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 [roman sans titre]

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MessageSujet: Commentaires du roman sans titre   [roman sans titre] Icon_minitimeMer 25 Juin 2014 - 14:26

A vous de me dire ce qui ne va pas.
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MessageSujet: [roman sans titre]   [roman sans titre] Icon_minitimeMer 25 Juin 2014 - 14:27

Chapitre 1 :

Elle ouvrit les yeux et prit une longue inspiration. Elle était là, seule, dans cette grande pièce blanche. Elle avait toujours aimé le blanc, cette teinte l'aidait à oublier. Elle fixait longuement la peinture puis attendait que ses yeux s'embrument, jusqu'à ce que son champs de vision ne se résume plus qu'à un grand halo blanc. Alors elle pensait à autre chose, son esprit vagabondait, elle rêvait d'une vie meilleure. Et elle oubliait.
Mais aujourd'hui elle ne parvint pas à oublier. Elle s'obstinait pourtant à regarder ce mur mais ne voyait que fissures et toiles d'araignées. Il était vide de sens et vide de rêves. Ce qui avait été autrefois un échappatoire devenait aujourd'hui un dur retour à la réalité.

Résignée, elle se leva péniblement, ne prit même pas la peine de faire son lit, et se dirigea vers la fenêtre. De toute manière, personne ne pourrait le lui reprocher parce que justement, il n'y avait plus personne.
Elle ouvrit la fenêtre d'un coup sec et ferma les yeux, laissant un courant d'air s’engouffrer dans la chambre. Elle huma longuement l'odeur qui flottait. Un odeur de chèvrefeuille. Son odeur. Elle ouvrit doucement les yeux. Le soleil, ce soleil qui autrefois la rendait si heureuse, ce soleil qui la faisait sentir vivante, l'éblouissait. Elle mit sa main devant son visage et contempla la bague qu'elle portait à l'annulaire. Sa bague.
Un vent frais lui caressa le visage. Elle aimait cette saison, elle aimait sentir la chaleur de ce début d'été et par dessus tout, elle aimait la clarté qui en résultait. Elle se sentait à la fois heureuse et mélancolique, elle avait beau s'efforcer de faire le vide dans son esprit mais elle n'y parvenait pas. Chaque tentative s'apparentait à un nouvel échec. Elle ne pouvait pas ne pas penser à ce mardi, ce mardi où, la première fois depuis vingt-deux ans, elle s'était retrouvée seule.

Son portable vibra, elle se détourna de la fenêtre et tendit sa main jusqu'à sa table de nuit. La pièce étant exiguë, elle réussit sans mal à l'attraper. Elle ouvrit la boîte de réception.
Hello Blondasse, on mange italien ce midi ?
Elle se demanda qui pouvait bien lui envoyer un tel SMS et dût se rendre à l'évidence qu'il n'y avait qu'une personne capable de lui écrire une chose pareille : Alec.
Elle n'était absolument pas blonde, mais s'il y avait bien une seule personne au monde capable de l’appeler comme cela, c'était Alec. Ça a toujours été son fantasme, les blondes, or il était tombé sur Pia, et elle était brune. Mais cela ne semblait pas le déranger et il continuait de la surnommer blondasse... ou pétasse. On ne pouvait pas dire qu'il était doté d'un certain tact, surtout en ce lundi matin.
Il était pourtant au courant pour sa mère, mais devait sûrement déjà avoir oublié. Pia reposa son téléphone et caressa son chat, Paulo, venu se frotter à ses jambes.
"Il est temps de manger, c'est ça ?"
Elle se dirigea vers la cuisine, Paulo sur ses talons. Elle servit un bol de croquette et un de céréales. Tandis qu'elle mangeait, elle essayait de se rappeler de la dernière fois qu'elle avait vu sa mère. Cela remontait à plus de six mois, quelque chose comme ça. Toutes deux n'avaient jamais été vraiment proches. Depuis sa naissance elle se faisait garder par sa grand-mère car Astrid, sa mère n'avait que très peu de temps à lui accorder. Si bien que dès qu'elle en eu l'occasion, Pia décida de louer un appartement, loin de chez elle.
Son père, elle ne l'avait jamais connu, elle ne savait pratiquement rien et elle n'avait jamais posé de questions. Elle pensait que s'il était parti c'était parce qu'il n'avait pas voulu d'elle. Alors elle ne voulait pas de lui.
Elle était fille unique et n'avait que très peu d'amis. Par choix. Étant solitaire, la compagnie la dérangeait, elle aimait profiter des moments calmes que la vie de célibataire lui procurait et c'était  une des raisons pour lesquelles elle avait toujours refusé de s'engager.
Pourtant des hommes, il y en avait eu, le dernier en date étant Alec. Mais elle n'avait jamais ressenti de déclic, jamais elle ne s'était dit tomber sur la perle rare, sur l'homme de sa vie. Alors elle ne s'était jamais engagée.
A vrai dire elle à vingt-trois ans, elle ne songeait pas encore au mariage, mais elle rêvait secrètement qu'un jour, elle ressente l'envie de partager, avec un homme. Enfin.... du
moins plus que son lit le temps d'un soir.

