Projet Eutopia

Salut, je poste le chap suivant, bonne lecture et merci de vos critiques

Chap. 8
Le soleil se levait sur notre fier campement. A la bordure de longues et droites lignes de terre battue, se dressaient de simples battisses de bois, organisées de façon géométrique.
Les maisons, groupées par quatre, bordaient une large route de terre damée.
Au centre du campement, une grande place pour l'instant en simple terre, sur cette place, une estrade en bois servant pour les événements officiels tel mon discours matinal journalier.
Une partie des maisons de bois servait de « magasins » ou plutôt d'entrepôts stockant nourritures et matières premières et ou tout le monde pouvait aller se servir gratuitement.
Pour la nourriture, nous nous alimentions grâce au produit de la chasse et aux quelques champs que nous avions aménagés, Cuistot a presque tout supervisé sans mon aide, le seul problème est l'eau.
La source apparente la plus proche est à une demi-heure de marche, nous avons donc rempli un réservoir d'eau en cas d'incendie (bien que le fait de séparer les groupes de maisons par une large route réduise déjà bien les risques de propagation), mais pour l'utilisation personnelle, il faut aller se servir à la source.

« boum boum » Je suis allé ouvrir la porte. Je loge dans une maison en bois du même type que les autres, en fait elles sont toutes du même modèle et la mienne aussi.
Ma maison est située près du centre, mais pas en bordure directe (je l'ai, en fait, placée aléatoirement afin d'éviter de me favoriser par rapport aux autres).
Faute de fonderies, les gonds des portes étaient en bois et offraient que ce soit en qualité sonore ou pratique des résultats bien moindre à des gonds de métal.
« Entrez » Mon invité était un des E.T. (il fraudait que je songe à trouver un nom au consonance moins péjorative) Il était venu pour les problèmes d'eau, j'ai laissé plusieurs espaces dans la « ville » en prévision de puits possibles, mais je n'avais aucune certitude de trouver de l'eau.

« Asseyez vous, je vous en prie » Je l'avais amené dans la pièce qui me servait de bureau, il s'assit sur une des deux chaises de bois installées en face de mon bureau. Il devait faire dans les 1m90 et était complètement chauve, à moins qu'il n'ai le crane rasé, son visage semblait humain autant que sa morphologie générale, seul ses yeux laissaient deviner ses origines « différentes ».
« Vous dites donc pouvoir trouver l'eau ?
-Oui. » Il parlait d'une voix grave et vibrante.
« Par quel moyen ?
-Et bien c'est difficile à expliquer, je sens les fluides passer, je les ressens, en fait je ...
-Attendez, vous êtes ce qu'on appelle un sourcier ou bien vous avez une sorte de capacité spéciale due à vos ... origines ? (La plupart des E.T. sont dotés de capacités « extraordinaires », extrêmement diverses selon les « espèces », ainsi certains se contentent de voir dans le noir, alors que d'autres sont immunisés aux maladies et que d'autres ont une force phénoménale...)
-Et bien, je suis ce que vous appelez un sourcier.
-Donc vous utilisez des baguettes et tout ?
-Oui, mais ...
-Je crois que je vais donc me passer de vos services, merci d'être passé.
-Attendez, ça marche vraiment, nous ne sommes pas des charlatans.
-Avez vous entendu parler de l'expérience de Munich sur les sourciers ?

-Non, capitaine. » La première fois qu'il me donnait du capitaine depuis le début de notre conversation, surement une façon de me flatter afin de m'amadouer pour que je lui donne une chance. Il est même possible qu'il connaisse cette expérience mais qu'il mente afin de me faire croire que je lui suis supérieur et donc en quelque sorte faire appel à ma pitié
« Munich était une ville Terrienne, précisément allemande et dans les années 90 (bien que plusieurs millénaires soit passés les années de 1900 à 2000 sont toujours appelées par leurs deux derniers chiffres) le gouvernement allemand organisa une vaste expérience afin de prouver (ou pas) l'existence du tallent des sourciers.
Ainsi, l'on positionnait au hasard un chariot portant un tuyau contenant de l'eau sous un plancher, puis on mettait un sourcier sur le plancher et lui demandait de déterminer la position de l'eau.
Un peu plus d'une quarantaine de sourciers participa aux tests, ces sourciers étaient considérés comme parmi les meilleurs du monde ou du moins de la terre.
Chaque sourciers réalisa 104 séries de 5 à 15 essais pour trouver l'eau.
Ensuite, on fit la moyenne des résultats afin d'avoir une moyenne statistique du taux de réussite des sourciers à trouver l'eau.
Et ce résultat correspondait à la moyenne statistique du taux de réussite de détection effectuée au hasard.
-Ça ne prouve rien, les organisateurs de l'expérience n'était certainement pas objectif et ont influencés les résultats pour satisfaire leur croyance.
-En effet, les organisateurs n'était pas objectif, ils étaient convaincus que les sourciers n'étaient pas des charlatans. La conclusion de tout ça est que si je n'ai rien de mieux qu'un sourcier je vais creuser mes puits aux emplacements que j'ai choisis aléatoirement en espérant trouver de l'eau. »
Etant donné la végétation des environs, je serais entonné de ne pas trouver d'eau, mais bon un E.T. sachant trouver l'eau (pour de vrai) aurait tout de même été utile.
Je l'ai ensuite gentiment raccompagné à la porte sans lui laisser le temps de m'endoctriner .

