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| | First Contact : Prologue | |
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Invité Invité
| Sujet: First Contact : Prologue Jeu 17 Jan 2013 - 21:54 | |
| Et hop pour changer du Bit Lit et du fantastique, voici le prologue d'une histoire de S.F que j'ai pour le projet d'écrire une fois mon inspiration un pu moins focaliser sur ma jolie petite Laura. L'histoire est censé raconter le premier contact entre l'humanité, commençant à peine à s'étendre hors de son système natal, avec le reste des habitants de la galaxie certain belliqueux d'autre beaucoup plus sympathique. Bonn lecture. - Citation :
Le Général Gédéon Parker faisait les cents pas dans son bureau. Il n’avait pas de raison de s’inquiéter pourtant, mais les festivités des dix ans d’installations de la colonie sur Horizon II étaient chargé de trop de symbolisme pour qu’un impair puisse être commis. Après tout il était la toute première colonie extra-solaire de l’Ascendance Humaine. Le temps était passé si vite, il avait du mal à se rappeler encore comment était la vie sur Mars. Les premières années avaient été difficile et les sacrifices nombreux, mais il et toute la colonie avec lui pouvait être fier de ce qu’ils avaient accomplie tous ensemble.
Alors qu’il passait encore une fois devant sa fenêtre, il marqua un petit temps d’arrêt pour admirer ce qu’il avait construit. La colonie était construite sur le modèle des villages moyenâgeux de l’humanité. Il vivait dans le bâtiment central construit sur une petite colline, c’est aussi dans le bâtiment que se trouvait la garnison, l’hôpital et le bunker qui servait à protéger les habitants en cas de tempête ou d’attaque d’animaux sauvage. Les provisions étaient aussi stocké ici pour les protéger. Puis après venait les habitations, puis les murs de béton armé pour empêcher tout intrusion et enfin les champs.
Même si de la fenètre il ne pouvait le voir, de l'autre coté de la colonie ce trouvait le cimetière. Une place avait été aménagé devant la garnison et une estrade en bois avait été monté pour l’occasion. Il pouvait aussi voir les navettes de débarquement qui amenait en flot continue les marins de la frégate hyper-capable « Hilda » qui avait reçu pour les festivités une permission exceptionnel de la part de leur capitaine.
- Bon il est temps. Soupira Parker. Il se retourna, allant doucement vers son bureau, allumant l’interphone pour entrer en communication direct avec sa secrétaire.
- Sarah. Veuillez m’apporter mon uniforme de cérémonie, je vous en prie.
- Bien général. La voix douce de Sarah raisonna dans la pièce.
Parker, se laissa tomber dans son siège, sortant de son tiroir une vieille bouteille d’alcool et un verre. Il avait encore le temps avant que la cérémonie commence et il devait aussi oublier certain sacrifice.
*** - Capitaine! On a encore contact inconnue autours de H6. L’enseigne Carl Anderson avait hurler ses mots, tout en restant le nez collé sur ses écrans, s’assurant des relevés des scanners longue porté de la frégate « Hilda ».
Le capitaine de Frégate Drew Hudson ne prit même pas la peine de se relevé en entendant le rapport de l’enseigne. Cela faisait deux jours que des contacts inconnues apparaissaient et disparaissaient sur les scanners. S’il avait vérifié les premières fois, maintenant il était certain que ce n’était rien de plus que ses capteurs qui étaient défaillant. Il l’avait déjà signaler dans le livre de bord, il ne fallait plus que patienter jusqu’au retour à la base de la marine sur Titan pour les faire réparer.
- Consigné encore une fois cette apparition inexpliqué dans le livre de bord Monsieur Anderson. Mademoiselle Ikari, où en sommes nous du débarquement.
La jeune femme, consulta rapidement son écran, avant de se tourner vers le capitaine. Le second du vaisseau le lieutenant Misato Ikari était une jeune femme fluette qui semblait flotter dans l’uniforme noir au décoration d’or de la Marine Humaine.
- La dernière navette vient de partir monsieur. Il ne reste plus qu’un tiers de l’équipage à bord.
Le capitaine se leva. Il n’avait plus rien à faire sur la passerelle de son vaisseau. Si cela n’avait tenue qu’à lui, jamais il n’aurait autorisé les deux tiers de son équipage à descendre à terre pour fêter seulement les dix ans de vie d’une petite colonie. Ce n’était rien du tout à l’échelle de la galaxie ou même de l’humanité. Ce n’était que des rampants minables qui fêtaient simplement leurs chances d'être encore en vie et cela le dégoutait. Malheureusement il avait des ordres venant tout droit haut commandement. Son équipage devait participer aux festivités et ensuite les raconter à leurs retours dans le système solaire.
- Mademoiselle Ikari, à vous la passerelle. Je vais dans mes quartiers me reposer un peu.
- Bien Monsieur, à moi la passerelle. Professionnel, Misato avait répondu usant de la formule classique de la prise de commandement. Un bip discret se fit entendre dans l’oreillette de la jeune femme signifiant que le vaisseau avait prit note et transmis l’information au reste de l’équipage.
