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 L'empire des Pergaldor Tome 1

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MessageSujet: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 21:13

PROLOGUE

Les deux hommes s'arrêtèrent de marcher. Le plus grand ôta sa capuche, dévoilant son crâne chauve, ses traits durs et deux prunelles vertes. Il empoigna sa cape bleu sombre et la rabattit sur lui, dissimulant sa belle tunique noire. L’autre portait une longue robe bleue sombre recouverte d'une cotte de mailles. Il retira lentement une longue épée d’un fourreau de cuir brun qui pendait à sa ceinture. Puis il posa la pointe de l’arme au sol et attendit, regardant les hommes qui les encerclaient lui et son compagnon.
Il y avait en tout une douzaine d’hommes, de bons gars solides et musclés qui portaient tous un plastron de métal et arboraient un sourire moqueur. L’un d’eux, plus petit, s’approcha des deux hommes :

* « Mes seigneurs, votre or ou votre vie » annonça-t-il d’une voix grave.

Aucun des voyageurs ne parla, ils se contentèrent de regarder leurs tourmenteurs d’un air indiffèrent. Eux avaient sorti leurs armes et ne riaient plus, ils se faisaient plutôt menaçants et agressifs. Il y eut un sifflement strident et une hache se planta dans un arbre, près de l’un des deux hommes.

* «Alors, que décidez-vous ? » cracha le chef des bandits. «La vie ou …. »

Soudain, le chauve bondit. D'une main, il prit le crâne du meneur et le souleva du sol. De l'autre, il sortit une épée courte de son fourreau, puis d'un arc de cercle il trancha la gorge du brigand.

* « Que…?! Tuez-les ! » hurla l’un d’eux.


Le voyageur rangea tranquillement son épée dans son fourreau pendant que le dernier bandit s'écroulait, une large plaie en travers du torse. Il rabattit sa capuche sur son crâne et contempla la scène. A sa droite, trois bandits gisaient dans la boue. Leurs visages étaient crispés et leurs vêtements maculés de sang. Un quatrième était étendu au sol, sans vie, sa tête avait roulé à quelques pas de son corps et arborait des traits de terreur comme s'il avait vu un démon.
C’est alors qu’il entendit un bandit agoniser et hurler de douleur. Il se rapprocha du brigand, sortit à nouveau son arme et la planta dans le crâne du blessé, sans même le regarder. Une gerbe de sang gicla sur son épée. Délicatement, il la replaça dans son fourreau.
Puis il se retourna et vit quatre cadavres. Un autre bandit était mort un peu à l'écart, trois couteaux de lancés dans son dos. C’était le seul qui avait tenté de fuir, les autres avaient tous combattu ou n’avait pas eu le temps d’avoir peur.
Enfin, il dévisagea son compagnon qui n'avait pas bougé durant le combat. Il aurait pu l'aider tout de même ! Ses yeux brillèrent... Non ! Il n'avait pas besoin d'aide pour ce genre de vermine, il était un Léviathan !

* « Allons-y » proclama-t-il en souriant.


---------
Un peut court, je sais ^^
Vous pouvez toujours lire mes mini-histoires se situant dans le même univers, ici ou plein de choses sur l'univers : ici
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeSam 14 Fév 2009 - 10:27

[Désolée, j'avais critiqué hier soir mais n'ai pas pu poster le message pour cause de bug de connexion. J'ai gardé le texte, je te le mets ce soir. Il y a deux ou trois trucs que j'avais relevés...]
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeSam 14 Fév 2009 - 11:14

Bon, cela ce lit vite, pas prise de tête. C'est un bon point.

Maintenant le contenu est tout de même creux. Ok c'est que le prolongue. Il manque tout de même un petit côté un peu plus littéraire. Le genre de description que tu viens de faire c'est trés bien pour un jeu de rôle, un peu trop lèger pour un roman.

Maintenant je m'emporte peut être, il est difficile de donner un avis objectif sur si peu de lignes. Mais la première impression que j'ai eu en te lisant, et une impression de déjà lu. J'attend la suite pour en dire davantage.

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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeSam 14 Fév 2009 - 17:44

Comme Sombretoile, je trouve le début un peu léger, rapide et j'ai quelques critiques^^

- Tout d'abord, dans la première description, tu mets beaucoup trop d'adjectifs de couleur. Autant de précision n'est pas franchement utile, surtout en une fois, il vaut mieux les distiller peu à peu... Et certaines couleurs sont un peu inutiles, par exemple un fourreau est généralement brun. Tu ne dis rien de la texture des vêtements, de leur apparence, tu te fixes sur la couleur. La description des vêtements dès les premières lignes n'est pas un choix très judicieux, selon moi.
- L'association des verbes agoniser et hurler de douleur me gêne quelque peu... Généralement, on ne hurle pas quand on agonise, on halète, on respire difficilement, on gémit, geint etc mais on n'a pas assez de forces pour crier.
- Autre détail quand même assez important: on ne remet pas une épée dans son fourreau sans l'avoir nettoyée au préalable... Sinon la prochaine fois que l'on voudra s'en servir, la lame restera collée au fourreau. Pas terrible dans une situation d'urgence^^
-indiffèrent=> indifférent
-lancés => lancé /lancer (j'ai un doute, c'est l'un des deux)

C'est à peu près tout pour l'instant, le reste est affaire de détails. je trouve quand même que ton texte manque de description, on n'a aucune idée de l'endroit où se trouvent ces deux hommes, qui ils sont, d'où ils viennent... Mais je pense que c'est surtout dû à la courté du texte^^
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeMar 17 Fév 2009 - 19:12

Je suis assez d'accord avec les autres
Justeun autre point fais attention à tes constructions de phrases
D'une main, il prit le crâne du meneur et le souleva du sol."
Si tu lis cette phrase on pense qu'il a pris le crâne ce qui est difficile d'une main...
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeMer 18 Fév 2009 - 17:00

Citation :
C’est alors qu’il entendit un bandit agoniser et hurler de douleur.

Difficile à faire dans le même temps

C'est agréable à lire.
Un avis qui n'engage que moi: la fin met en scène tant de personnages que ce n'est pas simple de comprendre en première lecture.

