Les Chroniques de Xhelia

Voici l monde que j'utilise pour mes parties de Chroniques Oubliées de Casus Belli (excellent systéme pour les débutants facilement personnalisable et adaptable à n'importe quel univers.) J'ai écrit son histoire sous la forme de récits mythologique.J'espére que cela vous plaira.C'est inachevé pour l'instant mais dés que j'en ai marre de Somnia, je continuerai si ça plait.

La Genèse de Xhelia, terres oubliées.

1.1 Chapitre 1:Le Rêveur.

Au commencement, n’existait qu'un seul être. Eternellement éveillé, il imaginait un monde pour passer le temps à attendre sa mort. Jusqu’au jour où son œuvre, l’Osgird, le rêve qu’il avait façonné, fut parfaite. Il décida donc de s'y rendre, pour y aller, il déchaîna les pauvres forces qu'il avait pour s'endormir. Ce qu'il ne sut jamais, c’est qu'il mourut en rêvant à ce monde qu'il avait créé.

Mais de son rêve naquit les dieux petits personnage de son imagination et un globe de terre appelé Kïgaar. Les dieux pleurèrent longtemps leur créateur et Kïgaar resta longtemps un rocher stérile. Les divinités décidèrent alors, sous la direction de Neja, le dieu du savoir et de la création, de construire à partir de Kïgaar une tombe pour leur père. Ils la construisirent avec tout l'amour dont il disposait et lorsque le corps du rêveur comme il l'appelait, fut enfoui, un étrange phénomène se produisit: Des plantes se mirent à poussez à toute vitesse, des animaux grandirent dans les bois nouvellement créé et des peuplades d’humanoïdes à la peau écailleuses sortirent des bois vêtu de peux de bête et armés d'armes primitives.
Xhelia naquit ainsi de la tombe du Rêveur.

C’était un monde,
un monde de légendes et de héros:
Un monde de Chroniques oubliées.

1.2 Le Temps des Glaces.

Suite à la mort du rêveur, un seul peuple émergea de sa tombe: de grands hommes à la peau recouverte d'écailles, et à l'aspect reptilien. Ils étaient vêtus de peaux de bête et se défendaient tant bien que mal parmi les Grerios, les créatures gigantesques vivant alors sur Xhelia.

Chaque jours des milliers de représentant de cette espèce mourrait décimer par les Trax, terrible lézards géant à tentacules, et autres carnivores. Pendant ce temps, les dieux s'ennuyaient ayant perdu leur père. C’est alors que Sekâj, l’un des plus jeune dieux, vit la transformation qui s'étaient opérés sur la surface de Kïgaar. Curieux il s'approcha, c’est alors qu'il vit que le Rêveur leur avait laissé un dernier cadeau: un monde à façonner et à créer pour plaire à leur père. Il descendit donc sur le monde nouvellement créé et rencontra le peuple d'homme-lézard. Voyant leur difficulté à survivre, il fut pris de pitié.

Remontant dans le ciel rejoindre ses frères et sœurs, il décida de trouver un moyen d'aider les Morxs comme il les avait baptisés. Il s'inspira de Kïgaar qui était autrefois nue et couvertes de montagnes et de plaines, et créa un plateau de terre et de montagne et de glace où il se retira pour trouver les moyens de sauver ces faibles créatures.

Il travailla pendant des années, ne rencontrant personnes méprisant ses frères et sœurs qui commençaient à s'entredéchirer. Un jour fatigué, il s'endormit et laissa un bout de pierre dans le feu qui lui servait à se réchauffer. Lorsqu'il se réveilla il vit que le bout de pierre s'était transformé en une matière liquide et rouge. Voyant cela il voulut la prendre mais au contact de sa peau la pierre brûla entièrement sa main gauche, le liquide coula sur sa main et malgré ses efforts pour l'enlever, son bras se recouvrait peu à peu d’une matière argentée. Il comprit alors qu'il avait trouvé le moyen d'aider les Morxs : Le métal. Il travailla des jours entiers pour améliorer sa technique qu'il avait baptisé la forge. Il en profita pour reforger son bras recouvert de métal afin de lui permettre de bouger et lui donnant la forme d'un gantelet. Il inventa aussi les murailles et les constructions qui permettraient à son peuple, comme il les considérait désormais, de survivre. Il donna donc ce savoir au Morx, mais à une seule condition : c’est qu’ils iraient s'installer à l'abri dans les montagnes du nord et qu’ils deviennent son peuple. Les Morx honorèrent ce pacte et devinrent le peuple des survivants : Les fils du Rêveur et les Protégés du Géant au bras de fer.

