Projet livre

Prologue :

Le jour, la chaleur était suffocante, la nuit, le froid infligeait sa douloureuse morsure. La vie était longue et monotone, de temps en temps un hurlement d'agonie venait briser le lourd silence qui s'était instauré. L'air empestait le sang, la sueur, la crasse, l'urine et la mort. Le bâtiment en lui-même n'avait rien de redoutable, ce n'était qu'une vieille battisse en pierres usées et noircies par le temps. Les cris raisonnaient sur les murs de pierre et traversaient tout le bâtiment, déchirant l'âme de toute personne se trouvant à portée.

Les occupants de ce triste bâtiment vivaient au rythme long et monotone du bâtiment. On dit que l'espoir fait vivre, mais ici l'espoir n'existait pas. Les locataires se traînaient à leur tâche tels des fantômes, leurs âmes, leurs espoirs et toute leur joie, ils les avaient perdues en entrant ici.
Pour la plupart ils ne vivaient encore que parce qu'ils n'avaient pas su trouver le courage de mettre fin à leur vie.

C'était une petite salle sombre dont la couchette occupait la moitié de sa surface, la couchette ne se résumait qu'à une simple planche de bois posée a même le sol. Les dalles de pierre du sol étaient en usées et recouvertes de poussière, de crasse et de petits morceaux de roches.
Ici et là, on pouvait remarquer une tache de sang. Les murs, eux semblaient réellement accuser le poids de l'âge, on percevait de nombreux trous creusés par des prisonniers désespérés qui n'avaient même plus d'ongles à force de tenter d'ébrécher ce mur.

Mais à l'évidence, aucun n'avait pu mettre son oeuvre à terme, peut-être les avaient ont pris sur le fait, ou peut être avaient-ils perdu tout espoir de s'évader et avaient laisser tomber d'eux-mêmes cette tâche impossible ne épaisse porte de chêne permettait de sortir ou d'entrer. Elle aussi, avait vécu. Ses gonds rouillés et sûrement jamais graissés, grondaient, grognaient, grinçaient et hurlaient à chaque ouverture. En Ertickos, la justice était assez simple à comprendre, au moindre crime commis, elle offrait un aller simple pour les cachots.
Comme beaucoup de monde ici, je n'avais guère plus d'espoir d'évasion ou de libération salvatrice,
je me contentais de vivre au jour le jour, ne pensant pas à mon avenir si je pouvais l'éviter.
Le pire était de sentir mon odeur, je n’avais pas pu me laver depuis que j’étais arrivé et mes vêtements s'étaient imprégnés de l'odeur ambiante.
On dit que l'isolement peut rendre fou, et que le seul moyen de rester sain d'esprit est de toujours garder un contact avec la réalité.
En arrivant dans ma cellule j'avais trouvé un encrier, plein, une plume et un manuscrit vierge.
Alors afin de ne pas finir à moitié fou en train de me bouffer une jambe, j'ai décidé d'écrire un journal de bord, ce journal de bord.

