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 Un être étrange.

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MessageSujet: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeLun 3 Déc 2012 - 22:22

Ceci est un prologue, ou sera peut être la première partie du premier chapitre de ce que je suis en train d'écrire...
Je le poste ici pour voir si ça tient la route, si c'est pas trop moche, voilà voilà Smile




Une brise légère soufflait sur les plaines vertes et herbeuses de Risalth, courbant au passage le sommet des hautes tiges. Quelques arbustes formaient une sorte de frontière pointillée, suivant de manière erratique un petit ru coulant doucement. De là où il était, perché au sommet d’une petite colline, Elies patientait. Son étalon noir broutait distraitement autour de lui, sans se soucier de son cavalier qui, assit sur la selle, jetait son regard nerveux tout autour de lui. Inconsciemment, comme un tic, il frappait le sol du talon de sa lance en petits à coups répétés, laissant ballant son bras gauche auquel était attaché sa targe de bois. Le cercle d’if peint d’une tête de dragon rouge sur fond blanc, aux effigies du comté du Dragon, se balançait doucement de droite à gauche, l’anneau de métal qui en faisait le tour accrochant le soleil rasant. Il était inquiet, car non seulement planté là comme il était, il faisait une cible parfaite pour un bon archer qui aurait pu s’approcher sous couvert de la haute végétation, mais en plus l’éclaireur ne semblait pas sur le point de revenir.
Mettant fin à ses troublantes pensées, un bruit sur sa droite l’alerta. Il se tourna et pointa sa lance vers la source du bruit, qui n’était autre que l’éclaireur, revenant en courant de sa mission. Il avançait à grand peine, écartant sur son passage les longues et épaisses tiges des herbes qui recouvraient la plaine. Vêtu uniquement de tissu, seuls des gants en cuir et des bottes de même facture le protégeaient, ainsi qu’une petite lame à son côté. Il était rouge et essoufflé et s’appuya sur ses genoux pour reprendre sa respiration.

« _ Alors, qu’as-tu vu ?
_ Il y a au bas mot quinze-mille hommes monseigneur. Ils ont monté un campement de l’autre côté des petites collines là bas, à une demi-lieue. Des cavaliers en grand nombre, ainsi que des fantassins de la Phalange, et de nombreux archers.
_ Pas de mages ?
_ D’aucune sorte. Mais je ne suis pas sûr et certain, je n’ai pu trop m’approcher , leurs sentinelles étaient nombreuses et serrées.
_ Bien. S’ils ne reçoivent aucun renfort, nous aurons l’avantage. Mais je me méfie, ils sont capables de recevoir deux fois plus d’hommes qu’ils n’en ont déjà dans la nuit… Et de bien meilleure qualité, même si la Phalange passe pour être leurs unités d’élites. Monte en croupe, nous regagnons Nazhil.
_ Merci seigneur. »

Elies éperonna la monture qui partit au galop en direction du Sud, descendant la pente douce et avalant d’un bond le petit ruisseau, emmenant son maitre au dessus des herbes comme un bateau dont seul la vigie serait émergée, guidant le tout. Bientôt, les murs de la ville furent en vue, imposantes murailles claires, brillant d’un éclat rougeoyant sous le soleil mourant. Ils étaient réputés pour être les fortifications les plus hautes, les plus solides et les plus imprenables de tout Aredis, et même du continent entier. De fait, de l’extérieur, aucune construction n’était visible, pas même le grand Palais d’Ambre, ni même la Tour des Dragons, le château du Roi Filnis et la citadelle de l’armée. Le mur d’enceinte de la cité s’étendait à droite et à gauche des cavaliers partageant la monture presque jusqu’à l’horizon, parsemé de tours épaisses, hérissées de canons et fendues d’innombrables meurtrières. Et juste en face d’eux, la porte Nord. Deux battants de bois gigantesques et épais. Le bois noir qui les composait était renforcé de plaques métalliques, et de pics gigantesques pointaient des deux cotés, entre lesquels de petites lames étaient placées pour décourager une quelconque envie d’escalade. A mesure qu’ils s’approchaient, ils prenaient conscience de la démesure de la Cité des Rois, une des nombreuses appellations de la ville due au fait que chacun des Rois, depuis des temps immémoriaux, à quelques rares et singulières exceptions près, y avait siégé. La muraille blanche s’élevait à une centaine de pas au dessus du sol, et son épaisseur dépassait les trente pas.

