Petite histoire

Bon c'est une petite histoire style Naheulbeuk, vous pouvez corriger mais c'est surtout pour vous faire marrer

Abréviation utilisés :
T= Tauren
N= Nain
V= Vampire
E= Elfe
G= Gobelin
Entre parenthèse = bruitages



La formidable histoire de nos 3 héros commence…
T : Et moi, je compte pour du beurre ? Tu sais même pas compter jusqu’à 4. Tu fais pitié. Ahahah
(N, E, V rient)
Bon, bon, ça suffit (arrêt des rires). Reprenons, la formidable histoire de nos QUATRE (faut insister sur le 4) héros commence dans une forteresse, toute en pierre du pays d’Aclaeni, taillées par les plus réputés tailleurs de pierre : les nains. Des pierres si bien taillées que les jointures sont presque invisibles, et d’une lisseur à faire pâlir le marbre.
N : Enfin une personne sensée sur ce continent.
V : Je crois que tu t’égare.
Ah oui, c’est vrai. Donc la formidable histoire de nos 4 héros commence dans une forteresse imprenable, ultra-protégée, qui n’a jamais été investi par une armée ennemi. Cette super-forteresse est protégée par des gardes surarmés, surentrainés ; par 2 gobelins… (rires) … et un mage.
N : purée de m***e.
V : Ca va pas être de la tarte.
E : Qui a parler de manger ?
T : Ta gueule. Tu veux une bouffe ?
E : Non, ça ira.
1er G : Tu voudrais pas faire une bellote ?
2ème G : On peut pas, il faut être 3 pour y jouer.
1er G : Et m***e. Qu’est c’qu’on s’fait chier. En plus avec ce mage qui dort tout le temps. A plus tard.
(pas qui s’éloigne)
(petite musique)

FIN DE L’INTRO

N : Qu’est c’que j’fous là ?
V : Qui a parlé ?
N : C’est moi !
V : C’est qui toi ? Où es-tu ? Je ne te vois pas. Il fait trop sombre.
N : Je m’appelle Moumouth, j’suis un nain. Et toi, t’est qui ?
V : Moi, je suis Dracyr, le comte Dracyr, troisième du nom, vampire de son état.
T : C’est pas bientôt fini tout ce boucan ? Je dormais bien et vous m’avez réveillé.
V : Qui êtes vous ?
T : Je suis Wylander, le Tauren. Vous êtes attachés vous aussi ?
V : Oui (ou Vi).
N : Pourquoi tu me le rappelle (désespéré), j’vais te péter la gueule dès qu’on sort d’ici.
T : Si on sort.
N : Connard (hurle).
V : Calmez-vous mes amis.
N : On est pas tes amis en plus.
(murmures)
N : Et mais c’est quoi ces murmures ?
T : J’en sais rien, mais ça semble provenir du coin opposé au mien, à environ 35 pieds, vu l’intensité du murmure…
N : Ca va, ça va l’intello. On t’as pas demandé de nous raconter ta vie.
(Viou, bruit d’une boule de feu)
V : Qui a fait ça ? Montrez-vous.
T : T’es con ou tu le fais exprès ? On est dans le noir.
N : C’était quoi ?
E : Bonjour à vous mes amis, je suis Ultuant, l’elfe.
N : Qu’est c’que t’as foutu ?
E : J’ai juste allumé une petite feuille de lambas.
N : C’est quoi ça ?
T : C’est une plante qui pousse dans les forêts des elfes à une température de…
N : Ta gueule.
E : C’est un truc à fumer.
N : Comment t’as fait pour l’allumer ? T’es pas attaché ?
(bruit de chaîne et cliquetis : chaînes qui se ferment)
E (avec cigarette dans la bouche) : Ben j’étais pas attaché.
N : Eh bé délivre nous. Qu’est c’que t’attends ?
E : Fallait le dire avant. J’me suis rattaché.
(brouaha)
N : purée ! Mais quel con. Ca se voit qu’t’es un elfe. T’as pas de cervelle.
V : Quel débile cet elfe.
T : T’es blond ?
E : Oui. Pourquoi ?
T : On le devine tout de suite.
De longues minutes s’écoulèrent (bruit de chaînes de temps en temps)

Je dois avouer qu'en lisant ça,j'ai franchement l'impression d'entendre les voix de Naheulbeuk^^c'est plutôt sympa

Et essaye de faire parler le Vampire avec un accent russe, c'est ça normalement à la base ^^
Et encore par la suite il n'y a que des aventures farfelues

C'est déjà écrit j'espère?

Affirmatif. J'ai pas encore tout mis format Word mais j'ai écrit une bonne partie et je n'ai même pas fini l'histoire

Je ne suis pas fan des histoires parodiques, mais pour l'instant, j'aime bien !

La suite !

Ouaiiis ! J'adore ! En temps que fan de Naheulbeuk, je dis, j'aime !

