Projet Eutopia

Salut, je déteste m'éparpiller mais je ne peux pas m'en empêcher
Voila donc mon projet de S-F, j'ai bien l'intention de le poursuivre.
je vous serais gré de bien vouloir lire et critiquer mon texte.

Voila le prologue.

Prologue :

Il paraitrait que tout capitaine d'un vaisseau doit tenir un journal de bord, jusque-là je m'en suis passé, mais hier mon équipage m'a offert un superbe petit cahier à la couverture en cuir noir et aux pages en papier de qualité ainsi qu'un magnifique stylo bille en acier brossé.
J'ai donc décidé qu'il était temps de m'y mettre.


Je me nomme Tek, Tek Ouldak, mais la plupart des gens se contentent d'un "capitaine", voir d'un "cap" pour certain.
Je suis le capitaine du « furtif » .
Nous sommes des mercenaires, mais ne vous y trompez pas nous ne somme pas pour autant des brigands, au contraire.
Mais commençons par le début :
Je suis né sur une des lunes de Bethesda. Dès que j'ai atteint l'âge de quitter ma maison, je me suis fait enrôler dans un petit vaisseau de commerce.
J'ai dû faire preuve d'une certaine capacité, car au bout d'un an j'étais déjà le second.
L'année suivante, le capitaine est mort et j'ai donc pris sa place.
Les choses ce sont plutôt bien passées, même très bien passées, car quatre ans plus tard j'avais assez d'argent pour changer de vaisseau.
C'est à ce moment que j'ai vu pour la première fois le Furtif, un ancien vaisseau de combat entièrement rénové.
C'était un vaisseau de petite taille particulièrement vif et maniable. De plus il bénéficiait d'un système de camouflage de très grande qualité (d'où son nom).
Bon, je ne vais pas vous mentir, la première chose qui ma séduit dans ce vaisseau était son prix, mais maintenant que je le connais bien, je crois pouvoir assurer que même plus cher il aurait valu le coup..
A ce moment mon équipage et moi avons décidé d'arrêter le commerce pour nous lancer dans le mercenariat.
Suivirent quatre autres années plutôt mitigées, nous gagnions de quoi vivre, mais guère plus, peux de personnes ne voulaient d'un vaisseau aussi peu expérimenté.
Je dois préciser que jamais nous n'avons accompli d'actes de piraterie.
Et tout ça nous amène a maintenant, nous venons d'embarquer clandestinement environ quatre-vingts personnes de la planète Oros que nous devons amener a Relacta.
Nous n'avons à l'heure actuelle pas eu d'ennuis et je pense pouvoir affirmer que personne ne nous a vu quitter l'atmosphère d'Oros.


Mon lieutenant se nomme « lieutenant », il a rejoint l'équipage peut après moi, il ne veut pas parler de son passé mais c'est un bon Lieutenant et ça me suffit.
Finalement je vais m'arrêter la pour l'équipage, je parlerais d'eux plus tard.

Le réacteur droit semble avoir quelques problèmes, j'ai demandé à Rek le mécanicien d'aller y jeter un œil.
Un bon mécanicien Rek, d'après lui il répare des vaisseaux depuis maintenant 40 ans, tout ce que je sais moi c'est que je l'ai recruté il y a maintenant un mois et que pour l'instant il ne m'a pas donné de raison de me plaindre.

jusqu'à la je m'en suis passé
---> jusque-là
un superbe petit cahier à la couverture en cuir noir et aux pages en papier de qualité dont la reliure est tout simplement parfaite ainsi qu'un superbe style bille en acier brosser.
---> répétition de « superbe », et qu’est-ce qu’une reliure parfaite ?
Je suis le capitaine du « furtif » ou du « fufu » comme on l'appelle ici.
---> je trouve personnellement le nom de « fufu » ridicule et pas du tout crédible. Si le personnel à bord a un tantinet de respect pour leur vaisseau, ils ne l’appellent pas comme ça
J'ai dû faire preuve d'une certaine capacité
---> d’une capacité à quoi ? Il faut le préciser, même si c’est évident
Bon, je ne vais pas vous mentir la première chose qui ma séduit dans ce vaisseau était son prix, mais je ne regrette pas de l'avoir acheté.
---> cette phrase est incompréhensible : si le prix était séduisant, cela veut dire qu’il était bas ; le « mais » suppose pourtant qu’il y a une opposition (donc que le prix était haut) ; ou alors, ce qui plaît à ton capitaine, c’est de payer cher un vaisseau ; mais ce n’est pas le cas, car plus tard, il explique que son équipage n’a pas beaucoup gagné les premiers temps
A ce moment moi et mon équipage avons décidés
---> mon équipage et moi
j'avais nous n'avons accompli d'actes de pirateries.
---> jamais
Et tout ça nous emmenent a maintenant, nous venons d'embarquer clandestinement environs quatre-vingts personnes de la planète Oros que nous devons maintenant amener a Relacta.
---> répétition de « maintenant »
Mais parlons un peu de mon équipage, en effet il serait injuste de ne pas parler d'eux, car un capitaine ne peut rien faire seul.
---> je supprimerais cette phrase
Finalement je vais m'arrêter la pour l'équipage, je parlerais d'eux plus tard.
En fait je crois que je n'ai plus rien à dire.
---> là, j’ai plutôt la désagréable impression que tu n’avais tout simplement plus d’inspiration pour ton histoire…

La lecture est agréable (en oubliant, au prix d’un gros effort, les fautes), et j’ai pris un certain plaisir à lire, donc c’est un bon point pour toi.