Le soleil se levait sur notre fier campement. A la bordure de longues et droites lignes de terre battue, se dressait de simples battisses de bois, organisés de façon géométrique.
Les maisons étaient groupées par quatre, entre chaque groupe de quatre il y avait une large route de terre battue.
Au centre du campement, une grande place en Terre battue, servant pour les événements officiels tell mon discours matinal journalier.

Trois fois terre battue, c'est pas un peu trop?

Les maisons étaient groupées par quatre, entre chaque groupe de quatre il y avait une large route de terre battue."
Les maisons, groupées par quatre, bordaient une large route de terre battue.

J'ai pas beaucoup de temps mais je continue plus tard

Le soleil se levait sur notre fier campement. A la bordure de longues et droites lignes de terre battue, se dressaient de simples battisses de bois, organisées de façon géométrique.
Les maisons étaient groupées par quatre, entre chaque groupe de quatre il y avait une large route de terre battue.
Au centre du campement, une grande place en Terre battue, servant pour les événements officiels tel mon discours matinal journalier.
Une partie des maisons de bois servait de « magasins » ou plutôt d'entrepôts stockant nourritures et matières premières et ou tout le monde pouvait aller se servir gratuitement.
Pour la nourriture, nous nous alimentions grâce au produit de la chasse et aux quelques champs que nous avions aménagés, Cuistot a presque tout supervisé sans mon aide, le seul problème est l'eau.
La source apparente la plus proche est à une demi-heure de marche, nous avons donc rempli un réservoir d'eau en cas d'incendie (bien que le fait de séparer les groupes de maisons par une large route réduise déjà bien les risques de propagation), mais pour l'utilisation personnelle, il faut aller se servir à la source.

« boum boum » Je suis allé ouvrir la porte. Je loge dans une maison en bois du même type que les autres, en fait elles sont toutes du même modèle et la mienne aussi.
Ma maison est située près du centre, mais pas en bordure directe (je l'ai, en fait, placée aléatoirement afin d'éviter de me favoriser par rapport aux autres).
Faute de fonderies, les gonds des portes étaient en bois et offraient que ce soit en qualité sonore ou pratique des résultats bien moindre à des gonds de métal.
« Entrez » Mon invité était un des E.T. (il fraudait que je songe à trouver un nom au consonance moins péjorative) Il était venu pour les problèmes d'eau, j'ai laissé plusieurs espaces dans la « ville » en prévision de puits possibles, mais je n'avais aucune certitude de trouver de l'eau.

Tu as eu déjà pas mal de commentaires, je ne reviens pas là-dessus, sur l’orthographe, les temps ou les répétitions et tout ça, sauf pour ta gestion des sigles parceque personne ne l'a mentionné: normalement on met le texte complet puis entre parenthèse le sigle que l’on peut réutiliser ensuite sans plus d’explication. Tu as tendance à faire l’inverse : le sigle d'abord et l’explication entre parenthèse. (Cela dit je n’apprécie pas particulièrement les sigles dans un récit.)

J’ai bien apprécié: Ca se lit d’un coup, il y a un bon rythme qui se casse un peu pourtant après l’atterrissage (on a l’impression de passer de la Compagnie Noire à du Jules Verne)
J’aime bien le caractère du Capitaine avec une incohérence, je trouve, quand il s’agit d’organiser il n’est pas assez directif, il délègue trop pour un chef (à plusieurs reprises : répartissez vous comme vous voulez). Idem pour la nourriture en libre service gratuit à mon avis ça ne peut pas marcher et le Capitaine devrait mettre en place une méthode de partage. Pourquoi ne pas en profiter pour montrer d’éventuelle tensions, voire du racisme vis-à-vis des ET.
Ensuite je ne vois pas trop ce que ça apporte cette expérience de Munich, ça prend trop de place par rapport au récit alors que tu pourrais profiter de ce dialogue pour décrire un peu plus les alien, et l’environnement, (le capitaine et son bureau par exemple). Bon on croit comprendre que tu es cartésien et que tu n’aime pas les charlatans
Belle évolution en tout cas entre les différents chapitres

J'oubliais: Les maisons étaient groupées par quatre, entre chaque groupe de quatre il y avait une large route
plutôt:
... étaient groupées par quatre, entre chaque groupe il y avait une large route...
Reste que groupées et groupe ça se répète donc plutôt
Les maisons groupées par quatre bordaient/laissaient place/délimitaient/ (ou le verbe que tu veux) une large route...
Et tu élimines il y avait qui fait pas terrible.
Ce style c'est sympa et vrai pour les dialogues mais ça passe moins bien pour les descriptions.
Désolé c'est un peu brouillon mais il se fait tard...

Les maisons, groupées par quatre, bordaient une large route de terre battue." Evahé
Les maisons groupées par quatre bordaient/laissaient place/délimitaient/ (ou le verbe que tu veux) une large route" Belyh
On est d'accord apparemment^^
Gérard a apporté les corrections donc je dirais juste que lorsque Tek parle immanquablement je t'imagine. Du coup ton perso est bien incarné. C'est vraiment pas mal.

