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 Les contes et légendes de Keenlhin

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MessageSujet: Les contes et légendes de Keenlhin   Les contes et légendes de Keenlhin Icon_minitimeJeu 23 Mai 2013 - 0:16

    Bien le bonsoir !
    Depuis maintenant quasi quatre ans (et cinq pour certains personnages) que traîne mon petit monde dans ma tête et personne n'a encore eu l'occasion d'en voir un bout. Je ne me presse pas de l'écrire, me disant que je n'ai que 17 ans, je n'ai pas tout vu dans la vie, je suis jeune. En plus, il m'appartient à ce jour, et j'ai l'impression qu'en le lisant, c'est moi qu'on lirait, ce qui me ralentit encore plus. Le problème, c'est qu'on a affaire à un monde entier, et si je suis seule à le gérer, il y aura forcément des incohérences ou des trucs déplaisants.
    Et je me suis dit : pourquoi ne pas le faire découvrir à travers les contes et légendes de ce monde, les mythes et l'Histoire, mais romancées ? Cela permettrait d'avoir de vraies bases consistantes, de construire ce monde, pouvoir changer ce qu'il y a à changer ! Et puis, améliorer le style d'écriture qui est très loin d'être parfait. Bon courage à vous !

    Voici donc le prologue et le chapitre 1 (écrits en même temps) de la première légende, qui est une histoire vraie :


La légende d'Eluystr et Londe


« Il n'est pas prudent d'écarter de ses calculs un dragon vivant, quand on est près de lui. » J.J.R. Tolkien
Image de ==> *

        Prologue


      Belenc est la capitale du royaume de Sanrod, depuis que les Hommes sont Hommes et qu'ils migrèrent des terres enneigées du Nord pour s'installer dans le doux Sud. Leurs vies se sont améliorées et bien des générations ont passé depuis leur arrivée. Peu d'Austriens (habitants du Sud) savent que ces terres étaient à l'époque hostiles, et c'était pour cela que leurs lointains ancêtres allèrent au Nord.
      La pierre blanche des carrières de Veitar, royaume voisin, est omniprésente dans les rues propres de la capitale, servant de pavés. Les habitants, bien loin des guerres des autres peuples, sont très chaleureux et accueillants envers étrangers et visiteurs. Les maisons sont hautes, faites de pierre et recouvertes d'une substance blanche rugueuse qui les fait briller au soleil. Mais le plus étonnant dans cette ville est la place centrale.
      A cette dure époque, les Hommes construisent non pas de « belles » villes, mais des villes pratiques, viables et défendables; or là, la place blanche, construite ronde, est entourée de pins, dont les aiguilles forment un doux tapis. Organisée en étoiles, huit ruelles grises partent du centre de la place, décorées des huit points cardinaux écrits en fines lettres dorées sur la première pierre de la route : au Nord, Nord-ouest et Nord-est se trouvent les habitations et auberges ; l'Ouest regroupe les bouchers et les tanneurs, l'Est les artisans ; et au Sud se trouvent les bâtiments administratifs, comme le palais royal, les écuries ou la caserne, dont les hauteurs sont discernables de la place.
      Mais le plus remarquable est cette statue. Elle est le centre du lieu, le centre de la ville ; tableau de l'origine de la paix et de la sureté de Sanrod : l'emblème de cette grande République est un dragon en plein vol. Immense, haute de cinq mètres et large de deux, cette œuvre faite de pierre et travaillée dans le moindre détail attire l’œil curieux de chaque passant. Domine d'abord un dragon : assis, il semble en plein combat, la gueule ouverte, le bras droit prêt à griffer le premier ennemi et le gauche le soutenant. Son aile du même côté est collée à lui, criblée de flèches, et l'autre est légèrement déployée. Elle recouvre, comme si elle le protégeait, un pégase, cabré sur ses postérieurs et en train de décoller. Ses naseaux sont grand ouverts et il pousse un hennissement, audible même à travers la pierre vieillie par les âges.
      En dessous, sur une plaque en fer, sont inscrits quelques mots du sculpteur, dont le nom s'est effacé au fil des années.
      « Eluystr'Ref Hyurt Dernyl, dragon protecteur de Belenc et son ami Londe, père des pégases. Ont défendu les Rodiens aussi vaillamment que des hommes, et ont ancré dans les cœurs de Keenlhin la crainte et la supériorité de Sanrod. Qu'ils ne soient jamais oubliés ou bafoués. »
      Pourtant, quelqu'un a ajouté une phrase, gravée dans la pierre du piédestal, et laissée telle quelle :
      « On n'oublie pas nos légendes, ni nos héros. »


