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 Le traitre

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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeSam 8 Jan 2011 - 20:00

Mwahahhah Smile Vas y à fond sur la suisse, le pays l'a mérité Smile (par contre ils sont armés jusqu'au dent hein... c'est des fous ces gars là Wink

Pour internet suffirait de me demander à moi ^^ (à mes heures perdues j'ai vaguement passé un diplome sur les ordinateurs, et tout les petits trucs bizarres qui se passent quand tu les relie par des cables étranges avec entre eux des modems et des routeurs Smile )
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Rima68
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeSam 8 Jan 2011 - 20:09

Ah... Alors tu sais comment on peut couper internet dans un pays entier ? (Sinon je peux aussi couper l'électricité...) Pourrais tu gentiment m'instruire ?
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 9 Jan 2011 - 12:00

.... Non je ne sais pas comment couper à coup sur Internet, (sinon je serais sans doute dans une combinaison orange sous le soleil de cuba...) Seulement à partir du moment où tu as une armée prête à faire tes quatres volontés.

Envoyer des commandos dans les bureaux de chacun des grans fournisseurs d'accès de la région, ça pourrait être efficace....

Les américains ont parlés de mettre en place un "bouton d'arrêt d'internet" un mécanisme qui permettrait au gouvernement de faire tomber internet en entier dans leur pays en cas de "cyber-attaque" si dans ton univers l'Europe a construit un mécanisme similaire à l'échelle de régions, ça pourrait être facile de s'en emparer...

Sinon comme tu as prévu s'attaquer à l'infrastructure elle même, mais ça risque surtout de "ralentir" les ccommunications et pas de les couper complètement.
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Rima68
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 9 Jan 2011 - 12:03

De toute façon je ne veux pas couper internet définitivement, je veux juste en empêcher l'accès le temps de l'attaque (pour éviter l'appel de renforts... et comme la plupart des pays européens sont attaqués il ne risque pas d'y en avoir beaucoup) et après simplement le limiter (genre accès à certains site mais pas tous, une sorte de contrôle parentale mais sur tous les ordinateurs... comme en chine)
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 9 Jan 2011 - 12:48

Ben tout ce que je propose pourrait être rétabli en quelques heures, particulièrement le coup de prendre le controle des FAI. ensuite pour installer un Firewall à la chinoise, leur complicité sera nécessaire aussi...
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Rima68
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 9 Jan 2011 - 13:01

Merci pour ces infos, je vais y réfléchir et surtout ça va m'être très utile, merci. Bon pour te récompenser je mets la suite Wink. Ce chapitre est assez long.

Chapitre 13 :

