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| | Weidrevo J-1/ 1er partie | |
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les chats patoirs Je commence à m'habituer
Nombre de messages : 110 Age : 26 Localisation : Quelque part entre les ombres -Blacksad Loisirs : Disparaître. Réapparaître. Backstab. Repetez pour plus de fun Date d'inscription : 08/08/2012
| Sujet: Weidrevo J-1/ 1er partie Ven 26 Avr 2013 - 15:00 | |
| Voila, je poste enfin un texte. A chaque fois je commence une nouvelle, puis j'en ecris une autre, et a la fin j'ai une dizaines de nouvelles incomplètement. Un an et quelques mois Premier jour Je sentais une sensation de chaleur dans tout le corps, j'entendais un bruit de va-et-vient comme les vagues sur une plage. J'avais l'impression que la vie revenais en moi petit a petit. Je réalisai que je respirais, ce qui me soulageai. Je sentais le vent siffler dans mes oreilles et faire danser ma fourrure. Je serrais mes mains puis elles s’emplirent de terre ou de sable. Je bougeais difficilement mes jambes, et finalement je remuais ma queue, j’étais en entier apparemment. Il y avait une odeur de sel, comme dans mes souvenirs, avec Mary et Papa. J'ouvris lentement les yeux, très lentement a cause du soleil. Je voyais le ciel bleu, sans aucun nuage, je bougeais la tête et vis des longues dunes de sables et la mer. Je m'assis, je ne voyais ni David ni Axel. Je me demandais ce que je foutais là. C’était trop réel pour être un rêve. J'attendis que ma tête cessait de tourner et je me relevai. Je remarquai que Kynsias (mon sabre et mon tanto) entaient encore sur moi. J’étais soulager d'avoir de quoi me défendre. Je regardais autour de moi, il y avait une grande ville, les maisons étaient basses, j’étais dans une petite ville alors. Elles avaient l'air ancienne, tout les volets de toutes las maisons étaient fermer ; l'heure de la sieste sûrement. Je me dirigeais vers les immeubles, il n'y avait aucun bruit, les rues étaient vides, sans personnes, juste quelques voitures, elles m’étaient toutes inconnues. Je continuais de déambuler dans les rues, j’étais totalement incompréhensif. Où sont-ils tous passer ? Où suis-je ? Merde. Je vis une silhouette passer derrière un bâtiment. Je lui criais après, je partis a sa rencontre. J'observais les immeubles, les magasins, les boutiques, mais rien ni personnes. Je regardais ce que j'avais dans les poches, j'y trouvais un papier avec écrit « Malvenue » Je riais, je me demandais si je n’étais pas fou ? Si ma folie m'avait emporter dans mon monde ? Toutes les hypothèses les plus absurdes me passaient par la tête. Une odeur de sang planais dans l'air, c’était désagréable, j’étais tout a coup en panique. Je gardais Kynsia dans la main. Je courais a travers les rues, comme un... un fou. Je m’arrêtai pour reprendre mon souffle au bout de quelques minutes de course. J'entendais des bruits de pas derrière moi. Je me retournai mais il n'y avait rien. Un coup de feu retentit, j’étais a la fois soulager de savoir que je n'étais pas seul mais apeurer, de savoir qu'une personnes avait une armes a feu ici. Ça pourrait être un fou, comme moi. J'avais maintenant la désagréable sensation d’être observer. J'allais sur une place, il y avait une gigantesque statue, c’était un Samouraï, un félin sûrement, il avait dans les pattes, une magnifique Yari, (une sorte de lance que les Samouraïs utilisaient) et portait une armure complète, une Gusoku. Il y avait écrit sur une plaque, en dessus de la statue « Aontas, chef de la défense en 1896. Il dirigea les