Cette haute barrière n’était qu’un exemple de la puissance et de la grandeur de la cité. A environ quinze mètres de la base, à intervalles réguliers, sortaient les bouches immenses de monstrueux canons. Deux hommes auraient pu y tenir debout l’un sur les épaules de l’autre, et leur longueur était telle qu’ils dépassaient de l’autre côté de la muraille creuse. Ils tenaient ainsi en l’air grâce à de larges et longues chaînes rattachées à des treuils en hauteur. L’histoire de ces armes comportait une amusante anecdote toujours racontée. Ils avaient été commandés par le conseiller Arvin du temps du Roi Péleos, aux nains des montagnes du Nord. Seulement, était-ce du fait de l’écriture d’Arvin, ou d’une erreur de sa part, toujours est-il que les ingénieurs avaient construits des armes démesurées. Ces monstres de fer ayant vu le jour, Arvin refusa de les payer dans un premier temps, prétextant, à raison, que ce n’était pas ce qu’il voulait. Les nains rétorquèrent que maintenant qu’ils étaient fabriqués, il était hors de question qu’ils ne soient pas payés, ajoutant comme argument que si le conseiller voulait une preuve de leur bon fonctionnement, ils étaient prêts à en faire une démonstration. Arvin céda bien vite et leur remit leur dû. Nombre de difficulté logistiques avaient accompagné l’installation de tels monstres, mais cela avait fini par se faire. En plus de cet armement dévastateur, nombre de canons de taille plus humaine et de meurtrières perçaient le mur, et quelques longs fusils à la portée phénoménale étaient posés sur le chemin de ronde.
C’était entre autre pour cette raison que nul n’avait attaqué Nazhil.
Du moins jusqu’à aujourd’hui.

Quand ils furent arrivés à portée de voix, Elies cria le code, suivi d’un ordre, et les battants s’écartèrent lentement dans un craquement retentissant. Pour ouvrir la porte, il fallait que, à l’intérieur de la ville, sur la place d’entrée, deux attelages de vingt chevaux chacun tirent de toutes leurs forces, un pour chaque partie. Elies se faufila dans le mince espace ainsi ouvert, et la porte se referma tout aussi lentement derrière lui. Il traversa un long couloir aux murs constellés de fentes noires pour déboucher sur une vaste place semi-circulaire où il s’arrêta pour laisser descendre son passager, au beau milieu de l’effervescence générale.
On commençait à préparer les défenses.

L’éclaireur sauta à bas de la monture et se précipita vers la lointaine silhouette de la Tour. Elies quant à lui prit une autre voie, bien décidé à prendre son temps pour arriver à la même destination. Il s’enfonça donc dans une ruelle adjacente, puis tourna encore et encore pour finir perdu au beau milieu des venelles étroites mais lumineuses du quartier des Boissons. Le nom le faisait toujours rire, mais à Nazhil, la plus grande ville du monde, il fallait bien un quartier entier dédié entièrement et quasiment uniquement aux tavernes. Celles-ci étaient indénombrables, et de nombreux gardes patrouillaient en permanence, car beuveries et tueries ne rimaient malheureusement pas que sur le papier. Le cavalier guidait son cheval au pas, évitant les quelques fêtards déjà bien éméchés et les citoyens pressés, saluant au passage une patrouille ou deux.

Peu à peu, il quitta les ruelles encombrées, s’éloignant du brouhaha ambiant pour gagner le silence et la quiétude du vieux quartier. Ici, presque personne ne passait, hormis quelques riverains regagnant leurs pénates ou s’en allant s’enivrer dans quelque taverne de leur connaissance. On ne vivait pas par hasard dans ces coûteuses et anciennes habitations, des hôtels luxueux ou des hautes villas cachant leurs luxuriants patios derrière d’audacieux et somptueux frontons. Le soleil ne parvenait à percer l’obscurité tranquille que quelques minutes, à son zénith, tant étaient rapprochés les pignons des maisons. Pourtant, il y avait une clarté permanente dans les rues, une atmosphère agréable, empreinte de la richesse aisée que goûtait Elies, le nez en l’air distrait.

Il fut tout à coup rappelé de ses agréables pensées par des éclats de voix sonores résonnant entre les murs. Des rires sans bienveillance, un ton mielleux mais agressif. Inquiet, il s’avança vers la venelle qui partait à angle droit et d’où semblaient provenir les sons. Tout au fond, quatre hommes en encerclaient un cinquième, le cachant à la vue du chevalier. Ils portaient des tuniques amples et noires, arborant des larges capuches qui recouvraient leur crâne. Par une parcelle de leur corps n’était visible. Et les longs cimeterres recourbés qu’ils avaient en main ne laissaient planer aucun doute quant à leurs intentions. Ils avançaient lentement vers leur victime tout en ricanant, fendant l’air du tranchant de leurs lames affutées. Elies, que toute forme de criminalité, surtout de cette sorte, faisait enrager, appelant en lui des souvenirs terribles, raffermit sa prise sur la hampe de sa lance et, la pointant en direction des malandrins, s’engagea dans la ruelle, bien décidé à leur régler leur compte.

Tout à coup, une étrange lueur éclaira la ruelle, semblant provenir de l’homme cerné lui-même. Bien qu’il ne put discerner les détails de la scène, caché qu’il était à sa vue par les assaillants, il crut voir le manteau blanc se mettre à flotter en l’air, comme soulevé par un souffle d’air, baignant dans une lumière verte pâle. Puis un éclair l’éblouit, une chaleur immense envahit l’atmosphère, et des cris retentirent quelque part devant lui. Quand il retrouva la vue, ce fut pour apercevoir quatre cadavres calcinés, baignant dans ce qui semblait être du sang brûlé. Tout autour, les pavés et le bas des murs étaient incandescents, chauffés à blanc.