Elle fut tirée de ses pensées par son portable. Encore Alec.
Alors Chérie, tu me boudes ?
Chérie. Ce mot semblait tellement faux venant de lui. Elle ne prit même pas la peine de lui répondre, elle savait pertinemment qu'il ne lui envoyait cela que pour la forme. A cette heure ci il devait être en train de draguer une autre nana, si ce n'est déjà en train de batifoler entre ses cuisses, lors de la pause de midi il avait largement le temps. Ils l'avaient déjà fait plus d'une fois, à l'hôtel au coin de la rue où même dans la réserve, au bureau. Il ne craignait pas d'être entendu, il avait un poste haut placé qui lui conférait un avantage parmi les cinq seuls hommes de la boîte (hormis le fait que ce soit le seul hétéro) de pouvoir s'enfiler autant de nanas qu'il le souhaitait sans qu'on le lui reproche quoi que ce soit.
Mais celle qui l'intéressait vraiment, c'était Pia. Elle n'était pas comme les autres, elle avait cet air malicieux qui lui allait à ravir (et qui, soit dit en passant, l'excitait plus que la normale), le rabrouait sans cesse et bien qu'il feignait ne pas aimer cela, il était subjugué par sa force de caractère.
Néanmoins, elle n'était pas là aujourd'hui. Congé décès ou quelque chose comme ça... Alors il ne voyait aucun inconvénient à s'envoyer en l'air avec Stéphanie. Un bon mois qu'elle lui faisait des clins d’œils aguicheurs, il ne pouvait manquer ça.
Alors que Stéphanie gémissait, son portable vibra. Il déverrouilla l'écran.
Baise la bien. Connard.
Pia tout craché. Elle avait même prit soin de mettre une majuscule à Connard. Il continua en pensant à elle, espérant que ça l'aiderai à finir plus vite.

Alors que la journée avançait, Pia se sentait désœuvrée. C'était très aimable à son chef de lui donner une journée de congé pour se remettre de la mort de sa mère mais elle ne savait qu'en faire. A part envoyer un SMS à Alec et lire quelques pages de son roman préféré, elle n'avait rien fait. Elle décida donc de s'avancer sur son travail.
Elle était employée dans une agence de Wedding Planners et avait pour mission de répondre à toutes les demandes possibles et inimaginables de futurs mariés. Loin de lui faire ressentir de la haine envers ces couples heureux, elle aimait son boulot et espérait pouvoir un jour s'installer à son compte.
Mais pour l'instant elle devait se concentrer sur les mission que Pat, son chef, lui envoyait. L'arrivée de l'été sonnait le coup de feu d'un marathon d'un mois et demi où chacun se voyait obligé de faire des heures supplémentaires afin de boucler tout ces mariages avant fin juillet.
Cette fois elle devait chercher un bouquet de daphnés pour un couple qui voulait à tout prix que les fleurs portent le même nom que leur fille.
Ce qui était embêtant dans son travail c'est que les futurs mariés n'avaient aucun sens des proportions. Ils ne s’imaginaient même pas une seconde que les Daphnés Odora fleurissaient de janvier à mai et que, de surcroît, étaient une espèce protégée en France. Ils auraient du appeler leur fille Bruyère pour qu'elle puisse les aider.
Elle leur répondit donc qu'il serait judicieux de penser à s'orienter vers des roses, comme l'ensemble de la population mondiale, ou au moins vers des fleurs obtenables en cette mi-juin. Bien sûr, elle ne leur écrivit pas cela, elle était très polie et courtoise dans ses relations avec les clients, mais si cela avait été Alec, elle ne se serait même pas embêtée à dire ni Bonjour, ni Je vous prie de m'excuser. Elle aurait tout simplement lâché un Pauvre con. Tout au plus.
Alec. Cela lui rappela que ça faisait plus d'une semaine qu'elle ne l'avait pas vu. Il ne lui manquait pas tellement mais elle se vit obligée, à son plus grand regret, d'admettre qu'il était plutôt doué en matière de sexe.
Elle lui envoya une invitation, tout en sachant qu'il ne se ferait pas prier pour accourir.

Elle marchait lentement, ses pas résonnaient dans l'église. Malgré la température avoisinant les trente degrés dehors, elle frissonnait. Toute vêtue de noir, elle suivait le cortège. Quelle idée d'avoir mis ces talons, on n'entendait qu'elle. Sa jupe flottait le long de ses jambes minces, cela lui donnait une allure de mannequin. Les hommes se retournaient sur son passage, mais elle savait que ce n'était pas pour son corps. Ils la regardaient avec leurs yeux emplis de compassion mêlée à de la pitié.

