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 Récit d'une dame perdue

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les chats patoirs
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MessageSujet: Récit d'une dame perdue   Récit d'une dame perdue Icon_minitimeJeu 9 Aoû 2012 - 22:31

bonsoir, voici mon texte: la protagoniste est une jeune panthère (Tiffany Atraski), elle fait des études de médecines ancestrales (phytothérapie, massage, méditation, hydrothérapie...), elle se fit enlever car elle a été vu avec Vincent Wylve, un chasseur de primes rechercher. Voila, j'espere qu'elle vous plaira.


Je marchais tranquillement en ville, il faisait chaud c’était l’été. Je visitais pour la première fois a Casolaro, oui je n'y étais jamais allée. Je devais rendre visite a mon oncle mais avant j'allais dans les magasins, les casinos, Centres-commercial. Je m’arrêtai à un bar et j'y vus deux personnes assez louche, mais bon je continuai mon chemin. Je passai dans une ruelle comme dans les village, étroite et humide et c'est là que mes ennuies commencèrent. Deux chiens m'attendaient puis je me fit ligoter et jeter a l’arrière d'un camion. Je les avaient entendu dire qu'ils allaient m'exiler pour que cela soit moins risquer. Je paniquai et tremblais de peur et aussi d’inquiétude, je ne comprenais pas se qu'ils me voulaient. Je sentais le camion secouer à cause de la route remplies de trous et de bosses. Après peut-être deux heures de route, ils s’arrêtèrent et me jetèrent cette malheureuse fois dans un avion sur le point de décoller. Beaucoup plus tard l'avion se posa, j'entendis quelqu'un descendre de l'avion, il vint vers moi, me jeta sur la plage, et coupa les cordes qui me comprimaient le torse, m’empêchant de bien respirer. Il retourna dans l'avion, sans moi.

Je restai debout, les voyant s’éloigner, hors de vue, je partis dans les hauteurs. Je m’étais rendue compte que je n’avais plus que mes vêtements sur moi et Corronoe accrochée a l'oreille. J'arrivai a la seul colline de cette maudite île, j'y voyais toute ma prison. Il y avait de grands palmiers, des rochers, et des rares oiseaux volaient en quête de nourriture. Des dizaines d'autres îles comme cela sortaient de l'eau. Il y avait aussi un lagon, il devait sûrement être rempli des poissons. Je restais assise dans le sable chaud a chercher un échappatoire, mais, impossible. Je m'endormis complètement fatiguée. Le lendemain matin j’étais décidée a trouver de la nourritures. Je partis alors au lagon que j’avais vu la veille. C’était rempli de poissons mais d'abord il fallait les pécher. Pas a la canne je n’avais pas d’appâts, je pris alors un bâton et je le taillai sur un mur un peu plus loin et avec une pierre. Ceci fait je me mis au rebord du lagon, puis je tirai et retirai, pendant près d'une heure horrible. Mais en vain. Je m’arrêtai puis je réfléchis a un moyen plus simple. En le tirant comme un lance je ne plantai que des algues. Je n'avais attrapé qu'un petit poisson, épuisée et affamée je cherchai encore de quoi me nourrir, même des noix de coco attraper sur un arbre ne me rassasièrent pas, je m'endormis sur un arbre a l'ombre. les siestes d'une demie heure ne me suffisaient pas

