Espace commentaires - Reviens (en cours)_roman de FiorDiLatte

Ça ne me dérange pas, déviez tant que vous voulez, au contraire

Je confirme ce que dit Tassa. Ce n'est pas une relation suivie. Tamao en reparlera plus loin.
Djevelen, une piste de réflexion : dès lors que ce sont deux adultes qui sont d'accord pour faire ce qu'ils veulent sans contrainte, qui sont d'accord pour ça, pourquoi ça ne serait pas moral ?

(Vous avez deux heures. La calculette est autorisée )

Citation :

Djevelen, une piste de réflexion : dès lors que ce sont deux adultes qui sont d'accord pour faire ce qu'ils veulent sans contrainte, qui sont d'accord pour ça, pourquoi ça ne serait pas moral ?

Elena n'est pas une adulte...

Je parlais de Typhaine et Tamao

Zut... Et bien soit, ils font ce qu'ils veulent, mais je ne cautionne pas !

C'est tout à fait ton droit !

J'aime ta petite tête de minou.

Salut Fior!!


Deuxième partie chapitre 3:

Citation :

Et c’est ainsi qu’elle m’offre, plusieurs fois par jour et sans le savoir – sans le vouloir non plus –, des éclats de rire

Comme tu précises ensuite que cela ne fait pas rire Elena j'ai compris que c'était la vieille qui riait, mais au début, j'avais compris que c'était Elena qui se marrait.

Ça rend pas mal comme tu teases les infos (les voisins qui s'en sont mêlés, ce qui continue d'intéresser Elena dans son indifférence..), on est obligés de ne pas lâcher ce chapitre  

EDIT: Mais du coup on ne sait pas encore comment ça s'est fini avec son père, comment le voisinage a participé, etc

Citation :

 Je ne comprends pas que les gens pleurent pour moi. 

J'aime bien cette phrase.

Citation :

Je n’ai jamais pris le temps d’y réfléchir, expliqué-je calmement, ma main gauche compressant toujours mes côtes. J’ai répliqué bêtement, au cas par cas, parce que je suis comme ça mais c’est un problème qui n’est jamais sorti de chez moi, je n’envisageais pas qu’il puisse en être autrement. Tu comprends ?

Du coup c'est exactement la réponse que tu m'avais apporté quand je t'ai posé la question, et je trouve ça bizarre qu'Elena reprenne les mêmes mots. Ils ne paraissent pas très naturels dans une telle discussion, alors même qu'Elena plane un peu. 

Ce chapitre est particulièrement bien écrit et fort en émotion bien qu'il soit dénué d'action. Franchement, tu as fait du bon boulot! 

Coucou Salut !

Contente de te revoir par ici !

Citation :

Mais du coup on ne sait pas encore comment ça s'est fini avec son père, comment le voisinage a participé, etc

Les réponses viendront... à un moment donné

Citation :

Du coup c'est exactement la réponse que tu m'avais apporté quand je t'ai posé la question, et je trouve ça bizarre qu'Elena reprenne les mêmes mots. Ils ne paraissent pas très naturels dans une telle discussion, alors même qu'Elena plane un peu.

Effectivement. J'ai modifié ce dialogue, déjà existant dans la version initiale, après notre échange. Je trouvais mon explication beaucoup plus claire par rapport à la réponse d'origine.
Je vais retravailler ça.

Merci pour ce retour et de ta lecture !

Salut, me revoilà, ma lecture du chapitre 3 fini!

Comme d'habitude, c'est très fluide. Je n'ai pas eu le temps de dire ouf que j'avais déjà tout dévoré. On ne s'ennuie pas avec toi!

Par contre, je trouve dommage que tu ne donnes pas plus de lignes aux autres protagonistes. Lois, Mél, Tiphaine, etc... Moi ça m’intéresse! Comme le relevait Elena, voir leurs interactions et leur dynamique de groupe est très intéressant! Et ça rajoute au réalisme de l'histoire. Alors en plus s'ils s'absentent dans les prochains chapitres, te laissant libre cours de développer l'idylle entre Tamao et Elena, autant les laisser un peu plus d'espace dans ce chapitre, non? En tout cas, ça me plairait!

Évidement, à la fin, Tamao prend les choses en mains. Je sais que je ne vais pas l'aimer lui! Mais on s'en fiche, il joue son rôle et très bien.

Salut Tassa !