Il va y avoir une suite ?
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeMer 18 Fév 2009 - 17:08

Merci a vous. JE vais prendre tout les avis en compte et refaire une nouvelle version, bientot, avant je termine le chapitre 1


Donc oui Gerard, il y a une suite ^^ c'est juste le debut d'un long roman :p
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeJeu 19 Fév 2009 - 10:46

Je suis d'accord avec les remarques des autres membres, mais il y a petit détail qui me gêne : "Il empoigna sa cape bleu sombre et la rabattit sur lui, dissimulant sa belle tunique noire. L’autre portait une longue robe bleue sombre". On dit une cape, mais on dit aussi une robe alors pourquoi l'adejectif "bleu" n'est pas accordé de la même façon ? Je ne sais pas moi-même laquelle des deux orthographes est la bonne, mais je pencherais plus pour "bleue". Quant à ton texte, même s'il est un peu léger, s'agissant d'un prologue je pense que ce n'est pas très problématique, tu devrais l'etoffer un peu comme on te l'a conseillé, mais ne pas trop le charger non plus.
Un autre détail me gêne après relecture, c'est le verbe "proclamer" de la fin. Il me parait pas très adéquat, ce ne serait pas plutot déclarer, dire ? Je trouve que proclamer fait un peu solennel, comme dans un discours primordial. Mais bon, ça n'engage que moi. En tout cas, j'ai hate de lire la suite, ton texte à l'avantage de donner envie de savoir ce qui va arriver ensuite.
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeJeu 19 Fév 2009 - 10:51

je pense que bleu sombre est une couleur adjectif composé donc invariable
et que noire est un adjectif simple qui s'accorde.

ordonna-t-il serait encore plus proche.
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeJeu 19 Fév 2009 - 19:31

C'est un prologue comme un autre, bon le coup du mec mysterieu qui bute 12 type comme ça, sa fait un peu rechauffer mais sa marche toujours.

Bref, rien de special a dire pour une intro comme sa, le plus important c'est pas le prologue mais l'histoire
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 11:13

Voici la première partie du chapitre 1. Je m'excuse d'avance de l'orthographe, j'ai beau passé une heure dessus, je n'en vois plus ... Mais il doit en rester plein Shocked
Voila c'est assez long, mais déjà que j'ai couper le premier chapitre en 3, je vois pas comment je pourrait couper cette partie ...

Citation :
Les arbres semblaient sommeiller, enracinés dans la terre sèche du bois et bercés par les douces mélodies des oiseaux. Leurs cimes étaient basses et de gros buissons parsemaient la forêt, de tel sorte que les alentours étaient dissimulés par l’étendue du paysage verdoyant. La pâle lumière du soleil parvenait tout de même à illuminer le bois qui rayonnait tel un havre de paix. Y régnait un calme apaisant que même le vent ne dérangeait pas.
Mais soudain, de lourdes bottes s’écrasèrent sur le sol, résonnant tel des tambours gobelins et rompant le silence de la forêt. Des hurlements retentirent alors que des buissons frémissaient et quelques branches de bois craquaient. Une silhouette apparue. Vêtue de vêtements sombres, elle se déplaçait avec aisance et rapidité. Puis vinrent une femme à la robe grise, un homme chauve, un autre, plus vieux et enfin, un homme plus petit à la barbe rousse, essoufflé et fatigué, qui peinait à suivre les autres.
    - J’en peux plus ! Beugla t’il
    - Allez Durthef, ils arrivent, du nerf ! lui répondit la femme
    - A quoi bon fuir ! Ils nous retrouverons et nous tuerons !

Celui-ci portait un énorme plastron fait de maille et de plaques de métal ainsi qu’un pantalon de cuir. C’était un petit homme robuste et beaucoup se disait en le voyant que les nains existaient. Il avait une longue barbe tressée et une épaisse chevelure rousse qui descendait jusqu’au bas de son cou. Durthef frissonna et mis une de ses mains au manche de son arme, qui reposait à sa ceinture. Sa décision était prise, il s’arrêta et sortit une hache à double tranchant. Il la fit lentement tournoyer puis soupira.
    - Prévenez l’empereur ! Je vais les retarder de ma vie, fuyez !

Les autres s’immobilisèrent à leur tour et le dévisagèrent. La femme voulue dire quelque chose mais Durthef la fit taire. Personne d’autre ne tenta de le faire renoncer, ils ne pouvaient se résoudre à ralentir et Durthef était bien trop fatigué pour pouvoir les accompagner. Lui plus que tous, savait qu’il ne reviendrait pas. Il avait signé avec la mort dès lors qu’il s’était arrêté.
Ainsi, sans un mot, ils reprirent alors leur route, courant à travers le bois et abandonnant leur compagnon. Seul la femme eu un dernier regard pour Durthef jusqu'à ce qu’il disparaisse de sa vue, dissimulé par un gros chêne.

Lorsque qu’il ne vit plus ses compagnons, Durthef contempla ce qui arrivait au loin. Les hurlements qui retentaient dans toute la forêt se firent plus proche et il en compris le sens, des cris d’une troupe de mercenaire respectée dans tout l’empire. Les buissons autour de lui remuèrent et il vit plusieurs fois des ombres bondir entre les arbres. Et soudain, ils étaient là, l’entourant tel une procession de mendiant devant un riche bourgeois. Des soldats à la tunique et au pantalon noir avec par-dessus, un épais plastron de métal. Il les observa, eux qui ricanaient d’un air hautain, et en compta vingt et un. Un faible nombre pour un homme tel que moi songea-t-il. Ils sont faibles ! Le gratin n’est pas encore là.
    - Venez chiens ! Vous ne m’aurez pas, pas vous ! hurla Durthef

L’un des soldats chargea et donna un coup d’estoc. Durthef esquiva et le décapita. D’autres mercenaires se précipitèrent, il para un coup à la taille, fit tournoya sa hache et en tua encore un. Puis il lança une dague qui se ficha dans la gorge d’un autre.
Les soldats reculèrent et se replacèrent, entourant leur unique adversaire. Durthef en avait tué trois en un instant sans qu’ils ne puissent le blesser. Ils étaient devenus livides et n’osait plus l’attaquer. Durthef en vit trembler un, il bondit et fracassa le crâne du peureux. Puis il pivota, se retrouva face à un autre et lui fendit son plastron.
    - Alors mes petits ! Vous avez peur ? Qui ose ? Qui veut voir la mort ?
    - Moi. tonna une voix grave pleine de rage