Quelques heures plus tard je me réveillai avec toujours aussi faim, des plantes, des fruits mais rien que des repas de coccinelles. Maintenant il fallait que je boive mais surtout pas l'eau qui m'entourais sinon je mourrai. Les histoires de vieux marins qui ont perdu des membres de leur équipages en buvant l'eau salée, il y en a des centaines. Dommage, je n'aurais plus eu soif ceci dit. En marchant vers l’intérieur de l'ile, je vus un grotte, je partis alors dedans, elle était sombre et profonde, à ma grande surprise j'y trouvai de l'eau douce, j'en bu tant il y en avait, enfin le peu qu'il y avait. J'y cherchai des proies, j’attrapai des chauves-souris, les attachaient avec une lianes puis je les attachais autours de ma taille, plus tard je sentis un serpent glisser le long de ma patte. J’étais tétanisée de peur qu'il me morde. Je continuais quand même de marcher, je ne voyais rien, même pas le bout de mon museau, je marchais a tâtons. Je tapai dans quelque chose, un os, une pierre, je le ramassai, je le tripotai pendant de longues minutes, puis je compris que c’était une lampe torche, je l'allumai puis je découvris des ossements. Trois cadavres d'animaux anthropomorphes, je n'avais jamais eu aussi peur de ma vie. Trois corps sans vie avec leurs vêtements, je les fouillai puis découvris une machette, une pierre a feu et une gourde vide, mais pas de téléphone. Il y avait inscrit au dessus d'eux une étrange phrase «personne ne peut s’échapper de cette île, sauf la mort peut vous y sortir», je tremblai comme un feuille, je courus jusqu’à l’entrée de la grotte. Je pris quelques branches des arbres et me fis un feu. La pierre trouver sur le cadavre m’était bien utile Je les fis cuire après avoir galérer a allumer un feu, enfin je me régalai de leurs douce chaire bien cuites. Après mon premier repas sur l’île, je n'avais enfin plus faim. je restais assise l'entrée de la grotte, le ciel s’était assombrie pendant que j’étais dans la grotte, et la pluie ne tarda pas a tomber abondement. je regardais alors la pluie tomber et le tonnerre éclater. Plus tard dans la journée la pluie cessa et je pouvais donc sortir de la grotte. La pluie étant tomber, de l'eau s’était accumulée dans les crevasses, j'en bus le plus possible puis je remplis ma gourde. c’était pas énorme mais bon. Tous ça me faisaient penser a Bear Grylls a part que là, c’était en vrai, sans aide et toute seule.

Je m’allongeai et réfléchis a comment sortir d'ici.
Un radeau ? Non trop dur a construire en plus il ne tiendrait pas jusqu'à l'autre île. A la nage ? Non c'est du suicide. Un grand feu ? ça brulerait les arbres. Accepter mon sort et renoncer a me sauver ? Je ne savais plus quoi faire, j’étais triste, affamée,désespérée, je voulais arrêter. Je ne dormais pas alors je me mis en quête de nourriture pour rester en vie, et peut être, j'en étais pas certaines, revenir en vie sur Casolaro. Mias pas avec les veines tranchées ou morte noyer. Malheureusement le résultat était le même, je ne trouvais que des repas même pas capables de rassasier un chihuahua. J'explorai alors l’île et j'y trouvai une épave sur la plage, presque entièrement le sable, elle était recouverte de rouille. Je montai puis cherchai tous ce qui pouvais m’être utile. A part quelques coupures et de la fatigue en plus, je n'y trouvai qu'un morceau de polystyrène. Et pourquoi ne pas construire un radeau assez solide pour aller sur l'autre l’île ? Je commençai alors mon projet de fuite, je pris des branches, les taillai, les nouai avec les nombreuses lianes dans les arbres, les attachai puis mon radeau prit forme. Je le mis a l'eau et là. Miracle, il flottait, je pris une branche puis ramai jusqu'à l'autre île. De mon point de vue elle était minuscule mais je l'imaginais grande, habitée, et abondante en nourriture. Pendant tout le trajet je chantais. La musique qui me revenais le plus c’était « LAND HO ». peut être cela devait être en rapport a la navigation. Je n'avais pas fermé l’œil de tous le trajet pour ne pas dévier de ma trajectoire. A part tomber dans l'eau avec les requins le trajet c’était bien passer. L’île se rapprochait de plus en plus.

Arrivée au bord de l’île, je mis mon radeau a l’abri des vagues puis je courus dans la jungle pour voir si elle était habitée. Aprés avoir marcher pendant 2 heures, je n'y trouvais personne, je croyais avoir fait demi tour et être retourne sur l’île maudite mais c’était un autre comme les centaine d'autre. Je cherchais avec espoir (l'espoir fait vivre) de la nourriture mais rien, c’était juste un gros caillou dans l'eau. Je n’avais jamais eu aussi faim de ma vie, j’avais des douloureuse crampes d’estomac. Je ne pouvais plus rien faire, la fatigue, la faim, le désespoir me laissèrent tomber sur le sable. j’abandonnai, assez, j'aurais toujours un truc a raconter au Paradis. Je n'en pouvais plus. Je fermai les yeux et attendis mon heures. J'ouvris les yeux de temps en temps pour voir si j’étais en vie. Je regardai le soleil un dernière fois avant de fermer mes yeux et de passer dans l'autre monde. Peut être le paradis est un rêve. Les crampes qui me tordaient de douleur, confirmaient que j’étais en vie. Elles cessèrent, je me sentais légère comme portée par le vent mais vers le ciel. J'avais l'impression que l'on me secouait, j'entendais crier, je sentais la vie revenir en moi puis j'ouvris le yeux et découvris un grand léopard avec un bandeau sur l’œil et il me dit « tu es sauvée belle panthère» j’étais enfin sauvée de la mort