En revanche, je trouve le capitaine immature. Tu as réussi à décrire son côté pragmatique : tant qu’on fait bien le boulot, moi, ça me va, peu importe son passé, ce genre de choses. Mais l’écriture ne suit pas toujours. Des « moi » omniprésents, le « fufu », le « je n’ai plus rien à dire », tout cela a beaucoup nui à la crédibilité et la maturité de ton personnage à mes yeux. C’est dommage !

Tu auras remarqué que je n’ai pas corrigé les fautes.

En fait je suis assez triste parceque la j'ai rien a contredire
donc je vais mettre a jour le texte par contre tu aurait un jolie surnom mature pour le furtif ? (sinon je vais devoir abandoner le surnom)

a ba si enfait j'ai un tit desacord : pourquoi trouve tu
"Mais parlons un peu de mon équipage, en effet il serait injuste de ne pas parler d'eux, car un capitaine ne peut rien faire seul. "
inutile ?

Je ne vois pas spécialement l'intérêt de donner un surnom au furtif. "Le furtif", ça sonne bien, et ça suffit. Non ?

Je ne trouve pas la phrase inutile, mais maladroite et pas essentielle (donc euh un peu inutile, finalement ::rolling:.

Pense à bien fouiller tes personnages. Ne te focalise pas que sur le capitaine. Si ce n'est pas déjà fait, dresse une liste complète, avec les noms, prénoms, âge, passé. Plus tu varieras et approfondiras les personnalités, plus ton texte gagnera en crédibilité. Et tu n'auras pas de panne d'inspiration comme tu sembles en avoir eu...

lol, c'etait pas une pane d'inspiration, j'avais vraiment pas l'intention de parler plus de l'equipage (si j'avais decrit tout le monde sa aurait un peu long et chiant je pense)
Sinon ba alors oui je vais mettre juste Furtif
Et pour les personage bein disons qu'aux final je m'interesserai réellement qu'a quattre ou cinq (d'autan plus que bien qu'aux debut l'avanture commence dans le vaisseau et tout mais tres vites (enfin surement deux ou trois chapitre quand meme) l'aventure spatial va s'areter pour ce passer sur une planete jusqua la fin (je pense) d'ou le nom de l'aventure. (enfin c'est ce que j'ai prevu)

Et bon ba alors je vais enlever cette superbe phrase

J'oubliais : ce n'est pas un mal de "s'éparpiller", comme tu dis.

C'est bien de toucher à tout et d'entraîner sa plume sur d'autres sujets que la fantasy. Qui sait si un jour, tu ne te révèles pour un genre autre qu'elle ?

Personne d'autre ? (je sais que c'est pas bien de mendier mais le truc c'est que generalement une fois que le recit est lancé c'est a dire apres deux trois chapitres plus personne ne se rajoute aux critiques parcequ'il y a trop de chose a lire d'un coup)

J'arrive !

Tekmerak a écrit:

Prologue :

Il paraitrait que tout capitaine d'un vaisseau doit tenir un journal de bord, jusque-là je m'en suis passé, mais hier mon équipage m'a offert un superbe petit cahier à la couverture en cuir noir et aux pages en papier de qualité (je sais pas si ça se dit : je mettrais plutot "de papier de qualité") ainsi qu'un magnifique stylo bille en acier brossé.
J'ai donc décidé qu'il était temps de m'y mettre.