Ravie de te revoir par ici

Citation :

Lois, Mél, Tiphaine, etc... Moi ça m’intéresse! Comme le relevait Elena, voir leurs interactions et leur dynamique de groupe est très intéressant! Et ça rajoute au réalisme de l'histoire. Alors en plus s'ils s'absentent dans les prochains chapitres, te laissant libre cours de développer l'idylle entre Tamao et Elena, autant les laisser un peu plus d'espace dans ce chapitre, non? En tout cas, ça me plairait!

C'est une piste d'amélioration vraiment intéressante que tu m'offres là. Les chapitres 2 et 3 font partie de ceux que je vais devoir remanier le plus quand j'aurai tout fini (ma priorité actuelle mais pas la fin du chantier). Loïs, je ne prévois pas de lui donner plus de place, parce que j'estime qu'on croise parfois des gens "oubliables" (qui d'entre vous avait employé ce terme absolument parfait ? Salut ou quelqu'un d'autre ? Me souviens plus. Mais c'était bien dit.) et lui, j'ai envie qu'on l'oublie. Mel aura un temps de parole plus conséquent au chapitre 7, et on reverra Typhaine (un peu), mais c'est vrai que ce serait intéressant de développer un peu cet aspect-là, surtout dans les premiers chapitres, qui doivent notamment être étoffés. Je note, merci du conseil !

Citation :

Évidement, à la fin, Tamao prend les choses en mains. Je sais que je ne vais pas l'aimer lui! Mais on s'en fiche, il joue son rôle et très bien.

Pauvre Tamao Ne le juge pas trop vite, c'est tout ce que je peux dire, même si tu as tout à fait le droit de ne pas aimer mes perso (regarde, Djevelen déteste Elena mais ça n'empêche que je suis ravie de lire ses commentaires à ce sujet )

J'ai pas mal de boulot en retard (du vrai, celui qui fait que je gagne ma vie) mais j'essaierai de venir faire un tour dans ta cité demain soir ou vendredi après-midi.

A bientôt !

Allez, on continue avec le chapitre 4! J'ai lu les trois premières parties.

Les choses vont trop vite avec Tamao. Heureusement que les trois zigottos arrivent, pour ralentir un peu le rythme du récit qui s'emballe trop je trouve. C'est même dommage que cela ne dure pas un peu plus longtemps.

Le sentiment d'attente et et d'exaspération d'Elena est bien décrit. Mais tu ne laisses pas le lecteur le ressentir lui-même. Fait-le un peu plus mariner! Pas une fois, je n'ai douté de ce qui attendait notre douce héroïne. Laisse lui le temps de douter de Tamao. Peut-être est-il parti rejoindre une autre fille? Peut-être n'a-t-il pas aimé la façon d'Elena d'embrasser? Peut-être, peut-être... Laisse donc à Elena le temps de nous transmettre son anxiété et toutes ces questions!

Je trouve aussi Elena trop décidé à vouloir aller plus loin une fois qu'ils se sont ré embrassés. Elle peut donner l'image d'une fille sûr d'elle à Tamao, intérieurement elle devrait encore avoir des doutes, elle n'a que 13 ans. En tout cas, cet enthousiasme a vouloir aller plus loin dès la seconde fois que leurs lèvres se croisent ne me paraît pas naturel chez une gamine de son âge. Donnons lui quelques jours pour hésiter, se faire des films, imaginer la chose, la redouter et la souhaiter à la fois, bref, maturer!

Voilà, j'espère que mon retour te sera utile. Tchao!

Salut Tassa,

Merci pour ce retour ! Oui, en effet c'est au programme pour le moment où je reviendrai sur les passages à améliorer, même si le côté rapide restera, au final.
Merci pour tes conseils en tout cas, très précieux

Et me voilà de retour!

Je t'ai déjà donné mon ressenti sur la fin du chapitre 4, alors je vais directement parler du chapitre 5 que je viens de terminer.

Et bien première pensée, I knew it   ! Mes petites théories sont tombés juste.

On ne peut pas dire que c'est un chapitre agréable à lire, c'est donc sûrement qu'il fait bien son office!

Quelques petites remarques:

- "C’est quoi cette histoire, tu t’es fait baiser ?" => pour une fois que c'est moi qui te pends sur une faute... faite. Mais on peut aussi dire que son père a autre chose que la conjugaison en tête....

- "Xavier ! Si je te chope je t’étripe, enfoiré !" => j'aurai mis ces lignes un peu plus bas, je vois plus son cœur s'emballer avant qu'une pensée cohérente ne se formule.