        Chapitre 1


    Les contes et légendes de Keenlhin Article-01-image-01-3e63e54

      Les rêves d'un dragon étaient aussi impénétrables que son esprit, aussi prophétiques que compliqués ; un simple être humain aurait grand mal à les comprendre, si seulement il y avait accès, car les dragons eux-mêmes passaient leurs journées entières à tenter de saisir une infime partie de leur sens. Ainsi, un dragon allongé en pleine journée, les yeux fermés et la respiration lente, était en train de méditer, et malheur à qui tenterait de le déranger durant ces instants sacrés.
      Ou alors, ce n'était qu'un prétexte qu'avait trouvé Eluystr'Ref Hyurt Dernyl pour passer tranquillement ses journées à scier sa bûche sur la place de la capitale, sans qu'aucun bipède ne vînt lui demander de griller les monstres en dehors des murs. C'était la technique la plus efficace qu'il eût trouver, et il en avait essayé : tenter de crachoter du feu (il avait gagné ce jour là un mouton carbonisé comme repas) ; pousser son hurlement le plus puissant (la seule réaction des bipèdes avait été un seau d'eau glacée et sale pour demander le silence) ; ou encore montrer les crocs pour faire peur (un enfant lui avait aimablement fait remarquer que son haleine n'était pas des plus saines). La nouvelle méthode était bien plus efficace.
      Eluystr était jeune, âgé d'une demi douzaine de siècles, et s'était habilement approprié le territoire prisé au Sud du continent de Keenlhin, nommé Sanrod par les bipèdes, alors qu'il passait l'humble demi-centenaire d'existence, ce qui était un bel exploit pour le jeune dragon qu'il était à l'époque. Puis les Bipèdes étaient arrivés, avaient migré vers le Nord pour revenir et demander à Eluystr de prêter ses terres et les protéger. C'était un dragon de petite taille, il n'avait donc pas besoin de beaucoup de tonnes de viande, et en échange d'un peu de nourriture, il accepta le marché, un peu menacé par les flèches et les épées aiguisées. Mais il fut rapidement assailli de requêtes pour nettoyer la zone sauvage, terre encore vierge des bipèdes, et fut fatigué au bout de deux ou trois siècles de bons et loyaux services. Trois générations passées, les jeunes bipèdes ne se souvenaient pas de ce qu'Eluystr avait fait pour leurs ancêtres.
      Son rêve était doux, empli de dragonnelles aux écailles bleues scintillantes et de viande d'appétissants niours, un grand quadrupède végétarien (environ deux mètres) aux poils très courts, quand il sentit qu'on trébucha sur sa queue et qu'on heurta ses flancs. Tiré de son agréable sommeil, il découvrit sa tête de ses pattes et darda son regard sur l'inconscient affalé au sol, qui tentait de reprendre ses esprits. Celui-ci était assis sur ses quatre grandes jambes, sa longue tête tournant un peu, ses oreilles se secouant dans tous les sens en signe d'incompréhension.