Le jeune homme retourna à sa voiture, l’émeute avait tout ravagé dans la rue principale. Par chance il avait bien caché la voiture. De plus elle était immatriculée allemande et non pas française, les jeunes avaient dû l’épargner s’ils l’avaient trouvée. Il monta dedans et retourna en France pour prendre la route de Sierentz. Arrivé à la caserne il rentra dans le bureau du colonel.
-Commandant Steiner qu’est-ce qui vous prend de discuter mes ordres ? Quand je vous dis de rentrer vous rentrez !
-Excusez moi mon colonel ça ne se reproduira plus.
-Bien, à part la Suisse et la Belgique, tous les gouvernements se sont soumis. Malgré votre indiscipline votre mission en Allemagne à réussi brillamment, je ne peux que vous féliciter.
-Merci mon colonel.
-Je veux aussi que vous vous reposiez, demain vous rentrez à Paris, Napoléon veut vous voir, mais ce soir j’aimerais que vous preniez du bon temps que vous vous changiez les idées.
-Comment ça ?
-Ne faites pas l’idiot Steiner, vous voyez parfaitement ce que je veux dire. Napoléon aimerait vous voir moins tendu, je sais que vous passez une période difficile, la mort de votre mère, votre enlèvement et puis l'exécution de votre père, vous avez le droit de vous reposer un soir, allez vous amuser un peu. Maintenant sortez.
Thomas obéit sans discuter. A l’autre bout du couloir il vit la jeune Lucie Renard. Elle s’approcha de lui.
-On dirait qu’il vous a tenu le même discours qu’à moi mon commandant. murmura-t-elle avec un sourire.
-Si c’est l’avis de votre oncle pourquoi pas.
-C’est vrai que vous avez l’air tendu commandant.
Il sourit :
-Je sais.
-On devrait peut être l’écouter, et sortir ce soir, qu’en dites-vous ? Après tout on a eu une dure journée.
-Et aller où ?
-Je ne sais pas, c’est vous qui avez grandit ici, pas moi, vous devez bien connaitre un restaurant sympa non ?
Il la fixa un instant, ne sachant pas comment réagir. Finalement il haussa les épaules.
-Oui, bien sûr, je… il y a l’Ile Napoléon à Rixheim ça ne devrait pas trop avoir changé depuis l’époque ou j’y allais avec mes parents.
-Ben parfait, on y va ! Et en civil mon commandant.
-Pardon ?
Elle sourit et déposa sa main sur sa poitrine :
-Ben oui on ne va pas y aller comme ça… Vous avez emmené des habits de civil au moins ?
-Oui, oui bien sûr.
-Bien on se retrouve à l’entrée de la caserne à dix-neuf heures, ça marche ?
-Oui, ça marche.
Thomas la regarda s’éloigner, décidément cette fille était étonnante… Il se dirigea vers les dortoirs que lui et ses hommes avaient improvisés la veille au deuxième étage puis se glissa sous une douche pour se détendre, Lemaitre avait raison, il était tendu, très tendu. Il se sécha et enfila ensuite une chemise bleu pâle, un pull et un jeans. Enfin il entreprit de coiffer ses cheveux roux avec un peu de gel, il ne voulait pas avoir l’air d’un soldat qui venait du feu, il avait envie de ressembler à un homme qui prenait soin de lui. De plus il ne dînait pas avec n’importe qui, il sortait avec la nièce de l'Empereur. Pour la première fois depuis la mort de sa mère, il avait prit soin de lui, pour la première fois depuis plus de trois mois il prenait plaisir à se regarder dans un miroir. Il sourit et sortit de la salle de bain pour rejoindre le dortoir des hommes. Il s’assit sur le lit et regarda l’heure. Il n’était que six heures trente, il avait encore une demi heure. Il saisit son ordinateur portable, il n’avait rien à faire et n’avait pas envie de déprimer seul, il devait occuper son esprit pour ne pas penser à l’impensable. Tout ce qu'il avait vécu récemment, y compris la journée qu'il venait de passer, lui avaient fait comprendre à quel point la vie était cruelle. Puis il descendit, à dix neuf heures moins dix minutes, après avoir enfilé un blouson. Il était en avance mais il constata que le capitaine Renard l’attendait déjà. Elle s’était changée et portait une belle et longue robe décolletée, ses cheveux châtains avaient été attachés en un chignon et ses yeux vert étaient parfaitement maquillés.
-Wow ! murmura-t-il.
-Vous n’êtes pas mal non plus. rétorqua la jeune femme.
-Je… c’est un endroit plutôt cool là où on va.
Elle haussa les épaules, le gratifiant d’un sourire charmeur.
-On... on y va capitaine ?
-On avait dit en civil, appelez moi Lucie.
-Et vous Thomas, mais juste en privé hein.
-Bien sûr. répondit-elle en lu prenant le bras. Vous venez.
Il hocha la tête et la mena jusqu’à la voiture de location. Il s’installa au volant et roula jusqu’au lieu-dit et se gara sur le parking d’un centre commerciale.
-Vous voulez manger quoi ? Chinois, italien, libanais, grec ? demanda Thomas
-Il n’y a pas un restaurant qui sert des spécialités d’ici ?
-Euh si bien sûr, venez.
Il se dirigea vers la droite et traversa la route. En face du centre commercial, un petit restaurant discret était installé. A cette époque de l’année la terrasse était fermée, il invita la jeune femme à entrer. Le restaurant était presque plein.
-J’espère qu’il y aura de la place, murmura Thomas, quand je venais ici avec mes parents c’était toujours rempli et on n’avait pas de place sans réservation.
-ça fait longtemps que vous n’êtes pas venu ici ?
-Une dizaine d’année je dirais, le patron, si c’est toujours le même, était un ami de ma famille. C’est pour ça qu’on venait ici souvent. C’est un des rares restaurants où la plupart des plats sont fait maison et ne sont pas réchauffés… Et pour des prix abordables.
Une serveuse s’approcha d’eux :
-Vous avez réservé ?
-Non.
-Attendez un instant.
La serveuse s’éloigna puis revint au bout de quelque instants et leur fit signe de la suivre. Elle les mena jusqu’à une table, légèrement à l’écart des autres. Thomas enleva sa veste pour la déposer sur le dossier de sa chaise, Lucie fit de même pour son manteau. Ils s’assirent l’un en face de l’autre à la petite table avant que la serveuse ne leur tende les cartes.
-Qu’est ce que c’est le Fleisch… euh comment tu prononce ? demanda la jeune femme.
-Fleischschnacka… Euh, c’est de la viande de pot-au-feu enroulée dans une pâte à nouille assez épaisse, et servit dans de la sauce tomate. La traduction en français est escargot de viande.
- Les escargots c’est bourgogne non ?
-C’est son nom mais ce n’est pas un escargot, ça y ressemble dans la forme mais ça n’en est pas un.
-Et c’est bon ?
-Très. Tu sais il n’y a pas que de la choucroute en Alsace.
-Oui vous avez la tarte flambée…
-Mais ce n’est pas tout, les Sundgauviens se vantent de vantent de leur carpes frites, il y a même la route de la carpe-frite, avec les restaurants qui en vendent.
-C’est une route ?
-Non c’est l’ensemble des restaurants du Sundgau qui vendent des carpes frites.
La serveuse s’approcha :
-Vous avez choisis ?
-Je vais prendre des Fleischschnacka. répondit Thomas
-Pareil.
-Et en boisson ?
-Un coca pour moi. lança Lucie.
-Et une bière.
Dans le restaurant un homme s’avança, le propriétaire, il venait s’assurer de la qualité du service et de la nourriture ainsi que saluer les clients et bavarder avec ceux qu’il connaissait. Il s’approcha de Thomas et Lucie et fixa le jeune homme un petit moment.
-On se connait non ? demanda-t-il.
-Je suis Thomas Steiner, le fils de Marion et Julien.
-Ah oui, bien sûr ! Le petit Thomas. On peut dire que tu as grandit depuis le temps où tu jouais sur la terrasse avec le petit Victor. Euh... J’ai appris pour tes parents et pour Jason, je suis désolé.
-Merci.
-C’est ta petite amie ?
-Non, c’est une collègue. 
L’homme prit une chaise et s’assit.
-Vous ne cuisinez plus ? demanda Thomas.
-Non, à cause de mon dos, il me fait souffrir. Et toi le boulot ça va ?
-Je suis dans l’armée de Napoléon.
-Tu es gradé ?
-Commandant.
-Eh ben. Qui aurait pus croire que tu grandirais aussi vite, quand je me rappelle l’époque où tu bleutais avec tes copains ?
-C’est quoi bleutait ? demanda Lucie.
-Quand on sèche les cours. répondit Thomas.
-Hopla, je dois y aller, je passerais vous voir plus tard. Eh mon p’tit, das isch a schöne Stück ! dit-il en lui tapotant l’épaule. (Traduit par : ça c’est un canon. Littéralement : ça c’est un beau morceau)
-Il a dit quoi ? demanda Lucie.
-Que vous étiez jolie.
La jeune femme haussa un sourcil.
-Vraiment ?
Il hocha la tête. La serveuse arriva et déposa les boissons sur la table ainsi que les plats. La jeune femme ne paraissait pas convaincue.
-Je vous dis la vérité, pourquoi je vous mentirais ? Mangez maintenant, ça va être froid.
La jeune femme baissa la tête pour se concentrer sur son assiette. Durant tout le repas la jeune femme raconta son enfance auprès de ses parents.
-J'ai passé mon enfance en banlieue parisienne, expliqua-t-elle. Napoléon est le frère de ma mère et c'est lui qui m'a donné le goût pour l'armée. Je ne devais même pas avoir dix ans qu'il me racontait déjà les victorieuses batailles de nos ancêtre Napoléon et Louis-Napoléon. A cette époque il me disait qu'un jour ce serait notre tour de régner sur l'Europe et que s'il y arriverait il ne ferait pas les mêmes erreurs que nos ancêtres. Je n'y ai jamais vraiment cru jusqu'au moment où il a prit le pouvoir il y a presque quatre mois.
-Vous l'aimez bien votre oncle n'est-ce pas ?
-Oui, c'est vrai et c'est réciproque je pense. Lorsqu'il ne sera plus là c'est moi qui serais à la tête de l'Europe... enfin si l'Empire existe toujours d'ici là.
-Mouais, mais il faudrait déjà qu'il arrive quelque chose à votre oncle... Et c'est plutôt à un homme de prendre ces responsabilités...
-Je ne vous imaginais pas aussi macho... Je vous signal qu'en Angleterre il arrive que des femmes règnent, comme Élisabeth II à la fin du XXe.
Le jeune homme haussa les épaules.
-Et vous Thomas ? Vos parents comment étaient-ils ?
-Ma mère était très belle. C’est elle qui m’a transmit ses cheveux roux. Elle a toujours respecté mes choix et m’a encouragé à devenir militaire comme mon cousin lorsque j’en ai exprimé le désir. J’avais treize ans. Mon père lui voulait faire de moi un homme d’affaire ou un médecin, j’étais intelligent et j’avais d’excellentes notes en mathématiques et en biologie. Il détestait le choix de son neveu Jason et le mien aussi. Il a toujours idéalisé le Victor, mon autre cousin, c'était un garçon plus calme mais pas aussi intelligent. Il avait six ans lorsque ses parents sont morts, moi j’en avais neuf. Ma mère a beaucoup pleuré son frère et s’est très bien occupé de Victor, nous étions sa seule famille. Ma mère et Jason se sont fait tuer le 12 août.
-Et où est-il ce Victor maintenant ?
-A Paris depuis qu’on a déménagés il y a cinq ans. Je crois qu'il soutient la Résistance.
-Mais vous n’en êtes pas sûr ?
-Mon cousin n’a que seize ans, son esprit est malléable.
-On dirait que le coup d'État de mon oncle vous a arraché toute votre famille, dit-elle d’une voix douce.
-Je m’en reconstruirais une de famille s’il le faut vraiment.
-Tout le monde a une famille… Même mon oncle.
-Je sais, murmura le jeune homme. Pour l’instant je suis bien comme je suis et j’aime ce que je fais, je crois en l’idéal de votre oncle et je l’aiderai jusqu’à mon dernier soupir.
La serveuse vint débarrasser leur table. Le patron du restaurant revint, une bouteille et trois petits verres à la main. Il s’assit près d’eux et déposa le tout sur la table.
-Un peu de Schnapps ? demanda-t-il.
Thomas sourit :
-Je ne suis pas très alcool… encore moins quand il est fort… Et puis on doit prendre la route.
-Vous venez d’où ?
-Sierentz.
-Mais ce n’est pas loin, il n’y a pas beaucoup de flics en ce moment… Et puis tu es commandant, tu pourras t’en sortir. Allez, juste un schluck, c’est moi qui invite. C'est du bon, mon grand-père en faisait, quand il n'y avait pas encore de législation.
Il déposa le petit verre devant lui.
-Et madame ? Elle en veut ?
-Mademoiselle… Oui je veux bien goûter… Mais juste un peu.
Le patron du restaurant lui servit quelques gouttes et se servit lui-même.
-Hum… C’est fort… murmura Lucie qui avait manqué de s’étouffer en goutant le liquide.
-Vous n’êtes pas obligés de tout boire, fit l’homme, je sais que c’est dur si vous n’êtes pas habitués.
Thomas avala une petite gorgée et reposa le verre. L'eau-de-vie lui brula d'abord la bouche puis il arriva à sentir le léger arrière goût de quetsche lorsque la chaleur se dissipa.
-C’est bien mon petit, je t’épargne le reste, je sais que tu n’as pas l’habitude.
-Merci. Je crois qu’on va y aller, on va devoir se lever tôt je pense. murmura Thomas en se levant.
Lucie l’imita et enfila sa veste.
-Bien au revoir Thomas. J’étais content de te revoir.
-Au revoir.
Ils se serrèrent la main et ils allèrent payer et rentrèrent.
Sur la route les deux jeunes gens n'échangèrent pas une parole. Thomas était gêné par l'aspect de lui qu'il venait de dévoiler à Lucie. Pourtant il savait que c'était nécessaire. Arrivé à la caserne, le jeune homme la salua.
-Bonne nuit Lucie. murmura-t-il.
Elle sourit et s'approcha pour l'embrasser sur les lèvres. Un doux baiser agréable et plein de chaleur.
-Dormez bien Thomas.
Le jeune homme cligna des yeux, étonné par ce geste inhabituel, et regarda la jeune femme s'éloigner de lui. Il avait l'impression d'avoir rêvé mais il ne fallait pas se laisser déstabiliser par ses sentiments... C'est ce que Jason lui aurait dit. Il le savait. Il ne sut soudain plus quoi penser, son cousin avait tué sa mère et il continuait à se souvenir de lui comme un mentor, un frère, un père... Et pourtant Jason Steiner avait étranglé sa mère de ses propres mains, parce qu'il l'avait sans doute considérée comme dangereuse à un moment. S'il l'avait fait c'est qu'il devait avoir ses raisons... Comme lui avait tué son père pour de bonnes raisons, mais Thomas persistait à penser que s'il avait pu tout expliquer à sa mère elle aurait comprit et aurait soutenu Napoléon. Il en était persuadé.
Thomas cligna à nouveau des yeux, il semblait sortir du sommeil, et se mit en route pour les dortoirs, il avait mérité une nuit de repos. Il se déshabilla et se coucha. Il n'y avait pas grand monde de présent dans la pièce, et ceux qui étaient là dormaient déjà.


