Partie 5, début

Bon, je sens qu'il y en a qui vont pas être content, mais j'ai commencé à écrire le début de la partie 5... hum...

Donc voila !

Petite aide pour la compréhension... Ellias a rejoint l'Arbre et lève une armée en son nom, afin d'aider Aereon et ses frères. Eux, de leur côtè se cachent dans les montagnes et rallient le plus de gens à leur cause. Les Slatars trouvent finalement leur localisation, et ils sont obligés de fuir. La scène se déroule donc dans les montagnes. Un groupe de Montagnards se sont dévoués pour retarder l'avancée ennemie. C'est alors qu'Ellias arrive, avec 200 hommes, deux Grains ainsi que leurs gardes d'honneur.




Même après notre course effrénée, il était trop tard. L’arrière garde Montagnard combattait déjà dans la passe, essayant de faire gagner quelques précieuses minutes d’avance au reste du groupe. Ellias se retourna alors vers nous. Il rayonnait d’une Puissance toujours grandissante.

- Je ne vais pas vous mentir. Notre mission était de rejoindre les Puiseurs, et de leur prêter assistance. Mais si nous n’attaquons pas, notre combat n’aura plus d’âme, et malgré tout nos efforts, nous ne réussirons gagner quelques siècles de sursit. Pas plus. Ce que je vous demande aujourd’hui, ce n’est rien moins que votre vie. Et la mienne. Dans quelques minutes, les Montagnards seront morts et les Saltars. A ce moment là, j’attaquerais. Ceux qui ne veulent pas décéder rejoindront les Puiseurs. Les autres viendront avec moi, chercher une mort digne en faisant notre devoir. Etes-vous avec moi ?


Que pouvions-nous donc dire ? L’abandonner ? Ellias ? Cet homme était notre chef, le meilleur qui puisse être. Il avait sauvé ma vie et celle de plusieurs de mes Frères. Ce fut un cri de guerre qui répondit à ses paroles. Nous le suivrons jusque dans la mort. Et si c’était ce que nous devions affronter, le faire avec Ellias serait un honneur.
Il reprit la parole, soulagé. Avait-il cru que nous l’abandonnerions ?

- Merci. (Il s’adressa alors aux nomades) Je n’ai pas l’autorité de vous envoyez ainsi au trépas. Rejoignez Aereon. Et protégez-la quoi qu’il arrive.

Ils acquiescèrent, même s’ils se sentaient fautifs de nous laisser nous sacrifier. Nous avions vécus tant de choses ensemble qu’il devenait difficile de se séparer. Définitivement.

- Mes Frères, ne craignez pas la mort, ne craignez pas la douleur. Formons le Cercle. Notre Père tient à nous assister une dernière fois.

Le Cercle fur tracé, Ellias en son centre. Nous entrâmes tous en communication avec l’Arbre. Il nous parla, nous rassura, et nous fit don d’un peu de sa force. Lorsque le lien fut brisé, nous étions prêts. Tel une armée de morts, nous allâmes à la rencontre de l’ennemi, qui peinait encore à abattre la résistance des guerriers Montagnards.
Puis l’un d’entre nous se mit à fredonner une chanson. Une petite comptine que tous les enfants connaissaient par cœur et qu’ils chantaient pour vaincre leurs peurs. Un refrain entêtant, puissant, qui prit rapidement de l’ampleur. C’était comme si la forêt toute entière reprenait l’air à l’infinie.

- Ensemble ! hurla Ellias.

Et les Saltars furent devant nous.



Je regardais de loin nos guerriers achever les derniers rebelles. Ces barbares savaient se battre ! Le sentier était plein de corps sans vie.

- Débarrassez le chemin. Nous avons perdu assez de temps !

Aussitôt, les soldats rangèrent leurs armes et dégagèrent la voie. Cette région les apeurait, mais j’inspirais toujours plus de terreur. Alors que je surveillais l’avancée du travail, une chose perturba mon esprit. Un cri… non, un chant. Et une Puissance.
Avant que je n’ais compris toutes les implications de ces données, des flèches volèrent et cueillirent les soldats. Ce fut aussitôt la débandade. Nous étions pris entre la falaise à gauche et les nouveaux attaquants à droite. Des démons tout de verts vêtus surgirent des bois en chantant. Ils se mouvaient avec une grâce sans pareil et répandaient la mort avec facilité.