L’homme qui venait de parler faisait au moins deux têtes de plus que les mercenaires. C’était un géant mais pourtant il ne semblait pas gros, juste musclé. Il portait une épaisse armure de fourrure lui donnant l’air d’un ours sauvage avec à son dos, une cape bleue sombre. Le géant caressa sa longue barbe brune et ensuite frotta son crâne dégarni. D’une seule main, il fit tournoyer une énorme masse d’arme, comme si elle n’était qu’une simple brindille. Puis, il dévisagea l’homme qui se dressait impétueusement devant lui. Ses traits se durcirent et brusquement Durthef pâlit. Il était pourtant fort et aussi bien courageux que farouche, mais ce visage … Il était si glacial, si sombre qu’il semblait que ce soit un démon qui se tenait devant lui. Qu’est ce qui se passe ? pensa-t-il. Aurait-je peur ? Durthef trembla pour la première fois de sa vie. Il aurait voulu fuir mais ses jambes ne bougeaient plus. Il était hypnotisé par le regard ténébreux du géant qui se rapprochait lentement de lui.
Le colosse leva bien au-dessus de lui sa masse d’arme, puis soudain, la rabattit brutalement sur le « nain ». Durthef repris ses esprits et bloqua le coup avec sa hache, les deux armes se heurtèrent au-dessus de lui. Elles frémissaient sans que l’une prenne le dessus sur l’autre. Mais soudain, la hache se brisa et la masse reprit sa chute infernale. Un hurlement sinistre retentit puis une gerbe de sang tacha l’armure du géant.
    - Allez y ! Rattrapez les autres, ils doivent mourir ! cria t’il



Le petit groupe traversait la forêt, contournant les arbres, sautant au-dessus des racines et cavalant à travers le bois. Et soudain, un hurlement de douleur les pétrifia. Ils s’arrêtèrent et se dévisagèrent.
    - Il est mort annonça la femme, les poings serrées.

Reica grimaça. Elle lissa ses longs cheveux bruns puis sa robe grise et vérifia que ses deux épées trônaient toujours dans leur fourreau à son dos. Elle paraissait gentille avec ses yeux de chaton et son visage encore juvénile mais pourtant elle ne souriait pas et fixait ses compagnons d’un air agressif.
    - Nous devons survivre en sa mémoire cracha t’elle

Reica se retourna et regarda derrière elle pour tenter d’apercevoir ses poursuivants mais elle ne vit que la cime des arbres. Seul les hurlements qui résonnaient au loin lui indiquaient que la traque avait repris. Ses compagnons et elle reprirent alors leur route à travers le labyrinthe verdâtre pour fuir l’ennemi.
Le soir, après qu’ils eurent passé un épais buisson, le bois disparu brusquement et une immense plaine se dévoila. Celle-ci, uniquement revêtue d’herbe, était monotone et sans relief. Malgré l’obscurité qui se dévoilait, ils pouvaient voir un petit chemin de terre serpentant jusqu'à quelques chaumières éclairées.
    - C’est le village de Dalguor, il n’est plus très loin, nous y arriverons avant le coucher du soleil. annonça l’un des hommes. Je propose que nous y dormions pour la nuit …
    - Et les autres ? s’exclama Reica en l’interrompant
    - Ils ne nous poursuivront pas, ils seront encore dans la forêt lorsque la nuit tombera. Il n’y aura pas de lune et il leur sera impossible de nous suivre.
    - Alors allons y marmotta Reica. Grâce à Durthef, nous pourrons enfin dormir dans une bonne auberge.


La suite bientot Smile
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 11:42

Alors allons-y, marmotta Reica."
Merci de m'avoir appris un nouveau verbe Wink
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 11:51

"Les hurlements qui retentaient dans toute la forêt" retentissaient


"C’était un géant mais pourtant il ne semblait pas gros"
Parcequ'un geant normalement c'est gros ?

"et aussi bien courageux que farouche" le bien semble mal placer

Sinon, je trouve que sa fait aussi pas mal prologue quand meme, je n'en sais pas assez sur l'histoire pour critiquer vraiment donc... [/u]
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 17:59

Les arbres semblaient sommeiller, enracinés dans la terre sèche du bois et bercés par les douces mélodies des oiseaux. Leurs (branches) étaient basses et de gros buissons parsemaient la forêt, de tel(telle) sorte que(,) les alentours étaient dissimulés par l’étendue du paysage verdoyant. La pâle lumière du soleil parvenait tout de même à illuminer le bois qui rayonnait tel un havre de paix. (il) Y régnait un calme apaisant que même le vent ne dérangeait pas.
Mais(,) soudain, de lourdes bottes s’écrasèrent sur le sol, résonnant tel(s) des tambours gobelins et(,) rompant le silence de la forêt(,) des hurlements retentirent alors que d(l)es buissons frémiss(èr)ent et (que) quelques branches de bois craqu(èr)ent. Une silhouette apparu(t) (Wink vêtue de vêtements sombres, elle se déplaçait avec aisance et rapidité. (Puis, vinrent : une femme à la robe grise ; un homme chauve ; un autre plus vieux ; enfin, un plus petit, la barbe rousse, essoufflé et fatigué, qui peinait à suivre.)
- J(e n’en peux plus ! Beugla(-t-il)l
- Allez(,) Durthef( Wink ils arrivent, du nerf ! (L)ui répondit la femme
- A quoi bon fuir ! Ils nous retrouveron(t) et nous tueron(t) !

