Livre du Commencement [Titre provisoire]

Bonjour à tous.
Je suis un jeune Lyonnais de 20 ans !
Je me suis lancé depuis peu dans la rédaction d'un romain qui mélangera fantastique, fantasy et science fiction.
Pour tout dire je ne fais jamais lire mes écrits c'est pour cela que j'ai recherché sur le net un forum me donnant cette possibilitée.
C'est une première pour moi car je n'ose pas montrer mon écriture à ma famille ou bien même ma petite amie.
Je vous laisse juger mon démarrage, et n'ayez pas peur de me critiquer violemment, si vous trouvez cela pas ou peu intéréssant et que mon style est à tourner de l'oeil. A dire vrai je suis la pour ca.
En tout cas merci beaucoup a ceux qui me liront

Gaétan.

Livre : 1

Livre du commencement. par Jay Kerts

Introduction : Emergence.

L'homme ouvrit les yeux. Les paupières gonflées, les membres de son corps tout ankylosés. Une terreur soudaine l'empoigna, une peur atroce commençait à émerger. Il referma les yeux, tétanisé par la peur, il n'osait pas bouger, que se passait t'il, que faisait t'il la? Qui était t'il? Il ne comprenait pas. Il ressentait certains bruits, certains mouvements a ses cotés. Soudain, un cri déchirant, il se pétrifia encore plus. D'autres cris retentirent, il se décida à ouvrir les yeux. Se soulevant sur ses deux coudes il observa ce qui l'entourait, ébahit. Lui, et de nombreux, hommes et femmes étaient étendus dans une salle immense. Celle ci etait parfaitement éclairée, et le spectacle qu'elle révelait était saisissant. Plusieurs rangées de corps allongées lui faisaient face, inertes pour la plupart, certains gémissants ou, se débattant, par un simple coup d'oeil en arrière il en vit plusieurs autres. Chaque individus, ou presque étaient attachés solidement au sol par des longues cordes attachant leur poignets et leurs pieds. Deux hommes erraient debouts l'air hagard. Un troisieme homme, un grand gaillard, a la peau matte, commencait à détacher une femme à sa gauche.
Il se leva d'un bond, soulagé d'etre totalement libre de ses mouvements, et avançat entre les corps. La plupart dormait encore, il ne devait pas etre plus d'une vingtaine a être reveillé, mais seulement 4 à s'etre levé non attaché.
"Toi ! Viens m'aider a détacher ces saloperies"
L'homme a la peau bronzée venait de l'interpeller, les yeux remplies de haines, mais aussi de craintes. Quelque chose le frappa sur son visage, celui ci était tatoué, par un rubis d'une couleur magnifique, un bleue azur le troublant profondémment.
Il avanca en chancelant dans sa direction
"Mais..Qu..Qu'est ce qu'il se passe, qui etes vous?"
"Je sais pas, je ne comprend pas, aide moi ! Tiens lui la tete pendant que je delies les noeuds".
S'approchant pour soutenir la tête de la jeune femme blonde, il cru défaillir, son visage blème était orné du rubis, exactement de la même couleur que son compagnon. A sa droite, le vieille homme attaché possédait la même caractéristique...
Le temps défila, une éternité il lui semblat pour que lui et les chanceux qui n'était pas cloués au sol, puissent être enfin libre. Certains a leur réveil partaient en crise d'hystérie, hurlaient, se débattaient. Une des femmes griffa un homme lui entaillant sévèrement la joue. Elle fut rapidement assomée et à nouveau ligoté.