Elle laissa le capitaine sortir de la grande salle en trainant les pieds avant d’aller s’asseoir dignement sur le fauteuil de commandement. Elle détestait le comportement hautain d’Hutson, mais elle n’avait pas le choix de travailler avec lui et de le seconder de son mieux. C'était son boulot et elle ne déshonorait pas son uniforme parce que son supérieur était un idiot.
- Misato. L’enseigne Anderson s’était approché d’elle. Elle savait qu’il partageait son aversion pour le capitaine et elle avait sympathisé avec le géant noir bien plus que ne l’autorisait le règlement de la flotte.
- J’ai une idée pour les scanners. Commença-t-il, ne continuant que lorsque la jeune femme avait acquiescé. J’ai l’impression qu’il y a un dérèglement d’ordre informatique et je crois que nous pourrions y remédier en changeant quelques paramètres. J’en ai déjà parlé au chef mécanicien, il pense pouvoir faire ça rapidement, mais il faudrait déconnecter les scanners une bonne heure.
Misato ferma les yeux. Les scanners d’un vaisseau était comme les organes sensoriels des êtres humains, sans eux la frégate était sourde et aveugle, ce qui pouvait être dangereux, mais d’un autre coté, ce n’était pas comme s’ils étaient en situation de combat.
- Vous ne l’avez pas proposé au capitaine, monsieur Anderson?
Le silence d’Anderson en disait long sur ce qu’il pensait du capitaine du vaisseau. Jamais il n’aurait accepté quelques choses d’aussi peu conventionnel. Cette tête de bois ne jurait que par le règlement de la Marine et le code de L’Ascendance. Bien sur aucun règlement n’imposait d’attendre le retour sur Titan pour faire de si lourde réparation, mais c’était l’usage.
- Je vous le propose à vous Lieutenant. La jeune femme sourit, il avait raison le capitaine avait laissé son commandement à son Second et elle était donc habilité à donner tout les ordres qu’elle estimait nécessaire. Sans compter que le Capitaine ne reviendrait certainement pas avant quatre ou cinq heure standard, le temps de dormir un peu.
- Très bien Carl. Vous avez une heure.
***
- Nous pouvons être fier de ce que nous avons accomplie, fière de voir cette colonie, fier de voir cette ville que nous avons bâtie, fier de voir nos enfants vivre sur ce monde que nous avons conquis.
La voix de Gédéon Parker raisonnait sur la grande place. Devant lui se trouvait les cents vingt sept hommes et femmes accompagné de leurs enfants qui suaient chaque jours sang et eaux pour rendre l’endroit vivable. Derrière eux se trouvaient les membres d’équipage de l’ « Hilda » facilement reconnaissable avec leurs uniformes de parade de la Marine. Les colons eux portaient une tenue bleu sombre au décoration d’argent. Le crépuscule tombait doucement sur la colonie.
- Nous sommes partis de rien, nous avons tous donné bien plus qu’à notre tours et nous devrons encore faire de nombreux sacrifices, mais aujourd’hui, cela fait dix ans standard, jours pour jours, que nous avons posé pour la première fois le pied sur ce monde qui allait devenir le notre.
Parker se tut quelques instants, laissant chacun ici présent se rappeler les sacrifices qu’ils avaient du endurer. Sa propre femme était morte, un an après qu’ils se soient posé, dévoré par l’un des redoutables prédateurs d’Horizon.
- Aujourd’hui notre colonie est forte et stable. Nos enfants grandissent à l’abris de nos mur et nous allons pouvoir nous préparer à enfin hisser haut les couleurs de notre nation, les couleurs de l’Ascendance Humaine. Et il n’y a qu’une personne ici qui mérite de lever pour la première fois le drapeau de l’Ascendance. Elle représente tout les sacrifices que nous avons fait, mais aussi toutes les joies que nous avons eut.
Ses paroles étaient ponctué de murmure approbateur et de petit applaudissement. Il savait que tous était d’accord avec lui. Il s’écarta donc, laissant venir à coté de lui une petite fille aux cheveux blonds tenant dans ses mains le drapeau replié de l’Ascendance. La petite Lale était si mignonne dans son uniforme de colon que sa mère avait cousu pour elle. Celle si se trouvait derrière elle, accompagné de son mari. Ils semblaient si heureux de l’honneur que la colonie faisait à leurs petite fille, mais c’était normal, elle était la première enfant à être née sur ce nouveau monde et à avoir survécu.
Parker laissa la mère aider sa fille installer le drapeau avant de tirer d’un coup sec, hissant bien haut dans le vent les couleurs de l’Ascendance. Des acclamations et des bravos parcoururent la foule, les militaires saluèrent la bannière bleu nuit.
Mais dans la joie et la liesse de la foule, un crie de terreur se fit entendre, bientôt suivit par des dizaines d’autres.
*** - Commandant! On a de multiple contact inconnue en orbite autours d’Horizon. Hurla Anderson.
- Quoi?! Le second se leva d’un bon, regardant affolé l’écran qui se trouvait juste devant le fauteuil du capitaine. Elle pouvait y voir une douzaine de point rouge entourant la tache bleu qui représentait la frégate « Hilda »
- Anderson. Estimation avant contact! Hurla-t-elle, tout en écrasant rapidement le bouton déclenchant l’alerte général dans le vaisseau. Immédiatement l’alarme retentit dans toute les coursives de la Frégate.
