Et hop deux nouveaux chapitre pour les quelque personnes qui suivent cette histoire (vous inquietez pas je me fais pas trop d'illusion
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Chap. 5
Avez vous déjà eu l’impression d’être encore plus fatiguée à votre réveil qu’a votre coucher.
Moi oui et je doit bien dire une chose ce n’est pas agréable. D’autan plus que vous savez pertinemment que cette journée ne sera pas plus reposante que cette nuit. Mais alors pourquoi me lever ? Peut être parce que je n’avais pas le choix, peut êtres parce que rester dans mon lit me semblait encore plus fatiguant que de me lever. Toujours est il que je me suis lever. Le soleil était déjà haut dans le ciel. J’ai estimé qu’il ne me restait qu’une heure avant qu’il ne soit midi. Je me suis donc habillée. J’ai laissé mes armes dans ma chambre. Les deux comiques m’attendaient à l’extérieur de ma chambre. Vraiment surprenant ces deux la, toujours la et toujours prêt a obéir, a croire qu’ils se relayaient pour dormir. Et que des que je m’approchais l’un réveillait l’autre. Après une semaine de voyage dans les couloir obscure, je ne mi retrouvais toujours pas. Mais ces périples m’avaient au moins permis de faire connaissance avec mes deux guides. Ou plutôt avec l’un d’entre eux, Kulrk ne parlais jamais, j’ai finis pas me dire qu’il devais être muet ou bien stupide. Klurk tant qu’a lui était assez bavard, il faisait même des fois preuve de sens de l’humour. Plus nous parlions et moins il avait peur de moi. Plus je le connaissais et plus je me rendais compte qu’il était assez malin. Il fallais l’être pour se retrouver dans un tell labyrinthe. Une fois de plus nous nous somme rendu dans la cour. Mais cette fois c’était différent, une des dix m’attendais. Elle m’attendait.
Elle se tenait bien droite au centre de l’arène. En me voyant elle me fit signe d’approcher. Ce que j’ai bien entendu fait. Une fois assez proche elle ma jeter une de ses deux épées. m***e il y a deux seconde elle n’en avais pas. J’ai rattraper maladroitement l’épée (j’ai réussit a ne pas m’éborgner). Elle s’est approcher de moi garde basse. Et m***e encore de la baston, si il y a bien une chose que je hait c’est bien le combat a l’épée (bon d’accord il y a plein de chose que je déteste plus) c’est sûrement du au fait que je n’y excellais pas (loin de la) bien que ces dernier temps j’ai fait d’énorme progrès, en même temps c’était le but de l’entraînement. Mais je pense surtout que ce qui me déplait dans le combat a l’épée c’est l’irrationalité et le facteur chance, le fait qu’un guerrier surentraîner puisse perdre fasse a un débutant si les circonstance si prête (oui c’est rare mais sa arrive et sa donne pas envie de devenir un super guerrier). Je m’éloigne du sujet la (un de mes gros défaut). Donc elle s’approcha de moi, garde basse, moi comme un con je suis rester planter la au milieux a me demander comment j’allais faire pour garder mes membre intact. Elle ne ma pas laisser le temps de finir ma réflexion. Son épée a fusé dans un puissant coup de taille, j’ai esquivé en reculant d’un bond, la lame a rasé mon gilet. J’ai riposte d’un fendant qui fut immédiatement bloqué par sa lame. Elle effectua un puissant chassé de la jambe droite qui manqua de me faire tomber. J’ai du reculer pour ne pas perdre l’équilibre. Elle a profiter de cette instant pour m’assener un fendant des plus puissant que j’ai réussit a parer tant bien que mal. J’ai reculer de quelque pas pour pouvoir reprendre mon souffle mais elles n’avais pas l’intention de me laisser faire, elle ma assener une série de coup fulgurant que j’ai paré tant bien que mal, essayant de trouver une faille dans sa défense. Et je l’ai enfin trouvé. J’ai effectuer un léger fouetter de la jambe gauche. La déconcentrant puis me suis jeter sur elle l’épaule droite en avant. Elle a titubé sous le choc. J’en ai profiter pour rapidement ramener mon épée afin de la mettre sous sa gorge, mais je ne sais comment elle a réussit a se dégager. Et d’un puissant coup de genou ma plié en deux. Je me suis relevé et le combat a recommencé, ce fut le seul moment ou j’ai eu l’avantage. Après deux heures de combats intensif ou se me suis plutôt bien défendu (elle ne ma touchée qu’une cinquantaine de fois ce précise que c’est plutôt bien, mais d’un autre cotée elle s’emblait s’amuser avec moi, je gage qu’en vraie combat je n’aurais pas