Eveil

Moi aussi j'ai parfois du mal à concilier narration et description. Plusieurs critiques des premiers paragraphes me reprochent de ne pas avoir décris les personnages et le monde, mais c'est beaucoup parce que je ne sais jamais à quel moment le faire!

bon, je suis pas tres inspiré donc : a suivre

Citation :

Elle a les yeux rouges ? Haha

Pas rouge: rubis (c'est à dire bordeau) c'est pas la même chose
Oui je sais vous attendez tous la suite avec impatience, mais je galère pas mal comme je le disais. En attendant, un petit coup de main peut être sur ce dernier paragraphe: dans la description de l'elfe, en fait, je ne voulais pas qu'elle aie les cheveux couleur de feux, elle est censée les avoir couleur rubis comme les yeux mais je ne savais pas comment le dire sans faire une répétition.
Quelqu'un a une idée pour corriger cette phrase?

comme elle n’en n’avait jamais vue >>>> vu
(c'est dans les toutes premières ligne du premier post. Marrant que personne ne l'ai noté avant moi :p)

Citation :

il découvrit un visage fin et ciselé aux yeux en amande brillants comme des rubis, encadré par une longue chevelure couleur de feu

>>>>>>suggestion
"il découvrit un visage finement ciselé et encadré par une longue chevelure dont la couleur rubis était l'écho parfait des iris brillants de ses yeux en amande."

texte très intéressant et plaisant à lire. Je compatis à tes difficultés avec les description, j'ai souvent les mêmes

Le rubis est une gemme de couleur rouge vif, nuancée de rose et de pourpre ...
C'est le grenat qui est sans conteste de couleur" bordeau"...
J'aime bien lire ton histoire, et, il est agréable de te suivre petit à petit; à bientôt

Je sais pas... Le rubis de ma bague me semble bien bordeau... Je pense que tout le monde connait la couleur du rubis, alors que pour le grenat, c'est moins évident.
Trève de plaisanterie, je patauge un peu dans la semoule, voilà pourquoi je ne poste que par petits bouts, ça ira peut étre mieux après. Voilà la suite.

-Mon nom est Aelysina, et je viens du royaume de Tirisharddarl. J’ai fui mon pays il y a une dizaine de jours et j’ai voyagé jusqu’ici pour demander assistance au Conseil des Erudits, car ils sont les seuls à pouvoir m’aider à présent, mais ma quête doit rester secrète, car il est fort probable que des assassins me cherchent.»
Elle ferma les yeux un instant, puis les rouvrit pour plonger son regard rubis dans celui de Séveric, afin de le jauger. Il fut charmé par son air digne et gracieux, pendant qu’elle se demandait si elle pouvait lui faire confiance. Les yeux bruns pétillants d’intelligence et l’air ouvert et franc du jeune homme la décidèrent.
« Je suis venu avertir le peuple des humains, que son allié de longue date, le roi Aerishun, souverain des elfes, a décidé de lui déclarer la guerre.

Séveric en resta abasourdi, incapable de prononcer un mot. C’était la nouvelle la plus inattendue qu’il eût pu entendre. Depuis la Grande Alliance des Races qui avait permit de gagner la Guerre contre les Démons des milliers d’années avant, jamais le peuple des elfes n’avait manqué à son serment de loyauté envers les habitants d’Eltinia.
Bien sûr, il savait que le monde allait mal. Eltinia était progressivement devenu un monde sombre et torturé. Depuis que les dragons avaient disparu de cette terre lors de la Guerre, la magie qu’ils généraient s’était lentement dissipée. Depuis quelques dizaines d’années, des monstres étranges apparaissaient dans les endroits isolés, massacrant les voyageurs, si bien que les caravanes commerciales devenaient rares et que les gens ne quittaient plus leur village. Les plus petits hameaux avaient du se rassembler pour se fortifier contre ces attaques. Une épidémie étrange courrait ; ceux qui prenaient ce mal partaient d’une folie meurtrière et déperissaient rapidement.
Il y avait bien longtemps que le Conseil des Erudits tentait de maintenir le calme et une paix relative, mais les communications avec les trois royaumes elfes étaient rompues et les Sages elfes ne pouvaient plus les aider. Bien sûr, les Erudits avaient conservé toutes les informations possibles sur la Guerre et sur les Démons ; ils surveillaient attentivement les fluctuations de la magie, et ils se doutaient bien que tout ceci avait un lien avec sa presque disparition. Ils savaient ce qui ce passerait quand toute la magie serait évaporée…
Mais de là à en arriver à une guerre contre les elfes… Le pire de ce qu’il pouvait leur arriver… Qu’allait devenir Eltinia si les alliées de toujours ne se soutenaient pas lorsque la Guerre reprendrait ?

