Petite histoire

E : Ben vous me l’avais pas demandé ---> vous me l'avez pas demandé

J'adore le Tauren et ses explications mathématiques ! ^^

C'est du tout toi, n'est-ce pas? ^^

J'ai corrigé merci!

j'adore la chanson on s'y croirait à avoir envie de le taper pour qu'il se taise. et l'elfe...c'est quoi ses compétences? ^^ ça risque de tourner au massacre d'ici peu s'ils sont tous aussi doués pour se supporter

L'elfe est doué pour fumer du lambas. Tu l'auras remarqué dès l'entrée.
Mais ils frolent le massacre à chaque tournant, c'est ça qui est tripant
Voici une révélation sur la suite

Spoiler:

Très spirituel toi quand tu t'y mets...

oh,un elfe!
*spaf*
désolée,je suis contaminée par ton histoire^^

Fait attention, c'est moi l'elfe en plus Je risque de t'enfumer

*mets un masque à gaz*
je sais bien que c'est toi l'elfe,c'est bien pour ça que j'ai mis ça

^^
Bon je te dis quand même que quand l'elfe monte d'un niveau, il peut fumer plus de lambasa en même temps

ça c'est du progrès.il va pouvoir nous en faire des plus belles alors

Pour Morrigan

N : Je veux le frapper (se débattant).
E : Attention, je connais plein de techniques de combats pour le combat rapproché.
(Yaaah, Youuuu + bruit de gestes rapides + Waaaah)
N : Il me nargue. Faut que je lui pète la gueule.
V et T (en même temps que le nain) : Non, non. Fait pas ça.
N : Mais lâchez-moi purée.
V : Nous ne te lâcherons que lorsque tu te sera calmé.
N : Ca y est, je suis calme.
T : En est tu sur ?
N : Puisque je vous dis que oui.
T : D’accord.
V : Faudrait peut-être avancer si on ne veut pas qu’un garde nous repère en faisant sa ronde.
T : Bonne idée.
E et N : Ouais.
V : Mais pas de chanson.
T, E et N : D’accord.