Premier chapitre

J’étais allongé sur ma couchette, en train d’essayer de planifier un plan d’évasion (chose que je faisais depuis mon arrivée ici mais qui n’avait pour l’instant rien donné, d'un autre côté je ne me berçais pas d'illusions, je savais que je sortirais d'ici mort et pas avant. Le fait de planifier un plan d'évasion était plus une façon de m'occuper l'esprit qu'autre chose) quand des bruits de pas me firent sortir de ma léthargie, des gardes approchaient, ce n’était pas l’heure des corvées et la seule autre raison qui poussait les gardes à venir ici n’était pas des plus réjouissante. De temps en temps ils torturaient un prisonnier pendant plusieurs heures juste pour se distraire. Je me suis raidi, les pas s’approchaient de ma cellule. Chaque pas résonnait dans mon esprit comme un puissant coup de marteau. La porte de la cellule sur ma gauche par rapport à la porte s’est ouverte, j’ai poussé un soupir de soulagement, puis me suis replongé dans mes rêves d’évasion.
Quelques minutes plus tard j’ai entendu du bruit venant de la même cellule. Mon voisin tapait sur le mur mitoyen. Je me suis approché et ai répondu d’un coup sec et puissant qui manqua de me briser le poignet. Devant la puissance de mon coup une pierre céda laissant un petit trou entre nos deux cellules. Les murs n’étaient donc pas très solides, une découverte à inclure dans mon plan d’évasion.
Je dois d'ailleurs vous dire un détail que j'avais omis d'emmètre : La prison bien qu'autrefois invincible et inviolable. Avait quelque peux changer, presque tous les gardes étaient au front, tentant de protéger leur pays contre leurs envahisseurs. De plus, le temps avait passé et de l'indestructibilité de la prison il ne restait que l'ombre. Mais cette ombre était largement suffisante pour empêcher n'importe quel prisonnier de s'évader. Les portes étaient toujours solides. Et aucun de nous ne savait crocheter les serrures avec quelques petits morceaux de roche. Les murs tant qu'à eux avaient montré jusque-l'une solidité à toute épreuve. Mais peut-être avais-je trouvé la faille.
Mon voisin commença à me parler, d’une voix étouffée qui ne permettait pas vraiment de définir son sexe: « Écoutez, je dois impérativement sortir de cette prison dans les plus brefs délais si vous m’aidez a m’évader, vous serez grandement récompensé" J'ai répondu d'un grognement interrogatif, la fatigue et la surprise n'influaient pas de façon positive sur ma rhétorique. L'étranger a continué bien que mon grognement ait visiblement réduit sa confiance en mes capacités: "Écoutez, je suis blessé, et ma magie a été neutralisée " maintenant que j'y repense, je n'avais même pas réagi à l'énonciation de la magie, à croire que la fatigue n'influait pas de façon positive sur mon intellect non plus. " Mais je peux tout de même nous faire évader si vous m'aidez, je peux crocheter la porte de ma cellule, mais je ne connais pas le bâtiment et si un garde me tombe dessus je ne serai pas en état de me défendre. J'ai grogné quelques mots, il n'a pas compris d’ailleurs je ne suis pas sûr que ces mots avaient une quelconque signification.Alors vous êtes d'accord ?" J'ai fait un effort monumental pour reprendre le contrôle et j'ai répondu d'une voix sure: "oui" ça peut paraître ridicule mais je vous assure qu'étant donnée la situation c'était déjà incroyable que j'arrive à dire un mot. L'autre s'est retourné, et quelques secondes plus tard j'ai entendu un bruit de serrure.
Juste après ma porte était ouverte et mon libérateur était à son entrée. J'ai pris mon livre, ma plume et mon encre dans mes mains, n'ayant aucun sac ou autre récipient ou les mettre. Il m’a fait signe de passer devant, en passant à côté de lui j'ai pris le temps de le détailler. Il était entièrement habillé en cuir noir, son visage était caché par un masque. Il mesurait environ 5-6 pieds de haut, avait une silhouette assez fine. Un large entaille sur son flanc gauche était bandé par une bande de tissu blanche. Sa silhouette n'était pas à proprement parler une silhouette virile. Mais il était entouré d'une sorte d'aura à la fois effrayante et réconfortante. Réconfortante parce que je savais que pour l'instant il était avec moi.