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Dans un monde rempli de misère et d'incertitude.
C'est un grand confort de savoir qu'il y a,
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Dernière édition par les chats patoirs le Lun 22 Oct 2012 - 12:26, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Récit d'une dame perdue   Récit d'une dame perdue Icon_minitimeJeu 9 Aoû 2012 - 23:34

Citation :
Je marchais tranquillement en ville, il faisait chaud c’était l’été. Je visitais pour la première fois a Casolaro,(est-ce que le nom entier, c'est "a casolaro", sinon, le "a" est inutile) oui je n'y suis jamais aller(étais jamais allée (vu que t'a commencé au passé)). Je devais rendre visite a mon oncle mais avant j'allais dans les magasins, les casinos, Centres-commercial. Je m’arrêtai a (à)un bar et j'y vus(vis) deux personnes assez louche(louches, mais pourquoi dit-elle ça ? ça veut dire quoi louche ? C'est des schtroumpfs ?), mais bon je continuais (continuai)mon chemin. Je passai dans une ruelle comme dans les village(villages), étroite et humide et c'est là que mes ennuies(ennuis) commencèrent. Deux chiens m'attendaient puis je me fit ligoter(ça sonne étrange, peut-être enlever le "puis" et en plus, c'est "fis") et jeter a l’arrière d'un camion. Je les avaient entendu(avais entendus) dire qu'ils allaient m'exiler pour que cela soit moins risquer("risqué" et qu'est-ce qui est moins risqué ?). Je paniquai et je tremblais (tremblai, et ne mets qu'un seul "je") de peur et aussi d’inquiétude, je ne comprenais pas se qu'ils me voulais(voulaient). Je sentais le camion secouer("être secoué", non ?) a(à) cause de la route remplies de trous et de bosses.(ici, commence un nouveau paragraphe, il faut un peu plus aérer d'abord pour un confort de lecture mais aussi pour une question de sens) Âpres (après)peut-être deux heures de route, ils s’arrêtèrent et me jetèrent cette malheureuse fois dans un avion sur le point de décoller(je sais qu'on voit ça tout le temps dans les films mais un avion ne peut pas décoller comme ça d'un aérodrome et tu ne peux pas débarquer avec ta camionnette tranquille sur la piste d'envol, même si tu es un super vilain (ou alors tue des gens au passage ^^)). (à la ligne) Beaucoup plus tard l'avion ce (se)posa, j'entendis quelqu'un descendre de l'avion, il vint vers moi, me jeta sur la plage(donc t'as atterri sur une plage ? Je précise aussi que faire rouler un avion sur du sable c'est un peu chaud aussi, peuvent se poser à côté), et coupa les cordes qui me comprimaient le torse, m’empêchant de bien respirer. ils (Ils) voulaient que je meure lentement(comment tu en déduis ça ? La seule chose que tu sais à la base, c'est qu'ils veulent t'emmener loin). Je pensai(pensais) qu'il allait m’égorger, ensuite il retourna dans l'avion, sans moi(la première et la deuxième partie de cette phrase n'ont aucun rapport. Fais deux phrases différentes). Je restai debout, les voyant s’éloigner, hors de vu(vue), je partis dans les hauteurs. (pas chiante l'animale, deux chiens l'ont enlevée, transportée trèèès loin, balancée sur une plage et elle se pose pas de questions ?)Je m’étais rendu (rendue)compte que je n’avais plus que mes vêtements sur moi et Corronoe (what ?) accrocher (accroché ou accrochée si Corronoe est féminin) a l'oreille. J'arrivai a la seul colline de cette maudite île, j'y voyais toute ma prison. Il y avait de grands palmiers, des rochers, et des rares oiseaux volaient en quête de nourritures. Il y avait aussi un lagon, il devait sûrement y avoir (beaucoup de répétitions du verbe "avoir")des poissons. Je restai (restais)assise dans le sable chaud a (à)chercher un échappatoire, mais, impossible. Je m'endormis complètement fatiguer(fatiguée). Le lendemain matin j’étais décidée a(à) trouver de la nourritures(nourriture). Je repartis alors au lagon que j’avais vu la veille(elle y a