le cirque en folie

Bonjour,
Voici un extrait de l'un de mes romans. Il fait partie des quelques historiettes que j'avais écrit dans ma jeunesse.
Cordialement.
auteur008.


Olivier campé sur son tracteur, regardait passer les voitures multicolores où l’on pouvait voir en grosses lettres peintes couleur rouge vif sur fond bleu roi : CIRQUE EDOUARD. Olivier le suivit des yeux jusqu’à ce qu’il ne puisse plus distinguer la dernière voiture. Encore étourdi par ce qu’il venait de voir, il s’assura que le convoi prenait bien la route du village. Laissant là son travail, il rentra au village en riant et chantant tout haut. Un cirque débarquait au village, pensez donc, ça ne s’était pas vu depuis longtemps ! La dernière fois qu’Olivier en avait vu un, il était enfant et il n’avait pas pu aller au spectacle, ses parents n’avaient pas voulu et d’ailleurs c’était un petit cirque. Mais celui là était un vrai cirque, un grand cirque avec sa ménagerie, ses acrobates, ses dompteurs, ses clowns, ses équilibristes et tout le reste. Mais surtout son immense chapiteau. Olivier pensa en rentrant au village: «  Et s’il ne tenait pas sur la grande place ? » La grande place était en réalité une petite place comparée à celle de la commune voisine.
- Bah se dit-il, ils trouveront bien le moyen de le faire. Il sauta vivement du tracteur et entra précipitamment dans la maison.
- Colette, Colette ! Cria-t-il, mais personne ne répondit. Il est vrai qu’à cette heure de la matinée, sa femme travaillait. Il était environ huit heures du matin, on était en juin et un doux soleil caressait le paysage. Il se dirigea alors vers le poulailler et vit sa femme en train de jeter des grains aux volailles qui se précipitaient en caquetant. Surprise de le voir là alors qu’il devrait se trouver dans les champs, elle lui dit.
- Qu’est-ce qui t’arrive ?
- Devines ce que je viens de voir sur la route de Meaulnes ?
A son ton enjoué et exalté, elle devina que ce n’était pas grave. D’un sourire amusé elle demanda.
- Je ne sais pas, explique-toi voyons.

tu peux mettre la suite ?

Le ton est joyeux et amusant, l'idée intéressante (j'aime bien les cirques ) mais c'est vraiment trop court pour se faire une idée ^^

Bonjour,
Je veux bien mettre la suite, mais après correction si c'est possible. Merci de votre réponse.
Cordialement.
auteur008.

C'est vrai que c'est très court pour se faire une idée !

Correction orthographe, conjugaison et ponctuation

Spoiler:

Par contre il y a beaucoup de répétitions !
rien que dans le premier paragraphe
4x village
4x voir
2x voiture
2x penser
2x dernière
2x grand
2x rentrer
2x grand
2x petit
2x place
Il y a aussi 3x cirque, mais là ça passe, de toute façon cirque n'a pas de synonyme, ca fait beaucoup de répétitions sur une dizaine de ligne !

Bonjour,
Merci pour la correction. Je vous rencoie ma copie. Merci encore.
Cordialement.
auteur008.


Olivier, campé sur son tracteur, regardait passer les voitures multicolores où l’on pouvait apercevoir en grosses lettres peintes couleur rouge vif sur fond bleu roi : CIRQUE EDOUARD. Olivier le suivit des yeux jusqu’à ce qu’il ne puisse plus le distinguer. Encore étourdi par ce qu’il venait de voir, il s’assura que le convoi prenait bien la route du bourg. Laissant là son travail, il prit le chemin de sa ferme en riant et chantant tout haut. Un cirque débarquait au village, pensez donc, ça ne s’était pas vu depuis longtemps ! La dernière fois qu’Olivier en avait vu un, il était enfant et il n’avait pas pu aller au spectacle, ses parents n’avaient pas voulu et d’ailleurs, c’était un cirque banal. Mais celui-là était un vrai cirque, un cirque colossal avec sa ménagerie, ses acrobates, ses dompteurs, ses clowns, ses équilibristes et tout le reste. Mais surtout son immense chapiteau. Olivier cogita en arrivant devant chez lui : «  Et s’il ne tenait pas sur la place principale ? » Celle-ci était en réalité petite comparée à celle de la commune voisine.
- Bah! se dit-il, ils trouveront bien le moyen de le faire. Il sauta vivement du tracteur et entra précipitamment dans la maison.
- Colette, Colette ! Cria-t-il.
Mais personne ne répondit. Il est vrai qu’à cette heure de la matinée, sa femme travaillait. Il était environ huit heures du matin, on était en juin et un doux soleil caressait le paysage. Il se dirigea alors vers le poulailler et vit sa femme en train de jeter des grains aux volailles qui se précipitaient en caquetant. Surprise de le voir là alors qu’il devrait se trouver dans les champs, elle lui dit.
- Qu’est-ce qui t’arrive ?
- Devines ce que je viens de découvrir sur la route de Meaulnes ?
À son ton enjoué et exalté, elle devina que ce n’était pas grave. D’un sourire amusé, elle demanda.
- Je ne sais pas, explique-toi voyons.

