Atelier d'écriture
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Atelier d'écriture

Communauté d'écrivains en herbe
 
AccueilRechercherS'enregistrerDernières imagesConnexion

 

 Les larmes du Chasseur

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous



Les larmes du Chasseur Empty
MessageSujet: Les larmes du Chasseur   Les larmes du Chasseur Icon_minitimeMer 24 Oct 2012 - 11:16

Avant toute chose, je tiens à préciser que ce texte serait une sorte de prologue. Je suis conscient qu'il reste des choses à améliorer, mais voià, pour ça, j'aurais besoin de conseil(s), autant sur la forme que sur le fond. Pas que je n'ai pas d'idées, mais ça serait plus pour développer le tout. Je suis ouvert à toutes critiques. Bonne lecture.


***

Citation :
C'était le silence. Le silence absolu. Le silence qui vous prends aux oreilles. Ce silence assourdissant, omniprésent. Ce silence qui fait son apparition sous une nuit sans lune. Une nuit noire. Celle qui fait apparaître une myriade d'étoiles dans le sombre ciel.
La maison était esseulée, près d'un bois. A quelques encablures d'elle, un champ cultivé dormait. Un épouvantail somnolait dans la pénombre. La journée, c'était un endroit paradisiaque. Le vent venait des collines, au nord. Le bois offrait une fraîcheur certaines lors des grandes chaleurs estivales. Ce même bois offrait également du gibier en abondance. Seulement ce soir, il dormait. La forêt dormait. Aucun bruit. Nul part. Rien.
Aucune lumière également ne filtrait des fenêtres de la maison. Et pour cause. Je dormais. Ma famille aussi. Ma femme se tenait à côté de moi. Ses cheveux roux tombaient sur sa tête et sur les draps, ce qui faisait ressortir sa peau blanche. Son nez fin finissait en trompette. Ses yeux étaient fermé, mais il me semblait que le vert de ses yeux me regardait avec force. Un de ses bras était posé sous son oreiller, l'autre proche de sa bouche. Son exquise poitrine ressortait. Les draps avaient pris la forme de son corps. Ses hanches ressortaient et je pouvait voir son dos, cambré, qui faisait ressortir son séant.
J'étais pleinement réveillé. Je l'observait. J'étais toujours obnubilé par sa beauté. Elle était encore jeune. Moi aussi. Le temps allait faire son œuvre. Petit à petit, celui-ci allait faire apparaître des rides autours de ses yeux, des ses lèvres, de son nez, ses coudes, … Ce temps là n'était pas encore arrivée. La femme qui se tenait devant mes yeux était, presque, la même dont j'étais tombé amoureux, une quinzaine d'années auparavant. Cette femme m'avait donné un fils il y avait de ça dix ans déjà. J'avais vingt ans. J'en avait désormais trente.
Le sommeil me gagnait enfin. Je plongeait dans la pénombre.
Soudain, un bruit. Sourd.
J'étais de nouveau réveillé. Second bruit. Un cri venait de la pièce du fond. Mon fils hurlait. Je me levais sans plus tarder et ouvrait la porte de sa chambre La scène qui se déroulait devant mes yeux m'était incompréhensible. La fenêtre était grande ouverte et une légère brise faisait voler les rideaux. Un homme tenait mon fils d'une main, sa longue cape noire essayant traînant sur le sol, son autre main plaquer devant la bouche de mon fils afin de le faire taire. Mon sang ne fit qu'un tour. Je m'approchait de lui avec violence, la rage débordait en moi. Je n'étais pas un monstre physique, et c'est plutôt vers moi que se serait tourné un groupe de bandit si on avait voulut faire la peau à quelqu'un afin de le détrousser. Seulement aujourd'hui, ce n'était pas pour moi que je me battais. C'était pour sauver mon fils.