- Dans la scène avec le père, je trouve les sentiments d'Elena très bien décrit. Très réels.

- "Le torse épais. Le cou tendu. La mandibule crispée. La bouche serrée." => pourquoi utiliser mandibule à la place de mâchoire?  

- "Je sais que j’aurais pas dû le provoquer." => Un petit mais à la fin de la phrase? Je doute qu'Elena veuille s'arrêter à cette affirmation.

-  Croiser les bras est une façon de se fermer. Mais je trouve que la posture vient trop tôt. Tamao devrait avoir les bras qui lui en tombe en apprenant l'âge d'Elena. Puis la colère. Et enfin, la distance qu'il dresse entre eux deux.

- Lors du petit échange avec Tamao, j'aurai aimé le voir formuler "Tu n'as que treize ans... Treize ans putain!", comme pour mieux le réaliser.

- Enfin, Tamao et les autres sont des adultes, jeunes certes, mais adultes. Personne n'a eu l'idée de prévenir la police? Même si ce n'est pas la direction que tu veux prendre, ils pourraient au moins mentionner l'idée, quitte à ce qu'Elena refuse.

Voilà voilà! Comme d'habitude, envie de savoir la suite. Le père d'Elena va-t-il poursuivre Tamao en justice, ou vouloir le retrouver lui-même? D'ailleurs, j'ai trouvé Elena bien stupide de penser "personne n'est au courant, il n'aura pas d'ennui". Mais je lui pardonne, la journée n'a pas été facile pour elle.

Coucou Tassa

Oui... tu avais raison !

Voici mes retours :

Citation :

C’est quoi cette histoire, tu t’es fait baiser ?" => pour une fois que c'est moi qui te pends sur une faute... faite. Mais on peut aussi dire que son père a autre chose que la conjugaison en tête....

D'après mes recherches, la règle grammaticale est la suivante : si le participe passé fait est placé devant un infinitif, alors il reste invariable et ne s'accorde pas avec son sujet, même si celui-ci est placé devant. Donc a priori ce que j'ai écrit serait correct, mais dans le doute (c'est un cas spécifique qui me laisse toujours perplexe) je vais vérifier / approfondir.

Citation :

Xavier ! Si je te chope je t’étripe, enfoiré !" => j'aurai mis ces lignes un peu plus bas, je vois plus son cœur s'emballer avant qu'une pensée cohérente ne se formule.

Bien vu. À la réflexion, je pense que je vais carrément supprimer cette phrase, parce qu'une fois que les choses sérieuses démarrent elle a autre chose en tête.

Citation :

Le torse épais. Le cou tendu. La mandibule crispée. La bouche serrée." => pourquoi utiliser mandibule à la place de mâchoire?

Sans doute pour éviter une répétition (de mémoire le mot mâchoire est utilisé plus bas, mais peut-être qu'il se trouve assez loin finalement. Moi non plus je ne suis pas fan de mandibule.

Citation :

Je sais que j’aurais pas dû le provoquer." => Un petit mais à la fin de la phrase? Je doute qu'Elena veuille s'arrêter à cette affirmation

Bien vu aussi, je prends !

Citation :

Croiser les bras est une façon de se fermer. Mais je trouve que la posture vient trop tôt. Tamao devrait avoir les bras qui lui en tombe en apprenant l'âge d'Elena. Puis la colère. Et enfin, la distance qu'il dresse entre eux deux.

Ok, je vais retravailler ce passage.

Citation :

Lors du petit échange avec Tamao, j'aurai aimé le voir formuler "Tu n'as que treize ans... Treize ans putain!", comme pour mieux le réaliser.

Ah oui, très bien ça ! J'achète !

Citation :

Enfin, Tamao et les autres sont des adultes, jeunes certes, mais adultes. Personne n'a eu l'idée de prévenir la police? Même si ce n'est pas la direction que tu veux prendre, ils pourraient au moins mentionner l'idée, quitte à ce qu'Elena refuse.

Effectivement. Je vais ajouter ça dans le dialogue avec Mel et Baptiste dehors. Tamao non, lui il a trop de trucs en tête pour penser à tout.

Citation :

D'ailleurs, j'ai trouvé Elena bien stupide de penser "personne n'est au courant, il n'aura pas d'ennui". Mais je lui pardonne, la journée n'a pas été facile pour elle.

Il y a de ça, et puis aussi le fait que même si elle est en avance sur bien des plans, par moments elle "retombe" dans sa tranche d'âge.