Dernière édition par Rima68 le Jeu 13 Jan 2011 - 14:26, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeMer 12 Jan 2011 - 0:57

Content d'avoir pu t'aider Wink Effectivement un groooooos chapitre. mais pas mal fait Smile Cette sortie est amusante et mimi, et j'ai appris des choses Smile

Citation :
Le jeune homme retourna à sa voiture, l’émeute avait tout ravagé dans la rue principale, par chance il avait bien caché la voiture et en plus elle était immatriculée allemande et non pas française, les jeunes avaient dû l’épargné s’ils l’avaient trouvée.
phrase bp trop longue et pas très claire. (genre tu devrais mettre un point avant "par chance"

aussi : "avaient dû l'épargner"

surtout que juste après il prends la voiture... faudrait développer un peu on se perds dans cette phrase ^^

Citation :
-Excusez moi mon colonel a ne se reproduira plus.
ça

Citation :
tous les gouvernements se sont soumit
soumis ( dans ces circonstances on ne dit pas "ont capitulés" ? je suis pas sûr Razz )

Citation :
Allemagne à réussit
réussi

Citation :
vous rentrez à Pris,
paris

Citation :
Après tout on a eut une dure journée.
c'est rien de le dire Very Happy (eu)

Citation :
-Ben oui on ne va pas y aller comme ça… Vous avez emmené des habits de civil au moins ?
Les paroles sont pas mal, mais le dialogue gagnerait avec quelques gestes et communications non verbales en plus. (genre est ce que Lucie est amicale, flirt ouvertement, est ce qu'elle lui eflleure le bras, est ce qu'elle lui tape sur l'épaule.... tu vois des infos comme ça qui donnerait de l'ambiance.)

Citation :
, il sortait avec la nièce de Napoléon
peut être un peu familier vu le contexte non ? genre ça ferait plus écrasant, plus immense s'il disait "la nièce de l'empereur" (tum tum tum tudum.... *musique de l'empereur*)


Citation :
il devait occuper son esprit pour ne pas penser à l’impensable.
Tu devrais préciser un peu plus... il vient quand même de torturer un gamin, de voir des morts dans les rues... juste dire que ses drames personnels sont plus forts que ceux là ça donnerait de la puissance.

Citation :
c’était toujours remplit
rempli

Citation :
-Fleischschnacka… Euh, c’est de la viande de pot-au-feu enroulée dans une pâte à nouille assez épaisse, et servit dans de la sauce tomate. La traduction en français est escargot de viande.
ça a beau être imprononçable... ça donne faim Very Happy

Citation :
-Très. Tu sais il n’y a pas que de la choucroute en Alsace.
::angel:: ::angel:: j'apprends des choses grâce à toi.....

Citation :
Qui aurait pus croire
pu

Citation :
elle avait grandit en banlieue parisienne.
grandi

... alors ce sera peut être difficile à écrire... mais ce dialogue là j'aimerais ENORMEMENT l'entendre. c'est même celui qui serait sans doute le plus intéressant, connaitre la jeunesse de napo-nou-net vu par les yeux de Lucie.... ben ça me semble génial comme idée surtout raconté directement.

Citation :
Il a toujours idéalisé le Victor, mon autre cousin, il était plus calme
deux il pour deux personnes différentes dans la même phrase ça va pas.

Citation :
Ma mère et Jason se sont fait tués le 12 août.
tuer

Citation :
e crois qui soutient la Résistance.
qu'il

Citation :
je l’aiderais jusqu’à mon dernier soupir.
aiderai

Citation :
Thomas avala une petite gorgée et reposa le verre.
ça pourrait être intéressant de décrire le gout. (pour l'ambiance)

Citation :
Un doux baiser agréable, chaud et doux.
doublement doux ? et aussi : ::copain:: ::copain:: trop mimi Smile


Pas mal du tout... quelques petits trucs à revoir, mais dans l'ensemble le style est plutôt bon. un repos bienvenu après la baston Wink
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeMer 12 Jan 2011 - 15:57

Fleischschnacka imprononçable ?! Moi je ne trouve pas... Je veux dire qu'il y a pire : les Suerlawerla servit avec des spätzle... Vas-y pour prononcer correctement. (sauf Späzle car tout le monde adore ça ^^.
Voici une image pour les fleischschnackas :
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/4a/Fleischschnacka.JPG
Bon là ils sont servit dans du bouillons mais moi je préfère la sauce tomate Wink à gouter lors d'un passage en alsace (inculte, tu croyais qu'il n'y avait que la choucroute chez nous c'est comme si je disais qu'il n'y a que des escargots en bourgogne...)
Bref merci pour les commentaires, j'ai tout modifier... pour le schnapps j'ai essayé de décrire mais c'est pas facile surtout que j'ai du en gouter une fois... c'est assez fort comme eau-de-vie et en alsace c'est à la quetsche comme beaucoup de choses (tartes par exemple).
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeJeu 13 Jan 2011 - 14:05

Miammmmmmm bon ben le jour où je débarquerai en Alsace (si je me trompe de train, si le gps se perds, si les aliens après m'avoir enlevé décident de me lâcher par là....) je sais ce que je vais manger Smile
Pas besoin de prononcer je ferai semblant d'être sourd muet et je pointerai sur le menu Smile (contrairement à tes personnages je peux pas promettre de faire un repas sans alcool ^^)

Citation :
(inculte, tu croyais qu'il n'y avait que la choucroute chez nous c'est comme si je disais qu'il n'y a que des escargots en bourgogne...)
Parce qu'il y a autre chose ? Je suis parisien tu sais, pour moi l'étranger commence après le périphérique extérieur Wink

Alors je remonte en arrière.... pas mal l'intervention de Lucie sur son enfance avec Napo... ça nous informe enfin sur sa personnalité et sa vie... quelques petites remarques qui me sautent aux yeux :

Citation :
-Vous l'aimez bien votre oncle n'est-ce pas.
manque un point d'interrogation.

Citation :
Lorsqu'il ne sera plus là c'est moi qui serais à la tête de l'Europe..
déjà : "serai" et surtout Ikkkkkkkkk affraid (ça ne choque pas Thomas ça ? Il était pour qu'un homme fort prenne la tête de l'état pour "arranger les problèmes" mais retourner à une transmission du pouvoir par le sang, c'est quand même un niveau au dessus, non ? )

Citation :
si l'Empire existera toujours d'ici là.
existe

Citation :
L'eau-de-vie lui brula la bouche mais il arriva à sentir le léger arrière goût de quetsche.
hum.... pas exactement ça Smile (demande donc à un alcoolique reconnu... ) je dirais plutôt que le gout de fruit apparait à mesure que la brulure se dissipe, que d'abord tu as la chaleur et ensuite tu apprécie le gout... (tu vois la nuance ? ^^)

Citation :
Il en était persuader.
persuadé.

Et ben c'est pas mal... de mieux en mieux Smile (du sang ! )
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeJeu 13 Jan 2011 - 15:28

Mouais, je vois bien le parisien que tu fais... inculte !
Sinon j'ai corrigé, pour la transmission par le sang quel problème ? C'est un empire, le fils de Louis-Napoléon Bonaparte était prince et aurait du reprendre le trône si son père ne s'était pas fait destitué...
Ah au fait j'ai oublié de préciser, quand ils boivent, un schluck en alsacien c'est une gorgée, c'est rentré dans le vocabulaire courant, quand quelqu'un boit une a bouteille on lui demande si "on peut avoir un schluck " et ça se prononce "chlouk"...
Voici la suite :

Chapitre 14 :

