Projet livre

Bon courage pour supporter ton petit frère
Il n'y a quand même pas que du négatif à être l'aîné

ouai, le probleme c'est que c'est vraiment dur, a la moindre remarque il t'adresse son regard noir en cryant: "dit pas sa" ou bien "C'est pas vraie" ou encore "je fais ce que je veux" et ce meme quand on essay de l'aider mais bon

Olala, il fait déjà son rebelle si jeune, c'est pas bon signe ::


Bref, il me tarde de lire ton troisième chapitre !

Non que deux je me suis mal exprimé une de 3 ans donc et une de 7 mois et oui la suite !!

Bon, la suite, et oui je vais la poster, je sais que charge un peu la mais après je ne pourrais surement plus me connecter de la semaine alors autant laisser pas mal de truck pour avoir plein d'avis. Bon je vous previent ce chapitre enfin sa fin est a mes yeux le moins réussit. mais j'ai beaux chercher je trouve pas comment le changer alors je l'expose ainsi a vos regard. Et je vais meme rajouter l'encore suivant comme sa je serai tranquile. Mais sa pas tout de suite, d'abord une petite correction.

Chap. 3

Après encore 4 jours de chevaucher nous sommes enfin arriver en vue de Pirkatia. A en croire les dires, a l'époque, quand les dieux sont arriver Pirkatia était une ville des plus anarchique, les maison se construisais n'importe ou et les murailles étaient en ruines. Mais en arrivant les 10 ont mis de l'ordre dans tous ça: Ils ont entièrement rasé Pirkatia et l'ont reconstruisent, mais cette fois en respectant un ordre et une organisation militaire. Toute était prévue pour la protection de la ville en cas d'attaque et la réduction de risque d'incendie ou bien de maladie. Ils y avaient des puits a profusion, des égouts et certain employés avais même pour métier de nettoyer la voie publique afin d'empêcher tout risque d'alimentation de feu ou d'épidémie. La ville était gigantesque, j'ai toujours été mauvais pour les estimations mais je pense que les murailles entouraient une ville de 16 ha. Les murailles était d'ailleurs assez impressionnantes, fortes de leurs 11 toises de haut ainsi que de leur 3 toises d'épaisseur. Tout en pierre taillée, ce qui ma d'ailleurs amené a me demander d'ou venais ces pierres. J'imagine qu'elles ont été importées des montagnes au sud de l'altock mais sa fais une trotte et étant donnée le nombre de pierres il a fallut des moyen colossaux pour organiser leurs transport.
Je dois avouer avoir été impressionné par la taille de la ville et de ses murailles, mais j’ai tenter de rien en laisser transparaître. Nous avons suivit la route jusqu’aux porte, ces dernières était ouvertes. Une foule de paysans, marchand, soldat et autres. Se bousculais pour traverser cette porte qui d’ailleurs était loin d’être petite. Nous avons donc pénétrer l’enceinte des mur, j’ai alors légèrement ralentit afin de laisser mon inconnue passez devant. (Une subtile technique pour se faire guider sans avoir a le demander). Pendant que je le suivais j’observais les habitations, les places, les casernes... Elles étais construites en pierre taillée. Soutenue par quelques poutres de bois a quelques endroits. J’observais toujours le paysage quand tout a coup je me suis rendue compte de notre destination. Nous nous approchions du 2eme degré de fortification (et oui une château dans un château), les quartiers ou logeaient les 10 quand ils étaient en ville. Les livres ne parlaient que peux d’eux mais je savais une chose: si ont pouvais éviter de les approché il valais mieux le faire. De plus, selon certain on dire, les dieux sacrifieraient des humains dans ces lieux, donc, les seuls humains normaux pouvant rentrer ici serais destinée au sacrifice. Le plus consternant dans tous sa n’est pas le fait que les dieux puisse sacrifier des humains mais plutôt que la population tout en rependant cette rumeur puisse continuer de parler de leurs dieux comme des êtres vertueux a la sagesse infinie. Toujours est il que mon argent m’attendais de l’autre cotée et que l’image d’homme impassible que je tente de me donner aurait drôlement pâtit d’un refus d’entrer dans ce bâtiment puisque la seul raison logique a ce refus aurait été la peur. J’ai donc pris mon air impassible et ai suivit mon guide sans faire mine de vouloir me pisser dessus. Cette fois, la porte était fermer, mais les garde nous voyant approcher, se sont empresser d’ouvrir la porte. Sur leurs visages ce lisaient une crainte évidente. Bien que je soit très impressionnant je doute que ce fus de moi qu’ils ai eu peur. Mon « ami » était semble-t-il bien plus important que je ne l’aurai crue. J’aurais du commencer a me méfier, mais je crois que la peur d’entrer dans ce château empêchais mon cerveaux de fonctionner correctement. Les porte s’ouvrir sans aucun bruit, on aurait dit que les dieux faisais tout ce qu’il pouvais pour renforcer l’ambiance mystérieuse du lieux. Nous avons pénétrer a l’intérieur. Nous avons d’abord du suivre un long corridor sombre, tout en pierre. Les bruit de pas des chevaux était comme amplifier. Le corridor débouchait dans la cours centrale de la place forte. Une place dont le sol, surprise, était tout en pierre. A croire que ces dieux avais la phobie du feux ou bien une réelle passion pour la pierre. Certaine mauvaises langues pourraient dire que sa leur rappelle leur coeur. Nous sommes donc arriver dans la cour. L’autre est descendue de son cheval, j’ai fais de même. Deux hommes sont venues en courrant ils on pris nos chevaux puis sont repartit toujours en courrant, a l’odeur je dirais que c’était des palfermiers tant il sentait le crottin. D’un autre coté pas besoin d’être un puissant limier pour déduire que des gens venant prendre ton cheval sont des palfermiers. En tous cas, une chose était sur, plus je découvrais cette endroits et plus je le trouvais étrange. Avouez que des palfermiers aussi empresser a la tache, c’est rare.