      « Te rends-tu comptes, déclara-t-il agacé, petite chose, que tu viens de tirer un dragon de sa profonde méditation ? Tu ne ferais pas plus d'une bouchée. »

      Le poulain, car c'en était bien un, leva vers lui un regard d'incompréhension. De son espèce, il n'en avait que le corps : sur sa belle robe baie, juste en dessous du garrot, deux grandes ailes brunes aux extrémités noires étaient repliées, dépassant un peu sa croupe ; et ses yeux brillaient d'intelligence et de malice, alors que ceux des autres chevaux étaient mornes et éteints. Mais à sa grande surprise, Eluystr n'y décela aucune peur, seulement de la curiosité. Le dragon n'avait encore jamais vu de cheval ailé. Le regard toujours indécis de la créature lui rappela qu'il avait parlé - or cette pauvre bête ne devait rien comprendre de la langue des dragons. A nouveau, Eluystr lui adressa quelques mots, mais il communiqua avec lui comme il le faisait avec les bipèdes : les messages mentaux passaient par dessus toutes les barrières des langues.

      « Hé petit, je dormais, lui transmit il, et le poulain redressa ses oreilles : il avait compris.
      - T'es pas sensé méditer ? C'est ce que me disait ma maman. Elle me disait que tu méditais et qu'il fallait pas te déranger. Mais j'trouvais que pour quelqu'un qui médite, tu ronflais fort. »

      Le poulain ne devait pas encore être assez grand pour remplir toute la gueule d'Eluystr. Et puis, les plumes avaient une fâcheuse tendance à se coincer entre les dents, ce qui n'était pas agréable à déloger avec des griffes aussi tranchantes que celles d'un dragon. Aussi, il dût écarter cette idée de son esprit, bien que ce petit être l'intriguait au plus haut point, de part son courage quasi téméraire -quelle idée pour un équidé de s'adresser ainsi à un dragon !-, ses grandes ailes et cette capacité à répondre si facilement aux messages mentaux.

      « Tu sais que je ne ferai même pas une bouchée de toi ? répéta d'un ton léger Eluystr.
      - J'cours vite, plus qu'un gros lézard paresseux comme toi. D'ailleurs, j'ai perdu mon cavalier en voulant lui jouer un tour et venir te voir. Il va être fâché. Dommage, il est gentil lui.
      - Me voir ? Entendez donc ça, sages dragonnes. Un petit insolent vient me rendre visite.
      - Tu dors et manges un peu trop, j'crois, elles sont pas là tes dragonnes. »

      Un nuage de fumée s'éleva des narines d'Eluystr, mais de rire, pas d'agacement. Le poulain ne recula pas, approchant même du dragon pour poser ses minuscules naseaux entre les deux narines.

      « Tu n'as pas peur, petit ? ajouta Eluystr. Je suis un dangereux prédateur tu sais. Et j'ai pas mangé depuis deux heures.
      - Tu me l'as déjà dit. Non, j'ai pas peur. T'es le seul ici qui peux m'aider, ajouta le poulain convaincu.
      - T'aider ? Je n'aide plus personne depuis bien longtemps. Encore moins les poulains arrogants.
      - S'il te plaît... »

      Le petit pressa encore plus sa tête contre les écailles.

      « Je te demande juste de m'aider à ne plus avoir peur, supplia-t-il. La hauteur me fait peur, je me suis déjà promené en montagnes, j'avais très peur de tomber. Les humains, ils veulent tous que je vole, mais je sais pas c'que c'est. Aucun cheval ne vole mais moi, je dois le faire ! T'es le seul qui peux m'aider. »

      Le dragon poussa un long soupir. Là, il allait trop loin et touchait la corde sensible du dragon.

      « Les chevaux ne savent pas voler, répéta l'équidé.
      - Ecoute petit, va rejoindre ta mère ou ton cavalcadier, je ne peux rien pour toi. Je sais plus voler.
      - Et elles te servent à quoi les ailes alors ? »

      Ses paupières se fermèrent et Eluystr détourna la tête. Le poulain tomba, surpris, la tête la première. Mais le dragon semblait s'être replié sur lui même.
      Non, il ne pouvait pas l'aider. Les dragons possédaient une vie si longue qu'au bout de deux ou trois siècles, si ils survivaient, ils devaient faire face à un vil ennemi : l'ennui. Ayant déjà fait le tour de la question, ils se posaient simplement en un lieu et dormaient. Dormaient jusqu'à l'envie de manger les fatigue, ou qu'une nouvelle raison de se lever les secoue.
      Eluystr s'était engraissé et avait simplement oublié comment voler.