Ma femme était arriver depuis quelques instants, réveiller par les cris et l'agitation. Elle hurlait. Elle voulait qu'on lui rende son fils. Un autre homme arriva derrière elle et l'empoigna fermement. Il tentait de l'emmener. Je me retournais. Je ne savais que faire.
Je restais pétrifier. Jamais auparavant je n'avais été dans une situation pareille. Moi, chasseur et paysan. Je ne battais jamais. La seule arme que je tenais dans mes mains était mon arc afin d'aller traquer le gibier. Et aujourd'hui, je devais choisir entre sauver la vie de mon fils et celle de ma femme.
Je me précipitais sur l'homme qui tenait mon fils. Mon poing s'envola sur sa figure. C'était la seconde fois dans ma vie que je frappais quelqu'un, et c'était il y a déjà longtemps. L'homme flancha, mais resta debout. Il sortit un couteau et le mis sous la gorge de mon enfant. Ma femme hurla de plus belle derrière moi. Celui qui maîtrisait mon fils appela quelqu'un à travers la fenêtre. Un homme fit son apparition et se planta devant moi. Il me dépassait d'une tête, ses épaules étant aussi plus large que les miennes. Je baissait ma garde, la peur commençant à s'infiltrer en moi. Je vis l'homme et mon fils passer par la fenêtre. Le colosse me barrait toujours la route. Impossible de s'en occuper. Ma femme hurlait. Elle continuait de résister. Je me retournais. Grossière erreur. Le géant ne se fit pas prier. Il me frappa violemment à la nuque. La douleur fusa. Jamais auparavant je n'avais eut aussi mal. Mes yeux se remplirent de larmes et ma vision devint trouble. Il m’enjamba et s'occupa de ma femme. De ce que j’entraperçus, il la gifla. Elle se calma sur le champ, sonnée. Il la pris dans ses bras et la plaqua sur son dos. Il avança dans le couloir. Les larmes coulaient sur son visage. Je me relevait et partait à sa poursuite. On venait de me prendre mon fils. J'allais tout faire pour qu'on ne me prenne pas ma femme. Encore bringuebalant par le coup asséné par le colosse, je me tenais au mur pour avancer. Je vis les deux hommes et ma femme sortir de la maison. Je partais à leur poursuite. Ils s'arrêtèrent et se retournèrent vers moi. Le plus frêle des deux sorti un fusil. Il tendit son bras armée dans ma direction et tira.
Le temps sembla s'arrêter. Je n'entendais plus rien, seul l'écho du coup de feu résonnait encore dans mes esgourdes. Puis le silence absolu. Et la douleur arriva, fulgurante. Jamais je n'en avais éprouvé une pareil. J'avais l'impression que celle-ci se propageait à mon corps entier. Je criai. Personne ne pouvait m'entendre, je le savais. Mes yeux se remplirent de larme une nouvelle fois ce soir. Je sentais mon cœur battre à travers la blessure. Je savais une chose grâce à mon expérience de chasseur. Si l'artère était touché, c'en était fini pour moi. J'attendis, la douleur devenant de plus en plus forte. L'artère n'avait pas l'air touché. Malgré tout ce qui venait de se passer, le soulagement s'empara de moi. Je craquais.
Je n'avais désormais que mes yeux pour pleurer.
Et mes mains pour me venger.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Les larmes du Chasseur Empty
MessageSujet: Re: Les larmes du Chasseur   Les larmes du Chasseur Icon_minitimeMer 24 Oct 2012 - 12:38

