- Citation :
- Coucou tout le monde,
tout à l'heure je n'avais rien à faire et j'ai pris mon logiciel de traitement de texte et je me suis mis à écrire mes idées et alors au fur et à mesure je me suis mis à écrire cette sorte de prologue.
Je vous la post en espérant que vous me dites ce qui va et ce qui ne vas pas, je n'ai pas encore fait de correction, ce n'est qu'une idée écrite alors j'espère que ça vous plaira tout de même
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Je ne sais pas ce qui m' amené ici, n'y même comment
j'y suis arrivé.
Seulement, je sais une chose, ma vie a commencée
le jour où je suis morte, le jour où ma misérable vie
s'est terminée et où je suis devenu... une autre personne.
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J'ouvre les yeux, je ne sais pas où je suis. Il fait tout noir, j'ai du mal à respirer, l'endroit est calme mais pas pour autant rassurant, il y a comme une odeur de ... pourriture. Oui c'est cela : de pourriture.
J'essaie en vain de me relever, je suis enfermée dans un trop petit endroit pour qu'une personne humaine puisse s'y tenir assise.
Tout à coup, une question me vient à l'esprit, que fais-je ici ? Je me souviens m'être évanouie mais je ne sais plus exactement comment... Cette obscurité, si épaisse, qui m'a envahit alors que je rentrais du travail, tard ce soir là. Puis ces bruits, ces hurlements de femme.... J'accours, je fonce dans cette étroite ruelle et tout à coup s'offre à moins un terrible spectacle : Un homme était penché sur une femme, on aurait pu croire à deux amants qui s'embrassaient dans le cou sauf que cette femme hurlait de douleur.
Enfin le cri s'interrompt mais pour annoncer une triste nouvelle, la femme est morte. L'homme la lâche, elle tombe contre les poubelles de la ruelle comme une poupée de chiffon qui n'a plus aucune valeur.
Qu'est ce qui me passe alors par la tête ? je ne sais pas, je ne sais plus. Je m'élança contre cet homme, cet homme lâche qui avait tué cette femme devant mes yeux, qui ne lui avait laissé aucune chance de survie. Je le frappe comme je peux mais il ne proteste même pas, alors il se retourne vers moi et pour une seconde fois de la nuit s'offre à mes yeux une vision d'horreur.
La chose qui me fait face n'est pas humaine, certes a t'elle une silhouette humaine, mais le blanc de ses yeux, ces yeux sans vie... Et la chair mêlée de sang qui reste au coin de sa bouche... Rien d'humain.
Je ne peux plus bouger, cette vision d'horreur me pétrifie sur place, mes jambes ne répondent plus. Alors il sourit, il s'avance, lentement... Il regarde sa proie, l'examine et sourit toujours, il sourit comme un enfant devant un gros gâteau d'anniversaire et alors il m'attrape les bras et je sens son haleine putride. Mon corps est parcourue de frisson, je sens un haut le cœur me monter la gorge mais l'homme n'y prête aucune attention. Il me plaque contre le mur et il découvre ses canines, longues et pointues, comme celles d'un féroce animal et alors il me mord la chair du cou et je tombe dans un horrible trou noir, je ne ressens même pas la douleur. Seul l'oubli me fait face, seul le néant.
Mais suis-je morte ? la peur m'envahit, non je ne pouvais être morte, ce n' était qu'un simple rêve.
Mais alors, que fais-je ici dans cette "boîte noire" ?
Alors une idée me vient à la tête : et si ce n'était pas qu'un simple rêve ? Et si j'étais vraiment morte ? Et si ce que dans quoi je me trouvais n'étais rien d'autre qu'un cercueil ?
Voila Désolé pour les fautes d'orthographe, après tout je rentre en bac S ;p