Nous avons traversé plusieurs couloirs sans rencontrer personne, il était tellement discret que parfois je me retournais pour être sûr qu'il était encore là. Le bâtiment était grand, il y avait trop peu de gardes pour réellement assurer la surveillance de la prison. Nous allions à l'armurerie ainsi que l'écurie qui se situait juste à côté. Nous n’avons croisé qu'une patrouille, qui ne nous a pas vus.
Il n'y avait personne à l'armurerie, L'inconnu s'est contenté de prendre un sabre, un fourreau et une ceinture. Moi par contre, j'avais bien l'intention de me servir. Avant toute chose j’ai pris un petit sac en tissus dans lequel j’ai mis mon livre, mon matériel d’écriture, une bouteille de rhum qui traînait dans le coin, trois miches de pain (je sais que c’est étrange de trouver de la bouffe là mais bon, comme le diraient des gens adeptes de la positivité : on ne regarde pas les dents du cheval qu’on nous a donné. Quitte a paraître négatif, méfiant et compagnie, moi je dis que le jour où l’on me donnera un cheval je n’aurai pas besoin de regarder ses dents parce que soit il sera déjà mort soit des dents il n’en aura plus) ainsi qu’une casserole remplie de pâtée pour chien (j’ai évidemment jeté la pâtée). Ensuite j’ai décidé de passer aux choses sérieuses: prendre le plus de trucs possible (quand c’est gratuit il faut en profiter).
J'ai commencé par me changer, j'ai pris un pantalon en toile noir, qui semblait propre ainsi qu'un gilet sans manche en cuir noir. Pour parfaire ma tenue j'ai pris une vieille cape noire, au bord blanchit et effilés par le temps ainsi que des bottes en cuir souple (oui je l‘admet je fais une fixation sur le cuir). Pour l’armement, j'ai, je dois l'avouer, un peux forcer : j'ai pris une hache à deux mains avec double tranchant que j'ai mis dans mon dos accrocher par une sangle en cuir. Seuls les tranchants dépassaient de la cape, elle était placée sur mon côté droit. J'ai ensuite pris une épaisse épée bâtarde que j'ai accrochée, elle aussi, dans mon dos mais de l'autre cotée. L'inconnue semblait étonner. Et ce n'était pas fini, j'ai ensuite pris deux épées courtes que j'ai accrochées à ma ceinture chacune sur un flanc. J'ai rajouté quelques haches de lancer à ma ceinture. Puis ai placé une dague dans chacune de mes bottes, ainsi que derrière ma cape. Je devais être assez impressionnent équiper ainsi. Mon coéquipier semblait quelque peut amuser par cette armurerie ambulante que j'étais.
Des fois la limite entre le ridicule et l'impressionnent est très mince et selon les personnes on peut être soit l'un soit l'autre. Là j'étais ridicule, mais je pense que cela venait du fait que mon "camarade" semblait du genre à tuer 5 personnes avec un cure-dent. C'était le genre à se contenter d'une épée pour partir à l'aventure.
Mais bon, nous sommes ensuite allés dans l'écurie, nous avons chacun pris un cheval, dont l'age était visible, les deux étaient noirs, nous les avons scellées avec de vieille scelle en cuir usé, mais au moment de monter, 2 soldats sont entrés, l'un d'eux à lancer un javelot qui à toucher l'autre (je parle de mon camarade) dans l'épaule.
Nos deux adversaires avaient maintenant chacun une épée longue. À deux contre un le combat était inégal, de plus bien que sûrement peu et mal entraînée, ces hommes avaient tout de même la capacité de me battre en duel, je devais donc les déstabilisées, jouer sur leur peur et leur inexpérience de la mort, de la douleur et du combat réelle celui où l'on risque de mourir au moindre faux pas. D'un geste souple et rapide j'ai pris une de mes haches de lancer et l'ai jetée, elle a ouvert la gorge d'un de mes adversaires (j'avais toujours été habille avec les armes de jet). J'ai ensuite pris mon épée bâtarde. Je dois avouer à mon grand dam que je ne maîtrisais pas particulièrement le combat rapprocher. Mais mon adversaire non plus, de plus la mort de son camarade l'avait visiblement chamboulé. Je me suis approché d'un pas lent, garde basse. J'avais décidé de faire en sorte d'écourter le combat au maximum car je n'avais pas la technique ni la vivacité nécessaire pour soutenir un long combat. Dès qu'il fut à porter, j'ai esquissé un coup de taille, mais au dernier moment j'ai ramené mon épée et me suis fendu afin de lui porter un coup d'estoc mortel. Le salaud a réagi au dernier moment, évitant ma lame de justesse. Il a riposté d'un fadant, j'ai paré, avant de tenter de lui assener un violent coup de taille, mais