

Rohhh pitié, entre le cliché de la ruelle sombre, les souvenirs qui n'ont rien à voir plus encore et toujours des explications, cela devient bien trop long.

Citation :
- Alors Ka, tu en as mis du temps pour grimpé, tu es sur que tu es prêt pour tuer des barbares !?, lui dit-il en prenant (un) air de Duc en attrapant la pipe de la bouche de Daren qui crié abusivement au vol.

Le tiret n'est pas le bon (il faut utiliser le tiret cadratin soit alt +0151) , et il va falloir choisir ta ponctuation final, trois c'est bien trop. Surtout que là le point d'exclamation ne sert à rien et la virgule est inutile. A vérifier, mais je ne crois pas qu les titres de noblesses surtout utilise comme ça prennent des majuscules. De plus, une grosse faute dans le conjugaison de ton verbe Grimper.

Citation :
Caranne se retourna d’œil d’amour vers Kaal, et reprit,

Deux points pour finir la phrase et il doit manquer des mots.

Citation :
- Mais Ka n’est pas un tueur, il veut juste pouvoir se rendre utile !, réprima-t-elle en le voyant s’assoir à côté d’eux

Toujours un problème de ponctuation et d'ailleurs je ne trouves pas ça judicieux d'utiliser un diminutif pour un prénom aussi court que Kaah, un surnom encore pourquoi pas...

Citation :
- Et bien, les nuits sont douces, nous sommes tous là, sur ce toit, voilà notre richesse, finira-t-il clôturant le débat pour les ramenés vers leur moment de détente.

Hum, pourquoi le verbe de l'incise semble tout d'un coup être au future ?

Bon j’arrête là, ton extrait est bien trop long et truffé de trop d'erreurs pour me donner envie de lire la suite d'un bloc. J'essayerais de m'y pencher plus tard, mais je n'ai malheureusement pas le temps de me pencher dessus.

Pour moi, tu as le problème classique de beaucoup d'auteur débutant en fantasy, tu cherches beaucoup trop à expliquer les choses à nous exposer ton monde et la narration en pâtit. Comment peut-on trouver de l’intérêt à un tel exposé, alors qu'on ne connait même pas encore les personnages. Si j'avais écris ce texte j'aurais sans doute commencé ici :
Citation :
Il fait nuit et chaud, nous sommes le 18 août 1326 dans le village de Creusé,
C'est vraiment à ce moment que ton récit démarre, tout ce qui est avant n'est que de l'explication qui à ce stade du récit ne sert à rien, hormis lasser le lecteur.

De plus, je penses que tu cherches avant tout à faire de belle phrase, au dépriment de leurs efficacités et le but est qu'une phrase, un dialogue, une description soit les deux à la fois.
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MessageSujet: Re: Timor: Les Quinze Royaumes   Timor: Les Quinze Royaumes Icon_minitimeMar 17 Déc 2013 - 0:45

Alors, en premier lieu, Bonsoir ! Very Happy
Alors petite précision pour tout le texte. Il est sortit d'un roman complet, et le fait qu'il y est beaucoup d'information à assimilé n'est à mon sens, loin d'être une mauvaise chose. C'est une lecture lourde, je vous l'accorde, mais j'ai 12 chapitre derrière, je suis obligé d'expliquer les bases d'un monde complètement créer. Si j'enlève ou modifie ce que vous me dites, ça revient à rendre la lecture légère, sans fond... Alors d'accord, là, sur le forum, sans le préface et tout et tout, ça fait un bloc de phrase, mais très sincèrement, si je fais ce que vous me dites, j'enlève toute âme à mon texte, tout fond, toute réalité conditionnel. Je ne veux pas écrire un roman, je veux raconté monde et à travers, une histoire, donné un max d'information rapidement pour pouvoir librement écrire après.
Moi personnellement je l'ai fait lire à des dizaines de personnes, et à deux éditeur, alors ils avaient la suite et la préface, mais hormis les fautes, ont ne m'as jamais avancé de tel critique. Je conçois que je ne suis pas parfait, mais j'ai l'impression que vous me dites d'enlever tout fond d'histoire, de ne laisser que l'histoire en elle même, et j'avoue que je ne vois pas l’intérêt de créer un monde, et de se contenter de faire du Harry Potter !