Sekâaj trouva ainsi sa voie. Il devint le Dieu des survivants, des explorateurs, du feu et de la glace. Il s'imprégna de chacun de ces éléments: Son corps sans consistance jusqu'à présent, hormis son bras de fer, prit forme, son corps se recouvrit d'une cotte de mailles, son gant de fers s'orna de cristaux de feu éternel et son bras intact devint de glace, son visage apparut et il fut le premier à recevoir le Vaisseau.

Ainsi prit fin le Temps des Glaces

1.3 La déchéance des elfes de feu.

Le monde continua de grandir et de changer. Peu à peu, les Grerios moururent de maladie nouvellement apparu. De nouvelles espèces se développèrent et évoluèrent peu à peu en une nouvelle race d'humanoïde: Les elfes. Les elfes malgré leurs ressemblances se divisèrent en 4 sous-races: les elfes de l’air, Les elfes de la terre, Les elfes de l'eau et les elfes de feu .Les elfes de l'air vivaient dans d'immenses villes prenant l'apparence de tours. Leurs homologues de la terre quand à eux vivaient dans des cités souterraine où ils furent peu à peu corrompu par Cauchemar. Les elfes de l'eau vivaient dans des cités sur pilotis et maitrisaient la navigation. Quant aux elfes de feux, étant cruel par nature, volèrent le moyen de forger le métal aux Morx et s'enfermaient peu à peu dans leurs vallée de feu.

Pendant ce temps Nîmmtra, le plus jeune des dieux, remarqua lui aussi l'apparition de la vie sur Kîgaar. Il décida donc de descendre et observa discrètement les peuples vivant sur la surface de la planète. Lorsqu'il vit les Morx s'exercer au maniement des armes, il fut tellement ébloui par la grâce des guerriers qu'il décida de s'imprégner de cet élément nouveau.
Ainsi naquit Nîmmtra, dieu des stratèges, des guerriers, de la vaillance, de la colère propre aux guerriers. Il apprit l'art de la guerre avec les maîtres d'arme Morxs se présentant sous l'aspect du fils de Sekâj le chef des Morxs. Au bout de 10 années d'instructions, il retourna voir ses frères et sœurs et pavana devant eux leur montrant son corps nouvellement créé et l'arme qui lui avait été donné par les Haut forgerons Morx: une immense haches de guerre appelée Flernir.

Mais soudain, quelqu'un prit la parole:
-Alors c'est toi la nouvelle lopette d'en haut ?
Nîmmtra baissa les yeux sur Xhelia et aperçut Arkhâm, le chef des elfes de feu. Fou de colère le dieu abattit sur lui et son peuple son poing. Calmé il remarqua un changement sur les elfes de feu: leurs peaux étaient devenue verte et leur visages devinrent peu à peu difformes, mais s'ajoutant à cela, ils avaient gagnés une considérable force physique. Rendus fou et débiles par le dieu, les orcs nouvellement créés s'éparpillèrent sur Xhelia et commencèrent à brûlé et massacrés les forêts les créatures vivantes, ils s'attaquèrent au Morxs et forcèrent ceux ci à s'exiler.

Conscient de son erreur le dieu s'arracha la peau du dos et la déposa sur Xhelia. Il insuffla une partie de sa vie en elle et créa les Taurocks à partir d'elle. Les Taurocks, les fiers hommes-taureau devinrent ainsi le peuple de Nîmmtra et aussi les ennemis jurés des orcs.