Mais comment va-t-elle faire ?
Elle est si jeune et pourtant si seule...
J'ai entendu dire qu'elle n'avait toujours pas de mari... elle n'a jamais fréquenté les hommes.
Tu veux dire qu'elle serait.. lesbienne ?
Elle n'a pas l'air attristée... m'est avis qu'elle n'aimait pas Astrid.
... on dit qu'elle l'aurait poussé au suicide !


Des bribes de conversation parvenaient à ses oreilles. Elle savait bien que tout les regard étaient fixé sur elle, mais elle n'y prêtait pas attention. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'était plus revenue dans .... cette vieille France comme avait l'habitude de dire Alec, peut-être justement parce qu'il n'avait jamais connu cette vieille France.
Pour une fois, elle était d'accord avec lui. Son village natal semblait figé dans le temps. Il n'y avait plus de jeunes, que des vieilles pies en quête de ragots.
Pia prenait plaisir à écouter les commérages. Elle aimait savoir ce que l'on racontait sur elle, que ce soit bien ou mal. Elle n'en avait plus rien à faire, d'ici peu elle ne reviendrait plus. Jamais.

Elle pouvait sentir son souffle, cette respiration si régulière. Alec. Il était encore tôt, deux heures quinze. Elle s'était réveillée après avoir rêvé de l'enterrement de sa mère. Non pas parce que cela la chagrinait. Mais parce que cela l'intriguait. Esperenza. Sa douce voix, son odeur, ses cheveux. Elle ressemblait comme deux gouttes d'eau à sa grand-mère, si bien que c'en avait été troublant.
Elle avait toujours trouvé sa grand-mère magnifique, même dans ses derniers instants, alors que la mort l'effleurait, elle avait su rester splendide. Elle avait le don de charmer les hommes, de les envouter. Elle disait souvent à Pia qu'elle lui avait transmis ce don, mais Pia se refusait à la croire. Sa grand-mère représentait tout pour elle, ça avait été sa mère, sa sœur, sa confidente et son amie. Elles avaient tout partagé et s'étaient tout donné mutuellement. Jusqu'à sa mort. Ce mardi 11 mai, il y avait maintenant plus d'un an.
Un mouvement brusque la ramena à la réalité. Il avait le sommeil agité. Elle le regarda un instant, il était beau dans son sommeil, on ne pouvait se douter de toute la connerie dont il était rempli.
Elle aimait dormir à ses côtés, même si elle avait longtemps milité contre, cela la rassurait. Peu à peu il gagnait du terrain, s'infiltrant chez elle, dans son esprit, et dans son cœur... cale l'affolait.
Ils avaient déjà parlé de mariage, un soir alors qu'ils regardaient un téléfilm ennuyant, il lui avait même promit de lui rester fidèle, mais elle s'était pas risquée à dire oui. Mais après tout... pourquoi pas ? Elle ne savait même pas ce qu'elle ressentait pour lui.
D'un côté elle le détestait, quand il la tournait au ridicule en s'envoyant en l'air avec cinq femmes différentes en une soirée pour revenir saoul pour s'effondrer sur son lit, mais elle ne pouvait s'empêcher de penser à lui. Une envie irrépressible de le voir, l'embrasser, et s'oublier dans ses bras. Pourtant elle ne l'aimait pas, ne voulait pas emménager avec lui, et n'aimait pas le voir rester trop longtemps chez elle. Elle se sentait juste en manque d'affection, elle il était en mesure de lui en fournir.
"Pia ?
Mmh ?"
Il laissa glisser sa main le long de ses jambes. Il était fou de ses jambes, fou de ses seins, fou de son corps. Elle le rendait fou. Il l'embrassa et la colla à son torse. Il la voulait, avait soif d'elle, il n'était jamais rassasié.
Il l'enlaça et tout les deux roulèrent sur le matelas, il enleva sa nuisette et elle se retrouva nue, collée contre son corps. Il prit une grande respiration. Ce parfum, cette chevelure, cette peau.
Il aurait voulu la posséder, la retenir. Il l'aimait.

Voilà le lien pour commenter : https://ecrire.forumactif.org/t5589-commentaires-du-roman-sans-titre#150527
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MessageSujet: Re: [roman sans titre]   [roman sans titre] Icon_minitimeMer 25 Juin 2014 - 19:10

En avant pour le commentaire! Je te préviens, dans la première partie, t'auras accès direct à mes pensées pendant que je lis : ne te formalise donc pas trop du ton que j'emploie ^^
Elv a écrit:
Chapitre 1 :

Elle ouvrit les yeux et prit une longue inspiration. Elle était là, seule, dans cette grande pièce blanche. Elle avait toujours aimé le blanc, cette teinte l'aidait à oublier. Elle fixait longuement la peinture puis attendait que ses yeux s'embrument, jusqu'à ce que son champs de vision ne se résume plus qu'à un grand halo blanc. Alors elle pensait à autre chose, son esprit vagabondait, elle rêvait d'une vie meilleure. Et elle oubliait.
Mais aujourd'hui elle ne parvint pas à oublier. Elle s'obstinait pourtant à regarder ce mur mais ne voyait que fissures et toiles d'araignées. Il était vide de sens et vide de rêves. Ce qui avait été autrefois un échappatoire devenait aujourd'hui un dur retour à la réalité.