gardiens de la Tour de Sperares. Nom- Prénom : Firhine- Inconnu Espèce : Felinae Date de Naissance: 16** Date de Mort : Inconnu » Je me demandais qui cela pouvais être. Je restais devant, sans bouger. Je dégainai mon sabre et pris la même pose qu'Aontas, je pense l'adopter. Soudain, je sentis une insoutenable douleur dans le bras droit. Je lâchai Kynsia et tombai durement à genou, je vis un carreau planter dans le sol. Du sang coulais de mon bras, une flaque commença à ce répandre par terre. Je me cachai dans un bar, je marchais en titubant, ce qui rendit ma tache encore plus ardue. Je me fis un garrot avec ma ceinture. Mais l'hémorragie ne cessa pas pour autant. J'avais du mal a respirer, ma vision se troublait et j’étais terrifié. Il ne devait pas être seul. Le carreau a du perforer l’artère de mon bras. J'avais du mal a bouge ma main. J'entendis des bruit de pas, ils arrivaient vers moi, j’essayais d'aller derrière le comptoir, je rampais difficilement, je laissais une longue traînée de sang derrière moi. Je reconnus un bruit de vitre brisé, Je me retournai et m'assis, je vis une tigresse, elle avait un revolver pointer vers moi. Je vais mourir, sûrement. -Qui est tu ? Me cria t-elle, je lui répondais difficilement -Je viens d'arriver. -Tu es armé ? -Non. Aide moi, pitié... A ces mots je m’écroulais. Ma respiration commençais a être pénible. -Bon, je sais pas si il sera d'accord mais je vais t’amener. Elle me traîna jusqu'à un hall d'immeuble. Je gardais mes yeux ouverts difficilement. Il y avait une porte en verre épais et en métal pour entrer. Elle appuya sur quelques touches sur le digicode. La porte s'ouvrit. Il y avait un Puma a l’intérieur, il aida la Tigresse a me faire rentrer. Il referma la porte avec deux énormes cadenas et des chaînes massives. Il m'emmena dans une chambre, puis me plaça sur un lit. Une louve a crinière arriva, et une ocelot. La louve nettoya ma plaie, m'appliqua des bandages. Je ne réalisais pas bien à ce moment que j’étais sauvé. -Eh ! Ça va ? -Tu as un nom ? -Aller Émilie, laisse le, il est fatigué -Ok, mais je veux juste... -Leila, c'est quoi le problème. -J'ai trouvé ce léopard dans un bar, en sang. Ça doit être une balle, ou une flèche, mais en tout cas il a eu de la chance que l’artère n'ai été que frôler. -Bon laisser le maintenant. Mais quelqu'un doit rester. Leila, tu l'as trouver, tu t'en charge ? -Quoi ?! Enfin, d'accord, apporter moi des habits pour lui. Je les entendis partir de la chambre. Je me réveillai en sursaut, je m'assis, je vis la chambre et la Tigresse qui m'avait traîner jusqu'ici. J’étais totalement perdu, je ne savais pas où j’étais. J'observais toute la pièce. L'explication du lieux et des événements (c'est déjà long donc j’évite de trop remplir)- Spoiler:
-Où j'suis ? Où sont Kynsias ? Elle s'approcha de moi et mis ses pattes sur mes épaules et me regarda dans les yeux, je ressentais une sensation bizarre, comme de sécurité ou de confort. -T'es réveillé ? Bon ça va mieux ? -Je crois, j'ai moins mal, où je suis ? -Dans un immeuble, dans notre Clan, notre groupe. Bon alors, t'as un prénom ? -Vincent Wylve. -Moi c'est Leila. Tu es nouveau tu m'as dit ? Tu connais rien d'ici ? -Non, pourquoi, il se passe quoi ? -Ah ! C'est long a expliquer. En gros, il y a, le soir des bêtes immondes, les Breags. Et le jour les groupes de survivants s'entretuent. Tu découvrira plus tard a quoi elles ressemblent. Donc on a toujours de quoi s'occuper. Et c'est eux qui t'ont fait cette belle blessure. Apparemment, les bêtes viennent des Ténèbres, de nos