Je me nomme Tek, Tek Ouldak, mais la plupart des gens se contentent d'un "capitaine", voir d'un "cap" pour certains.
Je suis le capitaine du « furtif ».
Nous sommes des mercenaires, mais ne vous y trompez pas nous ne sommes pas pour autant des brigands, au contraire.
Mais commençons par le début :
Je suis né sur une des lunes de Bethesda, (je mettrais un point ici) dès que j'ai atteint l'âge de quitter ma maison (et là une virgule) je me suis fait enrôler dans un petit vaisseau de commerce.
J'ai dû faire preuve d'une certaine capacité, car au bout d'un an j'étais déjà le second.
L'année suivante (là aussi une virgule) le capitaine est mort et j'ai donc pris sa place.
Les choses se sont plutôt bien passées, même très bien passées, car quatre ans plus tard j'avais assez d'argent pour changer de vaisseau, (je mettrais un point ici aussi, et tu recomences une phrase à partir de "c'est") c'est à ce moment que j'ai vu pour la première fois le Furtif, un ancien vaisseau de combat entièrement rénové.
C'était un vaisseau de petite taille particulièrement vif et maniable. De plus il bénéficiait d'un système de camouflage de très grande qualité (d'où son nom).
Bon, je ne vais pas vous mentir (virgule) la première chose qui ma séduit dans ce vaisseau était son prix, mais maintenant que je le connais bien (virgule) je crois pouvoir assurer que même plus cher il aurait valu le coup..
A ce moment mon équipage et moi avons décidé(pas de "s") d'arrêter le commerce pour nous lancer dans le mercenariat.
Suivirent quatre autres années plutôt mitigées, nous gagnions de quoi vivre, mais guère plus, peux de personnes ne voulaient d'un vaisseau aussi peu expérimenté.
Je dois préciser que jamais nous n'avons accompli d'actes de piraterie(pas de "s" non plus).
Et tout ça nous emmenent ("nous amène" plutot) a maintenant, nous venons d'embarquer clandestinement environ(pas de "s") quatre-vingts personnes de la planète Oros que nous devons amener a Relacta.
Nous n'avons à l'heure actuelle pas eu d'ennuis et je pense pouvoir affirmer que personne ne nous a vu(pas de "s") quitter l'atmosphère d'Oros.


Mon lieutenant se nomme « lieutenant », il a rejoint l'équipage peut après moi, il ne veut pas parler de son passé mais c'est un bon Lieutenant et ça me suffit.
Finalement je vais m'arrêter la pour l'équipage, je parlerais d'eux plus tard.

Le réacteur droit semble avoir quelques problèmes, j'ai demandé à Rek le mécanicien d'aller y jeter un œil.
Un bon mécanicien Rek, d'après lui il répare des vaisseaux depuis maintenant 40 ans, tout ce que je sais moi c'est que je l'ai recruté il y a maintenant un mois et que pour l'instant il ne m'a pas donné de raison de me plaindre.

Bon, à part les fautes d'orthographes (je sais pas vraiment si j'ai tout corrigé) et les quelques phrases que je trouve un peu lourdes, ton texte m'a plu.

C'est léger, l'emploi de la première personne est bien joué : on s'attache plus à ton personnage et ça crée plus de liens, vu que quelques fois, il s'adresse directement à nous (normal, c'est un journal de bord en meme temps ::rolling:: ).

Aprés pour l'intrigue, pour l'instant j'ai l'impression que je vais me retrouver avec un scénario de SF banal, mais ça, c'est à toi de me le montrer.
Et puis, je ne peux pas vraiment juger (c'est un peu court), j'attends la suite

Deja merci de ta critique et pour le scenario ne t'inquiete pas (enfin si enfait tu peu) j'ai pas l'intention de faire un truc de SF banal (apres faut voir si je vais y arriver)

On ne deçoit pas ses lecteurs ... Alors t'as pas interet à faire un truc mille fois vu !

Bon allez le premier chapitre, rien de tres original mais il faut deja faire partit du genre pour pouvoir le revolutioner :

Chap 1 :


Alors que nous survolions la planète de Pangle, Rek vint m'apprendre que le réacteur droit était foutu et qu'il fallait d'urgence le remplacer.
« Tu es sur ?
-Oui capitaine, le réacteur tiendra tout au plus deux heures avant de lâcher.
-Bon, je vais voir ce que je peux faire. »


Je me suis dirigé vers la salle de contrôle, c'était une vaste salle ronde, contenant un super-ordinateur et une dizaine d'écrans.
Le super-calculateur était assez vieux et limite obsolète, en effet dans les derniers modèles de vaisseaux les ordinateurs gèrent le vaisseaux automatiquement et peuvent même vous parler.
Le notre, lui, se contentait d'émettre un bruit de ventilation couvrant celui des réacteurs ainsi qu'un très désagréable sifflement quand il se mettait à bugguer autant dire au moins une fois par jour.
La salle de contrôle servait à surveiller l'intérieur du vaisseau ainsi que son extérieur via un certain nombre de caméras.
C'était aussi là qu'on établissait les itinéraires grâce aux nombreuses cartes interstellaires stockées dans le serveur central de l'ordinateur et qu'on contrôlait l'ouverture du sas, des portes sécurisées, des lumières ...
En fait cette salle représentait en quelque sorte le système nerveux du vaisseau.
Ha et on pouvait aussi regarder des films et écouter de la musique (souvenir de la glorieuse époque terrienne).


