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| | Promenons nous dans les bois... Extrait! | |
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Invité Invité
| Sujet: Promenons nous dans les bois... Extrait! Mer 14 Mar 2007 - 14:25 | |
| Bonjour à tous! Alors me voila, avec mes petits textes, pour me soumettre au jujement terrible du forum! :o Ceci est un bout de mon chapitre 1. Ce qui m'interresse, c'est la mise en forme surtout, ce qui ne va pas autre que les fautes d'orhographes. Les fautes, ca se corrive, le style, le vocabulaire ect, ca s'apprend avec les critiques. Donc n'ésitez pas à me critiquez! Les arbres avaient pris le dessus sur l'animal et l'humain. Ce n'était pas la végétation qui s'adaptait à l'environnement, mais les êtres qui résister aux dangers de la nature. La sève, les feuilles et le bois qui composaient les arbres avaient acquis une conscience face au danger des humains qui se multiplier. En ce temps là, elfes, nains, gobelins et autres créatures s'inquiéter du plaisir manifeste que prenait ces étranges créatures sans pouvoirs particuliers pour le commerce et l'étendue de son territoire, abattant des pans de forêt entière pour y vivre en prenant toujours plus de place. La rancune collective des habitants les plus anciens s'accumula bientôt, et une des forêts de la terre des anciens en profita pour absorber son pourvoir destructeur, la haine, pour grandir et enfin ne plus être inerte. Les arbres se mouvaient, les créatures comprenait l'enjeu du combats contre les humains trop avides de territoire et de progénitures nombreuses; eux aussi gagnaient en force et en intelligence. Ceux qui s'adaptèrent le mieux à ce changement fut sans conteste les loups. Leur mâchoire se modifièrent légèrement, leur permettant de parler une langue autre que la leur. Leur sixième sens pour repérer les proies et se camoufler devint plus terrible encore, tout comme leur autres qualités. Les rares personnes qui ne marchaient pas sur quatre pattes et qui vivait dans cette forêt l'appeler "la forêt des pleurs". Un nom à la fois beau et triste, reflétant son danger et sa beauté destructrice. La résistance s' organisa progressivement entre les créatures: les loups dévoraient sans pitié tout être vivant qui s'aventurer sur leur territoire; d' étranges créatures souriaient aux inconnue et les entraînaient dans les sables mouvants en leur chantant d'un air rassurant une berceuse alors qu'il s'enfonçait sans réagir, un sourire béat accrocher sur les lèvres. Pourtant, sous la pâle lumière du clair de lune, une très belle femme courait à travers les bois, serrant contre son coeur un paquet cacher par un énorme manteau de fourrure. Ses cheveux noir ébène volait au rythme de sa course. Elle ignorait les branches qui lui cinglaient le visage, ou les épines qui lui griffaient les jambes et accrocher ses vêtements; elle fut recouverte d' égratignures sanglante en très peu de temps sans que le moindre cri de douleur ne se fit entendre. Son souffle s' accéléra, jusqu'à devenir un halètement rauque, essayant sans cesse d' avaler des gorgés d' oxygène qui semblait se faire de plus en plus rare. Ses mains rester crispés contre le manteau, et elle levait la tête pour sentir un peu d'air frais sur ses joues rougies. Au bout d'un long moment, elle s' arrêta, déposa une créature apeurer sur le sol et tomba à genoux sur l' herbe humide de rosée, la main serrée sur son point de coté. Retenant ses larmes, l'enfant se débarrassa du vêtement et entoura sa mère de ses bras frêles, lui murmurant à l' oreille: - On peut pas rester là maman, c'est dangereux! Sa mère se releva péniblement et essuya la sueur qui coulait sur ses joues salies. Elle tituba légèrement, comme soûl puis se reprit. Son visage sembla se durcir et ses yeux se voilèrent. - Je dois te laisser ici...Et moi, je pars, dit elle entre de grande goulées d'air. - Quoi? Mais...mais les loups? Je veux rester avec toi! Ne me laisse pas toute seule ici! - Dasy...Tu es en sécurité ici, dit la femme d'un air malheureux. Il n'y a pas d'autre solutions. Pendant un cour instant, Dasy se demanda si sa mère n'avais pas perdu la raison. Quels excuses pouvait avoir une mère pour abandonner sa fille sans aucune protection, au proie à toutes les créatures de cette forêt? Mais après tout, elle savait que ça n'avait pas vraiment d'importance. Dasy voulait juste rester avec sa mère, et ne pas rester seule. Un craquement sonore les firent soudain sursauter. La jeune femme déposa un baiser rapide sur le front de sa fille qui sanglotait. - Un jour tu comprendras, souffla t elle. Et j'espère que tu me pardonneras. Puis, elle se détourna et s' enfuit pour disparaître dans l' obscurité des sous bois. J'ai esseyer de mettre un extrait assez cours parce que je sais que c'est décourageant de lire quelque chose qui n'est pas sur du papier. Voila donc un petit extrait de mon projet! ^^ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Promenons nous dans les bois... Extrait! Mer 14 Mar 2007 - 19:42 | |
| J'ai lu ton texte en entier.