Thomas se réveilla en sueur le lendemain. Il se redressa, un cauchemar était à nouveau venu le hanter. Ça commençait à l'agacer ces cauchemars qui ne s'arrêtaient jamais et qui le torturaient, lui rappelant les pires moments de sa vie. Il avait toujours eut ça, même étant enfant, il faisait des cauchemars, la nuit pour lui avait longtemps été source d'angoisse. Le jeune homme se leva et enfila son treillis bleu foncé. Il s'installa dans la cuisine improvisée pour boire un peu d'eau et avaler un antimigraineux pour calmer la migraine qui débutait et qui l'épuiserait encore plus si elle s'installait totalement. Il s'assit à la petite table et la porte s'ouvrit sur le colonel Lemaitre.
-Ça ne va pas commandant ? demanda le colonel.
-J'ai un début de migraine. répondit-il.
-Ça ira ?
-Oui je pense, j'ai de quoi la calmer.
-Vous avez bu hier soir, ça peut venir de là.
-Juste de la bière, et qu'un verre, ça ne cause pas autant de dégâts. Ne vous inquiétez pas, je serais capable d'assumer mes responsabilités aujourd’hui.
-Je viens de recevoir un message de l'Empereur, il veut que vous rentriez à Paris aujourd'hui. Il a besoin de vous là-bas.
-Pourquoi?
-Je n'ai pas pour habitude de discuter les ordres commandant. Il veut que vous alliez là-bas point.
-Et la voiture que j'ai louée pour rentrer de Freiburg ?
-Je demanderais à un officier de la ramener aujourd'hui. Vous prendrez le train de huit heures pour la gare de l'est puis vous vous rendrez en taxi à la base militaire habituelle où il vous attend.
-Très bien. De toute façon je n'ai pas le choix.
Le colonel Lemaitre secoua la tête.
-Quelle heure est-il ? demanda le jeune homme.
-Six heures trente.
-Je vais me préparer.
Il se leva, si Napoléon le convoquait c'était pour un raison précise, il s'en doutait... A moins que la seule raison pour laquelle il lui demandait de rentrer était pour l'avoir auprès de lui... Tout le monde disait, dans son dos, que l'Empereur voulait faire de lui son homme de main, son bras droit, son second. Si c'était le cas, il en serait honoré. Il s'accroupit près de son lit et récupéra ses affaires, fit son lit et partit prendre une douche dans la salle de bain. La pièce était déserte et il avait besoin de se laver, de mouiller se cheveux encore collés par le gèle qu'il avait mit la veille. Il se sécha, s'habilla et rejoignit le rez-de chaussée. La gare n'était pas très loin et il avait espéré revoir Lucie avant de partir. Mais il ne la verrait pas, avant de penser à descendre elle irait manger et se changer. Vêtu de vêtements de civil il quitta la caserne pour le chemin de la gare. Il s'installa dans le train près à partir. Il n'avait pas besoin de billet, la seule présentation de sa carte de militaire lui donnait accès à tout les trains gratuitement, on ne lui ferait d'autant moins de problème qu'il était assez hautement gradé, il n'y avait pas de raison qu'on ne l'ennuie. Le train se mit en marche, tout doucement.
-Je peux m'assoir? demanda un homme. Tout le wagon est plein.
Thomas hocha la tête et l'homme s'assit en face de lui.
-Je m'appelle Lucas Schweitzer, je me rends à Paris. Vous connaissez bien la capitale ?
-Oui, j'y vis depuis cinq ans.
-Ça ne doit pas être facile en ce moment, avec les récentes rébellions contre le nouveau régime politique...
Thomas sourit :
-Les rébellions c'est moi qui les arrêtes.
-Ah, vous êtes soldat.
-Je ne suis plus soldat depuis longtemps, mais je suis dans l'armée.
-C'est le boulot idéal dans un tel régime... Au moins on ne risque pas de vous soupçonner d'être pour la République...
-C'est vrai.
-Vous ne m'avez pas dit votre nom. Vous êtes alsacien ?
-Oui je suis alsacien, je m'appelle Thomas Steiner.
-Ah oui ! Je vous ai vu à la télé il y a quelques semaines, vous êtes une vrai célébrité partout en France.
Le jeune homme fronça les sourcil, il savait que la mort de son père avait été très médiatisé, même si on avait tut le lien de parenté entre la victime et l'assassin.
-C'est bizarre, continua Lucas, il y a quelques années encore, c'était les star du show-biz qui étaient aussi médiatisées et appréciées des gens, maintenant ce sont les militaires. Les Résistant ont beau dire, la plupart des français pensent que Napoléon va enfin faire le ménage en France.
-En France et en Europe, fit remarquer Thomas.
-Vous avez raison... Il doit avoir une sacrée armée l'Empereur s'il est arrivé à prendre presque tous les pays frontaliers à la France en une journée.
Thomas sourit et se tut. Ça l'intéressait de connaître l'avis des français, d'après cet homme ils étaient plutôt favorables à l'ascension de Napoléon... Du moins pour le court terme. Les français ne pensaient que rarement au long terme...
Le jeune homme passa tout le temps du voyage à écouter l'homme en face de lui qui lui racontait sa vie. Le contrôleur ne vint qu'une seule fois contrôler leur billets et ne tenta pas de discuter avec le militaire. A présent, grâce à Napoléon, les militaires n'étaient plus vus comme des tires au flanc mais étaient respectés. L'Empereur tentait de faire naitre de l'admiration dans l'esprit des plus jeunes citoyens de l'empire. De l'admiration pour la profession de militaire ainsi que pour les personnes qui ont réussit dans cette carrière.
Au bout de trois heures de train, le jeune homme salua Lucas Schweitzer et prit le taxi qui le conduisit jusqu'à la base militaire près d'Argenteuil. Il monta doucement les marches jusqu'au bureau de l'Empereur, toqua à la porte et entra.
-Ah ! Thomas, c'est toi ! s'écria Napoléon. Je suis content de te voir. Je te félicite pour ta mission en Allemagne.
-Je n'ai pas eu le temps de la terminer monsieur.
-Je sais. Viens, assieds toi.
Le jeune homme obéit et s'assit en face de son Empereur.
-J'ai besoin de tes capacité mon garçon, continua ce dernier.
-Pour quoi faire monsieur.
-Les suisses ont besoin d'un leçon. Je veux que tu mène un petit escadron d'avions de chasse pour survoler le territoire suisse et lâcher des missiles sur le territoire lorsque le colonel Lemaitre t'en donnera l'ordre. Tu es le seul commandant pilote libre actuellement.
-J'aurais pu décoller de l'aéroport Bâle-Mulhouse... Ils font aviation militaire depuis peu...
-Je te rappelle que c'est un aéroport suisse, allemand et français, même s'il se trouve sur notre territoire.
-C'est vrai, je n'y avais pas pensé.
-Tu décolleras donc de l'aéroport militaire où tu as appris à voler. On m'a dit que tu étais bon pilote et que tu apprenais vite. On verra donc ce que tu vaux lors d'une attaque aérienne. Une cinquantaine d'appareils t'accompagneront.
-Je ferais selon vos ordres monsieur.
-Parfait, dans ce cas file enfiler un uniforme et va te mettre en route, il faut partir aussi vite que possible, car on pourra ainsi mater ce pays rebelle. Et oui ce sera finit pour eux la liberté. J'ai mis quelqu'un d'autre pour la Belgique qui cause autant de difficultés à nos soldats que la Suisse.
-Bien monsieur. Je vais me préparer.
Le jeune homme se leva et sortit du bureau de Napoléon pour aller se changer au vestiaire. Thomas pris ensuite la route de l'aérodrome. Une fois arrivé on lui fit prendre connaissance des membres de son escadron, il monta dans son avion et ils décollèrent. La centaine d'appareils répondait présent à l'appel, ils pourraient donc attaquer.
-Base militaire, ici le commandant Steiner.
-Commandant Steiner, nous vous mettons en liaisons avec le colonel Lemaitre en Alsace.
-Commandant ? Vous me recevez ? demanda Lemaitre.
-Cinq sur cinq mon colonel.
-Bien prévenez moi lorsque vous approcherez de la frontière.
-Bien mon colonel.
Thomas communiqua aux membres de son escadron pour leur donner l'ordre de se mettre en formation d'attaque une fois arrivé à la frontière suisse. Le jeune commandant se rendit soudain compte à quel point il était agréable de voler, d'avoir cette impression de liberté qu'on ne ressentait que lorsqu'on était en vol, il avait la sensation que personne ne pouvait l'ennuyer, il éprouvait le sentiment d'être invincible. Il remarqua la formation d'attaque entamée par ses coéquipiers, il se plaça devant eux.
-Colonel ? demanda Thomas.
-Commandant, demandez a à vos hommes de viser les villes, trois fois. Pas une de plus, pas une de moins, sauf contrordre de ma part ! Je vous laisse le choix des cibles.
-Bien mon colonel.
Thomas avança, il reconnut, le Spalentor, monument historique de la ville de Bâle, il savait donc exactement où il était. Il ne voulait pas détruire cette énorme porte datant de plusieurs centaines d'années, il se souvenait de sa mère le laissant courir en dessous pour aller voir le carnaval de la ville Suisse. Il sourit à ce souvenir.
-Numéro deux, tirez sur le centre ville, évitez les monuments...
-Cinq sur cinq mon commandant, c'est comme si c'était fait.
L'avion du désigné s'éloigna quelque peu de la formation et lâcha un missile qui s'écrasa au milieu d'une route.
-Numéro six tirez sur Bern, je m'occupe du troisième tir, ordonna l'officier.
-Bien mon commandant.
Accompagné du reste de l'escadron, Thomas vola jusqu'à Lausanne, et tira sur des habitations. Il vit des débris voler en éclat et se douta qu'il venait d'assassiner des innocent, mais il n'avait pas le choix.
-Maintenant commandant, continuez à survoler le territoire suisse jusqu'à nouvel ordre, il faut que les habitants sachent qu'il y aura des représailles s'ils continuent à se révolter.
-A vos ordres mon colonel.
Thomas sourit, c'était exactement ce qu'il fallait faire, il le savait, il connaissait l'esprit humain, il savait que seules les représailles entrainaient une réaction convenable de la part des citoyens du pays conquis. Il avait fallut de nombreuses représailles jusqu'à ce que les français acceptent l'Empire, il faudrait faire de même pour tous les autres pays qui seront bientôt membre de l'Empire. C'est la peur qui imposait le calme sous une dictature. Thomas le savait. Napoléon pouvait aussi les menacer avec une arme nucléaire même si, il en était convaincu, Napoléon ne l'utiliserait pas car la Suisse était trop proche... et le pays trop beau, il faisait un lieu de vacance paradisiaque... surtout pour le ski. Mais ça le gouvernement suisse n'avait pas besoin de le savoir. Le jeune homme sourit, il se sentait bien.
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeSam 15 Jan 2011 - 14:12

Mwhahahah je suis un parisien de souche, chiant, cassant, méprisant, ça ne se sentait pas ? (à ma décharge j'ai fait de mon mieux pour fuir le milieu parisien presque la moitié de ma vie, ça compte ?)