Résignée, elle se leva péniblement, ne prit même pas la peine de faire son lit, et se dirigea vers la fenêtre. De toute manière, personne ne pourrait le lui reprocher parce que justement, il n'y avait plus personne.
Elle ouvrit la fenêtre(répétition) d'un coup sec et ferma les yeux, laissant un courant d'air s’engouffrer dans la chambre. Elle huma longuement l'odeur qui flottait. Un odeur de chèvrefeuille. Son odeur. Elle ouvrit doucement les yeux. Le soleil, ce soleil qui autrefois la rendait si heureuse, ce soleil qui la faisait sentir (se sentir?) vivante, l'éblouissait. Elle mit sa main devant son visage et contempla la bague qu'elle portait à l'annulaire. Sa bague.
Un vent frais lui caressa le visage. Elle aimait cette saison, elle aimait sentir la chaleur de ce début d'été et par dessus tout, elle aimait la clarté qui en résultait. Elle se sentait à la fois heureuse et mélancolique, elle avait beau s'efforcer de faire le vide dans son esprit mais(là j'aurais plutôt mis une virgule) elle n'y parvenait pas. Chaque tentative s'apparentait à un nouvel échec. Elle ne pouvait pas ne pas penser à ce mardi, ce mardi où, la première fois depuis vingt-deux ans (pour la première fois?), elle s'était retrouvée seule.

Son portable vibra, elle se détourna de la fenêtre et tendit sa main jusqu'à sa table de nuit. La pièce étant exiguë (t'as dit que c'était une grande pièce blanche, on a changé d'endroit? De temporalité aussi en fait?) , elle réussit sans mal à l'attraper. Elle ouvrit la boîte de réception.
Hello Blondasse, on mange italien ce midi ?
Elle se demanda qui pouvait bien lui envoyer un tel SMS et dût se rendre à l'évidence qu'il n'y avait qu'une personne capable de lui écrire une chose pareille : Alec. (J'avoue que c'est surprenant, à lire ton début j'avais vraiment l'impression qu'elle se retrouvait seule dans tout l'univers, dans une ville fantôme tellement tu insistais^^)
Elle n'était absolument pas blonde, mais s'il y avait bien une seule personne au monde capable de l’appeler comme cela, c'était Alec. Ça a (avait? Le récit est au passé jusque là, non?) toujours été son fantasme, les blondes, or il était tombé sur Pia, et elle était brune. Mais cela ne semblait pas le déranger et il continuait de la surnommer blondasse... ou pétasse.(Quel jeune homme charmant ^^ ) On ne pouvait pas dire qu'il était doté d'un certain tact (J'avoue que la formulation me parait alambiquée, tu dis presque le contraire de ce que tu voudrais.On pouvait certainement dire qu'il manquait clairement de tact serait plus direct et donc plus clair à mon avis.) , surtout en ce lundi matin.
Il était pourtant au courant pour sa mère, mais devait sûrement déjà avoir oublié. Pia reposa son téléphone et caressa son chat, Paulo, venu se frotter à ses jambes. (En plus elle a un chat? Pas si seule finalement.)
"Il est temps de manger, c'est ça ?"
Elle se dirigea vers la cuisine, Paulo sur ses talons. Elle servit (lui servit?) un bol de croquette et un de céréales. Tandis qu'elle mangeait, elle essayait de se rappeler de la dernière fois qu'elle (mhm, je ne sais pas pourquoi, ça me heurte les tympans. D'instinct j'aurais dis la dernière fois où elle l'avait vu, mais je ne saurais pas l'expliquer.) avait vu sa mère. Cela remontait à plus de six mois, quelque chose comme ça. Toutes deux n'avaient jamais été vraiment proches. Depuis sa naissance elle se faisait garder par sa grand-mère car(virgule) Astrid, sa mère(virgule) n'avait que très peu de temps à lui accorder. Si bien que dès qu'elle en eu (j'aurais dis en avait eu l'occasion, vu que d'après moi on narre ici du passé par rapport au récit déjà lui-même au passé.) l'occasion, Pia décida de louer un appartement, loin de chez elle.
Son père, elle ne l'avait jamais connu, elle ne savait pratiquement rien (de lui?) et elle n'avait jamais posé de questions. Elle pensait que s'il était parti c'était parce qu'il n'avait pas voulu d'elle. Alors elle ne voulait pas de lui. (Joli^^)
Elle était fille unique et n'avait que très peu d'amis. Par choix. Étant solitaire, la compagnie la dérangeait, elle aimait profiter des moments calmes que la vie de célibataire lui procurait et c'était  une des raisons pour lesquelles elle avait toujours refusé de s'engager.(Pour une solitaire elle avait l'air de beaucoup souffrir de la solitude au début. Ou alors j'ai mal interprété?)
Pourtant des hommes, il y en avait eu, le dernier en date étant Alec. Mais elle n'avait jamais ressenti de déclic, jamais elle ne s'était dit tomber sur la perle rare, sur l'homme de sa vie. Alors elle ne s'était jamais engagée.(Un peu lourde la répétition.)
A vrai dire elle à(il y a un problème ici je crois^^ Soit un elle en trop, soit elle avait) vingt-trois ans, elle ne songeait pas encore au mariage, mais elle rêvait secrètement qu'un jour, elle ressente l'envie de partager, avec un homme. Enfin.... du (Oo c'est quoi ce retour à la ligne?)
moins plus que son lit le temps d'un soir.

