Mon premier texte

Bon voilà, j'ai commencé d'écrire un petit texte en essayant de suivre vos conseils, ce qui n'a pas été facile. :o
Bien sur, je n'ai pas très bien réussi car c'est la première fois que je me mets à écrire...



C’était un matin comme les autres. Il était six heure trente et je me levai pour aller chercher le journal qui m’attendait devant la porte de mon petit appartement de la troisième rue.

Cela faisait environ dix ans que je travaillais pour le Sunset time, j’étais à la tête de la rubrique fais-divers... Je savais que ce matin, en le lisant, mon article serait en première page. Bien évidemment ce n’était pas la première fois mais cette article n’était pas comme les précédents, il parlait d’un attentat, celui de la bibliothèque publique...

Je lus mon journal en quelques minutes tout en buvant mon cacao chaud, m’habillai et parti prendre le métro pour me rendre à mon travail. Le trajet se passa comme d’habitude, toujours les mêmes personnes assises à la même place, le grincement des roues sur les rails... mais lorsque j’entrai dans le hall de l’immeuble ou se trouvait les bureaux du journal, j’entendis un coup de feu. Il résonna pendant plusieurs secondes. Toutes les personnes prirent peur et se mirent à l’abri sous leur bureau mais moi j’étais pétrifié, mes membres se figèrent et je ne pouvais plus bouger. C’est alors que je vis l’homme avec l’arme, il était vêtu de noir et portait une cagoule qui cachait son visage, on pouvait juste apercevoir ses yeux d’un bleu étincelant.

J’avais l’impression qu’il me regardait. Plus personne ne bougeait, j’étais la seule encore debout. Soudain je me dis que mon heure avait sonnée et que je ne sortirais probablement plus de cet immeuble vivante.

Tout à coup, je le vis diriger l’arme droit sur moi. Son bras tremblait, ce devait surement être la première fois qu’il tenait un revolver. Il appuya sur la gâchette. A partir de ce moment, tout semblait aller au ralenti, je vis la balle tournoyée sur elle-même pour enfin arrivée et s’enfoncer dans mon épaule droite. Le choc fut impressionnant, je reculai de quelques pas. Toutes les personnes autour de moi me regardaient mais aucune n’osa bouger. La douleur devenait de plus en plus aigue, ma plaie me brulait. Je touchai ma blessure et ma main était en sang.
Ma vision devint trouble, tout bougeait autour de moi. Je tombai à la renverse et m’évanoui.

Je me réveillai en sursaut, trempée de sueur. C’est alors que je réalisai que ce n’était qu’un mauvais rêve. Je me levai de mon lit perturbée. Ce cauchemar avait semblé tellement réel... Mais lorsque je regardai mon épaule, je vis une cicatrice, je paniquai. Que c’était-il passé ? Je savais que cette cicatrice, je ne l’avais pas hier...


Merci de bien vouloir me le corriger mais ne soyez pas trop sévère tout de même.

Quelqu'un m'a dit que je devrais essayer de plus décrire les scènes mais je n'ai pas réussi alors ce serait sympatique de méclairer sur ce sujet...

Merci et bonne soirée

C'est bien que tu ais essayé.

Il y a pas mal de petites erreurs (orthographe et conjugaison mis à part), et ça se voit que tu débutes.

Pourtant, tu as une bonne plume, et c'est déjà assez agéable à lire.

Là, je l'avoue, je ne sui vraiment pas motivé (non mais pas du tout même...) pour le corriger.

Si personne ne le fait profondément d'ici à demain soir, je le ferai volontier...mais là...

Salutations

Pour un début, c'est bien, même très bien.

Je n'ai pas non plus de reproches à faire, à part une chose. Un tout petit truc de rien du tout.

Citation :

j’étais à la tête de la rubrique fais-divers [...] il parlait d’un attentat, celui de la bibliothèque publique...

Le fait que ce soit un attentat passerait-il pour un fait divers ? Je trouve ça assez bizarre... à moins d'être dans un monde où il y a des attentats à tout les coins de rue, mais dans ce cas là, pourquoi la première page ?

Voila pour mon petit commentaire de chieur. Sinon, c'est vraiment bien. On se demande bien pourquoi la personne a la cicatrice. Pour ce qui est des descriptions, j'ai pu bien me visualiser la scène.

Merci pour ton commentaire...

J'ai arrêté mon texte a ce moment

Citation :

Mais lorsque je regardai mon épaule, je vis une cicatrice, je paniquai. Que c’était-il passé ? Je savais que cette cicatrice, je ne l’avais pas hier...

parce que je ne sais pas comment continuer

Et merci pour la petite remarque, tu as raison, je vais changer

Bonne soirée

Citation :

[...] à moins d'être dans un monde [...]