Mon compagnon s’est diriger vers une des multiple porte bordant la cour. Nous avons traverser un nouveau corridor, en tout point identique au dernier. Au bout du couloir, il y avais une lourde porte en bois a double battent. L’inconnue c’est arrêté devant la porte et a soudain sembler ce rappeler ma présence. Il s’est tournée vers moi, ma dévisagé ( je le soupçonne fortement d’avoir essayer de trouver un signe de panique sur mon visage), après quelque instant il m’as dit de sa voix étouffer: « Va dans la cour, deux homme t’y attendrons, il te donnerons une chambre. Ils t’emmènerons ou tu voudra. Je te rejoindrais plus tard." A un autre endroit, a un autre moment je me serais dit qu’on tentais de m’arnaquer et aurais refuser de le laisser. Mais la c’était différent, j’ai préféré faire ce qu’on m’intimais de faire.
J’ai donc, d’un pas lent retraversé le corridor. A peine ai-je pénétré dans la cour que deux hommes se sont précipités a ma rencontre. L'un d'eux ma fait signe de les suivre. Je ne sais pas pourquoi mais ils semblait me craindre. Ils m'on guidée a travers de nombreux corridor tous semblable. L'architecte avais vraiment des problèmes d'imaginations. Nous avons finis par débouchée dans une pièce qui semblait être une chambre. Les deux hommes mon fais signe d'entrer, au moment ou je suis passez devant, l'un d'eux a essayer de parler mais visiblement sa terreur l'empêchais d'ouvrir la bouche. Il semblait vouloir me parler mais n'osais pas faire le premier pas. J'ai donc du amorcer la conversation:" C'est ici que je vais dormir?
-Oui, répondis l'homme en me remercient du regard. Je me nome Klurk et lui c'est mon frère Kulrk. Nous sommes charger de veiller a ce que votre séjour se passe pour le mieux. » j’ai souris, j’avais toujours rêver d’avoir des larbins.
« Bien, ai-je répondu. Étend donné que vous sembler mieux informer que moi sur ce qui m’arrive vous pourriez peut être m’éclairer.
-Nous ne savons pas grand chose, mais elle nous a ordonner de vous fournir une chambre, et de vous servir de guide. Elle a aussi dit que vous feriez bien de vous entraîner au combat car vous risquerais d’en avoir besoin dans les plan qu’elle prévois pour vous. » Elle? Mon mystérieux compagnon serait il pour finir une mystérieuse compagnonne? Je dois avouer que cette découverte ma « quelque peux » déconcerté, J’ai dut rester figée a y penser pendant un certain temps car Klurk c’est sentit obliger de me sortir de ma rêverie: « Hé sa va?
-Je... oui je vais bien, je réfléchissais. » (j’aurait dut dire non ne serai-ce que pour voir le visage qu’il aurait fait)
« Vous voulez que l’on vous guide jusqu’au terrain d’entraînement? »
J’était fatiguer et troubler par cette nouvelle mais si « elle » me demandais de m’entraîner je pense qu’il valais mieux que je le fasse.
J’ai poser ma sacoche sur mon lit puis ai répondue:
« Oui, allons y »
Nous somme donc repartit dans le dédale de couloir, pendant tous le voyage j’ai tenter de trouver les repaire que mes guide devait forcement utiliser pour se déplacer, mais je n’ai rien vue.
Nous avons finalement, débouchée dans la cour. C’était sa leur terrain d’entraînement. Plusieurs mannequin avait étés installée. Un homme de grande taille, se déplacent avec souplesse c’est approcher de moi:
« Bienvenue, ici on me nome Alrog l’aiguille » drôle de nom « c’est a moi qu’incombe la tache de superviser votre entraînement. » Je l’ai observer avec attention, il était assez âgée, son visage semblais marquer par le gel, le vent et la souffrance. Ces cheveux noir était coupé a ras. « Vous savez déjà ce qu’est une armes? » Avait-je l’air demeurer a ce point?
« Évidement.
-Bien, Elle ma demander de vous élaborer un programme d’entraînement intensive. »(bas voyons) « Tout les matin vous travaillerez pendant 4 heure a la forge, afin de vous familiariser avec les armes dans tous leurs détaille. Ensuite, vous viendrez ici et nous travaillerons ensemble pendant 4 autres heures. Vous serez libre le reste du temps mais je vous encourage fortement a travailler votre musculature. » enfin un peu de repos. « L’entraînement commencera des demain, soyer a la forge des l’aube, les frère vous y conduiront. » J’avais la désagréable sensation de ne pas êtres maîtres de mes mouvement.
Je suis ensuite allez me coucher et ai vite trouver le sommeil.
La semaine qui s’en ai suivit fut assez monotone, entraînement, entraînement, repos et écriture du journal, ce journal.

et voila le dernier chapitre de la semaine, un chapitre assez court:

Chap. 4

Klurk et Kulrk avançaient dans le maintenant familier dédale de couloir, je les suivait d’un pas lent et fatigué .Une semaine que je m’entraînais et je commençais a comprendre le sens de « intensif ». Une fois arriver dans ma chambre, je me suis effondrer sur mon lit en espèrent que je trouverais vite le sommeil, mais les deux clown en avait décider autrement. Ils ont insistés pour m’emmener chez le barbier. Mes cheveux atteignaient mon arrière-train et ma barbe elle n’étais pas en reste non plus. Le barbier avais visiblement déjà des projet pour mes cheveux et ma barbe, a peine m’etai-je assis qu’il commençais déjà a couper, taillée, brosser. Environ une heure plus tard, il ma regarder puit a dit: « Voila, j’ai finis, maintenant allez dans la pièce la, une baignoire d’eau chaude vous attend » Tout mes geste était dicter et sa commençais vraiment a m’irriter. Mais je n’ai pas discuter et je suis allez me laver. A peine ai je eu le temps de m’essuyer avec la serviette poser a cotée de la baignoire que les deux frères, entraient, portant des habits semblable au mien mais propre et de meilleur qualité. Ils ont embarqués mes anciens vêtements puis son sorties. Je me suis donc habillé. Il y avais une grande glace dans la pièce, j’ai pris le temps de m’observer. J'était grand (un peux plus d'une toise), j'avais la peaux claire. Mes long cheveux brun me tombais sur les épaule, il rebiquait le légèrement sur les pointe. Mes grand yeux marron surplombait un nez légèrement plus imposant que la moyenne. Ma bouche tant qu'a elle était plus ou moins dans la norme (si on estime que norme il y a).Le barbier avais taillé ma barbe de façon a ce qu'il ne reste plus qu'un carrer entourant ma bouche « normal » . Mon visage dans l'ensemble bien que n'étant pas magnifique n'était pas vilain non plus (je vous assure). Le gilet sans manche laissait voir mes bras qui étaient (sans me vanter) plus qu'impressionnent (pas trop non plus). Je suis ensuite sortit de la pièce, les deux m’attendaient. Ils m’on guidé jusque ma chambre, mais alors que le porte était a 20 pas ils se sont arrêter. Je me suis aussi arrêter mais il m’on fais signe de continuer. Je suis entrer dans ma chambre et la,surprise. Une femme était assise sur mon lit, mon journal entrouvert poser sur ces genou, elle me regardais. Elle était d’une beauté extraordinaire. Ses long cheveux noir lui tombais derrière le dos, Ses yeux vert semblais plus profond que le plus profond des précipice. (Je crois que je vais arrêter la ma description car je ne pourrais que la décrire moins belle qu’elle était) Elle ma regarder en souriant, puis voyant que j’observais mon journal elle ma dit d’une voix douce et chaude: « Oui ,je l’ai lut. J’avais remarquer que tu écrivais un journal et j’était curieuse de savoir comment tu avais relater notre voyage. » Notre voyage? C’était donc elle. Je me suis immédiatement sentit mal a l’aise, pendant mon séjour ici j’avais crue comprendre qu’elle était une des dix.
« Oui, je fais partit du groupe que vous appelez les dix » J’ai accusé le coup.
elle ma souris d’un sourire qui ce voulais rassurant (du moins je présume) mais il n’a eu d’effet que de renforcer mon malaise.
« Bon, je doit partir, demain tu n’as pas entraînement mais a midi il faudra que tu me rejoigne dans la cour. »
J’ai acquiescer d’un signe de tête. Visiblement satisfaite elle s’est lever. En passant a cotée de moi elle ma murmurée: « continue ton journal ».
Après êtres rester 1h planter sur le palier de ma chambre, je suis rentrer. J’ai consigné les dernier événement puis me suis couché.

Un chapitre assez court, mais l'as qualité n'est elle pas meilleur a la quantité. D'un autre cotée la qualité est elle au rendez-vous. Des question qui fille dans ma tête d'écrivain inexpérimenté. J'aimerai tellement faire un livre intéressent. Mais avec les événement actuelle je ne peux rien faire d'intéressent. D'un autre coté un bon écrivain aurait tout de même réussit a remplir des page et des page, a rendre l'événement le plus anodin intéressent. Mais voila, c'est moi qui écrit, et ma médiocrité n'a égal que mon ego. Ma prose est dénué de poésie, d'originalité et de toute ces autres chose qui rende une histoire banal et stéréotypé extraordinaire. Peut être que l'écriture est un don rare, un don que je n'aurai jamais. Sa n'en ferai qu'un de plus sur l'abyssale liste des don que je n'aurais jamais et qui me hanterons toute ma vie. Une vie qui elle même fais partit des innombrable vie rater qui ère dans ce monde avec l'espoir de vivre vraiment, l'espoir d'être reconnue. Ce monde qui... Encore un de mes défaut, je me met a faire une pseudo philosophie qui malgré ces apparence n'est pas plus profonde qu'un verre a vodka. Mais je compte bien continuer a écrire le journal, ce journal.

Je n'ai lu que le chapitre 3, je dois quitter le pc...
C'est intéressant, alors ce serait une femme ? Chouette
Et pourquoi les hommes ont-ils peur du narrateur ?
Bref, pas mal comme suite !

J'ai commencé le premier chapitre... Le premier post visible est celui déjà corrigé ou non?

Euh oui je crois qu'il a corrigé le prologue déjà.

Ok, merci! Bon, je laisserai un com plus tard alors. Tekmerak (à chaque fois je pense à Télémaque), ça te va si je t'envoie la correction du chap 1 en mp, pour ne pas surcharger ici? Le début est bien, l'ambiance est chouette, enfin, d'abord le style et on parlera du reste après

Et bien, oui je veux bien

cool, je m'en occupe ce soir ou demain

ok, merci

Alors, toujours sur le chap 1 (jusqu'à la partie que j'ai corrigée):
Comme je t'ai dit, j'aime bien l'ambiance, cependant, certains faits manquent de cohérence
Comment une plume, un encrier et un mss se retrouvent dans une prison?
Pourquoi le mur s'effrite si facilement alors que la prison est imprenable dans le prologue?
Idem, si les protagonistes peuvent sortir si facilement, pourquoi d'autres n'ont ils pas réussi avant?
Si la prison est telle que tu la décris, il doit être impossible d'en sortir Je suis chiante la dessus mais il faut que ça fasse un minimum réaliste
Pour le style attention aux répétitions et aux maladresses. L'idée est sympa, il faut travailler la forme à présent. Ton texte fait très SF des années 80/90, j'adore!!!!!!!!!!