L’homme, puisque tel il semblait être, avait adopté une étrange posture, un pied en avant, l’autre juste derrière à angle droit. Entre ses bras en croix pendait sa tête, penchée en avant, masquant son visage. Sous l’effet de la chaleur, un courant d’air faisait flotter son manteau blanc et large autour de ses hautes bottes de cuir noir dans lesquelles venait s’enfoncer un pantalon ample pourpre, serré à la taille d’une ceinture elle aussi de cuir sombre. Un pourpoint pareillement rouge complétait sa tenue, lacée sur le devant par un cordon de tissu brun, renforcé de plaques de fer noires s’étalant en segments enchâssés et mobiles sur tout son buste.

Lentement, il releva la tête et planta son regard dans celui, ahuri, du cavalier. Un iris gris, métallique, dur et froid, attirait Elies comme un aimant. Il régnait un grand calme dans ces yeux, une distance et un détachement étranges, inhumains, comme si un abîme séparait le corps de l’âme. L’être semblait vide, sans vie, et pourtant une flamme brûlait au fond de ces pupilles, une pensée scintillait, ardente, illuminant d’une faible clarté cat air vague et morne.
Et il y vit une passion sans nom, une force brutale, une intelligence maligne, et une terreur indicible, sa terreur, sa peur face à ce qu’il ne connaissait pas. Rien d’humain en ces yeux, rien de bon.

D’un mouvement, le contact fut brisé, et l’être laissa là le cavalier hébété, disparaissant tel une ombre sur les toits.
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeJeu 6 Déc 2012 - 11:44

aux effigies du comté du Dragon => je ne sais pas si "effigies" est le bon terme. On parle souvent des "armes" (ou de l'héraldique, mais si je sais que ça marche pour une famille, je ne suis pas sûre pour une région) dans ces cas-là

« _ Alors, qu’as-tu vu ? => si tu ouvres par des guillemets, ne mets pas de tiret (et le tiret n'est pas le bon)

Il y a au bas mot quinze-mille hommes monseigneur => quinze mille hommes, monseigneur
C'est marrant : au vu de sa description initiale et du fait qu'il soit tout seul dans une situation finalement dangereuse, je m'attendais à ce qu'il soit un soldat (peut-être un peu gradé) mais pas un seigneur. Ça me fait bizarre que l'éclaireur, d'ailleurs, ne lui dise pas "monsieur" comme à un supérieur hiérarchique, mais j'ai sans doute aussi une vision un peu trop moderne des rapports entre militaires.

D’aucune sorte. Mais je ne suis pas sûr et certain, je n’ai pu trop m’approcher , leurs sentinelles étaient nombreuses et serrées. => Si c'est pour dire ensuite "je ne sais pas trop", il ne devrait pas se montrer catégorique au début. Plutôt "Pour ce que j'ai pu en voir, d'aucune sorte, mais je ne peux en être sûr. Je n'ai pas pu trop m'approcher" etc.

Monte en croupe, nous regagnons Nazhil. => c'est un vachement gentil seigneur, dis-donc... Pourquoi le mec on lui a pas passé un cheval rien que pour la mission ?

dont seul la vigie serait émergée => seule

Je trouve ça assez dingue que même la tour ne soit pas visible. Elle n'est pas si haute que ça ? On à faire à un genre de Mur dans le Trône de Fer ? ^^ C'est pas une critique ceci dit, juste l'étonnement de la lectrice en cours de lecture et en attendant d'éventuelles explications.

Deux battants de bois gigantesques et épais. Le bois noir qui les composait => répétition de "bois". Si tu nous dis que le bois est noir juste après, tu peux enlever le premier. "Deux battants gigantesques et épais" ça suffit (une précision peut-être sur l'épaisseur ? "comme trois hommes", un truc du genre ?)

Le bois noir qui les composait était renforcé de plaques métalliques, et de pics gigantesques pointaient des deux cotés, entre lesquels de petites lames étaient placées pour décourager une quelconque envie d’escalade => J'ai presque l'impression de voir mes propres portes dans mes récits ^^

A mesure qu’ils s’approchaient, ils prenaient conscience de la démesure de la Cité des Rois => on dirait que c'est la première fois qu'ils y vont. Tu devrais peut-être rajouter une précision, du genre "ils prenaient une nouvelle fois / comme à chaque fois conscience", etc.

sortaient les bouches immenses de monstrueux canons. => tu en as déjà parlé avant, en disant qu'ils hérissaient les murailles. Je pense qu'il vaut mieux enlever la première allusion si tu comptes y revenir comme ça, ou alors trouver une transition qui marque bien que tu reviens à ce que tu as déjà dit.

Deux hommes auraient pu y tenir debout l’un sur les épaules de l’autre => tu parles de la hauteur des canons ? je ne comprends pas trop à quoi ça fait référence

Ok, donc tu ne parles peut-être pas des mêmes canons du coup ^^ A toi de voir si j'ai dis une bêtise ou non et d'en tenir compte ou pas.

empreinte de la richesse aisée que goûtait Elies, le nez en l’air distrait. => virgule après "en l'air"

Tout au fond, quatre hommes en encerclaient un cinquième, le cachant à la vue du chevalier. => donc, Elies est chevalier. Ça serait peut-être sympa de le mettre au tout début, dans sa description, comme ça ça éviterait de le prendre pour un simple soldat et le "monseigneur" arriverait moins comme une surprise.