Le coordinateur (puisqu'aux final c'est sa fonction), Mogard, est un petit homme blanc aux cheveux noirs coupés courts, il as de petits yeux et une moustache qui lui donne un air sournois.
Il était confortablement installé dans un fauteuil a haut dossier en train de lire S-O Mag (Super-Ordinateur Magazine)
En me voyant entrer, il a tout juste tourné une page.
Oui, Mogard n'était pas le genre à faire du lèche-bottisme devant un officier.
Vraiment pas d'ailleurs, Mogard est une sorte de génie dans son domaine, très peu de personnes ne peuvent rivaliser avec lui.
Ainsi donc après être sortit diplômé avec mention "excellent" de la très prestigieuse école d'informatique de Bethesda, il avait été engagé à bord de l'Imperium, le fleuron de la flotte impériale.
Mais il fut très vite licencier pour insubordination et manque de respect.
Pendant les quatre années qui suivirent il passa son temps à se faire engager puis renvoyer des plus puissants vaisseaux de l'espace.
A ce que j'ai compris il rejoignit l'équipage deux ou trois années avant moi.
Il avait un immense respect pour mon prédécesseur qui lui avait offert une chance de faire preuve de ces capacités.
Mais envers moi c'est une autre histoire, celons lui je n'aurais jamais du devenir capitaine et il le disait à qui voulait l'entendre.
Le lieutenant me dit souvent que je devrais le virer et il a surement raison, mais je n'arrive pas à m'y résoudre, des gens aussi doués on en croise pas souvent.

« Alors, cap ? (Chez lui ce mot prenait des consonances péjoratives voir insultantes) On a des emmerdes ?
Possible, regarde s'il y a un réacteur de type AK43 disponible sur Pangle. »
En effet, l'OUC (Organisation Universelle du Commerce) avait mis en place un « réseau informatique interstellaire » sur lequel chaque planète devait indiquer les ressources dont elle disposait, leurs tarifs et bien d'autres choses.
Ce réseau ce nomme « Internet » mais ne me demander pas pourquoi.
« Ils n'ont pas de AK43, mais ils ont un AK42 et un BG43 ... Cap.
-ok, merci » Je fais ce que je peux pour ignorer ces « Cap », peut être qu'un jour il se lassera, a moins que je le vire avant.
Je suis allé voir Rek pour savoir s'il pouvait s'arranger avec un AK42, mais j'en étais à vrai dire convaincu.
Il m'assura que oui, je me suis donc rendu dans la cabine de pilotage.
Le furtif n'avait pas de système de pilotage automatique, ainsi donc nous étions deux à piloter a tour de rôle, moi et le lieutenant. De temps en temps Rek ou un autre nous remplaçait, en effet j'avais veillé à ce que chaque membres de l'équipage soit capable de piloter en cas d'urgence.
Celui qui pilotait en ce moment était lieutenant.
Il s'était opposé a notre projet de mercenariat, mais il est tout de même resté, par respect pour moi disait-il.
« Capitaine ?
-On va se poser sur Pangle.
-Vous voulez que je m'occupe de demander l'autorisation ?
- Non, c'est moi le capitaine, il faut quand même que je fasse quelque chose. »
J'ai pris le microphone
« Mogard, met moi en communication avec le spatioport de Pangle
- Tout de suite, Cap. »
Lieutenant me dévisagea longuement avant de me dire encore une fois « Vous ne devriez pas le laisser vous parler comme ça, capitaine »
Mais avant que je puisse lui répondre, une voix féminine est sortit des hauts-parleurs.

« Capitaine ? Ici le spatioport.
- Bonjour, ici le capitaine Ouldak, commandant du furtif, immatriculé 98775-T4MRAK. J'ai un réacteur en panne. Demande autorisation d'atterrir celons les termes de l'article 4 alinéa 3 du règlement interstellaire.

-Autorisation donnée, vous pouvez-vous poser sur l'emplacement b4.
-Merci. »

Quelques maladresses encore dans le récit, mais ça continue de se lire facilement et avec toujours ce même plaisir.

Le clin d'oeil à Internet, apparemment inconnu du capitaine, est très sympathique.

Encore une fois, j'ai bien aimé le personnage que tu nous décris : Mogard. Doué et insoumis, voilà qui promet des tensions comme il le faut.

Sinon, on ne s'identifie pas, avant d'atterir sur une planète ? Bonjour, ici le capitaine (nom du capitaine) du furtif, immatriculé (chiffres chiffres et/ou lettres lettres). J'ai un réacteur en panne. Demande autorisation d'atterrir.

Quelque chose dans ce genre...

Bon, ben en somme, j'ai dit plein de choses positives ! Et en plus, bravo pour l'orthographe, je trouve que c'est beaucoup moins horrible que d'habitude.

Juste quelques repetitions:

Citation :

un super-ordinateur et une dizaine d'écrans.
L'ordinateur était assez vieux et limite obsolète

tu peux utiliser super-calculateur à la place de super ordinateur pour limiter la repetition

Citation :

Ainsi donc après être sortit diplômé avec mention "excellent" de la très prestigieuse école d'informatique de Bethesda, il avait été engagé à bord de l'Imperium, le fleuron de la flotte impériale.
Mais il fut très vite licencier pour insubordination et manque de respect.
Pendant les quatre années qui suivirent il passa son temps à se faire engager puis renvoyer des plus prestigieux vaisseaux de l'espace.