1.4 La bataille des plaines de feu

Dès que les Taurocks se furent organiser, Bull’ Tor, le prophète du dieu Nîmmtra, déclara une croisade contre les hordes orcs qui dévastaient Xhelia. Ils envoyèrent des messagers aux Morx et aux trois peuples d'elfes restant. Tous décidèrent de participer, hormis les elfes de la terre qui avaient prêtés allégeance à un dieu sombre qu’ils appelaient Cauchemar et qui se rangèrent du coté des orcs. Tous se préparaient à la bataille: les prêtres Morxs de Sekâj enfilaient leurs gantelet et leurs armures, pendant que les elfes de l'air préparaient les harnais des aigles, les elfes de l'eau descendirent les catapultes de leurs bateaux, les Taurocks forgeaient leurs immenses haches et se peignait les peintures sacrés sur le corps et une mystérieuse race de petits hommes sortirent des bois et rameutèrent de gigantesque hommes arbres. Tous se mirent en chemin pour les plaines de feu, là où se trouvaient les camps ennemis. Quel ne fut leurs surprise lorsqu'ils virent au milieu des orcs et des elfes de la terre, d'étranges personnages encapuchonnés et des peuplades d'humains vêtu de peaux de bêtes. Chacun pris sa place, les fiers Archers du ciel sur leurs aigles, armés d'arcs et de lances, les guerriers Taurocks vêtu d'un pagne et armés d'haches gigantesque, Les prêtres Morxs armés de leurs gantelets sacrés chauffé au rouge, les elfes de l'eau, faibles et chétifs, ne possédant pour armes que des frondes et des catapultes primitifs. En face d'eux se trouvaient des orcs, armés de haches de pierres, des elfes de la terre à la peau noire et armes de griffes, des humains primitifs armés de leurs poings, les silhouettes ôtèrent leurs capuches et révélèrent leurs visages, c'étaient des créatures sans visages et au milieu de cette nuée sombre qu'étaient leurs visages se trouvaient 2 points rouges tenant lieu d'yeux.

La bataille commença, les orcs, les humains, les elfes noirs se ruèrent sur les Taurocks et les Morxs. Les elfes de l'eau commencèrent à envoyer leurs boulets et les archers du ciel décochèrent leurs premières flèches. Les forces se ruant sur eux furent écrasés sous le poids et le nombre de trait et de rochers envoyés. Mais un étrange phénomène se produisit alors, au lieu de mourir les tués se relevaient et continuaient à se battre. Les Nécromanciens avaient révélés leurs pouvoir, plus rien ne pouvait empêcher la défaite de l'armée des peuples libres.

La bataille continua ainsi tout un temps lorsque, Eximam un des dieux descendit et vit le massacre provoqué par les nécromanciens, Eximam se mit au travers des sortilèges des nécromants et stoppa les résurrections, et s'imprégna ainsi de la magie et obtint sa voie, il se transforma devenant le plus puissant mage existant. Il choisi certains des guerriers de l'armée de la plaine et les dotas du pouvoir de stopper les résurrections, ils furent appelé Les quatre premiers. Les quatre Premiers mirent leurs pouvoirs en commun pour détruire les mages noires. Tous brûlèrent littéralement. Voyant que les mages étaient morts, l’armée de Cauchemar s'enfuit, s’éparpillant dans les plaines.

Ainsi naquit Eximam, dieu de la terre, de la magie et des plantes, mais c'est aussi ainsi que les peuples de Xhelia faillirent tous périrent