Je tiens à préciser que mon texte se passe dans notre monde et non dans un monde imaginaire...

Kahly a écrit:

C’était un matin comme (tous) les autres. Il était six heures trente et je me levai pour aller chercher le journal qui m’attendait devant la porte de mon petit appartement de la troisième rue.

Cela faisait (environ) dix ans que je travaillais pour le Sunset time, j’étais à la tête de la rubrique faits-divers... Je savais que ce matin, en le lisant, mon article serait en première page. Bien évidemment, ce n’était pas la première fois, mais cette article-là n’était pas comme les précédents ; il parlait d’un attentat, celui de la bibliothèque publique...

Je lus mon journal en quelques minutes, tout en buvant mon cacao chaud, m’habillai et (je mettrais puis) parti prendre le métro pour (afin de...) me rendre à mon travail. Le trajet se passa comme d’habitude, toujours les mêmes personnes assises à la (aux mêmes places, plutôt) mêmes places, le grincement des roues sur les rails... mais lorsque j’entrai dans le hall de l’immeuble ou (où) se trouvait les bureaux du journal, j’entendis un coup de feu. Il résonna pendant plusieurs secondes. Toutes les personnes prirent peur et se mirent à l’abri sous leur bureau, mais moi j’étais pétrifié (pétrifiée, non ? Le personnage n'est pas une femme ?), mes membres se figèrent et je ne pouvais plus bouger. C’est alors que je vis l’homme avec l’arme ; il était vêtu de noir et portait une cagoule qui cachait son visage, on pouvait ( laissant juste apercevoir...) juste apercevoir ses yeux d’un bleu étincelant.

J’avais l’impression qu’il me regardait. Plus personne ne bougeait, j’étais la seule encore debout. Soudain je me dis que mon heure avait sonnée et que je ne sortirais probablement plus de cet immeuble vivante. (pourquoi mettre ce passage en italique ?)

Tout à coup, je le vis diriger l’arme (droit) sur moi. Son bras tremblait, ce devait su(û)rement être la première fois qu’il tenait un revolver. Il appuya sur la gâchette. A partir de ce moment, tout semblait (tout sembla) aller (se passer) au ralenti, je vis la balle tournoyée (tournoyer) sur elle-même pour enfin arrivée (arriver) et s’enfoncer dans mon épaule droite. Le choc fut impressionnant, je reculai de quelques pas. Toutes les personnes autour de moi me regardaient mais aucune n’osa bouger. La douleur devenait de plus en plus aiguë, ma plaie me brulait. Je touchai ma blessure et ma main était en sang.
Ma vision devint trouble, tout bougeait autour de moi. Je tombai à la renverse et m’évanoui.

Je me réveillai en sursaut, trempée de sueur. C’est alors que je réalisai que ce n’était qu’un mauvais rêve. Je me levai de mon lit, perturbée. Ce cauchemar avait semblé tellement réel... Mais lorsque je regardai mon épaule, je (j'y vis) vis une cicatrice, (et) je paniquai. Que c(s)’était-il passé ? Je savais que cette cicatrice, je ne l’avais pas hier...

Petite correction superficielle

Le texte, il est vrai, en vraiment pas mal.

Bravo pour un premier jet

Citation :

Soudain je me dis que mon heure avait sonnée et que je ne sortirais probablement plus de cet immeuble vivante. (pourquoi mettre ce passage en italique ?)

Parce que c'est une pensée...

Merci pour les corrections c'est sympatique

Je trouve sa sympa mais j'ai l'impression d'y avoire déja lu mais je me souvien plus du titre du bouquin.
C'est l'histoire d'un journaliste qui est sur une affaire d'incendits et qui se rend compte que c'est lui qui a mis le feu au batiment ou quelque chose dans ce gout la...

A bon...

Mais moi je n'essaie pas du tout de recopier une histoire déjà écrite...je suis juste mon "instinct"...

Je crois surtout que toutes les histoires de ce genre ce ressemblent... et je ne comptais pas terminer mon histoire comme dans le livre où tu ne te souviens plus le titre...

Je l'ai lu il y a 5 ou 6 ans....
Je ne doute pas que tu n'ai voulu copier personne (elle veut dire quelque chose cette phrase ???)

Je ne sais pas si elle veut dire quelque chose, mais je vois ce que tu veuc dire

J'ai repéré d'autres fautes ... désolée !

Mais je repasserai quand j'aurai le temps !!!

Citation :

Quelqu'un m'a dit que je devrais essayer de "plus" (mieux) décrire les scènes mais je n'ai pas réussi alors ce serait sympatique de méclairer sur ce sujet...

