Ceux du mercure

EDIT : Suppression pour envoi à des maisons d'édition

Chouette, la suite , après avoir travaillé sur mon texte ce soir, je me mets sur le tien.

Cette partie est un peu moins légère que les précédentes, juste quelques petites touches d’humour bienvenues (« vieux troll » ), mais c’est une partie qui se prête moins à la distraction, donc c’est cohérent avec l’histoire.

Je comprends mieux à présent pourquoi ils vivent dans des dirigeables, merci pour l’explication.

La partie sur le passé d’Artémise est intéressante aussi et permet de mieux appréhender le personnage.

Une petite chose qui m’a manqué dans la dernière partie, c’est Ripley : tu écris qu’elle suit les deux savants, mais quand Artémise les rejoint, elle n’est plus mentionnée, or je suppose qu’elle est partie avec eux les surveiller ? Peut-être au moins le mentionner en une phrase juste pour confirmer qu’elle est là ?

Bien évidemment, j’ai hâte de lire la suite.

Sinon voici ce que j’ai relevé :

Citation :

Il contenait des gravas, des morceaux de bois calcinés et de métal fondu par la chaleur.

« des gravats »

Citation :

Artémise s’en voulut d’avoir laisser filtrer son trouble et surtout d’avoir permis à Honoré de le remarquer.

« d’avoir laissé filtrer »

Citation :

Vous regretterez de ne pas avoir été bouffé par un Amorphe ! », ce n’était pas particulièrement sympathique.

« bouffés » (car je suppose qu’il s’agit d’Honoré et de ses « vermisseaux » ?)

Citation :

Ripley leva les yeux de son livre, examina la scène et, jugeant que la situation ne requérait pas intervention, se replongea dans sa lecture.

Il me semble qu’il manque un mot « pas son intervention »

Citation :

Là où les autres élèves la rejetaient et où ses professeurs la toléraient, Maximilien l’avait accueillie à bras ouvert.

« à bras ouverts »

ah, effectivement, j'ai oublié de mentionner que Ripley se tient bien sagement dans un coin, je vais corriger ça (Mes personnages se mettent à bouger sans moi, c'est mauvais signe...)

J'ai pensé que finalement, elle était peut-être allée dévaliser l'armurerie pendant que les autres étaient occupés

D'avoir travaillé sur mon texte hier soir, puis lu le tien après, juste avant d'aller me coucher, je crois que dans mes rêves, cette nuit, j'ai fait un mix des deux...
Malheureusement, ce matin, au réveil, je ne me souviens plus des détails, dommage...

Les Abominations faisant alliance avec les Saigneurs des Ténèbres... Oui, je demande à voir

J'imagine surtout Ripley en train de dézinguer les Saigneurs des Ténèbres avec toutes les armes qui lui tombent sous la main

waaah waah waaaaah j'en veux encore! c'est totalement différent de la cité des brumes mais j'aime beaucoup le ton et l'humour de ce texte, tes perso sont tout à fait sympathiques, je veux la suiteuuuuuuu!
j'veux bien parrainer aussi moi ^^

Merci Rainette ! La suite arrive bientôt, promis (dés que j'aurais reconnecté mon cerveau malade pour faire les corrections)

EDIT : Suppression pour envoi à des maisons d'édition

Ouf, tu n’as pas posté un trop grand chapitre ce soir ^^, donc je peux le lire avant de me mettre au boulot sur mon texte (pas gagné pour faire le chapitre du jour, vu qu’il est déjà presque 22 h… mais je ne résiste pas à lire ton chapitre d’abord)

Bien qu’elle soit courte, je trouve que cette partie dévoile pas mal de choses, surtout sur le passé de Maximilien et l’éclaire d’un jour nouveau ; on se rend compte qu’il n’est pas seulement le savant fou qu’il semble être, mais qu’il cache au fond de lui des blessures qui ne sont pas cicatrisées.

J’avoue qu’il y a une partie où je n’ai pas trop compris ce que tu voulais dire et où je ne visualise pas ce que fait Maximilien pour mettre en route la machine :

Citation :

Il posa sur le sommet du corps et se concentra. Il Modifia légèrement l’objet, juste assez pour que la machine prenne vie et accomplisse ce pour quoi il l’avait créée.