1.5 La naissance de l’humanité et la découverte des Neytacks.

Les humains privés de leurs maîtres s’éparpillèrent dans le monde certains humains partirent dans le nord et formèrent les tribus barbares des Virdiens. Certains partirent à l’est et se retrouvèrent face à la mer qu’ils traversèrent et se retrouvèrent sur la grande île de Fäär, tandis que certains partirent s’installer dans les régions tempérées de l’ouest, ils devinrent les riches castels des Unars.
Ces trois peuples prospérèrent et proliférèrent jusqu’à ce que le roi Rog le Pourpre fédéra les Unars qui conquirent une grande partie de l’ouest du pays et fondèrent un royaume riche et prospères malgré l’expatriation de nombreux autres peuples sur leur passage. Les Virdiens se battirent entre eux durant de longues années jusqu’à ce qu’un seul clan survivent en faisant les maitre du nord sous la direction du Jarl Thurgal Aerg. Les Fäärs survirent tant bien que mal durant de nombreuses années jusqu’à ce qu’une étrange météorite s’écrase sur leur île ouvrant un grand cratère et éparpillant d’étrange roche sur toute l’île. Cette roche émettait des rayonnements sous la lumière de la lune provoquant une mutation sur toute la peuplade de l’île leur donnant le pouvoir de résister aux monstres de l’île. Ils décidèrent de n’utiliser leur pouvoir qu’en cas de légitime défense pour ne pas dépeupler l’île et le monde de toute vie.
Les Unars pendant ce temps continuaient leur expansion commerciale en voulant exploiter la forêt des Voiles. Lorsqu’ils commencèrent à abattre les arbres, ils se rendirent compte qu’ils avaient attaqués un peuple en voyant les petites maisons accrochés à la cime et aux troncs des arbres qu’ils avaient abattus. Ils furent attaqués par d’étranges petits magiciens et tous les bûcherons de la première expédition furent massacrés.
Il fut décidé d’envoyer une délégation de paix auprès du mystérieux petit peuple. Les habitants des bois acceptèrent de dialoguer, Ils se présentèrent comme les Neytacks, les protégés d’Eximam et gardien de ce bois. Les Unars proposèrent de ne couper qu’une partie de la forêt en échange ils acceptaient de payer un tribut (bien en dessous de la valeur des essences présentes dans les bois.) Les Neytacks refusèrent en disant que leur dieu les avait chargés de protéger chaque arbre et que c’étaient pour cela qu’ils refusaient. Les Unars considérant que ses bois étaient sur leur territoire leur déclarèrent la guerre. Cette guerre fut appelés la guerre des Voiles, en rapport avec le nom des bois. Elle dura de nombreuses années sanglantes et sans merci, mages Neytacks contre chevaliers en cuirasse d’Unar, sans qu’aucun camp ne prenne l’avantage. Les commandants Unars et les maître-mage Neytacks signèrent un pacte de non-attaque. Les Unars ayant abandonnés l‘idée d’exploiter la forêt cherchèrent d’autres moyens de s’enrichir, tandis que les Neytack ayant été découvert s’ouvrirent au monde et accueillir des personnes désireuse de connaître l’art d’utiliser le Vaisseau.

1.6 Les Dnars et le ratage des Nains.

Pendant ce temps, les dieux Sekâj, Nîmmtra et Eximam à force de s’occuper de leurs peuples respectifs délaissèrent peu à peu leurs frères et sœurs. Ils s’ennuyaient seul dans le vide qui entourait Xhelia. Pour passer le temps Enaj, l’aîné des dieux (de 6 secondes et 3 centièmes caractéristique dont il était très fier.), passait son temps en expérimentant la technique de la forge de son frère Sekâj, en fabriquant de petits automates en métal. Soudain son attention fut attirée par quelque chose sur la planète un voile bleutée planait sur l’endroit où ils avaient enterrée le Rêveur des milliers d’années plus tôt.
Un tissu bleuté et vaporeux volait au dessus de la nécropole, Enaj était intrigué. Il n’avait jamais vu ça, même lorsque que son petit frère faisait des miracles grâce à ce qu’il appelait la magie. Curieux, il s’approcha si près qu’il le toucha. Ainsi, il ne fit qu’un avec cette matière et trouva sa voie comme ses frères. Il comprit alors ce qu’était cette chose, c’était les bribes du rêve de leur père qui n’avait pas encore pris forme. Il comprit également que ce que son frère appelait magie était en fait la manipulation de ces bribes. Il eut alors une idée. Si le rêve avait façonné tout Xhelia, on pouvait créer d’autres choses avec ces bribes. Ses frères avait chacun un peuple, soit il allait créer le sien.
Il fit apparaître dans le vide de l’espace un laboratoire aux rouages dorés et aux alambics cristallins. Il s’y enferma durant de longues années, cherchant, trouvant parfois des bribes de vérité, ratant souvent. Un de ces ratages donna naissance à un peuple qui détestera les dieux plus que tout : Les nains. Lorsque Enaj les créa, il fut heureux jusqu’à ce qu’il se rende compte du caractère irascible qu’ils possédaient, ce qui l’horrifiait au plus haut point. Il ne put se résoudre à détruire ces essais si proches du but, Il bâti une citée sous la terre près des mines où il les plaça et les laissa vivre. Mais un nain n’oublie jamais, et ils n’ont jamais oubliées, qu’ils n’étaient que des essais ratés d’une race ultérieure.
Malgré cela le dieu continua son œuvre, jusqu’à ce qu’il réussisse à créer des petits homes au gros nez, à la grosses tête et aux grosses mains velus. Il fut si heureux qu’il mobilisa une grande partie de ses pouvoirs pour ériger une citée gigantesque sur engrenage des terres de Xhelia.
Il ordonna à ses créations de s’y rendre et d’y fonder une société basé sur la science qui les avait vus naître.
Ainsi naquirent les Dnars.
Mais c’est quoi le vaisseau ?
Le vaisseau est un organe situé dans la boîte crânienne du magicien et qui sert de réserve, de machines modeleuses du rêve. Hé oui, les mages peuvent utiliser le rêve comme ils veulent. Mais avec certaines limites, en effet l’utilisation du vaisseau est extrêmement éreintante, voire destructrice pour son utilisateur, après le remodelage de Xhelia en notre monde, certaines personnes naissaient avec un vaisseau. C’est la phase extrême de l’épuisement qui donnera naissance aux légendes sur les combustions spontanées. De plus, il semblerait que les bandes de bandits d’Unar ont ouvert une plaque tournante du commerce de vaisseau sur le marché noir. Ainsi certains enfants pauvres possédant un vaisseau sont vendus par leurs parents.