Alors sa je l'ai deja entendue, alors je vais tenter de repondre:

-Pour la plume, l'encrier et le manuscrit et bien c'est le hasard (oui sa existe)
Pour le mur et bien c'est encore le hasard (oui je sais pas top comme argument), les mur sont plus ou moin solid mais comme partout il y a des point faible, il se trouve que le hero est tomber sur l'un d'eux (et puis ne pas oublier que c'est une vieille bâtisse). D'ailleur je n'ai pas dit qu'elle etait imprenable je dit meme: "Le bâtiment en lui-même n'avait rien de redoutable" non, le cotée du personne n'as pus s'evader viens d'abord du fait que la prison brisse imediatement le moral de ces nouveaux occupant qui perde alors toute espoir de s'evader, de plus je vois plus ce batiment comme une vieille prsion a l'epoque imprenable mais qui partait maintenant en ruine.
J'espere avoir repondu, je continu:
Les protagonist on pu s'evader certe, mais pourcoi, parceque le mysterieux inconue a réussit a crocheter la porte, comment? et bien on ne le sais pas. conclusion: Ce mysterieux inconnue est decidement vraiment mysterieux et en plus il est puissant.

Voila c'est tout, dit si tu n'es pas convaincue mais je pense avoir ete asser convaincant (enfin je l'espere)

Coucou !!!

Alors, je dois avouer que pour l'instant, je n'ai lu que ton premier chapitre, car je suis morte, je lirais les autres demain, c'est promis

J'ai beaucoup aimé ta description au début de l'histoire, on se sent bien entrer dans l'ambiance, de plus, c'est vrai que j'ai rarement eu affaire à des bouquins qui commencent par la description d'une prison, donc cela me change agréablement.
Le bout d'intrigue que j'ai lu était donc assez prometteur, et donnait envie de savoir où tout cela allait les conduire.

Néanmoins, au niveau des critiques, je rejoins les autres sur plusieurs points :
* ton style est sympa, mais tu fais plusieurs fautes d'orthographe qui gâchent un peu le plaisir quand on lit ton texte, sers-toi donc du correcteur orthographique de Word (qui dispose également d'un correcteur de grammaire), tu verras, c'est très efficace, et ça ne prend pas beaucoup de temps !

*Il y a plusieurs maladresses dans les tournures de phrases ; ça, Word ne pourra pas te le corriger, c'est un défaut qui disparaitra avec l'expérience, mais un conseil : n'hésite pas à repérer des tournures sympas, quand tu lis un autre livre, et à t'en resservir.

*Pour l'intrigue : aaah, la fameuse intrigue...
Et bien, même si, je te le répète, j'ai aimé le début, je dois quand même te faire plusieurs critiques :
** le trou que le perso principal fait en tapant dans le mur : déjà, ton mur était en pierre, et même si avec le temps, le ciment entre les pierres à pu se dégrader, n'oublie pas que sur cette pierre repose le poids de toutes les pierres qu'il y a au dessus !
Il est donc impossible qu'un simple coup de poing puisse suffire à déloger la pierre. Plusieurs coups donnés avec force, OK, mais un seul, ce n'est pas crédible du tout.
De plus, tu dis au début de ton histoire que les efforts des prisonniers, leurs griffures sur les murs, et tout, n'ont pas suffit à percer ceux-ci : on ne voit donc pas pourquoi ton personnage y arriverait aussi facilement. A moins que tu ne précise dès le début qu'il est doté d'une force peu commune, mais si c'était le cas, il aurait pu s'évader depuis longtemps.

** les couloirs déserts de la prison, et le trajet sans encombres jusqu'à l'armurerie : heeeeu, tout de même, c'est beaucoup trop facile là... ok, ils ont croisé UNE patrouille qui ne les a pas vu, mais tout de même, c'était la période des grandes vacances ou quoi ?

** l'armurerie : alors là, pardonne moi, mais il y passent beaucoup trop de temps !
Les deux personnages sont en train de s'évader, il y a une certaine urgence tout de même, or, là, ils prennent le temps de prendre une arme (bon, ça c'est ok), puis de la bouffe (5 minutes de passées) puis de chercher, choisir, et mettre d'autres vêtements (10 minutes supplémentaires), et, enfin, de prendre une énorme collection d'armes (vu le nombre d'arme, le temps qu'il les prenne et les accroche toutes, il a bien du se passer 10 autres minutes !). Ensuite, ils sellent tranquillement leurs chevaux (+ 10/15 minutes).
Soit, une demi heure de passée dans l'armurerie et l'écurie.
Pour des gens qui s'évadent, ils ont quand même prit leur temps...

** le gros tas d'armes que choisit le perso principal :

Citation :

j'ai pris une hache a deux main avec double tranchant que j'ai mis dans mon dos accrocher par une sangle en cuir. Seul les tranchants dépassaient de la cape, elle était placée sur mon coté droits. J'ai ensuite pris une épaisse épée bâtarde que j'ai accrochée elle aussi dans mon dos mais de l'autre cotée. L'inconnue semblait étonner. Et ce n'était pas fini, j'ai ensuite pris deux épées courtes que j'ai accrochées à ma ceinture chacune sur un flanc. J'ai rajouté quelques haches de lancer à ma ceinture. Puis ai placer une dague dans chacune de mes bottes, ainsi que derrière ma cape.

Alors là, tu n'as que deux options :
- soit tu précise que ton personnage est un colosse doté d'une force prodigieuse, et tu invente une raison pour laquelle sa force ne lui permettait pas de se barrer plus tôt
- soit tu décide que ton personnage est normalement constitué, mais là, je te préviens : il est rigoureusement impossible qu'il ai pu marcher sans être gêné, et encore bien moins combattre avec un tel attirail sur le dos.
Un sabre japonais fait environ 1.5 kilos.
Et ils sont bien plus légers que ne l'étaient les épées médiévales européennes...
Ainsi, une épée bâtarde mesure de 1m à 1m20, et son poids dépasse obligatoirement les 2kg.
Une épée courte mesure environ 60cm, et pèse quasi 1kg
Une hache de lancer pèse environ 500g, et encore, si le manche est en bois...
Une dague pèse environ 300g.