FIN DE L’EPISODE 2

(bruit de pas : un petit moment)
(en même temps que les bruits de pas)
N : Qu’il est monotone ce couloir.
T : Il va toujours tout droit. C’est chiant à la fin.
E : En plus ce gris me sape le moral. Je vais prendre une petite feuille de lambas pour me remonter.
N, T et V : Nooon pas ça !
E : Vous voulez me voir pleurer tout le temps (au bord des larmes) ? C’est ça ? Vous me dégoutez.
N : (Il grommelle) Bon vas y. Fume un coup.
E : Merciii. T’es mon meilleur pote.
N : Oh oh tout doux. T’emballe pas trop vite.
(bruit de pas)
E : Eh, y a une porte un peu plus loin.
N (bruit de personnes qui courent): Allons y !
T (bruit de personnes qui courent): Et si y a des pièges ?
N (bruit de personnes qui courent): T’en fout !
(bruits de course s’arrêtent)
V : Que fait-on maintenant que nous sommes devant la porte ?
E : On l’ouvre tout simplement.
(gros silence)
T : Attends (dit brusquement).
N : Et m***e. Qu’est c’qu’il y a encore ?
T : Ne pourrait-on pas envisager le cas où la porte serait piégée ?
V : C’est une remarque intéressante.
N : On pète tout.
E : Je vais lancer un sort de détections de pièges sur la porte.
T : Vas-y.
N : Dépêche, j’ai pas que ça à foutre !
E (ton augmente au fur et à mesure de la phrase): Si vous ne fermez pas votre GUEULE, (ton de nouveau très calme) je n’y arriverais pas. C’est un sort très compliqué à lancer. Il me faut du calme.
(Viou, voouououou : sort qui se maintient)
E : Mmmmhhh. Je vois… Je vois… Je ne vois rien.
V : Cela veut-il dire qu’il n’y a pas de piège ?
E : Non. La porte n’est pas piégée.
V : Moi, je préfère me mettre à côté de la porte par précaution.
E : Moumouth, ouvre la porte.
N : Et explique-moi pourquoi ça devrait être moi qui ouvre la porte ?
E : On va voter si tu veux. Qui veut que Moumouth ouvre la porte ?
V : Moi.
T : Moi.
E : Moi aussi.
N : Pas moi.
E : On est en majorité. Donc tu dois ouvrir la porte.
N : J’suis pas d’accord. On va procéder à un nouveau vote. Qui veut que l’elfe ouvre la porte ?
T : Moi.
V : Moi.
N : Moi. (mesquin) Eh, eh, eh, on dirais que c’est toi qui va ouvrir cette porte.
E : Dracyr, n’oublie pas que je t’ais rendu tes lunettes de soleil.
V : C’est vrai. Je retire ma voix.
N : purée, c’est pas juste. J’suis pas d’accord. T’as déjà voté, tu peux pas retirer ta voix. C’est d’la triche.
E : C’est toi qui va ouvrir la porte.
N : Non (catégorique). J’l’ouvrirais pas. Na.
T : Hum, hum (bande ses muscles : bruit (grognement ou autre)).
N : C’est pas humain des muscles comme ça.
T : Non, j’suis un Tauren. Tu veux toujours pas ouvrir ?
N : C’est une conspiration (en criant) contre moi, contre les nains. C’est une injustice monumentale. C’est de la discrimination.
T : J’attends (le «en » se prolonge).
N : C’est bon, j’vais ouvrir.
E : On a failli attendre.
V : Moi je vais me mettre à côté de la porte.
T : J’te suis.
E : Moi aussi.
N : Quelle confiance ! Ca me donne du baume au cœur (ironique).
(clic : poignée qui tourne, bruit de porte qui s’ouvre, fiou, bruit de flèche qui rebondit sur le mur)
N : Aaaaaaaaaaaah (horrifié).
T : Heureusement que c’est Moumouth qui a ouvert la porte.
N : Mais purée, c’était quoi ?
V : Une flèche a transpercé ta moumoutte.
E : T’as un beau petit trou maintenant, ça fait classe !
N : Nooooon ma belle moumoutte est défigurée. Bououou (pleure) !
(arrête de pleurer) Tout ça, c’est de ta faute Ultuant ! T’avais dis qu’il n’y avait pas de PIEGE. T’es qu’un sale menteur. Tu voulais ma peau. Tu vas le regretter. Yaaah.
(bruit de course : rapide, coup de poing)
T : Tu fais chier m***e.
N : J’veux l’buter ! Faîtes pas chier, lâchez-moi purée !
(bruit du nain qui se débat)
E : J’avais dis que la PORTE, et seulement elle, n’était pas piégée. Vous ne m’avez pas demandez pour la pièce.
(chuchotement)
T : J’suis d’accord.
(chuchotement)
E : Mais, vous faîtes quoi ? Pourquoi vous me regardez comme ça ? Qu’est c’que j’ais fais ? Ola, calme, doucement. Pourquoi vous lâchez le nain ? (bruit de pas) Pourquoi vous m’encerclez ? Au secours, à l’assasin, au meurtre !
(bruit de combat, de coups de poing : un petit moment)
E (par dessus les bruits de combats) : Vous me faîtes pitié (moqueur). Vous avez vraiment cru que de grosses brutes comme vous pouvaient attraper un elfe si fin et élancé que moi ? Vous êtes vraiment trop bêtes (riant à moitié) !
(bruit de course)
E : Eh, mais lâchez-moi !
N : Tenez le bien.
(bruit de coups de poings et de combats)
E : C’est une salle d’arme.
( bruits de combats s’arrêtent)
V : Ou ça ? Ou ça ?
E : Bé, quand on s’est battu on a roulé dans la pièce qu’on a ouverte.
N : Ouah (émerveillé), y a plein d’armes. C’est magnifique.
T : Mais (se prolonge) je connais cette hache. C’est la mienne.
V : On dirai que ce sont nos armes.
N : m***e, c’est vrai.

FIN DE L’EPISODE 3

J'aimerais pas être à la place de l'elfe.à mon avis,un peu de lembas en plus ne lui fera pas de mal maintenant.
par contre,le prochain vote du forum,interdit de le faire de la même façon^^

Vraiment? Dommage ^^

J'aime encore. Peut-être un peu moins ce passage, va savoir pourquoi...

*imagine en pièce de théâtre*


Cooooool !


Un peu de fautes mais oh yehhh !

Hé, je verrais bien ce texte en pièce de théâtre ! (comment ça, un écho ?)

Vraiment c'est toujours aussi marrant, et j'a-do-re le Tauren !!

On voit les matheux ici ^^

Pourquoi les matheux ???

