Voilà ma première publication ici-bas. Ce texte est à la base un petit essai que j'ai fait de la manière suivante : Je me suis sur ma table et j'ai écris ce qui me passait par la tête (ce que je ne fait jamais d'habitude, car je suis toujours entrain de planifier mes histoire à l'avance).
Du coup je ne peu pas trop faire de résumer, à part que l'histoire ce déroule dans le même monde que j'ai plus ou moins décrit dans les synopsis.
Ceci est la partie 1/3 du premier chapitre.
C'est étrange... J'ai remarqué que même dans les situations les plus sinistres, j'arrive toujours à y trouver une certaine ironie. Voilà une heure que mes deux tortionnaires me torturaient et me rouaient de coups, alors qu'un expert en la matière m'aurait fait chanter l'hymne de Sadeloth en moins de dix minutes.
Bien entendu je ne dénigre pas leur travail, ils m'avaient tabassé dans les règles de l'art, juste assez pour ne pas me tuer, puis ils m'avaient brisé chaque os de la main droite à l'aide d'un petit marteau d'à peine cinq centimètres de largeur.
C'est bête, n'est-ce pas? Voilà une heure qu'ils essayaient de me faire chanter et il n'avait obtenue de moi que quelque grognement.
C'est stupide, n'est-ce pas? Que je connaisse les propriétés de certaines plantes et quelle me permette de faire abstraction de la douleur...
Leur inefficacité a du les énervés, car ils se préparèrent tout deux, à passer à la vitesse supérieur. Je passa à un cheveu de devenir eunuque mais, je fus sauvé par un inconnue qui tambourina à la porte de notre salle de torture improvisé.
« Il veux vous voire, dit une voix grave derrière la porte. »
Les deux ce regardèrent et parurent hésiter un instant. Celui qui tenait ma virilité en joue s'adressa à l'autre dans une langue bien étrange, composé de grognement et de son gutturaux. Le premier déposa ça cisaille sur la table à roulette, qui contenait tous leurs objets de torture et ce dirigea vers la porte, le second ne tarda pas à le suivre, après m'avoir mis un coup de poing dans le nez, qu'il brisa, je pense...
La porte ce referma, sans que je ne puisse voir le dernier protagoniste...
Enfin seul! Désormais je pouvais prendre le temps d'analysé la situation en toute tranquillité.
En premier, il y avait une chose évidente, je m'étais fais doubler par mon client. En y repensant je mettait fait avoir comme un débutant. Le coup était gros comme une maison. Beaucoup de sou, pour une cible facile et sans aucun mobile apparent.
J'avais déjà deux, trois idée du pourquoi du comment. Le mobile le plus plausible était une magouille de mafieux. Le marchand que je devais tuer était en contact avec un gang locale, avant que je ne puisse faire mon office, mon client a prévenue les bonnes personnes pour empêcher l'inévitable. Ainsi, il rentrait dans les bonnes grâces de tout le monde et aurait bon nombre d'avantage fiscaux.
Le problème, c'est que j'étais encore vivant et ça il ne s'y attendrait pas. Lorsque j'ai pénétré dans la maison une dizaine de personne mon sauté dessus, par surprise. Dans ce genre de situation on ne joue pas les princes des larmes et on rend les armes.
L'ironie, (encore) c'est que j'avais toutes les cartes en mains pour foutre la zizanie. Mais je ne suis pas comme ça, enfin...si, mais le problème c'est que j'avais une ligne de conduite que je voulais absolument respecté, donc je ne pouvais faire ce que je voulais. J'allais devoir rendre justice moi même.
Pour ça il fallait que je m'échappe, mais je devais tout d'abord trouver ma cible et l'éliminer. Ça, sa faisait partie de ma ligne de conduite.
Il fallait que je me détache. Rien de plus facile quand on connais un bon nombre de tour de passe-passe. Celui que j'avais en tête, m'avait été appris par une amie bienveillante, il suffisait de faire plusieurs geste précis avec vos mains pour vous permettre de vous délivrer. Je ne savais pas si celui-ci utilisait la magie ou une simple logique.
Une fois libre j'examinai mon environnement . On m'avait transporté dans une des caves à vins de la maison, la pièce était petite, possédait qu'une seule issus et aucun lieux pour ce cacher. Ils avais installer des torches dans les quatre coins de la salle, que j'éteignis toutes sauf une : Je vois bien dans le noir mais je ne suis pas pour autant nyctalope.
Une fois ceci fais j'entrepris de m'équiper sur la table de torture. Je fis ma deuxième erreur en me mettant dos à la porte et je n'entendis pas mes amies revenir à grand pas. Seul mes réflexes me sauvèrent (même si il était bien émoussés par la drogue.).
Je me retourna d'un coup, et projeta ce qui me semblait être une sorte de scalpel dans la gorge du premier, celui-qui ouvrit. Le second n'eut pas le temps de régir, car le temps qu'il se rende compte de la mort de sont compère, je m'étais emparé de la dague du premier, et lui avait enfoncé dans le dessous du menton, de façon à ce qu'elle atteigne son cerveau.
Cela me couta une crampe à la jambe. Je crois que je commençait à me faire vieux.
Je cacha du mieux possible les deux cadavres dans la cave et m'en alla rejoindre la surface.