Bon voilà la fin du premier épisode (ou chapitre):

N : purée, ça pue. L’elfe nous empeste avec son lambas. Quelqu’un aurait pas une idée pour nous sortir de là rapidement ?
T : Fallait demander. Alors les chaînes ont l’air d’être fabriquées avec des gros maillons. Donc pour les casser, il faut exercer une force perpendiculaire au maillon, qui puisse le briser. Puisque c’est des gros maillons, il faut tirer d’un coup sec avec une puissance de…
N : Fais chier. Tu peux pas abréger ?
(Yaaaah : cri, choc, bruit de chaîne)
T : Ca y est.
N : Ca y est quoi ? T’es libre ?
T : Non j’me suis déboité l’épaule…
N : Et m***e !
T : …Mais j’ai brisé les chaînes.
N : Vous êtes tous des cons de premiers ordres !
V : Dépêche toi de nous délivrer.
E : Fallait le dire. J’arrive.
N : Quoi (en s’étranglant), t’es libre ?
E : Ben oui, mes chaînes n’étaient pas assez serrées pour mes mains si fines et élancées.
N : J’vais te péter la gueule.
E : Puisque c’est comme ça, je m’en vais.
(bruit de porte qui s’ouvre et se referme)
V : Il l’a vraiment fait en plus. Les elfes vraiment.
N : Bon l’Tauren, tu t’dépêche de nous sortir d’là ?
T : Moi pas content car t’as fait partir l’elfe.
N : Bon, bon, j’mexcuse mais dépêche.
(Yahhh, bruits de chaînes, bruits de pas, puis encore Yahhh et bruits de chaînes)
V : Ah, enfin libre. Mes poignets commençaient à être meurtris. Mes pauvres petits poignets.
N : purée, en plus d’un con et d’1 intello, on s’tape un fragile. Quelle vie de m***e.
T : Maintenant, on va où ?
N : Heu, quelqu’un aurait de la lumière ?
(bruit d’interrupteur)
N : C’est qui qui a allumé ?
T : Pas moi.
V : Ahhh ! ! ! Nooon pas la lumière, je ne peux pas la supporter. Ahhh !
N : m***e, c’est vrai, t’es un vampire. Que pourrais-t-on faire ?
V : Dépêchez-vous, je ne supporte plus cette chaleur (agonisant).
T : Il pourrait mettre sa cape sur sa tête et nous le dirigerions.
N : Bonne idée.
(bruit de tissu)
V : Ahhh (joie). Ca fait du bien mais je ne vois plus rien.
N : Marche tout droit.
V : D’accord.
T : Mais…
N : Ta gueule. C’est moi qui le dirige.
T : Bon, bon, comme tu veux.
N : Marche tout droit.
V : Ok.
(bruit de pas)
N : Encore.
(bruits de pas, choc puis rires de nain)
V : Aïe, connard.
N : C’était trop marrant.
V : Même pas vrai. Wylander maintenant, c’est toi qui me dirige.

FIN EPISODE 1

Entre Luciole et ses contes, et toi et ta parodie, je me régale ! Manque plus qu'Ellias s'y colle, et je serai comblé. ^^

Toujours aussi tripant. un vrai petit bonheur de l'après midi

Merci merci, et encore l'elfe ne s'est pas encore mit à faire des sorts raté ^^ (ce qui ne saurait tarder)

Bon, je viens de tout lire et je trouve ça trop immense !! Je me suis bien marrée, t'arrête pas surtout ! Comme dit Morrigan, trop l'impression d'entendre les voix. J'ai commencé la collection de la bd après avoir tout écouté, et j'adore trop !!!
J'ai même pas envie de te corriger, surtout au niveau des fautes en fait... Je veux juste lire ! Continue, continue...

Ah oui Désolé, je n'ai pas vraiment fait de relecture donc il doit y avoir pas mal de faute. Désolé pour cette torture, mais si l'histoire compense alors tout va bien dans le meilleur des mondes!

Pangloss est résuscité

désolée,déformation professionelle...

Alors on est deux ^^

ça me rassure.j'ai déjà pu voir qu'on avait les même références culturelles parfois (non,je ne citerais pas de noms^^)

T'inquiète pas pour les fautes, je survivrai ! lol
Concentre-toi sur l'histoire pour continuer et que ce soit toujours aussi cool ! C'est un humour qui me donne de l'inspiration !
Je suis à la fois sur le forum et sur mon bouquin ! J'écris une page ou deux, je viens faire un tour, puis je repars écrire un paragraphe ou une page... : )

Tu as de la constance alors.moi je n'arrive jamais à faire les deux en même temps..trop de flood^^

lol
Bah moi, là, ça marche à fond !!! Y a des moments où je suis en grave panne d'inspiration, mais aujourd'hui, c'est reparti pour quelques jours au moins je pense !!! Faut que je me dépêche pour le renvoyer aux éditions sinon ils vont m'oublier !! lol

Oui et en plus elle ne participe pas au flood
Moi te donner de l'inspiration? Oulàlà
Mes chaussures commencent à serrer, est-ce normal?

loool !
Tu sais, moi, il m'en faut parfois peu. Le forum est tellement agréable que ça me donne le moral, donc l'inspiration, et les idées reviennent au grand galop. Elles se disptutent un peu à la sortie mais elles finissent par faire la paix... : )

tu veux un bac d'eau froide pour les décongestionner?