Cela dit, j'ai lu avec attention votre critique, et j'aimerais savoir, pourquoi, à votre sens, je dois enlever tout fond. Supprimé le paradigme d'une civilisation pour le réduire à une simple histoire Pour moi cela reviendrais à détruire tout ce qui faisait que ce monde existait en un sens.

Mais ça change, une critique argumenté, je ne demande que la suite ! Et merci Smile
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MessageSujet: Re: Timor: Les Quinze Royaumes   Timor: Les Quinze Royaumes Icon_minitimeMar 17 Déc 2013 - 7:58

Salut !
Il y a des façons plus subtiles et moins lourdes de présenter un monde entièrement créé : à travers les yeux d'un personnages, en distillant les infos au compte gouttes au fur et à mesure,... Je suis d'accord avec Louen, ça saoule d'ouvrir un bouquin et dès la première page d'être envahi d'infos et de devoir tout relire quinze fois avant d'assimiler.
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MessageSujet: Re: Timor: Les Quinze Royaumes   Timor: Les Quinze Royaumes Icon_minitimeMar 17 Déc 2013 - 9:08

Citation :
Si j'enlève ou modifie ce que vous me dites, ça revient à rendre la lecture légère, sans fond...

Je penses que tu confonds, le fond et le décors. Mais comme Morange le dit, il y a des façons de présenter. Là tu nous envois un bloc complète d'information, en plus mal écrite, dont le lecteur moyen n'en aura rien à faire à ce moment du récit.
Citation :

Alors d'accord, là, sur le forum, sans le préface et tout et tout, ça fait un bloc de phrase, mais très sincèrement, si je fais ce que vous me dites, j'enlève toute âme à mon texte, tout fond, toute réalité conditionnel.

Si en plus y'a une préface, un prologue, peut être même un prélude, bref tout le bordel qui sert le plus souvent strictement à rien, je peux te dire que je n'aurais même pas atteint le premier chapitre.  Et désolé, mais si toute l'âme de ton récit tient sur des descriptions bancale, d'un univers qui ne semblent pour le moment n'avoir rien d'original, c'est plutôt mal partit.

Citation :
Je ne veux pas écrire un roman, je veux raconté monde et à travers, une histoire, donné un max d'information rapidement pour pouvoir librement écrire après.

Sauf que le but n'est pas que toi tu ais de la facilité à écrire, mais que le lecteur ait de la facilité à te lire (et c'est bien différent), comprennent et soit absorbé par l'histoire et ton univers. Ce qui pour moi là n'est pas le cas. Prenons deux exemples pour étayer mon propos :

1/ La Saga d'Honor Harrington de David Weber (alors oui c'est de la S.F, mais pour ce qui nous intéresse ce n'est pas dérangeant). Nous avons donc un univers et une histoire qui pour le moment s'étend sur 22 romans ou recueil de nouvelle. Un univers d'ailleurs assez complexe pour nécessiter le besoin de "guide technique" si on veut en comprendre toute les subtilités et c'est lourd. Pourtant et surtout pas au début, l'auteur évite toujours de nous balancer de long pavé au visage qui va expliqué de quoi il en retourne. Tout le temps, les informations nous sont donnés au fur et à mesure de la lecture, pour nous montrer l'univers en douceur et peu à peu nous accrocher autant aux intrigues politiques qu'à la grosse bataille final (qui est d'ailleurs pour moi toujours un bon gros moment de jouissance, comme un hentai, mais avec des vaisseaux spatiaux à la place des tentacules ^^)

2/ Le seigneur des anneaux de J.R.R Tolkien. Dans celui-ci il y a une longue phase d'exposition, mais deux gros mais. Premièrement, elle ne concerne qu'une toute petite partie du monde de la terre du milieu : les hobbits (ce qui ne m'as pas empêcher d'aller directement voir les nazguls) et c'est aussi justifié par l'histoire ! Frodo, qui n'a jamais connue que la chaleur et la tendresse d'un bon foyer, se retrouve tout à coup plongé dans l'horreur de la guerre et de l’Ennemi.

Dans les deux cas, ce sont des univers relativement bien construit et lourd à digérer (même si Tolkien, c'est surtout ce qui entoure le roman qui est lourd). Pourtant la lecture n'en devient pas pour autant une corvée.

Citation :
Moi personnellement je l'ai fait lire à des dizaines de personnes, et à deux éditeur, alors ils avaient la suite et la préface, mais hormis les fautes, ont ne m'as jamais avancé de tel critique.

