Projet livre 2

Chap. 7


L'air enfumé empestait l'alcool et le vomi, le sol en vieux bois usé était recouvert d'une épaisse couche de crasse. La salle était assez petite, 5 tables, mais le nombre de clients était encore plus faible. Seul quelques artisans déprimés du coin osaient s'aventurer dans cette taverne, la plupart du temps ils en ressortaient titubant et hébété. Les chopes et les couverts étaient sales, les tables aussi. Le seul être semblant se complaire dans ce milieu était un vieux chien usé qui passait ces journées allonger dans un coin à observer les clients de ces vieux yeux injecter de sang. Juste au-dessus de lui, accrocher au mur se trouvait son vieux pote: une tête de cerf empaillée dont l'aspect laissait imaginer que cette tête avait déjà vu passer plusieurs générations. La pièce était sombre, quelques torches tentaient tant bien que mal de chasser l'obscurité, mais n'y arrivaient guerres. Un maigre feu brûlait dans la cheminée, un feu de sapin dont l'odeur âcre et la fumée se rependaient dans toute la pièce.
À peine m'étais, j'assis à une table du fond que la serveuse m'abordait : "Bien le bonjour étranger, voulez-vous une boisson ou un repas chaud ?
-Je prendrais le menu du jour, avec une bière merci.
-Une bière ? Cette boisson est forte et excitante, si vous voulez quelque chose d'excitant qui en plus soit doux j'ai ce qu'il vous faut." Dit elle tout en se penchant, afin de me montrer son profond décolleté. Pourquoi fallait-il que ce genre de choses m'arrive en mission ?
" Le repas et la bière me suffiront" ai-je répliqué en souriant. Elle a émis un petit soupiré de dépit avant de s'éloigner d'une démarche chaloupée.
J'ai mangé doucement, avalant de temps en temps une gorgée de bière. Le repas : un ragoût de boeuf était des plus banals, mais il faisait passer le temps.

Après deux heures d'attente la situation a enfin évolué : un homme est entré dans le bar, il était jeune (une vingtaine d'année) et était habillé d'une tenue simple sans êtres une tenue de paysans. La peur se lisait sur son visage.
Il s'est dirigé vers une table du fond, le hasard avait voulu que sa soit ma voisine. La serveuse vint prendre sa commande et lui fit à lui aussi son numéro de vierge effarouchée mais une fois encore elle repartit seul.
L'homme tremblait, il observait la porte d'entrée attendant visiblement quelqu'un. Ma ruse semblait porter ses fruits.

Une vingtaine de minutes interminables (autant pour lui que pour moi) plus tard quatre hommes entrèrent dans le bar, ils rejoignirent l'autre.
À peine furent-ils assis que l'autre commençait à parler : "Vous avez vu? Ils l'ont attrapé et l'ont tué! Ils l'ont saigné comme un porc! m***e, je ne veux pas finir pareil, si j'ai rejoint cette foutue rébellion ce n'était pas pour me faire tuer !" Il parlait vite d'une voix couinante.
J'ai souri, mon plan fonctionnait bien pour l'instant, dire que le capitaine de la garde et ces hommes n'avaient pas été convaincus lors de la présentation.
Je revois encore leur tête ébahit lorsque je leur avais demandés d'exposer le cadavre sur la place publique avec un écriteau disant : « Avis à la population, nous avons tué cet homme car il soutenait la cause rebelle. Nous infligerons ce même traitement à tout homme qui n'arrêtera pas immédiatement toute activité illégale. »
Les gardes n'avaient pas osé contester mais il est évidant que cette idée leur paraissait des plus saugrenues.
Je les avais ensuite répartis dans toutes les auberges soupçonnées d'abriter des rebelles pour jouer le même rôle que moi en ce moment même.

Le plus âgés des hommes prie la parole à son tour : "Voyons, couineur, ce meurtre ne change rien" bien que calme, sa voix avait tendances à partir dans les aiguës sous l'emprise de la peur.
"Ils ne savent toujours pas où nous sommes et ne savent même pas qui fait partie de l'ordre. Pour l'instant
"Bon, écoute, je pense que le mieux serait que tu rentres chez toi et que tu te reposes. Tu sembles à bout de nerf et on ne réfléchit pas bien dans cet état-là.
-Non je préfère attendre que Clopineur se ramène. Il sera quoi faire." J'ai sursauté, Clopineur était le second, le deuxième homme le plus important et il allait bientôt être ici.
"Bon, fait comme tu veux, mais ferme là un peu, tu vas nous faire repérer" Trop tard.

Après un nouveau temps d'attente, notre homme arriva enfin.
Il était âgé d'une trentaine d'année, une énorme balafre traversait son visage qui autrefois avait dû être beau. Il marchait avec souplesse et sûreté (a ce demandé comment il a hérité de ce surnom).
Il prit une chaise et rejoignit les rebelles.
Ils restèrent immobiles et silencieux pendant deux à deux minutes. Les hommes étaient visiblement avides d'avoir des détails, mais craignaient trop de prendre la parole.

Puis Couineur prit la parole (quel bout entrain celui-là) "Clopineur, tu as vu ce qu'ils ont fait ? S'ils ont pu se permettre de le tuer c'est qu'ils savaient déjà tout ce qu'ils voulaient !
-Du calme, ils ne l'ont pas tué." Et m***e, ils étaient rapides à la réaction ces rebelles.
"C'est un de nos hommes qui l'a tué avant qu'il parle, toute cette histoire n'est qu'une mise en scène pour faire parler des crétins tells que vous" Les autres hommes se sont regardés hébétés
« Maintenant rentrer chez vous avant que quelqu'un vous repère. »
Ils ont quitté la salle, visiblement soulager.











