Ceux du mercure

Chapitre 1 - deuxième partie

Il laissa à sa droite l’immense atelier où s’agitaient mécaniciens et ingénieurs et les hangars et garages, => trois "et" à la suite, il faudrait déjà une virgule après "ingénieurs" je pense, et surtout remplacer le second par un "ainsi que" par exemple

pour se diriger vers l’une des deux tours, celle du Randolph. => la tour porte le nom d'un dirigeable ? Est-ce à dire que les tours ne servent/n'abritent qu'un seul dirigeable ? j'avais cru comprendre avant qu'il y en avait plusieurs pour chacune.

Il est tranquille, cela nous change, => il manque le tiret de dialogue

Je ne sais pas si, comme les noms de bateau, celui de tes dirigeables devrait être en italique, mais je trouve personnellement que ça serait plus joli ^^

Robe à tournure gris perle, décorée quelques dentelles blanches => il manque un mot je crois : "décorée de quelques"

cheveux sévèrement noués en chignons => chignon

D’un autre côté, ne vous en prenez qu’à vous-même, vous avez laissé le soin à un androïde de choisir ses vêtements… => Elle a beau jeu de dire ça, c'est elle qui l'a proposé quand même ! ^^

Sérieusement, vous pensez réellement que ce pantalon mandarine à rayures noires suit avec cette redingote bleu nuit et votre casquette en velours rouge ? => je trouve que le "sérieusement" du début ne cadre pas avec la tournure du reste de la phrase ; ça fait trop "moderne" à mon goût
D'ailleurs, j'ai aussi un doute : "suit", c'est pas un gros anclicisme pour "to suit" ?

Cela ne te regarde pas ! => manque le tiret de dialogue

Je découvre donc le fameux oncle, encore plus loufoque que ce que laissait entrevoir la petite introduction ! La soirée promet, en effet
Et ce pauvre Honoré n'est guère aidé, d'ailleurs. On retrouve dans le soin porté à son habillement le petit côté pointilleux des militaires, attentifs à une tenue impeccable. Artémise est discrète, mais on sent déjà son importance, et peut-être une certaine influence, sur les autres.
J'ai beaucoup aimé par contre ton souci des mœurs victoriens, très pudibonds, et l'importance logique qu'y accordent (certains ^^) personnages.
Les dirigeables (très steampunk comme ambiance) sont vraiment intéressants (j'ai lu dans les premiers commentaires que c'était comme résidence qu'ils étaient utilisés, je t'avoue que je ne l'avais pas vraiment compris au début, je pensais que c'était juste un moyen de transport) et l'androïde également. Ça c'est vraiment innovant je trouve.

Bref, un passage très agréable à lire, léger, humoristique, pour apprendre à connaître petit à petit les personnages et la société. Je continuerais évidemment avec grand plaisir, alors à bientôt pour la fin du chapitre 1

merci encore pour ta lecture et tes corrections.
Je pense que tu ne seras pas déçu de voir Honoré en action

Avec un peu de retard, me voilà pour la suite !

Chapitre 1 - dernière partie

beaux messieurs en habit de soirée, élégantes dames aux toilettes froufroutantes => la virgule au milieu me laissait penser qu'il y aurait au moins un élément de plus à l'énumération, et le point m'a prise par surprise, aussi je te propose de mettre un "et" entre plutôt

Sa tenue extravagante lui valut quelques regards curieux et, comme Honoré l’avait prévu, il fit fuir quelques enfants. => petite répétition de "quelques". "lui valut des regards curieux" ?

et faisant bruisser les innombrables plans de la robe de satin magenta => innombrables pans, non ?

- Je suis désolé d’avoir du vous délaisser mesdames ! => d'avoir dû

Ce cher Honoré est un familier de mon cercle de d’amatrices de belles lettres => d'amatrices ("de" en trop)

Honoré attrapa son oncle et poussa Ripley vers de la salle => vers la salle

là où l’un des véhicules de la caserne sud devait vernir les récupérer => devait venir

Je pense qui ni les acteurs, ni les spectateurs n’ont apprécié vos éclats de rire. => que ni les acteurs

Ah ! Un ami austrénien m’a fait parvenir une pièce : « Le Roi en jaune » => Excellent

Vois-tu, ma douce, à chaque fois que m’assois pour commencer cette pièce => que je m'assois


