Bonjour à tous , voici le debut de mon histoire
J'avais 19 ans, je courrais après la vie de rêve, je voulais tout avoir ; l'argent, les amies, les amours, la gloire, je croyais en moi plus que n'importe qui sur cette terre.Je ne me remettais jamais en question, je n'étais pas la fille parfaite mais j'en avais rien à faire, car la réflexion à mes yeux emmener à la dépression, regarder la vie que je menais en face ne m'intéresser pas .J'avais besoin de vivre . C'était tout ! Ça s'arrête là !J'étais l'genre de nana fragile qui se faisait passer pour une fille forte en se cachant derrière des talons de 12 centimètres, du rouge à lèvre rouge pétant, des cheveux longs et noirs lissé a 400 euros chez le coiffeur.Je ne pensais pas à ma vie professionnelle, ce n'était pas que sa m'intéresser pas, c'était juste que je venais de mettre de recevoir 18 mille euros d'un homme qui avait pensé bon de me prendre pour une conne (Mais ceci n'est qu'un détail )Je passais ma vie en boîte, toujours avec ma bande de copines , on était quatre nanas aux âmes perdues, mais j'étais bien entendu la folle ! Quand j'y repense c'était incroyable la confiance en moi que je pouvais avoir . Mes journées n'étaient pas compliquées, j'allais faire mon UV et en sortant de celui-ci Celia m'appeler pour me demander de sortir le soir.Compliquez-vous trouver ? Je croyais que j'allais m'en tirer aussi facilement, qu'aucune séquelle ne viendrait jamais se mêler à mon esprit ! mon oeil !
Chapitre 01 :
j'étais couché sur mon lit, la fenêtre ouverte à fumer clope sur clope et à né pensais à rien en particulier.Quand j'ai entendu mon téléphone sonné j'ai d'abord à peine tournait la tête avec un menfoutisme royal dont je faisais preuve chaque minute de ma pauvre vie pathétique ; Puis j'ai finalement tendu le bras vers celui-ci . C'était Tarik, un garçon que je venais de rencontrer en boîte et avec qui je flirtais, mais qui me plaisait qu'à peine .Je ne m'en étais pas rendu compte mais j'étais devenu assez ronde à force d'accumuler les soiréessoirées alcoolisées qui se terminer au snack du coin.Donc il n'était pas à mon gout, mais je doute aussi que j'ai réellement était au sien .Les gens moches parfois se retrouvent par dépit ou je ne sais quoi.Aucune idée en faite , mon discours aurait pu etre tout à fait différent si ce Tarik était quelqu'un de bien.Il m'avait prévenu qu'il arriver et m'avait demandé de m'habiller.J'étais déjà apprêté, donc il ne me restait qu'à remettre du rouge à lèvres.La petasse ne sort jamais sans son rouge à lèvres même en plein jour.Lunette de soleil sur le front, je fais un tour dans la salle de bain, j'enfile tout de même un pull fin, c'était l'été mais il faisait assez frais. J'avais acheté celui-ci le matin même, il me donnait un air de tennis girl avec les lunettes de soleil et ma queue-de-cheval ,je me trouvais plutôt pas mal, ce jour-là j'avais opté pour les baskets, de marque bien entendu .Mon look était parfait ! De retour dans la chambre ou la fenêtre était encore ouverte, j'ai alors entendu la musique que Tarik et moi ont adoré "akon trouble maker", je 'n'avais aucun doute c'était lui qui était en bas .Ni une, ni deux je ne suis donc descendu le rejoindre .