Par une parcelle de leur corps n’était visible => Pas une parcelle

baignant dans une lumière verte pâle => me semble que dans ces cas-là, on dit "vert pâle"

illuminant d’une faible clarté cat air vague et morne. => cet air


Eh bien, c'est un très bon texte Smile
J'ai vraiment beaucoup aimé. L'écriture est très bonne et maîtrisée, l'histoire a l'air originale (j'ai eu un poil peur en me disant que "l'être" allait juste être un mago, mais non ! Very Happy) et l'univers pas mal aussi. Le coup des canons dans leur démesure m'a beaucoup plu aussi.
Et puis les descriptions sont très chouettes Wink Pas trop, bien intégrées, vraiment bien.

Elies m'a l'air d'être un "vrai" chevalier, au sens un peu arthurien du terme, prêt à défendre les justes causes et les intérêts de son roi. Peut-être un peu trop chevalier blanc, mais c'est une impression basée sur assez peu de moments où l'on voit vraiment ce que pense Elies. Donc, je me trompe très probablement (j'ai souvent tendance à me tromper de toute façon ^^)

Sur l'histoire, je me demande quand même :
- pourquoi l'éclaireur part avec un chevalier et qu'il n'a pas lui-même un cheval ? Avec le chevalier, j'imagine quand même que c'est pour le protéger au cas où...
- pourquoi un étalon pour le chevalier ? Ce sont quand même des chevaux qui étaient assez peu utilisés pour la guerre, parce qu'ils ont un caractère entier et sont plus difficiles à maîtriser lors d'un combat. Bon, certes ici, pas de combat, mais j'imagine que c'est le cheval habituel d'Elies. Et d'ailleurs, ce cheval me semble bien calme ^^ Il ne bronche pas quand l'autre monte en croupe (double poids quand même), il ne bronche pas quand il se prend une bonne vague de chaleur dans les naseaux et qu'il y a un éclair qui l'aveugle... Vraiment, j'en veux un comme ça ! ^^
- Elies ne devrait-il pas aller faire un rapport, puisqu'il a été affecté à une mission de reconnaissance ? L'éclaireur va faire le sien, forcément, mais lui ? Et s'il y va, il ne devrait pas se grouiller étant donné la situation ?
- Elies n'a pas non plus l'air de ressentir les effets du "sort" : si les murs sont vraiment chauffés à blanc, j'imagine que la vague de chaleur doit se sentir à une certaine distance quand même, et le chevalier avançait vers la scène au point de distinguer certains détails. Donc si pour moi il n'est pas dans la zone d'effet, il doit quand même le sentir.
- j'ai toujours un petit doute sur les 100 pas de haut pour la muraille qui cache vraiment tous les bâtiments, y compris une tour et des palais, mais c'est vrai que ce sont des dimensions très dures à se représenter, donc je ne pense pas que tu ais vraiment besoin de revoir ça

Voilà. Sinon, je suis très curieuse de savoir qui peut être assez fou pour s'attaquer à une telle ville sans mages, et quelles sont donc les armes qu'il compte utiliser pour abattre ces murs et canons (des dragons ? ^^)
Je me demande aussi fortement qui est cet "être", et pourquoi il est là. Arme secrète des ennemis déjà embusquée dans la cité ? ^^
En tout cas, je suivrais cette histoire avec grand plaisir je pense Smile
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeVen 7 Déc 2012 - 7:39

Citation :
aux effigies du comté du Dragon => je ne sais pas si "effigies" est le bon terme. On parle souvent des "armes" (ou de l'héraldique, mais si je sais que ça marche pour une famille, je ne suis pas sûre pour une région) dans ces cas-là
Pas faux...je vais voir si armes ne passe pas mieux.

Citation :
Monte en croupe, nous regagnons Nazhil. => c'est un vachement gentil seigneur, dis-donc... Pourquoi le mec on lui a pas passé un cheval rien que pour la mission ?
Oui, il est gentil, mais je ne dis pas tout dans ce prologue, qui n'en sera d'ailleurs peut être pas un...

Citation :
A mesure qu’ils s’approchaient, ils prenaient conscience de la démesure de la Cité des Rois => on dirait que c'est la première fois qu'ils y vont. Tu devrais peut-être rajouter une précision, du genre "ils prenaient une nouvelle fois / comme à chaque fois conscience", etc.
J'y avais pas pensé, je vais corriger.



Citation :
Deux hommes auraient pu y tenir debout l’un sur les épaules de l’autre => tu parles de la hauteur des canons ? je ne comprends pas trop à quoi ça fait référence

Ok, donc tu ne parles peut-être pas des mêmes canons du coup ^^ A toi de voir si j'ai dis une bêtise ou non et d'en tenir compte ou pas.
Si si, ce sont les mêmes canons, les gros gros canons, dans les fûts desquels deux hommes peuvent se tenir (c'était pour donner une idée du diamètre).