tenu 10 secondes). Bien que le combat fût de point de vue une véritable catastrophe, elle semblât satisfaite. Peut être même trop, plus je réfléchissais et plus je sentait la répugnante odeur du test. Une fois le combat terminer, elle confirma mes doutes: "J'ai besoin que tu accomplisse une mission pour moi, tu peux la voir comme un test. Si tu réussit tu deviendra un de mes puissant homme de main, tu agira dans l'ombre pour moi et en échange je t'e fournirais argent, femmes, et sécurité." Dit comme sa, c'était alléchant. Mais servir un puissant (dieux ou roi) n'était pas une sinécure, il fallais toujours tenter d'éviter les magouille politique et autre jeux auquel ils jouaient. Elle enchaîna: " Je veux que tu parte au nord-est, plus précisément en Margosie. » La Margosie, je ne vous en ai pas encore parlé. C’est la région au nord de la plaine de Pirka. C’est la région frontalière avec l’Alipie. « Tu devras te rendre as Margar, la capitale administrative de la région. » Les dix avaient très vites mis en place un efficace système d’administration. Chaque région, était dirigée par un gouverneur, habitant dans la capital administrative de la région. Et plusieurs fois par ans (4 je crois) les gouverneur se rendent a Pirkatia afin de rendre compte de leurs travaille. Il est évidant que cette technique ce fait aussi pour les villages etc... « Une importante cellule des lames de la justice sévit dans les environ. Le gouverneur n’arrive pas à régler le problème. Nous devons donc intervenir, et c’est moi qui sui chargée de veiller à la sécurité intérieure. » J’ai préférer de me demander pourquoi es qu’elle m’envoyait moi et pas un autre, la plupart du temps ces questions reste sans réponse et me prive de beaucoup de temps de sommeil. Elle a tout e même répondu à ma question muette. « Ma compagnie est à l’ouest et je n’ai plus aucun autre agent. » Très rassurant sur la sécurité de cette emploie. « Une fois sur place, tu auras carte blanche, j’ordonnerai au gouverneur de t’obéir au doigt et a l’oeil » Venant de la bouche d’un dieux ce n’était pas qu’une expression, j’était certain qui si j’avais demander au gouverneur de se suicider il aurait préféré le faire plutôt que de s’attirer les foudre des dix. « Si vous accepter, vous partez sur le champ, plus vite cette affaire sera régler mieux je me porterais » Et moi aussi par la même occasion. « Une dernière chose: vous devez être le plus discret possible, le monde n’a pas a savoir que j’ai un nouvelle agent.» Elle avait débité le tout a une vitesse incroyable, j'ai mis quelque minute a digère les informations et a cherchez une question a posée (sa fait plus professionnel).J'ai finit par trouver: "Une fois la mission accomplit, que dois je faire?" C'était la meilleur question qui me soit passez a l'esprit.
" Retourné ici et attendez de nouvelle instruction.
-Bien, sinon je voulais savoir, quelle est l'atitude a adopté vis a vis des reblles et du peuple en general?
-Faite ce qu'il faudra." Un réplique culte.
"Bien, je part sur le champ. Je ne vous decevrait pas.
-J'y compte bien." Elle aurait put m'epargner sa petite menace "J'ai faillit oublier de vous le dire: j'ai parler de vous au autres et ils voudraient vous rencontrez, je vais retarder l'entretien au dernier moment mais vous voila prévenue." Il me manquait une petite information de ce type pour prendre la route sereinement.
Je suis vite retourner dans ma chambre prendre mon matérielle toujours guidé par les deux frères. J’ai pris tout mon arsenal, ainsi que mon livre et mon nécessaire d’écriture. Je me suis ensuite rendu en cuisine afin de prendre des provisions pour la route. Alors que j’enfourchais mon cheval Klurk a pris la parole: « Nous vous attendrons ici, nous nous occuperons de votre chambre. Si il y a quelque chose que vous voudriez que nous fassions pendant notre absence. » Il s’exprimais toujours avec crainte mais ils il y avais quelques chose de nouveau, je crois que j’allais lui manquer.
« Non, reposer vous, je reviendrais le plus vite possible. » Il a acquiescé puis est sortit, j’en ais fait de même, sur mon nouveaux cheval, un superbe cheval noir qui ne manquait ni de vigueur ni de dents.
Sortir de Pirkatia fut encore plus aisée que je ne l’aurais crus, ils devrait accroître la sécurité.
Je suis donc partit vers le nord-est, a la recherche de nouvelles aventures a raconté dans le journal, ce journal.