      « A décorer, répliqua-t-il sèchement. File avant que je ne m'énerve vraiment. »

      Mais là, le poulain ne répondit rien. Il se releva, s'avança vers le dragon et se blottit contre son poitrail.

      « Tu sais, on peut apprendre tous les deux à voler si tu veux. Moi j't'aime bien, parce que t'es pas pareil. Comme moi. Les autres, ils me regardent bizarrement, cherchent tous le temps à toucher mes ailes, et j'aime pas ça. Mes copains ont peur de moi, ils osent pas jouer avec moi et puis, les humains n'arrêtent pas de me demander de voler. Ils sont drôles, ils ont pas d'ailes eux, ils comprennent rien ! J'ai essayé de battre des ailes pour leur faire plaisir mais surtout pour qu'ils me fichent la paix, mais ça marche pas. Il n'y a que mon cavalier qui est gentil, mais il ne comprend rien non plus... Surtout, je t'ai vu l'autre jour, discuter avec un humain, et puis lui montrer que toi aussi t'étais fatigué, que tu voulais pas le voir, et il est parti. T'as pas envie de rester couché ici toute ta vie, hein ? C'est pas extraordinaire la vie de statue, parce que les oiseaux s'amusent à faire caca dessus. D'ailleurs, tu devrais te dépêcher, ils ont commencé avec toi. »

      Le dragon tourna la tête et apprécia l'étendue des dégâts sur son dos. Il grogna. Le petit avait gagné.


    Ein paar Fragen Smile :
    - Que pensez vous d'employer des mots tels que « caca » dans l'esprit d'un jeune poulain ?
    - Un bras ou une patte pour un dragon ? Car c'est une créature, donc pas de bras, pourtant ça en a la morphologie.
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sombrefeline
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MessageSujet: Re: Les contes et légendes de Keenlhin   Les contes et légendes de Keenlhin Icon_minitimeVen 24 Mai 2013 - 8:15

Je me permets de relancer le sujet pour voir si certains seraient motivés pour venir commenter.

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MessageSujet: Re: Les contes et légendes de Keenlhin   Les contes et légendes de Keenlhin Icon_minitimeLun 27 Mai 2013 - 14:28

Salut !

Je suis, à mon avis, une mauvaise lectrice de ce forum, parce que j'ai souvent la flemme de relever tout ce qui relève de l'orthographe (et de toute façon à première lecture, je n'en vois pas des masses). Je laisse souvent aux autres le soin de le faire Very Happy

Voici mes remarques concernant la première partie de ce que tu as posté, soit ton prologue. Mes remarques sont plutôt sur la construction des phrases, des suggestions la plupart du temps pour améliorer leur sonorité, ou leurs syntaxe.

Citation :
Belenc est la capitale du royaume de Sanrod, depuis que les Hommes sont Hommes et qu'ils migrèrent des terres enneigées du Nord pour s'installer dans le doux Sud.
Tu pourrais mettre une majuscule à "Royaume".
"Doux sud" me dérange comme expression, je trouve que ça casse le rythme de la phrase.


[/quote]Leurs vies se sont améliorées et bien des générations ont passé depuis leur arrivée."
Citation :

Peut être que tu pourrais préciser en quoi leurs vies se sont améliorées, par rapport à quoi, sur quels critères,...

Citation :
Peu d'Austriens (habitants du Sud) savent que ces terres étaient à l'époque hostiles, et c'était pour cela que leurs lointains ancêtres allèrent au Nord.
"Peu d'Austriens, habitants du sud,..." me semble mieux comme construction syntaxique
La phrase est un peu bancale à mon goût, en plus le temps du verbe "allèrent" ne va pas avec le reste de la phrase; peut être la reformuler pour bien comprendre tous ces allers-retours : " Peu d'Austriens (...) se souviennent encore que ces mêmes terres étaient autrefois hostiles, et que pour cette raison, leurs lointains ancêtres avaient fait le chemin inverse, remontant vers le Nord". C'est juste un exemple.