Coucou,
J'ai tout lu. J’attends d'en savoir un peu plus pour juger le fond.

Deux trois choses qui m'ont dérangé dans ton dernier post.

Citation :

« Je suis venu avertir le peuple des humains, que son allié de longue date, le roi Aerishun, souverain des elfes, a décidé de déclarer la guerre.

Deja il faut fermer les guillemets.
Mais le véritable problème c'est que cette phrase n'est pas assez informative. Déclarer la guerre a qui ou a quoi? Sévéric n'a aucun moyen de le savoir.
Suite à cette déclaration, il ne devrait pas être abasourdit mais plutôt perplexe...comme dans l'attente d’un complément d’information.

Citation :

…des monstres étranges apparaissaient dans les endroits isolés, qui s’attaquaient aux voyageurs pour les massacrer,…

Attaquer ou massacrer je trouve que c'est un peu redondant. « Massacrant les voyageurs » allégerait ta phrase.

Citation :

…ceux qui prenaient ce mal partaient d’une folie meurtrière et mourraient rapidement.

Meurtrière et mourraient dérive de la même racine, les accoler dans la phrase crée un effet de répétition. Tu peux remplacer mourraient par dépérissaient ou quelque chose du genre.

J’attend la suite

Merci Alfred.
Oui, je suis d'accord, moi aussi j'ai eu du mal avec cette phrase et je me suis longuement demandé comment la tourner. Mais finalement, rajouter la précision "contre les humains" à la fin de la phrase m'a semblé vraiment trop lourd et redondant. D'une certaine façon, étant donné que:
- Pour ce qu'on en sait il n'y a que 2 races, les humains et les elfes dans ce monde
- On imagine difficilement pourquoi une elfe fuirait son pays pour annoncer aux humains que les elfes entraient en guerre entre eux
- On imagine pas trop les elfes se battre entre eux d'ailleurs
finalement ça semble assez logique du point de vue des protagonistes, que ce soit contre les humains que la guerre est déclarée.

Désolé mais je ne suis pas d'accord avec toi points pour points

Tu peut très bien dire: « Je suis venu avertir le peuple des humains, que son allié de longue date, le roi Aerishun, souverain des elfes, a décidé de lui déclarer la guerre.

Sinon c'est le début de ton histoire et toi tu sais qu'il n'y a que deux races mais pas moi. Donc de ce point de vu là ta phrase me géne. Elle présupose que j'ai des connaissance que je n'ai pas en faite.

Ensuite moi je suis fan de la litterature de l'imaginaire, j'attend que les gens me surprenne et je pense qu'il est tout à fait possible d'inventer une infinité de scénario mettant en scéne une elfe fuyant son pays pour annoncer une guerre entre les elfes.

Finallement pourquoi ne pourais-je pas imaginer des elfes se battrent entre eux? C'est toi qui est maitresse de ton histoire pour moi tes elfes sont originaux je ne m'attend pas à ce qu'il se comportent comme les Elfes du seigneur des anneaux. Ce serait caricatural.
En passant, dans le Silmarillons de Tolkien les Noldor qui sont les elfes artisan massacrent bien les Teleries qui sont les elfes marins pour leur voler leurs bateaux. Donc si même les elfes Tolkienien -La reference de l'elfeen héroic fantasy- se battent entre eux pourquoi pas les tiens.

Bon voila, juste pour dire que quand je commence un livre de fantasy, je fais le vide dans mon esprit tout ce que j'ai lu avant n'existe plus, et j'attend de l'auteur qu'il fasse l'effort de definir completement le monde et l'environement dans lesquels son histoire se deroule.

Bon courage quand même pour la suite

Ah oui tiens j'avais pas pensé à "lui". Chui nouille quand même. à force de faire des phrases alambiquées, je pense plus aux choses simples.
Pour ce qui est des guerres elfiques, tu as raison.
Pense tu que je devrais dévoiler tout mon monde dès le début? Moi j'aime bien le faire découvrir progressivement, en donnant les informations au moment adapté pour situer le cadre d'une scène.

Le cadre s'affirme de plus en plus, j'attends la suite rainette quand tu peux. J'ai remarqué qu'au point de vue des explications, tu nous renseignes bien pour le moment.