Citation :
C'était le silence. Le silence absolu. Le silence qui vous prends aux oreilles. Ce silence assourdissant, omniprésent. Ce silence qui fait son apparition sous une nuit sans lune. Une nuit noire. Celle qui fait apparaître une myriade d'étoiles dans le sombre ciel.
Ces répétitions sont bien sur faîtes exprès, et c'est joli (ça à toujours été joli à mes yeux), mais 5 d'un coup font peut-être un peu trop, en plus des deux 'nuit'. Remplacer l'un des 'silence' ; "Celui qui vous prends aux oreilles." - "Celui qui fait son apparition" - "Celui qui assourdit, omniprésent. Ce silence faisant son apparition" ; aérerait le tout, à mon avis. Sinon, pourquoi inverser 'ciel' et 'sombre' ?
Citation :
A quelques encablures d'elle, un champ cultivé dormait.
Encablure est une unité de mesure nautique, inapproprié ici.
Citation :
un champ cultivé dormait. [Virgule ?] Un épouvantail somnolait dans la pénombre
Tu as déjà annoncé la nuit plus haut, il n'est pas utile de le répéter.
Citation :
Aucun bruit. [Virgule ?] Nul part. Rien.
Citation :
près d'un bois [...] Le bois offrait une fraîcheur [...] Ce même bois offrait également [...] Aucune lumière également
Citation :
Et pour cause. Je dormais.
Ainsi, le personnage de point de vue, 'je', était en train de dormir ; donc à cet instant, il ne pouvait pas voir les étoiles, l'épouvantail, ni entendre le silence (Yep, on peut entendre un silence ^^), et à partir de ce constat, il peux difficilement le raconter par la suite (cela vaut pour d'autres descriptions du récit).
Citation :
Ses yeux étaient fermé, mais il me semblait que le vert de ses yeux me regardait avec force.
Cette phrase dit que la couleur seule regardait, alors que ce sont les yeux de couleur qui regardent. Répétition de 'yeux'.
Citation :
ce qui faisait ressortir [...] Son exquise poitrine ressortait [...] Ses hanches ressortaient et je pouvais voir son dos, cambré, qui faisait ressortir son séant.
Citation :
J'étais pleinement réveillé. Je l'observais.
Il dort où il est réveillé, finalement ?
Citation :
Cette femme m'avait donné un fils il y avait de ça dix ans déjà. J'avais vingt ans. J'en avais désormais trente.
20+10, on aurait pu le faire nous même. Rolling Eyes
Citation :
Le sommeil me gagnait enfin. Je plongeais dans la pénombre.
Ah, cette fois, il dort.
Citation :
J'étais de nouveau réveillé.
Ah, non. ^^
Citation :
Un homme tenait mon fils d'une main, sa longue cape noire essayant traînant ? sur le sol, son autre main plaquée devant la bouche de mon fils afin de le faire taire.
"Afin de le faire taire", une précision plutôt facultative.
Citation :
Je m'approchais de lui avec violence, la rage débordait en moi.
Si la rage déborde, elle sort de lui, donc n'est plus en lui.
Citation :
Ma femme était arrivée depuis quelques instants, réveillée par les cris et l'agitation.
Attention aux conjugaisons, vraiment, il n'y en a énormément.
Citation :
Je ne [me ?] battais jamais.
Citation :
Mon poing s'envola sur [vers] sa figure
Spoiler:
Dans ce long paragraphe, il y a 7 virgules et 37 points (à peu près). Un combat est censé être rapide, nerveux ; mettre des virgules ( pas tout le temps, non plus :👅: ), qui demandent un temps d'arrêt moins long que le point, aide à cette vivacité, cette tension. La, forcément, il manque cela.
Citation :
l'écho du coup de feu résonnait encore dans mes esgourdes
'Esgourde' est un terme plutôt familier, alors qu'avec 'myriade', 'esseulé', le texte paraissait plutôt courant-soutenu.

Bien, la plupart des commentaires d'ensemble ont déjà été donné plus haut, le point de vue, les conjugaisons, les répétitions, les phrases souvent trop courtes (responsables en majeure partie des styles pauvres). Je rajouterais que le langage du "paysan-chasseur", employant quelques mots ou termes soutenus, ne correspond pas à l'idée que l'on peux se faire d'un paysan, ou d'un chasseur, qui parlent souvent familièrement. Quand à l'histoire, pour l'instant, elle est somme toute classique, une maison tranquille, un évènement catastrophique ; j'attendrais la suite avant de me prononcer plus avant. Smile
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Les larmes du Chasseur Empty
MessageSujet: Re: Les larmes du Chasseur   Les larmes du Chasseur Icon_minitimeMer 24 Oct 2012 - 12:55

Déjà, je te remercie. Parce qu'il y avait du boulot.
Ensuite, je sentais que quelque chose clochait à l'intérieur de mon texte. J'ai l'habitude de faire des phrases très courte quand j'écris, peut-être trop. Tout est pris en note, je vais améliorer tout ça.