il y a quelque chose qui à merder. Deux secondes plus tard il ripostait d'un coup de taille qui m'obligea à reculer. Il continua sur sa lancer, me harcelant, ne me laissant pas le temps de riposter. Ce foutu attirail me ralentissant considérablement. Je reculais, parant chaque coup avec plus de difficulté quand mon pied s'est pris dans une imperfection du sol. Quand je vous disais que cette prison tombe en ruine. Je me suis effondré dans un lamentable fracas, lsâchant mon épée. Un sourire est apparu sur le visage de mon adversaire. J'avais tenté de me battre à la loyale, lui laissant une chance de s'en sortir (encore une de mes idée bidon) mais la je n'avais pas le choix. J'ai saisi ma deuxième hache de lancer, et d'un geste souple l'ai lancée en direction de mon adversaire. Elle l'a atteint au alentour du coeur. Je me suis redressé, j'ai repris mon épée. Il respirait encore, je l'ai achevé. J'ai rapidement essuyé ma lame sur son pantalon avant de la remettre dans mon dos, j'ai alors récupéré mes haches de lancer, les ai essuyées puis les ai remis à leur place. J'ai rapidement observer mon coéquipier, bien que je ne voit pas son visage, je me doutait qu'il devait être surpris. Et ce pour deux raisons, la première : j'aurais pu fuir sans me soucier des gardes, le laissant ainsi seul avec eux. Et je pense aussi qu'il avais déjà une idée de mon habilitée au combat dut a démarche et a quelque autre détaille que seul les guerrier expérimenter remarque. Et il n'aurait donc jamais cru que je puisse terrasser deux adversaires même si peut expérimenter. Je dois d'ailleurs avouer que moi non plus et que si le combat c'était dérouler à la « loyale » mon récit ce serait terminé ici.
Je me suis mis en selle, attendant qu'il en fasse de même puis nous sommes sortis du bâtiment. Le bâtiment se trouvait en pleine campagne. Oui, moi aussi sa ma parus bizarre mais bon, il doit bien avoir une raison à cela, les dirigent de l'Ertickos n'était, certes pas, les plus futées mais de la à construire une prison dans une prairie sans raison... À contre coup, je me dis que c'était pour empêcher les prisonniers de se mêler à la population après une évasion. D'ailleurs c'est que j'aurais voulu faire.
Aussi étonnent que cela puisse paraître nous avons réussi a traversé la prairie puis à nous mettre sous le couvert des bois et ce sans que personne ne nous voie. Nous avons allons continuer a avancer pendant au moins 5h heure, et ce a une vitesse relevé sur terrain accidentée.
À ce que j'aime l'équitation, dire que je ne pouvais plus m'assoire aurait été un doux euphémisme. Pendant que mon camarade préparait un feu, je suis allez chercher des plantes anesthésiantes afin de ne pas hurler de douleur chaque fois que mon arrière-train toucherait quelque chose. Il faut que je précise que j'ai une assez grande connaissance des plantes, et de leurs vertus je maîtrise aussi assez bien la médecine, sans être docteur ou apothicaire bien entendu.
En rentrant au "campement", j'ai eu une bonne surprise: mon amie évadée était allongée, inerte, des branches étaler au tour de lui. J'ai immédiatement compris que cela venait de la blessure causée par le javelot, cette dernière était infectée. J'ai immédiatement réagi. J'ai désinfecté la blessure à l'aide de l'alcool récupéré dans l'armurerie. Je suis ensuite reparti chercher des plantes dans la forêt. Pendant que je préparais une infusion avec une partit des plantes, j'ai réalisé un onguent cicatrisant. J'ai appliqué l'onguent sur la plaie puis j'ai mis le blesser en position assise. Et lui ai fait boire à lente gorgée de mon infusion. Cette infusion allait plonger mon camarade dans un sommeil profond afin qu'il ne se réveille pas toutes les deux secondes en criant.
Bâ ouais, moi aussi j'avais besoin de dormir.
Après avoir allumé le feu que mon compagnon avait laissé en plan, j’ai mangé un peut de pain, ce qui ma d’ailleurs permis de comprendre pourquoi personne ne l’avait encore mangé, dur, rassis, le genre de truck qu’on donne au canard, pour se marrer en les regardant s’étouffer avec. J’ai ensuite pris un peu d’eau dans une source proche. J’ai fini par me coucher, mais après avoir passé 1h à chercher le sommeil sans résultat, je me suis levé et j’ai consigné tous les récents événements dans mon journal de bord, ce journal de bord.