Un homme très mince, aux cheveux noirs prit la parole, le visage dur et inexpressif à la fois.
"Ecoutez moi !"
Quelques pleurs stoppèrent, et une masse d'individus commença à s'agglutiner face à lui.
Apres plusieurs minutes de flottement et de fausse organisation, il se mit à discourir.
"Je récapitule. Nous sommes tous dans une salle, sans aucune issue. Complètement isolé, désorienté, dans une salle immense et presque vide. Je ne sais pas plus que vous ce que je fais ici, je ne sais même pas qui je suis pour tout dire, j'ai l'impression d'exister, tout en n'existant pas. J'ai l'impression d'avoir vécue une vie dans un autre temps, mais elle me parait terriblement éloignée, comme un échos lointain . Si je me permet de prendre la parole c'est que j'ai trouvé quelque chose dans cette pièce. Et j'aimerais vous en faire part"
Il déplia un papier de sa poche et plusieurs personnes s'agitèrent mais rapidement un silence mortuaire s'installa quand les premières phrases résonnèrent"Bienvenue à tous et à toutes ! Bienvenue à vous ! Je vais être bref, ne cherchez pas à comprendre, vivez votre nouvelle vie, vivez la le plus pleinement. Votre passé n'existe plus, il n'a même jamais existé. Aujourd'hui est une naissance pour vous, grâce à nous, nous vous offrons de vivre une aventure pleine de sentiments, de l'amour à la haine. Pleine d'ambition, de moments inoubliables, les pires mais aussi les meilleurs. Vous ne possèdez rien, mais vous detenez aussi le tout, le pouvoir absolu. En effet, vous etes 101 élus par la voie du destin et du hasard. Vous formez un tout, 69 hommes, et 33 femmes unis pour le commencement jusqu'a la fin. Comme vous le constatez vous possèdez tous un symbole, un rubis azur, sur votre visage, mais aussi vos épaules et votre dos. Ceci est ce qui vous unira pour toujours, quoi que vous fassiez, cela vous rattrapera. Je n'irais pas plus loin dans mes explications, vous etes libres d'agir, de faire votre vie, d'accumuler une pincée de savoir.
J'en viens au fait rapidement, comme vous avez pu vous en apercevoir, vous etes coincé, aucune issue pour sortir de cette pièce.... Ahahah, je m'imagine vos têtes térrifiées. Pas de panique, restez calme il y a une issue, et une seule. J'ai mentionné précedemment des moments douloureux? C'est simple, l'un de vous doit mourir. Un homme, ou une femme qui a peine intégré dans cette merveilleuse entité, devra se sacrifier (ou être sacrifié accessoirement).
N'oubliez pas, meme si son rôle paraître ingrat, insignifiant, c'est peut être celui ou celle qui fera de vous ce que vous deviendrez. Bonne chance dans votre nouvelle vie !"
Un silence absolu suivit cette terrible conclusion. Bizarrement, la peur aurait du être à son paroxysme mais l'annonce avait eu un effet d'apaisement, chacun semblait commencer à comprendre son rôle. Une magie avait semblé opérer, la panique s'était envolée.


Une organisation fit très vite le jour, 2 hommes et 2 femmes furent mis en avant par la majorité groupe pour diriger la vie de la communautée.
Leur première tache fut de demander à chacun de tenter de trouver une issue sur les murs lisses. Après de longues heures infructueuses, un constat violent fit son apparition. Il n'y avait définitivement qu'une pièce hermétiquement fermée et 101 personnes. On pouvait rajouter une lettre... et cette lettre était bel et bien la réponse à tout les soucis.

Le premier soir, ou ce qui y ressemblait. eut lieu notre baptème, chacun décida de se nommer soit même, ou d'accepter une propre dénomination. C'est ainsi que je me nomma "Jay Kerts" et aujourd'hui encore j'ignore la raison de se choix.

Livre du commencementpar Jay Kerts (14 jours après l'évasion)

Chapitre 1 : Arto et Lisa .

