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 Quand je me promène dans la rue.

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EtoileDeReve
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EtoileDeReve


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MessageSujet: Quand je me promène dans la rue.   Quand je me promène dans la rue. Icon_minitimeLun 3 Mai 2021 - 15:44


Chaque fois que je me promène dans les rues, j’observe tout ce qui m’entourent, les gens, les objets, la nature …
Il y a parfois des choses ambiguës, on peut y voir des marchés s’y installer des gens qui sont capable de tout pour vider leurs stocks, et d’autres qui sont prêt à tout pour acheter toutes sortes d’objets pour remplir leur stock. Ils sont avec des sacs autour du bras, pour porter leurs courses avec tracas.
Dans d’autres ruelles aux alentours on peut entendre raisonner des klaxons, parce que c’est bouché à cause du marché, les gens trouvent que ça ne va pas assez vite. Parmi tout ce bordel, des chiens errant se baladent pleins de tiques.


Dans les restaurants, généralement le monde mange sur la terrasse lorsqu’il fait beau, et à l’intérieur quand il pleut…
Dans les rues, on peut y voir des gens qui se baladent seul ou accompagné, des gens qui discute ou qui s’engueule pour des futilités.
Les gens sont tous surprenant, mais à chaque instant j’ai peur d’être agressée, bousculée ou kidnappée… Avec tant de monde autour je me sens étouffée, écrasée, il peut y avoir des fous partout.
Mais quand je suis au volant de ma voiture je me rends compte que les gens veulent simplement atteindre leur but. Nous n’avons pas tous les mêmes rêves, ni les mêmes envies ni le même but, heureusement sinon il y aurait des bouchons constamment….
Dans les rues qui pleure d’ennuie il y as des commerces partout, autour de nous.
Mais moi j’ai la tête ailleurs, toujours l’air absente…
Parce que j’aime me plonger dans des romans et rêver du prince charmant…
Mais je suis vite rattrapé par la réalité, lorsque je prends les transports, ça pue la mort !
Dans les métros des gens qui chantent pour faire la manche, des clochards qui tendent un gobelet pour qu’ils puissent acheter de quoi manger.
Dans les bus des gens se font agressé ou volé, certains avions se font détourné…
Il y a de la violence partout alors faites attention à vous.
Mais heureusement qu’on peut croiser des gens sympathiques et pas que des chiens avec des tiques…
Des gens accueillant et chaleureux qui sont heureux, pleins de vie et non de vice.
De gens sincère et pas pervers.
On dit qu’il faut de tout pour faire un monde, c’est vrai sinon on s’ennuierais.
Vive la différence, la chance d’être ensemble et le mélange.


Personnellement j’ai décidé de suivre ni les religions, ni les autres, ni mes parents… J’ai décidé de suivre mon instinct qui ne m’as jamais trompé jusqu’à maintenant.
J’ai décidé de rester observatrice du monde et non actrice, de toujours choisir ce qui es bien pour moi et tant pis si cela ne plait pas aux autres. Parce que lorsque je regarde par ma fenêtre je vois plus loin que le bout de mon nez, je comprends que vous souffrez…
Tout comme moi, vous savez qu’il y aura toujours un problème, une histoire ou un souffle de tristesse en nous un jour…
Doit-on avoir l’espoir d’être heureux pour avancer ? Doit-on être libérer de nos démons pour être plus léger ? Doit-on faire nos choix en fonction de nos besoins personnels ? Doit-on avoir l’espoir d’une paix intérieure pour être beau ou belle ?
Avez-vous des inspirations ou des envies ? Avez vous envie de voyagez ? Il suffit de suivre ses envies, ça vibreras en vous tout comme les cuivres qui sonne et qui résonne…


Je n’ai surement pas la clef du bonheur pour vous, mais j’ai trouvé la mienne, je suis heureuse en suivant l’instant présent. En me souciant du présent et du futur, plus du passé puisqu’on ne peut pas le changer… Alors avancez et voyagez, sans vous retourner. Vivez comme les animaux parce que lorsqu’on observe la nature, eux suivent le moment présent, puisqu’ils peuvent mourir n’importe quand ….
Dans les rues on peut aussi voir des déchets de toute sorte, des bouteilles, des papiers, des sac plastiques, des poubelles… Heureusement qu’il y a des éboueurs pour ramasser tous ces déchets sinon on croulerait dessous, mais ils se répandent dans la mer. Les animaux n’ont rien demandé et nous allons les tuer. Réagissez et pensez à trier, pensez à tous ces animaux qui crient dans les bas fonds de l’océan, dans les terres et dans les forêts, laissez-les respirer.
La solution contre la pollution est de devoir suivre les règles écologiques citoyennes pour qu’on puisse enfin vivre sans benne.



