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 Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment

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Rima68
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MessageSujet: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeSam 6 Fév 2010 - 18:23

Bonsoir.
Je me suis enfin décidée à poster la première parie de mon roman qui est en cours d'écriture et qui n'a pas de titre pour l'instant. Je vous souhaite une bonne lecture et une bonne chance pour déchiffrer mon expression écrite qui doit s'améliorer (c'est en partie pour ça que je poste ici). Mon roman n'est pas parfait c'est pourquoi je vous demande votre avis et vos conseils car j'en aurais sûrement besoin pour l'améliorer. Very Happy
Je ne sais pas si je l'ai mis au bon endroit, ça se passe en 2115.

Voici le chapitre 1 :


Benjamin entra dans le parloir suivi de deux gardes qui lui ôtèrent ses menottes. Le jeune homme s’avança vers sa mère. On les avait isolés ensemble et ils étaient sous surveillance. Mélanie serra son fils contre elle. Des larmes perlaient sur ses joues.
-Aucun contact ! Cria une voix dans le haut parleur.
La mère se détacha de son enfant et ils s’assirent de part et d’autre de la table qui trônait en plein milieu de la pièce sombre. Benjamin avait des cheveux roux comme ceux de sa mère et des yeux bleus qu’il tenait de son défunt père.
-Ca va ? demanda Mélanie
La femme n’était plus toute jeune et venait d’apprendre que son fils passerait le restant de ses jours en prison pour meurtre. Elle n’était pas très forte et avait du mal à se faire à l’idée qu’il ne serait jamais libre et que son avenir était scellé à seulement 18 ans. Elle portait de longs cheveux roux noués en un chignon et ses yeux étaient verts. Elle était petite de taille, plutôt maigrichonne et était très pâle malgré le maquillage qui colorait son teint. Elle était habillée en marron comme à son habitude et elle s’était parfumée. Benji la trouvait belle et pensait qu’elle devait songer à refaire sa vie avec un autre homme. Elle refusait d’oublier Thomas mort quatre ans auparavant.
-Comme un innocent en prison. Répondit-il
-J’ai eu l’autorisation de te donner ça. Expliqua-t-elle en sortant trois boites sur lesquelles étaient marqué « VENTOLINE », tu en aura surement besoin avec ton asthme…
Benjamin les pris et la remercia d’un signe de tête.
-Je ne veux pas que tu t’inquiète maman, murmura t-il. Tu sais que mon avocat fait tout pour prouver mon innocence. Rien ne presse ; il n’y a plus de peine de mort en France depuis plus de cent ans donc je risque rien… Je te demande de prendre soin de Camille, elle est fragile elle ne doit pas souffrir à cause de moi. Ne t’en fais pas.
Il semblait avoir confiance ce qui rassura sa mère. Ils passèrent le reste de l’heure à se regarder. Benji la réconfortait en lui disant que ce n’était pas si terrible.
A 15 heure Le jeune homme dut regagner sa cellule. Il n’y était plus seul. Un jeune homme à peine plus âgé que lui s’installait sur le second lit. Le garde le laissa entrer avant que la porte ne se referme automatiquement.
-Salut !s’écria le nouveau venu. Moi c’est Matthieu mais tu peux m’appeler Matt, et toi ?
-Benjamin, dit il en s’asseyant sur le lit il rangea ses médicaments dans le tiroir de sa table de nuit.
-Pourquoi t’es ici ? demanda le dernier arrivé.
-Toi tu ne va pas souvent sur internet et tu regardes jamais la télé. Répondit le rouquin
-Pourquoi ?
Le jeune homme soupira.
-Je suis celui qui a tué Justine Pérraut…
Matthieu écarquilla les yeux :
-Eh ben ! Si je m’attendais à ça…
-Je ne l’ai pas tué !
-Avoue que les faits sont contre toi…
Il haussa les épaules et s’allongea sur son lit.