J'ai vu tes autres corrections, il y a en effet pas mal de choses à corriger. Merci à toi Smile

Pour Elies le chevalier blanc...ben pareil, je suis en train d'écrire la suite, il passera moins pour un chevalier blanc Wink

Euh...je m’aperçois que j'ai pas beaucoup de temps, donc je reviendrai sur le reste de ton commentaire ce soir si j'en ai le temps, sinon demain. Merci à toi en tout cas !
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeVen 7 Déc 2012 - 15:36

Ah oui, deux hommes dans le fût Shocked Je crois que les bêtes sont encore plus grosses que ce que je pensais ! ^^ Je me demande ce qu'ils mettent comme projectiles dedans Razz
Par contre du coup, il faut le mettre explicitement, parce que je t'avoue que je n'avais pas du tout compris à quoi correspondait la comparaison.

Je me doute pour Elies, c'était simplement qu'il donnait cette impression là. Mais tant mieux s'il est plus complexe ensuite Wink
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeVen 7 Déc 2012 - 20:36

Oui, c'est des mastars les canons, je l'explique dans l'anecdote avec les nains...mais en effet, ça manque de clarté, à revoir.

Sinon:
Citation :
- pourquoi l'éclaireur part avec un chevalier et qu'il n'a pas lui-même un cheval ? Avec le chevalier, j'imagine quand même que c'est pour le protéger au cas où...
Parce que quand j'ai commencé, je ne savais pas où j'allais...donc il faudra que je revoie ça.

Citation :
- pourquoi un étalon pour le chevalier ? Ce sont quand même des chevaux qui étaient assez peu utilisés pour la guerre, parce qu'ils ont un caractère entier et sont plus difficiles à maîtriser lors d'un combat. Bon, certes ici, pas de combat, mais j'imagine que c'est le cheval habituel d'Elies. Et d'ailleurs, ce cheval me semble bien calme ^^ Il ne bronche pas quand l'autre monte en croupe (double poids quand même), il ne bronche pas quand il se prend une bonne vague de chaleur dans les naseaux et qu'il y a un éclair qui l'aveugle... Vraiment, j'en veux un comme ça ! ^^
Parce que je n'y connais strictement rien en chevaux. Mais oui, il est bien calme ^^
Peut être faudra-t-il que j'insiste là dessus, que je rajoute les réactions du bourin. A vrai dire, je l'avais quasiment oublié, tellement il était anecdotique pour moi, merci de me le rappeler !




Citation :
- Elies ne devrait-il pas aller faire un rapport, puisqu'il a été affecté à une mission de reconnaissance ? L'éclaireur va faire le sien, forcément, mais lui ? Et s'il y va, il ne devrait pas se grouiller étant donné la situation ?
Parce qu'il a autre chose à faire, cf. chapitre I, écrit sur papier mais qui demande son adaptation Word...

Citation :
- Elies n'a pas non plus l'air de ressentir les effets du "sort" : si les murs sont vraiment chauffés à blanc, j'imagine que la vague de chaleur doit se sentir à une certaine distance quand même, et le chevalier avançait vers la scène au point de distinguer certains détails. Donc si pour moi il n'est pas dans la zone d'effet, il doit quand même le sentir.
En effet, à revoir.

Citation :
- j'ai toujours un petit doute sur les 100 pas de haut pour la muraille qui cache vraiment tous les bâtiments, y compris une tour et des palais, mais c'est vrai que ce sont des dimensions très dures à se représenter, donc je ne pense pas que tu ais vraiment besoin de revoir ça
Non non, 100 pas, c'est bien ça...un mur énorme. Avec les canons qu'il y a dedans...
Nazhil est la capitale des Hommes, et la plus grade cité...elle a donc de quoi impressionner. Je pars sur un pas = un mètre, à peu près, un peu moins...je voulais faire médiéval ^^"

Merci à toi, mais tu seras peut être déçue...car je ne compte pas, pour le moment, m'éterniser sur la bataille...autre chose viendra.
En attendant, merci à toi pour ta lecture et tes commentaires Smile
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeSam 8 Déc 2012 - 10:11

J'avais bien compris la démesure des canons, mais j'avoue que je les voyais moins énormes ^^ Un homme dans le fût du canon, par exemple. Je pense en fait que si tu clarifies juste cette allusion, on comprendra parfaitement. Et de toute façon, on comprend qu'ils sont gigantesques, le lecteur n'a peut-être pas forcément besoin de ta propre vision pour le comprendre.

Pour l'étalon : bon, je ne dirais pas que "je m'y connais en chevaux", mais j'ai quand même 9 ans d'équitation derrière moi et j'adore ces bêtes là, donc je fais toujours attention à quand j'en croise un dans un bouquin ^^
Donc oui : les étalons sont souvent plus réactifs/nerveux que les hongres ou les juments (quoique les juments aient souvent leur petit caractère aussi, mais passons). Ils ont tendance à chercher querelle aux autres étalons, et à "chasser" les juments au printemps (autant de réactions à prévoir et contrôler lorsque le cavalier veut faire quelque chose ^^) Quant aux chevaux en général, ce sont des animaux vraiment craintifs. A l'état sauvage, c'étaient des proies qui ne pouvaient souvent compter que sur leur vitesse pure et la vitesse de leurs réactions pour s'en tirer. D'où une certaine tendance naturelle à réagir au quart de tour dans une situation qui leur fait peur, qui leur est inhabituelle.
Dans les exemples de ton prologue, puisque c'est un étalon, j'aurais tendance à le faire un peu danser sur place ou bouger quand ton second mec monte dessus. Avec un castré ou une jument, un peu moins, mais bon, ça dépend aussi de leur dressage/habitude, de l'âge, etc. Une fois, j'ai monté un jeune cheval qui ne supportait pas qu'on monte dix centimètres trop en arrière : dès que je me suis assise dans ma selle au mauvais endroit, il a foncé droit devant ! (dans le mur en plus...)
Par contre, quand ils rencontre l'être, là, ton cheval, quel que soit son sexe, devrait réagir à moins d'avoir déjà été confronté à une telle situation et y être habitué. Pour la réaction : cabrer, hennir, tenter de fuir (son cavalier a intérêt à être bon, à le rassurer, etc.)
Voilà, si jamais ça peut t'aider Wink

