l\'année de tous les dangers

Ce n'était qu'une proposition. Je conviens que dans les dialogues tous est possible.
Il n'en est pas moins que "On" n'est pas défini, éventuellement sous-entendu et, que la précision est quelquefois nécessaire.

Ceci est dit dans un cadre général.

Oups mes écrits font débat? Merci à tous en tout cas d'être encore là.

Mais oui,bien sûr qu'on est là,je t'ai même lu,ce matin,voilà mon petit commentaire.
J'ai aimé toutes les images qui défilent devant mes yeux,pour commencer,l'hôtel génial...la douche....
les métaphores reviennent très sympa(le coup de la réception [ avec l'hôtel] j'ai trouvé que ça prête un peu à confusion, avec l'accueil? )
..... l'atterrissage dans le monde d'un polar,vraiment,pas mal du tout dans le contexte,on s'y croirait!
Sinon, tu as écrit deux homonymes(pair et pairs ) trop proches ,à mon idée ;mais, il faut orthographier le second ainsi:une paire d'yeux.
L'arrivée dans le centre ,je me suis retrouvée là-bas,tu sais bien décrire les sites ,l'ambiance psychologique est toujours bien là.
J'aime ton style d'écriture ,un peu soutenue et pourtant assez décontractée...c'est très à mon goût, merci,encore une fois ,ce fut un moment vraiment bien agréable;A bientôt?

Je n'accroche pas trop avec le sujet. Mais c'est bien écrit, alors ça se lit avec plaisir.

Un petit point de contestation avec Gérard:
des va-et-vient (deux verbes => aucun accord)

Merci.

Je suis toujours là également. Tout comme Hélène, je n'ai aucune peine à imaginer les lieux et l'ambiance qui y règne...
Ton style est simple et facile à lire. Ton texte est très imagé. J'accroche!

