De plus, l’humidité ne s’accordait pas bien avec les articulations vieillissantes de Gédéon. Une douleur lancinante se répandait dans ses doigts et l’empêchait de travailler à ses chers automates. => je ne suis pas persuadée que le retour à la ligne s'impose ici
Elle tourna la tête lorsque Gédéon entra, sa beauté frappa le vieil artisan. => "et sa beauté" ? je trouve le lien entre les deux un poil faible, sinon. Et pareil, je ne sais pas si le retour à la ligne pour décrire cette beauté, justement, est judicieux
— Je désirerai voir votre collection d’automates, déclara-t-elle. => désirerais
La plupart s’émerveillaient, piaillaient et riaient avec leurs amies, quelques-unes achetaient l’une de ses poupées, mais la plupart repartaient comme elles étaient venues => répétition de "la plupart"
Mais depuis quand un joli minois lui faisait perdre l’esprit ? => "lui faisait-il" ?
Gédéon pour sa part s’étonnait de rencontrer quelqu’un féru de légendes comme lui. => je mettrais "pour sa part" entre virgules
Il avait cru avoir affaire à une grande bourgeoise venue dépenser l’argent de son financier de mari. Mais cette femme-là était d’une autre trempe => j'aurais plutôt mis une virgule devant "mais"
Son maintien était noble et réservé, il émanait d’elle une profonde mélancolie / L’artisan décela une telle tristesse dans sa voie et une si grande mélancolie dans ses yeux qu’il hésita => peut-être trouver un synonyme à "mélancolie" ?
Il lui dévoila le bassin qu’il avait construit pour trois sirènes et deux marie Morgan => manque la majuscule à "marie", non ? (et à l'autre occurrence aussi)
tandis que les marie Morgan s’ébattaient en riant et que les sirènes à chantaient une mélopée envoûtante => un "à" en trop après les sirènes
Les fées se mêlèrent alors de la partie => j'ai un doute : ça ne serait pas "à la partie", avec "mêler" ?
L’inconnue disparut et s’évapora dans la rue => peut-être une mention du rideau de pluie qui la cache rapidement ?
Elle avait entendu l’appel d’une magique ancienne => d'une magie
La dame blanche quitta l’atelier et traverse la porte du magasin => traversa
Juste une remarque sur le début, lorsque Mélusine rentre dans la boutique : avec le temps de chien qu'il fait dehors, elle n'est pas du tout mouillée et Gédéon ne le voit pas ? Ou elle a un parapluie ?
À part ces menus chipotages, c'est un très bon texte. J'ai beaucoup aimé les deux protagonistes ; c'est facile et rapide de les comprendre, de s'identifier. Ce mélange de tristesse et de passion des deux aussi était très intéressant et bien rendu.
Je ne connais quasiment rien de ces légendes, mais je n'ai pas eu le sentiment d'être perdue, ça a été bien expliqué lors de leur bref retour à la vie.
Évidemment aucune comparaison possible de la fin pour moi, mais de ce que j'ai compris, la dame blanche va chercher un moment, non ? Il m'a semblé comprendre que lorsque Mélusine disparaît pour la seconde fois, c'était définitif. Mais bon, tu laisses peut-être ce doute exprès
Eh bien... voilà. Très utile tout ça
^^
- Spoiler:
PS : je sais que c'est pas le bon endroit, mais tu avais vu que je t'avais laissé un commentaire pour l'Héritage des Fondateurs ?