Encore un excellent moment que cette fin de chapitre. J'ai beaucoup aimé le début, et toujours cette ambiance légère, pleine d'un humour ravageur. Ça me rappelle un peu Eddings dans la façon de traiter les personnages à ce sujet.
Je n'imaginais pas Honoré en Don Juan ceci dit ^^ D'autant plus qu'il a l'air de choisir plus sur le physique que sur l'intellect, mais après tout, il fait ce qu'il veut !
L'ambiance d'époque est très bien rendue aussi, je m'y crois tout à fait.
J'ai juste un peu de mal à comprendre comment Ripley peut trimballer des armes : elle a un genre de compartiment ?
La référence au Roi en Jaune était tout simplement génial, notamment le "il vous chamboule l'esprit" ^^ Et puis un bon petit cliffhanger de fin de chapitre, qui introduit un nouvel élément de l'intrigue ce me semble : les Abominations ne seront donc pas les seuls ennemis dirait-on...
J'espère revenir lire la suite un peu plus tôt tout de même !

Ravie que la lecture t'ait plu et encore merci pour les corrections

Chapitre 2 - première partie

Il contourna bureau pour se planter devant Honoré => son bureau

Comme beaucoup de policier => policiers

le chef de la police maugréa quelque chose. => manque une majuscule au début

J’apprécierais donc savoir ce que j’ai pu commettre qui me vaille ce traitement ! => J'apprécierais dont de savoir

mais j’aimerais savoir pourquoi vous m’avez amené ici. répondit le jeune homme => virgule au lieu du point avant l'incise

et il éprouvait une violence envie de jeter une grenade à la figure de Larcher. => une violente envie

et qu’une Ombre en sorte pour mettre en pièce ce sinistre individu. => je crois que c'est "en pièces"

et je compte bien le prouver ! et… => majuscule au dernier "et"

entra calmement dans la pièce et referma derrière lui. => il manque "et referma la porte", non ?

Une imperceptible expression de dégoût, mêlé d'impatience, => mêlée

en réalité à masquer le manque de preuve => j'aurais mis "preuve" au pluriel


Un nouveau passage bien sympathique (mais je vais me répéter à force de dire ça ^^) Introduction de nouveaux personnages, le chef de la police, évidemment antipathique. Même l'histoire de sa mésaventure conjugale n'aide pas à l'adoucir (faut dire, la maîtresse n'aide pas comme concept...), on sent clairement que Honoré est plus agréable malgré son "léger" défaut ^^ Je me demande, ceci dit, comment il a fait pour réunir la femme et la maitresse... normalement, elles ne devraient pas s'entendre ^^ Mais on s'en fiche, note bien, l'anecdote est sympa à elle toute seule (surtout la précision : véranda et pantalon ! s'il vous plait, la bienséance avant tout !)
Simonet est très intéressant lui aussi, en tant que supérieur bouru, assuré, mais néanmoins capable d'un peu d'humour et attentif au sort de ses troupes. Honoré fait davantage figure de petit garçon polisson dans ce passage, peut-être parce que finalement, ce n'est pas lui le plus important dans ce passage, et qu'on commence à le percevoir selon d'autres points de vue. Son caractère attachant se confirme néanmoins.
Au niveau de l'histoire, évidemment que la mention des produits composant les explosifs attire l'attention : est-ce vraiment quelqu'un (ou plusieurs) des brigades qui a monté ça ; est-ce quelqu'un d'extérieur qui aurait pu en voler ? Ils n'ont pas trop l'air de penser à cette solution, d'ailleurs, j'imagine que c'est parce que ces produits sont hautement gardés/protégés, vu leur dangerosité. Mais ils doivent bien se fournir quelque part, donc peut-être faudrait-il voir du côté du fournisseur, également...
Bref, un joli mystère qui s'épaissit.
A bientôt pour la suite

Merci pour tes commentaires, et ravie qu'Honoré te plaise. Oui, tu as bien cerné le personnage, il a un côté très sérieux, c'est un capitaine très compétent, mais il a un léger faible pour la gent féminine.

Ayant fini mon travail du matin plus tôt que prévu, je peux enfin venir lire la suite, youhou !