Citation :

(Organisation Universelle du Commerce) avait mis en place un « réseau informatique universelle »

tu peux utiliser "intersetellaire"

Bon j'attend la mise en place de l'intrique,

J'ai mis a jour, merci a vous deux

Chap 2, je continue tranquillement a mettre en place l'univers et les personnages:

Pangle est une dite « dépôts », l'emplacement B4 n'était qu'un simple carré de terres battues.
« Capitaine ?
-Oui ?
-Demande permission de vous accompagner lors de la sortie afin de réapprovisionner le vaisseaux en nourritures. » Notre vaisseaux avait en effet un cuisinier, la plupart des vaisseaux de notre taille ne s'encombrent pas de cuisinier et mangent des plats tout fait, mais je n'ai jamais pu me faire à cette nourriture aseptisé, ainsi peu après être devenue capitaine j'ai décidé d'engager un cuisinier.
« Cet arrêt n'était pas prévu au programme, tu es donc sensé avoir assez de provision pour tenir jusqu'à la prochaine escale planifiée.
-En effet capitaine, mais je pensais que vous auriez apprécié de manger des spécialités local ce soir. »
Il s'appelle tout simplement « cuistot », car comme beaucoup de « marins » (ce terme remonte selon toute vraisemblance à l'époque Terrienne) il a décidé de changer de nom afin de laisser son passé derrière lui.
Cuistot est un homme plutôt jeune, au visage gras, aux yeux bridés et à la peau mat.
Il voue une réelle passion à la nourriture et se décarcasse comme un beau diable pour que chacun de nos repas soit excellent et original.
« Tu peux venir, mais ne fait pas de vagues. » Quand on me prend par les sentiments.
-Merci capitaine »

Ainsi, Rek, cuistot et moi avons quittés le vaisseau, laissant le commandement a lieutenant.
Le statioport de Pangl était une petite ville délabrée, rappelant un peu les villes des vieux western Terrien.
Nous nous sommes rendus directement dans les bureaux de l'UFMS
« Bonjour, je suis le capitaine du furtif immatriculé 98775-T4MRAK, j'ai cru comprendre que vous aviez en stock un réacteur de type AK42. »
Il me faut la préciser un point, L'UFMS (Union des Fournisseurs de Matérielle Spatial) a dans chaque spatioport un bureau avec un entrepôt afin de fournir carburant, denrée et matérielle de réparation aux vaisseaux faisant halte.
C'est extrêmement commode, mais ils pratiquent des tarifs excessifs, d'autant plus révoltants qu'ils bénéficient de subventions de la part de l'OUC et de quelques autres groupes.
« En effet, ça fait 50 000 deniers » Les deniers sont la monnaie universelle.
J'ai sorti de ma poche la somme adéquate (je paie toujours en liquide, je n'ai jamais eu assez confiance dans une banque pour lui laisser mon argent en échange d'un morceau de plastique)
Je lui ai demandé de livrer le réacteur à l'emplacement B4, puis nous sommes repartit.
Nous avons ensuite cherché une petite épicerie afin de permettre à cuistot de nous préparer un festin.
Âpres avoir passé une demie heure à fouiller la boutique, il sortit ravit
« Ce soir cap, je vais vous préparer un de ces plats, on appelle ça le Courkouna. On prend des carottes, des pommes de terres et des courgettes, on les épluches puis... »
Pendant que Cuistot nous parlait nous avancions tranquillement en direction du vaisseau.
« On rajoute de l'ail avec des oignon grillés à l'huile d'olive, puis une pincée de curcuma. ... »
Cuistot s'interrompit brutalement.
En face de nous un homme, un blaster à la main visait tranquillement une petite créature humanoïde, dont le corps, bien que semblable au nôtre, était couvert de longs poils noirs.
Seul son crane semblait miraculeusement échapper à cet étonnent duvet.
Ses yeux de couleur jaune étaient bien plus grands que ceux d'un humain normale.
Son crane n'ayant aucun cheveux, était recouvert d'une « peau » semblait d'une dureté a toute épreuves.

L'homme, nous voyant le dévisager se tourna vers nous et nous jetât un regard de défi.
Rek par prudence avait sortit son blaster.

Si l'inconnu se permettait de nous dévisager ainsi c'est qu'il était hélas dans son droit le plus total.

En effet, lorsque la Terre réussit enfin à créer des vaisseaux capables d'atteindre la vitesse de la lumière, elle partit explorer l'univers et rencontra très vite d'autres forme de vies intelligentes.
Les 560 années suivantes furent consacrées à la guerre entre l'humanité et les autres, durant cette guerre la planète Terre fut hélas détruite.
Finalement l'humanité gagna et parquât ces adversaires sur quelques planètes, ces lieux portant familièrement le nom de planètes dépôts, au fil du temps l'empire y déversât aussi une partie de ces prisons.
Les planètes dépôts sont généralement très pauvres, écrasées de taxes.
De plus n'importe qui a le droit d'aller sur une de ces planètes et de tuer quelques-uns de ces habitants pour s'amuser, la loi l'autorise et même l'encourage en interdisant aux victimes de se défendre.
La loi oblige aussi ces villes à se doter d'un spatioport afin d'accueillir les visiteurs, qui la plupart du temps ne viennent ici que pour le plaisir de canarder quelques « monstres ».