La transmission par le sang me fait tiquer parce que ça fait quand même 200 ans qu'on a aboli le truc. Que les gens soient d'accord pour mettre une homme "fort" au sommet de l'état, un conquérant, un "protecteur" tu l'as bien expliqué, aucun problème, mais... pour moi rétablir la transmission du pouvoir par le sang c'est quand même une notion différente qui pourrait faire reculer quand même. (ça prouve déjà que le truc n'est pas une "solution de crise" qu'il n'y a aucun plan pour un retour graduel à la démocratie.... )

noté pour le schluk Smile
Citation :
un cauchemar était à nouveau venu le hanter. Ça commençait à l'agacer ces cauchemars qui ne s'arrêtaient jamais et qui le torturaient,
répétition de cauchemar un peu rapidement. (et encore une fois juste après ^^)



Citation :
, la nuit pour lui avait longtemps été source d'angoisse
mériterait d'être une phrase à part.

Citation :
. Il s'installa dans la cuisine improvisée pour boire un peu d'eau et avaler un antimigraineux pour calmer la migraine qui débutait
niveau sonorité, avoir deux fois "pour" si vite je trouve ça un peu laid.

Citation :
-Oui je pense, j'ai de quoi la calmer.
pour plus d'efficacité, je virerais "oui je pense"

Citation :
Il veut que vous alliez là-bas point.
pour éviter de répéter "là bas" tu pourrais essayer quelque chose comme "il vous attend, point."

Citation :
Je demanderais à un officier de la ramener aujourd'hui
demanderai

Citation :
-Très bien. De toute façon je n'ai pas le choix.
en milieu militaire on dirait plutôt "a vos ordres" non ?

Citation :
collés par le gèle
gel

Citation :
si on avait tut le lien de parenté entre la victime et l'assassin.
tu
... si le truc étiat légal, il n'est pas un assassin, mais un exécuteur de justice... non ?


Citation :
Les Résistant ont beau dire
résistants

Citation :
A présent, grâce à Napoléon, les militaires n'étaient plus vus comme des tires au flanc mais étaient respectés.
euh... j'ai jamais eu cette opinion ^^

Citation :
pour la profession de militaire ainsi que pour les personnes qui ont réussit dans cette carrière.
qui avaient réussies


Citation :
Et oui ce sera finit pour eux la liberté
fini
Citation :
il monta dans son avion et ils décollèrent
je comprends que c'est pas forcément super intéressant mais ça fait beaucoup de chose très vite. Je veux dire une mission de bombardement ça nécessite de longs briefing, de la préparation...

Citation :
demandez a à vos hommes de viser les villes, trois fois
hum... le chasseur c'est pour attaquer une cible précise. Quand on attaque une ville dans le but de casser le moral de la population, on envoie plutôt des bombardiers.

Citation :
Accompagné du reste de l'escadron, Thomas vola jusqu'à Lausanne, et tira sur des habitations. Il vit des débris voler en éclat et se douta qu'il venait d'assassiner des innocent, mais il n'avait pas le choix.
une des choses importantes en avion tu ne vois pas les conséquences de tes tirs. Tu peux à la limite voir le reste de l'explosion derrière toi, mais pas plus tellement un avion va vite... (En hélicoptère c'est pas pareil)

Citation :
il faudrait faire de même pour tous les autres pays qui seront bientôt membre de l'Empire. C'est la peur qui imposait le calme sous une dictature.
Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil la peur et la propagande Smile

Et ben voilàààààà du sang Very Happy c'était pas compliqué quand même Smile (joli passage Wink )
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeSam 15 Jan 2011 - 14:39

Pour la transmission par le sang, ce n'est pas forcément encore officiel... Mais ce sera le cas le moment venu si tu vois ce que je veux dire. Napoléon a déjà en tête ce moyen de transmission, il veut que le pouvoir reste dans la famille coute que coute. Son système est une "solution de crise" qui permet à Napoléon de prendre le pouvoir et de le garder ^^ c'est donc fait pour durer jusqu'à ce qu'on vienne anéantir le système... comme Vichy, le 1er et le 2nd empire, la Restauration etc. et ça peut prendre quelques années Wink surtout face à une capacité militaire qui s'agrandit de jours en jours...
C'est noté pour les correction, merci Smile
Voici la suite :
Chapitre 15 :