- Reformez les rangs ! Vous êtes des soldats de l’Empire ! Ne fuyiez pas !

Mais il était trop tard. Les rangs à peine reformés furent dissous. Un nouveau démon venait d’apparaître. Il était à peine plus grand que les autres ennemis, mais me le représenta comme trois créatures de plusieurs mètres de haut. Cette chose décima un mur de boucliers avec une facilité déconcertante. Il se servait d’une épée rayonnante et de ce qui semblait être une liane. Le montrant à mes assistants, nous déclenchâmes une pluie d’éclair mortelle sur lui… Qu’il para d’un revers de son épée. Presque avec dédain.
L’attaque nous revint dessus de plein fouet, tuant sur le coup six Apprentis. Ce ne fut qu’à ce moment que je réalisais l’éminence de ma mort, si je ne me dépêchais de battre en retraite.
La résistance des soldats de l’Empire disparut complètement lorsqu’ils réalisèrent que je n’étais plus à mon poste. Et l’intensité du massacre augmenta encore, si cela pouvait être possible…

Tu es sur de vouloir changer de vue pendant tout ton récit? Parce que les autres extraits étaient du point de vue de Ellias et là tu changes deux fois de plus. C'est juste une remarque. Ca peut rendre vivant le récit, quoique le premier paragraphe pourrait très bien se faire depuis Ellias.

"nous ne réussirons gagner quelques siècles de sursit" =>réussirons à gagner

"Le Cercle fur tracé" => fut

"mais me le représenta comme trois créatures de plusieurs mètres de haut" => mais je me le représentais

"une pluie d’éclair mortelle sur lui" => d'éclairs mortels

Maintenant les commentaires:
"Puis l’un d’entre nous se mit à fredonner une chanson. Une petite comptine que tous les enfants connaissaient par cœur et qu’ils chantaient pour vaincre leurs peurs. Un refrain entêtant, puissant, qui prit rapidement de l’ampleur. C’était comme si la forêt toute entière reprenait l’air à l’infinie"
C'est une très bonne idée mais tu devrais dire que tous les hommes la reprirent en coeur. Je pense que c'est ce que tu voulais dire par "prit de l'ampleur" mais c'est abstrait et à la première lecture je croyais que c'était celui qui chantait qui augmentait la voix.
Par exemple : "Un refrain entêtant, puissant, qui prit rapidement de l’ampleur à mesure que nous le reprenions en coeur"

Pour le style, c'est moins sombre que tes autres nouvelles ^^ mais toujours prenant et fluide

Oui, voila, les changements de points de vues. J'en arle justement avec Akira. En fait, a partir de la partie 4, les points de vues changent plus rapidement, mais là, c'est surtout parce que c'est un combat. Sinon, ça reste le même pendant un chapitre au minimum.

Là, c'était le second d'Ellias qui était le narrateur. Il est quand même assez important, mais bon, encore quelqu'un qui n'apparaît dans un texte pas encore écrit. Puis, c'est un Haut Prêtre. Mais Ellias va redevenir le narrateur principal.

Merci pour tes corrections. Et rassure toi, avec Ceil, ça va devneir tout de suite plus sombre.

J'attends donc avec impatience

Enfin... faut deux changements de points de vue avant d'arriver à l'épisode Ceil VS Ellias...

J'ai, rien compri, normal, j'ai pas lu ce qui avait avant.

(normal, à la bourre quoi, comme d'habitude...)

ultuant a écrit:

tu devrais dire que tous les hommes la reprirent en coeur. Je pense que c'est ce que tu voulais dire par "prit de l'ampleur" mais c'est abstrait et à la première lecture je croyais que c'était celui qui chantait qui augmentait la voix.

Moi ça m'avait pas dérrangé, je trouvait ça bien comme formulation. Enfin, c'est mon point de vue.

J'en tiendrais compte.

Au fait Yon... accroche toi parce que... on peut pas vraiment que j'écrive dans l'ordre...

>_<

Faudra que je pense à lire le reste vite fait... Le problème sera de savoir quand.