déjà été ? Pourquoi y REpart-elle ?. C’était rempli de poissons mais d'abord il fallait les pécher(ah bon, t'es obligé de faire une connerie pour manger ? ^^ C'est "pêcher"). Pas a (à)la canne je n’avais pas d’appâts(appât, d'ailleurs elle a pas de canne non plus), je pris alors un bâton et je le taillai sur un mur (sur une plage déserte et inhabitée, un mur ? En creusant elle va p't'être trouver un frigo et un grill) et avec une pierre. Ceci fait je me mis au rebord du lagon, puis je tirai et retirai, pendant près d'une heures (heure) horrible. Mais en vain. Je m’arrêtai puis je réfléchis a un moyen plus simple. En le tirant comme un lance je ne plantai que des algues. Je n'avais attrapé qu'un petit poisson, épuisée et affamée je cherchai encore de quoi me nourrir, même des noix de coco attraper (attrapées)sur un arbre ne me rassasièrent pas, complètement fatiguée (répétition de l'expression "complètement fatiguée" (d'ailleurs elle dort tout le temps ^^) je m'endormis sur un arbre a (à)l'ombre. Quelques heures plus tard je me réveillai avec toujours aussi faim(mal dit, je trouve), des plantes, des fruits mais rien que des repas de coccinelles. Maintenant il fallait que je boive mais surtout pas l'eau qui m'entourais sinon je mourrai(mourrais, explique pourquoi, parce qu'elle est salée ?). Dommage, je n'aurais plus eu soif. Je m'aventurai alors dans une grotte et a (à, et la grotte elle sort de nul part ?) ma grande surprise j'y trouvai de l'eau douce, j'en bu tant (qu') il y en avait. (c'était une flaque d'eau ? Une rivière ? Un lac ? (en même temps, boire toute l'eau d'un lac...) J'y cherchai des proies, j’attrapai des chauves-souris et en prime une belle morsure de serpent mais pas venimeux (pas plus inquiète que ça ? Oui, bon, c'est une panthère mais quand même (le mot léopard n'existe pas au féminin)). Je les fis cuire (hm, comment ? Avec le grill trouvé précédemment ?) puis me régalai de leurs douce chaires bien cuites (leur douce chaire bien cuite). Âpres (après) mon premier repas sur l’île, je m'endormis. Je n'avais enfin plus faim. Je me réveillai a (à) cause d'une pluie abondante, je me réfugiai dans une grotte (au dernières nouvelles, elle était encore dans la grotte). Elle était sombre et profonde, je m'y aventurai quand même. Je ne voyais rien, même pas le bout de mon museau, je marchais a(à) tâtons. Je tapai dans quelque chose, un os, une pierre, je le ramassai, je le tripotai pendant de longues minutes, puis je compris que c’était une lampe torche, je l'allumai puis je découvris des ossements. Trois cadavres d'animaux anthropomorphe(anthropomorphes), je n'avais jamais eu aussi peur de ma vie. Trois corps sans vie avec leurs vêtements, je les fouillai puis découvris une machette, une pierre a (à) feu et une gourde vide, mais pas de téléphone. Il y avait inscrit au dessus d'eux une étrange phrase «personne ne peut s’échapper de cette île, sauf la mort peut vous y sortir», je tremblai comme un feuille, je courus jusqu’à l’entrée de la grotte à regarder la pluie tomber et le tonnerre éclater. Plus tard dans la journée la pluie cessa et je pouvais donc sortir de la grotte. La pluie étant tomber(tombée + répétition "pluie" et "tomber"), de l'eau s’était accumulé(accumulée) dans les crevasse(crevasses, quelles crevasses ?), j'en bus le plus possible puis je remplis ma gourde. Tous ça me faisaient penser a Bear Grylls a part que là, c’était en vrai, sans aide et toute seule (pour quelqu'un qui est seule, elle se démmerde plutôt bien, j'espère qu'elle n'est pas censée être une novice en matière de survie parce que je n'y croirais pas une seconde). J'avais faim. J'allais donc au lagon repêcher, je pris un bâton et le taillai, évidemment c’était plus simple avec la machette. Âpres plus d'une heure, de jets de harpon dans l'eau, je m’arrêtai, mes bras me faisaient mal. Je m’allongeai et réfléchis a (à) comment sortir d'ici.