J'ai continué à marcher en direction du Furtif, Cuistot lui c'était arrêté, pétrifié.
Je lui ai indiqué d'un signe de tête de continuer, malgré quelques réticences, il finit par me suivre.
L'allien et son tortionnaire était sur notre route, nous nous rapprochions d'eux, l'homme continuait de nous dévisager.
J'ai fait de mon mieux pour éviter de le regarder, torse bombé, tête haute je l'ai frôlé, calculant le nombre de gestes qu'il m'aurai fallu pour lui faire ravaler son sourire narquois.
Derriere moi, Cuistot le dévisageait carrément, il tremblait presque.
Puis continuant notre route nous nous sommes éloignés de l'homme.
Quelques mètres plus loin nous entendîmes une détonation dans notre dos.
Cuistot c'est alors tourné vers moi, sur le point de parler.
« Ce ne sont pas nos affaires Cuistot » J'avais parlé d'une voix sèche, trop sèche.
Rek a rapidement changé le moteur puis nous sommes repartit en direction Relacta.
Le diner du soir fut étrangement silencieux, même Mogard n'osait pas parler.
J'ai passé toute la nuit suivante à repenser à ce pauvre « monstre »

Nous avons ensuite cherché une petite épicerie afin de permettre a cuistot de nous préparer un festin.
Âpres avoir passé une demie heure à fouiller la boutique, il sortit ravit " pourquoi tu passes du nous au il?

une créature verte pale a deux têtes, trois jambes et avec des tentacules à la place des bras. " Tu es fan de Men in black?

Cuistot se tourna vers et d'une voix faible me dit " Manquerait pass un mot par hasard?

"pourquoi tu passes du nous au il?" ba enfaite dans ma tete Le capitaine et Rek l'on attendu a l'exterieur et puis eu ils ont pas de raison d'etre ravie apres 30min de fouille dans une epicerie miteuse.

"Tu es fan de Men in black?" Boa, je voulais decrire un extra terrestre alors j'ai sortit ce qui me passait par la tete

"Manquerait pass un mot par hasard?" Si, je le remet tout de suite

Pas grand chose à en redire.
Juste quelques bricoles pour que ton texte évite les clichés de la SF.

Evite d'utiliser les choses comme réacteurs AK43; AK44...Ici, il n'y a rien de dérangeant certes, mais en SF on a vite tendance à utiliser des expressions sans aucun sens afin de souligner une complexité scientifique. Ses termes sont généralemet employés par des auteurs de seconde zone, qui ne connaissant rien à la techonolgie, pensent que mettre un truc du genre, "j'ai acheté un hyper-compreseur à particules d'ions ZGH75" améliorera le côté
scientifique de son oeuvre.

Dans le même ordre d'idée, je ne sis pas fan des E.T proche du cartoon. J'ai rien contre le tien, mais tente plutôt de le rendre plus crédible.

Bon courage.

J'ai lu :pirat:


Alors, je ne corrigerai pas les fautes. Apparemment tu fais des efforts, mais il reste quelques fautes d'ortho un peu partout. On peut considérer ça comme un détail, ma fois, concentrons-nous sur d'autres points.

Je pense que tu as un léger problème de ponctuation. Toutes tes phrases se ressemblent un peu au niveau de l'intonation : lis ton texte à voix haute, et tu remarqueras par toi-même que c'est un peu "plat" comme texte, tout du moins au niveau de la ponctuation. C'est un point de vue personnel.

On remarque aussi que tu as beaucoup d'idées qui te viennent en un seul coup. C'est ça aussi l'art d'écrire : savoir garder les idées en tête et les étaler lentement, ne pas tout mettre d'un coup, savoir gérer les informations. Moi je trouve ton texte légèrement "brouillon", pas tellement structuré.

Je pense que pour ton premier récit de SF tu ne devrais pas essayer de révolutionner le genre. En fait, je pense que c'est plus enrichissant de faire un récit SF qui soit trèèèèèèès stéréotypé pour un premier texte plutôt que vouloir sortir des sentiers battus. C'est sûrement le meilleur moyen d'apprendre à écrire un genre : faire comme tous les autres, rester sur un chemin banal histoire de s'habituer un peu.

Sinon, il manque un peu de détails, je trouve On ne visualise pas très bien tes personnages et leur caractère. Bah, c'est sûrement aussi un point de vue personnel.

Sinon, globalement, moi j'ai apprécié. C'est assez simple, assez léger, assez standard.

Continue comme ça ::rolling::

"On remarque aussi que tu as beaucoup d'idées qui te viennent en un seul coup" Si tu savais toute les idée que je me suis astrein a ecrire plus tard ...

"il manque un peu de détails" Ba disons que moi j'aime pas quand il y a trop de description et tout du coup j'essaie d'étaler sur le temps.