- Difficile à dire Commandant! Anderson était penché sur son écran, semblant essayé d’y trouver la réponse que lui demandait Ikari. Je dirais zéro point zéro sept.
La jeune femme se laissa tomber sur le fauteuil. Sept minutes, sept petites minutes. Jamais ils n’arriveraient à mettre en position de combat la frégate, surtout avec seulement un tiers de l’équipage. Rien que pour manœuvrer il fallait deux autres personnes sur la passerelle, mais ils ne pouvaient pas non plus rester immobile.
- Anderson, je prends la timonerie, je veux qu’on puisse lancer les torpilles dès qu’on est face à eux.
Il acquiesça, quittant immédiatement son siège devant les scanners pour se jeter sur le poste de contrôle de l’armement. Misato elle se précipita sur la timonerie. C’était plus que risqué, à deux ils ne pouvaient pas s’occuper de tous les postes et en sacrifiant les scanners, ils allaient tirer en aveugle. Sans parler du contrôle des défenses.
- Bordel. Hurla la jeune femme. Il va nous falloir zéro point un zéro pour atteindre une accélération de dix pour cent.
- On s’en fout, fait pivoter de ….
*** L’explosion gigantesque sembla illuminer le ciel au dessus de la colonie. Jamais le Lieutenant Ambre Harrison n’aurait crue ça possible. La frégate venait d’exploser alors qu’elle était en orbite. Tétanisée, comme le reste des colons et des soldats, la jeune femme sur l’estrade ne pouvait plus bouger, restant bouche bée à regarder le ciel.
- Maman, j’ai peur. La petite Lale la tira de sa rêverie. Sa fille ne devait pas comprendre ce que cela signifiait, elle n’avait que huit ans après tout. Elle aurait du la prendre dans ses bras, la réconforté, mais elle ne réussit qu’à saisir sa petite main tremblante.
Dans le ciel sept formes allongées semblaient grossir à vue d’œil. Qu’Est-ce qui ce passait? Soudain la foule se mit à bouger, paniquant totalement, les colons couraient le plus vite possible dans les habitations ou vers la garnison.
- Général! Hurla Ambre. Le vieille homme semblait perdu, jetant un regard à droite à gauche sans savoir quoi faire. Ambre espérait que leurs supérieurs allait trouver une idée pour se défendre, ils en avaient le plus grand besoin. Laissant sa petite fille, elle alla se planter devant lui, commençant à le secouer pour qu’enfin il réagisse.
Un main lourde se posa sur son épaule. Ethan son mari la regardait tristement. Il n’avait pas besoin de parler pour qu’elle comprenne ce qu’elle devait faire. Mue par son instinct, elle l’embrassa rapidement avant de courir attraper sa petite fille et de l’emporter avec elle. Il fallait la cacher, pour qu’elle ne soit pas blessé. Alors qu’elle sautait de l’estrade, elle entendait Ethan commencer à distribuer des ordres, essayé d’organiser une défense, mais lui comme elle savait pertinemment que la colonie n’avait pas été conçus pour faire face à un assaut orbital.
Sa fille pleurait dans ses bras, mais elle ne bougeait pas, facilitant la tache d’Ambre alors qu’elle poussait de son chemin colon et militaire. Elle s’en moquait d’eux, elle voulait protéger sa fille c’était tout. Faisant sauter sa porte d’un coup de pied, elle se précipita à la cave qu’ils avaient aménagé au cas où. Déposant la petite fille au sol, elle déplaça un meuble dévoilant l’entré camouflé de leurs abris, tout les maisons de la colonie était pourvue de ces abris en cas d‘attaque de bête sauvage, de tempête ou dans la ce qui avait semblé être improbable voir impossible à tous une invasion. La petite fille continuait de pleurer à chaude larme alors que sa mère s’agenouilla devant.
- Lale, mon cœur, mon soleil. Dit elle doucement. Tu te souviens de ce que je t’ai appris?
Tout en pleurant l’enfant acquiesça, répondant à sa mère la voix plein de larme. Elle était perdu, elle ne comprenait pas ce qui ce passait.
- Oui … Oui. Je me cache dans l’abris. J’essaye de dormir et je ne sors que si toi ou le général venez me chercher.
Ambre serra contre elle sa petite fille avant de l’aider à descendre dans le troue. Un bref instant elle envisagea de retirer l’échelle, mais si jamais … Masquant ses propres larmes à la petite fille, elle essayait de ne pas écouter les pleurs de l’enfant alors qu’elle fermait derrière elle la petite trappe et replaçait le meuble.
Elle dut prendre quelques instants pour se ressaisir avant de sortir son arme de son étui et de se précipiter dehors. Elle ne pouvait rien faire pour protéger plus sa fille, elle devait défendre la colonie.
- Au revoir mon cœur. Murmura-t-elle en sortant de chez elle, sans un regard en arrière.
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| | | Elann Accro au forum ? Oui, pourquoi ?