Chap. 8





L'air était frai, la nuit obscure. Quelques étoiles éclairaient faiblement la ruelle étroite. Le genre de ruelle que personne ne voudrait emprunter. Je suivais l'autre depuis 4 heures. Il avait décidé de faire la tournée de la moitié des bars de la ville. À chaque halte je notais le nom des bars et j'ai constaté avec stupeur qu'aucun d'eux ne figurait sur la liste des « bars a rebelle ».
J'étais maintenant planté comme un con en plein milieu de la ruelle. A me geler les mains et toutes les autres extrémités. L'autre s'était aventuré dans une trappe cachée derrière un tas de caisses de transport à l'extrémité de la ruelle. Je supposais que c'était leur quartier général. Je ne savais pas ce que je devais faire: rester ici et tenter de rassembler plus d'information ou bien noter l'emplacement du quartier général et aller chercher les garde pour effectuer une petite descente. Un choix difficile d'autant plus que le froid m'empêchait de réfléchir à vitesse normale. Plus j'essayais de réfléchir et plus j'envisageais une troisième solution: Rentrer, prendre un bain puis me coucher. Après mûre réflexion j'ai opté pour la deuxième solution (c'était la moins risquée des deux).
Le capitaine n'avait pas pris part à l'opération. Il était assis dans son bureau. Plonger dans je ne sais quel document officiel. Il n'a pas réagi quand je suis entré. Je me suis assis dans un fauteuil et ai attendu qu’il daigne s'intéresser à moi. Il a finalement levé le nez de sa paperasse pour m'observer. "Vous êtes déjà de retour ?" Cette phrase était plus un moyen de lancer la conversation qu'autre chose, j'étais partis depuis plus de cinq heures"
"J'ai des nouvelles sur les rebelles." Le capitaine a tout de suite semblé plus attentif.
"Je connais leurs planques et je peux, vous y menez.
-Coi? Déjà? Vous l'avez trouvé en un jour alors que nous sommes dessus depuis des années? " Il était visiblement surpris par la rapidité avec laquelle j'avais trouvé la planque rebelle. Moi aussi, pour la première fois de ma vie j'avais de la chance, quoique, des fois il faut attendre longtemps pour percevoir les conséquences néfastes d'un acte.
J'ai confirmé d'un hochement de tête.
"Suivez-moi, nous allons leur tomber dessus pendant qu'ils ne s'y attendent pas. Il semblait exulter
Le capitaine de la garde est sorti du bureau d'un pas presser, je l'ai suivis.
Nous sommes arrivés dans la salle à manger, les gardes mangeaient et ils n'y allaient pas de main morte. De la graisse dégoulinait sur leur barbe, elle coulait sur la longue table centrale pour former des flaques sur le sol de pierre.
Ha elle était belle la garde de la ville, la dernière muraille entre les rebelles et le contrôle de la ville. Le capitaine à aboyer quelques ordres et tous les paisibles mangeurs se mirent à courir dans tous les sens. Cherchant armes, armure, torchon... L'organisation avait toujours été la grande qualité de l'armé des dix. Du moins à ce qu'on raconte sur les quelques livres relatant cette période, nombre relativement faible d'ailleurs allez savoir pourquoi.
Une dizaine de minute plus tard nous étions dans la sombre ruelle. J'ai guidé les gardes jusqu'à la trappe. Je les ai laissés passez devant.
Quelque seconde plus tard le fracas des armes retentissait. m***e, j'avais oublié mon épée bâtarde, mes haches de lancer et mes épées courtes dans ma chambre. J'ai donc prix ma hache a deux mains (oui ça peut paraître con d'oublier ces épées courtes mais de penser à la hache a deux mains bien encombrantes mais je n'y peux rien).
Je me suis à mon tour engouffré dans la trappe. J'ai descendu une échelle. J'ai posé les pieds dans un couloir, vide. J'ai donc longé le couloir, prêt à me battre. Le couloir débouchait sur une grande salle remplit à craquer de cadavre.
Quelques-uns des gardes mais surtout des rebelles, la plupart n'étaient même pas armés. J'ai continué d'avancer. Au loin les combats se poursuivaient, le fracas de l'acier rencontrant l'acier retentissait sans arrêt, ce bruit tapait sur le système et énervait encore plus les gars qui tapaient encore plus fort.
Je suis entré dans une autre pièce de la même taille. Il y avait quatre hommes, quatre rebelles. Ils fixaient tous la nouvelle arrivante, d'un regard haineux. Leurs intentions ne faisaient aucun doute.
J'ai saisi ma hache prête à en pourfendre le plus possible avant de mourir. Réaction idiote je le reconnais, je ne comprends pas pourquoi je n'ai pas pris mes jambes à mon cou. J'avais comme l'impression qu'un être influait, subtilement sur mes penser. Je dois avouer que depuis le début de cette mission j'avais une drôle de sensation, comme si un espion se cachait dans ma tête mais c'était la première fois qu'il intervenait. Ce n'était pas vraiment du contrôle mental, il avait juste légèrement influé sur un choix que j'avais moi-même envisagé. Hé oui moi aussi j'ai un côté héro à la con.
Les rebelles approchaient lentement, attendant le bon moment pour me sauter dessus et m'égorger.
Et moi, avec ma hache je voyais déjà la fin, comment tuer quatre hommes avec une hache? Surtout quand on ne sait pas se battre à la hache.
Un des hommes boitait, un autre semblait blesser au ventre. J'ai lâché ma hache qui a touché le sol en terre dans un bruit mate. J'ai sorti une dague d'une de mes bottes, prêt à frapper. J'ai fléchi les jambes et ai pris la deuxième dague, dans mon autre botte.
Les hommes étaient assez près, j'ai effectué une roulade avant et ai planté chacune de mes dagues dans le genou d'un des mecs encore valides. J'ai ensuite effectué une roulade arrière, évitant de peu, une mort par décapitation.
Bien, maintenant j'avais trois boiteux et un autre blessé. J'ai sorti ma dernière dague, cachée dans mon Gillet. Mes deux victimes roulaient sur le sol en gémissant. L'autre boiteux se jeta sur moi. Il était armé d'une épée courte tout comme ses trois camarades.
J'ai profité de mon allonge et lui ai administré un superbe coup de pied dans le genou blessé avant qu'il ne puisse me frapper. Il s'est mis à rouler en gémissent comme les autres.
Je l'ai égorgé, mais tandis que j'effectuais ma sombre besogne le blesser du ventre tenta de s'approcher discrètement de moi. Rater, j'ai effectué un coup de pied retourné au dernier moment, surprenant mon adversaire et le tordant en deux.
Je l'ai égorgé aussi. Je me suis dépêché de faire de même avec les deux derniers avant qu'ils ne se remettent de leur douleur.

Mais pas de chance le temps que j'égorge le premier l'autre n'était plus à sa place.
Et avant que je n'aie le temps de réagir il sautait sur moi, ma hache entre les mains.
J'ai bien tenté d'esquiver en roulant sur le côté, mais ma cape c'est accrocher à une imperfection du sol. J'ai toujours pensé que les capes c'était utile pour la frime mais plus gênante qu'autre chose pour un soldat. Par chance cet idiot n'était vraiment pas doué et il a réussi à me rater.
Mais un éclat de roche que fit voler la hache en tombant à coter de moi se planta dans ma main droite. Après avoir lâché quelques jurons j'ai entrepris de me relever avant que le rebelle ne se remette à frapper.
Mais au moment où j'ai enfin réussi à me tenir droit il s'est jeté sur moi une deuxième fois. Cette fois j'ai réussi à esquiver. Puis j'ai tenté de lui transpercer le thorax grâce à mon poignard, mais il a réussi à esquiver sans peine.
Il faut dire que je n'étais pas très rapide avec ma main gauche. Il m'a assené un coup de point au visage qui ma fait vaciller.
Mais je suis resté debout et je l'ai ai renvoyé le même en plus puissant. Enfin c'était le but, mais il a esquivé et puis de toute façon mon coup ne l'aurait pas assommé.
Il a riposté et cette fois je me suis allongé.
Il a repris sa hache qui je ne sais comment avais atterri de l'autre coté de la pièce. Puis il s'est précipité vers moi pour m'achever.
De mon côté, je tendais à me relever dans un effort pathétique vouer à l'échec. Chaque seconde la mort était plus proche. J'ai réussi à mon convaincre que mourir devais m'arriver un jour et qu'aujourd'hui n'était pas un mauvais jour pour mourir.
À la fin, je m'étais même convaincu que c'est bien de mourir.
Mais ce con c'est pris les pieds dans une imperfection du sol. Et est tombé en avant pour s'empaler sur sa hache.


J'ai récupéré mes dagues. Les aient nettoyé puis les aient rangées. J'ai ensuite fouillé mes victimes en quêtes de quelques pièces, mais la récolte fut maigre, a peine quelques pièces de bronze.
Une fois toutes mes tâches accomplies, je suis sorti de la pièce, afin de rejoindre le capitaine de la garde.
Après dix minutes de marche, je l'ai enfin trouvé, les combats étaient finis, et maintenant les gardes pillaient le peu de richesse que contenait cette cache.

Le capitaine souriait, bon signe. "Alors capitaine, la chasse a été bonne?
-Excellente, nous tenons, le chef de la rébellion et ses deux seconds. Ainsi que presque tous les hommes gradés." Une bonne nouvelle en effet.
"Bien capitaine, je vais donc rentrer une dernière chose, exposer le chef et ses deux seconds sur la place publique, cette fois l'exemple devrait être suffisamment pour empêcher toute tentative de rébellion pendant quelque temps."

Ils ne m'ont pas l'air trop longs (en ce moment, j'avoue que je me décourage vite, le beau temps et les vacances qui approchent sans doute )

Je m'y mettrai prochainement, fais-moi penser au pire, si j'oublie (ce qui risque d'arriver).

A sa les vacances elles ont le même effets sur nous tous.