Celui-ci portait un énorme plastron fait de maille(s) et de plaques de métal (,) ainsi qu’un pantalon de cuir. C’était un petit homme robuste(,) et beaucoup se disait en le voyant que les nains existaient (bien). Il avait une longue barbe tressée et une épaisse chevelure rousse qui descendai(ent) jusqu’au bas de son cou. Durthef frissonna et mi(t) une de ses mains au manche de son arme() qui reposait à sa ceinture. Sa décision était pris(), il s’arrêta (,) sortit une hache à double tranchant (Un nom peut-être)(,) la fit lentement tournoyer(,) puis soupira.
- Prévenez l’empereur ! (Je vais les retarder de ma vie ???), fuyez !

Les autres s’immobilisèrent(,) à leur tour(,) (ils) le dévisagèrent. La femme voulu(t) dire quelque chose(,) mais Durthef la fit taire. Personne ( ) ne tenta de le faire renoncer, (tous) ne pouvaient se résoudre à ralentir (qui ?) et(,) Durthef était bien trop fatigué pour ( ) les accompagner. Lui plus qu’(eux), savait qu’il ne reviendrait pas. Il avait signé avec la mort, dès lors qu’il (se fût) arrêté.
Ainsi, sans un mot, ils reprirent ( ) leur route, courant à travers le bois et abandonnant leur compagnon. Seul(e) la femme eu(t) un dernier regard pour Durthef, jusqu(e) ce qu’il disparusse de sa vue, dissimulé par un gros chêne.

Lorsque qu’il ne vit plus ses compagnons, Durthef contempla ce qui arrivait au loin. Les hurlements qui reten(tissaient) dans toute la forêt se (faisai)ent plus proche et il en compri(t) le sens, des cris d’une troupe de mercenaire(s) respectée dans tout l’empire. Les buissons(,) autour de lui(,) remuèrent et(,) (plusieurs fois)(,) il vit des ombres bondir entre les arbres. () Soudain, ils (fur)ent là, l’entourant tel(le) une procession de mendiant(s) devant un riche bourgeois. Des soldats à la tunique et au pantalon noir(s) (portaient) par-dessus, un épais plastron de métal. Il les observa, (c) eux qui ricanaient d’un air hautain : (il) en compta vingt et un. Un faible nombre pour un homme tel que moi songea-t-il. Ils sont faibles ! Le gratin n’est pas encore(-) là.
- Venez(,) chiens ! Vous ne m’aurez pas( Wink pas vous ! hurla Durthef

L’un des soldats chargea et donna un coup d’estoc( : )Durthef esquiva et le décapita. D’autres mercenaires se précipitèrent : il para un coup à la taille, fit tournoy(er) sa hache et en tua encore un. Puis(,) il lança une dague qui se ficha dans la gorge d’un autre.
Les (guerriers) reculèrent et se replacèrent (en) entourant leur unique adversaire. Durthef en avait tué trois en un instant sans qu’ils ne (pussent) le blesser. Ils (devinrent) livides et n’(osèrent) plus l’attaquer. Durthef (,)(qui) en vit trembler un, () bondit et fracassa le crâne du peureux( Wink puis(,) il pivota, se retrouva face à un autre et lui fendit son plastron.
- Alors(,) mes petits ! (avez-vous) peur ? (qui) ose ? (qui) veut voir la mort ?
- Moi(,) tonna une voix grave(,) pleine de rage

L’homme(,) qui venait de parler(,) (toisait) au moins deux têtes de plus que les mercenaires. C’était un géant(,) mais pourtant(,) il ne semblait pas gros, juste musclé. Il portait une épaisse armure de fourrure (qui lui donnait) l’air d’un ours sauvage, (recouverte sur son) dos, (d’)une cape (bleu sombre.) Le géant caressa sa longue barbe brune et () frotta son crâne dégarni. D’une seule main, il fit tournoyer une énorme masse d’arme, comme si elle n’était qu’une simple brindille ( Wink puis, il dévisagea l’homme qui se dressait impétueusement devant lui. Ses traits se durcirent et, brusquement, Durthef pâlit. Il (qui ?)était pourtant fort(,) et aussi bien courageux(,) que farouche, mais ce visage … Il était () glacial, si sombre qu’il semblait que ce fût un (Démon) qui se tenait (devant-lui). Qu’est ce qui se passe ? pensa-t-il. (Aurais-je) peur ? Durthef trembla pour la première fois de sa vie. Il aurait voulu fuir mais ses jambes ne bougeaient plus. Il était hypnotisé par le regard ténébreux du géant qui se rapprochait lentement de lui.
Le colosse leva bien au-dessus de lui sa masse d’arme, puis(,) soudain, la rabattit brutalement sur le « nain ». Durthef (reprit) ses esprits et bloqua le coup avec sa hache : les deux armes se heurtèrent au-dessus de lui. Elles frémissaient sans que l’une (prît) le dessus sur l’autre. Mais(,) soudain, la hache se brisa(,) et la masse reprit sa chute infernale. Un hurlement sinistre retentit(,) puis une gerbe de sang tacha l’armure du géant.
- (Allez-y !) Rattrapez les autres, ils doivent mourir ; cria-t-il !



Le petit groupe (traversa) la forêt (en) contournant les arbres, (et en) sautant (par-dessus) des racines(,) (en) cavalant à travers le bois. (Soudain), un hurlement de douleur les pétrifia( : )ils s’arrêtèrent et se dévisagèrent.
- Il est mort annonça la femme, les poings (serrés).

Reica grimaça. Elle lissa ses longs cheveux bruns (et) sa robe grise ; (elle) vérifia que ses deux épées (trônassent) toujours dans leur fourreau(,) (sur) son dos. Elle paraissait gentille avec ses yeux de chaton et son visage encore juvénile(,) mais pourtant(,) elle ne souriait pas et fixait ses compagnons d’un air agressif.
- Nous devons survivre en sa mémoire(,) (cracha-t-elle !)