Merci pour ta lecture et tes suggestions très utiles que j'appliquerai dès que j'aurai une seconde et à bientôt !

Salut fior!

Alors, une fois n'est pas coutume, je viens commenter non pas un mais deux chapitres !

Bon par contre, ma lecture date de quelques jours, je vais faire fonctionner cette chose qu'on appelle mémoire et il est possible que tout ne soit pas dans l'ordre.

J'ai trouvé que la conversation au pied du lit entre Elena et son père manquait un peu de naturel, notamment la longue tirade du père. Elle est trop construite, trop mécanique, logique. J'ai du mal à l'imaginer parler comme cela à Elena : chercher à la convaincre avec des arguments logiques, c'est comme s'il l'avait mis sur un pied d'égalité.

J'aime beaucoup cette qualité que tu donnes à Mél de se montrer charmante. La façon dont elle s'y prend avec le père d'Elena. En revanche, je n'aurai pas détaillé la façon dont elle s'y prend (les dialogues), car je trouvais cela un peu gros. Peut-être laisser l'imagination de chacun faire son office?

Le chapitre 7 est un vrai délice, décidément, j'aime Mél. La façon dont elle essaye absolument de pousser Elena dans les bras de Tamao a quelque chose de dérangeant, mais j'ai apprécié son histoire de jeunesse. C'est complétement le genre de chose qui peut arriver au lycée.

Et enfin, le twist final m'a surpris, je ne l'avais pas du tout vu venir!

A bientôt!

Salut Tassa !

Waow, deux chapitres d'un coup, je suis gâtée !

Merci pour ta lecture. Je prends bonne note de toutes tes remarques toujours intéressantes et te fais quelques petits retours rapides entre deux traductions en cours :

Citation :

J'ai trouvé que la conversation au pied du lit entre Elena et son père manquait un peu de naturel, notamment la longue tirade du père. Elle est trop construite, trop mécanique, logique. J'ai du mal à l'imaginer parler comme cela à Elena : chercher à la convaincre avec des arguments logiques, c'est comme s'il l'avait mis sur un pied d'égalité.

En un sens, c'est le cas. Disons que c'est la première fois qu'il se heurte à quelqu'un qui lui oppose un minimum de résistance (on sait tous que la gamine ne fait pas le poids mais ça a déjà ça de déstabilisant pour lui que c'est inédit) et il a déjà compris que la violence ne viendra pas à bout de tout avec elle. Humm... non, je n'ajoute rien pour ne pas te spoiler ^^
Pour le côté mécanique, c'est voulu : le Chef, avec son côté instable et "je-peux-te-péter-à-la-figure-n'importe-quand" s'inspire directement de mon ancien patron. Elle le dit, d'ailleurs : quand il s'adresse à elle à ce moment-là, c'est le chef d'entreprise qui parle, pas tellement le père. Il négocie, si tu veux.
Est-ce que c'est plus clair/acceptable à la lumière de ces éléments ?

J'aime bien l'idée de donner des bribes de dialogue entre Mel et le père mais ce que tu dis est intéressant. Je vais y songer pour les travaux à venir, merci pour la suggestion

Citation :

Le chapitre 7 est un vrai délice, décidément, j'aime Mél. La façon dont elle essaye absolument de pousser Elena dans les bras de Tamao a quelque chose de dérangeant, mais j'ai apprécié son histoire de jeunesse. C'est complétement le genre de chose qui peut arriver au lycée.

Tu me fais plaisir, là : Mel est un personnage que j'aime beaucoup aussi. Elle a d'ailleurs beaucoup évolué depuis la première mouture. Initialement, elle était homosexuelle et elle le disait quasiment tout de suite. En reprenant l'histoire depuis le début, je trouvais plus intéressant de lui donner une histoire plus complexe, et quand j'ai créé le personnage de Keita (il n'existe qu'en toile de fond mais il n'était pas là à la base) j'ai presque tout de suite vu un rapprochement à faire entre les deux. Là, j'ai choisi de lui faire parler d'elle beaucoup plus tard. Elle se confie à Elena d'égale à égale, là aussi : pour elle, Elena est impossible à dater. Elle ne rentre pas dans les cases et c'est quelque chose que Mel, avec son vécu personnel, est prête à accepter. Elle la pousse vers Tamao parce qu'elle cerne bien les gens. Et elle sait que ces deux-là ne se sont pas tout dit. Et puis aussi, il y a un dernier truc mais de l'ordre de l'inconscient chez elle : elle a un peu tendance à confondre Keita et son frère. Pousser Elena et Tamao à se retrouver, c'est un peu, sans qu'elle en ait tout à fait conscience, redonner vie à son histoire à elle avec Keita.