100 pas : ok, j'avais pensé que tu avais plus ou moins converti en "feet" anglais, ce qui faisait plutôt un mur d'environ 30-40 mètres. Oui, si tu comptes 1 pas = 1 mètre, forcément, c'est un beau truc Very Happy
Le problème (très agréable pour l'écrivain par contre ^^) du pas, c'est que finalement, il n'y a pas des masses de convertisseur pour savoir exactement ce qu'on voit (ou alors c'est différents types de pas historiques, mais d'après ce que j'ai trouvé, ça correspondait grosso modo au 3m et quelques du "feet" anglais). Après, c'est ton choix, mais quitte à garder une mesure moins commune que le mètre, tu peux peut-être regarder du côté de l’empan par exemple, qui ne dira pas grand-chose non plus à ton lecteur mais il pourra vérifier par la suite pour savoir à quoi ça correspond.
Mais bon, c'est une idée comme ça.
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeSam 8 Déc 2012 - 16:57

Ok, merci pour les précisions sur le cheval, je prends note.
Après pour l'unité...pas évident, en voulant faire médiéval, j'ai un peu embrouillé la chose...à revoir.

Au fait, tu m'as dit que le tiret pour le dialogue n'était pas le bon, alors...c'est lequel le bon ?
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeSam 8 Déc 2012 - 17:41

This one Wink


J'avoue avoir le même problème pour les unités (métrique, de temps, etc.) dans mon roman. Du coup, pour ne pas dire de conneries, j'ai choisi de garder notre système ^^ (même si on me l'a déjà reproché)
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeSam 8 Déc 2012 - 22:58

Ah ok...deux fois en fait...compris.
Bah l'unité permet une sorte d'immersion, de détachement de la réalité...ce qui est une bonne chose !
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeDim 9 Déc 2012 - 13:45

Citation :
sur les plaines vertes et herbeuses de Risalth
On devine que la plaine est herbeuse grâce à l'adjectif 'verte'.
Citation :
suivant de manière erratique un petit ru coulant doucement
Erratique : instable, qui n'est pas fixe. Le choix du terme est un peu laborieux.
Citation :
jetait son regard nerveux tout autour de lui
"Jetait un regard" ? Signifier "son" fait littéral, qu'il jette vraiment.
Citation :
comme un tic
Je ne sais pas si l'on parlait de tic, 'à l'époque' du récit. Plutôt sorcière, monstre ou enfant de Satan. ^^
Citation :
car non seulement planté là comme il était
Cette utilisation de 'planter' vient du registre familier, ce qui ne colle pas au reste de la narration.
Citation :
les longues et épaisses tiges des herbes qui recouvraient la plaine
"qui recouvraient la plaine", déjà indiqué dans le texte.
Citation :
Le mur d’enceinte de la cité s’étendait à droite et à gauche des cavaliers partageant la monture
Oui, en général, les murs ne s'étendent pas d'avant en arrière. Autre chose, "partageant la monture", déjà indiqué.
Citation :
parsemé de tours épaisses
Parsemé : semé ça et là, par-ci, par là, au hasard. Je suppose pourtant que les tours sont alignées, d'écarts en écarts distincts.
Citation :
Bientôt, les murs de la ville furent en vue ... brillant ... sous le soleil mourant. [...] Et juste en face d’eux, la porte Nord.
Si le soleil se couche à l'Ouest - donc derrière eux, pour être dans l'axe des murs - la porte est celle de l'Ouest. Après, c'est de la Fantasy, tu fais ce que tu veux avec ton soleil, c'est ton soleil - J'adore la Fantasy !
Citation :
A mesure qu’ils s’approchaient, ils prenaient conscience de la démesure de la Cité des Rois, une des nombreuses appellations de la ville due au fait que chacun des Rois, depuis des temps immémoriaux, à quelques rares et singulières exceptions près, y avait siégé.
C'est pas vrai ?! La cité des Rois s'appelle comme ça parce qu'il y a eu des rois dedans ?! :👅:
Citation :
A environ quinze mètres de la base
Mètre ? Le mètre a été défini au 17 ème et reconnu fin 18 ème (wikipédia's sources, donc bon...), tu a dit que tu voulais faire médiéval, notamment avec le pas. Comme mesures, il y aurait l'aune (1 mètre 20), la coudée (45 cm), l'empan (20 cm), le pied (30 cm), et la toise (presque 2 mètres), tout ça étant environ.
Citation :
L’histoire de ces armes comportait une amusante anecdote toujours racontée.
Tu dérives un peu, là.
Citation :
En plus de cet armement dévastateur, nombre de canons de taille plus humaine et de meurtrières perçaient le mur, et quelques longs fusils
Ah oui, médiéval, mais pas trop quand même... "meurtrières", déjà indiqué.
Citation :
mais à Nazhil, la plus grande ville du monde
"la plus grande ville du monde", facultatif.
Citation :
s’éloignant du brouhaha ambiant pour gagner le silence et la quiétude du vieux quartier.
Je me demandais pourquoi Elies flânait tout d'un coup. Il nous faire le tour du propriétaire. Pour mieux l'amener, il lui faudrait une raison de se balader, où d'éviter un moment la Tour, autre que "prendre son temps".
Citation :
Le soleil ne parvenait à percer l’obscurité tranquille que quelques minutes, à son zénith
Je verrais plutôt "à son zénith" au début de la phrase, pour signifier que ce n'est pas une description en temps réel.
Citation :
Pourtant, il y avait une clarté permanente dans les rues
De quelle façon, si le soleil ne perce pas ?
Citation :
Tout au fond, quatre hommes en encerclaient un cinquième, le cachant à la vue du chevalier
S'il lui est caché, comment sait-il qu'il y a un cinquième homme ?
Citation :
baignant dans ce qui semblait être du sang brûlé.
Je ne sais pas si l'on peut encore parler de "baigner", si le sang a brulé, on le verrait sec et fumant, séché.
Citation :
incandescents, chauffés à blanc
"Incandescent" veut déjà dire 'chauffé à blanc'.
Citation :
Un iris gris, métallique, dur et froid, attirait Elies comme un aimant.
Attira ?