Reica se retourna et regarda (derrière-elle) pour tenter d’apercevoir ses poursuivants mais(,) elle ne vit que la cime des arbres. (Seuls) les hurlements qui résonnaient au-loin lui indiquaient que la traque avait repris. (Elle, et ses compagnons) reprirent alors leur route à travers le labyrinthe verdâtre pour fuir l’ennemi.
Le soir, après qu’ils (eussent passé) un épais buisson, le bois disparu brusquement(,) une immense plaine se dévoila. Celle-ci, (herbeuse), était monotone et sans relief. Malgré l’obscurité(,) qui se dévoilait, ils pouvaient voir un petit chemin de terre serpentant (en direction de) quelques chaumières éclairées.
- C’est le village de Dalguor, il n’est plus très loin, nous y arriverons avant le coucher du soleil(,) annonça l’un des hommes. Je propose que nous y dormions (cette) nuit …
- Et les autres ( !) s’exclama Reica(,) en l’interrompant
- Ils ne nous poursuivront pas, ils seront encore dans la forêt lorsque la nuit tombera. Il n’y aura pas de (Lune) et il leur sera impossible de nous suivre.
- Alors(,) (allons-y) marmotta Reica. Grâce à Durthef, nous pourrons enfin dormir dans une bonne auberge.

J’ai fait une première correction, il sera sûrement nécessaire d’en faire une autre par la suite.
(les bonhommes jaunes sont des deux points
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 18:09

Le contenu ne change pas beaucoup de celui du prologue. Pour le moment difficile de se faire une idée. Rien de bien original. Va falloir que la suite soit un peu plus captivante.

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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 19:33

Je ne pense pas faire dans l'originalité. Ce sera sans doute un roman très stereotipé. Disons que l'histoire est innovante mais ca revient au meme dans le fond : des héros, des méchants etc ...

Et justement sombreétoile, dès fois, je me demande si je ne devrais pas faire ce que je suis en train de faire (cad chapitre 1 et 2) a la place du prologue (mais il serait gros Oo) car l'histoire ne vas commencer vraiment qu'au chapitre 3 x)
Enfin je vais voir. Ce qui faut ce dire c'est que c'est mon premier roman et que donc je peux faire des erreurs et que pour cela, je changerais peut etre l'organisation du roman( enfin on verra ^^)

Merci pour vos corrections.
Gérard de l'Extrême j'ai corrigé certain trucs mais d'autres choses, je les ai laissé tel quel car il y a des trucs que je prefere dans ma version. TU a tendance a beaucoup mettre de virgule, ce qui parfois, enfin je trouve, casse l'action. Enfin bon, je fait a ma sauce ^^ Mais j'ai corrigé bon nombre de truc donc j'espere que tu ne m'en tienne pas rigueur Very Happy
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 19:36

Ne t'inquiète pas de mes remarques, il n'y a rien de méchant. Disons qu je suis comme ça, je parle sans réfléchir. Je continue de te lire je te dirai ce que je pense alors de ces chapitres et du prologue.

Petit conseil quelques soient les remarques ne jamais se décrourager. celui qui te critique ne sait peut être par faire mieux que toi.

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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 19:44

Tu entend quoi par une histoire innovante ?

(tu a pas modifier rententaient, a moin que ce soit ce que tu voulais mettre, mais sa veux rien dire a ma connaissance donc ...)
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 19:46

Sombreétoile, je n'ai pas dit que tétait méchant (et si tu l'a compris dans mes propos, je m'en excuse). J'ai pas bien vu grand chose de méchant dans ta remarque, rassure toi ^^

Et ne t'inquiete pas, je ne me décourage pas. Justement, les remarques et critique me font reflechir, corriger et ecrire. Bref, plus yien a, mieux c'est. Du moment que ca soit pas par pure méchanceté sans arguments :S

@ Tekmerak : ce que je voulais dire, c'est que mes héros sauveront un empire en detresse face a de grands méchants forts. Donc rien de bien innovant, du moins dans le fond. Car l'histoire en elle meme sera plus profonde, il y aura des complots et quelques renversements.
Ca sera pas du déja vu ni du entierement nouveau
Toutes les remarques precedentes sont prises en compte. C'est juste que j'attend d'en avoir plus pour remplacer
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeSam 14 Mar 2009 - 20:00

(Désolé du double post, c'est obligé Wink )

Bon, je vous met bientot la partie 2 du chapitre 1. Désolé du temps d'attente (pour mes fan et tout ^^) mais j'avais un bac blanc et une grosse periode de flemme (j'ai meme pensé a stopper mais bon, j'avais fait la promesse a mes amis de le terminer, alors je me suis dit : on continu. Et pis finalement, en y revenant, ca m'a donné envie de reprendre ^^).

Bref, concernant le chapitre 1, j'ai un gros probleme. Voila, mon histoire rentre dans un début in medias res : une poursuite avec 4 héros (5 en faite, mais il meure prematurement) --> Voir la partie 1 pour cela Wink
Bref, pour l'instant, mes personnages sont décrit aux fur et a mesure. C'est a dire, que dès qu'il y a un petit evenement qui les concerne, je decris le personnage et je lui donne un nom. Avant, il s'apelle "l'un des guerrier" "un autre". Bref, un inconnu
Mais voila, je me pose la question. Au début, j'ai un personnage principale que j'ai décris et tout, et 3 autres qui sont non décris. Resultat, on peut croire qu'ils n'ont pas d'importance. Et cela n'est pas vrai, ils sont tout aussi important que celui que j'ai décris (par exemple dans des actions, quand j'ai pas encore décris le personnage, je suis obligé de dire "l'un des soldats" etc ... bref assez lourd). Mais en meme temps, si je decris d'un coup, les 4 personnages, ca commence a faire lourd et indigueste.
Bref, vous, comment faite vous, dans le cas d'un petit groupe de personnages principales qui apparaissent tous au debut (et encore, j'en ai enlevé 1 voir 2 ...)

en y repensant, je me suis donné une petite idée. J'avais decris le petit groupe dans la partie 1 du chapitre 1 comme ceci :
Citation :
Une silhouette apparue. Vêtue de vêtements sombres, elle se déplaçait avec aisance et rapidité. Puis vinrent une femme à la robe grise, un homme chauve, un autre, plus vieux et enfin, un homme plus petit à la barbe rousse, essoufflé et fatigué, qui peinait à suivre les autres.
Bref, je pourrais proceder comme cela. Une courte description du groupe avec les noms. Et puis, un peut plus tard, je passe du temps sur chacun d'eux (et chaque description est separé par de la narration et des actions). Ca me permet de donner au lecteure une idée des personnages et puis de ne pas rendre lourd la description du groupe en entier. QU'en pensez vous ?