Faisons maintenant une petite addition, en supposant que "quelques haches" = "quatre haches" :
2kg + (2*1kg) + (4*0.500) + (3*0.300) = 6.900 kg.
Quasi 7 kilos sur le dos, plus le poids d'une cape de cuir.
Dont 4kg sur la ceinture.

Hum hum hum !!!!
J'espère qu'il n'avait pas prévu de s'enfuir en courant en cas de pépins, car il n'aurait pas couru bien vite

* le combat contre les gardes : trop facile, là aussi, le moment n'est guère palpitant. Et puis des gardes qui ne savent pas se battre et qui perdent leurs moyens quand l'un des deux meure, c'est tout de même étonnant.

*quand il rentre au campement, et qu'il voit son pote évanoui : pourquoi emploies tu l'expression "bonne surprise" ? O_o
Au fait, il me semble que pour un onguent, il faut de la graisse.
Donc débrouilles toi pour faire tuer un bon gros lapin à ton personnage, en plus, ça leur fera un bon diner

Voila, j'espère que mes critiques te seront utiles, et qu'elle ne te démoraliseront pas trop, je suis d'humeur pinailleuse ce soir.
Mais ton texte me plait, !!!!

Pour ceux que cela intéresse, vous pouvez trouver plein d'infos sur les armes médiévales et leur maniement ici =>
http://www.elfes-bretagne.net/spip.php?rubrique7
Pour les poids, je les ai trouvés sur des sites de vente d'armes d'époque, ou des sites de musées.
Si vous les cherchez, ne vous fiez pas au poids des répliques commerciales qui abondent sur La Toile, la plupart sont faites d'un acier peu dense (donc moins cher), et d'un alliage, sans compter que leur taille et leur épaisseur est souvent inférieure à ce que savaient produire les forgerons médiévaux.

Voila ! Bonne soirée !

Luciole

Salut, d'abors merci pour la critique, ensuite alors je vais commencer par l'argument le plus facile a contrer

Le poids, Tu semble estimer que 7kilo sur le dos demande une force colossale mais j'ai le meilleur contre-exemple possible: Je porte toute la journée un sac de 10kilo (oui je charge) et pourtant bien que plus grand et plus muscler que le moyenne je suis loin d'être un colosse dotée d'une force prodigieuse (enfin je crois).

Voila sa c'était le facile ensuite pour le peux de garde dans la prison j'ai une excuse (je vien de la trouver), comme tu l'aprendra durant le chapitre deux, l'empire celeste est en guerre contre l'Ertickos. Et il est logique qu'ils envoie tous (ou presque) les hommes au front

Pour la force enfait je doit dire que dans sa descritption qui a lieux dans le chap. 4? et bien il dit etre fort muscler. Mais apres quand je dit un true c une petite breche, genre un petit cailloue est tomber, ce qui ne derange pas la structure mais qui laisse un espace. Rien pour s'evader. Et comme je l'ai dit tout a l'heure le batiment commence a vieillir.

Et pour finir l'armurie, c'est vraie que c'est long mais d'un autre cotée vue le peux de garde c'est peux risquer et puis null part je n'ai dit que le hero etait un homme dotée de bon sens :d

Sinon merci pour le lien et j'espere que ma reponce va réussir a combler la plupart des defaut que tu as citer qui enfaite s'explque voila bonne nuit

Alors si tu as des explications logiques, inclues les dans ton premier chapitre ! comme ça, lui aussi deviendra plus crédible
Quand quelqu'un te lis, il ne devrait pas avoir besoin que tu lui explique tout ça
Et pour la description du type, en tout cas de sa force, ajoute la au premier chapitre, ce n'est pas en lisant le quatrième qu'on va se dire "mais oui ! c'est pour ça qu'il a réussit à casser le mur de la prison !"

Pour ton caillou, ok, mais dans ce cas, c'est un caillou qui faisait l'épaisseur de tout le mur, sinon il n'y aurait pas eu de trou.
Et là, il te faut bien au moins 2 coups pour qu'il tombe.

Et une demi heure dans l'armurerie, quand même... l'autre personnage n'était donc pas si pressé de partir ?

Pour ton sac de cour, ok. Maintenant, prend un baton (en fer, de préférence) de 1m20 de long, mets ton sac sur le dos, et essayes de faire un combat contre un pote qui sait se battre.
Il n'aura aucun mal à être assez rapide pour te toucher

Luciole

bah il faudrait que cela apparaissent dans ton texte comme ca ce sera plus clair

Ouai, je vais tacher d'y inclure des que possible, par contre pour la description du type j'aimerais vraiment attendre le 4eme chapitre (me demmandez pas pourcoi, mais je trouve que c'est bien d'attendre un peux pour le decrire)

Enuite si l'autre personage est presser de partir mais il a pas le choix, il est blesser et n'as que peux de chance de survie en partant seul.

Pour le combat avec le sac, d'abord je te le dit tout de suite je vais pas essayer de faire a combat a coup de baton en fer tout en portant mon sac
Apres oui je me doute qu'ils soit plus rapide, mais bon deja le hero est tout de meme tres muscler de plus il ne porte qu'un plastron en cuir (ok c'est lourd mais moin que le metal) et puis apres je n'ai jammais dit qu'il allais pouvoir affronter un soldat bien entrainer tout en se trimbalant toute sa feraille.

pour finnir, les mur en pierre ne sont pas forcement fait de pierre de pierre de 2m sur 1 empiller les une sur les autres. Ma maison est une maison savoyarde typique moitier pierre moitier bois (et vive les courant d'air) et le plupart du temp c'est plus plein de pierre de petite taille (mais vraiment) qui sont empiller dans tous les sens.

oui mais là, tu nous parlais d'une prison réputée imprenable, dont les prisonniers n'avaient pas réussit à détruire les murs ou les portes malgré leurs efforts et leurs griffures désespérées

et pour le combat face au garde, je maintient que le deuxième aurait du opposer un semblant de résistance... là, on aurait dit qu'il n'avait vraiment jamais manié une arme de sa vie, et que voir son coéquipier se faire tuer suffisait à le bouleverser, alors que si tes gardes aiment effectivement torturer les prisonniers, ça ne devrait pas le troubler autant

Luciole

Ce qui est drôle avec Tekmerak, c'est qu'il a réponse à tout

Je confirme que, si ça n'est pas précisé, le lecteur ne peut pas le deviner !
Pour toi, je comprends que cela puisse être logique, mais quelqu'un d'autre qui te lit ne s'y fera pas, et pourrait abandonner la lecture à cause de tes incohérences.