Deja merci des critiques, je vais editer mais :
pour la repetition de terre batue si a la place de changer ce mots je mettait entre parenthese apres la troisieme fois (oui, on a que de la terre pour l'instant) enfin un truc comme sa

Sinon belyh, pour la rallentissment, je m'en rend bien compte mais dison que je vois pas comment faire autrement, puis le rithme va bientot augmenter (normallement)

pour les sigle et les parenthese ba je sais pas j'aime bien faire comme sa, dison que c'est ma touche perso

Pour le charactere du capitaine ba c'est fait expres, enfait il est assez special come capitaine et comme tu le vera plus tard (enfin j'espere) c'est un fervant deffenseur de la democratie, de la liberté et tout sa.
En plus, vu qu'il connait pas les E.T. il a aucun moyen de les repartir lui meme donc autan les laissez faire, puis il delegue pas tant que sa non plus.
Et puis pour le racisme ba il y a actuellement pas vraiment de raison qu'il y en ai : les humain sont sous les ordres du capitaine et lui il n'est pas raciste, et les alien ne peve pas vraiment etre raciste avec les homme qui leur ont sauvé la vie. (mais plus tard sa viendra)

Finalement pour ce chap, je me rend bien compte que l'histoire de munich n'avance pas grand chose mais elle est quand meme utile : deja on fait conaissance avec un nouveau personnage qui aura son importance dans la suite du recit, ensuite comme tu la remarquer sa permet de montrer l'esprit cartesien du capitaine et sa place le lecteur au centre de l'evolution du campement.

a et pour la nouriture en libre services qui celon toi va pas marcher le capitaine a une "theorie" la dessu, qui dit que sa va marcher, mais tu verra sa plus tard.

A la place de terre battue peut être peux-tu utiliser des mots tels que : glèbe, glaise, marne

T'es pas obligé de mettre terre battue à chaque fois, tu peux même carrément l'enlever par endroit (une grande place, une large route etc)

Pour la touche perso sur les sigles c'est toi qui voit bien sûr, mais faut pas qu'en changeant les règles tu gènes la lecture - bon dans ce cas ça n'a pas trop d'importance, je pense, et ça gène pas.

Evahe: Désolé pour avoir repris ta correction (Les maisons groupées par quatre bordaient), je me suis plutôt concentré sur le texte et j'ai pas vu.

« Asseyez vous, je vous en prie » Je l'avais amené dans la pièce qui me servait de bureau, il s'assit sur une des deux chaises de bois installées en face de mon bureau. Il devait faire dans les 1m90 et était complètement chauve, à moins qu'il n'ai le crane rasé, son visage semblait humain autant que sa morphologie générale, seul ses yeux laissaient deviner ses origines « différentes ».
« Vous dites donc pouvoir trouver l'eau ?
-Oui. » Il parlait d'une voix grave et vibrante.
« Par quel moyen ?
-Et bien c'est difficile à expliquer, je sens les fluides passer, je les ressens, en fait je ...
-Attendez, vous êtes ce qu'on appelle un sourcier ou bien vous avez une sorte de capacité spéciale due à vos ... origines ? (La plupart des E.T. sont dotés de capacités « extraordinaires », extrêmement diverses selon les « espèces », ainsi certains se contentent de voir dans le noir, alors que d'autres sont immunisés aux maladies et que d'autres ont une force phénoménale...)
-Et bien, je suis ce que vous appelez un sourcier.
-Donc vous utilisez des baguettes et tout ?
-Oui, mais ...
-Je crois que je vais donc me passer de vos services, merci d'être passé.
-Attendez, ça marche vraiment, nous ne sommes pas des charlatans.
-Avez vous entendu parler de l'expérience de Munich sur les sourciers ?

Merci des critiques, j'ai mis a jour, comme je suis en forme, le chapitre suivant, pour le debut du chapitre j'ai tenté un truc bizard, vous me direz ce que vous en pensez.
Voila, merci encore et merci d'avance.

Chap 9.

Depuis notre arrivés sur cette planète je dors mal.
Pour être franc je n'ai jamais bien dormis, mais la c'est pire que tous, dé que je ferme les yeux je me projette dans l'avenir.
J'imagine ce que je ferais demain, ce que je ferais dans une semaine, dans un mois, je ne cesse de penser à notre installation, aux prochaines tâches à effectuer, aux erreurs à absolument éviter, aux défauts dans mes plans, mais si ce genre de pensés nuisent considérablement à mon temps de sommeil, elles sont habituelles, depuis toujours elles troublent mon sommeil.
J'ai fini par m'y habituer, mais depuis notre arrivée sur cette planète, une nouvelle réflexion viens me prendre le temps de sommeil qui me reste.
Pourquoi cette planète n'est elle indiquée sur aucune carte ?
Comment se fait il que l'entreprise ayant financé le projet Utopia et ayant donc fait des expériences sur les humains, soit l'entreprise la plus importante de la galaxie ?
L'entreprise à qui appartenait 80% des navettes ayant quitté la Terre, l'entreprise contrôlant aujourd'hui prêt de 70% des entreprises inter-planétaire et possédant à elle seul 60% du P.I.B de l'empire.
Y avait il un lien entre la mission Utopia et l'absence de la planète sur les cartes ?
Mais pourquoi ? Certes faire des expériences sur des humains n'est pas très bon pour l'image de marque, mais Audina en a vu des scandales, certain au moins aussi révoltant que celui ci et pourtant elle n'avait pas littéralement rayé des planètes de la carte.
Il faudrait que je sache depuis quand cette planète n'existe plus.
Je pourrais demander à Mogard de fouiller dans la base de donné, pourquoi n'y ai-je pas pensé avant ?
La fatigue ne me réussit pas.
Mais peut être que je me fourvoie, le fait qu'Audina soit impliquée n'est peut être qu'une coïncidence.
A moins que ce ne soit qu'une partie du puzzle, peut-être par exemple que pendant la conquêtes de la galaxie, Audina a fait pression pour qu'on ne découvre pas cette planète.
A l'époque elle avait une certaine réputation a tenir, mais elle n'a plus maintenant d'intérêt à cacher l'existence de cette planète, a moins que ...