Au bout de quelques heures le colonel Lemaitre leur demanda d'atterrir à Paris car un autre escadron était en route. Il faisait nuit et de la neige avait commencé à tombé sur la capital lorsque les avions se posèrent. Thomas descendit de son appareil tel un automate. Les pilotes s'approchèrent de lui.
-Joyeux Noël commandant. crièrent-ils en cœur.
-Euh, joyeux Noël. répondit le jeune homme.
Il baissa doucement les yeux sur sa montre alors que les pilotes en congé s'éloignaient. Ils étaient bien au 24 décembre 2045 et il était sept heures du soir. Le premier Noël qu'il allait passer seul, sans sa famille, sans ses parents et sans Jason. Le jeune homme soupira. Il venait d'offrir un beau cadeau de Noël aux nombreux suisses sur lesquels il avait lâché ses missiles. Mais c'était les ordres, eux n'auraient pas hésité à faire de même dans des circonstances similaires... Après tout Noël était un jour comme les autres. Pourtant tous les soldats qui avaient pu rentrer chez eux ce soir pourraient passer leur Noël en famille, avec leur parents, leur frères et sœurs, leur compagne ou compagnon, mais lui n'ayant plus aucune famille, il le passerait seul devant sa télé tel un vieillard rattrapé par son isolement. Un vieillard au moins avait ses souvenirs... Lui n'en avait pas d'assez agréable pour vouloir s'y replongé un soir de Noël. Il soupira et prit le chemin de la base. Il prit un taxi et entra dans la base. Celle-ci était très peu peuplé, la plupart des militaires étaient rentrés chez eux, ceux obligés de rester en astreinte étaient dans la salle commune en train de regarder un film en grignotant, ou alors ils étaient dans leur bureau. Il se rendit dans les vestiaires, tout était vide. Il poussa un soupir, il se souvenait de l'année précédente, vers six ou sept heures du soir, alors qu'il sortait de la douche, son cousin Jason était venu le chercher pour le ramener aller fêter avec Julien et Marion, à cette époque il n'aurait jamais pensé que tant de chose pouvaient changer... en si peu de temps. Une larme perla sur sa joue il l'essuya avant d'entendre des pas dans le couloir. Il se retourna et vit Napoléon s'avancer vers lui.
-Félicitation pour ta mission aérienne Thomas, maintenant je sais ce que tu vaux.
-Merci monsieur.
-Tu n'as personne avec qui fêter Noël n'est-ce-pas.
Le jeune homme secoua la tête.
-Dans ce cas viens fêter avec nous, ma nièce sera là, j'ai l'impression qu'elle t'aime bien.
-Je... je ne peux pas accepter monsieur. répondit Thomas.
-Et pourquoi pas ?
-Je... C'est une fête familiale et je ne suis pas de votre famille.
-Dans ce cas nous ferons comme si tu étais de notre famille.
-C'est beaucoup trop d'honneur monsieur.
-Dépêche toi de te changer, enfile de beaux habits et rejoins moi dans mon bureau.
-Bien monsieur.
L'Empereur s'éloigna et Thomas se glissa sous la douche. Il était gêné de s'imposer dans la famille de Napoléon, mais il n'avait plus vu Lucie depuis deux jours et il voulait tirer leur relation au clair. Il n'en aurait peut être pas l'occasion, c'était Noël après tout. Il sortit de la douche et enfila une chemise et un pantalon de costume. Il avait mis de tout dans son casier ; au cas où... et c'était toujours utile. Il commença à coiffer ses cheveux roux avec le peu de gel qui lui restait, il avait envie de faire bonne impression, puis il mit un veston avant de remonter, son manteau sur le bras. La porte du bureau de Napoléon était ouverte, il s'avança et toqua.
-Entre mon garçon, je suis presque prêt. murmura l'Empereur.
-Je n'ai rien à vous offrir pour Noël monsieur.
-Je n'ai besoin de rien, tu as déjà assuré la réussite de la mission en Allemagne ainsi que la mission aérienne cet après-midi. Je te dois beaucoup.
-Merci pour votre invitation monsieur.
-Je pense que tu as bien besoin de te changer les idée, tu as eu une fin d'année éprouvante. Allez, on y va.
Napoléon ne s'était pas changé, il était de toute façon la plupart du temps en costume-cravate, ce qui était normal pour un chef d'État. Ils descendirent les marches quatre à quatre jusqu'au parking sous-terrain où une voiture avec chauffeur attendait. Ce dernier leur ouvrit la porte pour les laisser entrer dans le véhicule. Le jeune homme regarda autour de lui, l'intérieur était entièrement en cuir, et l'arrière était spacieux, assez pour accueillir trois hommes assis. Il se sentait mal à l'aise, lui avait toujours vécu de façon modeste, ses parents n'avaient pas énormément d'argent, même si assez pour les faire vivre convenablement et dans le bonheur. Le chauffeur semblait parfaitement savoir où il devait aller car il démarra sans que Napoléon ne lui donne une quelconque indication.
-Je suis en train de me faire construire un palais Thomas. Ici même à Paris. J'ai fait détruire quelques habitation vides et inutiles à Neuilly et j'ai validé les plan de mon future palais ; un mélange architectural du Louvre et de l'Élysée ; Louvre symbole de mon ancêtre Napoléon III et l'Élysée, symbole de la République. Il sera sans doute plus petit que le palais du Louvre et l'intérieur sera totalement original.
-Il sera magnifique monsieur, je n'en doute pas. Et où allons nous ce soir ?
-Chez ma sœur. Je l'ai déjà prévenu de ta venue, elle hésitait au début mais Lucie a insisté, elle t'apprécie beaucoup.
-Je sais.
La voiture s'arrêta devant une belle maison avec un petit jardin, le chauffeur vint leur ouvrir la portière. Il faisait froid dehors, mais la porte de la maison s'ouvrit.
-Venez, entrez. s'écria une voix de femme.
L'Empereur prit un sac en papier dans le coffre et se dirigea vers la porte et fit signe à Thomas de le suivre. Le jeune homme obéit et grimpa les trois marches qui menaient à la porte, il regarda Napoléon serrer la femme dans ses bras, surement sa sœur.
-Bonsoir, dit-elle en le voyant, vous êtes Thomas ?
-Oui.
-Entrez. continua-t-elle en souriant.
Le jeune homme observa l'entrée, c'était une pièce assez simple mais bien décorée, la femme guida ses deux invités dans un salon ou siégeait un sapin décoré ainsi qu'une télévision, qu'un homme assit sur un fauteuil éteignit. Il se leva et vint serrer la main de Napoléon puis celle de Thomas.
-Vous êtes le fameux Thomas ? Tout le monde me parle de vous ici, aussi bien ma fille que mon beau-frère. s'exclama l'homme sur un ton chaleureux.
-Bonsoir. dit-il un peu gêné. Je n'étais pas prévenu, je n'ai rien amené.
-Je sais, vos dernier jours ont du être chargés, Napoléon a pour habitude de surmener les gens qu'il apprécie.
-N'exagère pas Philippe, qu'elle image aura-t-il de moi après ? répondit l'intéressé.
-Je... ça ne risque pas monsieur.
-Tant mieux dans ce cas. fit l'empereur avec un sourire.
Napoléon s'approcha du sapin pour y déposer les paquets que contenaient le sachet de papier.
-Tu me préviens s'il t'exploite. souffla Philippe à l'oreille de Thomas.
Au même moment Lucie arrivait dans le salon. Elle sourit à Thomas avant d'aller voir Napoléon.
-Bonsoir mon oncle, joyeux Noël.
-Bonsoir Lucie. dit-il en l'embrassant sur les deux joues. Tu as vu qui j'ai ramené ? Il était tout seul pour Noël.
La jeune femme s'approcha du jeune homme.
-Salut.
Thomas sourit, ne sachant que dire. Lucie lui fit la bise en lui souhaitant un joyeux Noël. La mère de la jeune fille arriva, et incita tout le monde à s'installer à table pour l'entrée. La femme avait acheté du foie gras très bien servit dans des assiettes parfaitement décorée. Des toasts, coupés sur la diagonale, étaient disposés dans un petit panier à pain déposé au milieu de la table.
-Vous nous venez d'où Thomas ? demanda-t-elle pendant le repas.
-D'Alsace.
-Ah, ça explique pourquoi mon frère vous a envoyé là-bas, je suppose que vous parlez bien allemand.
-Oui madame.
-Je t'en prie appelle moi Sara. Tu sais mon frère a beaucoup d'ambition, il ne te fait rarement faire quelque chose sans arrière pensée.
-Sara ! Il va finir par croire que je suis un monstre sans cœur. s'écria Napoléon. Je fais tout ça pour perpétuer l'héritage qu'on aurait du nous donner et que personne n'a osé récupérer depuis la mort de Napoléon III. Thomas et son cousin m'ont aidé sans eux je ne serais pas à la tête de la France.
-Je plaisantais, comme tu savais si bien le faire lorsque nous étions adolescents.
Lucie se leva doucement empilant les assiettes vides qu'elle rapporta à la cuisine. En passant devant lui la jeune femme fit signe à Thomas de le suivre. Le jeune homme prit son assiette et il l'accompagna jusqu'à la cuisine où Lucie avait commencé à remplir le lave-vaisselle.
-Il faut peut être qu'on parle. murmura Thomas.
-De quoi veux-tu parler ?
Ce brusque passage au tutoiement troubla légèrement le jeune homme.
-De l'autre soir.
-Tu avais l'air d'un adolescent qui ne savait pas ce qui lui arrivait. répondit la jeune fille en souriant. J'aurais espéré pouvoir te revoir le lendemain mais...
-Ton oncle m'avait rappelé ici, à Paris.
-Je sais. Si tu ne veux rien commencer je comprendrais, je ne t'ai pas demandé ton avis, je sais que tu as traversé des choses compliquée que je ne pourrais pas comprendre et que...
Le jeune homme s'approcha pour l'embrasser, avec fougue.
-Ça te va comme réponse ? demanda-t-il avec un sourire.
-Oui. Je pense. Tu sais, dès que je t'ai vus dans le bureau de mon oncle, je t'ai trouvé mignon.
Il l'embrassa à nouveau.
-Tu parles trop. murmura-t-il en la prenant dans ses bras.
Elle s'écarta de lui et continua de ranger les assiettes.
-Tu ne fais rien à nouvel an je parie, si on ne nous fait pas rester à la base on pourrait le passer ensemble.
-Même si on sera de service on pourra le passer ensemble. Le plus gros du travail sera donné à l'armée chargée de l'ordre publique et nous n'en faisons pas partie, on aura sans-doute du temps pour nous.
La porte s'ouvrit sur la mère de Lucie.
-Voyons Lucie, Thomas est ton invité, il n'a pas à aller t'aider à la cuisine, ni toi ni personne.
Elle prit le jeune homme par le bras et l'entraina à sa suite, jusqu'à la salle à manger et lui demanda de s'assoir avant de retourner à la cuisine.
-Vous auriez pu engager un bonne. fit remarquer Napoléon.
-Nous avions envie de garder un mode de vie simple. répondit Philippe.
-On peut avoir une bonne et rester simple. Qu'en penses-tu Thomas ?
-Euh... sans doute. répondit l'intéressé d'un air distrait.
-Et vous êtes gradé ? demanda Philippe.
-Je suis commandant.
-Eh ben, si jeune ? Je trouve déjà que capitaine pour ma fille c'était tôt mais alors commandant. Vous avez le même âge non ?
-Je ne sais pas, j'ai dix-neuf ans.
-Dix-neuf ans... Oui c'est vraiment jeune.
-Thomas est très mature et très méritant. expliqua Napoléon. Il sert l'armée depuis qu'il a dix-sept ans.
-Oui, c'est mon cousin Jason qui m'a donné le goût de ce métier, je suis rentré le plus tôt possible dans les écoles d'officiers, j'avais quinze où seize ans. Depuis le début de la VIe République ces écoles étaient devenue accessible plus tôt c'est là-bas qu'on prépare un Bac spécial pour devenir officier. On m'a ensuite mis sous les ordres de mon cousin comme aspirant puis sous-lieutenant. Et puis il est mort.
Le regard du jeune homme se perdit dans le vide, il avait l'air si triste.
-Je suis désolé mon garçon. dit doucement Philippe.
-C'est rien, juste une idée difficile à assimiler. Je m'y habituerais, avec le temps.
Lucie et Sara revinrent de la cuisine avec une dinde aux marrons, ça faisait des années que Thomas n'en avait pas manger. Elles la déposèrent sur la grande table et entreprirent de servir de beaux morceaux aux hommes assis à table.
-Elle est très bonne votre dinde Sara.
-Merci, c'est rare qu'il y ait un militaire aussi bien élevé. répondit-elle en souriant. Il est aussi comme ça sur le terrain ?
-Pas du tout, murmura Lucie, au contraire, on pourrait croire qui va tuer celui qui ne lui obéit pas.
-Il faut savoir se faire obéir. fit doucement le jeune homme.
-Tu as bien raison Thomas.
-Dis mon oncle, on aura la soirée de libre le 31 ? demanda Lucie.
-C'est Noël où Nouvel An, mais pas les deux. Vous avez le choix entre les deux soirées.