Il était 18 heures, il m'a donc proposé d'aller manger un morceau . J'étais bien évidemment d'accord , arriver là-bas c'était un restaurant pour les gens plus riches que moi; Avec ma paire de tennis quand j'y repense j'aurais pu me sentir mal à laise, mais non, et puis de toute façon la bouteille de champagne qu'il avait commandée ne pouvait que me détendre .On avait un sacré feeling lui et moi, j'avais entendu parler de lui avant même de le rencontrer, il n'avait pas bonne réputation, il faisait partie des gens peu frequentable, les mecs pas trop aimer, un peu trop cramé du cerveau.Mais j'étais bien avec lui, il ne me faisait pas peur, il m'amusait, puis il avait une façon de me regarder qui me donner envie de passer ma vie à côté de lui , ça ne pouvait pas s'expliquer, il était moche, je ne vais pas mentir, c'était quelqu'un de laid, mais son assurance lui donner tout pour me séduire. J'étais bien entendu encore beaucoup sur la réserve .Lors du repas, je commençais à me sentir quelque peu stressé , mais ça n'était pas à cause de Tarik, quelque chose me tracassé .Un stress qui avait l'habitude de venir lorsque je buvais, mais je ne faisais pas le lien avec l'alcool, et plus j'étais stressé, plus je buvais. Tarik était occupé à faire des allez retours dans l'arrière-salle avec le patron qui était aussi un ami à lui, ou un homme avec qui il faisait des affaires aucune idée, mais celui-ci à passer la moitié du repas à notre table,Ils parlaient affaires, et lorsque Tarik remarqua que je m'ennuyait un peu , il m'a simplement offert une nouvelle bouteille de champagne . Mon téléphone n'arrêté pas de sonner, c'était un numéro privé donc je me suis contenté de mettre cette personne sur répondeur.Les appels inconnus ce n'était pas mon truc ! Puis il m'a regardé avec un regard assez dur,le regard du ghetto, mais il m'a souri et m'a tout simplement dit, "on va y aller" .Je me suis lever, j'ai serré la main au patron pour lui dire au revoir et Tarik m'a demandé d'aller à la voiture car il avait encore une chose à voir avec le patron, j'y suis allez, j'ai allumé le moteur, me suis allumé une clope, puis il est arrivé en courant vers la voiture,une bouteille de champagne à la main, il me l'a tendu puis m'a dit "la soirée n'est pas fini"
Nous avons ensuite repris la route vers chez moi où je suis allé me changer pour pouvoir entrer en discothèque ...Tarik ce n'était pas du genre à rouler doucement, il mener la voiture comme un dieu c'est sur , mais par moments il me faisait peur, il s'arrêtait au milieu d'une route pour faire pipi.Et ce jour-là, je le trouvais taret, complètement fou, mais ça ne me déplaisi pas, j'étais comme lui au fond, je voulais me détruire constamment, je n'avais plus peur de vivre ou mourir,je voulais simplement que mon coeur batte, ni plus, ni moins, et s'il devait s'arrêter, eh bien je n'avais qu'une philosophie, "Vaut mieux vivait un jour comme un lion que 100 ans comme un mouton" .Celia n'arrête pas de vouloir me joindre, je l'ai mise sur la messagerie comme si le monde n'existait plus, comme si j'avais enfin rencontré quelqu'un qui me ressemble ...Je ne sais pas si c'est l'alcool qui nous a rendus faible mais par moments on s'arrêter simplement de parler, il conduisait sans même savoir où allez, il avait toujours un geste pour moi,il me carréssé les cheveux entre deux changements de vitesse , puis lorsqu'il remarqua que je mesentais mal, il ouvrit ma fenêtre, jy passa ma main, et la laisser se faire porter par le vent ,on se retrouva en plein milieu d'une campagne ,des champs à perte de vue et la solitude qui à mon avis nous faisait du bien à tous les deux .On sortit de la voiture ou il se mit devant moi ;je le regardai, né sortit pas un mot de ma bouche, il prit la bouteille de champagne qui était presque fini ou je clôturai celle-ci par une gorgée avant qu'il ne la jette au loin dans l'herbe.Il me caressa le visage puis il m'embrassa, ce fut assez sauvage, je ne m'y attendais pas, mais il n'eut aucun geste déplacé. Il était simplement gentil et attendrissant, avec moi en tout cas .À la base, nous devions sortir mais il préféra m'emmener chez lui, il vivait dans une maison, comme un espece de chalet.J'étais assez étonné car jusqu'à présent il m'avait toujours dit vivre en HLM dans un quartier peu loin du mien.Lorsque je l'ai questionné à ce sujet il m'a simplement répondu :"Je vis le bas, ici aussi, mais les flics n'ont pas besoin de savoir cette adresse". J'avais compris, il n'en avait pas fini avec les flics, il n'en avait pas fini avec l'alcool, et j'étais là;à côté de lui, presque mal, mais en même temps presque bien.Il m'a pris par la main, et m'a fait visiter la maison, il me montrait des photos de sa famille qui pour lui était toute sa vie, on alla à la cuisine ou il n'ouvrit le frigo, je ni vu que des bouteilles de vodka et du redbull...On allait donc continuer encore à boire... On se raconte nos vies, fumer des clopes, je le trouvais sexy dans son ensemble de survêtements lorsqu'il allumer son join, le regard presque vide, j'étais intéressé par sa personne mais en même temps j'avais l'impression de le connaitre depuis des années...Je me souviens avoir été assise au rebord de son lit et lui avoir dit rêver un jour d'avoir une fille, il m'a sourit, embrasser et m'a fait dormir contre lui sans jamais avoir un geste déplacé!
Sujet: garde mon secret 
Lun 3 Fév 2014 - 15:00
