Les Chronique De Tunaria, Véritable version!

Voila mon histoire que j'avais déjà posté il y à quelques mois de celà. Mais je l'ai completement changé et j'espère qu'elle vous plaira.^^( et au passage c'est une excuse sincère à Sombretoile...:S:S) Il comprendra sûrement pourquoi et j'espère qu'il m'excusera...)





Introduction

Le monde était encore jeune et une sombre discorde réignait alors sur Tunaria. Volcans et tempêtes déchiraient le monde. De longs séismes fendaient la terre dans ses entrailles, laissant d'immenses parcelles volcaniques et marécageuses entourées d'océan. Aucune vie alors n'occupaient ce chaos naturel et pourtant divin.Les cinq Dieux vivaient en harmonie. Ils avaient une apparence propre à chacun. L'aîné, Mendrat'Eël, était un mage. Une créature bipède à l'esprit vif. Frêle mais à l'intelligence extrême, Mendrat'Eël possédait sagesse et magie. Il vivait dans les terres du nord, au bon milieu des montagnes gelées de Glacedarg, dans le silence du vent et de la roche enneigée. Seü'Idsa, le maître des plantes et de la végétation avait l'apparence d'un esprit. Un être de lumière verte. Il ne désirait pas prendre d'apparence concrète car il pensait que les choses sont d'abord une idée avant de pouvoir être palpable. Il se baladait, sous son informité chlorophyllienne dans les forêts et marécages verts qu'ils créaient au fur et à mesure sur Sagestia, l'île au sud du continent. Kaïkratz, le Dieu du feu était une créature proche de son aîné le Mage. Aux seules différences que ses mains étaient deux flammes rougeoyantes et ses yeux formaient deux volcans remplis de lave. Ses cheveux n'étaient qu'une longue coulée de magma qui ne semblait pourtant pas attiré par la gravitation, si bien qu'elle planait dans les airs avec une grâce divine. Il portait constamment son armure d'argent en arpentant les terres volcaniques du Sud de Tunaria. Neiglen, le dieu humain s'était installé dans les plaines tempérées du centre de Tunaria. Neiglen était ambitieux et belliqueux. Si la moindre faiblesse se présentait, il était là pour la mépriser, voire la détruire. Enfin le plus jeune des Dieux et aussi le plus sot était Elnienn. Il voguait dans les eaux profondes de Tunaria sous la forme d'un impressionnant triton. Un triton géant. Il était le seul à posséder une arme, un corail rouge sang qu'il aimait invoqué et brandir avec fierté devant ses frères.

Mais après des années sur cette terre morne et sans distractions, un des cinq Dieux connut l'ennui. Une lassitude profonde que ses frères ne pouvaient combler. Pou y remédier, Kaïkratz se créa un ami. Il façonna de sa divine main un être petit, chétif et à l'intelligence rudimentaire. Mais c'était son ami. Kaikratz le nomma Vunskar et c'était un gobelin, le tout premier de sa race. Vunskar resta aux côtés de son maître durant des milliers d'années et Kaikratz lui en fut reconnaissant. Pour le remercier de la bienveillance dont il fit preuve, le Dieu du feu en fit son disciple et tenta de lui apprendre la magie. Ce fut dur, car Vunskar n'était pas très intelligent pourtant il s'acharnait à vouloir apprendre, sans connaître la fatigue.

Et le moment arriva où les Dieux durent se rassembler. Durant des années ils restèrent à discuter, dans un endroit caché de Vunskar, qui n'était que le piètre ami du grand Dieu du feu. Les cinq frères, durant ces années, ces décennies décidèrent calmement qu'il fallait peupler le monde. Tunaria devait grouiller de vie, de toute sortes.

Bon déjà je l'avoue j'ai un faible pour les légendes de création du monde donc je suis content.
En plus celle là est pas mal, bien qu'un peu courte ^^


Alors passons au démontage en règle comme promis, ce sera fait ^^

Déjà la première phrase dans un texte est le truc qui doit être le plus irréprochable de tout le roman ou presque. C'est les quelques mots qui doivent attraper

Citation :

L'âge du monde était encore jeune

Je trouve la formulation un peu maladroite.
C'est le monde qui était jeune, pas son age.