Dernière édition par Rima68 le Mer 19 Jan 2011 - 14:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeMer 19 Jan 2011 - 12:26

Je comprends très bien que Napoléon veuille garder le pouvoir dans sa famille, et que il n'ait pas encore officiellement parlé des modalités de successions, c'est pour ça que je me disais que Thomas pourrait être choqué, ou au moins interloqué quand la nièce parle si ouvertement de transmission hériditaire du pouvoir. je me disais que lui pourrait le prendre mal.

Chapitre tranquille, mais intéressant. La famille de Naponounet n'était pas comme je l'imaginais... voilà mes remarques Smile

Citation :
de même dans les mêmes circonstances
tu répètes "même" un peu vite.

Citation :
Un vieillard au moins avait ses souvenirs... Lui pas
... il "a" des souvenirs, juste il n'en a aucun dans lequel il voudrait se replonger... non ? ( je pense que ça pourrait être itnéressant à préciser)

Citation :
Il était gêné de s'imposer dans la famille de son supérieur
... le terme "supérieure est peut être un peu léger dans ce contexte.

Citation :
J'ai fais détruire quelques habitation vides et inutiles à Neuilly
j'ai fait. ( lol! lol! j'aime bien cette phrase... s'il voulait faire raser certaines écoles dans la même ville où j'ai de mauvais souvenirs je vote pour napoléon)

Citation :
un mélange du Louvre et de l'Élysée
heu..... c'est chaud ça. Le louvre est un palais immense, l'élysée plus un hotel particulier... ça se mélange difficilement. Tu pourrais sans doute décrire un peu plus, ça aiderait à visualiser.

Citation :
Louvre symbole de mon ancêtre Napoléon III
... personnellement je trouve que les travaux les plus grands et les plus beaux ont été faits par louis XV et Napoléon premier.

Citation :
-Bonsoir, dit-elle en le voyant, vous êtes Thomas ?
-Oui.
-Entrez.
Là manque de détails. Est ce qu'elle le reçoit froidement comme un intrus ? chaudement comme un gentil garçon qui a besoin d'un foyer ?

Citation :
La femme avait acheté du foie gras.
.... Un peu plat. Tu pourrais plutôt décrire un grand plat de tranches fines de foie gras mi cuit, intercalé de tranches de figues, et de... (fin bon je trouve que ce genres de détails rendent une histoire plus vivantes. surtout q'uon est dans une des familles les plus puissantes d'europe...)

Citation :
Thomas et son cousin m'ont aidés
aidé


Citation :
si on ne nous fais
fait

Citation :
Même si on devra rester à la base on pourra le passer ensemble.
tu répètes un peu vite "rester à la base"

Citation :
on pourrait croire qui va tuer celui qui ne lui obéit pas.
qu'il va

Citation :
Dis mon oncle, on aura la soirée de libre le 31. demanda Lucie.
manque un "?"

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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeMer 19 Jan 2011 - 15:06

J'ai tout corrigé, merci. Je poste donc le chapitre suivant, qui est le dernier de la partie... (pas du roman hein Wink)

Chapitre 16 :

Le soir, une fois rentré chez lui, Thomas se coucha, il était fatigué mais heureux. Heureux de ne pas avoir passé un Noël seul et isolé et d'avoir pu tirer au clair sa relation avec Lucie. Il espérait que les journées suivantes seraient plus calmes, car ces dernier temps il n'avait pas eu de moment pour lui. Deux jours plus tard, alors que le jeune homme rédigeait le compte rendu de ses récentes missions, un jeune sergent entra dans son bureau.
-Commandant, on a arrêté un rebelle. s'écria-t-il.
-C'est l'affaire des militaires chargés de l'ordre public, pas la nôtre.
-Un de leur commissariat est fermée, on leur a dit de l'amener ici... et comme Sa Majesté impériale n'est pas là et que le colonel Lemaitre est en Alsace, vous êtes le plus haut gradé à l'intérieur de la base.
Thomas poussa un soupir et se leva. Le sergent le conduisit dans un bureau au rez-de-chaussée dans lequel le capitaine Renard ainsi que deux soldats gardaient un adolescent attaché à une chaise. Le commandant reconnut immédiatement le gamin arrêté, mais ne laissa rien paraître.
-On a essayé de lui soutirer des informations, mais il n'a rien avoué mon commandant. expliqua Lucie.
Les deux amoureux avaient décidés de ne rien laisser paraître de leur romance à leur travail.
-Merci capitaine.
Il fit signe aux deux soldats de sortir et il alla refermer la porte derrière eux.
-Ne fais pas comme si tu ne me connaissais pas Thomas ! lança l'adolescent assis sur la chaise.
-C'est commandant pour toi !
-Vous le connaissez commandant ? demanda le sergent.
-C'est mon cousin... on ne choisit pas sa famille.
-En effet, si j'avais pas la choisir je n'aurais jamais été ton cousin Steiner.
Thomas lui donna une claque, Lucie sursauta à ce geste.
-Ce n'est qu'un gosse. fit-elle remarquer.
-Dommage, rétorqua Thomas d'un ton froid, j'aurais déjà sortit un couteau.
-On fait quoi ? demanda-t-elle.
-Sortez sergent, le capitaine Renard et moi nous occupons du reste.
-Bien mon commandant.
L'homme sortit alors que Lucie lançait un regard en biais à Thomas pour lui dire d'y aller doucement.
-Tu es resté du côté de mon père ? C'est toi qui était avec lui ?
-Oui c'est moi. J'ai toujours prôné la diplomatie, mais là... Il faut vous arrêter toi et ton Empereur !
Thomas lui donna une autre claque.
-Vas-y doucement, c'est un môme. murmura doucement Lucie ne lui prenant le bras pour l'éloigner.
Le jeune commandant s'adossa au bureau, il avait envie de frapper son cousin, de l'assommer, de le torturer car il était sûr qu'il avait été avec son père lorsqu'il lui avait brulé l'épaule, lorsqu'il avait ordonné de lui frapper le dos avec un fouet.
-C'est toi qui l'a tué. demanda Victor.
-Qui ? demanda Thomas.
-Julien Steiner.
-Ça ne te regarde pas.
-Et pourquoi pas ? C'est lui qui m'a élevé, il me considérait comme son fils et je le considérais comme mon père.
Thomas lui décocha un coup de poing dans l'estomac, l'adolescent sembla en avoir le souffle coupé.
-Il n'est pas ton père, il ne l'a jamais été, vous n'avez aucun lien de sang. cracha le jeune commandant.
-Pour lui tu n'étais plus rien, c'est pour ça qu'il a cherché à te tuer, mais il n'en a pas été capable, s'il m'avait laissé faire tu serais déjà mort.
-Tu crois faire le poids face à moi Victor ? J'ai toujours été plus fort que toi et j'ai trois ans de plus que toi.
Victor lui lança un sourire, un de ces sourire qui avaient toujours exaspérés le jeune Thomas. Ce dernier sortit et appela trois soldats.
-Amenez le en cellule. ordonna-t-il d'un ton glacial.
Les trois hommes obéirent et sortirent avec le prisonnier. En colère Thomas donna un coup de pied dans une chaise vide qui tomba à la renverse. Lucie s'approcha de lui et posa une main sur son épaule.
-Que t'arrive-t-il ? demanda-t-elle.
Le jeune homme se retourna vers elle, ses joues trempées de larmes.
-Tu pleures ? Oh Thomas, mais qu'est-ce qu'il y a ?
Il se laissa glisser contre le mur, jusqu'au sol et attira ses genoux contre sa poitrine. La jeune femme s'agenouilla près de lui.
-C'est en rapport avec ce que tu as vécu ? Ce que tu as vécu entre les mains de ton père ?
Elle lui caressa doucement les cheveux et l'embrassa sur la joue.
-Je... s'il n'était pas parti je crois que je l'aurais tué, murmura-t-il. Je ne lui en veux pas d'avoir servi mon père, mais... mais de l'avoir soutenu, dans toutes ses actions, même les plus folles. Mon père a tenté de me tuer.
-Tu n'as pas à te justifier Thomas. Tu agis comme tu le peux. Je sais que mon oncle t'a demandé d'exécuter ton père.
Le jeune homme ne dit rien, son regard devint soudain vague.
-Il m'a marqué au fer rouge. lâcha-t-il.
-Quoi ?
-Mon père, il m'a marqué au fer rouge. Je n'en ai parlé à personne. Tous les jours, sous la douche je vois cette marque sur mon épaule droite et tout me revient. Tout ce qu'il m'a fait, m'a dit.
-Montre moi.
Sans rien ajouter, le jeune homme se leva et enleva le haut de son treillis, se montrant en débardeur à la jeune femme. Celle-ci examina son dos.
-« RF ». Pourquoi ces lettres ?
-Les abréviations de « République française » ou de « Révolution française ». Il dit qu'ainsi j'aurais toujours en moi la prévision de notre défaite future.
-Pourquoi ne l'as-tu pas montré au médecin ? Ça aurait pu s'infecter...
-J'ai paniqué, j'ai eu peur, je ne savais pas où j'en étais. N'en parles pas, je t'en prie.
-Et à moi ? Tu ne m'en aurais pas parlé si on avait pas découvert mon cousin.
-Ne m'en veux pas Lucie. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivé cette année. Sans toi je sais que je perdrais toute mon humanité. Je suis près à tout. Si tu ne m'avais pas freiné, si j'avais été seul, je l'aurais tué... et ça m'aurait couté ma place parce qu'il est mineur. Je m'isolais avant, depuis la mort de ma mère et de mon cousin Jason, depuis quelques jours je t'ai toi.
Lucie ne dit rien puis entoura de ses bras le torse de son compagnon pour se blottir contre son dos encore couvert de cicatrices. Le jeune homme se retourna pour passer un bras autour des épaules de la jeune femme et lui caressa les cheveux.
-Ne t'en fais pas Thomas, je ne dirai rien, cette décision t'appartient.
-Merci.
Lucie posa sa main contre la joue de Thomas et l'embrassa avec tendresse. Puis ils s'écartèrent l'un de l'autre. Le jeune homme se rhabilla et essuya les larmes qui perlaient sur ses joues.
-Ça va aller ? demanda-t-elle.
-Je crois.
-On se voit ce soir ?
-Oui. Je m'occupe de la procédure pour qu'il soit jugé. Je sais ce qu'il a fait, il ira en prison rapidement.
Lucie lui sourit et quitta la pièce. Le jeune homme resta seul un instant avant de remonter dans son bureau pour terminer ses rapports.