Deux jours plus tard, ça devait être un jeudi un garde entra dans la cellule des deux adolescents.
-C’est toi Benjamin Kennedy ? demanda-t-il
Le jeune homme hocha la tête.
-Le directeur veut te voir !
Son geôlier lui passa les menottes et l’entraina jusqu’au bureau de M. Groand. C’était un petit homme chauve qui portait de petites lunettes derrière lesquelles il ne cessait de plisser ses yeux verts. Il portait la moustache et était habillé avec un costume noir et une chemise blanche. C’était un homme qui se souciait beaucoup du confort de ses jeunes détenus. Son bureau était spacieux, il y avait un ordinateur tactile dont l’écran était allongé sur le bureau pour permettre à l’utilisateur d’écrire sur cet écran. Le fauteuil à roulettes sur lequel le directeur était assis était en velours noir et derrière celui-ci on distinguait une fenêtre avec des barreaux.
-Bonjour M. Kennedy ! s’exclama l’homme. Asseyez-vous !
Benjamin obéit et le garde les laissa seuls.
-J’ai une bien triste nouvelle à vous annoncer. Dit-il avec un air embêté
-Je vous écoute. Rétorqua l’adolescent
-Votre mère vient de mourir dans un accident de voiture. Un chauffard n’a pas respecté la priorité et…
Benji baissa les yeux et se prit la tête dans les mains, il pleurait. Il ne pensait pas qu’une telle chose puisse arriver, il ne l’avait pas prévu. « Ils ont osé faire ça ? » pensa-t-il
-Ce n’est pas possible ! Non ! S’il vous plait ! Dites-moi que c’est pas vrai! Sanglota-t-il
-Je suis désolé…
-Je pourrais aller à son enterrement ?
Le directeur baissa la tête, ennuyé :
-Je ne crois pas… Vous êtes considéré comme trop dangereux. Mais je peux toujours demander une sortie au juge… Après tout c’est exceptionnel.
-Mais s’il y a un garde qui me surveille, si le suis menotté…
Le responsable secoua la tête :
-Je ne peux rien vous promettre.
-Et ma sœur ?
-Il y a une très bonne famille d’accueil qui s’occupera d’elle. Expliqua-t-il
Benjamin se leva :
-Je veux retourner dans ma cellule !
Le chef de l’établissement hocha la tête et il appela le gardien qui attendait devant la porte. Pendant qu’il marchait Ben pleurait, il n’avait même pas le droit d’assister à l’enterrement de sa mère. Il s’en voulait et en voulais à son père de ne plus être là.

Voilà merci d'avoir pris le temps de me lire.


Dernière édition par Rima68 le Lun 8 Fév 2010 - 18:08, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeLun 8 Fév 2010 - 10:21

Bon début, bien horrible pour le héro, donc bien prenant.


J'ai des petites remarques sur la forme, mais je demande quand même à voir la suite.Wink


mes remarques :


Citation :
Elle n’était pas très forte et avait du mal à se faire à l’idée qu’il ne sera jamais libre et que son avenir est scellé à seulement 18 ans

petit problème de concordance des temps, si ton récit est au passé il faudrait écrire "serait" "était scellé"

Citation :
Elle refusait d’oublier Thomas mort quarte ans auparavant.

Là... déjà c'est "quatre" je pense, et si tu donnes cette information en tant que narrateur tu devrais préciser qui est "thomas" je pense. ça fait un peu bizarre de balancer le nom ainsi sans aucun contexte. Fin bon c'est toi qui vois.




Citation :
il n’y a plus de peine de mort en France depuis plus de deux cents ans donc je risque rien…

il me semble que la peine de mort a été abolie en 1981, alors en 2115 ça ferait plutôt 134 ans :p

voilà c un poil du pinaillage comme tu vois. j'attends de voir la suite.
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeLun 8 Fév 2010 - 11:35

Voilà j'ai corriger ces quelques fautes d'inattention...
Merci d'avoir pris le temps de me lire.
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeLun 8 Fév 2010 - 12:55

Brr ! Plutôt mal parti pour ton héros, mais ça pique la curiosité !

quelques corrections
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeMer 10 Fév 2010 - 14:38

Merci d'avoir pris le temps de me lire et de me corriger, voici la suite

Chapitre 2 :