peurs les plus profondes, des Enfers, ou des scientifiques. La plus probable c'est... qu'elles viennent d'une autres planètes. Mais bon. -C'est clair, et depuis quand vous vivez comme ça ? Elle réfléchie un peu avant de me répondre. Elle appela quelqu'un sur un Talkie-walkie. -Dit moi Dylan, depuis quand on est là ? -Je sais pas, 2 jours -Non, dans cette merde. -Ah, je sais pas, peut être 3 semaines. -Ok, vous pouvez venir, il est réveiller. -Pourquoi vous ne partez pas ? -Le fléau recouvre tout le continent. Un jour quelqu'un est parti pour aller chercher de l'aide, mais il n'est jamais revenu, soit il est mort en route soit il n'a pas voulu revenir. -D'accord, je me plains de ma vie de Chasseur de primes, là, putain, tu saurai pas qui m'a tirer dessus ? Enfin, c'est pas un de ton Clan ? -Non c'est pas dans notre groupe, je patrouillais que je t'ai vu. Il y a plusieurs groupes dans toute la ville, plus ou moins alliés, plus ou moins ennemies. Il n'y a qu'un seul clan qui nous aide, enfin qui ne nous attaque pas. Tout le monde cherche de quoi se nourrir, boire, se défendre, et tant d'autre chose. -Je ne vais demander pourquoi personnes s'allie, alors... Vous êtes combien dans cette immeuble ? -7 avec toi. Tu veux venir visiter? -Peut être après, Mais, vous les trouvez où vos armes ? -Il y a une armurerie, le plus pratique c'est le lance pierre, tu peux jeter ce que tu veux avec, l'arc, l’arbalète, les fusils, sarbacanes, sabres. Même des répliques de airsoft, ça intimide, elle ressemblent vachement au vrai, mais bon ça pique a peine, juste le sniper de Dylan il déchire. -Tu peux m'aider a me lever ? -Ouai, viens. Elle pris mes mains, je m'assis, mis mes jambes hors du lit, puis je me levais enfin. Je titubais un peu, mais je réussi a me mettre sur les pieds. Leila me lâcha petit a petit. Mes habits étaient couvert de sang. Elle m'aida a me stabiliser, j'avais encore du mal a bouger mon bras et ma main.
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| Sujet: Re: Weidrevo J-1/ 1er partie Lun 29 Avr 2013 - 11:35 | |
| Hop, pas encore eu le temps de commenter, mais je m'y mettrai bientôt, promis.
Les autres, ne faites pas les timides ! _________________ That is not dead which can eternal lie. And with strange aeons even death may die
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| Sujet: Re: Weidrevo J-1/ 1er partie Lun 29 Avr 2013 - 18:12 | |
| Bonjour Alors je me lance. J'ai bien aimé l'idée que tu nous présentes, mais j'ai eu du mal à lire, l'histoire m'a parut brouillon, je n'ai pas saisi qui ou ce qu'ont suivait. Les bêtes qui sortent la nuit, et les survivants qui s'entretue le jour, mouais :| C'pas extraordinaire, mais ça peut quand même le faire. J'espère que Vincent à un caractère plus profond que ce que l'on a vus pour l'instant, qu'il a un passé, et qu'il y a une raison pour qu'il se retrouve dans un village abandonné où c'est la guérilla J'attends de lire la suite, je suis curieuse de voir où tu vas. Je suis loin d'être une pro de l'orthographe, d'autres me contrediront si j'ai eu tort. Quand même essayé de relever ce que j'ai vu, comme d'hab, tout n'est que suggestion, tu es le maître - Spoiler:
Un an et quelques mois c'est l'âge de ton perso principal ?Premier jour Je sentais une sensation de chaleur dans tout le corps, j'entendais un bruit de va-et-vient comme les vagues sur une plage. ( ici j'aurais enlevé le point, rajouté un "et" ) J'avais l'impression que la vie revenais en moi petit a petit. Je réalisai que je respirais, ce qui me soulageai. Je sentais le vent siffler dans mes oreilles et faire danser ma fourrure. Je serrais mes mains ( Des mains ? Qu'est ce que ça vient faire ici ? ton léopard est un animorphis ou un truc de ce goût là ? Avec des origines humaines je veux dire ? ) puis elles s’emplirent de terre ou de sable. Je bougeais difficilement mes jambes, et finalement je ( tu peux enlever le "je" qui ralentit certaines de tes phrases.) remuais ma queue, j’étais en ( le "en" n'est pas nécessaire ici je pense, la phrase sonne mieux sans ) entier apparemment. Il y avait une odeur de sel, comme dans mes souvenirs, avec Mary et Papa. ( Oui pour l'arrivée de Mary et Papa, si on les retrouve plus loin et que cela sert à l'histoire, sinon ça ne sert pas à grand chose de nommer quelqu'un pour faire exister le souvenir d'une odeur ^^. En plus Mary, fait songer qu'il n'y a pas de maman, c'est donc sa belle-mère ? c'est donc un humain ? Tu vois à mon raisonnement je n'vois toujours pas clairement ton perso ^^ ) J'ouvris lentement les yeux, très lentement a (à) cause du soleil. Je voyais le ciel bleu, sans aucun nuage, je bougeais la tête et vis des longues dunes de sables et la mer. Je m'assis, je ne voyais ni David ni Axel. ( là encore des noms sans rien d'autre pour justifier leur apparition, et j'aurais remplacer le deuxième "je" par un "et".) Je me demandais ce que je foutais là. C’était trop réel pour être un rêve. J'attendis que ma tête cessait ( cesse, je crois ) de tourner et je ( tu peux enlever le "je" ici aussi ^^ ) me relevai. Je remarquai que Kynsias (mon sabre et mon tanto) entaient encore sur moi. J’étais soulager ( soulagé ) d'avoir de quoi me défendre. (Pas fan de la parenthèse et ça me semble maladroit comme enchainement. Là je pense que tu pourrais réunir tes 2derniere phrases, un exemple => En remarquant que Kynsias, mon précieux sabre, était toujours en ma possession, je fut soulagé d'avoir encore un moyen de défense. ) Je regardais autour de moi, il y avait ( pour présenter une ville y'a mieux comme intro ^^ ) une grande ville, les maisons étaient basses, j’étais dans une petite ville alors. Elles avaient l'air ancienne, tout les volets de toutes las maisons étaient fermer ; l'heure de la sieste sûrement. ( Il y avait une grande ville [...] j'étais dans une petite ville alors. Ça à un effet bof là. "Elles" se rapportent au maison basses -que tu pourrais nous décrire d'ailleurs ^^ - mais ça rend moins fluide avec la petite ville entre les deux. anciennes/ les/ fermés.)Je me dirigeais vers les immeubles ( ya deux secondes les maisons étaient basses ) , il n'y avait aucun bruit, les rues étaient vides, sans personnes, ( sans personne, c'est maladroit. un ex : => Les rues étaient désertes. ou Les rues étaient vides, sans âme qui vive, juste quelques voitures inconnues. d'ailleurs, elles circulent ces voitures ou elles sont garées et à l'abandon ? ) juste quelques voitures, elles m’étaient toutes inconnues. Je continuais de déambuler dans les rues, j’étais totalement incompréhensif. ( Cette fin de phrase me laisse dubitative. Ne sachant pas ce que tu veux dire je te propose quand même quelque chose, mes excuses si j'suis à côté d'la plaque ==> Je continuais à déambuler dans les rues, perdu et dans une totale incompréhension. Bien que ma phrase me semble un peu bancale aussi ) Où sont-ils tous passer ( passés ) ? Où suis-je ? Merde. (Quand je fais penser mes perso, je le met en italique ^^ ) Je vis une silhouette passer derrière un bâtiment. Je lui criais après, je ( j'aurais enlever le "je" pour mettre un "et" ) partis a sa