Les elfes c'est vrai que je les ai rarement vu se battre entre eux. Dans Tara duncan , ils sont impulsifs, en proie à devenir des guerriers à la seconde (d'ailleurs ça m'avait surprise lol). C'est vrai qu'on a souvent l'habitude de voir les elfes comme des créatures assez pacifiques, qui sont sages, qui s'emportent rarement du fait de leur longue espérance de vie.

Bonne continuation ^^

Justement, c'est bien de voir des elfes prêt à se foutre sur la gueule des fois hahaha

Sinon oui, on en a appris pas mal ce coup là - corruption du monde, dragon, démon, alliance des races etc. - en tout les cas j'attends la suite et s'entraperçoit déjà une quête périlleuse pour sauver le monde XD

Suite:

« Mon dieu…. Souffla t-il, réalisant la gravité de la situation. Nous nous attendions à beaucoup de choses, mais ça… Nous avons bien assez à faire avec ces démons, et nous comptions vraiment sur les elfes… Je ne comprends pas, implora t-il en regardant Aelysina d’un air complètement désemparé.
-Il n’y a rien à comprendre. Il ne s’agit pas de quelque chose de naturel, c’est pourquoi je suis venue voir les Erudits. Le peuple elfe ne veut pas la guerre. C’est Aerishun, le roi, qui a perdu la raison. Quelque chose s’est emparé de son esprit et le pousse à la destruction. Je pense que les Erudits savent ou ont les moyens de savoir ce qui se passe. Il faut absolument que vous m’aidiez avant que la guerre ne soit déclarée. »
Séveric était totalement désarmé. La poussée d’adrénaline de la peur lui avait provoqué des palpitations dans la poitrine et des tremblements dans les jambes. Bon sang, songea t-il, pourquoi faut-il que ça tombe sur moi, sur ma garde ?
« Combien de temps estimez-vous qu’il nous reste ?
-Je ne sais pas. Quelques semaines, tout au plus. Le roi pensait que le meilleur moment pour attaquer serait la fin de l’hiver, au moment où vos réserves sont au plus bas. »
Sans savoir pourquoi, cette nouvelle le déprima plus que tout.
« Je ne sais que faire. Il est impossible de prendre des décisions dans ces conditions, à cette heure-ci. Il s’agit d’une nouvelle qui doit être entendue par le Conseil au complet. Voilà ce que je vous propose : demain à l’aube, je convoquerai le Conseil. En attendant, prenez quelques heures de repos, je vois que vous en avez besoin, et il vous faudra toutes vos forces demain. »
La décision était sage, et Aelysina acquiesça, soulagée.
(j'en profite pour corriger un peu le début puisqu'il est maintenant définitivement établi que l'histoire se passe en plein hiver).

Pourquoi tu alternes guillemets et tirets? Ah si, c'est pour montrer où commence le dialogue hum.. sur le coup ça m'a surprise. Sinon hé bien j'attends toujours la suite

Citation :

Pense tu que je devrais dévoiler tout mon monde dès le début? Moi j'aime bien le faire découvrir progressivement, en donnant les informations au moment adapté pour situer le cadre d'une scène.

Non, je trouve ta manière de procéder parfaite.
En faite quand tu sais que tu à besoin d'introduire un certain nombre d'éléments dans une scène, essaie de glisser partiellement ces infos comme si de rien n'était dans les scènes précédentes.
Tu peux faire ça à rebours. Quand tu arrives à une scène ou tu dois exposer de nouvelles donnée du problème, tu relis ce que tu as écrit avant et tu essaie de trouver un endroit ou tu peux ajouter un indice préfigurant la nouvelle information que tu dois dévoiler. Je trouve que ça donne de la cohérence à un texte.

Exemple idiot,
Dans une scène le héros boit une bière dans une taverne.
Dans une scène ultérieure le héros se retrouve dans une situation ou il à absolument besoin d'utiliser une de ses mains très rapidement. Mais il échoue parce qu’il avait les mains dans les poches et une volumineuse bague à la main qui s'est accroché dans un pli de la poche.
Tu sais que tu dois faire intervenir la bague, donc tu reviens en arrière, tu trouve la scène de la bière, Et là tu glisse subtilement que la bague qu'il avait au doigt fit tinter le verre lorsqu'il s'en saisie. Du coup, tu rajoute un élément d'ambiance (le verre tinte) et tu facilite la scène « des mains dans les poches » parce que la bague n'est pas sortie de nulle part. Je sais pas si c’est très claire mais je pense que c’est un bon moyen d’introduire les éléments d’intrigues.