Je suis plutôt surprise que Ripley n’ait pas tiré dès qu’elle a sorti le pistolet, ou qu’elle n’ait pas écrabouillé l’araignée, je trouve qu’elle a presque trop de retenue dans cette scène (bon, d’un autre côté, si elle tirait dessus, Artémise risquait d’être blessée…)

Pour finir, la seule correction que j’ai relevée :

Citation :

Ripley se dressa d’un bon et dégaina un pistolet d’un des pans de sa tenue.

« d’un bond »

Allez, fin de la récréation, je retourne bosser sur mon texte, et j’attends la suite du tien avec impatience.

En fait, Maximilien a la capacité de modifier la réalité (comme tout ceux infectés par une faille), mais je pense qu'il faut que je développe un peu plus le passage.

Ripley ne dégomme pas l'araignée parce qu'elle ne menace pas son créateur, du coup, elle l'ignore.

Elle l'ignore, mais je note quand même qu'elle a le réflexe de sortir un pistolet ^^

Je me doutais qu'il y avait quelque chose de particulier sur ce passage, je pense qu'effectivement un petit développement serait le bienvenu.

Bon allez, je vais retrouver Ranxor et ses petits camarades, sinon ils risquent de me taper dessus si je ne tiens pas l'objectif

Bonsoir,

Intéressant ! J'avoue avoir survolé les premiers textes et m'être davantage concentrée sur le dernier passage.

Citation :

Il posa sur le sommet du corps et se concentra.

Plus qu'Abi,j'ai du mal à comprendre ce que tu as voulu dire. Il ne manquerait pas un mot ?
Il posa quoi sur le sommet du corps ?

Citation :

juste assez pour que la machine prenne vie

Euh... y a pas un mécanisme pour lui donner vie ? Si il ne sert à rien, pourquoi le remonte-t-il 2 phrases plus tôt ?

Vais essayer de suivre Ceux du mercure. Ca à l'air pas mal du tout...

Voilà, j'ai modifié un peu la fin, en espérant que ce soit plus clair.

Le passage est bien plus clair, on comprend mieux sa façon de procéder, maintenant je visualise bien toute la scène, et on comprend mieux pourquoi Ripley n'a pas tiré.

Deux petites choses que j'ai relevées dans cette nouvelle partie :

Citation :

Mais intervention, l’araignée ne resterait qu’un simple automate.

Il doit manquer deux mots "Mais sans son intervention", non ?

Citation :

Elle n’avait pas bougée, il n’avait pas Modifié suffisamment de lois pour que cela lui cause du tort.

"Elle n'avait pas bougé"

Ok, ça me rassure que ça soit plus clair (repart corriger la suite et écrire un bout avant d'aller dormir)

Bon, j'ai pris du retard à cause de la prépa(et de problèmes perso, mais c'est pas le sujet), donc je commente tout le reste du chapitre 1, et demain, le chapitre 2 en entier! (oui, j'essayes de faire passer ça pour un grand évènement. ^^

Première lecture :

Bon, j'ai eu une impression très très bizarre en lisant le premier paragraphe, à cause des phrases très courtes. Si je devais l'expliquer, je dirais que je me suis senti comme un nageur qui doit remonter respirer toutes les 10 secondes, au bout d'un moment t'es super essoufflé. (Et là, c'était presque physique) Sinon, très bonne seconde partie de chapitre, amusante et attendrissante. J'avoue avoir été étonné de la connaissance de la mode d'Honoré, mais ça rajoute à l'étrangeté du personnage, et ça le rend encore plus intéressant.

J'ai rigolé en lisant le passage où il regarde l'heure sur l'horloge, parce que ça m'a rappelé un commentaire de ma prof de français sur Une Vie de Maupassant. ^^

La suite est vraiment brillante. Sincèrement, j'ai eu le sourire aux lèvres pendant toute la lecture, et les petits détails comme l'explication des connaissances en mode d'Honoré sont très bien placés. Et puis je dois bien avouer que tu décris de manière très vivante ton monde steampunk. Ce que j'ai lu pour l'instant, c'est du niveau professionnel. Si ça continue comme ça, pas de doute que tu le publieras.