Chapitre 2 - deuxième partie

Bah je n'ai rien trouvé à redire, cette fois-ci.
On met donc l'enquête en place, à commencer par vérifier que l'autre saleté a bien dit la vérité. Je suis à peu près convaincue que oui, mais va savoir pourquoi, je sens aussi qu'il y aura un élément un peu différent de ce qu'utilisent d'habitude les mercuriens (mais du genre par voyant, du genre qui nécessite que deux grands savants s'y mettent pour trouver ça)
Sinon ce petit passage est vu selon Artémise, et c'est agréable de la découvrir à son tour. On sentait déjà qu'elle avait dû afronter quelques situations compliquées par rapport à son intégration, mais c'est intéressant d'avoir un peu plus de détails.
Sa relation avec Maximilien est touchante, mais je trouve peut-être un poil excessif le "ma douce" de ce dernier à Artémise, c'est plus une expression que j'envisage entre deux amants, personnellement.
En revanche, comme on s'en doutait un peu avec tes indices, Artémise a donc une certaine attirance envers Honoré, et je pense qu'il ne dirait pas non lui non plus, mais jusqu'à quel degré d'engagement...
Ah oui, et j'aime bien le petit détail de la réserve, en fin de passage : vrai mystère pour la suite, ou simple lubie ? C'est ça qui est intéressant aussi avec Maximilien, c'est qu'on ne sait pas s'il s'agit juste d'une petite "folie" ou si c'est sérieux. J'imagine que ça doit être sympa de jouer avec ça, de temps en temps

Chapitre 2 - troisième partie

Mais intervention, l’araignée ne resterait qu’un simple automate. => Mais sans intervention, j'imagine

Court passage, mais néanmoins très instructif du côté de Maximilien. Tout d'abord l'exposition de son passé, évidemment. Ce n'est donc pas un homme simplement excentrique, mais un mécanisme d'auto-défense. J'ai beaucoup aimé la manière dont tu l'as présenté, cette béquille pour ne pas s'écrouler.
L'araignée mécanique ensuite (beuuuh, sales bêtes !) : donc Maximilien au moins (mais je me doute qu'il doit y en avoir d'autres, Léandre sans doute) peut jouer avec la réalité, et la modifier. En faisant attention, parce que j'imagine que ce genre de choses peut attirer des Abominations, ou provoquer des catastrophes à plus ou moins grande échelle selon les perturbations causées.
Très intéressant mécanisme, en tout cas, composé avec de la chair d'Amorphe (pas les plus dangereux, sans doute ? ^^) Ça m'étonne presque qu'on le laisse jouer avec ça (ou qu'il reste des bouts d'Abominations à la fin de l'extermination ?...), mais je pense qu'il devait s'agir de bouts réservés aux expériences, mais qui ont fini comme ça ^^
Un univers qui se dévoile de plus en plus comme très intéressant donc. Je reviendrais avec plaisir pour la suite

Merci pour tes commentaires

Chapitre 2 - dernière partie

- Vous croyiez peut-être que votre petit lieu de rendez-vous m’était inconnu ? demanda-t-il suavement. => petit détail que je ne comprends pas : si Honoré aime bien les surprendre, son manège s'est donc produit plusieurs fois (et je pense avec des éléments différents). Le mot n'est pas passé qu'il connaissait le coin ?

- Et bien voilà ! => Eh bien

Honoré frappa joyeusement dans ses mains => Comme il fait avec la bouteille en plus ?

Adelaïde Boulanger vint le voir tandis que lui Hippolyte Berland entraînaient les nouvelles recrues => que lui et Hippolyte

Encore trois tours du gymnase, puis des séries de pompes, ordonna Honoré. => manque le tiret au début

e petit Rocheclaire. => Le

c’est pas le genre de coin où tu aimes traîner, en temps normal, => C'est / j'enlèverais la virgule

alors que Kerys avait été épargnée jusque 1850 => jusqu'en


Ma foi, encore un passage intéressant en ce qui concerne les relations d'Honoré avec ses subordonnés. Chef, mais aussi taquin, il a décidément un caractère agréable à suivre. Et un sacré sens de la répartie ^^
Les soupçons sur un mercurien seraient finalement fondés, même si ça reste encore à vérifier. Ceci dit, il ne devait pas être trop attaché aux brigades, alors dans un sens, peut-on le considérer comme un mercurien ?... A moins qu'il n'ait été enlevé, pour lui faire porter le chapeau et cacher une autre piste.
Hmm...
A voir la suite !