Avant la fin de semaine prochaine parce qu'après je reposte ^^ Et tu as vu la longueur des miens

Même après notre course effrénée, il était trop tard. ---> phrase incorrecte ; Malgré notre course effrénée, nous arrivâmes trop tard.
malgré tout nos efforts, ---> touS
nous ne réussirons gagner quelques siècles de sursit. ---> nous ne réussirons à gagner que quelques siècles de sursiS.
Dans quelques minutes, les Montagnards seront morts et les Saltars. ---> euh... c'est quoi, la fin de la phrase ?
A ce moment là, j’attaquerais. ---> A ce moment-là, j'attaqueraI
Ceux qui ne veulent pas décéder rejoindront les Puiseurs. ---> Le verbe "décéder" est trop soutenu et passif ici ; préfère : "Ceux qui ne veulent pas risquer /donner leur vie rejoindront les Puiseurs."
Que pouvions-nous donc dire ? L’abandonner ? Ellias ? ---> La deuxième interrogation devrait être une proposition de réponse à la première ; mais à la question "que peux-tu dire ?", tu ne réponds pas "je l'abandonne" (je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire). Bref, change la première question ou la seconde ; par exemple : "Que pouvions-nous faire ? L'abandonner ? Ellias ?" ou bien : "Que pouvions nous dire ? Que nous allions l'abandonner ? Lui, Ellias ?" Je préfère la première proposition.
Nous le suivrons jusque dans la mort. ---> suivrIons
Je n’ai pas l’autorité de vous envoyez ainsi au trépas. ---> envoyeR
Nous avions vécus tant de choses ---> vécU
Tel une armée de morts, nous allâmes à la rencontre de l’ennemi ---> la règle du "tel" m'a toujours échappé, mais je pense qu'ici, il faut mettre "telS" puisque le sujet de la comparaison est "nous".
reprenait l’air à l’infinie ---> infinI
Le sentier était plein de corps sans vie ---> je verrais mieux : "Des dizaines (ou centaines) de corps sans vie gisaient sur / jonchaient le sentier"
Avant que je n’ais compris toutes les implications ---> Avant que je n'eusse compris (si tu ne veux pas mettre de passé, c'est : "avant que je n'aiE")
Ne fuyiez pas ! ---> fuyez
Il était à peine plus grand que les autres ennemis, mais me le représenta comme trois créatures de plusieurs mètres de haut. ---> je n'ai pas compris cette phrase
nous déclenchâmes une pluie d’éclair mortelle sur lui… ---> d'éclairS (et je verrais mieux les éclairs mortels plutôt que la pluie, mais c'est un micro-détail)
Ce ne fut qu’à ce moment que je réalisais l’éminence de ma mort ---> je réalisaI

Sinon, rien de spécial à signaler / critiquer. J'étais bien dans la bataille. C'est un peu court pour dire autre chose. Pour l'instant, c'est très bien. Tu sais que je suis un de tes fans inconditionnels.

Merci pour cette correction très précise, une fois de plus !

Sinon... Je viens de me rendre compte que je n'arrêtes pas d'oublier des mots dans mes phrases...

* Pars tout corriger *

Haha! Je te l'avais dit!

J'adore autant que tes extraits précédents (et autres textes^^). j'étais vraiment plongée dans l'atmosphère,spécialement lorsque le second d'Ellias est le narrateur.Je pense que tu as bien rendu les émotions que le traversent,lui et ses frères.
mais comme dit Hakkrat,c'est un peu court,hélas...

*saute sur place*
la suite,la suite!

Je le lis demain, là je vais finir la belgariade tome 4

bon, alors, mon petit Ellias...
pourrais tu me dire où trouver ce qui s'est passé entre le moment ou il fuit de l'auberge après avoir récupéré sa boite, et celui ou il rejoint un arbre ?

s'il te plait n_n

Luciole, perdue

Moi aussi perdue, t'inquiètes...

Je crois qu'il ne l'a pas encore écrit, ou tout du moins, il ne l'a pas encore posté.

Il n'empêche que c'est agréable à lire. Même si on ne comprend pas tout. ^^

Ben... euh... ^^

Comme le dis Hakkrat, ce n'est pas encore écrit

aaah euh... bon ben je vais aller tout lire une seconde fois alors o.o, histoire de pouvoir te donner mes impressions...

Luciole

Désolé pour tout le fouillis de mes écrits...

Le fouilli est digne des esprits brilliants!
Ne t'enflamme pas trop quand même

Euh...

Trop tard, la partie 5 se dessine de plus en plus ! Ce sera la dernière !