Voili voilu, il reste deux-trois choses à rajouter : un, je reste sceptique sur l'envergure de la ville et des canons, si un pas = 1 mètre, cela fait un mur d'enceinte d'à peu près 30 étages d'immeuble en hauteur, et pire, 10 étages en épaisseur. Au niveau humain, ressource, connaissance et matériel - sans parler de l'entretien -, c'est plus que démesuré. Pour les canons, je suis curieux de savoir quel genre de munition ils mettent dedans, et comment ils parviennent à déclencher le 'coup de feu'. Avec une ficelle et de la poudre, je ne suis pas sur que le boulet fasse deux mètres avant de revenir en arrière. Deux, à cause du langage soutenu, qui est parfois maladroit dans les descriptions, avec l'envie d'être clair qui te fait revenir sur des choses déjà clairs ou déjà indiqués, il y a trop de rajouts dans les phrases, ce qui se résume à un grand nombre de participes passés (-ant), quasi 40 ("revenant en courant" ; "descendant la pente douce et avalant d’un bond le petit ruisseau, emmenant son maitre", et d'adverbes (-ment), quasi 20 ("entièrement et quasiment uniquement"). Enfin, quelques répétitions, par la même cause, comme "noir", "battants", "sommet", "air", etc (Ctrl + F, au cas où).

Ps : Un point positif, tout de même : il n'a aucune sorte de 'sorte' dans ton texte. ^^
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeDim 9 Déc 2012 - 17:50

Woaw...je reviendrais sur tes correction plus tard dans la semaine, j'ai pas énormément de temps, je vais juste revenir sur le commentaire à la fin:
-pour la taille, disons que la démesure est chose courante dans ce monde de fantasy, donc j'ai vraiment forcé le trait. Qui plus est, il n'y a que quatre villes de cette envergure sur le pays, ce que je n'indique certes pas. Mais elles sont vraiment énormes, c'est voulu.
-les canons...j'explique cela dans le chapitre I, je je tape encore (mais il a pas encore trop mal, ça va).
-je sais que je mets beaucoup de participe présents, mais j'ai du mal à m'en défaire...je travaille dessus pourtant, mais c'est plus fort que moi !

Merci de ta lecture et de tes commentaires, j'y reviendrai sans doute mardi Smile
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeMer 12 Déc 2012 - 21:50

Citation :
Erratique : instable, qui n'est pas fixe. Le choix du terme est un peu laborieux.
Hélas, je ne savais pas trop quoi mettre... Erratique me paraissait le mieux, mais bon, en cherchant bien, ça devrait aller.

Citation :
Je ne sais pas si l'on parlait de tic, 'à l'époque' du récit. Plutôt sorcière, monstre ou enfant de Satan. ^^
Oui, mais à l'époque, il n'y avait pas le terme dont j'ai besoin ! Non, sérieusement, si tu connais autre chose, je suis preneur, parce que là, vraiment...
Et pis j'allais pas mettre "comme un démon possédé par les flammes des enfers, il frappait le sol de sa lance..."

Citation :
Oui, en général, les murs ne s'étendent pas d'avant en arrière.
Si tu les longes, si, ils sont d'avant en arrière...(oui, je suis un peu chiant là).

Citation :
Parsemé : semé ça et là, par-ci, par là, au hasard. Je suppose pourtant que les tours sont alignées, d'écarts en écarts distincts.
Certes, mais tous les autres mots qui me sont venus à l'esprit étaient laborieux, cassaient le récit.