Seconde lecture :
Bah j'ai rien à changer, c'est nickel comme ça.

Merci pour ta lecture, Hardkey !

Je reprendrais le début du 1er paragraphe pour le rendre plus fluide. Ravie que ça te plaise en tout cas

OUI !!! c'est mieux comme ça !

Dans l'attente de la suite !

IIIIIIIIIH! une araignée mécanique! quelle horrible bestiole.... mais c'est trop drôle ^^

Citation :

IIIIIIIIIH! une araignée mécanique! quelle horrible bestiole.... mais c'est trop drôle ^^

Quand j'ai écrit cette scène, j'ai pensé à toutes mes copines arachnophobes

EDIT : Suppression pour envoi à des maisons d'édition

Toujours aussi prise dedans, j’aime bien la façon dont l’enquête se mêle à l’histoire.

La scène dans le hangar fonctionne très bien, je n’aimerais pas goûter le liquide contenu dans la bouteille ^^

A part ça, pas vraiment d’autre commentaire, l’histoire continue de bien couler et j’ai hâte de découvrir la suite.

Sinon les petites choses que j’ai relevées :

Citation :

- Ah, mademoiselle Royer. Je vous que vous avez commencé les cours avec le docteur Bouquet.

« Je vois »

Citation :

Le capitaine tira une chaise et s’installa à la table. Il saisit la bouteille et un but une grande rasade à même le goulot.

« et en but »

Citation :

La réponse parvint à Honoré le lendemain dans l’après-midi. Adelaïde Boulanger vint le voir tandis que lui Hippolyte Berland entraînaient les nouvelles recrues.

Il doit manquer un mot « lui et Hippolyte »

Citation :

Il rassemblait surtout de jeunes gens, qui croyaient en la liberté et pensaient qu'il fallait remettre l'individu au centre du monde.

Il me semble que la virgule entre « gens » et « qui » coupe mal la phrase, ce serait plus fluide sans.

Citation :

- e petit Rocheclaire. Ça faisait longtemps, constata-t-il.

« Le petit Rocheclaire »

Citation :

Honoré acquiesça. L’Austrénie avait été très durement touchée par les failles dès le début du siècle, alors que Kerys avait été épargnée jusque 1850.

Il me semble qu’il manque un mot : « jusqu’en 1850 » ou « jusqu’à 1850 »

Corrections notées

EDIT : Suppression pour envoi à des maisons d'édition

Dommage qu’il faille encore patienter pour voir Ripley en action , mais le début du chapitre est déjà prometteur.

J’aime le contraste entre l’Erika du début et celle qui apparaît sur scène, passant de l’agent secret à une artiste superficielle en apparence.

L’idée de reprendre la même façon d’articuler les trois dialogues dans le cabaret sonne bien, et montre une fois de plus l’habitude de discuter de tout et de rien des Kerysiens.

A part ça, je n’ai pas d’autres commentaires à faire, c’est toujours aussi fluide et agréable à lire, vivement la suite.

Pour finir, deux trois petites choses :

Citation :

Ses hauts talons claquèrent sur le parquet, accompagnés par le doux bruissement de la sa robe de soie.

Il y a un mot de trop à la fin de la phrase « la » ou « sa »

Citation :

Ces yeux-la avaient vu qu’un être humain n’était pas censé contempler.

Il doit manquer « ce » entre « vu » et « qu’un »

Citation :

- Il s’est fait grillé le cerveau par une bestiole, à ton avis ? questionna-t-il Erika.

« Il s’est fait griller »

Citation :

Mais par moment, jouer la comédie lui pesait.

« par moments »

Citation :

Le cabaret du chat Vert se situait dans une rue proche du centre-ville.

Il manque la majuscule à Chat.

Citation :

Honoré prit sa boisson et de rapprocha discrètement des étudiants, de manière à entendre leur conversation.

« et se rapprocha »

Citation :

Il avait déjà assisté des spectacles de cabaret et avait souvent éprouvé une profonde déception entre les promesses de l’affiche et la réalité de la performance.

Il doit manquer « à » entre « assisté » et « des »