Chapitre 3 - première partie

Ces yeux-la avaient vu qu’un être humain n’était pas censé contempler => Ces yeux-là / ce qu'un être

ses trois musiciens, et assistants => enlève la virgule

Mademoiselle Rubis et ses musiciens, en scène dans trois minutes, ordonna le gérant du cabaret. => manque le tiret de dialogue

- Fort heureusement pour le groupe, Honoré fut coupé dans sa réponse par un homme s’avançant sur la scène. => tiret de début en trop

Vous souhaitez que votre vie ait un sens, admirez-donc la donzelle => manque le tiret

- Le jeune homme ne pouvait qu’être d’accord. => tiret en trop


C'est amusant, mais pourquoi je m'attendais à une telle réaction de sa part ? ^^
Un nouveau personnage intéressant apparaît. Si jamais ça clashe un jour avec Artémise... Ouuuuh, l'explosion du palais ne sera rien à côté !
Erika a l'air bien intéressante en tout cas, que ce soit sa couverture ou son rôle véritable. Quant à Alexandre, le mystère s'épaissit quant au pourquoi de son acte. Il semble donc que des (ou un) monstres soient impliqués, mais ça paraît étonnant sans faille ni autres manifestations. J'attends donc de voir la suite de l'enquête. D'ailleurs, Honoré joue bien plein de rôles en fait
Ah, et j'ai bien aimé aussi la répétition des trois conversations, amusant comme schéma.
A une prochaine fois, alors !

Citation :

petit détail que je ne comprends pas : si Honoré aime bien les surprendre, son manège s'est donc produit plusieurs fois (et je pense avec des éléments différents). Le mot n'est pas passé qu'il connaissait le coin ?

Hum, en fait, dans mon esprit, il connait leurs planques, mais ferme les yeux tant que ça l'arrange.

Contente que tu aimes Erika. Tu vas voir lorsqu'elle rencontre Artémise, je pense que tu seras surprise.

Tu écris un peu plus haut "Honoré aimait bien les surprendre.", donc pour moi, il les surprend vraiment, comme ce qu'il fait avec ceux-là. Je pense du coup que c'est "surprendre" qui ne va pas, plutôt "surveiller", ou quelque chose qui sous entend qu'il voit sans se montrer.

Ah, eh bien je continuerai avec plaisir pour la surprise, alors

Chapitre 3 - deuxième partie

Aussi, elle s’avança vers les amorphes, => Amorphes

comme si l’œil humain ne pouvait voir les catégories une que par intermittence. => enlever le "une"

Pupilles totalement dilatées, gestes saccadés et incohérents, de la terreur cette fois. => j'aurais mis deux points avant "de la terreur"

Le Tentaculaire fonça sur elle avec un beuglement => tu me diras que je ne connais pas ces bestioles, mais "beuglement" est-il vraiment le terme le plus approprié pour décrire les sons qu'elle fait ?

L’androïde n’ignorait pas que le mercuriens avait pris l’habitude => mercurien

- Analyser, vous n’avez pas été capable de faire => de le faire


Un excellent passage, plein d'action et toujours avec cette dose d'humour, même si le personnage focus n'en a pas ! (quel exploit )
Intéressant à la fois de découvrir un peu mieux Ripley et l'univers des mercuriens. La Bête de la Nuit m'a fait penser aux chiens de Tindalos, dans sa description, mais j'imagine que c'est fait exprès.
Je me suis par contre demandé si les Ensableurs ne pouvaient pas intervenir sur une faille non stabilisée. C'est à cause des Abominations qui peuvent en sortir ? Et d'ailleurs, elles ne le peuvent plus lorsque la faille est stable ?
Je me suis également demandé pourquoi ils n'ont pas appelé les Ensableurs dès le début : il leur fallait le temps de s'équiper, ils ne sont pas dans la même caserne... ? Parce que vu les dégâts que ça peut causer, j'aurais pensé qu'ils voudraient la sceller le plus vite possible.
Pour le professeur, finalement, je me suis trompée sur le pourquoi de sa jauge, mais je trouve ça bien plus intéressant. De même que la loyauté de Ripley à son égard.