Citation :
La pierre blanche des carrières de Veitar, royaume voisin, est omniprésente dans les rues propres de la capitale, servant de pavés.
J'aurais tourné la phrase au pluriel "les pierres blanches des carrières de Veitar, royaume voisin, sont omniprésentes dans les rues propres de la capitale, servant de pavés" ou mieux à mon avis "les pierres blanches des carrières de Veitar, sont omniprésentes, pavant les rues propres de la capitale".


Citation :
Les habitants, bien loin des guerres des autres peuples,
"Les habitants, qui ont été épargnés par les guerres touchant les autres peuples..."


Citation :
Mais le plus étonnant dans cette ville est la place centrale.
Peut être pourrais-tu inclure le regard de quelqu'un sur ce point, celui des visiteurs par exemple du genre : "Mais ce qui étonne le plus les visiteurs, c'est la place centrale" ou "Mais le plus remarquable aux yeux des visiteurs comme de la population locale, c'est la grande place".

Citation :
A cette dure époque,...
EN cette dure époque...


Citation :
... défendables; or là, la place blanche, construite ronde,...
... défendables. Or, la place blanche, ronde, est...

Citation :
Organisée en étoiles,...
J'aurais plus vu un verbe du genre "construites"..;

Citation :
...la route : au Nord, Nord-ouest et Nord-est... / ...auberges ; l'Ouest...
"... la route . Au Nord,..."
"... auberges. L'Ouest..."


Citation :
...dont les hauteurs sont discernables...
... dont les hautes tours / tourellets sont visibles / discernables



Citation :
Elle est le centre du lieu, le centre de la ville ; tableau de l'origine de la paix et de la sureté de Sanrod : l'emblème de cette grande République est un dragon en plein vol.
Centre de la place, centre de la ville, elle est un tableau de l'origine de la paix et de la sureté de Sanrod,l'emblème de cette grande République. Un dragon en plein vol.

Pense à couper tes phrases parfois, ce n'est pas très beau à mon avis de mettre une séparation par ; puis un : . Ici, dans l'exemple que je te donne, je trouve que de couper "Un dragon..." du reste de la phrase lui donne plus de force.

J'aime bien la description de la statue, rien à redire pour ma part sur ce passage.

Citation :
quelques mots du sculpteur, dont le nom s'est effacé au fil des années.
... que le temps a effacé au fil des années.

Citation :
Ont défendu les Rodiens ...
Qui sont les Rodiens ?
Le "Ils" rendraient peut être la phrases plus légère à mon sens : Ils ont défendus... Qu'ils ne soient jamais..."


Citation :
On n'oublie pas nos légendes, ni nos héros.
Je ne suis pas une adepte du "On" lorsqu'on essaye de faire passer un message fort. Je pense que le Nous rendrait mieux " Nous n'oublions ni nos légendes, ni nos héros".

Pourquoi quelqu'un a t-il rajouté cette phrase ? Vu que la plaque précise déjà que les héros ne doivent pas être oubliés ?


Voilà, dans l'ensemble pas de critique négative, juste quelques tournures de phrases à travailler afin que ce soit plus fluide (mais ça l'est déjà bien à mon sens). Je vais lire la suite et te donnerais mon avis général sur le fond de l'histoire car pour le moment je n'ai pas assez d'éléments en main.
Une dernière chose, mes remarques sont personnelles et sont à prendre pour ni plus ni moins que cela, tu en fais tout à faire ce que tu veux !


EDIT : fin de la lecture et des commentaires du Prologue.
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MessageSujet: Re: Les contes et légendes de Keenlhin   Les contes et légendes de Keenlhin Icon_minitime

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