Nombre de messages : 770 Age : 29 Localisation : Nord Date d'inscription : 13/06/2012
| Sujet: Re: First Contact : Prologue Sam 19 Jan 2013 - 1:29 | |
| On peut corriger les fautes ? Alleeeeez dis oui s'il-te-plaiiiiit ! Finalement, après approbation de ta part... - Spoiler:
- Citation :
- Le Général Gédéon Parker faisait les cents pas dans son bureau. Il n’avait pas de raison de s’inquiéter pourtant, mais les festivités des dix ans d’installations (installation) de la colonie sur Horizon II étaient chargé (chargés)de trop de symbolisme pour qu’un impair puisse être commis. Après tout (j'aime pas vraiment le "après tout" dans un récit... Mais c'est un avis perso...) il (qui ?) était la toute première colonie extra-solaire de l’Ascendance Humaine. Le temps était passé si vite, il avait du mal à se rappeler encore comment était la vie sur Mars. Les premières années avaient été difficile (difficiles) et les sacrifices nombreux, mais il et toute la colonie avec lui ("," non ? pas spécialiste de la ponctuation mais bon...) pouvait être fier (le sujet est devenu "il et le colonie", non ? donc "pouvaient être fiers") de ce qu’ils avaient accomplie (accompli) tous ensemble.
Alors qu’il passait encore une fois devant sa fenêtre, il marqua un petit temps d’arrêt pour admirer ce qu’il avait construit. La colonie était construite (répétition "construit(e)") sur le modèle des villages moyenâgeux de l’humanité. Il vivait dans le bâtiment central construit (répétition "construit(e)") sur une petite colline, c’est aussi dans le bâtiment que se trouvait la garnison, l’hôpital et le bunker qui servait à protéger les habitants en cas de tempête ou d’attaque d’animaux sauvage (sauvages) . Les provisions étaient aussi (répétition de la forme des phrases... "est/était aussi [...]") stocké (stockées) ici pour les protéger (répétition "protéger") . Puis après venait (venaient) les habitations, puis les murs de béton armé pour empêcher tout (toute) intrusion et enfin les champs. (on a bossé le sujet à ce que je vois...)
Même si(",") de la fenètre il ne pouvait le voir, de l'autre coté de la colonie ce (se) trouvait le cimetière. Une place avait été aménagé (aménagée) devant la garnison et une estrade en bois avait été monté (montée) pour l’occasion. Il pouvait aussi voir (répétition "pouvait voir") les navettes de débarquement qui amenait (amenaient) en flot continue (continu) les marins de la frégate hyper-capable « Hilda » qui avait reçu pour les festivités une permission exceptionnel (exceptionnelle) de la part de leur capitaine.
- Bon il est temps. Soupira Parker. Il se retourna, allant doucement vers son bureau, allumant l’interphone pour entrer en communication direct (directe) avec sa secrétaire. ("Bon, il est temps, soupira Parker." Pas de point entre les paroles et l'incise.)
- Sarah. Veuillez m’apporter mon uniforme de cérémonie, je vous en prie.
- Bien général. La voix douce de Sarah raisonna dans la pièce.
Parker, se laissa tomber dans son siège, sortant de son tiroir une vieille bouteille d’alcool et un verre. Il avait encore le temps avant que la cérémonie commence et il devait aussi oublier certain sacrifice ("un certain sacrifice" ou "certains sacrifices") .
***
- Capitaine(espace ici) ! On a encore contact inconnue (... quoi ? Tu veux dire "on a encore un contact inconnu" ?) autours (autour) de H6. L’enseigne ("un enseigne" ? Connais pas... )Carl Anderson avait hurler (hurlé) ses mots, tout en restant le nez collé sur ses écrans, s’assurant des relevés des scanners longue porté (portée) de la frégate « Hilda ».
Le capitaine de Frégate Drew Hudson ne prit même pas la peine de se relevé (relever) en entendant le rapport de l’enseigne. Cela faisait deux jours que des contacts inconnues (inconnus) apparaissaient et disparaissaient sur les scanners. S’il avait vérifié les premières fois, maintenant il était certain que ce n’était rien de plus que ses capteurs qui étaient défaillant ("défaillants" / Je te conseille de t'épargner un "étaient" en écrivant plutôt "ses capteurs défaillants" voire "ses capteurs qui défaillaient") . Il l’avait déjà signaler (signalé) dans le livre de bord, il ne fallait plus que patienter jusqu’au retour à la base de la marine sur Titan pour les faire réparer.
- Consigné (consignez) encore une fois cette apparition inexpliqué (inexpliquée) dans le livre de bord Monsieur Anderson. Mademoiselle Ikari, où en sommes nous (sommes-nous) du débarquement.
La jeune femme, consulta rapidement son écran, avant de se tourner vers le capitaine. Le second du vaisseau le lieutenant Misato Ikari était une jeune femme fluette qui semblait flotter dans l’uniforme noir au décoration (aux décorations) d’or de la Marine Humaine.
- La dernière navette vient de partir monsieur. Il ne reste plus qu’un tiers de l’équipage à bord.
Le capitaine se leva. Il n’avait plus rien à faire sur la passerelle de son vaisseau. Si cela n’avait tenue (tenu) qu’à lui, jamais il n’aurait autorisé les deux tiers de son équipage à descendre à terre pour fêter seulement les dix ans de vie d’une petite colonie. Ce n’était rien du tout à l’échelle de la galaxie ou même de l’humanité. Ce n’était que des rampants minables qui fêtaient simplement leurs chances (leur chance) d'être encore en vie et cela le dégoutait (dégoûtait) (Il a l'air sympa cet homme ma foi... ^^) . Malheureusement il avait des ordres venant tout droit (du) haut commandement. Son équipage devait participer aux festivités et ensuite les raconter à leurs retours (leur retour) dans le système solaire.