-Qu’est ce qu’il y a ? demanda Matthieu
-Ils l’ont tuée, ils l’on tuée parce qu’ils avaient peur qu’elle sache quelque chose ! Hurla-t-il en donnant un coup de pied dans un mur. Benjamin s’assit sur son lit.
-Qui ? demanda le curieux
Il haussa les épaules :
-C’est à cause de mon père.
-Pourquoi ?
-Je n’ai pas le droit d’en parler.
-Dis-moi, ça se fait pas de parler à moitié…
Il soupira :
-Mon père est mort il y a cinq ans, il est mort car il avait découvert un secret, qu’il m’a transmit grâce à un langage codé contenu dans les messages électroniques qu’il m’envoyait qu’il m’envoyait.
-A treize ans t’es arrivé à déchiffrer un message codé ?
-J’ai toujours été très intelligent et puis je connaissais le code depuis petit, il savait qu’il pourrait me faire confiance…
Ben baissa la tête et sécha une larme qui coulait sur sa joue.
-C’était quoi ce secret ? demanda son ami impatient
-Je ne peux pas te le dire !
-Pourquoi ?
-C’est un secret qui implique l’ONU et l’UE, ils te tueront s’ils savent que tu es au courant. C’est pour me faire taire qu’ils m’ont mis ici, ça leur évite d’avoir un mort sur la conscience… Les dirigeants actuels prétendent respecter les droits de l’homme mais c’est faux ! Ils veulent juste s’enrichir au détriment des autres. On est tous fiché, tous nos mouvements sont observés grâce à leur système de caméras. Ils savent tout ce qui est dit, tous ce qui est fait, tous ce qui est échangé. Partout, à tout moment. Ils contrôlent tout, même notre évolution. Dans le début des années 2000 la technologie évoluait à une grande vitesse ; tous les deux ans une nouvelle console de jeux, un nouveau téléphone mobile encore plus performant. Tout cela pour répondre à une société de consommation créée quelques années avant. Maintenant des nouvelles choses sont découvertes tous les jours mais personne ne le sait. Tout est contrôlé ! En cent ans on a moins évolué qu’en vingt dans le début des années 2000 !
-Comment tu sais tout ça ?
-Ouvre un livre d’histoire et tu comprendras. Ils ont du stopper progressivement cette société de consommation qui détruisait la planète car les gens étaient dépendant des énergies fossiles. C’est pour ça que l’écologie était à la mode à l’époque. A présent les gens savent qu’on leur cache des choses ; c’est pour ça qu’ils se révoltent. Ils ont arrêté de diffuser les découvertes en informatique, en électronique, en nanotechnologie, en armement et tous les autres trucs. Même en médecine pour certains médicaments ils ont tout filtré
Matthieu baissa les yeux :
-En même tant dans les années 2000 rien allait bien entre l’écologie, l’économie, l’éducation… et j’en passe.
Son ami hocha la tête.
-Je sais. Heureusement, ça n’est plus ainsi à présent mais des choses bien plus graves se préparent… Je ne peux pas en parler.


Plus tard durant la promenade dans la cour Benjamin se dirigea vers la chapelle pour pleurer. Sa mère lui avait toujours dit que s’il priait quelqu’un l’aiderait. Il s’assit et se mit à pleurer.
-Mon garçon. Fit une voix derrière lui.
Benjamin se retourna et se leva. Le curé qui venait de temps en temps était là en face de lui et posait sur lui un regard bienveillant.
-C’est vous l’assassin de Justine Pérraut ?
A la mention de ce fait il voulu s’en aller. Mais le prêtre le rattrapa par le bras.
-Je ne vous juge pas. Seul Dieu le peut. Qu’est-ce qui ne va pas ?
-Je n’ai tué personne ! murmura-t-il.
-Je vous l’ai dis : seul Dieu est juge de nos actes et tout le monde fait des erreurs personne n’est parfait. Ce n’est pas la première fois que la justice se trompe. Dites-moi ce qui vous amène.
-Vous savez, je ne suis pas catholique ; mon père est d’origine américaine et donc protestant et ma mère est alsacienne et aussi protestante… Je ne suis donc pas catholique mais… Elle m’a toujours dit que de toute façon il y a peu de différence entre les deux… Et puis il n’y a pas de pasteur ici mais j’aimerais me confier à vous.
-Je suis là pour ça.
-Ma mère est morte et je… j’aimerais pouvoir aller à son enterrement… mais le directeur me laisse peu d’espoir pour que je puisse sortir.
-Je n’ai malheureusement aucune influence sur la justice.
-Je sais mais mon avocat en a… Pouvez-vous lui donner cette lettre. Il s’appelle M. Justinien. S’il vous plait.
Le prêtre baissa les yeux et parut hésiter :
-D’accord. Dit-il enfin
-Merci mon père.
Benjamin retourna dans la cour.