Citation :
C'est pas vrai ?! La cité des Rois s'appelle comme ça parce qu'il y a eu des rois dedans ?!
Je suis sûr que si je l'avais pas mis, il se serait trouvé quelqu'un pour me demander de préciser :👅: ::lol: (vécu !).

Citation :
Mètre ? Le mètre a été défini au 17 ème et reconnu fin 18 ème (wikipédia's sources, donc bon...), tu a dit que tu voulais faire médiéval, notamment avec le pas. Comme mesures, il y aurait l'aune (1 mètre 20), la coudée (45 cm), l'empan (20 cm), le pied (30 cm), et la toise (presque 2 mètres), tout ça étant environ.
Faute d'attention de ma part, non corrigée... Je ne me suis pas encore décidé pour les mesures par la suite, j'attends d'avoir suffisamment de matière pour écrire sur le PC et tout mettre au propre, bien net.

Citation :
Tu dérives un peu, là.
Ca fait vraiment mal ? C'était juste une anecdote au passage, comme ça... Histoire d'expliquer ce que foutent des canons plus grands que ma baraque là dedans. Et pis ça m'est venu comme ça, je sais pas... Je l'ai mis, hop ! Razz

Citation :
Ah oui, médiéval, mais pas trop quand même...
Nan, des armes à feu légèrement supérieures en technologie à celles de la renaissance, sans pour autant être au niveau actuel, font partie de ce monde. Les ingénieurs nains, grands inventeurs, ont d'ailleurs fabriqué quelques véhicules aussi...

Citation :
e me demandais pourquoi Elies flânait tout d'un coup. Il nous faire le tour du propriétaire. Pour mieux l'amener, il lui faudrait une raison de se balader, où d'éviter un moment la Tour, autre que "prendre son temps".
Pas faux. Je le voyais bien se balader, inscrire ça dans son tempérament. Mais je rajouterais peut être une contrainte horaire qui ne le presse pas trop (par rapport au premier chapitre), et qui lui laisse le temps de s'adonner à un de ses passe-temps favoris, flâner dans les rues de la ville.

Citation :
De quelle façon, si le soleil ne perce pas ?
Les murs sont clairs, la lumière se reflète dessus et illumine, pas comme en plein jour, mais quand même relativement bien, la ruelle.

Citation :
S'il lui est caché, comment sait-il qu'il y a un cinquième homme ?
Ben le cinquième homme, caché, est visible par endroits, pas entièrement dissimulé, mais assez pour que rien ne soit clair, si ce n'est le fait qu'il y ait un cinquième homme.

Bon, voilà pour ce sur quoi je voulais revenir. Je prends note de tes corrections et conseille, et t'en remercie Smile
Je pense de plus en plus inscrire ce texte dans mon premier chapitre et mettre en guise de prologue une petite description rapide du monde dans lequel se déroule l'action, de ses spécificités et de l'action en elle même (une accroche, pas plus)... Ce qui sera plus cohérent vu comment se profile la suite. Par contre, elle n'arrivera pas avant un moment, je n'ai que trois chapitres d'écrits (bon, ils font à eux seuls l'équivalent d'une soixantaine de pages de cours, mais bon...), alors j'attends de voir si je suis en mesure de donner une suite cohérent e à ce que j'écris !
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeJeu 13 Déc 2012 - 8:19

Citation :
Ca fait vraiment mal ? C'était juste une anecdote au passage, comme ça...
Yep, je voulais dire que ça tombais un peu comme un cheveux dans la soupe, ça a été mis hop, posé ainsi, pas vraiment intégré au récit. L’anecdote aurait pu être racontée par Toto l'ivrogne au fond d'une taverne, en format 'chanson humoristique' "Un jour, leur ancêtre Gurdil, fut envoyé à Nazhil la grande cité" ...Hum, pardon. ^^
Si la démesure est courante dans ton monde, les lecteurs, de Fantasy - de tous les lecteurs, les plus ouverts - l'accepteront tel quel. À toi, par la suite, au milieu ou la fin, à un moment inattendu, de sortir cette anecdote pour rendre l'élément plus réel.

Citation :
Les murs sont clairs, la lumière se reflète dessus et illumine, pas comme en plein jour...
Sauf que le soleil est en train de se coucher - ou déjà couché, le temps qu'ils arrivent et qu'ils traversent une partie de la cité -, avec des murs de cette hauteur, il est bloqué ; il y a encore la lumière du crépuscule, m'enfin, c'est relativement vite sombre, même à travers une baie vitrée. Un lampadaire nain ? :👅:
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MessageSujet: Re: Un être étrange.   Un être étrange. Icon_minitimeJeu 13 Déc 2012 - 18:28

Citation :
Sauf que le soleil est en train de se coucher - ou déjà couché, le temps qu'ils arrivent et qu'ils traversent une partie de la cité -, avec des murs de cette hauteur, il est bloqué ; il y a encore la lumière du crépuscule, m'enfin, c'est relativement vite sombre, même à travers une baie vitrée. Un lampadaire nain ?

Ah, ok, bah à revoir du coup ! Merci !
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