J'ai rapidement parcouru le prologue et ma première impression est que le style n'est pas mal (en dehors de quelques répétitions entraperçues) mais tu fais beaucoup de fautes en revanche, surtout de conjugaison.

Je m'excuse d'avance de ne pas passer ton texte au peigne fin de suite mais si mon travail m'en laisse le temps,je le ferais ce soir.

Ceci dit,si tu passais par la case présentation ? ce serait sympa d'en savoir un peu plus sur toi

Merci pour la premiere reponce, les fautes ont toujours etes mon gros default.
Je veux bien me presenter, mais je ne suis pas tres interessent

Bien, bien, bien.... Alors déjà, ne dis pas que tu n'es pas très intéressant car même si nous sommes tous différents les uns des autres, nous sommes tous intéressants...

Concernant ton texte... Je t'avoue qu'au début, je commençais à corriger toutes tes fautes de français mais... Il y en avait trop et j'ai fini par me contenter de la lecture. Donc...

Tu l'auras compris, lacunes au niveau du français mais si tu travailles dur de ce côté-là, + expérience et lecture, ça peut se corriger !! Il suffit de le vouloir (avoir aussi un bescherelle de conjugaison à portée de main et ne pas hésiter à l'utiliser, ainsi qu'un dico si besoin est...) Il faut aussi que tu prennes garde à la ponctuation, parfois absente ou mal utilisée. Observe bien dans les livres que tu lis comme elle est employée...

Concernant le style, il est pas mauvais du tout ! Même très bon !! ^^ Surtout vu ton âge, y a de l'espoir !!! Bon, après, il est vrai que ton récit aurait besoin d'être un peu travaillé. Comme l'a dit Morrigan, des répétitions notamment. Certaines tournures pourraient être quelque peu modifiées pour améliorer le texte, mais y a pas de grosses difficultés non plus sur ce plan-là.

J'en arrive finalement au fond de ton histoire, que j'ai trouvé pas mal du tout. Bon, j'avoue que pendant un moment, j'arrêtais pas de penser "Prison Break" ! Mais bon....
Par ailleurs, le début de mon livre commence aussi en prison, donc impression de déjà vu... ^^
Mais passons...

C'est intéressant, l'atmosphère est bien rendue, les descriptions aussi et le sentiment général est bien en place. On a envie d'en savoir plus mais il y a quand même une chose qui m'a dérangée...
Les remarques entre paranthèses du genre "(oui je l‘avoue je fais une fixation sur le cuir)". Là, j'avoue avoir été assez perplexe car on aurait dit que c'était toi, l'auteur, qui laissait ces remarques pour te justifier...
Alors je ne sais pas trop quoi penser mais c'est toi l'auteur, alors à toi de voir si tu laisses... ^^

Wala. Sinon, rien a rajouter je crois...

Continue sur cette voie !

Heu et bien pour les remarque entre parenthèse c'est bien les remarque de l'auteur, mais l'auteur ce n'est pas moi. Enfin... pas vraiment, c'est le hero.
C'est pour tenter de donner un cotée simpa au texte mais si c'est si choquant que sa...

Oui, oui, je me suis doutée que ce n'était pas toi en tant qu'auteur, mais ça faisait quand même bizarre.
Toutefois, ça m'a bien amusée alors je serai d'avis que tu le laisses malgré tout !! ^^

ok,merci de tes critique

ps: le phénomène prison-break est visiblement tres repandue

Je t'en prie ! ^^

Ben ouais... En même temps, Prison Break, j'suis fan. Et y a quelques jours à peine, j'ai regardé les derniers épisodes de la saison 3, donc je suis encore "dedans" quoi... ^^

J'ai JAMAIS regardé Prison Break moi
Enfin bref, passons...

J'aime beaucoup le début de l'histoire (surtout qu'elle se situe dans la rubrique fantasy, alors ).
Bon, comme plusieurs personnes l'ont déjà mentionné précédemment, il y a pas mal de fautes.
Avec de l'entraînement, ça se corrige.
Personnellement, j'ai eu la chance de ne jamais avoir cette lacune, je ne suis donc probablement pas la personne adéquat pour t'aider.
Je veux bien t'aider à corriger tes fautes, mais je préférerais le faire en direct (donc par msn), je trouve que c'est plus simple.
Il y a aussi pas mal de répétitions, tu devrais faire une relecture spécialement pour les éviter (ce que j'essaye aussi de faire, je répète souvent les mots dans le feu de l'action )
Sur Internet, on trouve des dictionnaires de synonymes assez sympathiques et plutôt riches, donc n'hésites pas, dans le besoin...

Bon, voilà, tu peux être sûr que je reviendrai lire la suite (si j'oublie pas ^^).
Je file voir si tu as une adresse msn, et sinon, je m'attellerai à la correction plus tard (à moins que quelqu'un d'autre ne le fasse avant).

Bonne continuation !

Pour l'adresse msn j'en ai une (surprenant?) mais elle pas ecrite la-bas.

Aaaah, je te remercie
(le pire, c'est que j'étais même pas allée voir, déjà oublié, ça devient grave la tête semblable à une passeoire chez moi :|)

Je n'ai pas encore lu ton texte mais si tu veux, je peux te donner des cours d'orthographe...même si je fais aussi des fautes.... PItié, je n'ai qu'un élève cette année! Je lis ton texte demain!

Tout le monde fait des fautes je pense...
A une dose plus ou moins respectable
(attention, je sors le vocabulaire de haut calibre )

euh où est passé mon commentaire là ?? J'en avais posté un pourtant ??

Peut-être que quelqu'un en avait posté un en même temps...