*amène une gigantesque bassine*

ça suffira?

Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux
Hum, hum si on revenait au sujet? Iron va pas être content sinon

Voui. Alors j'attends la suite donc... : )

Demain, si j'y pense. Au pire rappelez moi le!

Et voilà la suite ^^

(bruit de porte qui s’ouvre)
E : Salut ! J’ai trouvé une torche.
N : Oh non ! Pas lui (désespéré).
V : Moi j’étais sur qu’il ne nous abandonnerais pas.
E : J’ai aussi trouvé des lunettes de soleil. Elle sont cool vous trouvez pas ?
T : Elle te vont super bien.
V : C’est mes lunettes, rend les moi.
E : J’sais pas…
V : Yaaaah. A l’attaque.
(bruit de quelqu’un qui cours puis choc, aïe, rires)
E : Bon d’accord, je te les rends. Tu m’fais pitié (en se marrant).
(bruit de pas)
V : Merci. Ah, ça va mieux.
N : Bon on s’tire maint’nant ?
E : Au fait, je m’demandais si vous n’auriez pas un truc à manger ? J’ais faim.
N : Mais quel intéressé cet elfe.
T : Ca me dirais bien de bouffer mais on a rien sur nous.
(gargouillement)
N : m***e, c’est vrai, moi aussi j’ai faim.
T : Peut-être qu’en explorant les couloirs nous trouverions à manger. En effet, la nourriture est proportionnelle au nombre d’habitants. Mais si ce sont des gardes, la présence de nourriture suit une loi exponentielle…
N : Ta gueule. De toute façon on comprend rien à ce que tu dis.
T : Une loi exponentielle, c’est le fait que la nourriture totale est multipliée par 4 pour chaque garde supplémentaire.
N : Mais t’as pas compris, on s’en fout de tes explications.
V : Nous voudrions juste savoir si on peut trouver de la nourriture ou pas.
T : J’en sais rien, ça dépend de la superficie de cette forteresse, du nombre de garde (continue à parler faiblement).
N à V et E (doucement): On l’assomme ? Comme ça il nous f’ra plus chier.
V (doucement): Mais faudra le traîner après.
V à T : Tu pèse combien ?
T : ? kg.
V à E et N (doucement): Je vous l’avais dit ça va être dur de le traîner.
E (doucement): Moi je peux lui lancer un sort de silence.
N (doucement): Je ne croyais pas dire ça à un elfe un jour mais fait-le pitié (ou je t’en pris).
(incantation, Viou)
(silence)
N : Ouais (en sautant), enfin libéré de l’intello.
E : Il devenais lourd.
V : Je ne voudrais pas casser l’ambiance mais ça vous direz pas d’avancer ?
E : Il a raison, partons à l’aventure. J’ai une chanson pour cette occasion. Je vais la chanter.
N : Noooon (pris d’effroi). Pas ça.
E : Pourquoi tu veux pas ? (vexé)
N : Parce que j’aime pas les elfes et encore moins leurs chansons. Par contre, j’ai une chanson très populaire chez les nains. Je vais vous la chanter :
« Marchons, marchons, les mines sont ma maison »
V et E : Pitié, arrêtez ce massacre (pendant la chanson)
« Marchons, marchons, elles ne sont pas loin
Creusons, creusons, c’est notre passion
Creusons, creusons, toute la journée. »
« Marchons, marchons, les mines sont ma maison
Marchons, marchons, elles ne sont pas loin
Creusons, creusons, c’est notre passion
Creusons, creusons, toute la journée. »
N et T (qui chante très faux et très fort) : « Marchons, marchons, les mines sont ma maison
Marchons, marchons, elles ne sont pas loin
Creusons, creusons, c’est notre passion
Creusons, creusons, toute la journée. »
(N, V et E saute sur T et le frappe)
(bruit de coups de poings)
N : Ca va pas ou quoi ? Tu veux nous faire repérer ?
E : Crie plus fort les gardes t’ont pas entendu.
V : Serait-tu un traître ?
T : Mais m***e, je chantais. J’ai pas l’droit ?
N : Au fait Ultuant, tu ne lui avais pas jeté un sort de silence ? Il est pas très efficace.
V : C’est le moins que l’on puisse dire.
E : Mes sorts de silence ne durent pas longtemps. Ce n’est pas un domaine où j’excelle.
N : Pourquoi tu l’as pas dit ? (s’énervant).
E : Ben vous me l’avez pas demandé.
N : Je vais le frapper.
T et V (en même temps) : Calme-toi, ne fais pas quelque chose que tu vas regretter.
N : Je ne le regretterais pas, ça me soulagera même.
(bruit de quelqu’un qui cours :bref, puis Oulaaaa et choc du nain qui tombe par terre)