Premier réveil, une nuit tumultueuse, beaucoup s'étaient observés, peu avaient dormis. Pour ma part, pas plus de deux heures, sous l'oeil vigilant de Calypso, le grand gaillard que j'avais épaulé la veille. Personne n'avait rien tenté de méchant, mais on sentait une tension croissante s'installer. J'étais debout depuis 5 minutes à peine quand une jeune femme c'est mise à gesticuler et à crier a tout le monde de rappliquer. Au fond de la pièce une partie que nous n'occupions pas, (une pièce qui devait atteindre facilement les 3000 m²) apparaissait plusieurs dizaines grandes caisses en bois usé.
Un inventaire fut établit. Des vivres pour au moins une quinzaine de repas par personnes et de quoi établir un campement. Celui ci était monté en quelques heures.
L'humeur générale s'améliorait, et la tension semblait s'être dissipée, je n'étais pas dupe, il me semblait évident qu'elle reviendrait très rapidement.
Je fus étonné de voir avec quelle facilité et efficacité nous avions organisé notre communauté, tout nos gestes semblaient parfaitement réglé, comme si nous avions fait cela toute notre vie ! De grandes toiles avaient été tirées et fixées, formant un cercle au milieux de notre gigantesque cellules.
Je restait dans l'ombre de Calypso, celui ci semblait avoir trouvé ses marques bien plus rapidement que moi. Pour ma part j'étais perdu dans mes pensées, partagé entre deux sensations. La première me terrifiait, une peur de l'inconnue, du danger, et de mon ignorance complète. La seconde m'ennivrait, je me sentais comme mené par des instincts enfouies au plus profond de mon être, sans pour autant pouvoir y expliquer.
Le premier repas fut distribué par les 2 femmes que nous avions désigné la veille. Tandis que Calypso et moi allions rejoindre notre abri de fortune un couple est venu se joindre à nous.
"Salut vous deux ! Je sais pas si vous vous souvenez de mon prénom ou si vous etiez trop secoué pour retenir hier, mais moi c'est Arto, et elle c'est Lisa, ca vous dit un brin de causette?"
"Salut, moi c'est Jay, et lui Calypso" ai je répondu.
"Ouais, ouais, je sais, j'ai mémorisé vos deux prénoms, vos têtes me plaisent bien."
La dénommée Lisa a gloussée.
Arto ne m'inspirait pas, derrière son sourire, je pouvais deviner des intentions obscures, une lueur dans ses yeux qui ne m'inspirait rien de bon.
Ils se sont installés à nos cotés, en déballant leurs maigres provisions.
Arto est parti dans un rire dément.
"Qu'est ce que tu veux?" a soudain balancé Calypso.
L'autre la fixé, yeux dans les yeux, sa copine à semblé se crisper.
"Faire connaissance, rien de plus, t'excites pas mon pote. Je me disais aussi qu'on pourrait veiller les uns sur les autres, je tiens pas pas à me faire étriper dans mon sommeil avec ce que l'autre gringalet nous a fais comme lecture hier soir, ca pourrait donner de sales idées".
J'ai vu a nouveau cette lueur maléfique dans son regard.
"On veille déja bien l'un sur l'autre t'en fait pas pour nous, tout ira bien...
- En fait, je me disais que vous seriez peut etre motivé pour accélérer la suite des évènements, monter un petit coup tous ensemble? Bouffer avant de se faire bouf...
- Dégage.
Arto a dévisagé Calypso d'un air mauvais.
" Tu veux tuer ? Ta pas les tripes d'attendre, de miser ta vie? Ta une seule chance sur 100 d'y passer, mais en tenant ce genre de propos tu augmentes clairement tes probabilitées.
- La peur? Je ne connais pas la peur... a dire vrai je subis le contre coup de mon impatience. Tant pis pour toi. Je pensais avoir trouvé des types bien, a la hauteur de mes ambitions. Notre destinée commune en a décidé autrement."
Il est parti d'un rire dément. Décidément, il avait mis très peu de temps à se révéler. Il a tourné les talons, suivit par Lisa qui n'avait pas prononcée un seul mot.
"Complètement ravagé" ai je fait remarquer.

J'avais des notions de temps, d'heures, de jours, de saisons dans ma vie antérieure (si j'en avais eu une). Encore quelque chose que je n'expliquais pas. Cette absence de repère temporel me pesait. Je m'étais renseigé auprès de Calypso et certains autres, tous étaient dans le meme cas que moi. Quoi qu'il en soit, le temps c'est écoulé, lentement, une lenteur atroce, renforcée par notre inactivitée à tous. Nos organisateurs désigné la veille essayait de rassurer certaines personnes prêt à craquer nerveusement. Ils faisaient de leur mieux, mais cela restait peu efficace. Leur nomination avait été la meilleure chose réalisée depuis notre arrivéee, ici.
Le premier était un homme de haute taille, aux visage ingrat, une longue balafre parcourait sa joue droite. Il se faisait appeler "Miliam".
Les deux femmes "Alara" et "Sisi" ne se quittait pas d'une semelle, on aurait pu les croire amie de longues dates. Toutes les deux agréable à regarder mais sans plus, leur visage était vide d'expression.
Enfin le dernier n'était autre que le lecteur de la veille, "Le gringalet" comme l'avait appelé Arto.
Je les observais souvent afin de guetter leur réaction, a dire vrai je me demandait si ils n'étaient pas impliquée dans le pourquoi de notre situation actuelle.
J'en parlais a Calypso le "soir" du second repas.
"Je comprend pas grand chose Jay, j'en ai aucune idée, j'essai de pas me poser trop de questions pour le moment, advienne ce qu'il pourra...
- Moué, je sais pas comment tu fais, sa m'obsède continuellement. Peut être que je rêve, que vous etes tous un produit de mon imagiation, que je vais me réveiller avec une vie a faire réver."
Il a éclaté de rire
"Ou bien une vie qui est un véritable enfer pire que celui la ! Non plus serieusement, j'annule cette possibilitée, ou bien c'est toi qui n'est qu'une invention sortie de ma tête".
J'en doutais serieusement.
Mon regard a croisé Arto qui s'était installé à notre proximité. Il fixait Calypso quasi en transe, psalmodiant des paroles que je ne déchiffrais pas.
J'ai demandé a Calypso : "Tu penses pas qu'on devrait signaler ce
aux chefs? Au moins a Miliam?"
- Je ne sais pas, imaginons qu'il soit l'origine de nos ennuis lui aussi, qui sera le plus dangereux? Qui sera le plus dingue? Celui qui nous a emmené dans cette horreur ou celui qui a pété les plombs a cause de celle ci?
- Ta l'air moins con que tu parais Calypso.
Nous avons éclaté de rire.