Oui ton exemple est clair, je vois ce que tu veux dire. Cela dit, c'est assez simple pour des éléments d'action, mais ce n'est pas si évident pour introduire la description du monde.
Tiens d'ailleurs tu vas peut être pouvoir m'aider: à un moment, Séveric va réaliser l'identité d'Aelysina en déchiffrant la signification de son tatouage (il est l'un des rares humains à pouvoir le faire) mais je ne sais pas quand le caser dans le récit. Aelysina veut garder secrète son identité le plus longtemps possible, mais de toute façon, il va falloir qu'elle la révèle pendant le Conseil (c'est à dire bientôt dans le texte) pour être prise au sérieux. Et je patauge toujours dans la semoule.

Il me semble que c'est plus lisible en isolant le texte avec une couleur différente, non? Pas une bonne idée ça?

*fait la fière*

Mon dieu…. Souffla t-il, réalisant la gravité de la situation. Nous nous attendions à beaucoup de choses, mais ça… Nous avons bien assez à faire avec ces démons, et nous comptions vraiment sur les elfes… Je ne comprends pas, implora t-il en regardant Aelysina d’un air complètement désemparé."

Mon dieu…, souffla t-il, réalisant la gravité de la situation. Nous nous attendions à beaucoup de choses, mais ça… Nous avons bien assez à faire avec ces démons, et nous comptions vraiment sur les elfes… Je ne comprends pas, implora-t-il ( implorer c'est faire une requête ce qui n'est pas adapté dans ce cas) en regardant Aelysina d’un air complètement désemparé.

Alternance guillemet et tirets et utilisée dans certains bouquin.

La poussée d’adrénaline de la peur lui avait provoqué des palpitations dans la poitrine et des tremblements dans les jambes. " mal dit. Je propose :
La peur lui avait provoqué une poussée d'adrénaline provoquant palpitations...

je convoquerais" convoquerai (futur pas de S)

Citation :

Il faut absolument que vous m’aidiez avant que la guerre ne se déclare. »

[avant que la guerre ne soit déclarée]

D'accord avec Evahé

Sinon, pour le rubis:
désolée d'intervenir encore, mais, c'est toi-même qui reprenais Hellwing...et, j'ai pris ma référence dans le dico, il va du rose au grenat, en passant par le rouge...
Ceci dit, le mot rubis est très joli, et, il est néanmoins tout à fait exact qu'il peur être "bordeau", tu fais donc bien de le garder, évidemment
Au plaisir de lire ta suite, rainette

correction de l'avant dernier extrait :

"Je ne comprends pas, implora t-il en regardant Aelysina d’un air complètement désemparé."

implorer c'est plus ou moins supplier, en l'occurance meme si la demmande d'explication est implicite je ne pense pas que tu puisse le dire. A la limite tu peux dire : "dit il en l'imporant du regard" genre il lui demmande de lui expliquer avec les yeux


la je ne suis ps sur :
"Le roi pensait que le meilleur moment pour attaquer serait la fin de l’hiver, au moment où vos réserves sont au plus bas." mais ne vaut il pas mieu soit mettre tout au present de vérité general soit tout a l'imparfait ? (je pencherais pour le présent)

dernier extrait :

voila, sinon pas grand chose a dire

sympa, rien trouvé a dire.

mais ralentis, t'es en train d'en perdre en route ^^

Je commençais à croire que t'étais le seul à me lire.
J'aime bien poster au fur et à mesure que j'écris... Comme je suis en vancances, je voulais en profiter pour m'avancer. Mais c'est pas grave, je vais écrire et attendre un peu pour poster.

J'ai rattrapé haha

On en apprend toujours plus c'est vraiment sympa, j'aimerais bien savoir comment on interprète les runes elfiques maintenant *_*

Pas grand chose à dire, toujours impatient d'en savoir plus sur l'histoire et sur l'univers, le double compte goutte me met l'eau à la bouche XD

rainette a écrit:

La terre rouge, sans un seul arbre ni même un brin d’herbe, s’étendait autour d’elle, plate et vide problème avec tes deux "et" et sans aucune trace de vie, aussi loin qu’elle puisse voir. Le ciel semblait sombre, d’un marron la première couleur "rouge" passait, mais là il te faut trouver un mot qui remplace le "marron", deux couleurs de suite, ça passe mal, ici en tout cas encore plus terne que les roches à ses pieds, comme masqué par un voile de fumée sale ; aucune source de lumière n’était visible, ni soleil ni étoiles ni quoi que ce soit qui y ressemble pour donner une idée de ce paysage dévasté, tu utilises à deux reprises des procédés tels que "aussi loin que[...]" puis "aucune source de lumière [...]ni quoique ce soit qui y ressemble". A mon humble avis, c'est un peu trop insister et compter sur ces méthodes "faciles" pour nous faire partager ta vision, ici. J'en attendrais un peu plus en tant que lecteur, là j'ai l'impression que tu me "balades" un peu ; aucun bruit audible, pas même un souffle de vent, pas un seul signe de vie ne relevait l’endroit relevait ? Le mot semble inadapté. Elle sentait qu’elle aurait pu marcher des heures, voire des jours entiers sans que le paysage ne se modifie, une terre vide et morte comme elle n’en n’avait jamais vu.
Soudain un instinct "un instinct" seul ne veut rien dire lui fit lever les yeux ; un mouvement dans le ciel attira son attention. Un animal étrange, comme un grand oiseau, planait dans le ciel en volutes gracieuses. trois phrases qui débutent par "un[...]", ça rend ton développement un peu monotone. Problème de temporalité également : "un instinct lui fit lever les yeux --> un mouvement attira son attention". "avait attiré" paraîytrait plus approprié. Elle n’en avait jamais vu, car il avait disparu depuis des milliers d’années. Pourtant elle le reconnut immédiatement.
Un dragon.
Un grand dragon rouge, aux écailles miroitantes, à l’envergure majestueuse une envergure majestueuse, c'est un raccourci un peu "facile" et pas très éloquent. Elle le regardait (?) sans pouvoir s’empêcher de l’admirer, tant il semblait incongru un dragon n'est pas "incongru". C'est sa présence qui l'est dans le paysage. Il tournait au-dessus d’elle lentement. Soudain, elle le vit baisser la tête vers elle. Il la regarda dans les yeux pendant quelques instants il n'est pas un peu loin pour la regarder dans yeux ? ; une étrange sensation s’empara d’elle. Elle n’entendait toujours aucun bruit, pourtant il lui semblait que le dragon l’appelait. « Viens… »
Aelysina se retourna dans son sommeil, les bras levés comme pour attraper quelque chose. Un caillou lui blessa le dos et elle se réveilla brutalement. Elle ouvrit les yeux et pendant quelques secondes elle ne sut pas où elle était, puis elle reconnu les arbres autour d’elle et comprit qu’elle avait encore rêvé. passage un peu trop fourni en "elle". Simplifie, ou détournes la chose...Elle s’étira et se leva rapidement, frottant machinalement l’endroit que le caillou avait meurtri. C’était l’aube à peine pas très joli ; un faible filet de lumière commençait à percer les frondaisons de la forêt, et les oiseaux ne chantaient pas encore. L’air était glacial et l’herbe blanche de gelée de givre, peut-être ? De la gelée sur l'herbe, c'est plutôt étrange , mais son feu magique brûlait toujours et dispensait une chaleur égale . Elle se sentait épuisée, mais d’après ses calculs, en forçant un peu l’allure elle arriverait à Hargath dans la nuit. La fatigue la fit réfléchir un instant mais sa décision fut vite prise ; le temps était compté.
Elle rassembla rapidement ses affaires, se remit en selle et reprist sa route.

problèmes de structures avec ces assertions en "mais". Le propos paraît un peu lourd, pourtant ce que tu as à raconter ne l'est pas.
Elle avança toute la journée, poussant son cheval lorsqu’il essayait de s’arrêter pour se reposer. Elle ne fit même pas de pause à midi, se contentant de grignoter un morceau de pain et une pomme sans descendre de sa selle. La forêt fit place transition un peu brutale aux champs entrecoupés de congères de neige, puis des villages apparurent, et laissèrent à leur tour place à la ville, tandis que le soleil redescendait et disparaissait.
La nuit tomba doucement pendant que la ville défilait défilait, ça accélère ce mouvement, et comme tu veux donner une impression de lenteur, de fatigue, je penses que tu expédies ça un peu vite . La pauvre monture épuisée ne pouvait plus porter sa cavalière, et Aelysina titubait de fatigue et de froid à son côté, se retenant à ses flancs quand elle manquait tomber. Les étoiles brillaient hautes dans le ciel depuis longtemps, lorsque qu’elle vit enfin le bâtiment qu’elle cherchait.

Pas mal. Problèmes de structure par endroits, mais tu t'en tires plutôt bien...

A bientôt !