Personnellement, j'ai moi aussi du mal à décrire les lieux, les personnages car quand je les lis, ça m'ennuie. C'est néanmoins une clé essentielle pour écrire, le lecteur est friant de détails.

Je vais tenter de répondre à ta question malgré ça. Sache simplement, que je ne suis pas le meilleur placé pour te répondre.

Ce que je te propose c'est de t'imaginer le réalisateur d'un film. Ton but : tu dois suivre ton héroïne avec ta caméra. Evidemment tu ne décris pas tout, tu choisis les plans les plus éloquents. Cela est valable si tu décris la scène à la troisième personne.
A la première personne, tu possèdes moins de détails "géographiques" mais tu peux pénétrer et embélir avce les pensées de ton personnage. De même, tu peux te contenter de placer la caméra dans ses yeux.

Même si les descriptions sont importantes, le plus important est la cohérence de ton récit. Tu peux toujours fignoler une fois ton scénario bouclé.

Citation :

C’était un matin comme les autres. Il était six heure trente et je me levai pour aller chercher le journal qui m’attendait devant la porte de mon petit appartement de la troisième rue.

J'ai remarqué que tu avais besoin de mettre beaucoup de détails à la fois dans la même phrase. J'ai le même problème. Sache que des phrases courtes sont bien plus agréables à lire et ne perdent pas le lecteur en route.

Sinon j'espère ne pas voir un jour les attentats relégués aux faits divers...

Voilà, j'ignore si tu consultes encore ce site. J'espère simplement que tu continues d'écrire pour ton plaisir.

Un scénario agréable, avec du rythme, merci.

Je ne me sens pas la qualité pour faire des corrections.

Juste un petit détail : Très très difficile de voir une balle sortir d'un révolver..

C’était un matin comme les autres. Il était six heure(s) trente et je me levai pour aller chercher le journal qui m’attendait devant la porte de mon petit appartement de la troisième rue.

Cela faisait environ dix ans que je travaillais pour le Sunset (T)ime, j’étais à la tête de la rubrique fai(t)s-divers... Je savais que ce matin, en le lisant, mon article serait en première page. Bien évidemment(,) ce n’était pas la première fois(,) mais cette article n’était pas comme les précédents( il parlait d’un attentat, celui de la bibliothèque publique(.) (deux fois n’était pas)

Je lus mon journal en quelques minutes tout en buvant mon cacao chaud, (je)m’habillai et (je)parti(s) prendre le métro pour me rendre à mon travail. Le trajet se passa comme d’habitude, toujours les mêmes personnes assises à la même place, le grincement des roues sur les rails... mais(,) lorsque j’entrai dans le hall de l’immeuble o(ù) se trouvai(en)t les bureaux du journal, j’entendis un coup-de-feu ; il résonna pendant plusieurs secondes. Toutes les personnes prirent peur et se mirent à l’abri sous leur bureau(,) mais moi j’étais pétrifié, mes membres se figèrent et je ne pouvais plus bouger. C’est alors que je vis l’homme avec l’arme, il était vêtu de noir et portait une cagoule qui cachait son visage, on pouvait juste apercevoir ses yeux d’un bleu étincelant.

J’avais l’impression qu’il me regardait. Plus personne ne bougeait, j’étais la seule encore debout. Soudain(,) je me dis que mon heure avait sonné() et que je ne sortirai() probablement plus de cet immeuble vivante.

Tout à coup, je le vis diriger(pointer) l’arme droit sur moi. Son bras tremblait, ce devait s(û)rement être la première fois qu’il tenait un revolver ( il appuya sur la gâchette. A partir de ce moment, tout sembla() aller au ralenti, je vis la balle tournoy(er) sur elle-même pour enfin arriv(er) et s’enfoncer dans mon épaule droite. Le choc fut impressionnant, je reculai de quelques pas. (Autour de moi,) toutes les personnes me regardaient(,) mais aucune n’osa bouger. La douleur devenait de plus en plus (aigüe), ma plaie me brulait. Je touchai ma blessure et ma main était (fut recouverte de)en sang.
Ma vision devint trouble, tout bougeait autour de moi( je tombai à la renverse et m’évanoui(s).

Je me réveillai en sursaut, trempée de sueur. C’est alors que je réalisai que ce n’était qu’un mauvais rêve. (Perturbée,) je me levai de mon lit ; ce cauchemar avait semblé tellement réel... Mais(,) lorsque je regardai mon épaule, je vis une cicatrice : je paniquai. Que c’était-il passé ? Je savais (bien) que cette cicatrice, je ne l’avais pas hier...

Je me suis permis de faire une correction, sous réserve.
Le fond est un début qui donne envie de savoir la suite.

(les petits bonhommes jaunes sont des points-virgule)