Chapitre 3 - dernière partie

Honoré scruta leurs visages, cherchant des traces de mensonges. => de mensonge

Ses cheveux blonds étaient ébouriffés, son visage était sale, son regard fiévreux => j'enlèverais le second "était"

le corps animé de spasme incontrôlable. => spasmes incontrôlables

Le souffle coupé, celui se retourna en se baissa => "et se baissa" ou "en se baissant"

évitant un direct la mâchoire => à la mâchoire

Qu’est-ce qu’on fait de lui ? lui demanda Charles en s’approchant. => manque le tiret au début

Honoré ouvrit difficile les paupières. => difficilement (et du coup, petite répétition de sens avec "Il se redressa avec difficulté" juste après)

ses cheveux brun coupé court => bruns coupés court

Résultat, son suspect se trouver dans la nature => se trouvait

mais connaissait les victoriens, il s’agissait de la suite logique des événements. => connaissant


Eh bien, une jolie conclusion pour ce chapitre ^^ Le "il ne résista pas", j'ai mis un petit moment à comprendre qu'il ne résistait pas quand on l'emmène, je pensais qu'il allait remettre un dernier coup de poing à quelqu'un (Larcher ?), vu que de toute façon, ça n'allait pas être pire...
A part ça, eh bien, Erika est une bonne combattante au corps à corps, dis-donc ! Certes, elle a été aidé par certains petits détails, mais elle n'a pas usurpé sa place.
Un second passage d'action, tout aussi plaisant, qui me fait attendre la suite avec impatience (demain, sans doute )

Citation :

Je me suis par contre demandé si les Ensableurs ne pouvaient pas intervenir sur une faille non stabilisée. C'est à cause des Abominations qui peuvent en sortir ? Et d'ailleurs, elles ne le peuvent plus lorsque la faille est stable ?
Je me suis également demandé pourquoi ils n'ont pas appelé les Ensableurs dès le début : il leur fallait le temps de s'équiper, ils ne sont pas dans la même caserne... ? Parce que vu les dégâts que ça peut causer, j'aurais pensé qu'ils voudraient la sceller le plus vite possible

Oui, c'est ça les Ensableurs ne peuvent pas intervenir si la faille n'est pas stable (tenter de la contenir, alors qu'un truc peut en sortir pour te bouffer, c'est pas ce qu'on fait de mieux).
Les Ensableurs sont équipés d'armures très lourdes et d'un équipement pesant. il faut le temps qu'ils se mettent en route et arrivent sur les lieux.
Je pense que je vais devoir plus insister sur ce point pour que ce soit plus clair pour le lecteur.

Merci de ta lecture, en tout cas.

Chapitre 4 - première partie

Il pleuvait. Mais cela n’empêchait pas les lieutenants de faire courir les nouvelles recrues autour du gymnase qui occupait le centre de la cour de la caserne. => Plutôt qu'un "mais" en début juste après une phrase aussi courte, je suggère soit de mettre une virgule entre les deux, soit d'enlever le "mais" pour un "cependant" ou un "toutefois"

Tiens donc je pensais que c’était un monstre qui vous avait attaqué, => virgule après "tiens donc" ?

Le regard de lapin traqué d’Honoré lui adressa => qu'Honoré

ça fait mal ! => Ça (alt+0128)


C'est tellement mignon ^^ Un vrai couple, y a pas à dire
Délicieusement drôle comme passage, mais comme à chaque fois. J'aime vraiment beaucoup le ton de ce roman, il est extrêmement agréable à suivre.
Rien de particulier à redire sur cet extrait, je me suis juste régalée à suivre leurs échanges, d'autant plus intéressants après l'intervention de Simonet. Je remarque tout de même qu'Honoré est sorti facilement de prison (la fameuse cellule de dégrisement juste pour la nuit ? ^^), comme quoi, Larcher ne lui en veut pas tant que ça ! (ou pas...)
Bref, je reviendrais demain pour voir comment les brigades vont réagir maintenant qu'ils savent plus ou moins où (du moins, avec qui) se trouve leur principal suspect. Demain du coup, j'ai hélas des choses à faire aujourd'hui pour pouvoir lire un extrait de plus :(

Encore merci de ta lecture
Honoré et Artémise... J'adore écrire les scènes où ils se chamaillent, c'est tellement drôle.