(et si vous etes gentil, je pourrais vous finir la partie 2 du chapitre 1 ce soir Very Happy Esperons esperons ^^)
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeSam 14 Mar 2009 - 20:17

Moi je dit, moin y a de description, moins je m'emmerde donc t'inquiete pas pour le decsiption de tes personnages si elle est longue a venir (dans la compagnie noir j'ai du attendre le 6eme ou 7eme tom (enfin par la) avant d'avoir une description de Toubib (le hero))
Donne juste les noms
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeLun 16 Mar 2009 - 20:49

(merci à toi Tekmerak, c'est aussi ce que je pensais Wink Je tacherais de revoir ma première partie du premier chapitre dans ce sens Very Happy)

Bon, et voici maintenant la première partie de la deuxième partie du chapitre 1 affraid cheers Je vous post de plus petits textes pour les étudiers avec plus d'acharnement ::rolling::

Citation :
Une heure passa et les quatre compagnons arrivèrent aux environs du village de Dalguor. Le soleil s’était couché depuis peu mais le paysage restait discernable, illuminé par l’innocente blancheur de la lune. Dans les rues, les feuilles virevoltaient sous les rafales de vents alors il n’y avait personne dehors. Les villageois étaient déjà chez eux, en sécurité : Les portes étaient fermé à doubles tours et les volets rabattus, comme si un démon rodait dans la nuit. Un chien hurlait à la mort mais il se tût brusquement en voyant arrivé les quatre voyageurs. Il n’y avait plus aucun bruit et seul le vent indiquait que le temps n’était pas figé. Nos ennemis sont ils déjà là ? pensa Reica. Non, cela est tout bonnement impossible. Puis elle dévisagea ses compagnons et déglutit : Les trois hommes avaient leurs armes à la main et observaient les ombres tout en marchant d’un pas de loup. Reica, tremblante, sortit à son tour une épée courte puis suivit ses camarades. Traversant le village, ils contournèrent les petites chaumières de Dalguor et s’engouffrèrent dans les ruelles du village. Les masures était assombrit mais ils pouvaient apercevoir la charpente du toit, de grosses poutres de bois qui étaient en partie recouvertes par de la paille, typique de l’architecture impériale campagnarde. La lune disparue brusquement derrière les nuages et la nuit engloutit le village. Les quatre compagnons, marchant silencieusement et furtivement, continuèrent leurs routes à travers le village, avec encore plus de vigilance.
Et puis, après quelques minutes, ils arrivèrent devant une grande maison, bien plus large et haute que les autres. Au dessus de la porte, une enseigne annonçait aux voyageurs que se dressait devant eux la seule auberge du village. Et lorsque ils s’approchèrent, ils furent assourdit par les chants et rire qui s’élevait de la maison. Ils se décontractèrent, peut être que leurs poursuivants n’étaient finalement pas là. Ils n’avaient pas de raison d’avoir peur après tout, ceux-ci étaient restés dans la ténébreuse forêt. Et puis, le village devait être toujours comme cela à la nuit tombé, dans la campagne, les gens ont tendance à rester chez eux lorsque la lune prend place au soleil. Mis à part les rumeurs et contes prêchant que la lune est symbole du diable, il n’y avait pas grand chose à faire la nuit dans de petit village. De plus, il n’y a pas de gardes ni de protection aux alentours et des bandits peuvent roder. Reica rangea son arme, oui, le village doit être comme cela toute les nuit. Songea t’elle mais malgré tout, elle frissonna.
Lorsque ils entrèrent, une forte odeur de porc rôti s’imprégna sur eux, leur faisant rappeler leur faim et leur fatigue. L’entrée donnait sur la salle principale et ainsi ils furent tout de suite envoûtés par la musique de l’auberge. Au fond, sur une estrade, se tenait un vieux ménestrel qui jouait de la flûte, assis sur un petit tabouret, alors qu’une jeune fille en robe blanche dansait sous le rythme de la mélodie. Et devant eux, une petite foule rigolait et buvait, installé prêt des tables ou quelques repas refroidissaient. Les quatre compagnons oublièrent pour une fois leurs tracas et se laissèrent charmer par l’ambiance détendue de l’auberge. Il y avait bien longtemps qu’ils ne s’étaient pas reposé et qu’ils avaient oublié la mort. Ils restèrent ainsi, devant l’entrée, à contempler l’estrade, le sourire aux lèvres.
Sans un mot, Reica se dirigea vers le comptoir, à coté de la scène, où demeurait un gros homme à la moustache brune et au crâne chauve qui portait un tablier crasseux à carreau.
- Et qu’est ce qu’elle veut la mademoiselle ?
- Une chambre pour quatre personnes. Et auriez vous un salon privé à l’abris des regards ? Mes compagnons et moi souhaiterions y prendre un repas chaud. répondit Reica
- Bien entendu mademoiselle, laissez moi vous y conduire. annonça t’il en courbant le dos.
Reica fit signe à ses compagnons de la rejoindre et les trois hommes se rapprochèrent. Puis, ils suivirent l’aubergiste qui les fit descendre un escalier et les mena dans une petite salle. Mis a part la porte d’ou ils étaient entré, il n’y avait aucune autre ouverture. Parfait songea Reica. Nul ne doit nous entendre. Les quatre compagnons se placèrent autour de la table ronde, seul mobilier de la pièce. Se courbant a nouveau, le tavernier les pria de s’installer et d’attendre le repas puis s’excusa car il devait remonter en haut.

Voici donc le passage. Ce que je retiens dans celui ci (niveau ambiance, est ce que j'ai bien réussit mon coup ? tel est la question)
- La sensation de peur/mystère/hostilité du paysage (partie 1). C'est bien retranscrit ? Qu'en pensez vous ?
- Le passage transitoire entre cette peur et le sentiment d'après. Les explications sur les villages campagnards la nuit ne sont t'il pas superflu ? ca ne change pas le rythme d'un coup ?
- L'auberge. Description/sentiment. Ce passage doit etre plus harmonieux, la encore, ai-je réussit ?