Dernière édition par Rima68 le Sam 13 Fév 2010 - 11:52, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeMer 10 Fév 2010 - 19:31

On en sait un peu plus mais c'est toujours aussi mystérieux !

corrections
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeSam 13 Fév 2010 - 11:52

Voila j'ai corrigé, merci.
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeDim 14 Fév 2010 - 5:00

Personnellement, je trouve qu'il déballe un peu vite son histoire, mais c'est juste un autre style d'écriture. J'ai bien hâte de savoir comment il va utiliser ces informations.
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeMer 24 Fév 2010 - 20:20

Voila la suite qui est toujours aussi rapide (j'en suis désolée)

Chapitre 3 :


 Après deux jours de tristesse pour le jeune homme le directeur lui annonça que son avocat avait convaincu le juge de le laisser sortir pour qu’il puisse assister à l’enterrement. Il fut emmené en voiture de police dans laquelle il était menotté et où il n’avait pas le droit de parler. Arrivé au cimetière après la cérémonie au temple protestant de la ville de Mulhouse en Alsace. Lorsque la petite Camille vit son frère elle courut vers lui. Elle avait des cheveux blonds comme leur père et de beaux yeux verts elle n’avait que 12 ans mais était assez intelligente. Elle a toujours été proche de son frère malgré leurs disputes.
-Salut ! dit elle en se blottissant contre lui
-Salut, ça va ? Tu as été mise en foyer ? Ils sont gentils avec toi ? demanda Benjamin
-Arrête on dirait maman. Oui je vais bien mais tu me manque…
Il s’agenouilla pour être à sa taille :
-Ne t’inquiète pas mon avocats me fera sortir de prison et on pourra ce voir.
-Promis ? demanda la fillette
-Promis.
Benjamin devait se tenir un peu à l’écart des gens qui étaient venu à l’enterrement. Ses gardes ne devaient pas le perdre de vus.
-Bonjour. Je suis l’assistante maternelle qui s’occupe de Camille. Commença une dame. Vous êtes son frère ?
Le jeune homme hocha la tête.
-Camille m’a beaucoup parler de vous, continua la femme. Elle vous apprécie beaucoup.
-Je sais et je ne veux pas qu’elle souffre à cause de moi. J’ai fait des erreurs graves mais sachez que je n’ai tué personne ! C’est une erreur et je sais qu’elle en souffrira.
-Ne vous en faites pas elle est forte et je veille sur elle.
-Merci.
Il se retourna et dit adieu à sa sœur. Sans le savoir cette escapade lui redonna le goût de la liberté. Durant le chemin du retour cette idée l’obsédait : il fallait qu’il s’évade. Pour sa sœur et pour empêcher les gouvernements de l’ONU de faire une énorme bêtise qui couterait la vie de beaucoup de monde…
Il savait qu’il pourrait compter sur Matthieu et qu’ils pourraient se réfugier en Suisse. S’il expliquait tout à leur gouvernement, il comprendrait sûrement mais il ne prendra pas position… La Suisse a toujours été neutre. Entre l’association et la destruction elle avait choisit la neutralité et tout le monde l’avait toujours respecté. Il avait besoin de créer un incendie non loin de sa cellule et de profiter du chao pour s’enfuir. Il n’avait pas envi de créer des ennuis à son ami Matthieu… Lui qui devrait sortir d’ici deux ans… Il le laissera là-bas.
-Eh tu sors ou pas ? s’écria le gardien qui lui avait ouvert la porte.
En retournant dans sa cellule Ben retrouva Matt et il lui exposa ses plans d’évasion et son désir de ne pas lui faire courir de risque.
-Ne t’inquiète pas, je t’aiderais… Moi je n’ai que deux ans à tirer ici et ce sera vite finit et je préfère sortir d’ici légalement. Quoique… Si je pouvais sortir avec toi…
-Pas question, dans deux ans t’es libre si tu sors et que tu te fais prendre ce sera trois fois plus long. Si tu te fais pas prendre tu seras condamné à une vie de cavale.
-Et toi ? demanda t-il
-Moi c’est différent. Je ne veux pas t’entrainer dans mes emmerdes. Tu dois en avoir assez comme ça…
-On est plus fort à deux et je ne veux pas te laisse tomber…
-D’accord. On verra demain.