Chapitre 4 - deuxième partie

Racontez-vous plutôt ce qui s’est passé exactement hier soir => Racontez-moi

Certains titres sont assez virulents, certains cercles de pensée également. Certaines « discussions » ont dégénéré en bagarre. => autant la répétition des deux premiers "certains" me va, autant le troisième fait un peu trop. "Des discussions" ?

que vous désirez mettre la main sur ce groupe d’austrénien => austréniens

Chapitre 4 - troisième partie

allant s’appuyer contre le rebord de fenêtre. => de la fenêtre

Ils avaient convenu de parler uniquement en kerysien tant qu’ils demeureraient à Sainte Victoire => elle vient juste de mumurer en austrénien à Dorner... bon, ça ne risquait pas de s'entendre, mais peut-être faudrait-il nuancer un poil ici, dire qu'elle se rend bien compte qu'elle même vient tout juste "d'enfreindre" cette règle

Les trois hommes avaient jouer aux durs et lui trouver des petits noms => avaient joué et lui avaient trouvé

Érika Zhaan => Mwarf ^^ Belle référence détournée, je n'y avais pas pensé, même avec le violon...

Moi je resterais avec le mécanicien => resterai, non ?


Bon, l'intrigue avance un peu avec ces passages. La rivalité des brigades et de la police va peut-être jouer en la faveur d'Erika (mais en la faveur des gens ? pas dit...) s'ils arrivent à s'échapper comme prévu. Pourtant, je fais relativement confiance aux talents de celles et ceux qu'Honoré ne manquera pas de recruter pour au moins retrouver une trace.
Concernant ce qui a mis Dorner dans cet été, sincèrement, je crois que j'aurais un peu la trouille vu ce qu'il raconte ^^ Ça n'a pas l'air joli-joli...
Intéressantes également les informations sur Erika. Sa formation, son passé et ses talents (je pense deviner en gros à quoi ils servent du coup, "évidemment" me diras-tu ^^) En tout cas, j'ai vraiment aimé la référence que tu en as faite, elle est très chouette, et en plus seras récurrente, contrairement pour l'instant aux petites "blagues" comme le Roi en Jaune, etc. (bon, y a les Abominations, certes...)
Hmm, voilà voilà, à demain donc

Ah Erika Zhaan et son violon... Tu vas aimer je pense

Désolée de ne pas avoir pu passer hier, mais je vais tenter de me rattraper ^^

Chapitre 4 - dernière partie

à la végétation fournie, grâce au climat humide de Sainte Victoire => j'enlèverais la virgule ici

quand la caserne sud était le palais d’un duc passionné de botaniques. => botanique

il dévorait le terrain en longues foulées souples => j'aurais mis "à longues foulées"

Éléonore Monsont se trouvait juste derrière lui. => étant donné que toute la phrase avant parle de Ripley, je serais d'avis de remettre explicitement qui est le "lui" (même si c'est parfaitement compréhensible)

Honoré perçut un éclair fugitif de honte sur le visage… => sur leur visage ?

Une mission, comme celle de l’autre fois ? s’enquit Clarisse Royer. => manque le tiret de dialogue

- Quoi donc, capitaine ? s’enquit … => oh, joli nom pour une recrue, ça

En conséquence, je me dois de me documenter sur la manière correcte d’entraîner des forces armées en vue d’un péril majeur.
C’est bien, je suis fier de toi, ma petite ! s’exclama le scientifique. => manque les tirets sur ces deux répliques

Elle ne comprenait pas toujours tout et réfléchissait différemment des humains. Mais à la différence des autres androïdes => j'aurais plutôt mis une virgule avant le "mais"

Il n’ignorait pas non qu’elle ne remplacerait jamais sa petite Elena. => Il n'ignorait pas non plus

L’alarme de la caserne, annonça Ripley en s’approchant de la baie vitrée. => manque le tiret de dialogue


Sympa la petite scène d'entraînement, ça me rappelle les cours de sport du collège mais en plus intense ^^ J'aime bien encore une fois la psychologie d'Honoré vis-à-vis de ses hommes ; on s'en qu'il les aime et veut en prendre soin, même si son attitude peut paraître un peu désinvolte ou "méchantes", c'est vraiment pour leur bien futur. Il est certes jeune, mais on sent qu'il a déjà bien vécu et qu'il sait parfaitement ce qu'il faut faire pour les faire survivre à ces épreuves.
La répétition du passage où il surprend ses troupes était pas mal aussi, et ce dont eux, comme je m'en doutais, qui vont aller enquêter sur Erika. Je gage qu'ils ne seront pas déçus s'ils la trouvent !
Et bien sûr, les informations sur la conception de Ripley sont également intéressantes, surtout quand on réalise qu'elle est finalement unique. A la fois intéressant sur elle, donc, mais aussi sur Maximilien et sa personalité.

