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| Sujet: Un kraken dans la seine. Jeu 16 Mar 2017 - 3:21 | |
| voici donc mon histoire. j'ai pas prévue un nombre fixe de chapitre mais surement une trentaine de chapitre. le synopsis est lales commentaire ici- introduction:
La gare Saint-Lazard baignait dans la lumière et la chaleur de ce début de mois d'aout. La température était très agréable, la canicule était passée depuis quelque semaine maintenant, permettant à ce qui était resté sur la capitale de pouvoir flâner dans les rues et les parcs, redonnant de l'animation aux journées.
Dans le hall de la gare résonnait les échos des trains a moitié vide venant des banlieues ; toutefois, le brouhaha habituelle des voyageur était bien plus discret, à la place montée une douce mélodie venant d'un des pianos que la gare mettait à disposition des passants. Un homme, qui devait avoir vingt-cinq ans tout au plus était en train de jouer un air classique avec un certain talent, mais il n'était pas tant concentré que ça sur la musique ou même sur l'attroupement qui c'était formé autour de lui. Tout ce qui l'intéressait c'était la femme qui c'était acouder a l'instrument, ils discutaient à mi-voix, commençant à installer un jeu de séduction. Cela dura pendant quelque minute, jusqu'à ce que la « cible » du pianiste lui fit remarquer qu'il avait attiré l'attention des badauds. Ce dernier sourit avant de se reconcentrer un peu pour finir son air. Les notes sonnait toutes juste et ces mouvements étaient précis, glissant avec délicatesse sur les touches du clavier. Le public grossissait si bien que, presque tout ce qui était à l'étage supérieur de la gare était la, à écouter dans un silence digne d'une cathédrale, et il y avait effectivement quelqu chose de religieux dans ces quelqu instant. C'était surement à cause de la musique qui dégageait quelqu chose au delà d'une simple suite de note, c'est comme si pianiste, dans sa façon de jouer attirer les auditeurs tel une sirène l'aurait fait avec son chant.
Lorsque la musique fut finie, le silence de cathédrale qui c'était installer dans l'auditoire fit place à un tonnerre d'applaudissement. La femme qui se tenait contre le piano avait un fin sourire et se pencha pour murmurer quelqu mot à l'oreille du pianiste, qui ne put retenir un éclat de rire. Il se leva ensuite pour prendre son bonnet qu'il avait poser sur le piano pour pouvoir jouer. Lorsqu'il le souleva il émis un tintement métallique sans équivoque sur son contenue, ce qui surpris un peu l'homme, qui malgrès tout plongea sa main dedans pour ranger les pièces ainsi que les quelque petit billet que certaines personnes avaient donné pour sa performance. A vrai dire il n'avait pas prévue cela mais il s'en satisfaisait parfaitement. Il mit ensuite le bonnet sur sa tête, veillant bien à ce que le symbole sur le rabat du bonnet soit légèrement sur le côté. Bien que petit, on reconnaissait aisément le symbole de sea sherped grâce au crane et à la croix former par un trident et un bâton de berger. Il passa ensuite sa main sur sa barbe de trois jours avant de parler, de plus vive voix à la femme accouder au piano, surement plus jeune que lui d'un ou deux ans. Elle réajustait ces longs cheveux brun pour dégager ses yeux au reflet de cuivre.
-ducoup, au vue de la générosité générale, ça te dirait pas qu'on aille boir un coup, y a un bar pas mal dans le coin, ça nous permetra de voir jusqu'ou la magie vas
-comment pourrais-je refuser l'offre d'un si beau virtuose du piano ? Allons…
La femme n'eu pas finit sa phrase qu'elle et son interlocuteur se retournèrent tout deux en direction du publique restant. En effet le ton était en train de monter entre deux personnes. Le premier, un blond aux cheveux longs, qui mesurait autour de deux metres avec une carrure et une barbe qui donnait l'impression de voir le cliché du bucheron nordique. Sont opposant était un adolescent de seize ans tout au plus, mal rasé, portant un blouson en cuir beaucoup trop grand. Ses yeux étaient a peine au niveau du torse de son opposant, mais pourtant cela ne l'impressioné absolument pas.
Ce qui était remarquable n'était pas tant qu'il parlait tout deux un dialecte norvégien vieux de quelqu siècle, mais surtout que l'adolescent avait l'air d'avoir les doigts qui s'allongeaient et ces ongles, on aurait dit des griffes, et il avait l'air plus grand de dix centimetre par rapport au début de la dispute… heureusement, les observateurs de la scène n'y prêtait pas attention, tous se demandaient s'ils allaient vraiment se battre, ce qui n'allait pas manquer, vue qu'il était déjà en train de se pousser et d'échanger, ce qui ressemblaient a des insultes. Mais le pianiste vint s'interposer, il saisit l'adolescent par l'oreille et le tira violemment pour l'obliger ce courber en deux. Le jeune homme s'accrochait au bras qui le tenaient, poussant un petit crie de douleur. L'autre belligérant ce mit à rire en voyant l'intervention et suivie le pianiste qui se dirigeait vers les toilettes de la gare, tenant fermement le jeune homme par l'oreille. Plusieurs fois il manquait de tomber, mais à chaque fois il se faisait retenir par l'oreille, personne dans la gare ne semblait avoir remarqué cela, ou du moins avaient juger bon d'y prêter attention. Pendant ce temps le pianiste se mit à parler dans la même langue que les deux autres, a l'adresse du géant.
«-Syl,toi, ici ? vas falloir que tu me raconte tout, je règle juste son compte à ce petit con et on voit ça.
-haha, vieux débris si je m'attendais à te voir draguer aussi ouvertement en public, a Paris, jamais je ne l'aurais crue… »
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