Livre du commencement,, par Jay Kerts (14 jours après l'évasion)

Chapitre 2 : Premier Payement.

J'ai veillé sur Calypso pendant qu'il tentait de prendre du repos. Un certain calme d'apparence régnait sur le campement. Personne ne naviguait, beaucoup dormaient. Je me sentais observé, une intuition qui me tiraillait l'estomac. Pourtant, personne n'était en vue.
Après une enième introspection, Cal' ma sorti de mes rêveries.
"Va te reposer, je prendrais soin de toi.
- D'accord, fait attention, j'ai comme un sale préssentiment.
- On est tous sur les nerfs, va dormir..."
Je suis allé m'allonger sur un tapis inconfortable. Je pensais que le sommeil allait mettre du temps à venir mais j'ai pourtant sombré rapidement dans un sommeil sans rêve.
Hurlements, cris, bruits de lutte, agitations.
J'ai doucement émergé. Et j'ai compris, un évènement terrible venait de secouer notre communautée.
Un groupe compact c'étais formé en périphérie de notre campement. J'ai couru voir les raisons de cette efferversance.
Le spectacle me frappa, a l'heure ou j'écris ses lignes, je n'ai toujours pas de réponse précise sur ce qui a pu arriver.
Calypso était a terre, le visage ensanglanté, les pieds et les poignets liés par les épaisses cordes qui nous avaient acceuillis à notre réveil. Il semblait sonné, mais continuait de se débattre et de grogner faiblement. Un peu plus sur le coté, un autre homme était allongé entouré par Miliam et Sisi. L'homme avait le visage boursouflé, des traces rouges sur le cou.

"On ne peux plus rien faire, il est mort, se salaud la étranglé." a déclaré Sisi.
Une femme a crié et a roué Calypso de coups de pieds.
"Qui... Qui a fait ca?" ai je demandé timidement. Je connaissais déja la réponse, mais elle ne répondait a aucune logique en moi.
Une main s'est posé sur mon épaule.
"C'est Calypso, je ne l'aurais jamais cru capable de résoudre nos problèmes, il paraissait si juste et si loyale. J'en ris presque."
C'était Arto. Il a repris en s'adressant a tout le monde.
"Et voila, un mort, la folie a corrumpu cet homme. Il a tué, et rien de ce qui devait se passer ne se passe. Ou est donc notre libération promise? Qu'allons nous faire de ce meurtrier?"
- Tuons ce sale porc !" a rugit la femme qui avait roué de coups Calypso. Apparemment elle avait été proche de la victime.
"Je vous jure que je ne suis pas coupable de ce drame. Croyez moi, Jay! Dis leur que je ne peux pas faire une chose pareil."
Pauvre Calypso, il semblait sincère, mais pouvais je vraiment lui faire confiance? Je ne le connaissais que depuis deux jours à peine, dans des conditions ou au final rien ne pouvait vraiment etre surprenant.
"Nous l'avons pris sur le fait" a repris Arto.
"5 gars n'ont même pas suffit à le faire lacher prise. Je pense qu'il est victime d'un coup de folie passagère" Ses yeux malicieux étincellèrent.
Un tremblement ébranla soudain les ardeurs, chacun fut saisit d'une terreur sourde. Mon champ de vision fut éblouit par une lumière aveuglante.
Progressivement, j'ai pu a nouveau distinguer mes compagnons. J'ai hoqueté de surprise.
Une gigantesque porte, ornait le mur d'en face. Elle s'imposait, nous maintenant dans état de silence, d'hébètement.
Après ce qui me semblat une éternité une femme déclara
"C'étais donc vrai, nous somme libre, nous allons pouvoir en connaître un peu plus de cette folie qui nous a amené ici. Le sacrifice qui devait être accompli a eu lieu. Nous pouvons nous en aller !"
La porte c'est ouverte, magistrale, sans un seul grincement bien entendu.
Derrière celle ci, une autre salle nous attendait.