Chapitre 5 - première partie

- En position, tout le monde ! rugit-il en se ruant dans la cour. => je pensais qu'il y était déjà dans la cour

Les mercuriens présents commencèrent à arroser de balles les monstruosités => j'imagine que tu veux dire les mercuriens qui viennent d'arriver ? Parce qu'il faudrait éclaircir ce point

les troupes virent rapidement à bout des deux classes une => vinrent

précisa La Gâchette, si vous souhaitez manier ce joujou => je mettrais un point après l'incise

Léo se trouvait déjà à proximité de déchirure => de la déchirure

Elle leva vers Honoré des doigts décharnées gantées d’une matière noire => décharnés gantés

En boitant, il recula et évitant la charge d’un Pantin. => évita

qui réduisirent deux Amorphes à l’état de bouilli => bouillie

Le capitaine était demeurait figé => était demeuré


Wou, belle scène d'action ! Je me suis régalée. J'ai surtout retenue le bel échange entre le Masque et Honoré, la réplique de ce dernier étant digne d'un film d'action ^^
Passage très intense, et très bien mené. On sent vraiment la tension monter, ainsi que l'intensité du combat et sa férocité. On comprend tout à fait pourquoi ils ont un armement comme ça ! Et quelque part, ce fut une chance que la brèche s'ouvre dans la caserne, non ? Sinon, les troupes auraient pu ne pas arriver assez vite, ou en trop petit nombre... et adios la population du coin.
Par contre, je me suis demandée si la caserne avait été protégée depuis la dernière faille par la chance, ou s'ils avaient des moyens pour la rendre moins vulnérables aux ouvertures de failles ?
A part ça donc, très bon passage, merci pour cette lecture du matin !

Merci pour la lecture et les corrections.

Pour répondre à ta question, non, les humains n'ont aucun moyen de savoir où et quand vont s'ouvrir les failles, même s'ils vont découvrir plus tard que l'ouverture n'est pas entière due au hasard, mais je ne peux pas en révéler plus sans spoiler

Chapitre 5 - deuxième partie

Elle avait beau avoir isolé le patient ses cris se répercutaient le long des murs blancs de l’infirmerie => j'aurais mis une virgule après "le patient"
Par contre, j'ai un peu de mal à comprendre comment elle l'a isolé, si ensuite elle met un paravant. Je le pensais dans une pièce à part, mais il serait juste un peu plus loin, tout seul das son coin, dans la même pièce que les autres ?

- ’ai déjà effectué cette opération des centaines de fois => J'ai déjà

On continue donc dans le dramatique, très bien géré ici. On a beau ne pas connaître ce caporal, difficile de ne pas compatir à son état. Outre évidemment l'horreur et les quelques problèmes générés par de la chair voyageant entre deux dimensions, y a-t-il un réel risque à cause de ces infections ? Je veux dire, est-ce que ça risquerait de ne jamais revenir au bout d'un moment, de s'étendre au reste du corps, etc. ? Parce que là, certes, je me dis que ça doit atrocement douloureux vu ses réactions et terrorisant, mais je n'ai pas l'impression que ça soit vraiment dangereux.
Intéressant le coup du sarcophage. Du coup, le métal fait corps et remplace la chair qui a été infectée ? Comme ça plus rien ne voyage ?
Je note également qu'Honoré a été infecté. Pour l'instant, on en a pas vraiment eu d'aperçu si je me souviens bien, donc je me demande comment ça été résolu, si c'est le même type d'infection aussi. Maximilien, pour sa part, aurait déjà tenté cette fameuse expérience à Sabléglise (à moins que ce ne soit la peur et la culpabilité qui parlent), une sorte de lien pourrait se faire, même si j'ai plutôt l'impression que ça va bien au-delà cette fois. Ceci dit, c'est vrai que ça serait intéressant de savoir ce qui s'est réellement passé à Sabléglise.