Je suis archi d'accord avec Shoun et Luciole! Ces remarques servent à te faire avancer, on ne veut pas te descendre

Shoun a écrit:

Ce qui est drôle avec Tekmerak, c'est qu'il a réponse à tout

moi aussi

nah, sérieusement on ne veut pas te descendre ! c'est que j'ai quand même envie de voir la suite de l'histoire, moi
mais c'est sûr qu'une histoire qui manque de crédibilité, ça peut vite devenir lassant... si elle est crédible, explique le à) tes lecteurs

Luciole

Je n'ai lu que le prologue pour l'instant mais il me faut corriger.
Déjà au début, comme on te la dit, il y a pas mal de fautes, heureusement, ça s'améliore ensuite et permet une meilleure lecture.
Autre point négatif d'ensemble : les virgules, tu en mets un peu partout à la place des points, enfin, je vais tout détailler donc tu verras ^^

"Le jour, la chaleur était suffocante, la nuit, le froid infligeait sa douloureuse morsure" => Un point après "suffocante" serait bien je pense, pour couper un peu les deux phrases. Car j'ai marqué un temps d'arrêt presque instinctif. Après avec le recul, c'est vrai que tu pourrais le laisser comme ça, mais c'est pour te le faire remarquer !

"La vie était longue et monotone, de temps en temps des hurlement d'agonie" => pareil, point après "monotone" Les deux parties ne se suivent pas et ça me perturbe de ne pas les voir séparées.

"des hurlement d'agonie venais" => venaiENT

"s'était instaurer" => instauré

"Les occupants de ce triste bâtiment vivaient au rythme long et monotone du bâtiment" => répétition de "monotone" que tu as employé au paragraphe précédent mais trop rapproché. Répétition aussi de "bâtiment" employé cette fois ci dans la même phrase et ça ça ne va pas du tout

"Les locataires se traînaient à leur tâche tels des fantômes, leurs âmes, leurs espoirs et toute leur joie, ils les avaient perdues en entrant ici." => point après "fantômes" et harmonise les qualificatifs "âmes, espoir, et joie" Soit tous au pluriel soit au singulier. Quoique je serais aussi pour que "âme" soit au singulier car on n'en a qu'une. Bien que tu puisses parler de toutes les âmes mais bon... je te laisse décider

"Les dalles de pierre du sol était en usées" => "en étaient usées" je pense que tu as tapé trop vite ^^

"de crasse et de petits morceaux de roches" => les dalles de pierre, ne sont-elles pas de la roche? Je pense que tu voulais dire "de petits grains de roches usés"

"Les murs, eux semblaient réellement accuser le poids de l'âge, on percevait de nombreux" => point après "âge"

"et avaient laisser tomber d'eux-mêmes cette tâche impossible
avaient laisser tomber d'eux-mêmes cette tâche impossible ne épaisse porte de chêne permettait de sortir ou d'entrer" => "avaient laissé" ; "impossible. Une épaisse" ici c'est une faute de frappe j'espère, mais j'ai eu du mal à comprendre la phrase au début donc je te le signale ^^

"salvatrice, je me contentais" => point à la place de la virgule. Il me semble que ce serait plus approprié

"Le pire était de sentir mon odeur" => désolé mais un gros avertissement là. Ce n'est pas du tout réel. Tu ne sens pas ton odeur. Tu ne peux pas, excepté quand il y a une vague de chaleur et que tu sues comme pas deux. Sinon ton nez s'y habitue, comme pour la puanteur ambiante. Donc change, ce n'est pas réaliste


Sinon, j'aime bien l'approche de ton prologue, surtout la fin qui me donne envie de lire la suite

j'ai repris le premier chapitre en tantan d'inclure vos idée. J'aurai bien editer mon premier message mais il n'y a pas assez de place
oui, sa la pas mal rallonger. alors le voila:

Premier chapitre


J’étais allongé sur ma couchette, en train d’essayer de planifier un plan d’évasion (chose que je faisais depuis mon arrivée ici mais qui n’avait pour l’instant rien donné, d'un autre coté je ne me berçais pas d'illusions, je savais que je sortirais d'ici mort et pas avant. Le fait de planifier un plan d'évasion était plus une façon de m'occuper l'esprit qu'autre chose) quand des bruits de pas me firent sortir de ma léthargie, des gardes approchaient, ce n’était pas l’heure des corvées et la seule autre raison qui poussait les gardes a venir ici n’était pas des plus réjouissante. De temps en temps ils torturaient un prisonnier pendant plusieurs heures juste pour se distraire. Je me suis raidi, les pas s’approchaient de ma cellule. Chaque pas résonnait dans mon esprit comme un puissant coup de marteau. La porte de la cellule sur ma gauche par rapport a la porte s’est ouverte, j’ai poussé un soupir de soulagement, puis me suis replongé dans mes rêves d’évasion.
Quelques minutes plus tard j’ai entendu du bruit venant de la même cellule. Mon voisin tapait sur le mur mitoyen. Je me suis approché et ai répondu d’un coup sec et puissant qui manqua de me briser le poignet. Devant la puissance de mon coup une pierre céda laissant un petit trou entre nos deux cellules. Les murs n’étaient donc pas très solide, une découverte à inclure dans mon plan d’évasion.
Je doit d'ailleurs vous dire un détail que j'avais omis d'emmètre : La prison bien qu'autrefois invincible et inviolable. Avait quelque peux changer, presque tous les garde était au front, tentant de protéger leur pays contre leurs envahisseur. De plus, le temps avait passer et de l'indestructibilité de la prison il ne restait que l'ombre. Mais cette ombre était largement suffisante pour empêcher n'importe quelle prisonnier de s'évader. Les porte était toujours solide. Et aucun de nous ne savait crocheter les serrure avec quelque petit morceaux de roche. les mur tant qu'a eux avais montrer jusque la une solidité a toute épreuve. Mais peut être avais-je trouver la faille.
Mon voisin commença à me parler, d’une voix étouffée qui ne permettait pas vraiment de définir son sexe: « Écoutez, je dois impérativement sortir de cette prison dans les plus brefs délais si vous m’aidez a m’évader, vous serez grandement récompensé" J'ai répondu d'un grognement interrogatif, la fatigue et la surprise n'influaient pas de façon positive sur ma rhétorique. L'étranger a continué bien que mon grognement ait visiblement réduit sa confiance en mes capacités: "Écoutez je suis blessé, et ma magie a été neutralisée " maintenant que j'y repense, je n'avais même pas réagis a l'énonciation de la magie, a croire que la fatigue n'influait pas de façon positive sur mon intellect non plus. " Mais je peux tout de même nous faire évader si vous m'aidez, je peux crocheter la porte de ma cellule, mais je ne connais par le bâtiment et si un garde me tombe dessus je ne serai pas en état de me défendre." J'ai grogné quelques mots, il n'as pas compris d’ailleurs je ne suis pas sûr que ces mots avaient une quelconque signification."Alors vous êtes d'accord ?" J'ai fait un effort monumental pour reprendre le contrôle et j'ai répondu d'une voix sure: "oui" ça peut paraître ridicule mais je vous assure qu'étant donné la situation c'était déjà incroyable que j'arrive à dire un mot. L'autre s'est retourné, et quelques secondes plus tard j'ai entendu un bruit de serrure.
Juste après ma porte était ouverte et mon libérateur était à son entrée. J'ai pris mon livre, ma plume et mon encre dans mes mains, n'ayant aucun sac ou autre récipient où les mettre. Il m’a fait signe de passer devant, en passant à coté de lui j'ai pris le temps de le détailler. Il était entièrement habillé en cuir noir, son visage était caché par un masque. Il mesurait environ 5-6 pieds de haut, avait une silhouette assez fine. Une large entaille sur son flanc gauche était bandée par une bande de tissu blanche. Sa silhouette n'était pas à proprement parler une silhouette virile. Mais il était entouré d'une sorte d'aura à la fois effrayante et réconfortante. Réconfortante parce que je savais que pour l'instant il était avec moi.
Nous avons traversé plusieurs couloirs sans rencontrer personne, il était tellement discret que parfois je me retournais pour être sûr qu'il était encore là. Le bâtiment était grand, il y avait trop peu de gardes pour réellement assurer la surveillance de la prison. Nous allions à l'armurerie ainsi que l'écurie qui se situait juste a coté. Nous n’avons croisé qu'une patrouille, qui ne nous a pas vus.
Il n'y avait personne à l'armurerie, L'inconnu s'est contenté de prendre un sabre, un fourreau et une ceinture. Moi par contre, j'avais bien l'intention de me servir. Avant toute chose j’ai pris un petit sac en tissus dans lequel j’ai mis mon livre, mon matériel d’écriture, une bouteille de rhum qui traînait dans le coin, trois miches de pain (je sais que c’est étrange de trouver de la bouffe là mais bon, comme le diraient des gens adeptes de la positivité: on regarde pas les dents du cheval qu’on nous a donné. Quitte a paraître négatif, méfiant et compagnie, moi je dis que le jour où l’on me donnera un cheval je n’aurai pas besoin de regarder ses dents parce que soit il sera déjà mort soit des dents il n’en aura plus) ainsi qu’une casserole remplie de pâtée pour chien (j’ai évidemment jeté la pâtée). Ensuite j’ai décidé de passer aux choses sérieuses: prendre le plus de trucs possible (quand c’est gratuit il faut en profiter).
J'ai commencé par me changer, j'ai pris un pantalon en toile noir, qui semblait propre ainsi qu'un gilet sans manche en cuir noir. Pour parfaire ma tenue j'ai pris une vieille cape noir, au bord blanchit et effiler par le temps ainsi que des botte en cuir souple (oui je l‘admet je fais une fixation sur le cuir). Pour l’armement, j'ai je doit l'avouer, un peux forcer: j'ai pris une hache a deux main avec double tranchant que j'ai mis dans mon dos accrocher par une sangle en cuir. Seul les tranchants dépassaient de la cape, elle était placée sur mon coté droits. J'ai ensuite pris une épaisse épée bâtarde que j'ai accrochée elle aussi dans mon dos mais de l'autre cotée. L'inconnue semblait étonner. Et ce n'était pas fini, j'ai ensuite pris deux épées courtes que j'ai accrochées à ma ceinture chacune sur un flanc. J'ai rajouté quelques haches de lancer à ma ceinture. Puis ai placer une dague dans chacune de mes bottes, ainsi que derrière ma cape. Je devait être assez impressionnent équiper ainsi. Mon coéquipier semblait quelque peux amusée par cette armurerie ambulante que j'était.