Une petite question pour vous :
Comment l’impact de la mentalité du manque de confiance en nous et de la violence dérègle les choses et le climat ?

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SabrinaJessica
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MessageSujet: Re: Quand je me promène dans la rue.   Quand je me promène dans la rue. Icon_minitimeLun 17 Mai 2021 - 8:51

Bonjour,
Je me permets de vous faire un retour sur votre écrit.
De manière globale, j'ai apprécié le texte, j'ai trouvé intéressant le sujet (la nature, la question de la sauvegarde des animaux) et la manière de l'amener (dans une réflexion appartenant au quotidien).
J'ai bien aimé les questions (Doit-on avoir l’espoir d’être heureux pour avancer ? Doit-on être libérer de nos démons pour être plus léger ? etc.)
Car les questions s'adressant au lecteur l'invite à se les poser pour lui-même.
J'ai apprécié les passages avec cette aller-retour, entre réflexions personnelles et immersion/ observation du quotidien. Cela laisse une impression d'être présent sur les lieux, et d'observer les mêmes mouvements, tout en ayant un regard, un recul sur ces situations.
J'ai beaucoup aimé cette métaphore entre la circulation des uns et des autres en voiture et les rêves, buts, envies (Nous n’avons pas tous les mêmes rêves, ni les mêmes envies ni le même but, heureusement sinon il y aurait des bouchons constamment….) Cela donne une autre dimension, plus profonde,  au passage précédent évoquant les bouchons. Comme si d'une "banalité" dans le quotidien, s'en dégage une image et une réflexion plus profonde.
La seule remarque concerne l'emploi du terme ambiguë, personnellement je n'ai pas saisi son sens dans la phrase. Peut-être que pour moi ambiguë représente ce qui ne peut être défini avec exactitude, et par déduction, j'ai compris, que le sens (en lien avec toute la phrase) pouvait être celui de contradictoire..Mais je n'en suis pas certaine.
Merci pour ce partage.
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EtoileDeReve
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MessageSujet: Re: Quand je me promène dans la rue.   Quand je me promène dans la rue. Icon_minitimeLun 17 Mai 2021 - 9:55

SabrinaJessica a écrit:
Bonjour,
Je me permets de vous faire un retour sur votre écrit.
De manière globale, j'ai apprécié le texte, j'ai trouvé intéressant le sujet (la nature, la question de la sauvegarde des animaux) et la manière de l'amener (dans une réflexion appartenant au quotidien).
J'ai bien aimé les questions (Doit-on avoir l’espoir d’être heureux pour avancer ? Doit-on être libérer de nos démons pour être plus léger ? etc.)
Car les questions s'adressant au lecteur l'invite à se les poser pour lui-même.
J'ai apprécié les passages avec cette aller-retour, entre réflexions personnelles et immersion/ observation du quotidien. Cela laisse une impression d'être présent sur les lieux, et d'observer les mêmes mouvements, tout en ayant un regard, un recul sur ces situations.
J'ai beaucoup aimé cette métaphore entre la circulation des uns et des autres en voiture et les rêves, buts, envies (Nous n’avons pas tous les mêmes rêves, ni les mêmes envies ni le même but, heureusement sinon il y aurait des bouchons constamment….) Cela donne une autre dimension, plus profonde,  au passage précédent évoquant les bouchons. Comme si d'une "banalité" dans le quotidien, s'en dégage une image et une réflexion plus profonde.
La seule remarque concerne l'emploi du terme ambiguë, personnellement je n'ai pas saisi son sens dans la phrase. Peut-être que pour moi ambiguë représente ce qui ne peut être défini avec exactitude, et par déduction, j'ai compris, que le sens (en lien avec toute la phrase) pouvait être celui de contradictoire..Mais je n'en suis pas certaine.
Merci pour ce partage.

Merci à vous pour votre retour Wink
Effectivement c'est un texte que j'ai écris en observant les choses, et ça donne un mélange de métaphores et de réflexions...
Je voulais dire par ambiguë des choses évasives... =)

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MessageSujet: Re: Quand je me promène dans la rue.   Quand je me promène dans la rue. Icon_minitime

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