C'est sur qu'il y a beaucoup de fautes, des fautes de conjugaisons surtout. Sinon, le texte part bien, la foret est assez mystèrieuse et ça me donne envie de connaitre la suite (surtout que Ellias est aussi une créature de la foret, alors je m'interesse ^^) |
| | | Iron Héros Légendaire
Nombre de messages : 1513 Localisation : Inconnue Loisirs : Inconnus Date d'inscription : 09/03/2007
| Sujet: Re: Promenons nous dans les bois... Extrait! Mer 14 Mar 2007 - 19:50 | |
| Fautes d'orthographes / maladressesCorrections incertainesSuggestions - Isil a écrit:
Les arbres avaient pris le dessus sur l'animal et (sur) l'humain (je mettrais plutôt sur L'Homme). Ce n'était pas la végétation qui s'adaptait à l'environnement, mais les êtres qui résister (résistaient) aux dangers de la nature. La sève, les feuilles et le bois qui composaient les arbres avaient acquis une conscience face au danger des humains qui se multiplier (multipliaient). En ce temps là (pendant ce temps là ou en ces temps là), elfes, nains, gobelins et autres créatures s'inquiéter (s'inquiétaient) du plaisir manifeste que prenait ces étranges créatures sans pouvoirs particuliers pour le commerce et l'étendue (je dirais pluôt "l'agrandissement", mais je ne suis pas sûr...) de son territoire, abattant des pans de forêt entière (des pans de forêt entiers) pour y vivre en prenant toujours plus de place. La rancune collective des habitants les plus anciens s'accumula bientôt, et une des forêts de la terre des anciens en profita pour absorber son pourvoir destructeur, la haine, pour grandir et enfin ne plus être inerte.(j'avoue ne pas avoir compris la phrase...) Les arbres se mouvaient, les créatures comprenaient l'enjeu du combats (pas de S) contre les humains trop avides de territoires et de progénitures nombreuses; eux aussi gagnaient en force et en intelligence. Ceux qui s'adaptèrent le mieux à ce changement fut sans conteste les loups. Leur mâchoire se modifièrent légèrement, leur permettant de parler une langue autre que la leur. Leur sixième sens pour repérer les proies et se camoufler devint plus terrible encore, tout comme leur autres qualités. Les rares personnes qui ne marchaient pas sur (à quatre pattes) quatre pattes et qui vivait dans cette forêt l'appeler (L'appelaient) "la forêt des pleurs". Un nom à la fois beau et triste, reflétant son danger et sa beauté destructrice. La résistance s' organisa progressivement entre les créatures: les loups dévoraient sans pitié tout être vivant qui s'aventurer (s'aventurait) sur leur territoire; d'étranges créatures souriaient aux inconnue (inconnus)et les entraînaient dans les sables mouvants en leur chantant d'un air rassurant une berceuse alors qu'ils s'enfonçaient sans réagir, un sourire béat accrocher sur les lèvres. (le verbe accroché est inutile)
Pourtant, sous la pâle lumière du clair de lune, une très belle femme courait à travers les bois, serrant contre son coeur un paquet cacher (caché) par un énorme manteau de fourrure. Ses cheveux noir ébène volaient au rythme de sa course. Elle ignorait les branches qui lui cinglaient le visage, ou les épines qui lui griffaient les jambes et accrocher aient ses vêtements; elle fut recouverte d' égratignures sanglantes en très peu de temps sans que le moindre cri de douleur ne se fit entendre. Son souffle s' accéléra, jusqu'à devenir un halètement rauque, essayant sans cesse d'avaler des gorgés d' oxygène qui semblaient se faire de plus en plus rare.