Bonjour,
En attendant une éventuelle correction du premier extrait, je vous envoie un nouvel extrait.
Cordialement.
auteur008.


Le cirque ! Le cirque arrive, tu te rends compte.
- Bah ! Et c’est pour une roulotte de bohémiens, que tu es tout retourné.
- Mais Colette, c'est le grand cirque Édouard, celui qu’on a vu une fois à la télé chez ta sœur en ville.
- Ah bah ça ! Ce n’est pas vrai, tu as du rêvé mon pauvre Olivier. Le cirque Édouard dans notre pauvre petit village, tu veux rire.
- Mais si, viens voir avec moi au village et tu verras comme moi, que je ne rêve pas. Allez quitte ton tablier et apprête-toi, on va aller regarder ce cirque de plus près.
Aussitôt Colette quitta son tablier et referma soigneusement la barrière derrière elle où la volaille multiple, se disputait la nourriture. Olivier lui, était déjà prêt dans la trois chevaux et piaffait d’impatience en attendant sa femme. Elle ressortit deux minutes plus tard, coiffée d’un fichu et se dirigea vers la voiture en secouant la tête.
- Allons-y! - S’écria gaiement Olivier.
Le cortège était arrivé sur la place et le directeur du cirque, s’adressa à un petit vieux qui était assis sur un banc.
-Pardon mon brave, pourriez-vous m'indiquer où se trouve la mairie ?
- Vous y êtes.
Se retournant pour suivre la direction qu’indiquait le doigt du vieillard, il aperçut un édifice où était marqué Mairie en grosses lettres dépeintes par les années. L’homme remercia l’ancien et se dirigea à grande allure vers la mairie. Il y entra d’un pas déterminé. C’était une grande et seule pièce avec un parquet en bois, un comptoir séparant les gens du personnel de ce bureau. Au milieu de la pièce trônait un énorme bureau où l’on pouvait trouver de tout. De la gomme aux paperasses en passant par les crayons.

Bonjour,

Comme Elgringo, j'aime le ton joyeux.

Tes extraits sont très courts, cependant je me pose déjà pleins de questions ! Quel âge ont Colette et Olivier, où se trouvent-ils ? à quelle époque ? (bon j'ai du aller sur internet voir ce qu'était une 3CV)
J'ai envie de lire la suite.

Sinon, qu'attends tu du forum ? des corrections, des suggestions, des avis sur le style, les personnages ....?

Cordialement,

Bonjour,
Que de questions! C'est bien, au moins je vois que tu t'interesse. Je mets des extraits courts exprès pour qu'il ne soient pas fastidieux à corriger. L'age des personnages est mentionné plus loin. Au début, je voulais situer l'action aux alentours d'une des villes principales de L'allier: Montluçon. Puis je n'ai pas poursuivi , préférant me concentrer sur le coeur de l'histoire. Je ne sais plus à quelle époque cela se passe, mais ça doit être dans les années 60-70. Je ne pensais pas qu'on avait pu oublier la 3cv ou ami 8, si tu préfères. Comme je l'ai déjà dit, je ne peux mettre la suite que
quand le deuxième , voir le premier extrait sera ou seront corrigés, si cela est possible, bien sûr. C'est tout à fait ça, ce que j'attends du forum:correction,suggestions,avis de style,personnages. Mais si cela me convient bien entendu. Je suis sûr que des idées grouillent dans la tête de ces chers forumeurs et qu'ils m'apprendront beaucoup de choses. Je les en remercie d'avance.
Cordialement.
auteur008.

— Devines ce que je viens de découvrir : Devine

— une roulotte de bohémiens, que tu es tout retourné : pas de virgule
— tu as du rêvé mon pauvre Olivier : dû rêver
— où la volaille multiple, se disputait la nourriture : pas de virgule
— où était marqué Mairie en grosses lettres : marquée

Pour l’instant donner un avis est difficile sur un extrait aussi court !

Bonjour,
Merci pour la correction. Je vous mets un autre extrait.
Cordialement.
auteur008.

Cela sentait l’école, le papier. Il s’adressa au seul employé qui était assis à ce bureau.
- Pardon monsieur…
- Une minute s’il vous plaît - Répondit-il sans regarder son interlocuteur- Je m’occupe de vous, mais laissez-moi finir.
Il était en train de remplir une fiche pour un couple, le seul d’ailleurs dans cet établissement qui attendait silencieusement. Quand il eut fini, il leva les yeux et demanda.
- C’est pourquoi ?
Le directeur du cirque rétorqua.
- Voilà, je suis le directeur d’un cirque et j’ai quelques ennuis. En effet, un de mes camions est en panne et je voudrai m’installer ici quelques jours pour réparer.
L’employé ouvrit de grands yeux et bégaya.
- Mais nous n’avons pas de quoi réparer votre camion, monsieur…
- Édouard, monsieur Raymond Édouard.
- Édouard, le grand cirque Édouard !
- Oui monsieur, c’est ça.
- Mais comment ! Nous ne sommes qu’un petit village. Vous n’avez qu’à aller à la prochaine ville, vous y trouverez tout ce que vous voulez. C’est à peine trente kilomètres d’ici.
- Je sais cela monsieur, mais si je roule encore, je risque une panne plus importante et alors là, je ne pourrais plus réparer. J’ai une équipe spécialisée pour tout ce qui est entretien et dépannage des voitures et camions. Ce que je vous demande, c’est l’autorisation d’installer mon équipe et de me trouver un endroit assez grand, car j’ai bien peur que votre place ne soit pas assez spacieuse.
- Oui, nous allons essayer de vous contenter monsieur Édouard, mais allez-vous donner une représentation ?
- Ce n’est pas prévu dans mon planning et puis d’ailleurs, il n’y a pas assez de monde dans votre village pour faire marcher le cirque