Chapitre 5 - dernière partie

Ils connaissaient par cœur les boiseries sculptées et les tableaux au mur, gravés des noms des hommes et femmes valeureux tombés au combat pour protéger Sainte Victoire => on grave des noms sur les talbeaux ? Ce sont les boiseries dont tu parles, plutôt, non ? Je pense qu'il faudrait inverser dans ce cas.

Les pertes avaient été lourdes, quinze morts et vingt-sept blessés => deux points plutôt que la virgule

L’entrée de Lebrun, maire de Sainte Victoire et de Moret, => manque une virgule après "Sainte Victoire"

Messieurs, et mesdames => j'imagine que l'inversion est volontaire pour souligner le fait qu'il y ait peu de femmes, mais ça fait pas un peu machiste du coup ? ^^

Vous avez carte blanche, mais veillez à ce que l’affaire garde des proportions gérables => j'aurais mis des italiques ici

Le leurre produit l’effet escompté => produisit

Simonet prit congés de Larcher, => congé

en extraire de jus qui servirait de carburant pour les moteurs des machines. => en extrait le jus


Notre cher commissaire a bien le même humour que ses troupes, tiens ^^ Très bon échange avec le journaliste du Nouvel Individu (et je me doute qu'au vu du nom et du foulard rouge, c'est un Individualiste.) J'ai bien aimé le nom de l'autre journal aussi
L'ambiance redevient un peu plus légère petit à petit, ce qui ne fait pas de mal après tout. Intéressant la manière dont Simonet "tient" les journalistes, et j'ai envie de dire, à peu près tout dans la ville. Effectivement, il a une sacré famille ! Heureusement que ce n'est pas un mauvais bougre, dans l'ensemble. D'aucuns diraient quand même que ce n'est pas du plus démocratique, mais je ne crois pas qu'on ait jamais dit que Sainte Victoire était une démocratie, si ? ^^
Et puis bien sûr le petit passage de fin de chapitre pour relancer l'intérêt et l'action... pas à dire, tu sais y faire pour mener une histoire

Merci pour la lecture

Pour répondre à tes questions : les humains sont infectés par la proximité d'une faille et acquièrent la capacité de Modifier. mais s'ils le font trop, ils risquent de perdre certains parties de leurs corps. le sarcophage sert à les stabiliser. Dis-moi si ça te semblait clair à la lecture, ou s'il faut que j'insiste plus.

Le récit de Sabléglise viendra, un peu de patience

Citation :

Heureusement que ce n'est pas un mauvais bougre, dans l'ensemble

Je me suis fait exactement la même réflexion en écrivant ce passage. heureusement qu'il est de leur côté. Remarque, sinon,il ferait un très bon antagoniste.

Hmm, va falloir que tu insistes je crois ^^
Je n'avais pas compris que c'était les failles qui leur donnaient le don de Modifier, je pensais que c'était un don relativement répandu dans la population. Donc en fait, n'importe qui ne peut pas faire partie des brigades (puisque des armes parmi les plus puissantes nécessitent de Modifier, autant pouvoir s'en servir si besoin est) ?

Je pense aussi que lorsque tu parles des parties du corps qui "naviguent" entre les dimensions, tu pourrais ajouter qu'elles risquent de se perdre. Là, oui, je comprendrais tout à fait. Que le sarcophage stabilise, ça, c'est bon.
Par contre, je pensais que le caporal avait été infecté lors du combat, par un Amorphe ou une autre Abomination, pas à cause de l'utilisation de la Modification.

Ok, tu confirmes mon impression, il faut que j'insiste plus. Je prends en note les remarques et j'intégrerai tout ça à la réécriture.

Je viens de penser à quelque chose au fait : lorsqu'on rencontre Erika, elle a recueilli Dorner. Et même si on ne sait pas depuis combien de temps (il me semble), ses aides ont quand même déjà eu le temps de sortir, et d'attendre de voir s'il disait quelque chose de cohérent.
Pourquoi alors, entre temps, ne lui ont-ils pas donné des vêtements moins voyants que l'uniforme mercurien ? Ça aurait évité le problème avec Honoré notamment ^^