Citation :

Et enfin, le twist final m'a surpris, je ne l'avais pas du tout vu venir!

Là je suis vraiment surprise : j'étais persuadée que tu m'aurais vue venir à des kilomètres !

Encore merci pour ta lecture : de mon côté je suis vraiment débordée. Je voulais te lire et lire d'autres textes sur le forum mais les commandes de traduction s’enchaînent et je n'ai le temps de rien. Et ce weekend j'ai de la famille à la maison donc je ne pense pas pouvoir y remédier tout de suite malheureusement :(
J'essaye de revenir le plus vite possible !

Bisou bisou !

Fior... Je ne comprend pas ! Je ne parviens pas à voir la tête de tes personnages !

Salut Djevelen ! Bizarre... de mon côté ça s'affiche bien... Quand tu cliques sur les noms des personnages rien ne s'affiche ?

Le nom des personnages ? O_O

Bon, j'ai lu la première partie du chapitre 6. Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas attaqué à ton texte !
Bref. Ici, on voit donc son père qui explique qu'elle la mis dans une mauvaise posture parce qu'elle renvoit l'image d'une gamine mal éduquée. Soit. Mais, là, je ne comprend pas. Il renvoit une mauvaise image surtout parce qu'il l'a frappée, non ? D'ailleurs... Pourquoi personne ne le dénonce ? Ses collègues, par exemple ?

J'ai lu la deuxième partie, mais je n'ai rien à dire dessus...
Voilà bisous !

Salut Djevelen,

Alors... ici on a affaire à un pervers narcissique en la personne du père, qui est convaincu d'avoir raison et ne tolère pas qu'on remette en cause l'ordre établi. C'est sa fille qui a tous les torts pour lui, et il fait ce qu'il faut, à ses yeux, pour la remettre dans le droit chemin.
Quant aux autres, eh bien c'est de la lâcheté. La plupart des gens préfèrent prétendre n'avoir rien vu, rien entendu, que risquer d'avoir des problèmes. Ici, pour certains c'est une perte potentielle de travail qui est en jeu, en plus. Enfin, je rappelle que l'histoire est racontée du point de vue de la narratrice uniquement, et elle n'est pas omnisciente. Il y a des choses qu'elle ne voit pas et n'entend pas. Elle a entendu des disputes éclater et elle s'imagine que quelqu'un a éloigné son père temporairement mais dans l'immédiat elle a d'autres préoccupations. En l'occurence, ce n'est pas parce qu'elle ignore que des choses ont été dites à son père que rien n'a été dit

Et pourquoi ne se plaint-elle pas elle-même des mauvais traitements que son père leurs infligent à elles deux ? Parce qu'elle en aurait la force, non ?

Breeeeeeeeeeeeef, attaquons-nous à la suite !

Et bien... En fait... Je n'ai pas grand chose à dire en fait...
Ah, si ! J'ai donc fini ton chapitre 6 et quelque chose me perturbe... En effet, Elena a peur de son père. On l'a bien vu lorsqu'elle s'est faite frappée. Elle en veut aussi à Xavier pour l'avoir dénoncé. OK. Mais alors, pourquoi garde-t-elle cet esprit satirique ? Elle n'en a pas marre ? Pour une fois, ne peut-elle pas être malheureuse comme tout le monde ? Je me doute bien que tu vas me dire que c'est son caractère, sa force, mais je trouve quand même ça assez bizarre.
Elle devrait au moins être un peu effondrée...

Sinon, toujours la même qualité d'écriture et ça fait vraiment du bien, merci !

Salut,

Citation :

Et pourquoi ne se plaint-elle pas elle-même des mauvais traitements que son père leurs infligent à elles deux ? Parce qu'elle en aurait la force, non ?

le pourquoi est expliqué dans un dialogue avec Alyssa dans la partie 2, mais en gros ça ne lui vient pas à l'esprit d'en parler. Ça paraît étrange mais elle a été élevée dans le paraître. Même si c'est une chose qu'elle réfute, elle a été conditionnée dans ce sens qu'elle le veuille ou non.

Citation :

Je me doute bien que tu vas me dire que c'est son caractère, sa force, mais je trouve quand même ça assez bizarre.