rencontre. J'observais les immeubles, les magasins, les boutiques, mais rien ni personnes. ( Il manque la fin d'la phrase là rha et ces immeubles ... ) Je regardais ce que j'avais dans les poches, j'y trouvais un papier avec écrit « Malvenue » ( un point ici maybe ? ) Je riais, je me demandais si je n’étais pas fou ? Si ma folie m'avait emporter dans mon monde ? ( emporté /quel monde ? J'comprend pas )Toutes les hypothèses les plus absurdes me passaient par la tête. Une odeur de sang planais dans l'air, c’était désagréable, j’étais tout a coup ( tout à coup ) en panique. Je gardais Kynsia dans la main. ( Plus haut c'est Kynsias, faut choisir ) Je courais a travers les rues, comme un... un fou. Je m’arrêtai pour reprendre mon souffle au bout de quelques minutes de course. J'entendais des bruits de pas derrière moi. Je me retournai mais il n'y avait rien. Un coup de feu retentit, j’étais a la fois soulager de savoir que je n'étais pas seul mais apeurer, de savoir qu'une personnes avait une armes a feu ici. ( à la fois/ soulagé/ apeuré/ personne/ arme/ à feu. ) Ça pourrait être un fou, comme moi. J'avais maintenant la désagréable sensation d’être observer (observé). J'allais sur une place, ( j'aurais mis "où" à la place de la virgule ^^ ) il y avait une gigantesque statue, c’était un Samouraï, un félin sûrement, il avait dans les pattes, ( pourquoi une virgule ici ? ) une magnifique Yari, (une sorte de lance que les Samouraïs utilisaient) et portait une armure complète, une Gusoku. Il y avait écrit sur une plaque, en dessus de la statue ( La dernière phrase ne fonctionne pas. exemple => En dessous de la statue, on pouvait lire sur une plaque gravée : )
« Aontas, chef de la défense en 1896. Il dirigea les gardiens de la Tour de Sperares. Nom- Prénom : Firhine- Inconnu Espèce : Felinae Date de Naissance: 16** Date de Mort : Inconnu » Je me demandais qui cela pouvais ( pouvait, il me semble ) être. Je restais devant, sans bouger. Je dégainai mon sabre et pris la même pose qu'Aontas, je pense l'adopter. ( J'ai pas saisi le " je pense l'adopter ", tu parles de la pose ? ) Soudain, je sentis une insoutenable douleur dans le bras droit. ( Phrase lourde, j'aurais remplacer "sentis" par "perçu" ) Je lâchai Kynsia et tombai durement à genou, ( genoux, cailloux, hiboux, poux ^^ ) je vis un carreau planter ( planté ) dans le sol. Du sang coulais de mon bras, une flaque commença à ce ( se ) répandre par terre. Je me cachai dans un bar, je marchais en titubant, ce qui rendit ma tache encore plus ardue. ( marchai pour garder la concordance du temps/ tâche. ) Je me fis un garrot avec ma ceinture. ( tu peux enlever le point ici je pense aussi ) Mais l'hémorragie ne cessa pas pour autant. J'avais du mal a (à) respirer, ma vision se troublait et j’étais terrifié. Il ne devait pas être seul. Le carreau a du perforer l’artère de mon bras. J'avais du mal a bouge ( à bouger ) ma main. J'entendis des bruit de pas, ils arrivaient vers moi, j’essayais d'aller derrière le comptoir, je rampais difficilement, je laissais une longue traînée de sang derrière moi. Je reconnus un bruit de vitre brisé, Je me retournai et m'assis, je vis une tigresse, elle avait un revolver pointer vers moi. Je vais mourir, sûrement. ( tu utilises trop "je" à mon goût. )-Qui est tu ? Me cria t-elle, je lui répondais difficilement ( là y'a un souci de mise en page )-Je viens d'arriver. -Tu es armé ? -Non. Aide moi, pitié... A ces mots je m’écroulais. Ma respiration commençais a être ( j'aurais dis "à devenir" ) pénible. -Bon, je sais pas si il sera