Elle fut tirée de ses pensées par son portable. Encore Alec.
Alors Chérie, tu me boudes ?
Chérie. Ce mot semblait tellement faux venant de lui. Elle ne prit même pas la peine de lui répondre, elle savait pertinemment qu'il ne lui envoyait cela que pour la forme. A(À, Alt+0192) cette heure ci il devait être en train de draguer une autre nana, si ce n'est déjà en train de batifoler entre ses cuisses, lors de la pause de midi il avait largement le temps. Ils l'avaient déjà fait plus d'une fois, à l'hôtel au coin de la rue où même dans la réserve, au bureau. (Tu as une vision bien crue pour ton âge^^Je suis choquée  affraid ) Il ne craignait pas d'être entendu, il avait un poste haut placé qui lui conférait un avantage parmi les cinq seuls hommes de la boîte (hormis le fait que ce soit le seul hétéro) de pouvoir s'enfiler autant de nanas qu'il le souhaitait sans qu'on le lui reproche quoi que ce soit. (Phrase trop longue. En tout cas bravo, tu as réussi à nous rendre le personnage définitivement antipathique.)
Mais celle qui l'intéressait vraiment, c'était Pia. Elle n'était pas comme les autres, elle avait cet air malicieux qui lui allait à ravir (et qui, soit dit en passant, l'excitait plus que la normale), le rabrouait sans cesse et bien qu'il feignait ne pas aimer cela, il était subjugué par sa force de caractère. (Ouh là, doucement, on était pas du point de vue de Pia justement? Parce que là il y a un problème : si on est du point de vue d'Alec, ça serait surprenant qu'il se décrive ainsi, et si on est de celui de Pia, on a vu plus haut qu'elle ne pensait pas vraiment cela d'elle même... Je suis perdue^^)
Néanmoins, elle n'était pas là aujourd'hui. Congé décès ou quelque chose comme ça... Alors il ne voyait aucun inconvénient à s'envoyer en l'air avec Stéphanie. (Donc on est passé de son point de vue. Tu sais que t'as juste zappé d'amorcer une transition? Faut ménager ton lecteur, je vais faire un arrêt cérébral moi là ^^) Un bon mois qu'elle lui faisait des clins d’œils aguicheurs, il ne pouvait manquer ça.
Alors que Stéphanie gémissait, son portable vibra. Il déverrouilla l'écran.
Baise la bien. Connard.
Pia tout craché. (Charmant le couple décidément.)Elle avait même prit soin de mettre une majuscule à Connard. Il continua en pensant à elle, espérant que ça l'aiderai à finir plus vite. (Ieuk.^^)