Oui, c'est le plus probable...

Je suis d'accord avec Nighthaven, les commentaires du narrateur son amusants

Le combat est pas mal, parce qu'il le gagne au petit bonheur Lachance, c'est assez drôle à voir.

Par contre, faudra corriger l'orthographe hein
Et les répétitions aussi !
Mais je pense que tu peux en supprimer pas mal en te relisant.

Bon, sinon, il est vachement chargé ton bonhomme, j'espère qu'il n'aura pas à courir sur de longues distances, ou qu'il n'aura pas à se glisser dans d'étroits passages.
Il pourrait ressembler au masculin de Catwoman avec sa combinaison en cuir
Quoi que ça doit lui donner un certain charme...

Bref, y'a pas mal de correction à faire bien sûr, mais le fond est bon.
Je t'incite donc à continuer !

J'ai editer le text avec quelque modif et surtout beaucoup de faute corriger en grande partit grace a Shoun

Je suis sûre qu'il en reste encore...

On va voir si c'est avoir ou être n'est-ce pas

La suite, elle place le livre dans son monde ce qui limite les action, mais il faut bien faire des compromis de temps en temps. Par contre la fin j'hésite un peu.
J'ai tenter de limiter les fautes de mon mieux.



Chap.2

Le lendemain, quand je me suis réveillé le soleil était déjà haut dans le ciel. Mon camarade, avais visiblement préparé a mangé et s'occupait maintenant du feu. Je me suis levée, la douleur que j'ai ressentit au fessier a manqué de me faire hurler. J'ai manger, le repas que mon sauveur avais préparer: il y avais des tubercule cuite a l'eaux chaude ainsi que du pain (un véritable régal si l'on fait abstraction du goût et de la consistance des deux mets). L'inconnu c'est assis a cotée de moi et a attendue que je finissent mon repas (j'ai d'ailleurs du me forcer pour ne pas le vexer). Ensuite il ma dit"Je dois rejoindre, Pirkatia au plus vite. Tu es libre de suivre ton chemin, mais sache que si tu m'aide a allez là-bas tu sera, récompensé. » Pirkatia, était la capital de l’empire céleste. L'empire céleste: Un des plus grand et puissant empire du continent, aussi le plus récent.
Il y a deux ans, 10 mystérieux personnages sont apparus dans les vastes plaines de Pirka. La Pirka, a l'époque une région dont une vingtaine de petit seigneur se disputait le contrôle, leurs paysans las de leurs guerre incessante et du joug cruelle qu'ils exerçaient sur leurs sujets on préfère rallier les 10 et les aider a prendre le contrôle de la plaine. Six mois plus tard, toute la plaine était entre les mains des dix. Qui usant de leurs pouvoirs magiques et des paysans rebelles avait battu un a un chaque petit seigneur, trop méfiant pour s'allier entre eux et ainsi terrasser les dix. Les dix firent alors de Pirkatia, la ville la plus riche de la plaine la capital de leur future empire. Pendant qu'ils renforçais la plaine, et levaient une armée ils ont fais circuler des rumeur disants qu'ils étaient les dieux que la plupart des habitants du continent vénèrent. La rumeur à circulé et de nombreux prêtre se sont rendus à Pirkatia pour vérifier. Nul ne sais ce qui c'est passée mais toujours est il qu'une fois revenue de Pirkatia, les prêtre ont annoncé au monde que les Dix était bien les dieux qu'ils vénéraient. Les dix se sont alors lancer a la conquête du monde. Un certain nombre de ville les ont accueillis comme les messies mais certaine on résisté a leur conquête et en ont payer les frais. Maintenant, l'empire se bat contre les états frontières du sud ouest et contre les seigneurs d'Alipie, une région montagneuse à l'EST. L’expansion de l’empire est loin d’être terminée, mais dans les temps futurs le plus dure ne sera pas de conquérir de nouvelle région mais de garder celles qu’ils ont déjà car de nombreux mouvement dissident se forment:
-Les lame de la justice: Une organisation athée demandent la libération de l’empire et n’hésitant pas a usée de la force.
-Les marteaux d’Alrose: Une organisation religieuse, prêchant de nouveaux dieux.
Et pour finir la Veracausa: Des religieux maintenant que les dix dont des imposteur.
L’Ertickos est un des pays frontière du sud-ouest séparent l’empire céleste de la Mortagie. En maintenant une vitesse correcte, nous pouvions atteindre Pirkatia en une à deux semaines. J’ai hésité quelque seconde puis j’ai finis par conclure que plus rien de me retenais ici et que cette récompense semblait forte intéressante.