Citation :

et sombre et la discorde

Tu vois le double et qui se suit ? ^^

Citation :

Aucunes vies

Aucune vie


ça c'est les détails qui m'ont frappés.

Plus général, tu dis que les dieux ressemblent à des humains. Le problème c'est que tu dis qu'il n'y avait pas encore d'humains à l'époque.

Donc ce sera plutôt les dieux qui donnent aux humains leur apparence, enfin j'imagine, et ça m'apparait comme une contradiction.


Okédoki maintenant au travail de correction et amène nous la suite vite, je l'attends ^^

Tout d'abords merci pour ces corrections. je vais m'y atteler tout de suite et le texte se poursuivra petit a petit^^

Joli début !

- la discorde reignait : régnait
- De long séismes : longs
- parcelles volcaniques et marecageuses : marécageuses
- Les cinqs Dieux : cinq
- une apparence propre a chacun : à
- l'intelligence extrème : extrême
- son informité chlrorophylienne : chlorophyllienne
- Ses cheveux n'etait qu'une longue coulée : étaient
- Il portait constament : constamment
- il était là pour la mepriser, voire la detruire : mépriser détruire
- d'un impresionnant triton : impressionnant
- un des cinqs Dieux : cinq
- que ses frères ne pouvait : pouvaient
- connut l'ennui. un ennui profond : Un (répétition : mélancolie, langueur, spleen …)
- Pou y remedier, Kaïkratz : Pour y remédier
- Mas c'était son ami : Mais
- ils réstèrent à discuter : restèrent
- Les cinqs frères : cinq
- ces décénies : décennies
- Tunaria devait grouiller de vie, en toute sortes : toutes (plutôt « de » à la place de « en »)

Citation :

les choses sont d'abords

_ d'abord



Cela mérite des encouragements; je te lirai bien volontiers quand tu auras posté le suite, Elkey

Alors moi il y a quelque chose qui me dérange énormément.
Dans l'ordre tu nous dis:

Citation :

1) Aucune vie alors n’occupait ce chaos naturel et pourtant divin.

2) Seü'Idsa, le maître des plantes et de la végétation avait l'apparence d'un esprit.

3) Il se baladait, sous son informité chlorophyllienne dans les forêts et marécages verts de Sagestia

4) Il tenait effectivement dans sa main droite un corail rouge sang qu'il

5) Mais après des années sur cette terre morne et sans vie,

Au début de ton post en 1) tu nous dis qu'il n'y a pas de vie sur ton monde.
En 2) on apprend qu'il y à un dieu des plantes et de la végétation. Or les plantes et la végétation font partie du règne du vivant. Cela donne une situation intéressant ou l'on a un dieu qui régne sur tout un pan de la création qui n'existe pas encore sur ton monde.
En 3) ton dieux se promène dans une forêt qui d'après ce que tu nous dit en 1) n'est pas sensé exister.
En 4) même remarque qu'en 3) le corail c'est le squelette d'un animal.
En 5) tu confirmes bien qu'il n'y à pas de vie sur ton monde.

Bon je crois qu'il faut que tu modifie 2, 3 trucs dans ton histoire pour la rendre crédible.

Voilà voilà. je tiens d'abord à vous remercier tous pour vos critiques. J'ai bien changé tout ce qu'il fallait il me semble^^. Ou du moins les choses qui me semblaient les plus importantes . et merci alfred pour cette chasse à l'incohérence:). ça m'aide beaucoup vraiment!

j'espère que la version modifié vous plait^^

si si, j'ai lu, comme promis...
ça semble interessant et prometteur, j'attend la suite!

" il pensait que les choses sont d'abord une idée "

ca sonne bizard, soit tu prend ça comme une vérité general et tu met tout au présent soit tu met tout a l'imparfait, mais le mix passe mal je trouve.

Voila, pour le reste les autres s'en sont deja chargé.