Un radeau ? Non trop dur a(à) construire en plus il ne tiendra(tiendrait) pas jusqu'à l'autre île. A la nage ? Non c'est(c'était) du suicide. Un grand feu ? Ça brûlera (brûlerait)les arbres. Accepter mon sort et renoncer a (à)me sauver ? Je ne savais plus quoi faire, j’étais triste, affamée,désespérée, je voulais arrêter. Je ne dormais pas alors je me mis en quête de nourriture (y a à peu près cinq secondes, elle était au bord du suicide...) mais le résultat était le même, je ne trouvais que des repas même pas capable(capables) de rassasier un chihuahua. J'explorai alors l’île et j'y trouvai une épave échouer(échouée, et elle l'avait pas vue d'en haut ?) sur la plage. Je montai puis cherchai tous ce qui pouvais m’être utile. A part quelques coupures et de la fatigue en plus, je n'y trouvai qu'un morceau de polystyrène. Et pourquoi ne pas construire un radeau assez solide pour aller sur l'autre l’île ? (elle change d'avis comme de chemises dis donc (en l’occurrence elle ne peut pas parce qu'elle n'a que ses habits mais bon...))Je commençai alors mon radeau, je pris des branches, les taillai, les nouai (avec quoi ?), les attachai puis mon radeau pris(prit) forme. Je le mis a l'eau puis (répétition "puis" et point mal placé). Miracle, il flottait, je pris une branche puis ramai jusqu'à l'autre île (quelle autre île ? Elle dit ça comme si elle connaissait les environs par coeur). De mon point de vue elle était minuscule mais je l'imaginais grande, habitée, et abondante en nourriture. Pendant tout le trajet je chantais. La musique qui me revenais le plus c’était « LAND HO »(ah ah, la fameuse chanson placée génial ). peut être cela doit (devait)être en rapport a(à) la navigation. Je n'avais pas fermé l’œil de tous le trajet pour ne pas dévier de ma trajectoire. A part tomber dans l'eau avec les requins le trajet c’était bien passer (s'était bien passé, et elle est tombée dans l'eau ?????). L’île se rapprochait de plus en plus. Arriver (arrivée)au bord de l’île, je mis mon radeau a(à) l’abri des vagues puis je courus dans la jungle pour voir si elle était habitée (euhh, vraiment très spécial comme réflexe que de courir dans une jungle, et elle va savoir au bout de cinq mètres si elle est habitée ?). Et bien je détestais avoir raison, il n'y avait personne, je croyais avoir fait demi tour et être retourne (retournée)sur l’île maudite mais c’était un autre(une autre) comme les centaine d'autre(quelles centaines d'autres ??). Je cherchais avec espoir (l'espoir fait vivre) de la nourriture mais rien, c’était juste un gros caillou(un gros caillou avec une jungle dessus quand même...) dans l'eau. Je n’avais jamais eu aussi faim de ma vie, j’avais des douloureuse crampes d’estomac. Je ne pouvais plus rien faire, la fatigue, la faim, le désespoir me laissèrent tomber sur le sable. Je fermai les yeux et attendis mon heures (heure, après tout ce qu'elle a fait, elle abandonne là, pour des raisons "futiles"). J'ouvris les yeux de temps en temps pour voir si j’étais en vie. Je regardai le soleil un dernière fois avant de fermer mes yeux(répétition "fermer" et de passer dans l'autre monde. Peut être le paradis est(était-il) un rêve. Les crampes qui me tordaient de douleur, confirmaient que j’étais en vie. Elles cessèrent, je me sentais légère comme porter(portée) par le vent mais vers le ciel. J'avais l'impression que l'on me secouai(secouait), j'entendais crier, je sentais la vie revenir en moi puis j'ouvris le yeux et découvris un grand léopard avec un bandeau sur l'oeil et il me dit « tu es sauvée belle léoparde» (oui et "t'as d'beaux yeux poupées" avec le regard insistant qui va avec, il fait un peu pervers là le léopard, à la place de l’héroïne, j'aurais pris peur)j’étais enfin sauvée de la mort (mouais, enfin pas sur avec la bestiole louche qui est sûrement en train de te reluquer juste à côté)

