une histoire de famille titre PROVISOIRE

voila je me suis lancé depuis peu dans un troisième roman, les deux autres ayantété abandonné en chemin pour diverses raisons

je post le prologue, le chapitre 1 suivra bientôt
c'est la version non corrigé, je m'en excuse donc d'avance

Introduction

Une lande sauvage, des herbes hautes balayées par le vent et un monolithe. Voila le terrain de jeu favori des Korrigans. Celui-ci se trouvait de surcroit près de l’une des grandes villes du royaume, la cité portuaire d’Estrial. En ce soir de demi-lune, le ciel était à peine voilé, et Shakta, le chef de la tribu, pouvait s’en donner à cœur joie avec ses compères. Tout n’était que cris et rires. Au milieu de ces petits êtres braillards et, il faut le dire, hideux, se tenait un jeune homme qui approchait de l’âge adulte. Lui aussi semblait bien s’amuser, et prenait part aux chants et autres danses qui animaient la soirée. Plutôt petit pour son âge, il avait de longs cheveux noir jais et bouclés, la silhouette fine et élancée, et des vêtements finement tissés, œuvre des femmes korrigans, qui mettaient en valeur les formes de son corps.
Tédramis, c’était son nom, n’avait jamais connu autre chose, et n’imaginait pas qu’on puisse vivre autrement. Il découvrirait bien assez tôt que les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent.

Özil se tenait droit, assis à la gauche de son père, le roi Terek, souverain des contrées humaines en ce bas monde. Il écoutait attentivement, ou du moins essayait-il, les doléances des petits nobles. Ceux-ci se tenaient les propos habituels, se plaignant des impôts trop lourd, des mauvaises récoltes, et du peu de confort que leur procuraient leurs châteaux austères, bref, rien ne leur convenait. Özil admirait son père. Celui-ci avait bâti sur les décombres fumants laissés par la guerre un royaume prospère et paisible. Il était aimé du peuple, et il savait manipuler à sa guise et selon ses besoins les nobles à qui il avait délégué le pouvoir dans les provinces.
La séance dura encore une heure. Il était tard, et la journée avait été rude. Özil était fourbu et ne rêvait que de son lit et de l’édredon douillet qui l’accompagnait. Mais son père le retint un peu après la levée du conseil.
« -Approche Özil, j’ai un cadeau pour toi.
-Qu’est ce donc père ? Et en quelle occasion ? »
Terek observa longuement son fils, plongeant son regard dans les yeux acier qui le fixaient. Puis il sourit. Il n’avait pas à être inquiet. Özil sortait à peine de l’adolescence et pourtant son regard reflétait déjà la sagesse et le sens du devoir qui l’habitait. Il était bien bâti, les épaules larges, les muscles saillant, et le buste bombé. Il ferait un bon monarque.
Il se leva et contourna le trône central. De derrière, il retira une épée, qu’il tendit à son fils, garde en avant.
« - Tu seras un jour amené à gouverner. Cette épée se transmet de souverain en souverain depuis que la dynastie des Azufel est au pouvoir. C’est en quelque sorte un signe de reconnaissance. J’aimerais te l’offrir avant ton arrivée au pouvoir pour te témoigner ma confiance ainsi que mon amour.
-Merci père, je saurais me montrer digne de cette épée, et j’essaierais d’être à la hauteur de vos espérances. »
Après avoir parlé de la journée passée et de celle à venir, ils montèrent se coucher. En fermant les volets, Özil s’arrêta un instant pour contempler le ciel. Il était clair, et la demi-lune brillait au loin.

Comme toujours, Léa se glissa furtivement parmi les étals du marché nocturne d’une partie peu fréquentable de l’Agora. Ici, on trouvait toutes sortes de talismans, porte bonheur, amulettes et autres potions. Elle n’aimait pas les jours de marché de nuit. Elle n’aimait pas la foule et plus particulièrement celle qui se pressait ici. Agé de dix-sept ans, elle vivait depuis toujours dans l’une des rares maisons à la lisière de la forêt, avec sa mère adoptive. Elle était obligée de passer par ici pour rentrer après une longue journée d’apprentissage chez l’un des maitres architectes de la ville. Il y avait toujours du travail là-bas, et elle finissait régulièrement après la tombée de la nuit, mais cela ne la gênait pas plus que ça. Elle leva les yeux vers le château qui surplombait la ville. Voila la seule chose qui lui faisait peur. Si quelqu’un découvrait son secret, elle était sûre de finir à la potence.
Elle avait appris à vivre avec cette angoisse, mais cela ne l’empêchait pas de faire des cauchemars chaque nuit.
Elle soupira puis repris son chemin, jouant des coudes pour atteindre sa maison. Arrivée sur le seuil, elle regarda le ciel.
C’était une belle soirée, la demi-lune brillait.

trop lourd' lourds
décombres fumants" je crois que décombres est féminin.
les muscles saillant" saillants
j’essaierais" essaierai.
A suivre...

merci de ses correctons.
Par contre je suis sur a 99% que décombre est masculin
Mais sinon tu penses quoi de la tournure des phrases et des personnages mis en place?

Je réserve mon jugement pour plus tard. Pour l'instant je suis mitigée. Je trouve certaines de tes phrases maladroites, plusieurs détails me chagrinent, notamment la ponctuation.
Une lande sauvage, des herbes hautes balayées par le vent et un monolithe. Voila le terrain de jeu favori des Korrigans."
je propose
Une lande sauvage, des herbes hautes balayées par le vent et un monolithe : voila le terrain de jeu favori des Korrigans.
Des phrases qui sont trop longues, des informations mal amenées qui semblent avoir été données pour informer le lecteur sans réelle construction de récit...
Enfin, dire à tes lecteurs que c'est une version non corrigée n'est peut-être pas la façon la plus stimulante de les inciter à te lire.
Je lirai la suite tout de même avec plaisir

Ba pas grand chose a dire, plutot d'accord avec evahe.
quoique moin mechant (c'est dans ma nature)

et j'en sais pas assez sur tes personages et ton histoires (et ton monde) pour pouvoir en dire plus

merci des critiques, je vais reprendre ca dans la semaine et je posterais le chapitre 1