Honnêtement, Tekmerak, tu pourrais peut-être essayer d'améliorer l'orthographe, ne serait-ce qu'avec un correcteur sur ton traitement de texte ? J'avoue que ça me rebute, car je suis un peu un maniaque de l'orthographe, et dès que je vois des fautes, je bloque dessus et je ne suis pas bien le fil de l'histoire. Les petites maladresses passent, personne n'est à l'abri d'une erreur, mais les grosses... A toutes les phrases, il y en a, je fatigue vite !

Essaie de corriger un peu ; en attendant, je n'arrive pas à lire...

J'ai tout lu. Comme j'ai déjà pû te le dire, tu as une sacrée imagination. Tu dois faire du jeu de rôle, sinon fais en tout de suite. C'est un ordre.

Par contre avoir des idées est une chose, mais cela ne fait pas tout.

Avant tout, comme l'a dit hakkrat (d'où vient ce pseudo d'ailleurs), soigne ton ortographe parcque franchement ça gache tout. Cela ne donne pas du tout envie de te lire. Je sais, je suis loin d'être parfait moi même.

Ensuite aére ton texte, avec des paragraphes. Le chapitre 8 est particulièrement indigeste car trop compact.

Quand tu fais parler tes perso sincèrement, j'ai du mal à savoir qui dit quoi . Du coup la compréhension du texte n'est pas immédiate et je dois relire plusieurs fois pour bien comprendre.

Sur le texte: "j'avais oublié mon épée bâtarde, mes haches de lancer et mes épées courtes dans ma chambre. J’ai donc prix ma hache a deux main (oui sa peut paraître con d'oublier ces épées courtes mais de penser a la hache a deux main bien encombrante mais je n'y peut rien)" .

J'ai ensuite fouiller mes victimes en quêtes de quelque pièce

Ben dit donc: heureusement qu'il avait oublié tout ça dans l'auberge, sinon il n'aurait pas pu marcher.


En fait tu reproches que la fantasy soit rempli de clichés et tu en fais pas mal toi même. Le héros (j'ai mis un s) sur-équipé qui est plus fort que tout le monde et qui vole les morts. Tu vois ce que je veux dire? En plus c'est typique des jeunes joueurs de jeux de rôles ce comportement. Ceux qui ont fait du jdr savent de quoi je parle.

Je n'avais pas cette impression dans tes premiers chapitres, qui me paraissaient plus novateurs.

Donc voilà pour le moment mon avis. J'attends de savoir comment va se redresser la rebellion, en espérant que ta qualité de plume sera meilleure et tes idées plus proches de celles des premiers chapitres.

alors deja pour le correcteur ba c'est fait donc visiblement sa ne suffit pas. Et c'est marrant mais j'etait presque content (au niveau du nombre de fautes).

Alors pour les stereotypes (ha j'aime pas ce mot), donc je ne pense pas en faire tant que sa et je vais faire mon bon vieux coup des contre critiques a chaques critiques (je suis comme sa).

Le héro n'est pas plus fort que tout le monde (la il a réussit a tuer quatre personnes mais il faut dire que c'est des rebelle mal équipé passant leurs journées enfermé dans un obscure sous sol qui plus es il y a un blessez. Et ce qu'il fait je peux le faire aussi (enfin je me ferait tetre mal au dos mais je peux quand meme).
Donc voila je pensait pas en avoir fait un guerrier mais j'accepte ta crtitique (si tu le dit sa doit etre vrai) je vais donc tenter de rendre le combat quelque peu moi heroique (quelle insulte). Si tu pouvait me dire plus presisement ce qui rend Tekmerak si puissant que je le modifie.

Ensuite pour le vole de mort, je ne l'ai vu que rarement j'ai peut être pas lut les bons livres mais sa par contre je peux pas l'enlever a mon personnage sa fait partit de sa personnalité.

Sinon si il y a d'autre cotée qui te semble stereotypé n'hesite pas a le dire, je lutte contre ce fleau mais desfois il m'arrive de pecher.

Sinon pour le surequipé c'est certe plus stereotypé mais j'essaie de l'aborder avec une approche nouvelle (toute les petites reflexions sur sont equipement encombrant).

Voila, donc sinon je vais tenter de corriger les fautes restante et je vais aerer le text.

Merci de vos critiques

Voila, j'ai editer: version corriger et aéré (peut etre pas assez aéré mais j'ai jammais su où sauté des lignes et où ne pas le faire)

Tekmerak a écrit:

alors deja pour le correcteur ba c'est fait donc visiblement sa ne suffit pas. Et c'est marrant mais j'etait presque content (au niveau du nombre de fautes).

Le correcteur ne fait pas tout ; après, il suffit juste de faire fonctionner sa logique, et ce n'est pas difficile. Par exemple, prenons (presque au hasard) une phrase de ton texte :

Un maigre feux brûlais dans la cheminée, un feu de sapin dont l'odeur acre et la fumée se rependait dans toute la pièce.

Combien de feux y a-t-il ? Un seul. Dans ce cas, pourquoi mets-tu un "x" à la fin ?
Combien de feux y a-t-il ? Un seul toujours ! Dans ce cas, pourquoi mets-tu "brûlais" ? A la troisième personne du singulier, ce n'est pas très souvent un "s" que l'on trouve à la fin du verbe, mais autre chose... Ici, en l'occurrence, un "t".
Et pouf, voilà qu'après, tu écris "un feu" sans "x". Comme quoi tu sais qu'il ne faut pas de "x". A la rigueur, quand tu écris, je veux bien que tu ne le vois pas ; mais à la deuxième lecture (car il FAUT se relire, par respect pour son texte et pour ceux à qui on le présente), tu devrais tilter si tu es un tant soit peu concentré.
Bon, après, on écrit plutôt "âcre" mais les accents, c'est difficile, ça s'apprend, ça se retient...
"rependait" ; si tu le prononces, tu vois qu'il manque un accent (même s'il faut se méfier de la prononciation et de l'orthographe, les deux ne font pas toujours copain copain). Donc tu écrirais plutôt "répendait", et là, le correcteur te souligne, parce que ce n'est pas "répendre" le verbe, mais "répandre". Enfin, combien y a-t-il de choses qui se répandent ? Deux : l'odeur, et la fumée. Donc il faut accorder, et écrire "répandaient".

Ce ne sont pas des fautes difficiles ! Il faut se poser les questions, comme les tout petits : "c'est qui le sujet ? singulier ? pluriel ? féminin ? masculin ? Donc je l'accorde avec le verbe."
Après "les", "des", "ces", bref, après des déterminants au pluriel, on met généralement un "s".

Rien que ces deux petits trucs sont tout à fait applicables.

Un troisième, c'est le "sa". C'est un article possessif, qui se place devant un nom (sa table, sa pomme, sa musique, ...). Mais quand tu veux dire "cela", tu écris "ça". D'ailleurs, le meilleur moyen de ne plus faire la faute, c'est de te poser la question "est-ce que je peux remplacer par "cela" ?"
Exemples : Je lui ai donné sa paie du mois. ---> tu ne peux pas dire "je lui ai donné cela paie du mois" donc c'est bien "sa".
Elle m'a dit ça, c'est fou ! ---> tu peux dire "elle m'a dit cela, c'est fou !" donc c'est bien "ça".

Tu peux le faire, j'en suis sûr !
Plutôt que critiquer le plus de textes possible, tente de corriger ces fautes-là.

Sinon, j'ai essayé de lire en faisant abstraction de fautes (ce fut très dur, oui oui oui) et c'est d'autant plus dommage car tu racontes plutôt bien ! L'idée du chien et du cerf, c'était une belle image, par exemple, ça m'a mis dans l'ambiance.

Bon, je n'ai pas réussi à faire abstraction longtemps, donc je me suis arrêté relativement tôt ; si tu corriges, je veux bien reprendre !