Les éditeurs ne sont pas vraiment là pour te faire une critique et visiblement, vu que tu cherches à te faire financer pour l'écriture du récit, n'ont pas non plus été si emballé que ça. Quand aux critiques de dizaines de personnes, même si je ne les remets pas en cause loin de là, il faut aussi voir qui les a faite, sont-ce des amis ? Des inconnues dans la rue ? Ont-elles même simplement lu ce que tu avais écrit (triste, mais on m'a déjà fait le coup) ? Et surtout leurs à tu poser les bonnes questions, afin d'avoir vraiment une critique constructive ?

Citation :
Je conçois que je ne suis pas parfait, mais j'ai l'impression que vous me dites d'enlever tout fond d'histoire, de ne laisser que l'histoire en elle même, et j'avoue que je ne vois pas l’intérêt de créer un monde, et de se contenter de faire du Harry Potter !

Très mauvais exemple à mon sens, car pour ce qui est du problème qu'on soulève dans ton texte, Harry Potter est un parfait exemple d'exposition et de découverte du monde (Même si évidemment le coup de l'orphelin est un peu une solution de facilité, mais pas mauvaise en soit.) Je ne dis pas d'enlever le fond, surtout que visiblement nous parlons plus du décors, mais de rendre sa découverte attrayante pour le lecteur.

Citation :
Cela dit, j'ai lu avec attention votre critique, et j'aimerais savoir, pourquoi, à votre sens, je dois enlever tout fond. Supprimé le paradigme d'une civilisation pour le réduire à une simple histoire Pour moi cela reviendrais à détruire tout ce qui faisait que ce monde existait en un sens.

Encore une fois, je n'ai jamais parlé d'enlever tout le fond (décors). Tu as crée ton univers et tu dois le garder. Maintenant, il faut aussi voir que tu n'écris pas une encyclopédie. Ton but est de faire découvrir ton univers au travers de l'histoire et par le prisme des points de vues des personnages qui vont le parcourir. Là tu ne fais que montrer, et sans délicatesse, la situation et ton univers, mal en plus vu que c'est totalement flou et qu'on est très vite perdu dans la temporalité que tu essai, à mon sens vainement, de mettre en place.

Visiblement, tu cherches à écrire un récit qui est avant tous accès sur le Milieu, comme le seigneur des anneaux, et ce n'est pas un mal. Malheureusement, il faut aussi savoir attirer et captiver le lecteur, ce qui n'est pas le cas ici.

D'ailleurs, quelle est l'histoire ? au sens large du terme et tu peux répondre sans ambages.
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MessageSujet: Re: Timor: Les Quinze Royaumes   Timor: Les Quinze Royaumes Icon_minitimeMar 17 Déc 2013 - 12:09

Bon, remarque en préambule de l’animatrice des galeries : poste des extraits moins longs, s’il te plait, c’est plus simple à lire. Et soigne un peu plus ton orthographe !


Maintenant, mon avis de lectrice. Je vais rejoindre ce qui a été dit par Louen et Morange (j’avoue d’ailleurs avoir décroché à peu près à mi parcours).

Ton texte est beaucoup trop décousu. Tu balances tellement d’informations qu’au final, je n’ai strictement rien retenu de l’univers que tu veux dépeindre. Ton histoire semble vraiment démarrer lorsque que Kaal va rejoindre ses compagnons. Je te conseillerai de commencer par là : l’histoire d’un homme, ce qu’il va faire, ce qu’il veut, et à partir de là, tu pourras présenter ton monde par petites touches sans que le lecteur ait l’impression que tu cherches à lui faire avaler une encyclopédie.

Autre remarque : il faut vraiment que tu fasses attention à ton orthographe et à ta grammaire. Relis-toi à voix haute et tu constateras que certaines de tes phrases ne font pas sens (surtout au niveau de la concordance des temps). Je comprends que c’est compliqué, que l’orthographe est une bête vicieuse, mais mets-y un peu du tiens, tes relecteurs ne peuvent pas tout corriger.

J'espère que tu ne prendras pas mal ces remarques, il s'agit de mon avis de lectrice. Je t'encourage sincèrement à réfléchir aux commentaires qui ont été faits et surtout à ne pas hésiter à réécrire, et reposter ton texte (c'est comme ça qu'on apprend).

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