(suite^^)

le gobelin chétif, durant ce temps continuait ses divines études.Il terminait bientôt les leçons sur l'invocation divine, qui lui permettrait ensuite d'aider son grand maître à créer le monde des gobelins. Malheureusement ce n'était pas un Dieu, et ce pouvoir leur était reservé. Il ne le savait pas mais ce pouvoir, jamais il ne reussirai à le contrôler... Et les parchemins s'entassaient, il apprenait lentement et après toutes ces années sans son maître, sans rien d'autre que des lettres et de pauvres bouts de papiers, la mélancolie s'installa dans son coeur. Il perdit vite le goùt de l'apprentissage. Il n'avait plus la joie d'apprendre. Non, il s'ennuyait profondément. Les années passèrent plus lentement, toujours plus longues! Et les landes de Kromdalong, mornes, rouges, cendreuses, volcaniques le rendaient triste. Et puis le sommeil, quelque chose qu'il avait ressentit toute sa vie de gobelin s'effaça, laissant place au désespoir... Un sombre désespoir, mélé de souffrance et puis... de folie. Elle perfora son coeur et son esprit d'un trait. Il ne sut pas comment il en arriva là, en fait, à partir de ce moment là, il ne sut plus rien, il ne s'expliquait plus les choses.

Un jour, dans sa folie, il tomba sur un parchemin interdit à sa condition de mortel. Si grande que fut devenue sa connaissance mais si rabaissée par les tourments de son esprit, il ne l'étudia pas mais l'activa. It lut les runes qui traversait le bout de papier divin du maître du feu et lança l'invocation d'un dragon. Son insousciance lui coûtera cher mais celà, in ne le savait pas. Il avançait sans prendre en considérations des choses qui devaient l'être et travaillait son parchemin sans relâche. Le temps le rattrapait de plus en plus, vivre aux côtés de son maître l'avait épargné d'une vieillesse certaine mais depuis qu'il était partit, la décrépitude l'avait finalement rejoint. L'invocation avançait petit à petit et Vunskar sentait ses forces l'abandonner mais il voulait voir son dragon, sa création. Peut-être se disait-il qu'aussi divine qu'elle serait, elle lui rendrait son immortalité. il voulait continuer, fou qu'il était. Et l'invocation toucha à sa fin. Des cendres du volcan principal de Kromdalong s'éleva un gigantesque dragon aux écailles rouges sombres. Deux ailes immenses, des pattes puissantes accompagnées de monstrueuses serres de feu et deux fentes ecarlates surplombant milles épées de lave se dressait majestueusement devant le chétif corps du gobelin.

-Bien, alors nous sommes enfin d'accord, affirma mendrat'eël. Seü'idsa commencera, kaïkratz le suivra. Puis viendra le tour d'Elnienn et enfin Neiglen. je terminerai moi-même notre projet.
-Rentrons chez nous à présent, je ne saurai trouver de quiétude tant que je n'aurai revu Vunskar. je n'ai aucune idée de ce qui se passe mais j'ai un mauvais préssentiment. Permettez moi de me retirer. il fit volte-face et se dirigea vers les escaliers de nuages qui surplombaient Tunaria. Il regarda au sud, et pointa son regard vers les terres cendreuses qui acueilleraient bientôt ses gobelins. Il sentait un certain trouble, pareil à une blessure dans le grand volcan qui formait sa demeure. Un terrible cri, rauque et puissant s'échappa soudain du cratère en fusion qui explosa quelques secondes plus tard. De l'étouffante fumée noire qui s'échappait du trou de cendres apparut un dragon. Un mejestueux dragon de feu. Kaïkratz ne se posa pas de questions et fonça vers ce qui devait rester de son pauvre ami. Il déboucha evidemment sur un véritable carnage. La lave avait recouvert une partie du corps calciné de Vunskar. un seconde cri retentit dans le vide de Tunaria. Un cri de detresse. un cri de souffrance qui renfermait secrètement une haine indiscible envers cette créature sans coeur. Kaïkratz connut la tristesse.

en espérant que celà vous plaise et que vous ne lacherez pas en cours de route...:S:S Bonne lecturation!