(Tentative de chantage XD)

Allez, tu es capable d'y arriver !

m***e alors moi qui etait satisfait de ma nouvelle correction approfondie et bien je vais passez a la troisieme (en esperant que sa soit la bonne)

Bon j’ai lu ces deux chapitres et je trouve de manière générale que le rythme est trop rapide. De plus, comme on a très peu d’indication sur ce que pense le narrateur, ton récit se résume à une énumération froide d’action successives, ce qui malheureusement lasse rapidement. Résultats, il n’y a aucun suspens, a aucun moment je n’ai eu peur pour le narrateur (tout vas trop vite et tu ne nous donne même pas une idée concrète des difficulté que le narrateur pourrait rencontré)

Ensuite, comme l’ensemble de tes personnages n’est pas particulièrement attachant, les rebelles se réunissent dans des auberges qui sentent le vomi, les gardes mangent comme des porcs et violent des femmes, tandis que le héro détrousse les morts, on n’a pas vraiment envi de prendre parti pour l’une ou l’autre des factions…à la rigueur peut importe si le héro meurt je n’ai à aucun moment pu percevoir ses motivation profondes.

Ce qui m’emmène à la remarque suivante, je trouve que les deux chapitres présentés ici sont trop désolidarisés de ton histoire principale (que je n’ai pas lu). A aucun moment tu ne rappelles pourquoi il y a des rebelles ni pourquoi ils affrontent le pouvoir en place, tu ne répète pas non plus si il sont bon ou mauvais, et tu ne mentionne jamais ce que pense le narrateur de tout cela. Ce n’est pas parce que tu as déjà introduit ça plus tôt dans ton récit que tu ne dois pas en reparler régulièrement pour renforcer la trame du récit voire même pour ajouter des précisions sur les enjeux qui poussent ton personnage à agir.

Quelques citations intéressantes:
->« Quelque seconde plus tard le fracas des armes retentissait. m***e, j'avais oublié mon épée bâtarde, mes haches de lancer et mes épées courtes dans ma chambre. J'ai donc prix ma hache a deux mains (oui ça peut paraître con d'oublier ces épées courtes mais de penser à la hache a deux mains bien encombrante mais je n'y peux rien). »

puis
->« Et moi, avec ma hache je voyais déjà la fin, comment tuer quatre hommes avec une hache? Surtout quand on ne sait pas se battre à la hache. »

Là, j’ai vraiment trouvé que le narrateur était idiot d’emporter avec lui la seule arme dont il ne sait pas se servir. Du coups, vue qu’il arrive quand même à trouver en un jour ce que la garde cherchaient depuis des années et à terrasser une tripotée de rebelles tout seul, on se dit qu’il avait vraiment à faire à une bande de bras cassés (aussi bien du coté des rebelles que des gardes). C’est pas vraiment du meilleur effet.

L’ambiance de l’auberge est pas mal décrite

Superbe répétition du mot planques
->"Je connais leurs planques et je peux vous y menez.
-Coi? Déjà? Vous avez trouvé leurs planques en un jour alors que nous sommes dessus depuis des années? " Il était visiblement surpris par la rapidité avec laquelle j'avais trouvé la planque rebelle.

Tu pourrais simplifier
"Je connais leurs planques et je peux vous y menez.
-Quoi ? Vous l’avez déjà trouvé " Il était visiblement surpris par mon rapide succès.

Enfin je te propose d’appliquer le teste du résumé. Si tu peux résumer ces deux chapitres par « Je découvris rapidement la planques des rebelles et les mettaient hors d’états de nuire avec l’aide de la garde » sans que cela ne modifie ton histoire alors peut être que ces deux chapitre ne sont pas essentiels… voir qu’ils risquent de passer pour des longueurs…ça c’est à toi de voir.

Deja merci pour ta critique franche

Alors pour l'attachement: C'est un peu le but, on as pas a prendre partit pour rebelle ou garde parceque se sont tous des "humains".
Et pour le hero il certe moin attachant qu'un gentille paladin et autres mais plus on avance plus ont s'y attache (ces deux chapitre ne participe pas a cet effet)
Et pour ces motivation profonde je ne les aborde pas dans ces chapitres mais je les abordent dans les chapitres precedents et futures (je pense notament a une conversation dessus).
Et je pourais meme rajouter que ce manque "d'humanité" chez les personnages du livre est justement a les rendres plus humains (les gentille chevalier c'est que dans les livres).

Pour la critique de la desolidarisation je n'ai pas grand chose a repondre, enfait quand je lit un livre et que le narrateur repette 10 fois la meme chose sa m'exaspere plus qu'autre chose. Bon et puis les rebelles ne sont ni gentille ni mechant ils ont de bon et de mauvais cotées. Le narateur ne pense pas grand chose de tous sa, il fait ce qu'il doit faire a point c'est tout.
Mais si pour les autres lecteur que moi les rapelle sont essentiel je peux toujour en mettre.

Pour la critiques des bras casser je ne suis pas daccord, il y a nombre de personne superieurement intelligent a la moyenne et negligent, ils vont faire des chose incroyable mais oublié les chose moin importante ou moin complexe.
Ce qui est le cas ici.

Pour l'ambiance de la taverne esque tu peux pressiser s'il te plait?

Pour la planque merci, j'ai modifié.

Et pour le résumé cette scene est plus une scene d'exposition: sont but c'est de montrer ce que peux faire le narrateur et pas specialement de faire avancer l'histoire.

Et de plus il existe nombre de livre de fantasy rencontrant un bon succes dont tous la sage se resumerait en deux-trois phrases.
A et pour le rithme ba il est rapide justement parceque ce n'est pas essentiel alors je ne vais pas y consacrer 50 pages.

PS: Comme sa j'ai l'air de mal accepter la critique et tous sa mais vraiment je remercie tous ceux qui critiques.

PPS: J'ai recorriger le texte niveau syntaxe

En faite je trouve que tu réagit plutôt bien. Je t'ai fait des critiques provocatrices et tu réponds méthodiquement sans te démonter et celons tes convictions …C’est très positif comme attitude.

Pour la taverne, je trouvais que l’ambiance sordide était bien retranscrite.

Voila sinon, tu l’aura compris je ne suis pas vraiment conquis, mais d’autres apprécierons sans doute. L’important de toute façons c’est de croire en ce que l’on fait.

ok, merci pour tes critiques et si jammais tu as du courage jette un oeil au premier chapitre parcequ'ils sont mieux (dumoin ils font avancer le scénario et en apprennent plus sur le narrateur, mais bon sa fait beaucoup de lecture et je sais pas si j'aurai le courage de tout lire si ce n'etait pas a moi (j'ai pas dit que c'etait pas bien hein, j'ai juste dit qu'il fallait se lancer))

Salut apres deux mois d'absence (environs) je revient vous emmerder avec mon histoire de ... (le nombre de point ne correspond pas au nombre de lettre).
Comme j'ai un peu de compassion pour vous je ne poste pas de nouveau chapitre (de toute facon personne le les lirais.) Je me contente de vous conseiller le lecture du debut de mon roman :p et j'ai aussi rajouter un passage au dernier chapitre poster (la passage souligné) car certain d'entre vous je ne donnerai pas de nom (c'est ecrit juste au dessu de toute facon) donc certain ce sont plain de la facilité du dernier combat. J'espère que ce passage repond bien au critique. De plus le le texte (seulement les deux chapitre ici) a subbit une petit correction suplementaire niveau fautes. Pour ceux qui sont captiver par ces deux chapitres (ba coi vous marrer pas) ils peuvent lire les chapitres precedents qui sont dans le sujet projet livre. Et ils peuvent ausi me demander de poster les chapitres suivant.

Bon, je ne resoste pas a l'envie de vous en redonner Non ne me remercier pas

Bon alors chapitre important : on rencontre une chose mportante dans le reste de la trame du récit. Et on a droit a une conversation nous en apprenant plus sur le hero. Pour finnir on apprend le nom du hero.

Sa vous donnes envie hein?