« Boum Boum Boum »
Il devait être 2h du matin, les gens normaux dorment à 2h du matin.
« J'arrive ! »
Je suis sorti de mon lit, ai pris mes chaussons.
« Boum Boum Boum »
Puis je me suis rendu à la porte.
« Boum Boum Boum »
J'ai lentement ouvert la porte, laissant doucement apparaitre le visage de Mogard.
« Cap, Cap, il s'est passé quelque chose. »
Il tremblait quelque peu, mais plus d'excitation que de réelle peur.
Je l'ai laissé rentrer et l'ai invité à s'installer dans mon bureau.
En général je propose une boisson chaude aux invités nocturne, mais connaissant Mogard j'ai immédiatement sortit le whisky.
« Raconte moi. »
Il prit une gorgée du fort liquide ambré et la fit lentement tourné dans sa bouche avant d'avaler.


« Je réparais le système d'armement du Furtif, comme vous me l'avez demandé quand j'ai entendu un bruit derrière moi, je me suis contenté d'une ou deux remarque bien placé en pensant que c'était Rek qui venait critiquer mon travail et avant que je ne comprenne ce qu'il m'arrive j'ai pris un coup sur la tête » Je me suis retenue de rire, mettez vous à la place de l'intrus : Il rentre discrètement dans le vaisseau puis vois Mogard, il prend alors de quoi le neutraliser, puis s'approche discrètement et alors qu'il se prépare à l'assommer, sa victime sans même se retourner se met à l'insulter.
« Ce n'est pas drôle, capitaine.
-Désoler, il a fait quelque chose d'autre que t'assommer ?
-Oui, il a complètement détruit le système de vol du vaisseau, les pièces détruites ne seront pas faisables artisanalement.
-Une idée de qui c'était ?
-Surement un de ces connards d'allien.
-Merci Mogard, rentre chez toi, on verra ça demain matin.
-Bien, cap. »
Il est sorti d'un pas rapide.
Il ouvrait la porte quand mon esprit pratique reprit enfin le pas sur ma fatigue.
« Mogard ?
-Cap ?
-Tu est allé voir le médecin ?
-Non cap.
-Va le voir.
-O.K., cap. »
Je pense pouvoir affirmer connaître Mogard et j'avais donc la certitude qu'il n'irait pas voir le médecin.
Alors, prenant délicatement le contrôle de mon corps je me suis levé pour le rejoindre.
« Je t'accompagne.
-Heu... D'accord cap »
J'ai pris ce qui me tenais lieu de veste ainsi que mes chaussures, puis je suis partie l'accompagner chez le médecin, le maudissant intérieurement de m'avoir fait perdre quelques heures de sommeil et d'avoir rajouté un problème à la longue liste de réflexions nourrissants déjà mon insomnie.


Depuis notre arrivés sur cette planète je dors mal, pour être franc je n'ai jamais bien dormis, mais la c'est pire que tous, dé que je ferme les yeux je me projette dans l'avenir, j'imagine ce que je ferais demain, ce que je ferais dans une semaine, dans un mois, je ne cesse de penser à notre installation, aux prochaines tâches à effectuer, aux erreurs à absolument éviter, aux défauts dans mes plans, mais si ce genre de pensés nuisent considérablement à mon temps de sommeil, elles sont habituelles, depuis toujours elles troublent mon sommeil j'ai fini par m'y habituer, mais depuis notre arrivée sur cette planète, une nouvelle réflexion viens me prendre le temps de sommeil qui me reste, pourquoi cette planète n'est elle indiquée sur aucune carte, comment se fait il que l'entreprise ayant financé le projet Utopia et ayant donc fait des expériences sur les humains, soit l'entreprise la plus importante de la galaxie, l'entreprise à qui appartenait 80% des navettes ayant quitté la Terre, l'entreprise contrôlant aujourd'hui prêt de 70% des entreprises inter-planétaire et possédant à elle seul 60% du P.I.B de l'empire, y avait il un lien entre la mission Utopia et l'absence de la planète sur les cartes, mais pourquoi, certes faire des expériences sur des humains n'est pas très bon pour l'image de marque, mais Audina en a vu des scandales, certain au moins aussi révoltant que celui ci et pourtant elle n'avait pas littéralement rayé des planètes de la carte, il faudrait que je sache depuis quand cette planète n'existe plus, je pourrais demander à Mogard de fouiller dans la base de donné, pourquoi n'y ai-je pas pensé avant, la fatigue ne me réussit pas, mais peut être que je me fourvoie, le fait qu'Audina soit impliquée n'est peut être qu'une coïncidence, à moins que ce ne soit qu'une partie du puzzle, peut-être par exemple que pendant la conquêtes de la galaxie, Audina a fait pression pour qu'on ne découvre pas cette planète, a l'époque elle avait une certaine réputation a tenir, mais elle n'a plus maintenant d'intérêt à cacher l'existence de cette planète, a moins que ...

Le truc bizzarre comme tu dis c'est une phrase hyper longue pour le début.
Dur dur à lire. A la moitié de la phrase on ne se souvient plus de ce qu'il y a au début.
Rigolo mais pas efficace.