*se creuse la tête*
*regarde en haut de la page*

*ne voit rien*

*se retire en cherchant toujours le lien entre "matheux" et le reste*

Ils aime le Tauren avec ses explications farfelues, donc matheux ^^

Ohhh !


Rien que ça ?

(Ils sont p't êt' aussi des victimes... de grands incompris... m'enfin, moi aussi je l'aime bien alors je me tais...)

Allez, les amoureux du Tauren vont être au ange ^^

T : Vous voyez cette hache ? Cette superbe, magnifique, splendide hache ?
N : Et alors ?
T : Ben c’est ma (insister dessus) hache.
E (doucement): Pouah. C’est laid !
V (doucement): Ca doit être de l’art Tauren.
N (doucement): purée ils ont aucun goût.
T : Ma hache a une histoire, une histoire peu banale. Je vais vous la raconter.
N : Et m***e. On est pas près d’en voir la fin.
T : Cette hache est dans ma famille depuis 4 générations. Depuis mon arrière grand-père, elle est transmise de père en fils. Mon arrière grand-père l’a obtenu après une bataille sauvage contre un clan ennemi. Tout commença un soir d’hiver pluvieux dans notre village. Des mercenaires sont arrivés et ont lancés un avis de guerre contre notre village de la part du seigneur voisin. Il voulait agrandir sont territoire à notre dépend puisque nous étions sans défense, on était une cible facile. Ainsi commença une guerre longue et laborieuse, une guerre d’usure. Nous étions peut-être sans défense mais nous étions des paysans très résistants et assez ingénieux, il faut bien le reconnaître. Nous avons commencé par truffer la forêt voisine de pièges…
N (doucement, pendant que le Tauren parle): C’est normal qu’ils fabriquent des pièges comme des lâches. S’ils étaient tous comme l’intello en face de nous, ça devait pas être coton pour les combats au corps à corps.
T : …Pour cela, nous avons d’abord abattu quatre arbres d’environ deux mètres chacun ; ensuite nous avons enlevés toute les branches des troncs. Nous les avons taillés pour qu’ils mesurent exactement un mètre exactement. Cette distance dépendait du succès de nos pièges …
E : (baillement) Qu’est c’qu’on s’fait chier ! (pendant que le Tauren parle)
N : Il va quand même pas nous raconter tous les détails !
E : Je crains que oui.
T : … En effet, au début nous croyions pouvoir arriver à construire des pièges redoutables. Mais il nous manquait un élément essentiel. Vous allez voir avec quelle subtilité nous avons réussi à surmonter cette difficulté. En effet les pièges ne fonctionnait qu’une fois sur deux et c’était trop aléatoire alors que notre vie dépendait de ces mêmes pièges.
N : Eh bé, il fallait attendre que les pièges marchent pas et ne plus les toucher comme ça ils auraient marché la fois d’après.
T : Ce n’est pas aussi simple car ils pouvaient marcher quatre fois de suite et ne pas fonctionner quatre fois de suite …
E (doucement pendant que le Tauren parle) : Bien essayé ! (silence) Mais raté comme toujours.
N (doucement pendant que le Tauren parle) : Toi tu vas pas sortir vivant de cette forteresse si tu continu.
T ( pendant que Elfe et Nain parlent) : … Donc comme je le disais, nous avons trouvé comment faire pour qu’ils fonctionnent à chaque fois … (continue à parler en fond)
N et E : Zzzzzz (un bon moment)
E : Hé, hé, où suis-je ? Ah oui c’est vrai dans une forteresse de m***e.
N (endormi) : Qu’est c’qui s’passe ? On est attaqué ?
E (doucement pendant que le Tauren parle) : Non, je m’suis juste réveillé.
N (doucement pendant que le Tauren parle) : Et pourquoi on s’est endormi ?
E (doucement pendant que le Tauren parle) : Regarde en face de toi.
N (doucement pendant que le Tauren parle) : m***e c’est vrai, à cause de Wylander.
E (doucement pendant que le Tauren parle) : Hé Dracyr, tu t’es pas endormi toi ?
V (doucement pendant que le Tauren parle) : Non.
E (doucement pendant que le Tauren parle) : Ca fait combien de temps qu’on s’est endormi ?
V (doucement pendant que le Tauren parle) : En gros, entre 1h30 et 2h30, je ne sais pas trop.
N (doucement pendant que le Tauren parle) : Il a toujours pas fini son histoire ?
V (doucement pendant que le Tauren parle) : Non, mais j’ai appris beaucoup de choses sur les pièges. Très instructive cette histoire.
N (doucement pendant que le Tauren parle) : T’es un fou !
Voix off : Attention, cette scène peut heurter la sensibilité des jeunes auditeurs.
T : Donc nous sommes en plein cœur de la bataille. Celle-ci fait rage avec une extrême violence. Je me revoie encore, j’étais si jeune et si fragile mais déjà je devais affronter la mort, la peur et l’horreur (pleurnichant). Cette expérience restera à jamais ancrée en moi (pleurant).
N (Tauren pleure) : purée, encore un sensible. Faîtes chier, m***e ! On est plus à la crèche. Quand j’étais petit on me vantait les Taurens (un petit silence) pour leur force mais pas pour leur sensibilité m***e. Quelle équipe de chiotte. A peine capable de nettoyer les excréments d’un troll, et encore en les surestimant largement.
E (Tauren pleure) : T’inquiète pas, on va surmonter cette épreuve ensemble.
N (Tauren pleure) : Ouais, et bé ça s’ra sans moi.
(pleurs s’arrête)
T : (Reniflement) Je vais reprendre mon histoire (triste) …
N : Tu peux aussi t’arrêter là si tu veux, ça me dérange pas.
T : … La bataille faisait rage. Au centre de celle-ci, mon arrière grand-père, le chef de notre village, s’était frayé un chemin jusqu’à son rival. Ils étaient maintenant face à face, la rage se lisait sur leurs visages. Ils commencèrent à se battre, mais aucun des deux ne purent avoir l’avantage.
N : C’est encore long ?
T : Non, non, c’est bientôt la fin. L’armée ennemie comptait un mage dans leur rang. Voulant avantager son chef, il lança un éclair, ou une boule de feu, je ne me rappelle pas très bien, sur mon arrière grand-père. Mais le mage manqua sa cible, faut dire qu’il n’était pas très doué.
N : J’en connais un autre comme ça.
E : Qui ça ?
N : D’après toi !
T : L’éclair frappa donc le chef ennemi. On n’a jamais su ce qu’il s’était produit mais sous l’effet du choc, le seigneur se transforma en cette hache.
N : Mais c’est dégueux.
T : Elle est très précieuse car elle montre notre victoire sur un adversaire qui nous aurait battu. Comme quoi, rien n’est gagné ou perdu d’avance. Si on fait attention, on peut même sentir l’essence vitale du chef vaincu ou son cœur battre.
E : Mais c’est horrible.
V : Coutume intéressante.
N : Laissez passer, j’vais gerber.
(bruit de course, quelqu’un qui vomit)
T : Moumouth tu veux tenir ma hache ?
N : M’approche pas avec ça. J’te préviens.
T : Tu m’fais quoi sinon ?
N : Heu … heu … J’te fous une tarte.
T : Ouou, j’ai peurs (ironique).