-Ils sont ensembles monsieur. Steiner et votre nièce.
-Parfait. La mission en Allemagne ainsi que la fête de Noël les ont rapprochés. répondit l'Empereur.
-Vous avez d'autres ordres monsieur ?
-Faites tout pour qu'ils restent ensemble.


Fin de la première partie.


Je te remercie donc de ta fidélité et de tes conseils vraiment utiles... Je vais tenter la rédaction d'une troisième version avec un début plus solide encore et je la posterais quand ça commencera à ressembler à quelque chose...


Dernière édition par Rima68 le Dim 23 Jan 2011 - 11:54, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeSam 22 Jan 2011 - 12:24

Citation :
il n'avait pas eut de moment pour lui.
eu

Citation :
on ne choisis pas sa famille.
choisit

Citation :
Dommage, sinon j'aurais déjà sortit un couteau. rétorqua Thomas d'un ton froid.
là.. j'aurais mis le "rétorqua..." juste après après "dommage" il me semble que ça rends la réplique plus efficace. Et je ne trouve pas que le sinon soit nécessaire du coup.

Citation :
ne lui prenant le bras pour l'éloigner.
en

Citation :
s'il n'était pas partit je crois que je l'aurais tué
parti

Aussi génial Super excellent ce moment de faiblesse Smile

Citation :
Je ne lui en veux pas d'avoir servis
servi

Citation :
je ne dirais rien
dirai

Citation :
-Ils sont ensemble monsieur. Steiner et votre nièce.
ensembles

Citation :
-Vous avez d'autres ordres monsieur.
manque ?

Le dernier paragraphe est une très bonne idée, et j'aime bien son côté un peu "abrupte"' mais ça fait limite un peu trop. Il serait je pense encore plus puissant si tu prenais ton temps, si tu donnais quelques détails sur le bureau, sur les protagonistes, sur napo lui même... tu vois ce que je veux dire ?

Très joli travail que tout ça. L'histoire est bien centrée sur les personnages, les personnages en eux même ont une personnalité, le fond politique est intéressant... il y a encore du travail à faire bien sur, mais je sens de réel sprogrès Smile je lirai avec plaisir ta troisième version Smile (et même une suite si tu te décides à l'écrire/publier ici ^^)

Si tu as des questions précises, je suis prêt à t'aider pour avancer dans cette histoire ^^ pouikou à toi.
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeSam 22 Jan 2011 - 12:49

merci, je vais corriger, j'ai écris la suite mais faut que j'améliore... (cette suite n'est pas digne du forum xD)
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 23 Jan 2011 - 11:56

Maintenant j'ai corrigé ^^. En fait j'aimerais bien des conseils pour mieux décrire les missions comme l'attaque de l'Allemagne par exemple, pour ne pas aller trop vite... Car il y auras d'autres missions du même genre mais à chaque fois je les balances en 3-4 pages et je sais que c'est trop court... Si tu avais des conseils ce serait sympa.
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 23 Jan 2011 - 17:20

Et bien... je ne suis pas un expert non plus en scènes de guerres et de bombardement, mais j'ai peut être une idée. Il faudrait que tu trouves un jeux vidéo réaliste de guerre par avion, ça te donnerait peut être une bonne idée de détails "réels" à rajouter ? (par contre je ne connais pas de jeux comme ça, il faudra chercher... )

... sinon Thomas apprends un peu rapidement à piloter, je sais que c'est sans doute nécessaire pour ton histoire, mais pour avoir autant d'efficacité pour frapper des cibles "précises" de décoller, d'atterrir.... il faudrait qu'il se se soit entraîné depuis plusieurs années au moins.
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 23 Jan 2011 - 19:47

Pour le pilotage, je peux l'arranger, faire en sorte qu'il ait apprit à piloter avec son cousin déjà avant ou quelque chose du genre...
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 23 Jan 2011 - 19:58

c'est bien ce que je me disais, du coup ce sera bp plus crédible que les autres pilotes l'écoute, et ça lui fera un talent "indéniable" pour sa "promotion" expresse... ça me semblerait une très bonne chose. (genre un programme d'enseignement précoce basé sur la théorie que plus on commence jeune mieux on pilote...)

ça me semble une très bonne idée Smile
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 23 Jan 2011 - 20:04

Je vais y réfléchir, étant donné qu'il était déjà dans l'armée avant le début de l'histoire...
Autre chose, j'ai remis un prologue, plus développé mais j'hésite entre le mettre en chapitre 1 ou en prologue, qu'en penses-tu ?
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeDim 23 Jan 2011 - 20:13

... ben en bon conseiller utile je vais répondre : ça dépends de toi ^^ (si je voyais le prologue à la limite...)
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeMar 25 Jan 2011 - 20:19

Je pense que je vais le garder en prologue, sinon as-tu des petits conseils en torture ? J'ai des fois des idées mais j'aimerais faire plus que juste taper et bruler Thomas sans le défigurer non plus, j'aimerais plus de dégâts psychologiques en fait (je sais qu'il en a déjà pas mal mais plus ce serait mieux, j'aime bien m'acharner sur les personnages que j'apprécie Twisted Evil )est-ce que la torture électrique marche bien pour ce genre de chose ? (sans le tué parce que j'ai encore besoin de lui) Est-ce qu'il y aurait des genres de liquides à injecter dans les veines et qui causerait d'atroces douleurs ? (plutôt est ce que ça ferait bien car il peuvent avoir découvert ça entre temps on est quand même à 40 ans dans le future...)
Bref as-tu d'autres conseil à ce sujet ?

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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeMar 25 Jan 2011 - 21:10

... je vais répondre plus en détail dans un instant. Juste Feher est mon expert personnel en torture, si tu arrive à l'attraper sur la chatbox : demande lui Very Happy ( meilleure réponse quand j'ai le temps ^^)
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeMer 26 Jan 2011 - 17:34

Merci pour ton conseil, j'y penserais. (Je ne savait pas que Feher était un sadique ^^)
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MessageSujet: Re: Le traitre   Le traitre - Page 3 Icon_minitimeMer 26 Jan 2011 - 18:53

Tiens le prologue a disparu Razz (mince juste quand je me motive pour lire ^^) Bon alors pour répondre à ta question, je ne sais pas si Feher est sadique ou masochiste, mais en tout cas, il a un grand talent pour ce genre de choses ^^ (là par contre il est reparti pour 3 semaines tu vas devoir te contenter de moi Very Happy )

L'important je trouve dans une torture c'est justement l'horreur personnel, la douleur seule ne suffit pas... jouer justement sur la peur d'être défiguré, obliger l'autre à s'humilier pour lui faire échapper à une torture supplémentaire, et ensuite lui infliger... enfin bon le faire se sentir vraiment impuissant et déshumanisé... La torture electrique est très très bien pour ça, ça fait très très mal et en plus le corps ne peut rien faire pour y échapper et en plus tu ne sais pas à quel point ça fait de dégats à l'intérieur de toi... enfin bon je recommande Smile

Des injections douloureuses... je connais pas vraiment (même si l'idée est bien sadique...) ceci dit il existe des trucs qui renforcent la douleur, des qui empêche de s'évanouir... ça c'est bien bien sadique Very Happy
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