Ouai, c'est ce qui m'inquietais, c'etait un peu pour embrumer l'esprit du lecteur et ainsi montrer les effet de la fatigue sur la capitaine (un super effet de style) mais je pense que je vais le ponctuer pour priviligier la clarté.
J'ai edité, mais j'ai remis le passage a la fin avec la ponctuation originel que tout le monde puisse s'extasier devant tant de style

Tu pourrais essayer de faire des phrases très courtes au lieu d'une seule très longue, pour rendre le fait qu'il pense vite et dans plusieurs directions à la fois ?

Ce qui fera vraiment bizarre c'est quand il n'y aura plus de fautes.

Mais c'est bon, ça reprend le rythme enlevé du début je trouve.

Et bien, j'adore ton style ^^justement.
En fait, je suis très contente d'avoir eu deux posts à lire, et, je ne suis pas déçue du voyage.
Je trouve qu'on est bien dans ton histoire.
chap.8
Cuistot a presque tout supervisé sans mon aide, le seul problème est l'eau.
(étant l'eau ou bien était l'eau)

Citation :

"La source apparente la plus proche est à une demi-heure de marche, nous avons donc rempli un réservoir d'eau en cas d'incendie (bien que le fait de séparer les groupes de maisons par une large route réduise déjà bien les risques de propagation), mais pour l'utilisation personnelle, il faut aller se servir à la source."

cette phrase ci-dessus, est très bien écrite, je trouve.
Le verbe être au début n'étant pas indispensable,tu peux l'ôter, c'est encore plus beau, mais il faudrait aussi changer le temps du dernier verbe:

La source apparente la plus proche, à une demi-heure de marche, nous avons donc rempli un réservoir d'eau en cas d'incendie (bien que le fait de séparer les groupes de maisons par une large route réduise déjà bien les risques de propagation), mais pour l'utilisation personnelle, il fallait aller se servir à la source.

chap.9
les pièces détruites ne seront pas faisables artisanalement
pas façonnables (artisanalement n'est pas indispensable alors...)

Tu fais de moins en moins de fautes en t'appliquant, c'est remarquable .
toujours la même sur crâne (pense à lui mettre un chapeau à ce pauvre ^^).
Au plaisir de lire la suite, Tekmerak

Cela devient intéressant !

Merci pour les critiques, je vais mettre a jour.

La suite :

Chap 10.

« Je ne vois rien d'anormal, néanmoins repasser dans la fin de matiné, ces coups sur la tête, ça peut être de vraie bombes a retardements. »
Notre médecin était un E.T..
Les aliens n'ayant pas accès au soin impériaux, ils formaient leurs propres « soigneurs ».
Hélas, les E.T. n'ont pas non plus accès aux universités impériales, résultat leurs médecins sont nettement inférieur aux impériaux, mais nous n'avons pas vraiment le choix de toute façon.
« Merci docteur, Cap. » Mogard est sortit du bureau du médecin, c'était une maison de bois comme les autres.
Une maison de bois, le bois brule.
Après l'attaque de Mogard je devrais augmenter la garde et préparer la ville à une bataille.
Nous devons absolument faire les puits, je compte en charger Rek.
Mais il faut aussi que je définisse un plan d'évacuation de la ville vers le vaisseau ainsi qu'un certain nombre d'autre chose.
En fait je me trompe peut être : Et si l'attaque de Mogard ne visait pas à affaiblir nos défenses, mais à nous empêcher de quitter la planète ?
Ce serait crédible étant donné que seul le système de vol a été endommagé.
Mais pourquoi nous empêcher de quitter cette planète ?
Et puis un tell sabotage demande un certain niveau de qualification en électronique et en mécanique, de plus l'intrus a dù agir sous la pression.
Il est donc probable que les personnes voulant nous empêcher de repartir soit assez avancé technologiquement parlant.
Je ne connais personne dans la ville à part Rek, Mogard, moi et peut être Lieutenant qui dispose de connaissances suffisantes.
Étant donné que j'ai entière confiance en mon équipage, je ne peux que soupçonner l'intervention d'étranger au campement.


« Capitaine ? Vous allez bien ?
-Hein... heu... Oui... pardon. »
Le médecin était un « homme » de corpulence moyenne, il avait quelque touffes de cheveux éparses sur le crane.
Une partie de sa peau était recouverte d'écaille et ces pupille était ovale.
« Vous voulez quelque chose ?
-Et bien... Je me demandais si vous aviez des somnifères.
-Hum, problème de sommeil ? No, désolé certaine infusions de plantes local peuvent aidées a s'endormir, mais aucune ne vous fera tomber comme une masse.
-Il n'y avait pas de somnifère dans la trousse a pharmacie du vaisseau ?
-Si, mais je les gardes pour les cas plus graves » Le salaud.
« Merci quand même, bonne nuit »
Je suis ressortit de chez le médecin pour rentrer chez moi en espérant réussir a dormir quelques heures avant que l'aube n'arrive.