Suite

Ils furent vite rappelés à l’ordre par leur éducateur, Ben, qui arriva sur l’entrefaite.
- C’est par politesse msieur.
- Oui, ben maintenant on y va, marmonna-t-il.
Je le gratifiai d’un large sourire pour m’avoir sauvée de l’embarras. J’ignorai quelle pulsion me poussa à lui demander de me faire visiter les locaux, et, sitôt ma requête faite, je le regrettai.
Après quelques secondes de réflexion, il accepta. Je ne pouvais pas décemment changer d’avis.
Les garçons étaient bien sûr ravis. C’était effrayant, et très gratifiant à la fois, de voir avec quel enthousiasme ils papillonnaient autour de moi. La fille du directeur, j’étais presque d’emblée idolâtrée.
Je n’avais aucune idée de l’effet que je pouvais faire sur le sexe opposé. J’avais pensé être quelconque jusqu’à cet instant, mais dans leurs yeux, j’incarnais une sorte de vedette.
Je n’étais tout de même pas assez stupide pour le croire complètement mais le chemin, qui me menait à prendre conscience de ma féminité naissante, s’ouvrait à moi.
Qu’est-ce qui avait bien pu passer, dans la tête de mon père, le jour où il avait décidé de m’emmener avec lui ?
Il n’avait sans doute jamais entendu parler de l’expression « ne pas mettre un loup dans la bergerie » ou, plus précisément dans mon cas, un agneau dans la tanière d’une meute de loup.
La seule explication plausible était qu’il avait complètement occulté mon âge et celui de tous ses garçons aux hormones en pic ascensionnel. L’autre aurait pu être qu’il pensait que j’étais une sainte. Je préférai ne pas m’attarder sur celle-ci
Si j’avais toujours fait preuve d’une grande maturité pour mon âge, jouant même les assistantes sociales dans mon collège pour mes amies en difficulté, en ce qui concernait la sexualité, j’étais complètement déboussolée et ignorante des règles du jeu. A part le cours d’anatomie en cinquième et les tentatives de baiser sur le bras de ma sœur aînée pour m’entraîner, j’étais d’une candeur et d’une incroyable naïveté, dont j’aurais la preuve assommante quelques semaines plus tard. Ma cuisante déconvenue avec Eric n’avait en rien amélioré ma confiance en moi sur ce plan là. J’avais vécu quelques histoires d’amour par procuration : Esméralda, Emilie Brontë, Juliette, Morgane et bien d’autres. Pour la plupart des histoires tortueuses, difficiles, se terminant rarement bien. On était bien loin du conte de fées mais, quelque chose me disait qu’elles étaient bien plus proches de la réalité.
Ma visite du lieu de vie des garçons se déroula si bien que j’en fus déconcertée. Toutes mes craintes s’envolèrent, car loin de vouloir à tout prix flirter ouvertement avec moi, ils cherchaient toutes les attentions possibles pour me faire plaisir et me mettre à l’aise. Les jeunes loups s’avéraient être des chiots inoffensifs qui m’accueillaient sans retenue dans leur groupe.
Les prédateurs existaient bel et bien, mais ils n’étaient pas ceux que je croyais.
Quand je me retrouvai à la table de l’hôtel qui nous était réservée, mon père m’attendait, sans doute curieux de savoir comme s’était déroulée ma journée.
- Ils ont fait quoi pour se retrouver là ? demandai-je l’air de rien.
- Certains ont commis des infractions mineures, vols de voiture par exemple, d’autres ont été retirés de leur famille car ils y étaient en danger.
- Ah.
- Pourquoi tu me demandes ça ?
- Pour savoir. Ils ont l’air tous gentils. Cet aprèm, j’ai visité le groupe de Ben.
Curieusement, j’attendais une sorte de réprobation qui n’arriva jamais. Je pris cette absence de réaction comme une autorisation à poursuivre mes relations avec eux. Je poussais avec ma fourchette les pommes vapeur dans mon assiette. Je n’étais pas bien épaisse, quarante–huit kilos pour un mètre soixante trois, et ce n’était pas dans cet hôtel que j’allais prendre du poids. Je décidais de relancer la conversation.
- Ils m’ont demandé où j’irais au collège.
- J’ai demandé une dérogation au rectorat pour que tu ne sois pas dans le même établissement justement. Tu vas aller au lycée Cédesar. Le ramassage scolaire est sur la place du village.
Encore une bonne nouvelle. Au lieu d’aller à l’école la plus proche, je devais faire quarante minutes de bus.
Mon père semblait convaincu que cette éloignement diurne aurait empêché l’établissement de liens avec mon entourage. Comme si des frères et sœurs n’étaient pas proches parce qu’ils fréquentaient des écoles différentes. Je n’avais pas de grand frère, c’était tout naturellement que je m’imaginai une sorte de nouvelle famille.
- Tu vas continuer l’équitation ?
- Y a un centre équestre ici ?
- Hum, à deux minutes en vélo.
Le soir en me couchant, je fis le bilan de ma journée. Des gens sympathiques, un village à taille humaine, une future maison qui était plutôt grande entourée d’un petit jardin fleuri, un centre équestre. Finalement, tout n’était pas aussi noir qu’il y paraissait.

Citation :

Un petit point de contestation avec Gérard:
des va-et-vient (deux verbes => aucun accord

Quel étourdi je suis ! MERCI

On progresse, on progresse....

Euh : "vols de voiture en autre" ça se dit ?