Alors, je trouve le style assez maladroit et tu fais énormément de fautes -pardonnez l'expression- à la con. (j'étais dans une forme olympique là mais c'était fastidieux à corriger ! Et j'espère avoir tout vu même si y a un moment où je sature)
Tout va aussi beaucoup trop vite, sans faire de longues descriptions ou des scènes de pêche qui durent des pages, tu pourrais entrer un peu plus dans les détails.
Tout n'est pas cohérent non plus, notamment, l'attitude de l'héroïne et ce qu'on trouve sur l'île (l'épave qui était cachée avant, le mur...)

Néanmoins, l'idée globale (anthropomorphisme/ chasseurs de prime...) est intéressante, je pense que tu peux améliorer ton style (et ton orthographe) pour vraiment en faire quelque chose de génial.
Y a du boulot mais y a pas non plus de raison pour que tu n'y arrives pas !

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MessageSujet: Re: Récit d'une dame perdue   Récit d'une dame perdue Icon_minitimeVen 10 Aoû 2012 - 9:04

merci de m'avoir donner ton avis, j'ai corrigé les fautes sur le texte, je sais pas si je peux mais bon tant pis. Le léopard a la fin c'est Vincent, il la connait, il lui avait dit ça un jour, c'est pas un gros pervet


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MessageSujet: Re: Récit d'une dame perdue   Récit d'une dame perdue Icon_minitimeVen 10 Aoû 2012 - 19:37

oui oui je m'en doutais que c'était le héros, tout ça, tout ça (et pas un pervers)
mais je donnais un avis totalement extérieur (et j'essayais de me mettre un peu à la place de l'héroïne)
c'est sûr que s'il la connaissait avant, ça change tout pour ce passage

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MessageSujet: Re: Récit d'une dame perdue   Récit d'une dame perdue Icon_minitimeSam 11 Aoû 2012 - 23:33

Elann s'étant occupé de l'orthographe, je ne vais pas faire doublon, je vais te donner mon avis général.

Je rejoins mon VDD, il y a des maladresses dans ton style, et ça va beaucoup trop vite, ce qui est très frustrant pour le lecteur, car tu n'as pas le temps d'installer ton personnage et la situation que ça change déjà.

Il y a aussi des incohérences, l'épave, le mur, elle ne veut pas faire de radeau, puis finalement si, la traversée se passe bien mais on dirait qu'elle est tombée à l'eau au milieu des requins ?
Et puis en quoi l'exiler serait moins risqué ? La tuer et faire disparaître le corps serait plus rapide, non ? (oui, je sais, après il n'y a plus d'histoire si on fait ça...)
Et si je vais jusqu'au bout de mes questions, comment le léopard a-t-il fait pour la retrouver au milieu de nulle part ?

Et personnellement, ce qui m'a le plus frustrée dans ce texte, c'est qu'à la fin, on n'a pas plus d'information qu'au début : on ne sait toujours pas qui est l'héroïne, pourquoi elle se retrouve là (quelques phrases où elle s'interroge sur les raisons de sa présence sur l'île, même si elle ne fait que des suppositions, s'imposeraient pour moi)
On la voit juste se débrouiller, avoir faim, avoir peur et dormir...
Il faudrait que tu nous distilles quelques informations à son sujet (qu'elle s'inquiète de ce que ses proches vont penser de sa disparition, etc.)

C'est dommage car ton idée de personnages anthropomorphes est intéressante et elle mérite d'être exploitée ; je pense qu'il faut que tu retravailles tout ça et tu ne pourras que t'améliorer.

J'espère que ces critiques ne te décourageront pas trop, elles sont sincères mais pas méchantes, et sont surtout faites pour t'aider à progresser.

Bon courage.

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MessageSujet: Re: Récit d'une dame perdue   Récit d'une dame perdue Icon_minitimeDim 12 Aoû 2012 - 9:18

non au contraire, je changerais le texte, merci

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MessageSujet: Re: Récit d'une dame perdue   Récit d'une dame perdue Icon_minitimeDim 12 Aoû 2012 - 11:55

je ne sais pas comment mettre une image alors il y a juste les liens. J'ai trouve deux images de lagon comme dans ma nouvelle

Spoiler:

Spoiler:

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MessageSujet: Re: Récit d'une dame perdue   Récit d'une dame perdue Icon_minitimeLun 13 Aoû 2012 - 20:13

Sincèrement, je n'ai pas réussi à lire ! Il reste encore de fautes que tu n'as pas corrigées malgrè les remarques d'Elann ! De plus, il faut vraiment que tu ré-écrives certaines parties. Limite au maximum l'utilisation des verbes être et avoir ! Il faut que tu travailles ton niveau littéraire car même si ton histoire était la meilleure du monde, si tu ne l'écris pas correctement, personne ne la lira ! Bon courage !
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MessageSujet: Re: Récit d'une dame perdue   Récit d'une dame perdue Icon_minitimeLun 13 Aoû 2012 - 20:24

je sais je suis entrain de la réécrire, elle est ancienne je crois 3 ans

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Dans un monde rempli de misère et d'incertitude.
C'est un grand confort de savoir qu'il y a,
A la fin, Une Lumière Dans La Nuit
               -Joshua Graham... (spoiler):
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