Quand je suis arrivé chez moi, deux E.T. Frappaient à ma porte.
« Capitaine ? » Allez savoir pourquoi, maintenant tout le monde m'appelle capitaine.
« Oui ?
-Nous sommes chargés de la garde du camp cette nuit et nous avons vu un individu entré dans le camp
-Vous êtes sur ?
-Oui, capitaine.
-Quand ?
-Il y a plusieurs heures... Nous avions hésité à vous prévenir de peur de nous êtres trompés, mais nous venons de le voir sortir, nous l'avons alors interpeller et il nous à tirer dessus.
-Vous n'avez rien au moins ?
-Non, capitaine
-Bien, allez voir le médecin au cas ou. Il arrive que dans le feu de l'action on ne se rende pas compte d'une blessure» Puisqu'il refuse de m'aider a dormir, je vais lui montrer ce que j'endure à se salaud de médecin.
«La prochaine fois, à la moindre hésitation venez me prévenir on est jamais trop prudent.
-Oui, capitaine.
-A et... la prochaine fois, ne venez pas tous les deux, il faut que quelqu'un reste assurer la garde.
-Heu oui, désoler capitaine, ça ne ce reproduira plus.
-J'en suis certain, si vous n'avez plus rien à m'apprendre, je vais me coucher.
-Bien capitaine, bonne nuit capitaine. Heu... désoler capitaine je ne voulais pas me montrer familier »
Des fois, ils me font peur.
« Heu... ne vous excuser pas, vous avez le droit d'être familier. On se voit pour le bilan matinal. »
Rien de nouveau sous le soleil cette fois, de toute façon j'avais déjà assez de sujet de tracasserie, pas besoin qu'on m'en rajoute un nouveau.

Une fois chez moi, je suis directement allé me coucher, j'ai posé ma veste puis me suis tourné vers mon lit.
Un homme se tenait maintenant en face moi, une épée à la main. Entait, c'était un E.T.
J'ai voulu porter ma main à ma ceinture quand je me suis rappelé que je ne portais pas mon blaster.
Depuis notre arrivée sur cette planète notre discipline c'est extrêmement relâchée, au point de ne plus être armé en permanence, grossière erreur.
Dans ce genre de situation, il y a deux réactions typiques : Soit on s'éloigne d'un bond afin de se préparer au combat, soit on ce jette sur la cible avant qu'elle ne réagisse.
Etant donné que mon adversaire avait une épée et donc profitait d'un certain avantage au niveau de l'allonge, j'ai pris la deuxième solution.
Tout en m'approchant de lui, j'ai fait un pas de côté afin d'éviter un éventuel coup d'estoc, coup qui d'ailleurs eu bien lieu.
Une fois à la hauteur de l'alien, j'ai agrippé l'arme à deux mains afin de la détourner de ma direction.
Pendant que je luttais avec mon « invité » pour prendre le contrôle de l'épée, j'ai discrètement fait glisser ma jambe droite derrière les siennes, avant de la ramener d'un geste brusque, le faisant tomber à la renverse.
Je me suis ensuite laissé tomber sur lui, tout en mettant mon coude gauche en avant.
Ma victime en eu le souffle coupé, j'en profitais pour prendre l'arme et reculer d'un bond.
J'ai ensuite tranquillement pointé l'autre avec son arme.
Deux secondes plus tard, il était pris de convulsion.
Une fois les convulsions terminées, j'ai vérifié son pouls, il n'y avait rien.
Un énorme dilemme m'a alors secoué, me coucher ou allez amener ce cadavre au docteur pour une autopsie et si possible une identification, j'ai hélas choisit le médecin.

L'action arrive ! suspens !

Attention aux répétitions trop nombreuses !
Il y a des fautes d'orthographe qui me laisse à penser que la relecture a été oubliée

Pas solide un ET et, que va dire le médecin ?

ba pourtant si, je me suis relu (un peu moin que dh'abitude mais je me suis relu)


Sinon ba pour les repetitions j'avais pas eu l'impression d'en faire beaucoup.

mais si, c'est solide un E.T.

Et merci pour ta critique

Une fois les convulsions terminées, j'ai vérifié son pouls, il n'y avait rien.
Un énorme dilemme m'a alors secoué" je sais que tu ne la's pas fait exprès mais être secoué après des convulsions c'est marrant. C'est bien sympa ce petit passage. T'es sûr que tu t'es relu? Bref comme tu dis si bien : bah, ça avance^^

Les aliens n'ayant pas accès au soin impériaux, ils formaient leurs propres « soigneurs ».
Hélas, les E.T. n'ont pas non plus accès aux universités impériales, résultat leurs médecins sont nettement inférieur aux impériaux, mais nous n'avons pas vraiment le choix de toute façon.

Ba, on peut dire que c'est un effet de style afin de bien montré l'oposition imperiaux/aliens

Je vais tenter de trouver mieux.

Le chap suivant, plus calme :

Chap.11

« Bonjour à vous tous, certain d'entre vous le savez déjà, il s'est passé beaucoup de choses pendant la nuit.
Au moins deux individus ce sont introduits dans le camp.
L'un d'entre eux a saboté le système de vol du furtif, avant de s'enfuir, tandis que l'autre à tenté de me tuer, ce dernier est à l'heure actuelle en train de se faire autopsier par notre docteur qui n'assiste donc pas à ce bilan matinal. »
Le soleil ne c'était pas encore levé, il devait être 6h du matin. Et comme chaque matin je dressais l'ordre du jour sur la place du village.

« Le saboteur a celons toutes vraisemblances quitté le camp après son méfait.
D'après Mogard, les pièces du furtif que l'inconnu a détruites sont irremplaçables avec nos moyens, forge y compris.
Nous sommes donc bloqués sur cette planète pour une durée plus longue que prévu, enfaîte nous allons peut-être finir notre vie sur cette planète.
Étant donné les récents événements, nous allons devoir renforcer la sécurité.
Bien que les sabotages actuellement découverts ne concernent que le système de vole du vaisseau, je préfère qu'en cas de combat nous restions dans le campement, le furtif a peut-être subi d'autres dégâts.
Ainsi, nous allons entreprendre la construction d'un système de défense sommaire, comprenant un système de palissade et de tourelle, nous allons aussi vampiriser l'armement du furtif pour assurer la protection du camp.
Maintenant, la moité du village s'occupera de la construction des systèmes de défenses tandis que l'autre se repartira entre la récolte de matières premières et de nourritures.
Je vous communiquerais la répartition précise dans la matinée...
Ha ...oui... à partir d'aujourd'hui, le système de crèche est opérationnel.
Vous pourrez poser vos enfants dès six heures du matin au bâtiment 4b et les récupérer au plus tard à huit heures du soir.
L'équipe qui s'occupera de vos enfants sera composé de ... »
Âpres avoir donné toutes les dernières nouvelles, je me suis rendu chez le docteur, afin d'apprendre les résultats de l'autopsie.