Alors que la journée avançait, Pia se sentait désœuvrée. C'était très aimable à son chef de lui donner une journée de congé pour se remettre de la mort de sa mère mais elle ne savait qu'en faire. (Donc si je résume, sa mère a disparu pendant six mois, elles n'étaient pas proche, elle apprend soudain sa mort et donc c'est pour ça les états d'âme au début?) A(À) part envoyer un SMS à Alec et lire quelques pages de son roman préféré, elle n'avait rien fait. Elle décida donc de s'avancer sur son travail.
Elle était employée dans une agence de Wedding Planners et avait pour mission de répondre à toutes les demandes possibles et inimaginables (imaginables) de futurs mariés. Loin de lui faire ressentir de la haine envers ces couples heureux (Hem, question : pourquoi travailler dans une agence de Wedding Planners devrait forcément déclencher la haine envers tous les couples heureux?), elle aimait son boulot et espérait pouvoir un jour s'installer à son compte.
Mais pour l'instant elle devait se concentrer sur les mission que Pat, son chef, lui envoyait. L'arrivée de l'été sonnait le coup de feu d'un marathon d'un mois et demi où chacun se voyait obligé de faire des heures supplémentaires afin de boucler tout ces mariages avant fin juillet.
Cette fois elle devait chercher un bouquet de daphnés pour un couple qui voulait à tout prix que les fleurs portent le même nom que leur fille.
Ce qui était embêtant dans son travail c'est que les futurs mariés n'avaient aucun sens des proportions. Ils ne s’imaginaient même pas une seconde que les Daphnés Odora fleurissaient de janvier à mai et que, de surcroît, (elles?) étaient une espèce protégée en France. Ils auraient du appeler leur fille Bruyère pour qu'elle puisse les aider.
Elle leur répondit donc qu'il serait judicieux de penser à s'orienter vers des roses, comme l'ensemble de la population mondiale, ou au moins vers des fleurs obtenables(je ne crois pas que ce mot existe...Disponible? Qui poussent? qui fleurissent?) en cette mi-juin. Bien sûr, elle ne leur écrivit pas cela, elle était très polie et courtoise dans ses relations avec les clients, mais si cela avait été Alec, elle ne se serait même pas embêtée à dire ni Bonjour, ni Je vous prie de m'excuser (tu as une triple négation là, ça va pas^^). Elle aurait tout simplement lâché un Pauvre con. Tout au plus.
Alec. Cela lui rappela que ça faisait plus d'une semaine qu'elle ne l'avait pas vu. Il ne lui manquait pas tellement mais elle se vit obligée, à son plus grand regret, d'admettre qu'il était plutôt doué en matière de sexe.
Elle lui envoya une invitation, tout en sachant qu'il ne se ferait pas prier pour accourir. (Elle a que ça à faire? Maintenant je l'apprécie au moins autant qu'Alec^^ )

Elle marchait lentement, ses pas résonnaient dans l'église. (C'est ta spécialité en fait l'absence de transition^^ T'es un peu hard comme fille non? x) ) Malgré la température avoisinant les trente degrés dehors, elle frissonnait. Toute vêtue de noir, elle suivait le cortège. Quelle idée d'avoir mis ces talons, on n'entendait (pas sur que le n' apostrophe soit nécessaire, mais j'ai un doute j'avoue) qu'elle. Sa jupe flottait le long de ses jambes minces, cela lui donnait une allure de mannequin. Les hommes se retournaient sur son passage, mais elle savait que ce n'était pas pour son corps. Ils la regardaient avec leurs yeux emplis de compassion mêlée à de la pitié.

Mais comment va-t-elle faire ?
Elle est si jeune et pourtant si seule...
J'ai entendu dire qu'elle n'avait toujours pas de mari... elle n'a jamais fréquenté les hommes.
(Mon dieu mais on est en quel époque, dans quelle pays pour que les gens aient ce genre de pensées?!)
Tu veux dire qu'elle serait.. lesbienne ?
Elle n'a pas l'air attristée... m'est avis qu'elle n'aimait pas Astrid.
... on dit qu'elle l'aurait poussé au suicide !


Des bribes de conversation parvenaient à ses oreilles. Elle savait bien que tout(tous) les regard étaient fixé(fixés) sur elle, mais elle n'y prêtait pas attention. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'était plus revenue dans .... cette vieille France comme avait l'habitude de dire Alec, peut-être justement parce qu'il n'avait jamais connu cette vieille France.(Super, c'est censé faire référence à quoi "cette vieille France" et surtout, en contraste avec quoi? D'où elle vient elle alors?)
Pour une fois, elle était d'accord avec lui. Son village natal semblait figé dans le temps. Il n'y avait plus de jeunes, que des vieilles pies en quête de ragots. (J'aime pas trop la vision stéréotypée de la campagne française. Pas du tout en fait^^)
Pia prenait plaisir à écouter les commérages. (ça en dit beaucoup sur elle.) Elle aimait savoir ce que l'on racontait sur elle, que ce soit bien ou mal. Elle n'en avait plus rien à faire, d'ici peu elle ne reviendrait plus. Jamais.