Chap. 9

Le retour fut long et monotone, j'ai passé le voyage a mettre en forme mon aventure à Margar pour le journal.
Je commençais à m'habituer au cheval. La prochaine fois je pourrais peut erre marcher normalement après la chevaucher.
Je suis arrivé de nuit, surprise les portes de la ville étaient ouvertes. Par contre pas celle du domaine des dieux (aucun rapport avec asterix).
En arrivant devant les portes closes, je suis descendus de cheval. Je suis aller frapper la porte. Quelque seconde plus tard mes deux gnomes préférés arrivaient. Je crois d’ailleurs avoir oublier de vous les décrire.
Pour que vous suiviez ce sont Klurk et Kulrk. Ils sont plus petit que la moyenne, vraiment plus petit. Leurs peaux a un teint grisâtre. Leurs yeux sont beaucoup trop grand par rapport a leur tête. Voila, j’espère que ses petites précisions vous aideront a vous représenter la situation (je n'ai jamais été doué pour les descriptions).
Donc, les deux petits hommes sont arriver, ils ont ouvert la porte.
J’ai pris mon cheval par la bride et l’ai mener a l’intérieur. Les deux palfermier sont alors arriver, toujours aussi presser. Ils semblait issu du même moule que les deux frères. Après avoir échanger quelque salutation de politesse avec Klurk , lui et son frère mon mener a ma chambre.
La chambre était comme a mon départ: propre, ranger et spacieuse. Je me suis coucher heureux de pouvoir enfin me reposer tranquillement.
Il est évidant que mon repos fut de courte durer, c'est vraie quoi, me laisser dormir jusqu'a midi sa n'aurait pas été drôle. Ce sont Klurk et Kulrk qui ont eux le privilège d'interrompre mon profond sommeil. J'ai grommelé quelques instants mais leur ténacités ma bien pousser a abdiquer. " Désoler mais, il faut que vous vous rendiez dans la cour." Je ne leurs ai même pas demander pourquoi, je n'avais pas envie de parler et puis je le saurait bien assez tôt.
Étant donner l'emplacement du soleil il devait être sept, huit heure, l'air était frai
. Au centre de la cour se tenait un homme, ni jeune ni vieux. A mon arriver il me rejoignit. "Vous devez être l'agent d’Ervente »
Elle devait s’appeler Ervente, c’était plausible étant donner que seulement quatre dieux soit des femmes et que toutes sauf Ervente étaient blonde. J’ai donc opiné du chef.
« Les nouvelles sont mauvaises elle vous envoi a l’est. Vous devez retrouver sa compagnie personnel a la tour de garde d’Alcarium, ensuite vous partirez pour l’Alrania, vous et la compagnie recevrez des instructions sur place. »
Super, je venait d’arriver et je devait déjà repartir. Au moins cela prouvait qu’elle me faisait confiance. La tour de garde d'Alcarium était en Alcar, oui les dieux, dans leurs soucies d’être claire n’ont pas fait preuve de beaucoup d’imagination dans les noms des lieux. « A oui, une dernière chose, elle veux que vous partiez immédiatement. » Moi, qui commençait déjà à m’ennuyer.
Le voyage qui s’en suivit fut une fois de plus long et monotone. Ce qui me laissât le temps de réfléchir quelque peu a ma situation actuelle.
J’était un des agents d’Ervente, pas la plus puissante déesse ni la plus influente, dans la mythologie ancienne il y avait dix dieux: Le dieu de la guerre, le dieu du courage, le dieu de la prospérité, le dieu des rois, le dieux de la mer, le dieu des héros, le dieu des animaux, le dieu de la culture, le dieu de la mort et pour finir celui des arbres. Ervente était celui des arbres. Son importance dans la mythologie était plus que limité, et le nombre de culte qui lui était voué était le plus faible. Il est vrai que je ne vois pas qui pourrait prier pour les arbres si ce n’est un bûcheron.
Toujours est il que depuis leurs arriver Ervente n’avait pas été le plus inactif des dieux, ni le plus inutile. Elle avait par une certaine maîtrise de la ruse et de la stratégie mené les troupe des dieux a la victoire, hélas ses pouvoir magique était les plus faibles de la bande. Ce n’était peut être pas la déesse la plus influente ni la plus puissante mais c’était ma déesse, et j’allais devoir faire avec. J’ai toujours eu de l’ambition et j’avoue que servir un dieu serai-ce le moins puissant me plaisait assez, en me débrouillant bien je pourrait devenir un des ses meilleurs agents mais d'un autre cotée ce qui était bon pour mon orgueil ne l'était pas forcement pour ma santé. Conclusion le mieux a faire était d'obéir a Ervente et de s'enfuir des que la possibilité se présentera.