« Et bien, premièrement il ne fait pas partie du village, ensuite oui c'est un des notre » Le notre signifiait E.T., étrangement les aliens ne se donnent pas de nom.
« Quelles sont les causes du décès ?
-Et bien pour tous vous dire, je n'en sais rien. D'après votre description de son agonie j'aurais pensé à un poison, mais je n'ai pas le matériel nécessaire à sa détection. »
J'ai haussé un sourcil, puisque je me retrouvais a devoir enquêter, autan le faire « à la Garrett »
« Je fais avec les moyens que vous m'avez fournis.
-Je ne vous ai pas critiqué, mais en imaginant qu'il soit mort d'empoisonnement.
Un empoisonnement visant à m'empêcher de l'interroger.
Il avait surement une cachette a poison, qu'il pouvait activer en cas de besoin.
-C'est se a quoi j'ai pensé aussi. J'ai donc ouvert son crane puis disséqué son cerveau à la recherche d'un emplacement a toxine, mais je n'ai rien trouvé.
J'imagine donc que sa mort a été causé par votre coup de coude dans l'estomac.
-Un coup dans l'estomac ne vas pas tuer quelqu'un, c'est forcement un empoisonnement volontaire.
-Mais comme je vous l'ai dit, je n'ai rien trouvé dans le cerveau.
-Et alors ? Le poison aurait pu être caché autre part que dans le cerveau.
-Vous voulez dire que la gélule toxique était dans son estomac et que vous l'avez fait éclater en le frappant ?
-Ca m'étonnerais... Avouer que ça serait complètement idiot.
-Alors où ?
-Les dents, il aurait pu cacher du poison dans une fausse dent qu'il aurait ensuite fait éclater.
-Dans une dent ? Mais c'est complètement farfelue, qui pourrait faire une chose pareille ?
-Une personne assez taré pour se mettre du poison dans le cerveau mais n'en n'ayant pas l'idée ou ne disposant pas des moyens de le faire. » Et puis à l'époque Terrienne, ça ce faisait bien.

Le médecin sortit immédiatement une pince de son attirail et entreprise d'arracher les dent de son « patient » une par une, un vrai dentiste.

« La ! Regarder, vous aviez raison, il cachait du poison dans une molaire. Mais pas une fausse. »

J'ai de nouveau haussé un sourcil, afin de lui demandé de continuer.

« Et bien, en y regardent de près... » Le bougre examinait la dent avec une sorte de loupe.

« On vois de petits impactes à l'intérieur de la dent, comme si elle avait été creuser avec une sorte de petit burin. Si il n'était pas anesthésie, cet homme a du souffrir. »

Non content de ne pas ce donner de nom, les E.T. ce considèrent généralement comme des hommes, des hommes différents des Terriens, mais des hommes tout de même.
D'ailleurs il est intéressent de remarquer que le langage des E.T. est extrêmement proche du notre (a vraie dire ils parlent maintenant notre langue, mais même avant que nous les vainquions, leur langue ressemblait étrangement au français).

« Sa fait très... secte ou du moins groupe du même genre cette histoire de dent.
-Oui, mais je ne connais aucun groupe faisant sa.
-Moi non plus, merci. Si possible , essayer de tirer tout ce vous pouvez du corps avant qu'il ne se décompose. »

N'ayant pas de chambre froide, la décomposition serait rapide.

Je me suis ensuite rendu voir Mogard.

Version tek de l'autopsie c'est quelque chose. Sans stétoscope pour moi cela reste un mystère.
Sinon il semblerait que tu as inversé presque tous les S et les C.

"Sinon il semblerait que tu as inversé presque tous les S et les C." ?
Pour les c/s'est ?

ne pas ce donner " se donner
Sa fait très" Ca fait...

ok, je vais corriger (je connaissait plus la regle)

en attendant, la suite (un chapitre assez gros (enfin dans la limite du raisonable)) :