J’ai donc accepté. Nous somme repartit peu après. Les 4 premiers jours se sont déroulés sans événement méritant d’être noté.
Après 5 jour de longue et éreintante chevaucher, nous sommes arrivée en Parmitie, la chose le plus choquante est sûrement la frontière entre les deux région: nous chevauchions dans les plaine, nous avons grimpé une colline et la, comme ça, d’un coup il n’y avais plus de vaste plaine verdoyante mais des putrides marrais, a croire que quelqu’un était passez avec un stylo avais tracez une limite puis avais colorié chacune d’une façon complètement différente. Mais parlons maintenant plus précisément de la Parmitie et de ses marais. Les moustiques faisaient légion, les moucherons n’étaient pas en reste non plus. La région n’était pas propice a la pouce des arbres et les seul qui avais un jour par je ne sais quelle miracle réussit a pousser était maintenant mort, participant ainsi a renforcer l’atmosphère lugubre de l’endroits.
En arrivant en prison je pensais que je ne sentirais jamais rien de pire, je m’était tromper. L’odeur est assez dur a définir, souffre, putréfaction, je ne sais pas vraiment mais si je n’ai pas vomis c’est parce que le pain ne voulais pas partir. J’ai eu beaux observée je n’ai vu aucun animal, mais après coup j’imagine que j’ai eu de la chance car des monstre pouvant vivre ici ne peuvent être que très sympathique .Le sol semblais traître et prêt a vous aspirer et vous emmener dans sas profondeur putride.
Heureusement pour nous, les 10 avais commencé la construction d’un grand réseaux de routes entretenues et bâtit par l’état en échange d’une « modique » somme a chaque utilisation. Les travaux n’étaient pas encore finalisés mais la route était praticable et de plus nous avons eu droits à un « rabais ».
Si ils y avaient des humains vivant dans cette région (hormis les constructeurs de la route) ils étaient loin de la route. Mais je crois avoir entendue parler d’une grande ville au coeur même des marécages. Toujours est il que malgré cette environnement instable nous avons atteint les plaines de Pirka sans autre problème que les troue se creusant dans mon postérieur a force de chevaucher.
Je sais que vous devez trouver mon récit assez ennuyant (en supposant que quelqu’un le lise) Mais si il ne se passe rien ce n’est pas de ma faute et je n’ai pas l’intention de rajouter des événement pour rendre ce récit passionnent. D‘un autre cotée même si ce qui m‘arrivais était passionnent je ne pense pas que je réussirais a retranscrire les événement avec assez de talent pour que se journal deviennent passionnent, donc pour conclure ce journal n'a pas pour but de divertir mais de retranscrire les événement le plus fidèlement possible.
C'est en écrivant ces dernier mots,assis près du feux de camp, quelque part en Pirka que je me suis rendu compte que ce journal n’avais plus lieux d’être puisqu’il avait été crée afin de me raccrocher a la réalité pendant mon incarcération. J’ai alors passez une a deux heures allongée dans l’herbe de le plaine de Pirka face au étoile a chercher une excuse bidon afin de continuer d’écrire car je dois l’avouer, l’idée qu’un jour quelqu’un puisse le lire flatte mon ego et me motive a avancer. Je n’ai finalement pas trouvé d’excuse comme vous pouvez d’ailleurs vous en rendre compte. Quoique je pense que ce journal pourrait être utiliser dans quelque siècle par des historien afin de comprendre les moeurs de l’époque mais premièrement cette possibilité est quelque peux tirer par les cheveux et puis deuxièmement faire quelque chose pour autre que moi sa a jamais trop été mon truck donc cette excuse n’aurait pas été des plus crédible. A moins que l’on se disent que ego est tellement important que j’aimerais que les gens parlent encore de moi dans plusieurs siècle (mon ego est d’ailleurs a peu près de cette taille). D’ailleurs parler de moi prouve l’importance de cette ego. Donc on en revient toujours a mon ego.
Je crois que je m’égare, si je continue comme sa, mon journal devra s’appeler: « pensée intime de Tekmerak le narcissique » ou bien encore « les fabuleuse pensée de Tekmerak l’égocentrique ». D’ailleurs je n’ai pas donnée de nom à ce journal. Il faut que je cherche un nom correct tell que: « Chronique d’un ancien prisonnier » ou bien « Histoire d’une vie ». Mouais trop théâtral. Après avoir passer une bonne heure a chercher un titre, je me suis endormis en pensant au titre de mon journal, ce journal.