Après une dizaine de jour de chevauché dans les marais de Parmitie, je suis enfin arriver a la tour.
Un projet assez récent qui n’était pas encore achevé, la tour était en faite une mini forteresse a elle seul, son diamètre énorme, permettait d’accueillir une écurie, une armurier, une taverne, des dortoirs et quelque magasins. La tour n’était pas encore achever bien que sa hauteur soit déjà, forte imposante.
Après avoir laissez mon cheval aux écuries je suis allez a la taverne où selon les palfermiers, la compagnie se trouvait.
Elle y était, une centaine d’hommes arborant le blason d’Ervente si trouvait. Ce blason représentait une hache a double tranchant (dieu des arbres donc hache bûcheron arbre...) planté dans un crâne (le but d’un blason est d’effrayer les ennemie, alors elle n’allait pas mettre une hache planter dans un arbre).
La compagnie n’était pas réputée pour la technique individuelle de ses hommes, ni pour leur organisation enfaîte la compagnie n’était pas réputé du tout. Bien qu’ayant pris part a de nombreuses batailles elle reste la compagnie la moins efficace du moins au corps a corps par la moins efficace j'entend la moins sollicité, la moins reconnut enfin la moins... .
L’homme qui semblait être leurs capitaine était assis dans une table au fond avec des hommes qui était sûrement les officiés.
C’était la seul table dont les occupants étaient a peu près sobre. Je me suis directement adresser a leur capitaine. « Je suis l’agent que Ervente a envoyer." Une entrée en matière certes direct, mais bon moi et les conversations. La plupart du temps un hochement de tête me suffit.
Le capitaine m'observa quelques instant, il était de taille moyenne, ces cheveux était blanc, barbe aussi, elle était assez courte, coupée en carré. Ses yeux eux était d'un bleu profond. Son visage était celui d'un vieux sage. Du moins si on pense que les vieux sage ont des visages.
« Ha, nous vous attendions, nous partirons demain, le temps que mes hommes dessoulent. Quelle est votre nom? » Mon nom, je ne l’ai pas encore dit. Vous, lecteur ne connaissez même pas mon nom.
« Je me nome Tekmerak, quel est notre mission au juste? » Tekmerak n’était qu’un nom d’emprunt, le nom qu’un voyageur ma donné il y a bien longtemps. Ce nom était en Shinien, une langue disparut depuis dix mille ans. Je ne connaissait pas sa signification, mais j’aimais bien sa sonorité. Mon vrai nom, je l’avait oublié a force de le cacher, car comme vous le savez sûrement, le nom que l’on nous donne a la naissance a un pouvoir particulier, tout magicien connaissant votre nom peu vous infliger de terrible choses.
«Tekmerak? Du shinnien si je ne m’abuse » J’avoue avoir été surpris car cette langue était si ancienne que le simple fait qu’il en connaisse l’existence était incroyable, j’ai hoché de la tête.
"Et bien, nous devons jouer un rôle primordial dans la conquête de l’Alrania." C'est ce qu'on dit.
"Notre première mission consistera a passez derrière les lignes ennemie et a saboter les fermes, incendiez les villages, intercepter les nouvelles recrues avant qu’elle n’arrive au front. Pendant ce temps, l’armée principale enfoncera les ligne ennemies afin d’atteindre leur capitale. Nous les rejoindront là-bas et participerons au siège. »
En gros nous allions jouer les parasites, un rôle plus que normal venant de la part de la compagnie d’Ervente, elle était très porter sur ce genre d'opération et ne s’intéressait guère au combat de masse.
Comme prévue nous somme repartit le lendemain. Le capitaine m'avais demander de chevaucher a ces cotée en tête de colonne. Durant la première heure de voyage il ne m'a pas adresser la parole puis il a enfin décider d'ouvrir la bouche "Si Ervente vous a envoyé ici c'est qu'elle nourri une grande confiance en vous. Une confiance inhabituelle de sa part surtout après si peu de temps de servitude." Je doit avouer que le même problème me troublait depuis quelque temps, et que je n'avait toujours pas le réponse. J'ai donc répondu par un superbe grognement.
"J'ai apprit que vous l'aviez aidée a s'échappée d'une prison et que vous aviez mâté la rébellion de Margar. Du bon boulot a ce qu'on ma dit." J'ai encore grogné.
"Elle ma demandé de vous intégrer à la compagnie, en attendant que je vous trouve un post adapter a vos capacité vous serez sous mes ordres, personnes d'autre que moi ne pourras vous donnez des ordres mais vous ne commanderez personne non plus." Il ma observé, j'ai acquiescé.
"Vous savez jouer au jeu de go?
-Non.
-Ha, il faudra que je vous apprenne un jeu des plus intéressants." Mouais, c'est toi qui le dit.
Deux heure plus tard il reprit la parole " Es que vous avez des rêves?" j'ai réfléchis quelque instant avant de répondre, il me prenait de cour
"Je... des rêves ? Oui comme tous le monde mais je ne m'en rappelle que rarement."
Il a sourit "Non, des rêves, des objectifs, des buts dans la vie.
-Ha, et bien... non.
-Aucun rêves? Pas le moindre objectif? Pas même une subtile envie qui vous pousse a vous lever le matin ?
-Je, non. Je ne crois pas, si je me lèves le matin c'est parce que je n'ai pas l'intention de rester coucher toute la journée.
-Le croyez vous vraiment, vos acte ne serait donc motiver que par une envie de... d'action. Vous ne vivriez que pour tromper l'ennuie?
-Non, je vis parce que je vis, je vis parce que je n'ai rien d'autre a faire et que quitte a choisir je préfère rester en terrain connu.
-Alors vous vivez parce que vous craignez la mort?
-Non, je ne crains pas la mort. Mais je pense qu'elle arrivera bien assez vite et qu'elle sera peut être encore moins intéressante que la vie.
-Pourquoi croire sa? Pourquoi la mort serait elle moins intéressante que la vie? Qu'en savez vous?
-Ce que j'en sais? Je sais que la plupart du temps la situation future est pire que la présente.
-Hé bien, en voila une étrange philosophie.
-Elles n'a rien d'étrange. Regarder par exemple les rébellions. Connaissez vous beaucoup de rébellion qui est permis de mettre en place un pouvoir plus juste que le précédent?
-Il y en a eu, la rébellion que menèrent Erctonack et Slerkus, ils instaurent un royaume juste et clément.
- Oui, c’est ce que raconte les livres, mais combien de fois les méchant furent ils les historiens? Combien de fois les juste furent ils les adversaires? Et combien de fois la réalité ne fut pat altérer par le temps?
-Peu de fois en effet. Mais cette fois il en fut tell qu’il est écrit. Du moins pendant les cent premières années. Ajoutât il d'un ton triste» Il semblait sur de lui, trop sur de lui, il ne semblait pas être le genre d’homme a ce laisser berner par des historiens, non si il l‘affirmait c‘est qu‘il en avait la preuve. Mais comment?
« Mais pour en revenir a ma question, ne nourrissez vous même pas un idéal?
-Un idéal, vous parler de l’idée abstraite qu’on ne peux mettre en place concrètement? Non, les forts opprimeront toujours les faibles, les hommes seront toujours envieux de leur voisin et les rois voudront toujours contrôler plus de territoire et de sujet. Cela est inscrit au tréfonds de l’âme humaine, que vous soyez pauvre ou riche tout le monde rêve de pouvoir, tout le monde. Et le jour ou cela changera... C’est que plus aucun humain ne foulera cette terre.
-Feriez vous donc partit des ces... Humain?
-Je suppose que oui.
-Mais alors, ou sont vos désir de pouvoir?
-Je... » Saleté de vieille homme retors. J’aurait du sentir le piège venir. Mais m***e j’allais pas rester la dessus « Je, je ne prétend pas ne pas êtres humain, mais peut être y a t il moyen de faire taire son âme. Peut être qu’elle peut vous quittez elle et tout ces désir. » Ha, dans les dent vieille branche. Quoique, en y réfléchissent j'aurais pus trouver mieux. Enfaîte c'était même nul. La bonne réponse aurait été : quand mes désir entre en conflit avec ma survit je choisit la survie.
« Peut être, ou peut être vous mentez vous a vous même, tout le monde a des rêves, et tout le monde ment, des fois a soit même,des fois aux autres et même des fois au deux. »
Le reste du voyage c’est dérouler sans que nous ayons d’autre conversation. Je crois que nous attendions tous deux que nos argument mûrisse dans l’esprit de l’autre et qu’il finissent ainsi par se ranger de notre coté. Nous avons chevauchés toute la journée, nous ne nous somme même pas arrêtés pour manger. Nous avons finit par faire halte. Nous nous sommes arrêtés a un avant poste de l'empire, situé sur la frontière entre l'Alrania et l'Alcar. Un vieux bâtiment, entretenu par une poignée de garde indiscipliné qui n'étaient semble t il pas capable d'utiliser des balaies. La nuit a étés calme.
Nous somme repartit au petit matin.

Salut, bon le chap 12 de mon histoire, pour ceux qui n'ont pas suivit voila un petit resumé pour comprendre :

Tekmerak (le hero) fait partit de la compagnie d'ervente (ervente est un des dieux ("les dix") qui gouvernent le pay).
Tekmerak est avec sa compagnie entrain d'envahir un autre pays (l'Alrania)
mais a la fin du chap 11 il se fais capturer.



Le sol etait en pierre,
le matelat etait en laine.
Les fenetres etaient vue sur la plaine
qui entourait la grande citée

La ville se preparait a la guerre,
pret a luter contre mes maitres
et moi separé de mes paires
je passait mes journées a regardé.

Ainsi qu'a écrire des poèmes bidons.
J'étais enfermé dans cette cellule depuis une semaine, les seuls contacts que j'avais eu étaient avec l'homme chargé de me porter mes repas.
Il n'était d'ailleurs pas très bavard.
Les journées sont longues quand ont a rien a faire, et encore plus qu'en on voudrait faire quelque chose mais qu'on est figé dans l'inaction.
La plupart du temps "j'espionnais" les soldats de la ville afin de pouvoir transmettre le plus d'informations possible a mes "alliés" quand je les rejoindrais. Si jamais je les rejoignaient et si la ville dans laquelle je me trouvait était bien la capitale de l'Alrania.

Après mon enlèvement je m'était réveillé dans cette chambre, et depuis la situation ne c'était pas clarifiée.
Les défenseurs préparais la ville a soutenir un siège, ils engrangeait les récoltes, entraînaient les citoyens, dressaient des barricades.
La citée était assez grande bien que de loin inférieur aux récente villes ou j'avais séjourné.
Ses murailles était pour ainsi dire standards.

Une semaine, j'étais la depuis une semaine.
Je ne me doutais pas le moins du monde de la raison qu'avaient les ravisseurs de m'enlever.
Ils m'avaient laissez mon journal et mon matérielle d'écriture, sûrement un indice sur leurs intentions mais je ne voyais pas.
Je me trouvais dans le donjon central, surplombant la ville.
L'air était frai, et il n'était pas rare qu'une petite brise fraîche vienne me porter nombre d'odeur venant de la ville: allant de l'odeur du pain chaud du matin, à par grand beau temps l'odeur des déchet macérant sous le soleil.