(un peu lourde la phrase...) Ses mains rester(restaient) crispées contre le manteau, et elle levait la tête pour sentir un peu d'air frais sur ses joues rougies. Au bout d'un (long) moment, elle s' arrêta, déposa une créature apeurer (apeurée) sur le sol et tomba à genoux sur l' herbe humide de rosée, la main serrée sur son point de coté. Retenant ses larmes, l'enfant se débarrassa du vêtement et entoura sa mère de ses bras frêles, lui murmurant à l' oreille: - On peut pas rester là maman, c'est dangereux! Sa mère se releva péniblement et essuya la sueur qui coulait sur ses joues salies. Elle tituba légèrement, comme soûle, puis se reprit. Son visage sembla se durcir et ses yeux se voilèrent. - Je dois te laisser ici...Et moi, je pars, dit elle entre de grande goulées d'air. - Quoi ? Mais...mais les loups? Je veux rester avec toi! Ne me laisse pas toute seule ici! - Dasy...Tu es en sécurité ici, dit la femme d'un air malheureux. Il n'y a pas d'autre solution. Pendant un (court) instant, Dasy se demanda si sa mère n'avait pas perdu la raison. Quelles excuses pouvait avoir une mère pour abandonner sa fille sans aucune protection, au proie à toutes les créatures de cette forêt ? Mais après tout, elle savait que ça n'avait pas vraiment d'importance. Dasy voulait juste rester avec sa mère, et ne pas rester seule. Un craquement sonore les firent soudain sursauter. La jeune femme déposa un baiser rapide sur le front de sa fille qui sanglotait. - Un jour tu comprendras, souffla-t-elle. Et j'espère que tu me pardonneras. Puis, elle se détourna et s' enfuit pour disparaître dans l' obscurité des sous bois. Bon...pas mal de petites fautes de de maladresses. J'ai tout de même corrigé les fautes d'orthographe, j'ai pas pu me retenir Evite les participe présent (chantant, marchant), ça allourdi beaucoup le texte. Je pense que tu devrais prendre un peu de recul sur tes textes, et essayer de l'alléger au maximum, ainsi que fluidifier le tout. Sinon c'est pas mal, mais essaie de rendre les évènements plus clairs et, pourquoi pas, utiliser un vocabulaire un peu plus recherché (c'est pas obligatoire, mais ça aide un peu ). je laisse la place aux autres :pirat: ::rolling:: _________________ C'est un crapaud je vous dis, un crapaud ! Pas une grenouille.
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| | | Invité Invité
| Sujet: ~~> Ven 16 Mar 2007 - 11:24 | |
| Merci pour cette corection complète La rancune collective des habitants les plus anciens s'accumula bientôt, et une des forêts de la terre des anciens en profita pour absorber son pourvoir destructeur, la haine, pour grandir et enfin ne plus être inerte ça veut dire tout simplement que la forêt absorbe la haine des habitants pour devenir vivante... mais bon , je vais esseyer de trouver une autre phrase, apparament ce n'est pas clair ^^ Pour les fautes d'orthographe et d'inatention.. ouaouh... ah oui comme même! Il va faloir que je me mette au boulot pour ce point là... mais à chaque fois je m'emporte dans mon texte et le corriger, je n'ai pas le courage... donc on va esseyer de faire un effort... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Promenons nous dans les bois... Extrait! Lun 19 Mar 2007 - 15:52 | |
| Assez similaire a ton autre histoire mais comme j'aime assez le style... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Promenons nous dans les bois... Extrait! Lun 19 Mar 2007 - 19:33 | |
| En fait, l'impression que tes deux textes me fait, c'est que tu aimes
1) Ecrire, et tu le fais très bien.
2) La nature, et ça se voit !
Et je trouve ça très bien.
Ellias, Frère des Bois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Promenons nous dans les bois... Extrait! Ven 6 Avr 2007 - 19:06 | |
| oh ca me fait grandement plaisir que ces deux choses ressortent.. et c'est mes deux choses que j'aime le plus, effectivement! ^^
ps: dsl pour la longue absence problème d'école! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Promenons nous dans les bois... Extrait! Sam 7 Avr 2007 - 12:49 | |
| C'est pas grave, je connais ça ! (mais je squattais chez un ami qui est tout près de chez moi, alors ça allait encore...) |
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| Sujet: Re: Promenons nous dans les bois... Extrait! | |
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