Encore merci à toi Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Les larmes du Chasseur Empty
MessageSujet: Re: Les larmes du Chasseur   Les larmes du Chasseur Icon_minitimeMer 24 Oct 2012 - 13:01

Voyons voir cela, en commençant par la forme et en n'engageant que moi :
Citation :
Le silence qui vous prends aux oreilles
Citation :
Celle qui fait apparaître une myriade d'étoiles dans le sombre ciel.
Là, pour avoir une tendance à faire le même style d'inversions, je pense que ce serait mieux de mettre "sombre" et "ciel" dans le sens conventionnel. J'ai remarqué en me relisant que ça n'apporte vraiment quelque-chose que dans des cas très particuliers, et est contre-productif le reste du temps car nuisant à la bonne compréhension (on doit faire une pause, même si elle est infime, pour comprendre ce qui est écrit).
Autre remarque sur cette phrase, mais là c'est encore plus probable que ce soit juste moi, il m'a fallu un temps pour comprendre ce que désignait "celle", j'ai d'abord interprété ça comme désignant le "silence", avec l'erreur d'accord qui va avec. Passer au pluriel pour cette phrase et écrire "de celles" rendrait les choses beaucoup plus clair sans trop sacrifier à l'aspect succin qui me semble voulu.
Enfin, pour l'ensemble du paragraphe, je trouve un peu lourde la répétition trop rapprochée à trois reprises du mot "silence". Remplacer la dernière occurence par quelque-chose du genre "celui qui" me semblerait pertinent.
Citation :
La maison était esseulée, près d'un bois.
J'ai tendance à comprendre que le mot "esseulé" sous-entend que même si l'on est seul en l'instant désigné, on appartient en temps normal à un groupe. Dans le cas d'une maison, je le comprends comme désignant un édifice à proximité d'une agglomération ou d'un village, même si relativement éloignée ; ou bien comme étant le seul édifice occupé au milieu d'un village/d'une ville abandonné(e) ou en ruines. C'est peut-être ma perception du mot qui est biaisée, mais je ne pense pas être le seul dans ce cas.
Citation :
Ses yeux étaient fermés, mais il me semblait que le vert de ses yeux me regardait avec force.
Autant les précédentes répétitions me semblaient avoir une certaine légitimité malgré une relative lourdeur mes yeux, autant celle-ci me semble vraiment superflue.
Citation :
Je plongeait dans la pénombre.
"Plongeai" ou "plongeais", suivant le sens que tu veux donner. Au vu de la suite, le passé simple me semble plus probable, mais les deux se valent.
Citation :
Je me levais sans plus tarder et ouvrait la porte de sa chambre
(et tu as oublié le point)
Citation :
sa longue cape noire essayant traînant sur le sol
Soit "essayant" a une signification que je connais pas, soit il manque un bout de phrase, soit "essayant" est en trop Razz
Citation :
son autre main plaquer devant la bouche de mon fils
"plaquée"
Citation :
Je m'approchait de lui avec violence, la rage débordait en moi.
Cela ne pourrait-il pas mieux faire passer ton message, si tu remplaçais "débordait" par "débordant" ? Ce n'est pas une question rhétorique, mais cela aurait davantage de rythme à mon sens. Cela dit, je n'aurais peut-être pas relevé sans la présence d'une faute de conjugaison juste à côté.
Citation :
et c'est plutôt vers moi que se serait tourné un groupe de bandit si on avait voulut faire la peau
Pour respecter la concordance des temps, il faudrait écrire quelque-chose comme "cela aurait" ou "ce serait" à la place de "c'est".
De plus, le pronom impersonnel est à mon sens à éviter dès lors qu'il y a une alternative, ici "s'il" à la place de "si on".
Citation :
Ma femme était arriver
arrivée
Citation :
réveiller par les cris et l'agitation
réveillée
Citation :
Je me retournais
retournai
Citation :