Ils avaient parlé à voix basse pour que personne ne les comprenne. Ben savait qu’il lui faudrait activer l’alarme incendie pendant le repas du soir. Ainsi il ferait nuit quand ils partiront.
Par chance le lendemain après-midi il fut assigné au nettoyage de la cuisine. Il put alors installer un petit dispositif de son invention qui rendait le détecteur de fumé plus performant donc dès que le cuisinier allumerait les fourneaux il se déclencherait… Ils profiteraient de la panique générale pour s’évader par la clôture qu’ils découperaient. Benjamin savait que les caméras seraient attirés par les mouvements des détenus agglutinés dans la coure et que les gardes se rendraient compte de leur évasion que tard dans la nuit.
-T’as un ordinateur dans la tête ou quoi ? demanda Matt quand ils se retrouvèrent dans leur cellule.
-J’ai toujours été intelligent. Je suis le meilleur en maths, en physique, en informatique… Je suis surdoué et j’ai fait la fierté de mon père grâce à ça.
-Bon en maths… c’est quoi la racine carré de 2715 ?
Benjamin le regarda exaspéré.
-Tu crois vraiment que je peux calculer ça de tête ? Je ne suis pas un ordinateur…
-A peu près… T’as récupéré ce que je t’ai demandé ? demanda-t-il plus bas.
-Tiens, ce rayon laser peut cramer n’importe quoi… sauf le plomb.
-Parfais.
-Plus que cinq minutes et ça sonnera. Murmura-t-il.
Il avait raison au bout de cinq minutes l’alarme incendie retentit et les portes des cellules s’ouvrirent automatiquement en laissant sortir les détenus. Des gardiens leur hurlaient de ne pas s’affoler et de descendre dans la cour. Il était sept heures du soir et il faisait déjà nuit noir. Lorsqu’ils arrivèrent dans la cour ils se placèrent tous les deux proches du grillage et quand les gardes ont tourné le dos ils se faufilèrent jusqu'à la clôture. Ils ouvrirent un passage assez grand pour qu’ils puissent passer. Ils coururent pour atteindre la forêt qui se trouvait à proximité.
-Et maintenant qu’est ce qu’on fait ? demanda le plus âgé
-On court jusqu'à ce qu’on atteigne l’autre côté de la forêt. Répondit son ami. Et enlève ton badge.
Pendant la course l’alarme incendie s’arrêta et la sirène d’alerte la remplaça. Ils s’étaient rendu compte de leur absence et ça s’était passé plus vite que prévu. Une voiture ne tarda pas à les rattraper et commença à les tirer comme des lapins. Benjamin tourna vers la gauche aussitôt imité par son ami.
Sa respiration était sifflante. Par chance il n’avait pas oublié la ventoline que sa mère lui avait apportée. Il en prit deux bouffées pour se calmer et reprit sa course dans l’obscurité. Ils attinrent rapidement la lisière de la forêt proche de laquelle se trouvait une route. Un homme avait arrêté sa voiture au bord de l’ancienne route pour se soulager et avait laissé ses clés sur le contact. Les voitures changeaient des glisseurs. Ces voitures antigravitationnelles étaient bridées à 150 km/h mais si elles étaient débridées elles pouvaient monter jusqu’à 300. Le code de la route et la façon de conduire sont restés les mêmes que pour les voitures mais seuls les riches pouvaient se payer ces glisseurs. Benji et Matt sautèrent à l’intérieur et ils partirent à toute vitesse. Par chance Matt savait conduire.
-Où va-t-on ? demanda le conducteur
-A la frontière Suisse la plus proche. Là-bas on sera tranquille.
Dans ce pays neutre ils purent acheter de nouveaux vêtements pour passer inaperçus. Ils avaient changé les euros qui se trouvaient dans le portefeuille de la boite à gant en francs suisses.
-On va passer du côté romand, on aura plus de problème de langue…
-Tu te débrouilles plutôt bien en allemand… remarqua Matthieu
-Oui mais ce sera quand même mieux en français. Mais avant de partir je veux récupérer ma sœur et l’emmener avec moi.
Son ami secoua la tête :
-Tu vas te faire repérer.
-M’en fiche je pars pas sans elle.
-Qu’est-ce que tu peux être borné quand tu t’y mets ! s’écria-t-il
-Je t’ai pas obligé à me suivre.


Dernière édition par Rima68 le Sam 6 Mar 2010 - 11:12, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeJeu 25 Fév 2010 - 12:35

Rima68 a écrit:
son avocat avait convaincu le juge de le faire sortir pour qu’il puisse aller au cimetière durant l’enterrement.

tu peux juste écrire : "son avocat avait convaincu le juge de le faire sortir pour qu’il puisse assister à l’enterrement."
c'est plus léger et tu évites ainsi la répétition avec "le cimetière" qui suit.

et, à la place de "faire sortir" pourquoi pas "laisser sortir"...
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeJeu 25 Fév 2010 - 16:47

Merci, j'ai corrigé.
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeJeu 25 Fév 2010 - 23:52

Je trouve le chapitre 3 un poil rapide et fouillis. J'aime bien la lecture reste agréable mais on pourrait améliorer de petites choses.

Par exemple ce paragraphe.


Citation :
Il savait qu’il pourrait compter sur Matthieu et qu’ils pourraient se réfugier en Suisse. S’il expliquait tout à leur gouvernement, il comprendrait sûrement mais il ne prendra pas position… La Suisse a toujours été neutre. Entre l’association et la destruction elle avait choisit la neutralité et tout le monde l’avait toujours respecté. Il avait besoin de créer un incendie non loin de sa cellule et de profiter du chao pour s’enfuir. Il n’avait pas envi de créer des ennuis à son ami Matthieu… Lui qui devrait sortir d’ici deux ans… Il le laissera là-bas.


Il faudrait je pense séparer un peu mieux les préparatifs "évasion" et "post-évasion" prendre un peu plus ton temps pour que totu soit plus clair. Là ça fait un peu fouillis.

Il y a des petits problèmes de concordance des temps aussi

Citation :
donc dès que le cuisinier allumera les fourneaux il se déclenchera

là c'est le conditionel qu'il faut, "allumerait" "déclencherait"


Voilà c'est les deux exemples qui m'ont le plus frappé. L'hsitoire est intéressante, mais la forme est encore améliorable ^^
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeVen 5 Mar 2010 - 22:13

merci pour vos commentaires et vos corrections. Voici la suite :

Chapitre 4 :

Au bout de quelques heures de route ils arrivèrent au palais fédéral à Berne. Benjamin exigea d’avoir un entretient avec le président du Conseil national Suisse. C’était un petit homme rondouillard dont les chevaux grisonnants étaient coupés très courts. Ses yeux étaient verts et son nez trop petit. Il portait un costume bleu avec une cravate marron et une chemise verte, visiblement l’habillement n’était pas son fort. Il semblait ne pas vouloir se créer des ennuis avec les pays extérieurs ni avec la politique de son pays.
-Je ne peux pas vous accorder une telle chose, je n’ai aucune preuve que vous êtes innocent. S’exclama le président du conseil.
-Allez voir mes avocats à Colmar, vous n’en sortirez pas indifférent… Je sais des choses et on veut me faire taire. Rétorqua Benjamin.
L’homme haussa les sourcils.
-Qui ça « on » ?
-L’ONU et surtout l’UE.
-Nous sommes un pays neutre et nous faisons partie de l’ONU. Fit-il remarquer
-Mais pas de L’UE, raison pour laquelle on vous l’aurait caché, d’autres pays jugés dangereux ne le connaissent pas. Comme l’Irak par exemple. Expliqua-t-il
L’homme soupira.
-Quel est-il ce secret ?
-Ils ont créé une bombe.
-Rien que ça ? Je vous signale que pas mal de pays ont la bombe atomique… Et ils ne font pas accusé de meurtre tout ceux qu’ils le savent…
-Pas une bombe atomique mais une bombe mille fois plus destructrice… Lorsqu’on combine matière et antimatière on crée une bombe beaucoup plus destructrice… Si la bombe atomique crée un souffle et des retombées radioactives, la bombe matière antimatière n’en crée pas mais elle peut détruire la planète en très peu de temps.
-Vous plaisantez ?
Benjamin le regarda intensément, ce regard signifiait « non ».
-Vous comprenez pourquoi ils veulent garder ça secret.
-Et comment le savez-vous jeune homme ?
-J’ai mes sources… répondit-il mystérieusement.
L’homme sembla réfléchir :
-Je dois faire voter le Conseil national… je ne veux pas prendre une telle décision… Je pense que votre ami qui est coupable d’un simple vol à l’étalage pourra aussi rester ici. Comme vous êtes majeur vous pourrez peut-être vous occuper de votre sœur.
-Merci
- Je ne réunirais pas le conseil avant demain. En attendant vous êtes en liberté conditionnelle, comprenez que je ne peux pas vous laisser sortir comme ça… Vous ne pouvez pas quitter la ville et je vais vous implanter une puce électronique dans un portable pour vous joindre tous les trois. Je vous préviens, n’essayez pas de l’enlever sinon je vous rapatrie en France et débrouillez-vous ! Je le saurais car elle se désactive et ça crée un « bip » sur mon ordinateur ! Compris ?
Benjamin hocha la tête.
-Vous serez logés ici, à Bern. Dans un hôtel pas loin d’ici. Si le conseil décide de vous aider je vous ferais aller en Suisse romande, pour la langue ce sera plus facile…
Le jeune homme retrouva ses amis et leur expliqua la situation. Ils acceptèrent leur condition, seule Camille pouvait sortir de la ville car elle n’était pas recherchée mais elle ne voulait pas quitter son frère. Elle reçu elle aussi un portable avec une puce, juste « au cas où ». Les portables étaient flambant neufs, des derniers cris, surement fabriqués en Suisse, le nouvel exportateur mondiale d’électronique et de nanotechnologie. Ils étaient de couleur noire, et projetaient en l’air un écran holographique pour les films et les photos. Lorsqu’il était en veille il pouvait se plier jusqu’à devenir tout petit. De plus, plus besoin de code PIN comme sur certaines antiquités, il reconnaissait la voix de son propriétaire qui n’avait plus non plus besoin de chercher ses contact il lui suffisait de dire « Appel » suivit du nom de la personne ou encore « Message » et le nom. Ce qui faisait un gain de temps énorme…
-Vous pouvez l’utiliser autant que vous le souhaiter, pour les appels et les messages, ne vous souciez de rien. Expliqua l’homme chargé de s’occuper d’eux. Si vous avez besoin de quoi que ce soit appelez moi, mon nom est Fritz.
Fritz était un homme d’une trentaine d’année. Il avait des cheveux blonds, des yeux verts, un nez fin et une bouche charnue. Il était maigrichon et était, de tous les employés de la sécurité, celui qui parlait le mieux français. Personne ne savait s’il avait une famille car il parlait peu de lui et préférait s’investir à fond dans son travail même s’il devrait renoncer à une vie de famille, d’ailleurs il ne se voyait pas en père de famille.
-Merci, répondit Matthieu.
-Je vous accompagne à votre hôtel. On m’a aussi chargé de vous acheter des habits. Expliqua-t-il avec son accent allemand.
-Chouette, on va faire du shopping ! s’écria Camille
Le suisse les emmena dans des boutiques pour leur acheter d’autres vêtements, ils devraient être présentables car ils seraient sûrement convoqués au conseil. Surtout Benjamin qui devrait leur faire part de tout ce qu’il savait.
Fritz les emmena dans des boutiques de la capitale pour leur acheter ce qu’il leur fallait. Ca prit pas mal de temps car Camille s’attardait beaucoup. Matthieu trouva un lot de sweat-shirts et de jeans pas cher et à son goût. Benjamin préférait les habits plus « chic » ayant été dans une famille assez riche il préférait les chemises, il prenait quand même des jeans et des baskets plus simple pouvant être portés avec ces chemises il prit aussi des pulls pour l’hiver à venir. Ils ne rentrèrent que le soir à l’hôtel. Il était assez grand. Le président du Conseil national leur avait réservé deux chambres. La première était composée de deux lits. Un pour Benjamin et l’autre pour sa sœur. L’homme avait compris qu’ils ne voulaient pas être séparés. Quant à Matthieu, il avait une chambre à lui.
Pendant les deux jours qui suivirent les trois amis visitèrent la ville. Ils entrèrent dans la cathédrale et s’attardèrent dans la vieille ville. Après cette pause le président du Conseil national demanda à Benjamin de s’expliquer devant les conseillers. De leur raconter en détails tout ce qu’il savait sur ce système de bombe matière antimatière. Il devint évident pour ces porte-paroles du peuple suisse qu’il ne fallait rien leur dire… pour l’instant du moins. Il leur fallait à tout prix aider Benjamin et ses compagnons. Il pourrait tout leur dire en détails mais ça prendrait trop de temps. En attendant il fallait l’installer dans un petit village en Suisse romande. Entre Fribourg et Lausanne pour ne pas être trop loin de Berne et pas trop proche de la frontière. Il leur fallait une petite ville pas trop grande et ils devraient à tout prix garder le secret. Pour Matthieu qui avait été coupable d’un vol à l’étalage les conseillers décidèrent qu’il resterait avec ses amis mais serait remis en prison s’il recommençait. Le gouvernement s’occuperait de leur besoin mais Camille devrait aller à l’école. Les deux ainés devraient quand même trouver un travail pour ne pas paraitre trop louche.
Tout se régla vite. Trop vite au goût de Ben. Une semaine à peine s’était écoulée depuis qu’il était arrivé à Berne et déjà ils arrivaient dans une petite ville au sud ouest de la ville de Fribourg. A l’horizon ils pouvaient voir les alpes dont les plus hauts sommets étaient enneigés. Fritz les avait accompagnés pour leur montrer l’appartement qu’ils occuperaient. Il était moderne et spacieux. A gauche de l’entrée il y avait une cuisine meublée d’un réfrigérateur, d’une cuisinière électrique, d’un four, d’un micro onde, d’une table et de quatre chaises. En face de l’entrée se trouvait le salon avec sa plateforme holographique et des fauteuils ou ils pourraient se tenir au courant des informations et regarder des films. Une chaine hi-fi était aussi installée sur une étagère avec prise USB et disque dur pour lire des mp3 pour les nostalgiques elle lisait aussi les CD, la pièce était aussi équipée d’un ordinateur avec connexion internet. Plus loin, un couloir qui donnait sur trois chambres équipées tout confort et une salle de bain entièrement carrelée. Tous les trois choisirent leur chambre et rangèrent leurs affaires. Fritz rentra le soir à Berne les laissant seuls.


Dernière édition par Rima68 le Sam 6 Mar 2010 - 11:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeSam 6 Mar 2010 - 10:01

Pas mal les choses s'accélèrent, peut-être un peu trop vite !

Chapitre 3
Spoiler:

Chapitre 4
Spoiler:
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeSam 6 Mar 2010 - 11:31

Alors pour l'instant je n'ai lu que le chapitre 1, je lirai la suite dès que possible.
Personnellement je trouve le 1er chapitre bien fait.

La description de la mère: je trouve qu'il y à beaucoup de répétition de elle, essaye de placer d'autre termes pour la designer comme "Madame Kennedy" ou quelque chose comme ça.

Précise qui est Thomas et qui est Camille dès que tu parles d'eux.

Dans les phrases:
-Toi tu ne va pas souvent sur internet et tu regardes jamais la télé. Répondit le rouquin
-J’ai une bien triste nouvelle à vous annoncer. Dit-il avec un air embêté
-Il y a une très bonne famille d’accueil qui s’occupera d’elle. Expliqua-t-il
J'ai lu le cours sur les dialogue hier et il est marqué que les précisions du style expliqua-t-il ne prennent pas de majuscule même après un point d'exclamation ou d'interrogation. Je pense qu'il vaudrais mieux mettre une virgule puis expliqua-t-il.

Deux jours plus tard, ça devait être un jeudi un garde entra dans la cellule des deux adolescents.
Pourquoi ça devrait? c'est le narrateur qui dit ça, il devrait être omniscient non? Etre perdu du fait de l'incarcération du héros revient à dire qu'il est incarcéré avec lui.

Et pour l'annonce de la mort de la mère je la trouve très brutale, su quelqu'un t'annonçais la mort de ta mère il y aurais surement plus de heu.. c'est-à-dire, ce n'est pas une nouvelle facile à dire...
Des choses comme ça et ça ajoute du suspense à cette fameuse nouvelle.

Voilà, bien entendu tout ceci n'est que mon avis personnel et n'est en aucun cas une critique.
Je sais aussi qu'il est facile de dire, je vois ceci, cela qui ne vas pas, alors que je n'ai moi-même poster aucuns textes pour l'instant...

Bonne continuation, le héros à vraiment pas de bol lol!
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitimeSam 6 Mar 2010 - 11:41

J'ai corrigé les derniers chapitres.

Désolée Wishmaster si il y a des majuscule, c'est Word qui ma tellement énervée avec ça que j'en ai parfois mis... C'est vrai que je devrais panser à mettre plus de virgule que de point dans ces cas la...

Je sais que l'annonce de la mort est brutale mais c'est fait exprès, le directeur s'en fiche un peu du fait qu'elle soit morte et c'est lui qui est charger de lui dire.

Sinon merci d'avoir pris le temps de me lire.
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MessageSujet: Re: Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment   Mon roman qui n'a pas de titre pour le moment Icon_minitime

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