Après cinq jours de plus, un homme est venu me chercher, un homme normal sans signe particuliers.
Après avoir déambulé quelque temps dans de long corridor nous avons finis pas pénétré dans une grande pièce, en son centre ils y avaient des tables, partout au mur était placé des étagères, remplient de livres.
C'était sûrement la bibliothèque de la ville. Plusieurs porte donnait accès a d'autres pièces remplient de livres ayant des portes donnant elles même accès a d'autre pièces...
Mon guide a fermé la porte derrière moi, et c'est assit sur un tabouret près de la porte.
"Vous pouvez faire ce que vous voulez tant que vous ne quittez pas la bibliothèque."
Dans sa voix on sentait une certaine lassitude, c'était compréhensif il allait passez toute la journée a me regarder lire des livres.
Je me suis approché d'une étagère et ai pris un livre au hasard. "Tactique militaire de L'armorie" Un livre oublié parlant des tactiques oubliés d'un pays oublié.
J'ai prit le livre voisin qui n'était autre que "L'art de la guerre Meloponais »
Après quelques recherches j’ai compris le système de rangement de la bibliothèque:
Chaque étagèrent abordait un thème particulier.
La plupart du temps les thèmes prenaient plusieurs armoires.
Les thèmes étaient variée, passant de la stratégie de tell pays à la géographie de tell pays ou bien de la philosophie celons ..., il y avait même une section annal/biographie.
La bibliothèque était extrêmement vaste et regorgeait de livre intéressent.
J’ai passez toute la journée sur la géographie et l’histoire de...
L’histoire m’avait toujours intéressé et la j’apprenais un tas de choses intéressantes ,qui pour la plupart était oubliées du grand publique.
Le lendemain je suis retourné a la bibliothèque et ai cette fois étudié les annales.
Ils parlaient soit de différente compagnies de mercenaires soit de serviteurs spéciaux de roi dont l’unique tache était de retranscrire leur vie.
Quelques livres plus rare était écrient par des personnages solitaire écrivant pour d’obscure raison.
(Tout comme moi)
C’était vraiment passionnant, je passais mes journées la tête plongée dans mes livres oubliant le temps et mes soucies.
Un premier mois c’est écoulé ainsi, puis un deuxième, mais toujours aucune trace de mes alliés, a croire que j’étais dans la mauvaise ville.
J’étais autorisé a ramener des livres dans ma cellule ce que je faisais au détriment de mon temps de sommeil.
A force de fouille j’avais trouvé un livre unique, a la valeur inestimable. C’était le journal de Richard Philipe Marson.
Un des plus grand stratège de son temps.
Il avait vécu il y a bien longtemps, pendant les invasions du pays par les barbares venues des confins du monde.
Il avait été le seul homme a résisté un tant soit peu.
Durant la bataille de Mont Ceauvaut il avait battu quatre milles barbares avec seulement deux milles hommes.
Mais les barbares étaient trop nombreux.
Avec ces homes il s’était réfugié a Pirkos (ancien nom de Pirkatia) et avait alors organisé la résistance de la ville.
Avec milles hommes ainsi que nombre de citoyen il avait réussit a tenir tête au million de barbares pendant deux mois.
Puis par un tunnel secret ils c’étaient enfuis, lui, ses hommes, et les habitants.
Ils avaient ensuite organisés les rebelles.
Rendant le règne des barbares le plus désagréable possible.
Arfiturius le vieux mage l’avait alors rejoint et ensemble ils avaient réussit a reprendre le contrôle du pays.
Durant la guerre des cinq, Richard Philipe Marson avait de nouveau fait paire avec le mage pour repoussé les puissants magiciens et avait encore une fois réussit grâce a des tactique original et efficace. Il avait finit sa vie en tant que chef des armées de l’empire.
Dans son journal il mentionnait toute ses tactiques et elles étaient réellement impressionnantes.
Un véritable génie.
Ce livre était un exemplaire unique dont le monde ignorait jusqu’a l’existence.
Il y avait aussi les annales d’une compagnie de mercenaires dont le monde ne se souvenait plus, cette compagnie avait vécu trois siècle et c’était forger une réputation extraordinaire.
Ses tactiques étaient elles aussi très efficace, ainsi que son organisation.
Des livres comme sa il y en avaient des millier, tous plus intéressent les un que les autres.
Je lisait un traité sur le commerce Artinien quand un nouvelle ami est entré.

Un vieille homme au long cheveux blanc, ces habits en soie laissait deviner une certaine importance.
Mais ce qui laissait vraiment deviner son importance c’était sa prestance, une aura de charisme l’environnai.
D’un pas lent il s’est approché de moi avant de me dire d’une voix douce.
« Je suis désolé d’avoir du employé la force pour vous faire venir mais c’était la seul solution. Je me nome Philatius, souverain d’Alrania. Et vous vous êtes Tekmerak, agent de Ervente ainsi qu’analyste a ces heures perdu. Il y a quelque mois vous étiez encore un vulgaire prisonnier dans un sombre cachot, mais Ervente est venue et vous vous êtes évadé ensemble. Ensuite vous avez encrasser la rébellion de Margar. Pour finir vous êtes partit avec sa compagnie afin de nous pourrir la vie.
-Esque votre petit numéro du « je sais tout sur vous » était vraiment indispensable?
-Je ne sais pas, c’est a vous de me le dire. Êtes vous impressionné ? » Je l’aimais bien ce vieux.
Puis il reprit :« D’ici deux jour, l’armée de l’empire sera la. Ils ont eu quelques "problèmes" avec les ponts qu’ils voulaient traverser. Vous pourrez les rejoindre si vous le voulez.
-En voila une gentil proposition, ou ce cache le "seulement si"?
-Je ne vous demande que de retranscrire cette bataille dans votre journal, d’ici une semaine le peuple d’Alrania n’existera plus, et tous les livres en parlant seront détruit.
Tous comme les livre de cette bibliothèque l’auraient étés si mes lointains ancêtres n’avaient pas eux la sagesse de les cacher.
Je veux qu’il reste une trace de mon royaume, je veux que les gens se rappelle que certain peuples se sont dressés face au dieux et qu’ils se sont battus jusqu’au bout. Je veux que le monde sache qu’il y a en ce monde des hommes prêt a mourir pour leurs libertés.
Et ce vous pouvez m’aider a le faire. » J’ai acquiescer, j’allais l’écrire le récit du dernier combat d’un peuple libre.
Mais j’était certain d’une chose, il ne m’avait pas enlever que pour ça.
Il a dut remarquer ma perplexité car il a rajouté. « Il y a autre chose, tout ces livres.
Si ils ne sont pas détruit pendant le siège, les dix les détruirons, ils détruisent tout les livres d’histoires. Je veux que vous les protégiez.
-Que je les protégent des dix ? Facile, j’hésite entre fuir discrètement traînant avec moi une centaines de chariots remplient de livres ou bien égorger les dix un par un afin de les empêcher de toucher a ces livres.
-Prenez la première option. » Il n’avait pas du comprendre que je blaguait.
« Il existe un tunnel, trop proche des adversaires pour que nous puissions fuirent mais par contre nous pouvons y cacher les livres, puis une fois le siège finit, vous pourrez vous et la compagnie d’Ervente allez rechercher les livres et les mètres en lieux sur, votre capitaine me semble être un homme sage, il comprendra.
-Mon capitaine est peut être sage" Ce vieux juge vite
"Mais toujours est il que cette compagnie est la compagnie d'Ervente et pas la compagnie du capitaine. Conclusion vous nous demandez de désobéir au propriétaire de la compagnie. Vous avez déjà entendu parler de l'humanité des dix ? Et bien moi non et je n'ai pas l'intention de me les mettre a dos. Surtout pas pour sauver quelques livres."
J'aime bien lire mais faut pas déconner.
Le vieux a soupiré, il se mit a trembler pendant quelques secondes puis repris le contrôle de son corps, se redressa, fit quelque pas de plus dans ma direction puis d'une voix douce repris.
"Vous êtes ainsi donc un lâche. Croyez vous que la lâcheté vous suffira pour survivre dans ce monde?"
Je n'en suis pas sur mais je l'espère bien.
"Croyez vous que votre vie est plus importante que cinq siècle de savoir?" Dit comme sa... Mais oui.
"Croyez vous que vous avez le choix?"
Évidement, j'ai d'ailleurs faix le mien.
"Laissez moi vous expliquer une bonne chose: vous êtes en vie parce que j'en ai décidé ainsi, si l'envie m'en prenais je pourrais vous faire exécuter sur le champ."
Changement de stratégie.
" Si vous ne m'aidez pas vous ne m'êtes pas utile et si vous ne m'êtes pas utile a quoi bon vous garder en vie?
- Pour que je relate la chute de ton peuple vieil homme"
Le vieux a marquer un temps d'arrêt, je marquait un point. Pour montrer qu'il était maître de la situation il plaça une dernière réplique lui assurant le dernier mot
"Ne jouez pas au plus malin avec moi."
Sur ce il sortit de la pièce.