Elle pouvait sentir son souffle, cette respiration si régulière. (Tu l'as encore fait, le truc de la transition.) Alec. Il était encore tôt, deux heures quinze. Elle s'était réveillée après avoir rêvé de l'enterrement de sa mère. Non pas parce que cela la chagrinait. Mais parce que cela l'intriguait. Esperenza. Sa douce voix, son odeur, ses cheveux. Elle ressemblait comme deux gouttes d'eau à sa grand-mère, si bien que c'en avait été troublant. (On parle de qui là? De sa mère? D'une inconnue croisée à l'enterrement?)
Elle avait toujours trouvé sa grand-mère magnifique,(Je mettrais un point ici.) même dans ses derniers instants, alors que la mort l'effleurait, elle avait su rester splendide. Elle avait le don de charmer les hommes, de les envouter. Elle disait souvent à Pia (Faudrait vraiment nous donner un contexte je pense, parce que Pia, Esperanza, Alec, tout ça sonne espagnol pour moi, pas français.) qu'elle lui avait transmis ce don, mais Pia (répétition) se refusait à la croire. Sa grand-mère représentait tout pour elle, ça avait été sa mère, sa sœur, sa confidente et son amie. Elles avaient tout partagé et s'étaient tout donné mutuellement. Jusqu'à sa mort. Ce mardi 11 mai, il y avait maintenant plus d'un an. (Ok on cumule la mort de la grand-mère et celle de la mère, et on cumule aussi les questions non résolues, ça commence à devenir un peu lourd et difficile de tout garder en tête. Pour un début il faut donner des bases solides à ton lecteur, pas juste des pistes.)
Un mouvement brusque la ramena à la réalité. Il avait le sommeil agité. Elle le regarda un instant, il était beau dans son sommeil, on ne pouvait se douter de toute la connerie dont il était rempli.
Elle aimait dormir à ses côtés, même si elle avait longtemps milité contre,(Ce serait plus clair avec un point ici je pense.) cela la rassurait. Peu à peu il gagnait du terrain, s'infiltrant chez elle, dans son esprit, et dans son cœur... cale (cela?^^) l'affolait.
Ils avaient déjà parlé de mariage, (Sérieux? Non parce qu'ils ont pas l'air d'avoir le genre de personnalité qui pousse au mariage, mais alors pas du tout.) un soir alors qu'ils regardaient un téléfilm ennuyant, il lui avait même promit de lui rester fidèle, mais elle (ne) s'était pas risquée à dire oui. Mais(répétition) après tout... pourquoi pas ? Elle ne savait même pas ce qu'elle ressentait pour lui. (Ah si si, elle nous l'a dit plus haut : rien. Sauf une attirance physique certaine. Et un certain agacement.)
D'un côté elle le détestait, quand il la tournait au ridicule en s'envoyant en l'air avec cinq femmes différentes en une soirée pour revenir saoul pour s'effondrer sur son lit, mais elle ne pouvait s'empêcher de penser à lui. (Pardonne moi l'expression, mais ce type est le cliché ambulant du connard parfait. J'aurais préféré quelqu'un avec plus de nuance^^ Autre chose : revenait chez elle? Donc ils vivent ensemble? Et d'ailleurs elle vit où? Quel âge ont tes personnages?) Une envie irrépressible de le voir, l'embrasser, et s'oublier dans ses bras.(D'où elle sort cette phrase, pourquoi il n'y a pas de verbe conjugué?) Pourtant elle ne l'aimait pas, ne voulait pas emménager avec lui, et n'aimait pas le voir rester trop longtemps chez elle. Elle se sentait juste en manque d'affection, elle il (et il )était en mesure de lui en fournir. (À ce stade j'appelle pas ça de l'affection, juste du cul.)
"Pia ?
(— Alt+0151. Et normalement tu devrais utiliser des guillemets françaises, pas anglaise ->«») Mmh ?"
Il laissa glisser sa main le long de ses jambes. Il était fou de ses jambes, fou de ses seins, fou de son corps. Elle le rendait fou. Il l'embrassa et la colla à son torse. Il la voulait, avait soif d'elle, il n'était jamais rassasié. (Ok, encore un changement de point de vue sans prévenir.)
Il l'enlaça et tout les deux roulèrent sur le matelas, il enleva sa nuisette et elle se retrouva nue, collée contre son corps. Il prit une grande respiration. Ce parfum, cette chevelure, cette peau.
Il aurait voulu la posséder, la retenir. Il l'aimait. (Oh mon DIEU Quel retournement de situation!  affraid )

Voilà le lien pour commenter : https://ecrire.forumactif.org/t5589-commentaires-du-roman-sans-titre#150527



Bon. Alors tout d'abord les bons points :
- Hormis quelques défauts que j'ai relevé et une certaine affluence de verbes faibles que je ne sais pas moi même maîtriser, ton style est relativement fluide et maîtrisé.
- Si tu creusais un peu, tu parviendrais certainement à rendre tes incursions dans les pensées de tes personnages très vivantes et prenantes.

Problèmes :
- Ceux-ci sont assez creux, stéréotypés, et ils manquent apparemment d'une chose : un but. À moins que ça ne se résume à ne pas s'engager et à s'envoyer en l'air.
- Ton fil narratif est tout emmêlé, c'est flou : comme je l'ai dit, tu ne signales pas les transitions, les changements de lieux, de temps, et le lecteur n'a aucun repère. Ni l'époque, ni l'âge des personnages, à peine un lieu à un moment donné, pour en donner une vision encore une fois stéréotypée.