"E.T proche du cartoon" Tu veux parler de mon extra-terestre ?
Si oui ba moi non plus j'aime pas trop mais enfaite c'est que je veu vraiment les différencier des hommes donc j'exagere forcement, mais je vais tenter de revoir sa description.


Sinon, ba merci a vous deux pour vos critiques

Salut, je me permet de vous soumetre le chapitre 3 de ce recit, merci d'avance pour vos critiques


Chap 3 :


Les jours qui suivirent furent plutôt calmes, jusqu'à ce matin.
C'était au demeurant un matin tout ce qu'il y a de plus normale, je me suis levé, me suis habillé puis suis allé prendre la relève de lieutenant.
Et je profitais tranquillement de ce moment de solitude pour écouter un peu de musique (C'était du King Crimson, musique des années 1960 si je ne m'abuse), quand tout à coup une voix est sortit des enceintes, c'était celle de Mogard
« Cap, un vaisseaux impérial tente de rentrer en communication avec nous.
-Passe le moi. » Cinq secondes plus tard une nouvelle voix retentissait
« Capitaine du vaisseau 98775-T4MRAK ? Ici la police interstellaire, répondez.
-Oui, que puis-je pour vous ?
-Vous êtes soupçonné de cacher des êtres non humain dans votre vaisseaux et celons l'article neuf, alinéa trois de la convention inter-galactique, « Les non-humains ne sont pas autorisés à quitter leur planète, tous ceux qui les aident a s'enfuir sont des criminels. » Nous vous demandons donc de vous arrêter afin que nous puissions procéder à une fouille.
-Je... Bien. » J'ai stoppé les moteurs et ai activé les stabilisateurs.
« Merci de votre coopération » La première question que je me suis posée fut : Comment ont-ils su ?
Puis : Qu'est-ce que je vais faire ?
Et enfin : Est-ce que la nourriture dans les prisons est aussi infecte qu'on le dit ?
Une fois ma dernière question posée, j'ai décidé de me concentrer sur la deuxième, j'ai pris le microphone « Mogard, met moi sur les amplis du vaisseau »

« Mesdames et messieurs, j'ai le regret de vous informer qu'à l'instant même un croiseur impérial s'apprête à nous fouiller à la recherche de passagers clandestin.
Je vous demanderais de garder votre calme et de ne pas faire d'opposition, cette dernière ne pourrait qu'aggraver votre situation » Surtout la mienne enfaîte.
« Cap ! Un second vaisseau est en approche.
-Un impérial ?
-A priori oui, cap.
-De toute façon sa ne change rien pour nous. Mogard, la peine pour transport de passager clandestin est bien de 200 000 deniers ?
-Non cap, ils ont changé la loi ce matin même, maintenant c'est ... la peine de mort ! Cap ! Il faut qu'on se barre !
-Tu te moque de moi ? La peine de mort ?
-Non cap, c'est vrai je vous assure. »


Je me suis dirigé en courant vers la salle de contrôle afin de vérifier par moi-même. Cette information changeait complètement la donne.
Mogard était, comme à son habitude, installé sur son fauteuil en cuir, mais il trépignait littéralement.
A coter de lui était posé son blaster prêt à servir « Cap ! Cap ! Regardez, c'est écrit ici. » Il me montrait un écran du doigt, j'ai regardé et en effet, quelques heures plus tôt la loi avait été modifiée.
J'ai tenté de chercher calmement une solution, j'aurais pu jouer sur la non-rétroactivité de la loi, mais les impériaux ne sont pas du genre à s'embarrasser de ce genre de détails.
« Capitaine, qu'est-ce qu'il se passe ? » C'était lieutenant qui me posait cette question, visiblement, il venait de sortir de sa couchette.
« Les impériaux vont fouiller le vaisseau à la recherche de passager clandestin.
-m***e, on a de quoi payer ? » Je n'ai pas su quoi répondre et me suis contenté de l'observer.
« Ils ont modifié la loi, maintenant c'est la peine de mort » C'est Mogard qui avait répondu, en temps général Mogard et Lieutenant ne s'adressait pas la parole, mais la fin justifie les moyens comme on dit.


« La peine de mort ? Capitaine, il faut fuir.
-Oui cap, il a raison.
-Je... Je ne pense pas que nous ayons les moyens de fuir un croiseur impérial.
-Mais cap, autant tenter de s'enfuir, si on reste, on est mort.
-Pas forcement, enfaîte nous avons embarqué les passagers avant que cette loi ne soit mise en place et en raison de la non-rétroactivité de la loi, nous sommes censés être punit par l'amende de 500 000 deniers alors en place.
-Vous croyez a vos conneries cap ?
-Hé, surveille ton langage, tu parles à un officier supérieur
-Supérieur en quoi ? En lèche-bottisme ?
-Ferme ta grande gueule avant que je m'en charge avorton.
-Haha, laisse-moi rire.
-Fermez la tous les deux ! » Je crois que je préférais quand il ne s'adressait pas la parole.
« Sinon quoi, toi aussi tu veux me la fermer cap ?
-Ne lui parle pas comme ça. » Une déflagration a retentit, les deux hommes se sont tut sur-le-champ.
Nous nous sommes tous les trois précipités vers l'écran montrant l'extérieur du vaisseau. Les deux croiseur impériaux échangeaient des coups de feux.
« purée qu'est-ce qu'il se passe ? Cap, c'est peut-être le moment de filer.
-Il a raison, l'occasion ne se présentera plus. »
J'ai observé les deux hommes « On y va »