Je restais pétrifier
restai (pas obligatoire, mais meilleur à mon sens), pétrifié (obligatoire)
Citation :
Moi, chasseur et paysan. Je ne battais jamais.
Une virgule à la place du point pourrait établir un lien logique qui ne me semblerait pas superflu.
Citation :
Mon poing s'envola sur sa figure
Je trouve la formulation légèrement maladroite. J'aurais plutôt écrit quelque-chose du genre "Mon poing vola sur sa figure" ou "Mon poing s'envola vers sa figure", ou encore les deux modifications à la fois. Mais sans doute pas ça.
Citation :
C'était la seconde fois dans ma vie que je frappais quelqu'un, et c'était il y a déjà longtemps.
Là, si on joue à appliquer la grammaire strictement, tu dis que la deuxième fois était il y déjà longtemps. De plus, il y a une erreur de concordance des temps avec "il y a déjà longtemps". Je te suggère une réécriture assez drastique de tout ce qu'il y a après la virgule ^^
Citation :
le mis sous la gorge de mon enfant.
mit
Citation :
Il me dépassait d'une tête, ses épaules étant aussi plus larges que les miennes.
Il y a quelque-chose dans "étant aussi"" qui me déplait. Je vois plusieurs voies de le contourner mais je ne souhaite pas t'influencer de trop. Pour émettre une suggestion néanmoins, je pense que tu pourrais plutôt écrire " (et) ses épaules étaient aussi".
Citation :
Je baissait ma garde
bassai
Citation :
Impossible de s'en occuper
J'aurais écrit "m'en occuper", car le héros est seul.
Citation :
Je me retournais
Citation :
Jamais auparavant je n'avais eut aussi mal
Citation :
Il la pris dans ses bras
prit
Citation :
Les larmes coulaient sur son visage.
Le visage de qui ?
Citation :
Je me relevait et partait à sa poursuite.
partis
Citation :
je me tenais au mur pour avancer.
Encore une fois, cela n'engage que moi, mais j'aurais préféré "je me tins".
Citation :
Je partais à leur poursuite.
partis
D'autre part, tu as déjà utilisé une formule quasiment identique peu avant. La réemployer si vite me semble peu pertinent.
Citation :
Le plus frêle des deux sortit un fusil.
Citation :
Il tendit son bras armée dans ma direction et tira.
Tirer au fusil d'une seule main me semble difficile, surtout d'un bras tendu. A moins d'avoir une force surnaturelle...
Citation :
Jamais je n'en avais éprouvé une pareille
Citation :
Mes yeux se remplirent de larmes
Citation :
Si l'artère était touchée [...] L'artère n'avait pas l'air touchée
Une répétition peut effectivement être pertinente pour "artère", mais celle de "touchée" me le semble bien moins. Un synonyme serait plus à sa place.
Citation :
Je craquais.
craquai ?


Bon, Lemli a mis son avis pendant que j'écrivais, et tu lui as même répondu. Je vais laisser tel quel cependant, principalement par flemme. Désolé si ça fait un peu fouillis, je n'ai pas l'habitude de faire ce genre de choses.
Pour ce qui est du fond, je vais attendre un peu pour mieux me détacher de la forme.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Les larmes du Chasseur Empty
MessageSujet: Re: Les larmes du Chasseur   Les larmes du Chasseur Icon_minitimeVen 26 Oct 2012 - 12:28

Merci à toi aussi Faeleris. Je suis en train de réécrire ce passage, en écoutant vos conseils.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Les larmes du Chasseur Empty
MessageSujet: Re: Les larmes du Chasseur   Les larmes du Chasseur Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Les larmes du Chasseur
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Retraite du Chasseur
» Du sang et des larmes
» le pouvoir des larmes. (provisoir)
» DELIVRANCE Les Larmes De Sang
» Pénélope sèche tes larmes

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Atelier d'écriture :: Au coin du feu :: Archives fantasy-
Sauter vers: