Lumières Obscures

rohhhh c'est bon, si on peut plus rien dire !!
bah cette fois je ne dirais rien na !
ah si : LA SUITE ! LA SUITE !

Mais siiii, faut critiquer !

t'inquiète donc pas pour ça !

OUla, je suis à la bourre moi... pas le temps de lire sur le pc... Je copie colle et j'imprime, je lirais ce soir !

Et, d'après les petits bouts de commentaires que j'ai survolé c'est... énormissime !

Ellias a écrit:

Et, d'après les petits bouts de commentaires que j'ai survolé c'est... énormissime !

Enormissime ?

Je ne pense pas non... :|

Quand les hommes comprendront-ils donc que "énorme" n'est pas un critère de qualité chez les filles ?

oups, désolée, j'avais oublié de poster mon commentaire.
bon j'ai lu y'a quelques jours donc j'ai du oublier deux trois trucs entre temps,mais je sais que j'avais beaucoup aimé la phase de démence de Yuna. Elle était très bien décrite, non seulement d'un point de vue visuel mais aussi émotionel : je trouvais qu'on ressentait très bien ce que tu voulais faire passer.

ensuite,ben euh...voilà quoi, pas grand chose de plus. c'est très bien,j'adore et je veux la suite ? XD

akira a écrit:

Quand les hommes comprendront-ils donc que "énorme" n'est pas un critère de qualité chez les filles ?

Aucune idée... Je crois qu'ils ne comprendront jamais ce que nous attendons réellement d'eux

Voilà, pour l'instant c'est très court, j'ai à peine eu le temps d'écrire ça ce matin, je me suis fait virée de l'ordi assez rapidement. Bref... ::rolling::

Donnez votre avis, et surtout, CRITIQUEZ !

Puis toute façon, je n'ai pas vraiment eu le temps de me relire, alors il doit rester des fautes





Chapitre 4 : Départ pour les Terres du Nord



Les premiers rayons de Soleil venaient tout juste de passer au travers de la fenêtre de sa chambre lorsque Shoun se réveilla. La nuit n’avait pas été très reposante pour la jeune fille qui avait eu à subir un sommeil léger, trop léger, et à se réveiller toutes les demi-heures, pour se rendormir avec difficulté et plonger dans un rêve dans lequel elle voyait Yuna sauter à pieds joints sur son bureau et Perdénon ramper autour du meuble en l’applaudissant. Les évènements tardifs de la veille avaient dus avoir un effet néfaste et traumatisant sur l’adolescente. Hormis le comportement troublant de la Mage Blanche, elle craignait une révolte du peuple contre le Zenitium, les imaginant débarquer, lance et torche de feu à la main, dans la cour du bâtiment, et forcer l’imposante porte en makalaï blanc, puis envahir le hall d’entrée, avant de s’engouffrer dans les longs couloirs en détruisant tout sur leur passage, telle une meute de bêtes enragées ; et, après avoir trouvé leurs proies, les accuser de la mort de leurs amis, de leurs enfants, de leur famille. Puis, de rage, sans même attendre de réponse, ils brûleraient les meubles qui s’enflammeraient en un rien de temps, le bâtiment ne prendrait pas longtemps avant de s’écrouler, réduit pour toujours à l’état de cendres.
Une fois de plus, Shoun se rendit compte que son imagination débordante lui jouait des tours, puisque si aucun Mage Noir n’avait jamais réussi à pénétrer au Zenitium, comment le peuple, ne connaissant rien à l’art du combat et encore moins à celui de la magie, pourrait-il forcer les portes du bâtiment ? C’était totalement absurde.
Elle remonta ses oreillers blancs et se redressa dans son lit en position assise, redécouvrant des yeux, comme elle le faisait chaque matin, la pièce dans laquelle elle dormait et aimait se retrouver seule. Elle avait beau vivre ici depuis qu’elle avait dix ans, la beauté de la chambre lui semblait toujours aussi impressionnante, et elle ne cessait de s’émerveiller en la contemplant. L’immense lit à baldaquin blanc se dressait, centré et contre le mur du fond, et était de loin ce qu’il y avait de plus imposant dans toute la pièce. Les fins rideaux de satin blanc légèrement transparents pendaient gracieusement autour ; et à l’intérieur, au niveau de la tête étaient alignés cinq coussins, blancs eux aussi. Ce lit avait tout de celui d’une princesse, et Shoun ne se rendait toujours pas compte de la chance dont elle bénéficiait de pouvoir dormir dans une pièce pareille, elle qui avait autrefois vécu dans un petit orphelinat, dans un lointain village dont elle ne se rappelait même plus le nom. Son passé n’avait rien de noble, et elle n’aimait pas beaucoup en parler ; même si elle ne reniait aucunement ses origines, elle avait tourné la page, s’attelant désormais à sa nouvelle vie, bien meilleure que ses dix premières années sur Spira qui resteront sans doute les pires de toute son existence.

Je lirais plus tard...
de la chimie m'attend !
*deception*

Dommage que tu n'ais pas eu le temps d'écrire plus avant de partir

Ben... J'ai pas vraiment de choses à faire remarquer. A part que c'est court !

bon bon bon ...

"Les premiers rayons de Soleil venaient tout juste de passer au travers de la fenêtre de la (j'aurais plutôt mis sa) chambre lorsque Shoun se réveilla. La nuit n’avait pas été très reposante pour la jeune fille,(virgule en trop) qui avait eu à subir un sommeil léger, trop léger, et ( à ?) se réveiller toutes les demi-heures, pour se rendormir avec difficulté et plonger dans un rêve dans lequel elle voyait Yuna sauter à pieds joints sur son bureau et Perdénon ramper autour du meuble en l’applaudissant. Les évènements tardifs de la veille avaient dus avoir un effet néfaste et traumatisant sur l’adolescente. Hormis le comportement troublant de la Mage Blanche, elle craignait une révolte du peuple contre le Zenitium, les imaginant débarquer, lance et torche de feu à la main, dans la cour du bâtiment, et forcer l’imposante porte en makalaï blanc, puis envahir le hall d’entrée, avant de s’engouffrer dans les longs couloirs en détruisant tout sur leur passage, telle une meute de bêtes enragées ; et, après avoir trouvé leurs proies, les accuser de la mort de leurs amis, de leurs enfants, de leur famille. Puis, de rage, sans même attendre de réponse, ils brûleraient (petit pb de temps je crois ! tu devrais peut être mieux continuer avec des infinitifs ou sinon commencer avec des futurs) les meubles qui s’enflammeraient ( s'enfammant)en un rien de temps, le bâtiment ne prendrait[(ne prenant ou tenant qui serait peut etre mieux) pas longtemps avant de s’écrouler, réduit pour toujours à l’état de cendres.
Une fois de plus, Shoun se rendit compte que son imagination débordante lui jouait des tours, puisque(,) si aucun Mage Noir n’avait jamais réussi à pénétrer au Zenitium, comment le peuple, ne connaissant rien à l’art du combat et encore moins à celui de la magie, pourrait-il forcer les portes du bâtiment ? C’était totalement absurde.
Elle remonta ses oreillers blancs et se redressa dans son lit en position assise, redécouvrant des yeux, comme elle le faisait chaque matin, la pièce dans laquelle elle dormait et aimait se retrouver seule. Elle avait beau vivre ici depuis qu’elle avait dix ans, la beauté de la chambre lui semblait toujours aussi impressionnante, et elle ne cessait de s’émerveiller en la contemplant. L’immense lit à baldaquin blanc se dressait, centré et contre le mur du fond, et était de loin ce qu’il y avait de plus imposant dans toute la pièce. Les fins rideaux de satin blanc légèrement transparents pendaient gracieusement autour ; et à l’intérieur, au niveau de la tête(,)étaient alignés cinq coussins, blancs eux aussi. Ce lit avait tout de celui d’une princesse, et Shoun ne se rendait toujours pas compte de la chance dont elle bénéficiait de pouvoir dormir dans une pièce pareille, elle qui avait autrefois vécu dans un petit orphelinat, dans (d')un lointain village dont elle ne se rappelait même plus le nom. Son passé n’avait rien de noble, et elle n’aimait pas beaucoup en parler ; même si elle ne reniait aucunement ses origines, elle avait tourné la page, s’attelant désormais à sa nouvelle vie, qui était bien meilleure que les dix premières années de sa vie qui resteront sans doute les pires de toute son existence[/b[b]](expression un peu lourde).

ton texte est bien mais tu as tendance à faire des phrases un peu longues et à mal utiliser la ponctuation, ce qui n'était pas le cas dans les précédents chapitres ... mais bon je suis peut etre un peu trop sévère
ou c'est peut être la fatigue qui me joue des tours ... ghééééé
faudrais peut être mieux que je retourne à mes maths
bonne chance pour écrire la suite de ton texte !! :ban:

J'ai du mal à comprendre pourquoi l'emploi du conditionnel te gêne, justement c'est une hypothèse, alors il est adapté à cette situation, non ?

Sinon, j'ai changé pas mal de trucs que tu m'avais indiqué.

Merci beaucoup !

euh pour le conditionnel, ce n'est pas vraiment son emplois en tant que tel qui me gêne mais plutôt le fait que tu commences à décrire des actions avec des infinitifs et que tu passes ensuite au conditionnel, mais en fait ce n'est pas si génant que ça ... je crois que j'étais un peu fatigué hier soir !!!!


à quand la suite ???

A quand j'aurai le temps
J'ai une semaine assez chargée, mais t'inquiète pas, je privilège l'écriture aux devoirs (pas sérieux je sais :| )

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh ça n'a vraiment pas fonctionner !

Tout mon petit topo qui est parti en lambeau !!!
Mince alors !

Bon alors je vais refaire en bref :

Les évènements tardifs de la veille avaient dus avoir un effet néfaste et traumatisant sur l’adolescente.
Juste avant la narratrice ce montre très proche du personnage principale en racontant ses rêves. tu peux poursuivre dans cette optique en changeant "sur l'adolescente" qui est trop "froid"... Rien que en changenant pas "son esprit" tu peux conserver "l'intimité" établit entre Shoun et le lecteur.

les imaginant débarquer, lance et torche de feu à la main, dans la cour du bâtiment, et forcer l’imposante porte en makalaï blanc, puis envahir le hall d’entrée, avant de s’engouffrer dans les longs couloirs en détruisant tout sur leur passage, telle une meute de bêtes enragées ; et, après avoir trouvé leurs proies, les accuser de la mort de leurs amis, de leurs enfants, de leur famille.
Elle me pose problème cette phrase... le passage du "les imaginant" à une suite de verbes à l'infinitif...
Je suppose que tu as utilisé à foison la ponctuation pour donner une impression de rapidité ! Tu devrais faire des phrases plus courtes. Tu gagneras en légèreté et cela donnera l'effet de pensée évanescentes.


Voilà ! c'était tout !

D'accord, merci beaucoup !
Je retravaillerai tout cela quand j'en aurai le temps.

Encore un p'tit bout...
Pareil, ça n'a pas été retravaillé, alors ça ne doit pas être bien brillant




Ses parents étaient mystérieusement décédés juste après sa naissance. Le peu de choses qu’elle savait sur eux, c’était grâce à un de leurs amis, qui avait veillé sur l’orpheline après la mort de ceux-ci. Elle avait donc appris par le biais de cet homme que ses parents tenaient autrefois une boutique de remèdes et d’antidotes. Alors que son père s’occupait d’écouter et de conseiller les acheteurs dans leur choix, sa mère s’attelait à la préparation des potions dans l’arrière-boutique. Parfois, elle s’absentait pendant quelques temps pour partir à la recherche de nouveaux ingrédients, ou tout simplement pour réapprovisionner son stock.
A part cela, Shoun ne savait pas grand-chose sur eux, si ce n’est que ni l’un ni l’autre n’étaient magiciens. Les Shimino faisaient partie de ces personnes qui étaient dans l’incapacité de pratiquer la magie, et qui n’étaient pas non plus aptes à recevoir un enseignement pour pouvoir l’apprendre, la maîtriser et l’utiliser. La magie ne vivait pas en eux, ne coulait pas dans leurs veines, et ils ne disposaient pas d’un corps et d’un esprit adéquat pour qu’elle puisse vivre en eux. Ils étaient considérés par certains magiciens comme « la honte de Spira », les « indignes », ou encore les « faibles ». En effet, certains mages se sentaient bien supérieurs aux autres, ou comparaient le Peuple à une bande de moins que rien, juste parce qu’il ne savait pas pratiquer la magie. Ainsi, les magiciens avaient beau être la fierté et la force de Spira, ils n’en étaient pas moins (du moins pour les plus orgueilleux) méprisés des populations.
Il était donc plus que compréhensible qu’une jeune fille venant tout droit du Peuple et vivant entourée de magiciens à longueur de temps ne se sente pas vraiment à sa place. Mais au fil du temps, Shoun s’était habituée aux remarques désagréables et aux adjectifs péjoratifs dont on la qualifiait, même si elle avait tout d’abord était choquée par l’égard des magiciens envers le Peuple. Elle s’était rapidement forgée une carapace qui semblait inviolable, et toutes les critiques et les insultes semblaient rebondir dessus sans l’atteindre. Ce manque de réaction avait fini par la faire ignorer par la plupart des mages du Zenitium, qui ne comprenaient pas pourquoi la Mage Blanche s’obstinait à garder une incapable à ses côtés.
Yuna, elle, savait. La toute première raison, c’était que Shoun avait été la seule personne avec laquelle elle s’était liée d’amitié durant sa jeunesse, après leur rencontre dans un lointain village, près d’un orphelinat, alors qu’elle n’était âgée que de neuf ans. Depuis ce jour, Yuna avait essayé de rendre le plus souvent visite à sa nouvelle amie, bien que le Zenitium et l’orphelinat soit fort éloignés l’un de l’autre ; si bien que deux ans plus tard, elle décida de la faire installer au Zenitium avec elle, ayant pitié de la misérable vie que l’orpheline avait à subir quotidiennement ; et du poids qu’elle avait à porter, qui était celui de la perte de ses parents.
C’est ainsi que Shoun débarqua dans un nouveau monde totalement différent de celui de l’orphelinat dans lequel elle s’était habitué à vivre. Elle eut besoin d’un certain temps d’adaptation, mais s’accommoda très vite à sa nouvelle vie.

"Ses parents étaient mystérieusement décédés juste après sa naissance. Le peu de choses qu’elle savait sur eux, c’était grâce à un de leurs amis, qui avait veillé sur l’orpheline après la mort de ceux-ci. Elle avait donc appris par le biais de cet homme que ses parents tenaient autrefois une boutique de remèdes et d’antidotes. Alors que son père s’occupait d’écouter et de conseiller les acheteurs dans leur choix, sa mère s’attelait [/b[b]](tu l'as déjà mis à la fin du texte précédent)à la préparation des potions dans l’arrière-boutique. Parfois, elle s’absentait pendant quelques temps pour partir à la recherche de nouveaux ingrédients, ou tout simplement pour réapprovisionner son stock.
A part cela, Shoun ne savait pas grand-chose sur eux, si ce n’est que ni l’un ni l’autre n’étaient magiciens. Les Shimino faisaient partie de ces personnes qui étaient dans l’incapacité de pratiquer la magie, et qui n’étaient pas non plus aptes à recevoir un enseignement pour pouvoir l’apprendre, la maîtriser et l’utiliser. La magie ne vivait pas en eux, ne coulait pas dans leurs veines, et ils ne disposaient pas d’un corps et d’un esprit adéquat pour qu’elle puisse vivre en eux. Ils étaient considérés par certains magiciens comme « la honte de Spira », les « indignes », ou encore les « faibles ». En effet, certains mages se sentaient bien supérieurs aux autres, ou comparaient le Peuple à une bande de moins que rien, juste parce qu’il ne savait pas pratiquer la magie. Ainsi, les magiciens avaient beau être la fierté et la force de Spira, ils n’en étaient pas moins (du moins pour les plus orgueilleux) méprisés des populations.
Il était donc plus que compréhensible qu’une jeune fille venant tout droit du Peuple et vivant entourée de magiciens à longueur de temps ne se sente pas vraiment à sa place. Mais au fil du temps, Shoun s’était habituée aux remarques désagréables et aux adjectifs péjoratifs dont on la qualifiait, même si elle avait tout d’abord était choquée par l’égard des magiciens envers le Peuple. Elle s’était rapidement forgée une carapace qui semblait inviolable, et toutes les critiques et les insultes semblaient rebondir dessus sans l’atteindre. Ce manque de réaction avait fini par la faire ignorer par la plupart des mages du Zenitium, qui ne comprenaient pas pourquoi la Mage Blanche s’obstinait à garder une incapable à ses côtés.
Yuna, elle,(le) savait. La toute première raison,( c’)était que Shoun avait été la seule personne avec laquelle elle s’était liée d’amitié durant sa jeunesse, après leur rencontre dans un lointain village, près d’un orphelinat, alors qu’elle n’était âgée que de neuf ans . Depuis ce jour, Yuna avait essayé de rendre le plus souvent visite à sa nouvelle amie, bien que le Zenitium et l’orphelinat soit fort éloignés l’un de l’autre ; si bien que deux ans plus tard, elle décida de la faire installer au Zenitium avec elle, ayant pitié de la misérable vie que l’orpheline avait à subir quotidiennement ; et du poids qu’elle avait à porter, qui était celui de la perte de ses parents.
C’est ainsi que Shoun débarqua dans un nouveau monde totalement différent de celui de l’orphelinat dans lequel elle s’était habitué à vivre. Elle eut besoin d’un certain temps d’adaptation, mais s’accommoda très vite à sa nouvelle vie."

alors petite critique : quelques répétitions, des phrases un peu longues et un vocabulaire moins riche que dans tes autres textes ... la description de la rencontre entre yuna et shoun reste un peu floue et tu as tendance à paraphraser se que tu dis
sinon la description que tu fais des parents de shoum est un peu bizarre dans le sens où ces renseignements ont été donnés par un ami, ils devraient reposer sur le côté affectif plus que professionel
à part ça c'est pas mal
vivement la suite !!

Oui, je comprends ce que tu veux dire par rapport à ses parents, mais ça, ça viendra après ^^

Rien d'autre à rajouter par rapport au commentaire de Erialc.

Juste que ce passage n'a pas la même grandeur que l'avant-dernier. J'attends la suite avec un intérêt grandissant.
Car pour le moment... tout est calme !

Faut bien s'intéresser d'un peu plus près au personnage principal avant de mettre un peu d'action ^_^

Mais je pense que rien qu'au titre du chapitre, on devine plutôt facilement qu'elle ne va pas rester perdue dans ses pensées pendant 10 pages !

Moi, j'adore le calme avant la tempête... plus il y a de contrastes, mieux c'est !

Je suis plutôt d'accord

Mais il faut laisser le temps au lecteur de s'imprégner de l'univers, du monde magique, de la situation; et ensuite, entrer dans le vif du sujet.

Sinon, on n'y comprend rien !

Enfin, après, c'est mon opinion...

Aaah, dire que j'ai du attendre une semaine pour le lire ! J'en veux plus, toujours plus ^^

En tout cas, c'est sur que le deuxième extrait n'est pas aussi bien que le premier. mais comme à dit Akira, le calme avant la tempête c'est bien ! Et comme tu l'as dis, faut bien apprendre à la comprendre !

Un mot, un seul : Encore !

Oui ben si tu me laissais le temps d'écrire, ça irait plus vite

Non non, je plaisante !

Toute façon, je vais changer quelques éléments.