Voila voila, j'avoue qu'en relisant mon texte je le trouve inachevé mais je ne sais pas quoi embellir donc je vous le demande a vous ^^
Merci d'avance Smile
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeMer 18 Mar 2009 - 22:57

"les feuilles virevoltaient sous les rafales de vents alors il n’y avait personne dehors" donc tu dit que les gens sont chez eux parcequ'il y a du vent, mais tu as pas dit avant qu'il faisait nuit ? (et qu'il vente ou pas, la nuit, y a presque personne dehors)


"La lune disparue brusquement derrière les nuages et la nuit engloutit le village" Pour moi la lune fait partie integrante de la nuit donc je dirais plutot la penombre, l'obscurité, enfin...



"Mis à part les rumeurs et contes prêchant que la lune est symbole du diable, il n’y avait pas grand chose à faire la nuit dans de petit village." les deux elément ont un raport ?
(je veux dire les legendes et le fait qu'il n'y ai rien a faire) parceque la je comprend pas ce que tu veux dire (enfin si, mais a ce momment c'est mal dit)

"De plus, il n’y a pas de gardes ni de protection aux alentours et des bandits peuvent roder"
Je mettrais de l'imparfait



"Et puis, après" Je suis pas sur que le "et" soit necessaire

"ténébreuse forêt" vu le contexte je dirais plutot "foret tenebreuse"

"s’imprégna sur eux" je crois pas que sa ce dise (enfin tetre que si, mais sa sonne mal)
"les imprégnas" a la limite, quoique...

"leur faisant rappeler leur faim et leur fatigue" pourquoi pas "leur rappelant" ? sa sonne mieux

"et ainsi ils furent" et ils furent ainsi
et remplace peut etre "tout de suite" par un mot plus classe instantanement, immediatement...

J'ai du mal a immaginer un mec qui met le feu a la tarverne en jouant de la flutte, je vois plus avec un instrument a corde tout en chantant en meme temps

"annonça t’il" le verbe me semble moyen dans le contexte, le traditionel "repondit il" convient mieux par exemple


"il n’y avait aucune autre ouverture. Parfait songea Reica"
ba ta Reica, elle est un peu bebet pour dire que c'est parfait qu'il y ai qu'une ouverture, comment prendre la fuite si des mechants rappliquent ? (faut toujours avoir une issue de secour c'est bien connu)

Bref, sinon ba desoler mais je peut pas te dire pour l'ambiance retranscrit et tout
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MessageSujet: Re: L'empire des Pergaldor Tome 1   L'empire des Pergaldor Tome 1 Icon_minitimeJeu 19 Mar 2009 - 11:06

Une heure passa et les quatre compagnons arrivèrent aux environs du village de Dalguor.

A proximité du village

Le soleil s’était couché depuis peu mais le paysage restait discernable, illuminé par l’innocente blancheur de la lune.

Depuis peu, mais (devant mais il y a presque toujours une virgule)
Dans les rues, les feuilles virevoltaient sous les rafales de vents alors il n’y avait personne dehors.
Les rafales de vent, alors il ne restait, ou, personne ne demeurait.

Les villageois étaient déjà chez eux, en sécurité : Les portes étaient fermé à doubles tours et les volets rabattus, comme si un démon rodait dans la nuit.
Etaient déjà rentrés chez-eux (un trait d’union)
Les portes (féminin pluriel) étaient fermées : restaient fermées (serait plus précis)
A double tours (double invariable)


Un chien hurlait à la mort mais il se tût brusquement en voyant arrivé les quatre voyageurs.
A la mort, mais il se tut (sans accent)
En voyant arriver (infinitif)


Il n’y avait plus aucun bruit et seul le vent indiquait que le temps n’était pas figé. Nos ennemis sont ils déjà là ? pensa Reica.
On ne percevait aucun bruit, seul le vent
Seraient-ils déjà là ? (conditionnel + un trait d’union lorsque le pronom suit le verbe)
Pensa (avec une majuscule)


Non, cela est tout bonnement impossible. Puis elle dévisagea ses compagnons et déglutit : Les trois hommes avaient leurs armes à la main et observaient les ombres tout en marchant d’un pas de loup.
Cela était (imparfait) semblait pour être plus précis)
Puis, elle (une virgule)
Déglutit : (Après deux points pas de majuscule) et point virgule va mieux pour lier la phrase.
Les trois hommes portaient ou tenaient leurs armes

Reica, tremblante, sortit à son tour une épée courte puis suivit ses camarades.

Tremblante, Reica sortit (il est préférable de mettre le complément avant)
Une courte épée, puis…


Traversant le village, ils contournèrent les petites chaumières de Dalguor et s’engouffrèrent dans les ruelles du village. Les masures était assombrit mais ils pouvaient apercevoir la charpente du toit, de grosses poutres de bois qui étaient en partie recouvertes par de la paille, typique de l’architecture impériale campagnarde. La lune disparue brusquement derrière les nuages et la nuit engloutit le village. Les quatre compagnons, marchant silencieusement et furtivement, continuèrent leurs routes à travers le village, avec encore plus de vigilance.

Les masures étaient assombries (participe passé qui s’accorde)
Assombries, mais (virgule)
Poutre de bois qui étaient (le : qui étaient n’apporte rien, il est préférable de l’enlever)
Poutre de bois en partie recouverte
La lune disparut (3ème personne passé simple)
Brusquement, la lune disparut (le complément avant pour le mettre en valeur)
Et l’obscurité envahit, investit car ce n’est pas liquide.
Marchant…, les quatre compagnons continuèrent ( en mettant les compléments avant, ils sont mis en valeur, on économise une virgule en rapprochant le sujet du verbe)


Et puis, après quelques minutes, ils arrivèrent devant une grande maison, bien plus large et haute que les autres.
Puis,
Maison bien plus large (pas la virgule)


Au dessus de la porte, une enseigne annonçait aux voyageurs que se dressait devant eux la seule auberge du village. Et lorsque ils s’approchèrent, ils furent assourdit par les chants et rire qui s’élevait de la maison.
Village. Lorsqu’ils s’approchèrent
Ils furent assourdis (accord)
Chants et rires (pluriel)
Qui s’élevaient (pluriel)


Ils se décontractèrent, peut être que leurs poursuivants n’étaient finalement pas là.
Ils se détendirent (serait plus juste)
Peut-être que (il se pourrait que)
Ne fussent pas là (subjonctif imparfait) on accepte ne soient pas là.
Ils se détendirent, finalement, il se pourrait que leurs poursuivants ne soient pas là.