Chap.12

Quand je suis arrivé au furtif, la musique des stooges résonnait violemment dans le vaisseau.
Comme quoi Mogard a des bons côtés.
Ce dernier était en train d'examiner l'armement du furtif afin de trouver le meilleur moyen de l'enlever du vaisseau sans pour autant causer des dommages irrémédiables, c'est qu'on l'aime bien ce vaisseau.
Rek était un peu plus loin, examinant une autre partie de l'armement du vaisseau, je me suis d'ailleurs surpris à me demander si Rek appréciait la musique des stooges, ou si après avoir demandé sans réussite à Mogard de l'éteindre, il avait dù se résigner à l'écouter.
J'avoue avoir du mal a imaginé Rek appréciant ce genre de musique, mais qui sait ?
En fait, je le verrais plus assis sur un fauteuil, un verre de whisky à la main, le regard vide, en train d'écouter un « in a silent way » ou un « kind of blue ».
Hélas, de nos jours plus personne ne s'y connait en musique.
La seule musique que les gens connaissent est celle qui passe dans les ascenseurs et les salles d'attentes. Une musique qu'ils subissent plus qu'ils n'écoutent.
C'est pour ça que j'ai toujours mis un point d'honneur à faire écouter de la musique à mon équipage.
Bref, j'étais donc allé voir Mogard afin de lui demander d'effectuer quelques recherches sur cette planète.
« Said do you feel it when you touch me? Said do you fee...
-Mogard ?
-Eu.. cap? Qu'es que je peux faire pour vous ?
-L'ordinateur central fonctionne toujours ?
-Oui.
-Bien, tu as accès a internet ?
-Non capitaine, il y a quelque chose qui bloque tous signaux voulant quitter ou pénétrer cette planète.
-Dommage, une idée de ce qui bloque ?
-Non.
-Vraiment dommage... Tu peux tenter de le contourner ?
-Non, mais si vous voulez je dispose d'une sauvegarde de toutes les données trouvables sur internet et ceci il y a un an, ainsi qu'une sauvegarde des données d'il y a 51 ans, ainsi que celle d'il y a 101 ans et ainsi de suite depuis la création de l'internet à l'échelle universelle, c'est à dire, depuis le début de la conquête de l'espace.
-Vraiment ? Pourquoi avoir toutes ces données ?
-Et bien, comme vous le savez surement, l'empire efface et modifie des données sans arrêt afin de cacher certaines choses. »

Notre Mogard est un fervent adepte de la théorie du complot, théorie qui bien qu'un peu radical à mon goût n'est certainement pas entièrement fausse.
« Et donc en sauvegardant la base de données tous les cinquantes ans, on peut voir les modifications effectuées par l'empire et s'assurer d'avoir les informations telle qu'elles étaient avant d'être manipulées.
-Intéressent, regarde dans la base de donné la plus ancienne s'il y a des traces de cette planète.
-Et bien... Oui, il y en a, lors de la toute première sauvegarde, cette planète était indiquée dans la carte galactique.
-Qu'es qu'ils disent dessus ?
-Et bien, c'est écrit : « Pas encore explorée ».
-Et a la sauvegarde suivante ?
-Alors... Plus aucune trace, cap.
-Hum... merci Mogard. »
Rien dans les dernières nouvelles n'infirmaient mon actuelle théorie sur cette planète .

« Peux tu savoir approximativement quand cette planète a disparue ?
-Et bien, dans la deuxième sauvegarde, il existe quelques allusions à cette planète, surement des informations passez au travers du filtre de la manipulation d'information de l'empire. D'ailleurs, ces informations n'existent plus dans les sauvegardes suivantes.
Je filtre le contenue...
Un ordre de mission concernant l'exploration de cette planète, il date de 2121. »
Autant dire a peu près vingt ans après que nous commencions l'exploration de la galaxie et environ cinq ans après que la guerre contre les E.T. ai commencée.
« Et la planète a été explorée ?
-Oui, mais le rapport d'exploration est introuvable.
-Évidement... Merci Mogard. N'oublie pas de passer chez le médecin.
-Oui, cap. »
Cette fois ma théorie en prenait un coup, il était toujours possible qu'Audina ai un rapport avec la disparition de la planète, mais elle n'avait pas empêchée la découverte de la planète, puisque cette dernière avait été explorée officiellement.
La possibilité d'une volonté de cacher les expérimentations génétiques afin de ne pas abimer son image est donc à exclure, mais peut-être ont ils découverts quelque chose sur cette planète qui les a poussés à l'effacer des cartes.
Je n'ai plus qu'à découvrir quoi, ou à changer totalement de théorie.


« Cap ?
-Oui ?
-Vous croyez que c'est aussi celui qui m'a attaqué est aussi celui qui vous a attaqué ?
-Non.
-Pourquoi ? »
Je n'attendais que ça, docteur Watson.
« Et bien, un certain nombre de détails, premièrement les gardes m'ont dit avoir vu une personne sortir
-Mais il est possible que le mort m'est assommé avant de vous attaquer et qu'un deuxième personnage ce soit infiltré dans le camp pour une autre raison.
-Laisse-moi finir (je vous jure...), ensuite et c'est le point le plus important :
T'on homme a saboté le système de vol d'un vaisseau, il faut tout de même s'y connaître en technologie.
Par contre, le mien ne disposait certainement pas des connaissances nécessaires.
-Pourquoi ? »
A chaque fois il mord à l'hameçon.
« Et bien premièrement, il m'a attaqué avec un couteau, plus personne n'attaque à la dague alors qu'un tire de blaster suffit.
Ensuite, tu as vu ces vêtements ? Fait à la main.
Et pour finir, la dent, taillé au burin.
Ce ne sont pas des preuves indiscutables, mais il raisonnable de penser qu'il ait un niveau technologique assez bas et donc pas les connaissances nécessaires au sabotage.
Et puis ton intrus n'a pas voulu te tuer alors que le mien si.
-C'est quoi cette histoire de burin ? "
Apres lui avoir rapidement expliqué, je suis sortie
« Heu... Capitaine ?
-Quoi ? »
Décidément, il ne veut pas que je parte
« Pourquoi es qu'il ne m'a pas tué ? L'E.T. ?
-Je ne sais pas. »
La première fois que Mogard m'appelle capitaine, la première fois que ni sa voix ni son visage ne semblent se moquer de moi.
Bientôt je vais le surprendre en train d'écouter du Cohen.