d'accord mais je vais t’amener. Elle me traîna jusqu'à un hall d'immeuble. Je gardais mes yeux ouverts difficilement. Il y avait une porte en verre épais et en métal pour entrer. Elle appuya sur quelques touches sur le digicode. ( répétition => Elle appuya sur certaines touches d'un -ou du- digicode. ) La porte s'ouvrit. Il y avait un Puma a (à) l’intérieur, il aida la Tigresse a (à) me faire rentrer. Il referma la porte avec deux énormes cadenas et des chaînes massives. Il m'emmena dans une chambre, puis me plaça sur un lit. Une louve a crinière (à/ formulation bizarre ^^ ) arriva, et une ocelot. La louve nettoya ma plaie, m'appliqua des bandages. Je ne réalisais pas bien à ce moment que j’étais sauvé. -Eh ! Ça va ? -Tu as un nom ? -Aller Émilie, laisse le, il est fatigué ( un point ? )-Ok, mais je veux juste... -Leila, c'est quoi le problème. ( ? plutôt non ? )-J'ai trouvé ce léopard dans un bar, en sang. Ça doit être une balle, ou une flèche, mais en tout cas il a eu de la chance que l’artère n'ai été que frôler. ( frôlée )-Bon laisser (laissez) le maintenant. Mais quelqu'un doit rester. Leila, tu l'as trouver (trouvé), tu t'en charge ( charges ) ? -Quoi ?! Enfin, d'accord, apporter ( apportez ) moi des habits pour lui. Je les entendis partir de la chambre. Je me réveillai en sursaut, je m'assis, je vis la chambre et la Tigresse qui m'avait traîner jusqu'ici. J’étais totalement perdu, je ne savais pas où j’étais. J'observais toute la pièce. ( trop de "je" ici )
Pour l'explication qui suit je n'sais pas si c'est à introduire dans l'histoire ou non, mais je pense que tu devrais tenter d'éclaircir qui parle et à quel moment. Parce que c'est un peu fouillis, on comprends quelque trucs en plus, mais pas tant que ça. Une description physique de tes perso me semblerait bienvenue, car j'ai vraiment du mal à visualiser l'ensemble de la scène, et je ne ressens pas grand chose malgré qu'il ait l'air dans la mouise J'espère quand même que la suite est en route je suivrais pour voir où tu nous emmènes avec ce léopard et ses 6 compatriotes Au plaisir |
| | | les chats patoirs Je commence à m'habituer
Nombre de messages : 110 Age : 26 Localisation : Quelque part entre les ombres -Blacksad Loisirs : Disparaître. Réapparaître. Backstab. Repetez pour plus de fun Date d'inscription : 08/08/2012
| Sujet: Re: Weidrevo J-1/ 1er partie Mar 30 Avr 2013 - 17:25 | |
| Bon, je vois que mon texte a besoin d'explication. Ce n'est pas le debut du roman. Non, mon perso n'a pas 1 an et quelques mois, c'est juste qu'il (ou je) marque les dates avant les missions, mais il ne la connaissait pas. Kynsia s c'est le sabre et le Tanto, et Kynsia c'est juste le sabre, oui je sais c'est stupide. Les mains ou les pattes c'est pareil pour les Anthros. "Mary et Papa" vont etre important dans cette nouvelle. Les "je" a la fin c'est vrai ça fait mal aux yeux. et pour me rattraper je dirai qu'il est un peu narcissique. Il ne va pas adopter Aontas. Je vais mieux decrire les lieux, c'est parce que j'aime pas les longues descriptions, ça peut gaver le lecteur. Les immeubles c'est un brod** monstre parce que... parce que je vais changer j'ai rien a dire. Pour les dialogues je modifiais. Merci pour tout tes conseils, la suite arrive bientôt, mais je vois aussi qu'elle n'a pas émerveiller grand monde, mais c'est pas grave, c'est le début. Ça fait partit du jeu. être nul a quelque chose c'est le début de la réussite. _________________ - Dans un monde rempli de misère et d'incertitude.
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