- Mademoiselle Ikari, à vous la passerelle. Je vais dans mes quartiers me reposer un peu.
- Bien Monsieur, à moi la passerelle. Professionnel (professionnelle) , Misato avait répondu usant de la formule classique de la prise de commandement. Un bip discret se fit entendre dans l’oreillette de la jeune femme signifiant que le vaisseau avait prit note et transmis l’information au reste de l’équipage.
Elle laissa le capitaine sortir de la grande salle en trainant les pieds avant d’aller s’asseoir dignement sur le fauteuil de commandement. Elle détestait le comportement hautain d’Hutson, mais elle n’avait pas le choix de travailler avec lui et de le seconder de son mieux. C'était son boulot et elle ne déshonorait ("déshonorerait" ici, non ?) pas son uniforme parce que son supérieur était un idiot.
- Misato. L’enseigne Anderson s’était approché d’elle. Elle savait qu’il partageait son aversion pour le capitaine et elle avait sympathisé avec le géant noir bien plus que ne l’autorisait le règlement de la flotte.
- J’ai une idée pour les scanners. (, ) Commença-t-il, ne continuant que lorsque la jeune femme avait acquiescé. J’ai l’impression qu’il y a un dérèglement d’ordre informatique et je crois que nous pourrions y remédier en changeant quelques paramètres. J’en ai déjà parlé au chef mécanicien, il pense pouvoir faire ça rapidement, mais il faudrait déconnecter les scanners une bonne heure.
Misato ferma les yeux. Les scanners d’un vaisseau était (étaient) comme les organes sensoriels des êtres humains, sans eux la frégate était sourde et aveugle, ce qui pouvait être dangereux (ah bon ? Noooon ^^) , mais d’un autre coté, ce n’était pas comme s’ils étaient en situation de combat.
- Vous ne l’avez pas proposé au capitaine, monsieur Anderson?
Le silence d’Anderson en disait long sur ce qu’il pensait du capitaine du vaisseau. Jamais il n’aurait accepté quelques choses (quelque chose) d’aussi peu conventionnel. Cette tête de bois ne jurait que par le règlement de la Marine et le code de L’Ascendance. Bien sur (sûr) aucun règlement (répétition "règlement") n’imposait d’attendre le retour sur Titan pour faire de si lourde réparation (lourdes réparations) , mais c’était l’usage.
- Je vous le propose à vous Lieutenant. La jeune femme sourit, il avait raison le capitaine avait laissé son commandement à son Second et elle était donc habilité (habilitée) à donner tout (tous) les ordres qu’elle estimait nécessaire (nécessaires) . Sans compter que le Capitaine ne reviendrait certainement pas avant quatre ou cinq heure (heures) standard, le temps de dormir un peu.
- Très bien Carl. Vous avez une heure.
***
- Nous pouvons être fier (fiers) de ce que nous avons accomplie (accompli) , fière ("fiers", tu alternes les accords ^^) de voir cette colonie, fier (fiers) de voir cette ville que nous avons bâtie, fier (fiers) de voir nos enfants vivre sur ce monde que nous avons conquis.
La voix de Gédéon Parker raisonnait ("résonnait" (pour tout te dire, j'ai fait la même faute dans un d'mes textes ^^)) sur la grande place. Devant lui se trouvait (trouvaient) les cents vingt sept (cent vingt-sept) hommes et femmes accompagné (accompagnés) de leurs enfants qui suaient chaque jours sang et eaux pour rendre l’endroit vivable. Derrière eux se trouvaient (répétition "se trouvaient") les membres d’équipage de l’ « Hilda » facilement reconnaissable (reconnaissables) avec leurs uniformes (leur uniforme) de parade de la Marine. Les colons eux portaient une tenue bleu sombre au décoration (aux décorations) d’argent. Le crépuscule tombait doucement sur la colonie.
- Nous sommes partis de rien, nous avons tous (tout) donné bien plus qu’à notre tours (tour) et nous devrons encore faire de nombreux sacrifices, mais aujourd’hui, cela fait dix ans standard (standards) , jours pour jours (jour pour jour) , que nous avons posé pour la première fois le pied sur ce monde qui allait devenir le notre.
Parker se tut (j'aime bien ce mot ^^) quelques instants, laissant chacun ici présent se rappeler les sacrifices qu’ils avaient du (dû)endurer. Sa propre femme était morte, un an après qu’ils se soient posé (posés) , dévoré (dévorée) par l’un des redoutables prédateurs d’Horizon.
- Aujourd’hui notre colonie est forte et stable. Nos enfants grandissent à l’abris (abri) de nos mur et nous allons pouvoir nous préparer à enfin hisser haut les couleurs de notre nation, les couleurs de l’Ascendance Humaine. Et il n’y a qu’une personne ici qui mérite de lever pour la première fois le drapeau de l’Ascendance. Elle représente tout (tous) les sacrifices que nous avons fait (faits) , mais aussi toutes les joies que nous avons eut (eues) .
