Troiseme et derniere partits du chapitre : (je dit plus que j'ai fais ce que je pouvais niveau fautes mais c'est le cas quand meme) (oups je l'ai dit
)
-Chev et le chef des Serlckosien. Vous permettez que je dise Serlckosien? C'est plus rapide.
-Oui allez y.
-Donc Chev et le chef des Serlckosiens ont commencé à s'engueuler à cause de leur attaque surprise.
A la fin le Serlckosien a sortit un poignard et l'a planté dans le ventre de Chev. Je n'ai pas bien compris pourquoi. Chev avait fait allusion à une certaine bataille de Muriclos.
-Évidemment.
-Les Serlckosien se sont ensuite enfui a toute vitesse avant que nous puissions réagir. J'ai rapidement fait un pansement à Chev grâce a la cape d'un des gardes morts. Puis j'ai demandé à un des soldats de le porter.
Chev hors course, je prenais la tête des opérations. Il était évidant que nous devions fuir au plus vite mais je savais très bien que les canalisations ne seraient pas praticables. Jamais les Serlckosiens ne nous auraient laissés une occasion d'expliquer ce qui c'était passé avec chev.
-Vous croyez donc qu'ils vous tendaient un guets-apens dans les canalisations?
-Oui. J'ai donc du prendre une décision rapidement, la vie de "mes" hommes en dépendaient.
-Bon vous jouez?
-Hein?A... oui voilà. Donc je disais, j'étais en train de chercher une solution quand la cloche de l'alarme a sonnée. J'ai immédiatement pensé que c'était la faute des Serlckosiens. Et plus j'y pense plus je pense que c'était délibéré afin d'être sur de se débarrasser de nous. La suite fut simple. Puisque que l'alerte était lancé les gardes surveilleraient les murs pour que personne ne sorte et les gardes ne surveillant pas les murs nous chercheraient dans la ville. Conclusion aucune sortie praticable et ont ne pouvait pas rester cachés ici. Apres quelques minutes de réflexion, j'ai fini par conclure que notre seule chance de survit serait que l'armée divine attaque et prenne le contrôle de la ville. J'ai donc fais ce qu'il fallait pour que l'armée attaque cette nuit.
-L'incendie?
-Oui, un incendie aurait attiré l'attention de la majeure partie de la garde et donné une sorte de signal visible disant d'attaquer.
Mais disons que j'ai été plutôt chanceux puisque j'ai fait bruler le bon bâtiment: C'était l'atelier d'un alchimiste. La maison a explosé et un feu alchimique c'est étendu dans la ville à une vitesse étonnante. Je dois avouer qu'en faisant brûler l'atelier de l'alchimiste je ne pensais pas faire ce que j'ai fait. Je savais que les maisons de la cité étaient en bois ainsi que peu espacées donc facilement inflammable mais je ne pensais pas que ça irais si vite. Et surtout je ne pensais pas que la garde était assez idiote pour placer son entrepôt de poudre explosive à proximité d'une maison d'un coté et du mur de l'autre.
Les flammes ont atteint l'entrepôt par la maison et l'explosion de la poudre a ouvert une brèche dans le mur. La suite vous la connaissez: massacre, pillage, viol enfin victoire quoi.
-Puisque l'histoire est terminée je vais mettre fin à la partie. "Il bougeat un pion et la victoire lui fut acquise.
Nous sommes restés plusieurs heures à jouer au jeu d'échec.
Plus sa avançait et moins je l'aimais ce jeu. Jamais je ne m'étais fait massacrer comme sa, quel que soit le jeu d'habitude je me défendais mais la... A chaque fois que je croyais le piéger, il sortait un pion de là où je ne m'attendais pas pour me prendre le mien. A chaque fois il me tendait des pièges et a chaque fois je fonçais dedans tête baissée convaincu que je l'avais eu cette fois. Par la fenêtre ont voyait la fumée des incendies de la nuit ravager la basse ville alors que nous jouions tranquillement à des jeux de table à l'intérieur du donjon.
D'ailleurs comme le vieux roi l'avais prédit la bibliothèque brulât "accidentellement" et tous ces livres furent perdus.
Quelques jours plus tard, le capitaine ordonnât à la compagnie de se préparer à partir. Nous sommes partient pour le bois des répudiés.
Un nom de m***e pour une région de m***e. Cette région faisait officiellement partit de l'empire mais les rebelles y pullulaient. Ce qui n'était pas surprenant puisque que cette région était une immense foret de pin, sapin... Qui plus est le brouillard était presque toujours présent. Et la pluie... une vraie horreur, quand il pleuvait vous étiez bien entendu complètement trempés mais les feuilles, les aiguilles et les autres conneries tombaient des arbres, s'accrochaient à vous , rentraient par toutes les entrées praticables. Nous logions dans la ville de Locaude, la seul veritable ville de la region. Notre role etait simple et deplaisant : nous devions patrouiller dans la foret à la recherche de rebelle. Un vrai cauchemard d'autant plus que les rebelles profitaient de la vegetation et du brouillard pour nous accener des attaques surprises. A chaques sortis la tension se faisait plus palpable, a chaque petit bruissement de feuille tout le monde sursautait. Nous avions perdu cinq hommes et le nombre de blesser augmentait a vu d'oeil. Le pire est que jamais encore nous n'avions trouvés ne serait-ce qu'un rebelle.