Histoire de Loup-garou

Dorou

Les nuages avancèrent lentement, créant un trou béat dans le ciel, une porte d' obscurité vert l'infini de l'univers. Une étoile m' apparus, puis une seconde. Je tremblais de tout mes membres, une sueur froide coulant le long de mon dos poisseux.
L'attente. C'était quelque chose de terrible lorsque ce qui suivait était anormal, malsain. Le vent se leva, projetant sur mon visage crispé l'odeur de la forêt, mélange de feuille sèche et de sève.
La lumière. Elle était là, quelque part, à attendre son heure pour m' inonder de toute sa puissance destructrice. Je la redoutait, plus que tout, plus que la mort. Une pensé sordide m' effleura doucement: je me vit, un couteau à la main, plantant l'arme redoutable en plein coeur, un sourire soulagé accrocher sur mes lèvres.
Ca y est... Je la sentait... Mon regard parcourut rapidement le ciel et y découvrit un morceau de lune, à peine cacher par un nuage qui se déplaçait vert la gauche. Un gémissement sortit de mes lèvres sèches, qui se transforma rapidement en un cri quant la pleine lune apparut complètement.
Je hurlais à la mort, sentant à l' avance ce qui aller se passer. Les dieux m' avaient bel et bien abandonner.

Mes dents s' allongèrent, grossirent à vue d'oeil, faisant saigner mes gencives. Des poils drus recouvrirent mon corps, créant d' horrible démangeaisons. Mon crâne s' allongea douloureusement, mes ongles devinrent des griffes.
Mon hurlement devint inhumain, bestial. Je n'était plus humain. J' étais loup.

Quant j'étais un simple humain, je m' appelais Chaïva. Maintenant que je suis devenue loup, je m'appelle Dorou. C'est ainsi, et je ne peux rien y changer.

La douleur à disparut à présent. Pour une fois, je ne suis pas saisis de cette envie irrésistible qui est de déchiqueter tout ce qui se trouve sur mon passage. Je sens cependant une puissance telle que je ne peux la contenir, et je me met à courir de toutes mes forces à travers la forêt. Je suis étonné d'avoir encore mon esprit humain. Je suis étonné de ne plus me régaler à l''avance du sang des autres. Le sorcier avait donc raison. Je le vois encore, une fiole à la main, me regardant d'un air sérieux par dessus son nez crochu.



Bon cette fois ci, il devrait y avoir moin de fautes d'orthographe... même si comme d'habitude, je n'ai pas tout regarder (arf! fichu orthographe!)

Je n'ai plus qu'a attendre votre jujement ^^

Je le donnerai une autre fois, je te corrigerai tout ça

Là, je suis pas tellement motivé...

tu n'es pas obligé de corriger avec tant de sérieux tu sais ^^ ne t'épuise pas à la tâche!

Isil a écrit:

Les nuages avancèrent lentement, créant un trou béat dans le ciel, une porte d' obscurité vert l'infini de l'univers. Une étoile m' apparus, puis une seconde. Je tremblais de tous mes membres, une sueur froide coulant le long de mon dos poisseux.
L'attente. C'était quelque chose de terrible lorsque ce qui suivait était anormal, malsain. Le vent se leva, projetant sur mon visage crispé l'odeur de la forêt, mélange de feuille sèche et de sève.
La lumière. Elle était là, quelque part, à attendre son heure pour m' inonder de toute sa puissance destructrice. Je la redoutait, plus que tout, plus que la mort. Une pensé sordide m' effleura doucement: je me vit, un couteau à la main, plantant l'arme redoutable en plein coeur, un sourire soulagé accrocher sur mes lèvres. (Je dirais "accroché à mes lèvres", ou " accroché aux lèvres")
Ca y est... Je la sentais... Mon regard parcourut rapidement le ciel et y découvrit un morceau de lune, à peine cacher (cachée) par un nuage qui se déplaçait vert (vers) la gauche. Un gémissement sortit de mes lèvres sèches, qui se transforma rapidement en un cri quant (quand) la pleine lune apparut complètement.
Je hurlais à la mort, sentant à l' avance ce qui aller se passer. Les dieux m' avaient bel et bien abandonner.

Mes dents s' allongèrent, grossirent à vue d'oeil, faisant saigner mes gencives. Des poils drus recouvrirent mon corps, créant d' horrible démangeaisons. Mon crâne s' allongea douloureusement, mes ongles devinrent des griffes.
Mon hurlement devint inhumain, bestial. Je n'étais plus humain. J' étais loup.

Quand j'étais un simple humain, je m'appelais Chaïva. Maintenant que je suis devenue loup, je m'appelle Dorou. C'est ainsi, et je ne peux rien y changer.

La douleur à disparue à présent. Pour une fois, je ne suis pas saisis de cette envie irrésistible qui est de déchiqueter tout ce qui se trouve sur mon passage. Je sens cependant une puissance telle que je ne peux la contenir, et je me met à courir de toutes mes forces à travers la forêt. Je suis étonnée d'avoir encore mon esprit humain. Je suis étonnée de ne plus me régaler à l'avance du sang des autres. Le sorcier avait donc raison. Je le vois encore, une fiole à la main, me regardant d'un air sérieux par dessus son nez crochu.

Effectivement, moins de fautes (sur la seconde partie du texte, je ne l'ai ais pas indiquées en rouge).

Ce texte est de bonne qualité. Il est très bien rédigé, dans un français correct. C'est bien maîtrisé, on ressent les émotions qui en décousent.

Je dis chapeau, c'est un bon texte, je n'ai rien à redire

ouaouh ca fait plaisir d'entendre ça dit donc... je dois donc bosser mon premier texte et surtout mon orthoraphe ^^ Merci encore pour cette corection très instructive!!

Ta première phrase est très très belle.
L'histoire est ... Ben une nouvelle ou un début?
Sinon je ne comprend pas pourquoi tu es passé au présent dans le dernier parragraphe...

Je te félicite pour l'ensemble

Isil a écrit:

Dorou
Quant j'étais un simple humain, je m' appelais Chaïva. Maintenant que je suis devenue loup, je m'appelle Dorou. C'est ainsi, et je ne peux rien y changer.

La douleur à disparut à présent. Pour une fois, je ne suis pas saisis de cette envie irrésistible qui est de déchiqueter tout ce qui se trouve sur mon passage. Je sens cependant une puissance telle que je ne peux la contenir, et je me met à courir de toutes mes forces à travers la forêt. Je suis étonné d'avoir encore mon esprit humain. Je suis étonné de ne plus me régaler à l''avance du sang des autres. Le sorcier avait donc raison. Je le vois encore, une fiole à la main, me regardant d'un air sérieux par dessus son nez crochu.

J'aime beaucoup ton style.Je ne suis pas fan des histoires écrites à la première personne du singulier(peut-être un manque d'habitude?)mais la façon dont tu as rédigé le tout fait passer cette impression au second plan.On sent vraiment les émotions et ça donne envie de connaître la suite.
J'avoue que j'ai un petit faible pour la fin au présent,encore plus réaliste,ça met le récit encore plus à portée,je trouve qu'on voit vraiment la scène se dérouler.
Bravo

Je pence plutôt que ce sera une nouvelle, parce que je me rend bien compte en bossant que faire un roman n'est pas à la porter de tout le monde!
Merci beaucoup pour ces compliments qui m'ont fait rougir de plaisir.
En passant du passé au présent, j'ai voulu montrer que c'était un début habituelle pour Chaïva, quelque chose qu'il connait déjà.
Mais je peux encore le changer ^^