2.Description et histoire des peuples.

2.1 Les Morxs.
Les Morxs sont un peuple d’hommes-lézards vivant dans la partie nord du plus grand continent de Xhelia au côté des Virdiens fiers guerriers de Virdie. Ils sont le peuple les plus anciens habitants de la planète. En effet, ils avaient connus les Grerios, les premières créatures à être apparu naturellement sur la surface de Kîgaar.
Malgré leur force qui nous paraît surhumaine maintenant, c’était les plus faibles et les plus vulnérables parmi les gigantesques monstres. Chaque jour était un combat à mort contre la nature et contre leurs congénères avides. En effet cette époque fut le cadre d’actes horribles pour survivre. Cannibalisme, traîtrise, appât Morxiens pour bêtes imondes ……
Cette situation perdura pendant des milliers d’années jusqu’à ce que Sekâaj interviennent et fassent d’eux le peuple des survivants et les fils de Sekâaj, en échange de leur installation dans l’endroit le plus au nord du continent. Ce qui fut fait.
Les Morxs ont une organisation en monastère selon les métiers. Chaque métier possède un monastère dédié à son métier et au culte d’une des nombreuses facettes de Sekâaj.
Le 1er monastère est celui des Pourvoyeurs : les Agriculteurs, les serviteurs des autres classes et les femmes (n’y voyez aucun sexisme, les femmes ont également une autre caste monacales de leur choix, mais elles sont classés dans les Pourvoyeurs car elles pourvoient à la perpétuation de l’espèce. Elles peuvent être forgeronnes aventurières prêtresse de Sekâaj, guerrière… mais sont révéré comme les mères du peuple.)
Le 2ème monastère est celui des forgerons qui sont un métier à part dans le culte de Sekâaj. Les forgerons ne sont pas seulement des artisans et des forgesorts de talents, ce sont également les hauts prêtres du dieu survivant. Ils contrôlent les 2 éléments que leur maître gouverne : le feu et la glace. La glace de l’endroit où ils vivent et le feu d’où ils tirent leurs gantelets de métal. Ce gantelet diffère pour chaque individu car il met une partie de lui en lui. Certains sont en acier, en or et parfois même en minerais brutes .De nombreux aventuriers font parfois exclusivement le voyage pour pouvoir acheter ou obtenir des armes magiques de ces puissants forgesort .Les Forgesorts Morxs méprise les scientifiques Dnaar qui ont crèè des golems mécaniques qu’ils considèrent comme des pâle copie de leurs propre golem élémentaire.
Le 3ème monastère est un des plus courue et des plus ouvert aux autres peuples est celui des Aventuriers. En effet, les moines qui enseignent sont des experts en survie qui dispensent leurs savoirs pour former de vrais aventuriers capable d’affronter les dangers du monde comme leur Dieu leur à enseigner. En effet, Sekâaj est également le dieu des aventuriers. On y retrouve des guerriers venu apprendre de nouvelles techniques de combats, des prêtres venu approfondir leur connaissance sur leurs dieux respectifs, des rôdeurs s’entraînant à survivre dans les milieux hostiles des glaciers du nord……
Ces trois monastères se trouvent dans la ville-forteresse de Roïr sculpté sur la pointe d’une montagne et avec des murailles de 40 mètres de haut. Ainsi les murs sont si épais que les habitations des Pourvoyeurs sont creusées dedans.