En relisant le début, je crois comprendre que Pia et Alec vont finalement se marier, puis qu'il va mourir (donc on cumule la mort de la grand-mère, de la mère et du mari, c'est une malédiction ou une tueuse professionnelle?)
et ça nous amène à l'isolation du début? Le récit devrait donc, je suppose, être porté par la résolution du mystère qui pèse autour de la mort d'Alec, voire la vengeance de Pia? Ou tu as prévu un tout autre scénario? Parce qu'en l'état, alors que le lecteur devrait déjà pressentir où tu veux l'emmener, on est toujours aussi perdu. Je pense que tu gagnerais beaucoup à clarifier les choses. Il faut qu'on sache un peu à quoi on a affaire pour avoir envie de continuer, tu comprends? Que tu maintiennes une tension qui nous donne envie de tourner les pages, parce qu'on veut savoir. Surtout si tu choisis le parti pris de faire des personnages insupportables^^

Bon, voilà, j'espère que tu n'auras pas mal pris tout ce que je viens de te dire, loin de moi l'envie de te faire peur à ton arrivé^^ Si tu as des questions n'hésite pas, je suis à ta disposition, et d'ailleurs je suis souvent sur la chatbox si tu veux y faire un tour. Sinon, il y a les mp et ce fil bien sûr^^

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MessageSujet: Re: [roman sans titre]   [roman sans titre] Icon_minitimeMer 25 Juin 2014 - 20:29

Ouhlà beaucoup de choses à dire  Wink 

Donc je prends note de tout, et oui, c'est vrai qu'en relisant le texte avec tes commentaires, je comprends qu'on puisse être perdu à la lecture. Faudrait que je reprécise un peu tout (personnages comme lieux et époques).
Après j'aime bien ne pas faire de transition, peut être parce que je connais le reste dans ma tête, mais du coup je pense que ça rend la lecture d'autant plus difficile ?

Et pour le coup... ben j'ai du mal avec les verbes faibles, j'essaye au maximum de les remplacer mais y'a quelque fois où franchement j'arrive pas du tout Razz

Et en fait l'histoire n'est paaas du tout comme ça. Avant de commencer à écrire je voulais qu'Alec soit un personnage secondaire... mais le problème c'est qu'en écrivant, je me suis prise à vouloir le décrire plus précisément et du coup l'intégrer vraiment au récit. Bon je ne sais plus quoi en faire maintenant puisqu'il ne me sert à rien, je vais essayer de modifier au mieux mon histoire.

Et concernant Pia, pour moi, c'est une fille dévastée par la mort de sa grand-mère (un an plus tôt donc) que celle de sa mère. Elle souffre de la solitude laissée par la mort de sa mère et non de la solitude par rapport aux hommes.
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MessageSujet: Re: [roman sans titre]   [roman sans titre] Icon_minitimeMer 25 Juin 2014 - 21:40

Elv a écrit:

Après j'aime bien ne pas faire de transition, peut être parce que je connais le reste dans ma tête, mais du coup je pense que ça rend la lecture d'autant plus difficile ?
Oui, je te le confirme^^



Elv a écrit:

Et en fait l'histoire n'est paaas du tout comme ça. Avant de commencer à écrire je voulais qu'Alec soit un personnage secondaire... mais le problème c'est qu'en écrivant, je me suis prise à vouloir le décrire plus précisément et du coup l'intégrer vraiment au récit. Bon je ne sais plus quoi en faire maintenant puisqu'il ne me sert à rien, je vais essayer de modifier au mieux mon histoire.
Stephen King nous conseille de tuer nos chéris, mais je te comprend^^


Elv a écrit:

Et concernant Pia, pour moi, c'est une fille dévastée par la mort de sa grand-mère (un an plus tôt donc) que celle de sa mère. Elle souffre de la solitude laissée par la mort de sa mère et non de la solitude par rapport aux hommes.
C'est bien pour ça qu'il faut que tu travailles sur les transitions, pour rendre le lien plus clair au lecteur, sinon ton espèce de petit prologue du début tombe complètement à l'eau selon moi. On ne comprend pas de prime abord, ce qui n'est pas forcément gênant en soit, mais si ça ne prend pas sens par la suite, on se contente de l'oublier, et ça c'est dommage.

Si tu ne te sens pas de les rédiger, je te conseille au moins de mettre un signe typographique pour signaler les ellipses par exemple, comme ça.

***

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MessageSujet: Re: [roman sans titre]   [roman sans titre] Icon_minitimeMer 25 Juin 2014 - 23:06

Ah oui pas mal les ellipses... dire que je n'y avais pas pensé !

Mais si je tue Alec du coup oui, ça fait un peu trop de morts.. ça mérite de s'attarder sur la question.
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MessageSujet: Re: [roman sans titre]   [roman sans titre] Icon_minitimeDim 6 Juil 2014 - 10:55

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