Toujours aussi bien ,en plus ,tu nous projettes un peu dans l'avenir ,ici où là,mine de rien;j'aime bien.
dans cette phrase,rigolote ,attachante (au fait,Hakkrat avait soulevé l'idée qu'on ne connaît pas son prénom,c'est vrai ça^^) .
A part le cours d’anatomie en cinquième et les tentatives de baiser sur le bras de ma sœur aînée pour m’entraîner, j’étais d’une candeur et d’une naïveté[, ]dont j’aurais la preuve assommante quelques semaines plus tard, incroyable.
Par contre ,il vaudrait mieux que tu retires la virgule,il n'y en a pas besoin du tout.
[j'espère que tu ne m'en veux pas de te "reprendre" à la virgule près!D'autant plus que j'ai remarqué à quel point tu fais attention à cela,et,ton texte en est encore plus plaisant à lire,bravo,n'empêche ]
J’étais tout de même pas assez stupide pour le croire complètement mais le chemin, qui me menait à prendre conscience de ma féminité naissante, était amorcé.
Un chemin ne peut pas être amorcé,tu pourrai l' écrire ?
J’étais tout de même pas assez stupide pour le croire complètement mais je marchais déjà sans le savoir sur le chemin qui menait à la conscience de ma féminité naissante .
Très très bien écrit ,ce récit me passionne...
C'était un régal ,j'ai vraiment hâte de connaître l'incroyable

::rolling::

Pas mal !

Je n'aime pas du tout le verbe baiser. (c'est personnel)

Il y a tout de même cette phrase:

Citation :

et je le regrettai presque aussitôt que ma requête fut faite.

et, sitôt ma requête faite, je le regrettai.
ou : et je le regrettai, presque aussitôt...

C'est quand même bien de se lever le matin avec de si jolies compliments. C'est comme des croissants tous chauds. Merci.
Hélène l'histoire du chemin amorcé m'avait fait tiquer mais sur le moment je ne voyais pas quoi mettre. Comme tu le dis c'est pas mal
Merci aussi gérard, si avec toutes vos merveilleuses suggestions je ne suis pas éditée

Mike : Euh : "vols de voiture en autre" ça se dit ? "
entre autre chose" c'est mieux?

Oh non, Evahé, ne te pends pas!!!!

oui,en effet,ça serait bien que tu ne te pendes pas ... tu as encore beaucoup de choses à nous faire lire ^^

La seule remarque que j'ai sur ton dernier extrait est la suivante : tu dis qu'elle s'adresse à l'éducateur pour visiter les locaux,mais que tous les autres garçons sont là aussi. donc,je présume que soit ils les ont accompagnés,soit ils les ont rencontrés durant la visite.
Je suggère qu'ici tu sois un peu plus précise sur ce point.

Voila ... une héroïne bien sympathique en plus (et elle fait du chouaaaale ! xD), aussi,attendrais-je la suite avec plaisir (impatience?^^)

Ils sortaient du refectoire et donc Ben les suivait à distance. Mais je vais préciser. merci

Suite


La première journée de classe quand on arrive en troisième n’est pas facile. Tout d’abord, vous êtes l’intruse, la nouvelle, l’étrangère ; ensuite le groupe se connaissant bien, il est difficile de nouer des liens sans perturber ce fragile équilibre. De mon petit pensionnat à l’abri d’un parc tenu par des religieuses, je passais à un établissement public de béton qui comptait deux mille âmes. Lors que je descendis du bus, je fus consternée de voir la taille des locaux. Je me dirigeai lentement vers ma salle de classe anxieuse et tendue. Au lieu de m’intégrer dans ma classe, je me liai d’amitié avec des premières et des terminales.
Barbara était de celles là et elle prenait tous les matins le bus avec moi. Elle présentait des attributs que j’enviais et un très joli visage poupin. Pour moi, elle incarnait la femme idéale d’un autre âge. Elle avait cette beauté paisible des femmes plantureuses de Manet. Enfin, à vrai dire, elle n’était pas plantureuse au sens propre mais d’une certaine façon, face à moi, elle l’était.
Ses parents tenaient un magasin de sport dans la rue principale du village, ils habitaient juste au-dessus. Nous devînmes très vite inséparables.
La semaine se termina rapidement.
Le vendredi soir, nous père m’emmena chez ma mère. C’était la première fois que le « chez elle » n’était pas « chez moi ». Cette distinction qui pouvait sembler anodine, s’avéra fondamentale. Mes parents, pendant mon camp en Corse, avaient aménagé une chambre à mon attention. Un lit avec une table de chevet, une grande commode en bois et un bureau qui avait appartenu à ma mère enfant. Je reconnaissais le mobilier, j’y retrouvais même une partie de mes affaires mais je ne m’y sentais pas à ma place. Pourtant, j’étais bien en peine de dire où se trouvait ce chez moi que je revendiquais. Ma chambre d’hôtel de seconde catégorie en revêtait certains aspects pourtant.
La chambre, quand on a quatorze ans, c’est l’endroit où l’on se réfugie, où on rêve, où l’on panse ses blessures. La plupart du temps, elle est à votre image et contient tous vos trésors. Celle-ci était presque aussi impersonnelle que ma chambre d’hôtel.
L’incongruité, qui consistait à jouer une mascarade le week-end, pour m’épargner je ne savais quelle douleur, ne me sauta pas tout de suite aux yeux. Mes parents n’avaient jamais parlé de divorce avec moi. Mon père m’avait dit avoir obtenu ce travail et devoir déménager mais, à proprement parler, ils n’avaient jamais parlé de séparation. Même si l’évidence n’avait besoin d’aucun mot. Peut-être que c’était leur façon de rendre la chose moins inéluctable. Une sorte de douce transition. Le vendredi soir, mon père dormit avec ma mère. Peut-être que s’ils m’avaient posé la question, ils se seraient rendus compte que pour moi leur séparation était ce qu’ils pouvaient faire de mieux.
Le week-end suivant, mon père avait trop de travail pour m’accompagner et il m’emmena à la gare. Celui d’après, il devait assisté à un vernissage, le suivant encore, il était d’astreinte et devait rester au Centre.
Il devint vite clair que les excuses allaient se tarir très rapidement et que je serais condamnée à prendre le train tous les vendredis. Je devins une pendulaire. Sorte de condamnation suprême pour une faute que je n’avais pas commise. Cette injustice devint un problème qui allait croissant pour nous exploser à la figure tôt ou tard.
Ma mère perçue très vite que je me sentais contrainte et forcée de la retrouver pour deux jours. J’étais une sorte de fille indigne qui n’éprouvait aucun plaisir à la rejoindre pour lui raconter mes aventures de la semaine. Ma colère se dirigea vers ma mère, convaincue que c’était elle qui m’obligeait à venir. Jamais il ne vint à l’esprit que mon père avait une bonne raison de ne pas me garder. Ce mal entendu entre nous ne fit qu’accroître mon ressentiment et mon dégoût pour cette chambre, dans laquelle je refusais de m’investir.


Chapitre quatre : l’anniversaire

Barbara et moi étions toutes les deux verseau. Pour ses seize ans, ses parents organisaient une soirée dans un gymnase à une dizaine de kilomètres. Je fêtais moi-même mes quinze ans et l’idée me vint d’organiser une boum dans l’après-midi, puisque le soir j’étais invitée à la fête de mon amie. J’ignorais la façon dont on organisait une telle fête mais, une fois l’idée lancée, je trouvai tout un tas de personnes qui en avaient l’habitude et qui s’offrirent de me prêter main forte. Je réservai la salle des fêtes du village. Mon père commanda les boissons, un copain s’organisait pour la stéréo, tout semblait enfin prêt.
Je fus littéralement débordée par les événements.
Le copain qui s’occupait de la musique avait invité l’animateur d’une grande station de radio pour être DJ et un groupe de rock qui jouerait en live plusieurs morceaux. Je m’attendais à accueillir une cinquantaine de personnes mais, cette après-midi là, nous fûmes au bas mot cent cinquante. La grande majorité était des jeunes du coin mais j’en connaissais très peu en fait.
Il y avait une ambiance incroyable. L’air était enfumée car beaucoup avait la cigarette à la bouche et on pouvait à peine se trémousser tant nous étions nombreux. Je fumais moi aussi, même si je n’y voyais aucun intérêt, des menthol light. Light car l’industrie du tabac avait réussi à nous faire croire qu’elles étaient moins nocives, cela allégeait ma conscience.
L’air devenait presque irrespirable mais il m’importait peu. Je n’avais d’yeux que pour le DJ. Il était comme un ange tombé du ciel. Si nous avions tourné dans un film, au moment où mon regard croisa le sien, je crois que l’image aurait fait un travelling avant sur son visage, avec comme musique de fond mon cœur qui battait la chamade. Il portait des cheveux mi-longs bouclés, blond vénitien, qui encadraient d’incroyables yeux verts. Il arborait un sourire enchanteur, ses lèvres finement ourlées formaient un écrin à une dentition parfaite.
Quand j’étais entrée dans la salle où se trouvait la sono en début d’après-midi, je m’étais avancée vers lui en me présentant. Je ne me connaissais pas ce courage mais, après tout, il s’agissait de ma boum ce qui me donnait une certaine légitimité. Il s’était présenté comme Pascal et m’avait remercié de l’avoir invité. Il m’avait remerciée, moi, du haut de mes quinze ans alors que je trouvais tout bonnement grandiose qu’il soit là. C’était le monde à l’envers. Si je n’ai pas rougi jusqu’à la racine des cheveux, je ne le ferai jamais plus. En maître des lieux, j’avais fait le tour de sa sono histoire de m’approcher de lui davantage, sans en avoir l’air.
J’étais restée plantée près de lui quelques minutes sans rien dire. Les premiers invités commencèrent à arriver et je devais retourner à l’accueil pour encaisser les entrées. Lors de l’organisation, on m’avait expliqué qu’il suffisait de mettre sur les Tickets PAF (participation aux frais) pour que cela soit légal. Je n’avais pas cherché plus loin.
Trop occupée à contrôler que tout se déroule sans problème, je ne pouvais m’occuper du DJ comme je l’aurais voulu. Je revenais de temps en temps jeter un coup d’œil à la sono, histoire de vérifier que je n’avais pas rêvé.
On m’appela pour me montrer ce qui se passait dans les toilettes. Une de mes amies plus âgées, appuyée sur un des lavabos, se faisait culbuter par un garçon que je ne connaissais pas aux vus de tous. Je refermais la porte furieuse et outrée que, l’un comme l’autre, se permettent de venir ainsi perturber la bonne ambiance. Devant les regards interrogateurs des spectateurs, je haussais les épaules. Qu’est-ce que j’aurais dû faire ? Je n’étais pas un gendarme et certainement pas responsable de ce qui se passait.
Un malheur n’arrive jamais seul. Je constatai un peu plus tard qu’on m’avait volé la recette des entrées qui était censée payer les boissons. J’aurais dû en être horrifiée, annoncer la nouvelle à mon père n’était pas une mince affaire, mais je flottais sur un petit nuage. Pascal avait accepté mon invitation à m’accompagner à la soirée.

En maître des lieux => maîtresse des lieux,plutot,non ? ::rolling::

Sinon,c'est bien écrit,toujours,agréable mais ... je ne sais pas,j'ai une impression de rapidité. surtout par rapport à l'âge des protagonistes. bon,certes,tu ne précises guère (notamment pour la scène des toilettes) mais ça me semble, comment dire ... pas surréaliste, mais un peu exagéré,peut-être.
Je sais bien que c'est l'âge où tout ça s'éveille mais quand même ...

En dehors de ce point,je répète que c'est toujours sympa

Relisez-vous.

30 verbes être et avoir conjugués, (non auxiliaires) n'est-ce pas un peu trop?

exemple:

Citation :

Il avait une profession qui avait un certain prestige.

Il exerçait une profession qui dénotait un certain prestige.

Citation :

annoncer la nouvelle à mon père n’était pas une mince affaire, mais j’étais sur un petit nuage.

annoncer la nouvelle demeurait une affaire délicate, mais je planais sur un petit nuage.

Cela permet d'enrichir le texte.


Belle progression de l'histoire.

Oui tu as sans doute raison Gérard. J'essayerais de faire mieux demain, promis.

Morrigan comme tu l'as dit je n'ai pas précisé quelle âge avait cette amie. De plus c'est un scéne vecue. Jusqu'à maintenant je n'invente absolument rien... C'est en fait un des thèmes de cette histoire cette course en avant pour vivre tout, tout de suite. L'alcool, la drogue, le sexe... Mon amie de l'époque de mes quatorze ans avait eu ses premiers rapports à 13 et barbara à 14. Avec mes 15 ans j'étais pour ainsi dire en retard.
Mais je pourrai envisager de faire comprendre aux lecteurs qu'elle a plus de vingt ans. Attention dans mes prochains poste je vais peut-être choquer davantage encore mais je promets de m'en tenir strictement qu'à des histoires vecues de façon directes ou indirectes.

Arf, et voilà, j'ai 4 posts de retard.

Faut dire que je suis occupé à lire un certain retour de dragons que je n'ai pas réussi à lâcher pendant deux-trois chapitres consécutifs.

Arf, pas commencé.

Même raison qu'Hakkrat

Tiens d'ailleurs Hakkrat quand tu l'aurra terminé je serais très intéressé par les commentaires que tu aurais à faire dessus.

Pourquoi ne pas alors, ouvrir un nouveau topic (avec spoiler) pour en discuter:
Le monde de l'édition -> Fantasy -> Le retour des dragons

je plussoie pour le topic,je vous rejoindrais dans quelques temps ^^

sinon,oui,en effet,je comprends mieux comme ça evahe. ça n'est pas choquant en soi,c'est juste que personnellement,ayant évolué dans un tout autre milieu,ça me semblait très rapide ...
mais bon,l'histoire me va comme ça aussi hein ^^

Ha non! je vous interdis de parler de mon bébé. S'il est un peu difforme je le trouve beau quand même, moi. D'ailleurs je suis fiere de vous annoncer qu'un journaliste en a fait une critique positive. Ce distrait a oublié de me l'envoyer. Il s'est contenté de l'envoyer à un éditeur. Du coup, je ne peux pas vous la montrer c'est ballot.

Alfred a écrit:

Arf, pas commencé.

Même raison qu'Hakkrat

Tiens d'ailleurs Hakkrat quand tu l'aurra terminé je serais très intéressé par les commentaires que tu aurais à faire dessus.

Pourquoi ne pas alors, ouvrir un nouveau topic (avec spoiler) pour en discuter:
Le monde de l'édition -> Fantasy -> Le retour des dragons

J'ai 4 posts de retard, et non pas 4 pages (Si tu remontes, tu verras des commentaires de moi, preuves que j'ai lu)
Evahe se bouchera les yeux et les oreilles si on critique son bébé ici. Je ne savais pas que tu avais un exemplaire, Alfred.

ça m'a rappelé les surboums de ma jeunesse...
waou,la description du beau dj,super
vraiment,c'est marrant comme tout ,même les scènes un peu osées sont bien là où il faut

je fus littéralement débordée par les événements.
ne dit-on pas plutôt être dépassé
par les évènements
mais,pourquoi pas ,après tout une petite variante!

Pascal avait accepté mon invitation à m’accompagner à la soirée.

pour éviter les"à" successifs,tu pourrais écrire ceci:

Pascal avait accepté mon invitation en m'accompagnant à la soirée .
Si cela ne change pas pour autant le sens,

voilà ...la suite avec comme toujours, impatience.

Citation :

J'ai 4 posts de retard, et non pas 4 pages (Si tu remontes, tu verras des commentaires de moi, preuves que j'ai lu)

Ba oui j'avais vu... ::rolling::
C'était juste une blague basée sur de la mauvaise foi et doublée d'un comique de repetition.

Citation :

Evahe se bouchera les yeux et les oreilles si on critique son bébé ici. Je ne savais pas que tu avais un exemplaire, Alfred.

Je l'ai commandé au père noël. J'ai même eu une dédicasse