Ses paroles étaient ponctué (ponctuées) de murmure approbateur et de petit applaudissement (murmures approbateurs / petits applaudissements) . Il savait que tous était (étaient) d’accord avec lui. Il s’écarta donc, laissant venir à coté de lui une petite fille aux cheveux blonds tenant dans ses mains le drapeau replié de l’Ascendance. La petite Lale était si mignonne dans son uniforme de colon que sa mère avait cousu pour elle. Celle si (celle-ci) se trouvait derrière elle, accompagné (accompagnée) de son mari. Ils semblaient si heureux de l’honneur que la colonie faisait à leurs (leur) petite fille, mais c’était normal, elle était la première enfant à être née sur ce nouveau monde et à avoir survécu.
Parker laissa la mère aider sa fille installer le drapeau avant de tirer d’un coup sec, hissant bien haut dans le vent les couleurs de l’Ascendance. Des acclamations et des bravos parcoururent la foule, les militaires saluèrent la bannière bleu nuit.
Mais dans la joie et la liesse de la foule, un crie ("cri" certains l'écrivent avec un s, toi avec un e, quelqu'un a pensé à faire simple ? ^^) de terreur se fit entendre, bientôt suivit (suivi) par des dizaines d’autres.
***
- Commandant! On a de multiple contact inconnue (multiples contacts inconnus) en orbite autours (autour) d’Horizon. Hurla Anderson.
- Quoi (espace ici) ?! Le second se leva d’un bon, regardant affolé (affolée) l’écran qui se trouvait juste devant le fauteuil du capitaine. Elle pouvait y voir une douzaine de point rouge (points rouges) entourant la tache bleu (bleue) qui représentait la frégate « Hilda »
- Anderson. Estimation avant contact (espace) ! Hurla-t-elle, tout en écrasant rapidement le bouton déclenchant l’alerte général dans le vaisseau. Immédiatement (tu vois, pour faire un parallèle avec la Louve, ici le "immédiatement" est dans un contexte d'urgence, tout ça...) l’alarme retentit dans toute (toutes) les coursives de la Frégate.
- Difficile à dire Commandant (espace) ! Anderson était penché sur son écran, semblant essayé (essayer) d’y trouver la réponse que lui demandait Ikari. Je dirais zéro point zéro sept.
La jeune femme se laissa tomber sur le fauteuil. Sept minutes, sept petites minutes. Jamais ils n’arriveraient à mettre en position de combat la frégate, surtout avec seulement un tiers de l’équipage. Rien que pour manœuvrer il fallait deux autres personnes sur la passerelle, mais ils ne pouvaient pas non plus rester immobile.
- Anderson, je prends la timonerie, je veux qu’on puisse lancer les torpilles dès qu’on est face à eux.
Il acquiesça, quittant immédiatement son siège devant les scanners pour se jeter sur le poste de contrôle de l’armement. Misato elle se précipita sur la timonerie. C’était plus que risqué, à deux ils ne pouvaient pas s’occuper de tous les postes et en sacrifiant les scanners, ils allaient tirer en aveugle. Sans parler du contrôle des défenses.
- Bordel. (ça mérite un point d'exclamation, non ?) Hurla la jeune femme. Il va nous falloir zéro point un zéro pour atteindre une accélération de dix pour cent.
- On s’en fout, fait pivoter de …. (Mwahahahaha mystère... ^^)
***
L’explosion gigantesque sembla illuminer le ciel au dessus de la colonie. Jamais le Lieutenant Ambre Harrison n’aurait crue (cru) ça possible. La frégate venait d’exploser alors qu’elle était en orbite. Tétanisée, comme le reste des colons et des soldats, la jeune femme sur l’estrade ne pouvait plus bouger, restant bouche bée à regarder le ciel.
- Maman, j’ai peur. La petite Lale la tira de sa rêverie. Sa fille ne devait pas comprendre ce que cela signifiait, elle n’avait que huit ans après tout. Elle aurait du (dû) la prendre dans ses bras, la réconforté (réconforter) , mais elle ne réussit qu’à saisir sa petite main tremblante.
Dans le ciel sept formes allongées semblaient grossir à vue d’œil. Qu’Est-ce qui ce passait? Soudain la foule se mit à bouger, paniquant totalement, les colons couraient le plus vite possible dans les habitations ou vers la garnison.
- Général! Hurla Ambre. Le vieille homme semblait perdu, jetant un regard à droite à gauche sans savoir quoi faire. Ambre espérait que leurs supérieurs allait (allaient) trouver une idée pour se défendre, ils en avaient le plus grand besoin. Laissant sa petite fille (euh... toute seule, comme ça ? Hum... heureusement que y a pas la DDASS sur la colonie...) , elle alla se planter devant lui, commençant à le secouer pour qu’enfin il réagisse.
Un main lourde se posa sur son épaule. Ethan son mari la regardait tristement. Il n’avait pas besoin de parler pour qu’elle comprenne ce qu’elle devait faire. Mue par son instinct, elle l’embrassa rapidement avant de courir attraper sa petite fille et de l’emporter avec elle (ouf !) . Il fallait la cacher, pour qu’elle ne soit pas blessé (blessée) . Alors qu’elle sautait de l’estrade, elle entendait Ethan commencer à distribuer des ordres, essayé (essayer) d’organiser une défense, mais lui comme elle savait pertinemment que la colonie n’avait pas été conçus (conçue) pour faire face à un assaut orbital.
