Paris, Paris...

Le vent qui fouette son visage
Le ramène à la vie,
Aux effluves des présages
Et aux sirènes de Paris.
De ces brumes volages
Ne reste que cendres égarés
Dans un cendrier
Gris et sans âge.
Trébuche, comme un triste assassin,
L’ébauche d’un matin
Et le jour de s’égare
Dans le quartier de la gare.
Baudelaire le rappelle aux sirènes de Paris, Paris

Je suis moi-même fan de vers libres, et je sais qu'ils sont affreux. Les vers libres, c'est duuur a utiliser, voir même impossible, et ça demande du travail.

Le rythme est pas super bon et les rimes pas très bien introduites je trouve...

Pour une autre raison, je n'aime pas. J'essaierai de faire un post un peu plus constructif après

Thank you pour la réponce, les critiques sont tjrs constructives.
Je débute juste

Aloors...
Le fait que ce soit des vers libres rend la structure un peu bancale, d'où le mauvais rythme.

Citation :

Ne reste que cendres égarés
Dans un cendrier

Répétition cendre/cendrier, et puis ça veut pas dire grand chose
Ces deux phrases cassent l'ensemble du poème, trop courtes par rapport au début.