Chap. 6
Et dire que j’avais réussit à me passer des plaisirs de l’équitation pendant une semaine. Aussi étrange que cela puise paraître, le plaisir de grimacer a chaque fois que quelque chose touchait mon postérieur ne m’avais pas manquer. J’ai donc chevauché pendant quatre jours avant d’arriver en vue de Margar. Une citée d’une taille plus que respectable bien que largement inférieur à Pirka. Les porte était ouverte, la ville était nettement moine bien organiser que Pirka bien que les maison ne soit pas non plus construite sans respecter une certaine logique. La ville était moine riche que Pirka, ce qui expliquait la présence de rebelle. Je suis allée jusqu’aux écurie, le palfermier a sembler savoir pourquoi j’étais ici puisqu’il ma pris mon cheval puis ma dit de me rendre dans le bureaux du chef de la garde. Le bureau du chef de la garde était assez simple, il y avait un bureau, quatre chaises et une petite fenêtre. Il pourrait quand même lui trouver mieux étant donnée l’importance qu’il revêt. L’homme lui était petit, le teint gris, les yeux sournois. Pas vraiment le profil type du chef de garde. Quand je suis entrer dans son bureaux il était assis dans son fauteuil en train de lire je ne sais qu’elle document. Il m’a regardé, le visage inexpressif. Après quelque seconde il ma fais signe de m’assoire. Je me suis donc assis. J’ai réussit a ne pas hurler, ma rappelant tout a coup ma longue chevaucher. Le capitaine n’a pas réagis. Après quelque minute de silence j’ai pris la parole: « Bien, vous savez pourquoi je suis la, alors expliquer moi la situation. Que je puisse vite régler le problème. » Il était important de lui faire comprendre que plus vite cette affaire ce réglerais plus vite j’arrêterai de marcher sur ses plate bande. Sa l’encouragerai a m’aider.
« Alors, comme vous le savez, nous avons une importante cellule des lames de la justice. Elle a déjà mené plusieurs actions violentes gênant notre économie et notre développement. Il faut vite agir, chaque jour leur cellule grandit. » Bien sa, j’avais l’occasion de faire un beaux numéro qui ne manquera pas d’impressionner ma patronne. J’allais éradiquer toute la résistance et faire en sorte que plus personne ne puisse que envisager la rejoindre.
« Bien, avez vous déjà réussit a localiser une de leur planque ou a identifier un de leur membre?
-Et bien, il y avait bien quelqu’un mais, ils l’ont tué avant qu’il parle.
-Il est mort depuis combien de temps? »
Le visage du capitaine a semblé se décomposer, mais deux secondes plus tard il arborait de nouveaux son visage impassible (petit joueur).
« Il est mort il y a a peine une heure. Un homme est entré dans la prison et l’a poignarder, avant de réussir a s’enfuir. » Je comprend pourquoi, il s’était décomposer. Il avait de la chance que je ne sois pas un des dix car sinon, il aurait agonisé durant des jour et des jour. Mais je n’allais pas le punir alors qu’il me permettait de réaliser mon plan. J’ai souris puis d’un ton rassurant j’ai dit: « Ce n’est pas grave, de toute façon il y a peux de chance qu’il est su coi que se soit d’intéressant, les rebelles sont prudents. » Il a semblé être reconnaissant. Toujours utile de se faire des amis. J’ai continuer: « Écouter, je vais avoir besoin du corps ainsi que d’homme de confiance. Y a t il des établissement ou vous soupçonner les rebelle de se rendre?
-Oui une vingtaine mais, ils sont prudent et ne parlent pas de sa. » J’ai souris. « Pour l’instant, trouver moi, 19 hommes de confiance, je doit leur parler.
-Bien, Je peux tous les réunir dans la salle du conseil d’ici une heure.
-Parfait, je vous y rejoindrais. Y aurait il moyen de se laver?
-Oui bien sur, je vous appelle tout de suite un serviteur pour vous guider. »
Quelque minute plus tard, je me reposais, dans une bonne bassine d’eaux chaudes, vérifiant chaque point de mon plan.
Enfin un peu d’action, je sais que vous attendez tous sa depuis le début, et bien j’ai une bonne nouvelle, il vas en avoir de l’action. De plus vous allez enfin vraiment pouvoir vous rendre compte de ma ruse et de ma capacité a échafauder des plan, j’écris ce chapitre juste avant la réunion sa me permet de penser a autre chose. C’est la première fois que je vais exposer un de mes plan a du publique, je doit avouer que malgré ma confiance en mes capacité j’ai peur que les autres trouve mon plan inefficace, et si il l’était réellement peut être ne suis-je qu’un homme jouant au stratège, un homme croyant que ces plan peuvent marcher et qu’il ai en mesure de maîtriser la situation, peut êtres que suite a échec de mon plan toute la ville va se révolter et que cette révolte sera le signe déclencheur d’apparition de révolte au quatre coin de l’empire, peut être que part cette acte je vais causer la perte de mon employeur et ainsi la mienne. Ont dit que si l’on veux que les autre ai confiance en nous alors il faut que nous ayons nous même confiance en nous. Heureusement que ce proverbe est faux car sinon mon avenir sur terre est plus que compromis. Mon avenir et donc celui du journal, ce journal.
Sujet: Re: Projet livre 
Mer 26 Mar 2008 - 18:49
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