2.2 Les Elfes.

Ils existent 4 sortes d’elfes dont deux sont maudites et détesté par leurs pairs. Il y a d’abord les elfes de l’air, les cavaliers du ciel vivant dans les hautes citées tours proches de Unar, les elfes de l’eau qui sont les fiers pirates des mers de Xhelia, détesté par les marchands Unars, faisant rêver les esclaves rêvant de liberté. Les 2 autres sortes sont détesté, à raison : d’abord, les Elfes de terre, appelés les Elfes noirs entre eux et par les autres races, vivant dans les immenses grottes souterraine parsemant les sous sols de Xhelia. Les derniers sont les plus détesté et le résultat de la stupidité du dieu Nîmmtra. Les Orcs, anciennement les Elfes de feu belliqueux.
Les Elfes de l’air vivent dans des immenses cités-tours proches des Castels Unariens. Au sommet se trouvent les fameux nids des aigles des cavaliers du ciel. Ces cavaliers fon tous partie de la noblesses des Altals (elfes de l’air en elfique)

I, première partie:

Spoiler:

I, deuxième partie:

Spoiler:

I, troisième partie:

Spoiler:

I, quatrième partie:

Spoiler:

Une autre remarque, c'est que tu utilises énormément de participes présent/gérondifs ce qui rend le texte plus lourd.
Bon, il me semble que j'ai fait la moitié, là. Je vais m'arrêter pour le moment avant de griller mes quelques neurones restants.
Je ferai sûrement une critique générale dans la deuxième partie, en attendant, il faudra te contenter de cela

Comme mon courage n'a d'égal que ma folie, je continue mon commentaire sur ton texte (le plus dur, c'est que c'est long en fait.)

I, cinquième partie:

Spoiler:

I, sixième partie:

Spoiler:

II, première partie:

Spoiler:

II, deuxième partie:

Spoiler:

Personnellement, je n'aime pas les prologues (et c'est un prologue, non ?), j'ai vraiment beaucoup de mal à retenir les noms des peuples, personnages ou lieux.
Donc en fait, je me tape des pages entières de description en étant toujours aussi avancé qu'au début.
Mais ceci est un avis subjectif, je connais des gens qui adorent ça au contraire.

Toutes ces naissances de peuples, actions des Dieux, fabrications de cités, etc... sont très répétitives. D'ailleurs tu utilises très souvent le même vocabulaire.
En plus, j'ai l'impression que le niveau d'écriture se dégrade au fil des parties, comme si tu en avais marre de tout cela.
Tu n'es pas non plus tout le temps dans le "trip" récit mythologique. Il faut vraiment que tu le fasses à fond si tu veux faire ça.

Alors comme je l'ai dit, les prologues/descriptions c'est franchement pas mon truc et tu as pas mal de choses à améliorer.
Qui a envie réellement de devoir assimiler autant d'informations à la fois ? Je préfère quand c'est distillé dans le texte.

Ton but maintenant avec ces récits, ça va être d'intéresser le lecteur à l'histoire de ton peuple. Pour l'instant, tu as ton monde, tu es bien dedans, tu l'aimes bien, etc... mais ça ne suffit pas, si le lecteur n'est pas accroché, ça ne marchera pas.

Voilà, ne prends pas mal bien sûr ce que je dis. (d'ailleurs, tu es bien plus courageux que moi car tu postes tes écrits dans le but de t'améliorer, ce qui ne peut que te faire progresser)
Tous mes conseils ne sont peut-être pas les meilleurs mais je fais au mieux pour t'aider.

le principe est que c'est juste une grosse description d'un univers pour jeu de rôle, donc ce n'est pas un récit. dès que j'aurais le temps j'ècrirai les chroniques de mon groupes de jouuers comme un récit.Ceci est juste l'univers dans lequel ils èvoluent.Merci en tout cas pour ces 2 pavés de critique que j'ai parcouru de long en large pour y reprendre toutes les notes utiles.

J'ai lu aussi. Sur les coups de nos 15-17 ans, je pense qu'on a tous crée notre propre monde bizarre avec ses peuples aux noms imprononçables ! Ça me rappelle des souvenirs... L'écriture sans pression, sans tourments, sans prise de tête, rien que du rêve, du rêve et de l'imagination.
Un écrivain doit passer par là à un moment donné. Amuse toi bien !

Euh nan, moi je ne l'ai pas fait. ^^

c'est vrai que j'adore créer cet univers qui me permet de mélanger le steampunk, la fantasy et une mythologie propre à mon univers.