Elle finira pas craquer, elle n'est pas surhumaine. Mais... pas tout de suite. Il y a des gens qui se mentent très bien à eux mêmes et pour qui c'est plus facile de se couper des sentiments qui font mal. Jusqu'au moment où...

Citation :

Sinon, toujours la même qualité d'écriture et ça fait vraiment du bien, merci !

Merci à toi pour ce joli compliment qui me va droit au cœur.

Bisou !

Chapitre 4 partie 1

Citation :

Les jours passent et j’aimerais qu’ils se ressemblent.

hé hé hé, maline la Fior! 

Citation :

en tête-à-tête avec ma douce

elle parle de la morphine?

Je sais pas comment tu te débrouilles, mais on sent bien qu'Elena est beaucoup plus calme que d'habitude, distante de ses propres sensations. J'ai un peu peur de comment ça va se terminer tout ça. Elle a déjà l'air carrément dépendante!!! :/

Coucou Salut,

Contente de revoir ici

Citation :

elle parle de la morphine?

non, "ma douce" = son apathie

Je ne sais pas si tu as déjà lu la partie 2 (mais si c'est pas le cas je ne te spoile rien dans la mesure où c'est pas du tout la direction que je prends) mais il est précisé que son ordonnance de morphine est "non-renouvelable" donc on ne se dirige pas tellement vers une dépendance mais plutôt une recherche de solutions "faciles"... avec ce que ça comporte de mauvais choix.

Merci de ta lecture et de ton commentaire, je retourne bosser ! Suis débordée en ce moment, même plus le temps de lire/d'écrire, plus rien !

Bisou !

Salut fior!

Me voilà de retour pour le chapitre 8!

Bon, une fois n'est pas coutume, je n'ai pas trop aimé ce chapitre. D'habitude, même si je trouve à redire à certains passages, j'aime toujours, mais celui là me dérange un peu, et ça va pas être facile à expliquer pourquoi.

Ce que j'ai aimé:

- La scène où Elena cloue le bec à Xavier
- Les sentiments d'Elena quand sa mère revient, elle s'attendait à être triomphante et au final il lui reste un goût amer en bouche, très bien!
- Tu développes enfin un peu la personnalité de Tamao, son goût pour la photo et le dessin. Elena voit un peu plus que ses beaux yeux en lui, ça fait plaisir !
- L'origine du nom d'Elena.

Ce que j'ai moins aimé:

- Les dialogues. Ce que j'apprécie avant tout, c'est le réalisme de ton récit. Ici, j'ai trouvé que les dialogues (globalement, l'échange avec Xavier est très bon) en manquaient vraiment.
- Tamao ne décrit pas Tiphaine comme quelqu'un qu'il apprécie, il la dissèque sans une once de chaleur. "Pour le reste, il faut réussir à percer sa carapace mais elle n’est pas aussi mauvaise qu’elle veut le faire croire." => pourquoi pas "Elle a un cœur un or quand on a percé sa carapace", c'est trop dur de dire une chose gentille sur quelqu'un que tu es censé apprécier Tamao? "Eh bien... d’un point de vue purement plastique, tu l’as dit toi-même : elle a de bons arguments" => Tamao, sérieusement... Je ne vais pas reprendre phrase par phrase, tu as saisi l'idée .
- La façon dont les révélations sur Tiphaine sont amenés ne me plaisent pas beaucoup non plus. J'aurais préféré qu'Elena remarque par elle-même qu'elle aurait pu devenir comme Tiphaine, peut-être en la revoyant.
- La façon dont Elena parle de sa relation avec ses parents. Elle fait des révélations à voix hautes qu'elle ne s'était jamais faite à voix basse... Et aucune émotion ne s'en dégage! Ce genre de choses font forcément réagir! Elle livre des "secrets" qu'elle a enfui sous une chape de plomb que diable! D'accord, elle n'est pas obligé de fondre en larmes, mais une petite gorge qui se serre, ce n'est pas la mer à boire! Elena, tu es humaine, pas un putain de robot!
- Tamao. Décidément, je dois avoir quelque chose contre lui! Il se remet avec Elena beaucoup trop facilement à mon goût. Elle a 13 ans, elle s'est fait frapper à cause de leurs relations, et lui il suffit qu'il la revoit 5mn pour céder (c'est en tout cas l'impression que j'ai en lisant). Et sa façon de dire "ne me mens plus jamais", arf il m'énerve xD!

Voilà, j'espère ne pas t'avoir trop secouée avec mon honnêteté! Je lirais quand même la suite avec plaisir

A bientôt Fior!