Je me suis précipité vers la cabine de pilotage, suivis de près par Lieutenant.
Une fois sur place j'ai pris la place de pilote et ai lancé le vaisseau a toute vitesse. J'ai ensuite pris le microphone « Mogard, qu'elle est la planète, que nous voyons ?
-Une planète sans nom, cap, certainement inhabité.
-Pourquoi ?
-Je ne sais pas cap, je n'ai aucune information sur cette planète, d'après l'empire elle n'existe même pas.
-Où est la planète habitée la plus proche ?
-A 2h après celle là.
-Bien on y va. »
Je me suis détendu quelque peu.
« Cap ! Cap ! Les croiseurs semblent s'intéresser à nous »
« Cap ! Ils nous tirent dessus !
-Mais... Ils ne se battent plus entre eux ?
-Si, mais ils nous tirent dessus en même temps.
-Passe moi Rek »


« Rek ? Ici le capitaine, dit moi le bouclier peut-il tenir ?
-Non capitaine, il lâchera dans cinq ou six tirs, mais qu'est-ce qu'il se passe ?
-Plus tard Rek, plus tard. Dévie la puissance du bouclier sur les réacteurs.
-Mais capitaine, ça nous rendrait vulnérable a leurs attaques.
-Exécute.
-C'est fait capitaine » Cette accélération désespéré était censé nous permettre de survivre.
« Capitaine, ils ont touché le réacteur droit !
-Pourquoi le réacteur droit m***e tout le temps ?
-Pardon ?
-Non, rien. Combien de temps va-t-il tenir avant de lâcher complètement ?
-Deux-trois minutes capitaine.
-Heu... Capitaine si je peux me permettre nous devrions nous poser sur la planète inconnue. » C'était lieutenant
« En effet. »
J'ai modifié la trajectoire du furtif.

Je n'ai pas lu le dernier post, mais celui d'avant.

Je trouve que ton récit a un peu perdu en maturité et devient "Star Warsien" (j'adore Star Wars cela dit, mais pour le coup, tu deviens moins original). Que ce soit dans la forme ou dans le fond, j'ai ressenti comme une "baisse". Par exemple, le dialogue entre Cuistot et le capitaine est plutôt mièvre. Ca fait un peu :
"Oh mon Dieu, un alien qui va se faire tuer. Sauvons-le. Toute vie a un prix inestimable"
Je n'y ai pas trop cru.

Je n'ai également pas trop aimé comment tu introduis des informations. Ca fait trop "exposé scolaire", si tu vois ce que je veux dire. Essaie de plus les insérer dans ton récit, plutôt que faire une sorte de documentaire historique. Enfin, tout ça, c'est mon avis, hein.

Je trouve que ton récit a un peu perdu en maturité et devient "Star Warsien"

ba heu, en quoi est il moin mature ?
Et pour le star wars ba dè que c'est dans l'espace sa me fait penser a sa donc ...

pour les informations du veux parler du premier paragraphe ?
Si oui ba c'est un peu fait expres sinon ba...

Pour le dialogue ba oui c'est plutot mievre mais sa existe dans la vrai vie (si je me fait bien comprendre)

sinon ba merci pour ton avis et je vais quand meme tenter de revoir le dialogue (ainsi que la description de l'E-T)

Oui, je parlais du début du post. Je pense qu'il serait mieux de le distiller dans le récit.

J'ai cité l'exemple du dialogue concernant l'alien pour illustrer ce que j'ai appelé baisse de maturité. La description de l'alien en elle-même est aussi un autre exemple... Tu as ajouté des tentacules et multiplié jambes et tête, il y a plus original, à mon avis, non ?

Tu as remarqué que tu as dit 6 fois "ba" dans ta réponse à mon commentaire ?

ba non

Pour l'allien et le dialgoue, sa fait un moment que je me dit que je dois changer mais je cherche encore comment.

Pour l'alien, creuse un peu ton imagination...

Pour le dialogue, tu peux à mon avis le supprimer, et à la place, tu installes plutôt un malaise, quelque chose comme : le capitaine et le cuistot marchent dans la rue. Sur le chemin, ils rencontrent un alien face à un homme qui veut le tuer avec son blaster. Cuistot s'arrête de parler de sa recette, mal à l'aise. Le capitaine n'est lui-même pas tranquille. Ils passent en silence devant l'alien et son meurtrier, avec une rage plus ou moins contenue. En fait, je vois mieux le capitaine dire "ce ne sont pas nos affaires" en voyant Cuistot qui est mal à l'aise.

Ce n'est qu'une suggestion...