Sa fille pleurait dans ses bras, mais elle ne bougeait pas, facilitant la tache d’Ambre alors qu’elle poussait de son chemin colon et militaire (colons et militaires) . Elle s’en moquait d’eux, elle voulait protéger sa fille c’était tout. Faisant sauter sa porte d’un coup de pied (ah ouais quand même...) , elle se précipita à la cave qu’ils avaient aménagé (aménagée) au cas où. Déposant la petite fille au sol, elle déplaça un meuble dévoilant l’entré camouflé (entrée camouflée) de leurs abris (leur abri) , tout (toutes) les maisons de la colonie était pourvue (pourvues) de ces abris en cas d‘attaque de bête sauvage, de tempête (tu parles sensiblement de la même chose au début en ce qui concerne tempêtes et bêtes sauvages) ou dans la ce qui avait semblé être improbable (manque pas des mots, là ?) voir (voire) impossible à tous une invasion. La petite fille continuait de pleurer à chaude larme (chaudes larmes) alors que sa mère s’agenouilla devant.
- Lale, mon cœur, mon soleil. Dit elle (dit-elle) doucement. Tu te souviens de ce que je t’ai appris?
Tout en pleurant l’enfant acquiesça, répondant à sa mère la voix plein (pleine) de larme (larmes) . Elle était perdu (perdue) , elle ne comprenait pas ce qui ce passait.
- Oui … Oui. Je me cache dans l’abris (abri) . J’essaye de dormir et je ne sors que si toi ou le général venez me chercher.
Ambre serra contre elle sa petite fille avant de l’aider à descendre dans le troue (trou) . Un bref instant elle envisagea de retirer l’échelle, mais si jamais … Masquant ses propres larmes à la petite fille (répétition "petite fille") , elle essayait (répétition "essaye/essayait") de ne pas écouter les pleurs de l’enfant alors qu’elle fermait derrière elle la petite (répétition "petite") trappe et replaçait le meuble.
Elle dut prendre quelques instants pour se ressaisir avant de sortir son arme de son étui et de se précipiter dehors. Elle ne pouvait rien faire pour protéger plus sa fille, elle devait défendre la colonie.
- Au revoir mon cœur. (, )Murmura-t-elle en sortant de chez elle, sans un regard en arrière.
Deux répétitions tout au long du (long) texte sont: "se trouver" et "sembler". Essaie de varier un peu. Attention aussi à la ponctuation dans les dialogues, ce site peut sûrement t'être utile: http://marcautret.free.fr/sigma/pratik/typo/dialog/index.php (y a pas aussi un sujet sur le fofo qui en parle ? Je n'sais plus...) J'ai apprécié la narration alternée. Et j'ai trouvé aussi bien fait l'alerte dans le vaisseau, quand, à deux, ils doivent s'occuper de tout et que c'est légèrement... le bordel. L'histoire de la petite fille, ça m'a immédiatement fait penser à Ellana de Pierre Bottero. D'ailleurs ce passage est un peu cliché mais ça reste quelque chose qui fonctionne bien (si tu vois c'que j'veux dire (dis oui, steup...)). Bon, bah que va-t-il se passer maintenant ? Héhé... _________________ Je suis né pour te connaître, pour te nommer, liberté. Paul Eluard
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: First Contact : Prologue Mar 5 Fév 2013 - 11:36 | |
| Un autre avis serait sans doute le bienvenu! ne soyez pas timides ::rolling:: |
| | | sombrefeline Héros Légendaire
Nombre de messages : 2284 Age : 38 Localisation : Le Grand Nord Loisirs : Ecrire, dessiner, coudre et taquiner ses semblables avec des bouts de métal coupant Date d'inscription : 21/04/2012
| Sujet: Re: First Contact : Prologue Jeu 7 Fév 2013 - 18:18 | |
| - Citation :
- des dix ans d’installations
installation - Citation :
- étaient chargé
étaient chargés - Citation :
- Après tout il était la toute première colonie extra-solaire de l’Ascendance Humaine
« Elle était », non ? Vu que tu parles de la colonie - Citation :
- Le temps était passé
Avait passé, plutôt - Citation :
- Les provisions étaient aussi stocké i
Stockées - Citation :
- Même si de la fenètre il ne pouvait le voir, de l'autre coté
Fenêtre et côté - Citation :
- Une place avait été aménagé devant la garnison et une estrade en bois avait été monté pour l’occasion
Aménagée et montée - Citation :
- les navettes de débarquement qui amenait en flot continue
qui amenaient et en flot continu - Citation :
- les marins de la frégate hyper-capable « Hilda » qui avait reçu
qui avaient reçu (vu que je pense que ce sont les marins, et non la frégate qui ont reçu une permission ) - Citation :
- une permission exceptionnel de la part de leur capitaine.