Tu as raison de poser tes écris dans ce forum, il est fait pour ça.
Je trouve l’idée de ces personnes se retrouvant dans cet endroit sans en savoir ni les raisons ni le comment, vraiment intéressante.
Sinon cette pièce manque d’une description détaillée, elle est éclairée, par quoi ? Comment se fait-il que personne ne voit les caisses ?
Je trouve que l’hystérie, arrive vite, trop vite. Pourquoi admettre la réalité des informations de cette lettre ? Il manque à mon sens le temps d’une description physique et psychologique des uns et des autres. Ensuite, des liens d’amitiés se crées rapidement sans raison évidente. Une personne va être sacrifiée. Déjà à peine les informations sont-elles dévoilées que l’idée du meurtre est accepté. Aucune contestation… pourquoi ?
Les abréviations des noms du fait d’une camaraderie trop vite instituée, gène un peu. Pour l’orthographe, d’autres tellement meilleur sauront mieux t’aider. En ce qui me concerne l’idée du départ reste bonne, mais il manque le ciment de la vraisemblance. Pour que le tout tienne debout. Mais ce n’est qu’un point de vue, Et beaucoup dans ce forum possèdent des longues vues.

Salut Chnac ! (on est voisins, puisque je suis à Lyon aussi)

Présente-toi plutôt dans le topic "présentation des membres" si possible. ::rolling::

Et ne poste pas trop d'un coup, ou nous ne pourrons pas suivre le rythme.

Intro : "Il ressentait certains bruits" a part les bruit de basse personelement je ressent pas de bruit
"Quelque chose le frappe sur son visage, celui ci était tatoué" c'est normal l'usage du present ?

JE trouve le ton du message (celui que l'autre lit) trop familier.


Je ne comprend pas le passage de la troisieme a la premiere personne

chap 1 :
"Au fond de la pièce que nous n'occupions pas" avant tu parlais d'une seul piece ou alors tu veu dire que "vous" n'occupez pas le fond de la piece ? (a 7:42 je suis pas au mieu de mes capacité de comprehension)

"Salut vous deux ! Je sais pas si vous vous souvenez de mon prénom ou si vous etiez trop secoué pour retenir hier, mais moi c'est Arto, et elle c'est Lisa, ca vous dit un brin de causette?" On t'aborde souvent comme sa dans la rue ? (moi pas)

"Ce mec" j'imagine que tu parle de Arto mais juste avant tu parle de Lisa et ducoup sa nous embrouille dit plutot Arto ne m'inspirais pas

"t'excites pas mon pote" vraiment trop familier pour un debut


"Décidément, il avait mis très peu de temps à se révéler" je trouve aussi oui

Bon tu as trop poster d'un coup donc sa me fatguie alors j'arrete la ma correction detaillé

allez juste : "tirs aillait"

"a l'heure actuelle ou j'écris ses lignes" je peu pas laisser sa sa serai criminel : enleve le "actuelle"

"
Il
On ne peux plus rien " normale le "Il" ?


Bon maintenant le general :
Le style n'est pas desagreable mais je trouve que tout va beaucoup trop vite, tout l'interet d'un huit-clot c'est de pouvoir etudier tranquilement la psycologie des personage et la je trouve que tu l'explore pas assez.

Ensuite pour l'histoire en elle meme :
Quand j'ai commencer a lire ton texte j'ai penser au Fleuve de l'Eternité, puis a battle royale et a saw (pour les deux filme ce n'est pas un compliment)
Donc, autan le premier j'ai beaucoup aimé autan les deux autres ...

Voila

Tout d'abord merci à vous tous pour vos réactions rapide !

Olivier L
Je vais tenter de donner une nouvelle dimension à la pièce, de la décrire plus en profondeur.
Je me doutais que mon style trop rapide serait mis en avant.
Peut etre est ce du au fait que ce huit clos n'est qu'une introduction visant à expliquer l'arrivée de ces personnages dans leur futur environnement. Concernant la camaraderie trop vite de mise, je suis la aussi d'accord. Que faire?

Tekmerak
Pour le ton du message qui est lu, je suis moi même géné quand je me relis, trop enfantin. Je vais essayer de le reprendre et de lui donner un ton plus serieux.
Pour le fond de la pièce, oui c'est une partie seulement inutilisée de la pièce, j'ai rajouté "une partie" pour etre plus explicite, mais la formule me gene un peu.
Pour arto en tout cas c'est un choix délibéré de le rendre entreprenant, et familier. Je souhaite que le personnage passe tout de suite pour un homme "fou" et ne respectant presque rien.
Pour le tiraillait et le IL ce sont des fautes de frappes durant la retranscription.


J'ai commencé quelques modifs
A bientot !