J’ai lu rapidement le texte et pour une critique plus poussé il faudra attendre que mes petits monstres dorment.

Concernant le fond, je ne pourrais pas encore me prononcer car ce n'est que le début mais j'ai lu jusqu'au bout donc c'est déjà pas mal (je serais d'avis de distiller les présentations du monde à travers le récit mais bon ... chacun voit midi à sa porte).
Tu donnes beaucoup d'information mais est-ce réellement utile à ce stade de l'histoire ?

Concernant la forme, il y a toujours beaucoup de fautes et pas mal de coquille. Par contre à certain moment, j'ai eu du mal à saisir et comprendre ce que tu dis. J'ai trouve quelque lourdeur dans le texte mais je pense qu'en retravaillant le texte et avec plus d'expérience cela disparaitra.

En me relisant j'ai conscience que ma critique semble dure et négative mais je pense que c'est en soulignant ses points faibles qu'un texte peut être amélioré.
Je te rassure tout n'est pas négatif, le style est prometteur et j'avoue que j'aimerais savoir ou tu compte nous emmener. (Me tarde d'en savoir plus sur les Dix).

Tu finis encore avec le journal, c'ets certainement fait exprès, mais j'aime beaucoup.
Il faut avouer que c'est bon de le rappeler à la fin du chapitre, parce que l'on entre facilement dans l'histoire, et l'on oublie facilement que tout ceci est en réalité rédigé dans un journal !

Je préfère ce chapitre au précédent. Les descriptions sont meilleures, la narration également. Il semble effectivement y avoir moins de fautes (quoi qu'il en reste encore un paquet ). T'inquiètes pas, tu t'amélioreras au fil du temps

J'ai beaucoup aimé l'image du passage de la plaine au marais, tu l'as comparé à quelqu'un qui dessinait, c'était agréable à imaginer.
Sinon, j'aime bien cet univers que tu as créé. Et puis ce narrateur qui fait des réflexions amusantes ^^

Bref, c'est super, une fois que tu seras au top en orthographe, ce sera vraiment génial !

Alors surtout, n'abandonne pas, et continues d'écrire !

Préviens-moi en direct pour le troisième chapitre

Alors, je vais tenter de reponder au mieux:

Il n'est pas vraiment utile de savoir l'histoire sur le momment mais dans quelque chapitre il le sera. Et j'ai l'intention de biento augmenter l'action donc il faus que les deccord soit deja bien poser. C'est pour sa que j'ai decider de poser un chapitre dessu. J'envisage aussi de rajouter une carte (je l'ai deja faite) pour mieux se rendre compte de la geographie.

Des coquille?

Quand a tu eu du mal a saisir?

Le fait que la critique soit dur ne me derange pas c'est ce qui me permettra d'avancer.

Ps: "petits monstres" je connais 2 petite soeur 1 petit fere et 3 frere par alliance (bien que je sois tout de meme plus tranquille en tant que grand frere)

Je réponds rapidement l'heure du bain approche, quand tu parle d'ego normalement mais "coquilles n'est peut être pas le mot approprie.

Ce que je disais juste c'est que dans le chapitre 2 ta présentation de l'univers est (je le répète de mon point de vue) mal amène et que distiller l'information au cours des deux chapitres aurait été moins lourd (en gros il y a beaucoup d'information sur l'univers d'un coup). J'attends impatiemment la suite pour voir ou tu compte nous emmener (et voir ainsi si oui l'afflux d'information soit justifié)

Mais bon je parle et je ferais certainement pas mal d'erreur de ce genre je pense dans les futurs ecrits que je compte vous proposer (d'ici la fin de la semaine je pense)

ps: mes deux filles presque trois ans et la plus jeune sept mois et une dent

Tu es une jeune maman alors ! Ce sont des jumelles les premières ?

J'ai hâte de lire tes textes (il y en a pas mal de nouveaux qui arrivent ces derniers temps), et je m'efforcerai de donner le meilleur avis dont je suis capable.

Au plaisir de te lire !

Oui, l'ego etait le truc sur lequelle j'hesitait.

3 ans!!! arg si je me souvient bien c'est une des pire année sa. Moi j'en suis a 7-6 et une petite frere de 2 ans que j'adore et qui est pas encore chiante mais helas biento sa va commencer