Ils n’avaient pas de raison d’avoir peur après tout, ceux-ci étaient restés dans la ténébreuse forêt.
Ils ne se trouvaient pas de raison (précision du verbe)
Après tout, ils ne se trouvaient…(le complément mis en valeur)
Ceux-ci étaient habitués de rester (si c’est ce que vous voulez dire)


Et puis, le village devait être toujours comme cela à la nuit tombé, dans la campagne, les gens ont tendance à rester chez eux lorsque la lune prend place au soleil. Mis à part les rumeurs et contes prêchant que la lune est symbole du diable, il n’y avait pas grand chose à faire la nuit dans de petit village.

De plus, la nuit tombée, le village était toujours (si affirmation) comme cela ; dans…
Les gens avaient tendance (imparfait)
Chez-eux (trait d’union)
La lune prenait (imparfait)
Prêchant ne va pas : attestant, déclarant
La lune serait (conditionnel d’hypothèse)
Serait le symbole (manque l’article)
Peu de choses restait à faire la nuit dans ce petit village (restait à faire, ou, pouvait se faire) (ce petit village ou le petit village)


De plus, il n’y a pas de gardes ni de protection aux alentours et des bandits peuvent roder.

De même, aucun garde n’assurait la protection des alentours et, les bandits pouvaient roder (imparfait pour les verbes, aucun garde pas de s,)
(Les phrases se construisent autour du verbe qui exprime l’action : ici assurer la protection, par qui les gardes, pour quoi pour la protection, où aux alentours, etc.)


Reica rangea son arme, oui, le village doit être comme cela toute les nuit. Songea t’elle mais malgré tout, elle frissonna.
Le village devait (imparfait) ressemblait à cela serait plus précis.
Les nuits (pluriel)
Songea-t-elle, mais, malgré tout, elle frissonna. (Deux très d’union et un t de liaison)
(Attention aux virgules)


Lorsque ils entrèrent, une forte odeur de porc rôti s’imprégna sur eux, leur faisant rappeler leur faim et leur fatigue.
Lorsqu’ils…
Leur rappela leur faim et leur fatigue


L’entrée donnait sur la salle principale et ainsi ils furent tout de suite envoûtés par la musique de l’auberge.
Principale, tout de suite, ils furent envoûtés…
Principale, ils furent immédiatement envoûtés…


Au fond, sur une estrade, se tenait un vieux ménestrel qui jouait de la flûte, assis sur un petit tabouret, alors qu’une jeune fille en robe blanche dansait sous le rythme de la mélodie.
(Dans cette phrase faut-il faire le lien entre se tenait et assis ?)
Dans le fond, assis sur un tabouret en haut d’une estrade, un vieux ménestrel jouait de la flute pendant qu’une…


Et devant eux, une petite foule rigolait et buvait, installé prêt des tables ou quelques repas refroidissaient. Les quatre compagnons oublièrent pour une fois leurs tracas et se laissèrent charmer par l’ambiance détendue de l’auberge. Il y avait bien longtemps qu’ils ne s’étaient pas reposé et qu’ils avaient oublié la mort. Ils restèrent ainsi, devant l’entrée, à contempler l’estrade, le sourire aux lèvres.

Devant eux, ou : Et, devant eux,
(Peut-on dire qu’une foule rit et boit ?) Ceux qui consommaient là (en accordant le reste)
Installée (féminin comme foule)
Où quelques (lieu)
Pour une fois, les quatre… (Complément mis en valeur)
Etaient pas reposés (accord)


Sans un mot, Reica se dirigea vers le comptoir, à coté de la scène, où demeurait un gros homme à la moustache brune et au crâne chauve qui portait un tablier crasseux à carreau.
Soudain, sans un mot (pour préciser qu’il quitte son immobilité)
Comptoir à côté (pas de virgule mais un accent sur le o de côté)
Un gros homme (pas facile à lire) un gros bonhomme, mais à vous de voir.
A carreaux (un seul carreau ?)


- Et qu’est ce qu’elle veut la mademoiselle ?
- Une chambre pour quatre personnes. Et auriez vous un salon privé à l’abris des regards ?
(et en début de phrase indique une continuité)
– Eh ! Qu’est-ce… si il y a interpellation, ou, pas de et.
Auriez-vous (trait d’union lorsque le pronom suis le verbe en forme interrogative)
Un abri (singulier)


Mes compagnons et moi souhaiterions y prendre un repas chaud.
répondit Reica
Manque le pronom personnel : nous souhaiterions

- Bien entendu mademoiselle, laissez moi vous y conduire. annonça t’il en courbant le dos.
Laissez-moi (trait d’union)
Conduire, annonça-t-il en courbant le dos. (une virgule et les traits d’unions)


Reica fit signe à ses compagnons de la rejoindre et les trois hommes se rapprochèrent. Puis, ils suivirent l’aubergiste qui les fit descendre un escalier et les mena dans une petite salle. Mis a part la porte d’ou ils étaient entré, il n’y avait aucune autre ouverture. Parfait songea Reica.
Reica invita ses compagnons à la rejoindre, et
Qui les conduisit par un escalier menant dans…
Mis à part (accent sur le a)
D’où (accent sur le o)
Ils entraient, il n’existait pas d’autre…


Nul ne doit nous entendre. Les quatre compagnons se placèrent autour de la table ronde, seul mobilier de la pièce. Se courbant a nouveau, le tavernier les pria de s’installer et d’attendre le repas puis s’excusa car il devait remonter en haut.

Parfait pensa Reica, personne ne doit nous entendre.
A nouveau (accent sur le a)
Le repas, puis il s’excusa, car il devait
Remonter en haut (est une forme de répétition) remonter au salon, ou : aller en haut.


Ces corrections et propositions sont faites sous réserve des erreurs possibles ou oublis.
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