Ben,pas matheuse pour deux sous,mais qu'est-ce que j'adore quand même! surtout la conclusion : "elle montre notre victoire sur un adversaire qui nous aurait battu"
et il te sort ça avec un grand naturel.^^

Trop immense !! Comme d'hab ! C'est vrai qu'on a vraiment l'impression d'entendre le donjon de Naheulbeuk !
Bon bah je peux rien dire d'autre à part "trop cool" et "t'arrête pas" !!! : )

Merci. Si je perce pas en tant qu'écrivain, je peux me reconvertir dans les histoires farfelues!

mdr !
Bah après tout, pourquoi pas ?? lol

ça vous dirait pas d'enregistrer son histoire avec nos voix trafiquées, comme le donjon de Naheulbeuk ??? (yeaaah... j'ai enfin fini de télécharger l'épisode 1... aller, au 2 maintenant... 56k powaaa)

luciole qui rêvasse, qui rêvasse, alors qu'elle a bien d'autres choses à faire...

ps : je viens d'y penser, mais comme ton histoire n'a pas l'air d'avoir de titre, que penserais-tu de "Le souterrain de Berserkeurk/Berserkbeurk/Bersekaïe..." etc. "Souterrain" parce que heeeu... ça commence dans un cachot, et "bersekmachin" par référence aux bersekirs (aux guerriers quoi^^)
une idée qui me traverse l'esprit, comme ça.