Ainsi donc tous ces livres seraient bientôt brûler, j'avais intérêt a sélectionner quelques pièces rares et les cacher dans mes affaires, afin de garder quelques livres uniques que j'ai découvert ici, je pense notamment au journal de Richard Philipe Marson.
La journée se termina comme les autres, de même pour le lendemain mais a l'aube du jour suivant les choses étaient différentes: Devant la ville se tenaient 60 000 hommes, ils étaient arrivés pendant la nuit, ils commençaient maintenant a monter leurs engins de siège.
D'ici demain, trébuchets, mantelets et beffrois serait prêt a servir.
De leurs cotée les défenseurs, courraient en tout sens, cédant a la panique.
Comme d'habitude mon ami est venu me chercher pour me mener a la bibliothèque.
En deux jours j'avais réussit a cacher 5 livres dans mes affaires.
J'aurais bien aimé doublé mon score aujourd'hui.
Alors que je finissais de choisir quelle serait les dernier livres que je prendrai, le vieux est revenue. "Avez vous changez d'avis?
-On ne devient pas suicidaire en une nuit.
-Ho mais si, puisque si vous ne m'aidez pas vous allez mourir avec nous, dans le feu de l'action personne ne prêtera attention a vos: "je suis avec vous." et vous mourrez avec le peuple que vous avez refuser d'aidez.
-Ce n'est pas le peuple que j'ai refuser d'aider mais vous.
-J'ai été designer par les dieux pour représenter le peuple.
-Les dieux n'ont rien a voir avec cela, vous êtes juste le rejeton d'une pathétique lignée d'ordures consanguines prétendant êtres les élues de dieu.
Votre peuple n'a que faire de vos livres, pas plus d'ailleurs que vous ne vous souciez d'eux, si vous m'avez demandez de raconter la chute de votre peuple c'est uniquement parce que la chute du roi aurai fait de vous un personnage trop mégalomane pour être respecter. Et si vouliez sauver ces livres c'est uniquement pour qu'un jour on parle de vous comme un érudit, l'homme qui sauva savoir et connaissance.
-Je...Je" La colère déformait ses trait, il tremblait au point de tenir difficilement debout. "Je... je devrais vous faire décapiter sur le champ."
Mon ami avait d'ailleurs sortit son épée et se tenait maintenant en position de garde.
"Mais, je ne le ferais pas, vos ami le feront pour moi. Rammener le dans sa cellule!"
Sur ce il est sortit, tremblant de rage. J'ai récupéré mes livres et ai suivit le garde.
Étrangement il n'objectiona pas au fait que j'emporte des livres.
Il verrouilla la porte de ma cellule derrière moi.
Après avoir passez quelques heures a lire, et a écrire mon journal je me suis finalement couché.
Le sommeil fut dur a trouver et facile a perdre.

Tekmerak, je sais que c'est ennuyeux à mourir la relecture mais c'est impossible de lire tes textes en l'état. Bon sang corrige tes fautes. Aucun je dis bien aucun éditeur ne fera l'effort de lire plus de deux lignes. C'est ce que tu veux?
J'avoue que j'aime bien ton style et je trouve dommage que tu gaches ainsi ton potentiel...

J'ai relu mon texte trois fois avant de poster
Et tres franchement niveau fautes je trouve que je me suis pas mal debrouillé ...
Bon et puis pour la maison d'edition j'y suis pas encore...

Je vais tenter de gommer encore les fautes mais sa va etre dur.

Voila, j'ai recorigé en esperant que sa suffise... (Normallement il ne reste presque plus de fautes)
Je ne sais pas ce que vous avez a ne pas réussir a lire les textes mal orthographiées, personellement sa ne me pose pas de probleme

Les fenetres etaient vue sur la plaine`"
j'ai du mal à comprendre. Avaient vue sur la plaine ou bien étaient vues de la plaine?
MatelaS

La ville se preparait a la guerre,
pret a luter contre mes maitres"
La ville se preparait à la guerre,
prêt à lutter contre mes maîtres

quand tu dis prêt tu parles du héros ou de la ville?
Et vous vous êtes Tekmerak,
je crois que tu peux supprimer un vous c'est plus léger.

J'ai récupéré mes livres et ai suivit le garde. "

et suivit plus facile car évite le é é.
Tek, mon vieux tu as du boulot sur la planche. Sérieux tu es en quelle classe? Tes profs s'arrachent pas les cheveux?

Bon allez finissons sur une note optimiste c'est sympa, tu tiens une intrigue qui se tiens toutefois le ton vulgaire de ton personnage me chagrine beaucoup car je trouve qu'il perd en crédibilité. On dirait un gosse mal dégrossit.

J'attends une vraie correction pour te donner un jugement définitif.

Après quelques recherches j’ai compris le système de rangement de la bibliothèque:
Pas faux mais je dirais plutôt je compris ou j'avais compris.

Après quelques recherches j’ai compris le système de rangement de la bibliothèque:
Chaque étagèrent abordait un thème particulier.
La plupart du temps les thèmes prenaient plusieurs armoires.
Les thèmes étaient variée, passant de la stratégie de tell pays à la géographie de tell pays ou bien de la philosophie celons ..., il y avait même une section annal/biographie.
La bibliothèque était extrêmement vaste et regorgeait de livre intéressent."
Pourquoi ces retours à la ligne qui perturbe le lecteur?

Rah, j'ai menti je ne resiste pas
Des livres comme sa il y en avaient des millier, tous plus intéressent les un que les autres.

Des livres comme ça il y en avait des milliers, tous plus intéressants les uns que les autres.

quand ont a rien a faire, et encore plus qu'en on voudrait
ä faire quand on voudrait.
Bon j'arrête là les corrections ortho... Il y en a trop

L'air était frai, et il n'était pas rare qu'une petite brise fraîche "
répétition de frais

partout au mur était placé des étagères, remplient de livres.
Placé est bizarre dans ce contexte, suspendues peut-être

Bein je suis en premiere, et ba j'immagine que oui.

Sinon ba pour les fautes je vais tenter un quatrieme passage mais bon je promet rien ...


"j'ai du mal à comprendre. Avaient vue sur la plaine ou bien étaient vues de la plaine?"
Ba j'etait convaincu que etaient vu sur la plaine sa se disait.

La ville se preparait à la guerre,
prêt à lutter contre mes maîtres

ba je parle de la ville quand je dit pret.

Bon, je corrigerai tout sa mercredi (du moin j'essairai)

Allez ne te décourage pas. Mon fils aussi est en première et il rame aussi. Mais vous devez au moins connaître le béaba.

Si c'est la ville elle est prête à lutter-