Exceptionnelle - Citation :
- On a encore contact inconnue autours de H6
On a encore un contact inconnu - Citation :
- . L’enseigne Carl Anderson avait hurler ses mots
Avait hurlé - Citation :
- s’assurant des relevés des scanners longue porté de la frégate
longue portée - Citation :
- de se relevé
de se relever - Citation :
- jours que des contacts inconnues
des contacts inconnus - Citation :
- Il l’avait déjà signaler
Signalé - Citation :
- cette apparition inexpliqué
inexpliquée - Citation :
- Si cela n’avait tenue qu’à lui
Tenu - Citation :
- leurs chances d'être encore en vie
leur chance - Citation :
- le vaisseau avait prit note
avait pris - Citation :
- Les scanners d’un vaisseau était comme les organes sensoriels
Etaient - Citation :
- mais d’un autre coté
côté - Citation :
- quelques choses d’aussi peu conventionnel
quelque chose - Citation :
- elle était donc habilité à donner tout les ordres qu’elle estimait nécessaire
tous - Citation :
- Nous pouvons être fier de ce que nous avons accomplie, fière de voir cette colonie, fier de voir cette ville que nous avons bâtie, fier de voir nos enfants vivre sur ce monde que nous avons conquis.
Nous pouvons être fiers de ce que nous avons accompli (+ toutes les autres occurrences de « fier » à mettre au pluriel). - Citation :
- La voix de Gédéon Parker raisonnait sur la grande place
Résonnait - Citation :
- Devant lui se trouvait les cents vingt sept hommes et femmes accompagné de leurs enfants
Se trouvaient et accompagnés - Citation :
- chaque jours sang et eaux
chaque jour sang et eau - Citation :
- eux portaient une tenue bleu sombre au décoration d’argent
aux décorations d’argent - Citation :
- bien plus qu’à notre tours
tour - Citation :
- cela fait dix ans standard, jours pour jours
standard, jour pour jour - Citation :
- qui allait devenir le notre.
Nôtre - Citation :
- les sacrifices qu’ils avaient du endurer
dû - Citation :
- un an après qu’ils se soient posé, dévoré par l’un des redoutables prédateurs d’Horizon.
Posés et dévorée - Citation :
- à l’abris de nos mur
à l’abri de nos murs - Citation :
- Elle représente tout les sacrifices
Tous - Citation :
- mais aussi toutes les joies que nous avons eut.
Eues - Citation :
- Ses paroles étaient ponctué de murmure approbateur et de petit applaudissement
Ponctuées, murmures et applaudissements au pluriel. - Citation :
- tous était d’accord avec lui
tous étaient - Citation :
- laissant venir à coté de lui
à côté - Citation :
- un crie de terreur
un cri de terreur Bon, tu m’excuseras, mais j’ai arrêté les corrections après ce paragraphe, par manque de temps. Ça m’amène au premier problème de ce texte : il y a beaucoup, beaucoup trop de fautes. Sérieusement, il y en a quasiment une par ligne. Du coup, ça heurte la lecture, parce qu’au bout d’un moment, on ne voit plus que les fautes, d’autant plus que beaucoup sont de simples fautes d’inattention ou d’accord, qu’une bonne relecture et qu’un passage par un correcteur orthographique peuvent éliminer. Le deuxième problème pour moi, c’est le style. Ton texte est émaillé de tournures lourdes et bancales Ex - Citation :
- S’il avait vérifié les premières fois, maintenant il était certain que ce n’était rien de plus que ses capteurs qui étaient défaillant. Il l’avait déjà signaler dans le livre de bord, il ne fallait plus que patienter jusqu’au retour à la base de la marine sur Titan pour les faire réparer.
Je pense que tu devrais essayer de relire ton texte à haute voix pour plus de clarté. Le dernier problème que j’ai eu, et là c’est plus personnel, c’est que j’ai eu l’impression de savoir déjà par avance tout ce qui allait se passer. Ajoute à ça le fait que les scènes à bord de la frégate m’ont fait furieusement penser à la série Honor Harrington, jusque dans le choix des termes. C’est dommage qu’il y ait ces problèmes, parce qu’autrement, ton texte est bien rythmé, assez cinématographique. Je pense qu’en le retravaillant, ça peut donner quelque chose de bien. _________________ That is not dead which can eternal lie. And with strange aeons even death may die
There is no "overkill". There is just "open fire" and "time to reload"
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| Sujet: Re: First Contact : Prologue Jeu 7 Fév 2013 - 18:44 | |
| Merci de ces corrections, je me rends compte du nombres de fautes, je vais essayer de m'améliorer nettement sur ce point. - Citation :
- Ajoute à ça le fait que les scènes à bord de la frégate m’ont fait furieusement penser à la série Honor Harrington, jusque dans le choix des termes.
Honor Harrington étant ma principale référence au niveau de la mise en scène de la vie à bord et du vocabulaire technique cela n'a rien d'étonnant. C'est ce qui m'a le plus plus et quand j'ai écris ce début de texte s'était juste après avoir finie Pavillon de l'Exil. Je suis actuellement entrain de travailler l'univers pour m'éloigner un peu de mon influence principale, mais cela restera sans doute proche dans le vocabulaire et la mise en scène des combats spatiaux. Dans la structure même, je ne penses pas garder l'idée de prologue, je commencerais sans doute directement par suivre l’héroïne dans sa découverte de ce qui ce passe, mais j'en suis pas encore là pour le moment. |
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