Des fois la limite entre le ridicule et l'impressionnent est très mince et selon les personne on peut être soit l'un soit l'autre. La j'était ridicule, mais je pense que cela venais du fait que mon "camarade" semblait du genre a tuer 5 personnes avec un cure-dent. C'était le genre à se contenter d'une épée pour partir à l'aventure.
Mais bon, nous sommes ensuite allez dans l'écurie, nous avons chacun pris un cheval, dont l'age était visible, les deux était noir, nous les avons scellée avec de vieille scelle en cuir usée, mais au moment de monter, 2 soldat sont entrés, l'un d'eux a lancer un javelot qui a toucher l'autre (je parle de mon camarade) dans l'épaule.
Nos deux adversaire, avais maintenant chacun une épée longue. A deux contre un le combat était inégal, de plus bien que sûrement peu et mal entraînée, ces hommes avaient tout de même la capacité de me battre en duel, je devais donc les déstabilisées, jouer sur leur peur et leur inexpérience de la mort, de la douleur et du combat réelle celui ou l'on risque de mourir au moindre faux pas. D'un geste souple et rapide j'ai pris une de mes hache de lancer et l'ai jeter, elle a ouverte la gorge d'un de mes adversaire (j'avais toujours été habille avec les armes de jet). J'ai ensuite pris mon épée bâtarde. Je doit avouer a mon grand dam que je ne maîtrisais pas particulièrement le combat rapprocher. Mais mon adversaire non plus, de plus la mort de son camarade l'avait visiblement chamboulé. Je me suis approché d'un pas lent, garde basse. J'avais décidé de faire en sorte d'écourter le combat au maximum car je n'avais pas la technique ni la vivacité nécessaire pour soutenir un long combat. Des qu'il fut a porter, j'ai esquisser un coup de taille mais au dernier moment j'ai ramener mon épée et me suis fendu afin de lui porter un coup d'estoc mortelle. Le salaud a réagit au dernier moment, évitant ma lame de justesse. Il a riposter d'un fadant, j'ai parer, avant de tenter de lui assener un violent coup de taille, mais il y a quelque chose qui a merder. Deux seconde plus tard il ripostait d'un coup de taille qui m'obligea a reculer. Il continua sur sa lancer, me harcelant, ne me laissant pas le temps de riposter. Ce foutue attirail me ralentissant considérablement. Je reculais, parant chaque coup avec plus de difficulté quand mon pied c'est pris dans une imperfection du sol. Quand je vous disais que cette prison tombe en ruine. Je me suis effondrer dans un lamentable fracas, lâchant mon épée. Un sourire est apparu sur le visage de mon adversaire. J'avais tenter de me battre a la loyale, lui laissant une chance de s'en sortir (encore une de mes idée bidon) mais la je n'avais pas le choix. J'ai saisit ma deuxième hache de lancer, et d'un geste souple l'ai lancer en direction de mon adversaire. Elle l'a atteint au alentour du coeur. Je me suis redresser, j'ai repris mon épée. Il respirait encore, je l'ai achever. J'ai rapidement essuyer ma lame sur son pantalon avant de la remettre dans mon dos, j'ai alors récupérer mes haches de lancer, les ai essuyer puis les ai remises a leur place. J'ai rapidement observer mon coéquipier, bien que je ne voit pas son visage, je me doutait qu'il devait être surpris. Et ce pour deux raison, la première: j'aurais pus fuir sans me soucier des garde, le laissant ainsi seul avec eux. Et je pense aussi qu'il avais déjà une idée de mon habilitée au combat dut a démarche et a quelque autre détaille que seul les guerrier expérimenter remarque. Et il n'aurait donc jamais crue que je puisse terrasser deux adversaire même si peu expérimenter. Je dois d'ailleurs avouer que moi non plus et que si le combat c'était dérouler à la « loyale » mon récit ce serait terminé ici.
Je me suis mis en selle, attendant qu'il en fasse de même puis nous sommes sortit du bâtiment. Le bâtiment se trouvait en pleine campagne. Oui, moi aussi sa ma parut bizarre mais bon, il doit bien avoir une raison a cela, les dirigent de l'Ertickos n'était certes pas les plus futée mais de la a construire une prison dans une prairie sans raison... A contre coup, je me dit que c'était pour empêcher les prisonnier de se mêler a la population après une évasion. D'ailleurs c'est que j'aurais voulut faire.
Aussi étonnent que cela puisse paraître nous avons réussit a traversée la prairie puis a nous mettre sous le couvert des bois et ce sans que personne ne nous voit. Nous avons allons continuer a avancer pendant au moins 5h heure, et ce a une vitesse relevé sur terrain accidentée.
A se que j'aime l'équitation, dire que je ne pouvais plus m'assoire aurait été un doux euphémisme. Pendant que mon camarade préparait un feu, je suis allez chercher des plante anesthésiante afin de ne pas hurler de douleur chaque fois que mon arrière-train toucherai quelque chose. Il faut que je précise que j'ai une assez grande connaissance des plantes, et de leur vertus je maîtrise aussi assez bien la médecine, sans être docteur ou apothicaire bien entendu.
En rentrant au "campement", j'ai eu une bonne surprise: mon amie évadé, était allongée, inerte, des branche étaler au tour de lui. J'ai immédiatement compris que cela venais de la blessure causer par le javelot, cette dernière était infectée. J'ai immédiatement réagis. J'ai désinfecter la blessure a l'aide de l'alcool récupérer dans l'armurerie. Je suis ensuite repartit chercher des plantes dans le foret. Pendant que je préparais une infusion avec une partit des plantes, j'ai réalisé un onguent cicatrisant. J'ai appliquer l'onguent sur la plaie puis j'ai mis le blesser en position assise. Et lui ai fait boire à lente gorgée de mon infusion. Cette infusion, allais plongée mon camarade dans un sommeil profond afin qu'il ne se réveille pas tous les deux seconde en criant.
Bâ ouai, moi aussi j'avais besoin de dormir.
Après avoir allumé le feux que mon compagnon avais laisser en plan, j’ai mangée un peux de pain, ce qui ma d’ailleurs permis de comprendre pourquoi personne ne l’avais encore mangée, dur, rassis, le genre de truck qu’on donne au canard, pour se marrer en les regardant s’étouffer avec. J’ai ensuite pris un peu d’eaux dans une source proche. J’ai finis par me couchée mais après avoir passer 1h a chercher le sommeil sans résultat, je me suis lever et j’ai consigné tout les récent événement dans mon journal de bord, ce journal de bord.