Pour l'instant rien à dire, j'attends toujours d'en voir plus !

- une virgule après "s'il vous plait" à la place du tiret et un point après interlocuteur et retour à la ligne.
- je voudrai m’installer ici quelques : voudrais
- C’est à peine trente kilomètres : à trente kilomètres
- de vous contenter monsieur Édouard: virgule après contenter

Bonjour,
Merci pour la correction. Je vous met un nouvel extrait.
Cordialement.
auteur008.


Il faut d’abord que je solutionne mon problème.
- Je vais m’en occuper, n’ayez crainte. Installez-vous en attendant sur la place, cela ne saurait attendre, je vais appeler le maire. Il trouvera bien une solution.
Après avoir remercié l’employé, le directeur prit le chemin de la place. Les gars attendaient, les uns fumant, les autres amusant les enfants qui s’étaient attroupés autour des caravanes. Monsieur Édouard fendit l’attroupement des quelques badauds qui se trouvaient là, ainsi que les enfants qui examinaient mi étonnés, mi méfiants, toutes ces caravanes aux couleurs éclatantes. Arrivés près des ouvriers, il haussa la voix pour se faire entendre d’eux.
- Les gars, nous allons être sortis d’ennui nous pouvons rester ici en attendant de pouvoir réparer.
Les hommes poussèrent un cri de joie et l’un d’eux demanda.
- Où allons-nous camper ?
Monsieur Édouard à cette question, hésita un instant mais répondit tout de même.
- Là, mes enfants, il y a un petit problème car comme vous pouvez le voir, cette place n’est pas assez grande pour qu’on puisse s’installer. Mais on va nous chercher un endroit, ne vous en faites pas.
Olivier qui était parmi les curieux, entendit et se retournant vers sa femme, lui dit.
- C’est nous qui allons les héberger. Nous avons le grand champ qui est en bordure de la route, ça ira très bien.
Le souffle coupé, Colette lui répondit vivement.
- Tu n’es pas un peu fou ! Tous ces gens, ces bohémiens. Cela va nous coûter de l’argent, le champ va être ravagé après leur passage.
Olivier la prit par les épaules et de son franc sourire lui expliqua.
- D’ailleurs ce ne sont pas des bohémiens, mais le cirque Édouard, des artistes.

Bonjour,

je viens de lire les trois derniers passages, voici mes commentaires (ce n'est pas dans l'ordre du texte, désolée)

Citation :

C’était une grande et seule pièce avec un parquet en bois, un comptoir séparant les gens du personnel de ce bureau. Au milieu de la pièce trônait un énorme bureau où l’on pouvait trouver de tout.

Citation :

Cela sentait l’école, le papier. Il s’adressa au seul employé qui était assis à ce bureau.

Le mot bureau répété très souvent en peu de phrases. Cela alourdi la lecture.

Citation :

De la gomme aux paperasses en passant par les crayons.

Je ne sais pas si cette phrase apporte quelque chose. Ou elle est trop courte, ou bien mal formulée...dans tous les cas elle ne sonne pas très bien.

Citation :

D’ailleurs ce ne sont pas des bohémiens, mais le cirque Édouard, des artistes

J'enlèverai "D'ailleurs"
Pour ma part je verrai quelque chose comme ca : Ce ne sont pas des bohémiens Colette mais le cirque Edouard. Ce sont tous des artistes.
ce n'est que mon avis ....

Citation :

Le directeur du cirque rétorqua.

Rétorqua est-il le bon verbe ?

Bonjour,
Merci pour la correction qui est très judicieuse.
Cordialement.
auteur008.

Juste quelques fautes !

— Arrivés près des ouvriers : Arrivé
— à cette question, hésita un instant mais répondit : virgule mal placée, avant mais
— il y a un petit problème car comme vous : virgule avant car
— D’ailleurs ce ne sont pas : virgule avant ce

Bonjour,
Merci pour la correction.
Cordialement.
auteur008.

Bonjour,
J'aimerai savoir à quel moment, je dois mettre un autre extrait. Merci d'avance pour la réponse.
Cordialement.
auteur008.

Bonsoir,

Pour mon histoire, j'attends que les deux personnes qui ont la gentillesse de me suivre ai fait leurs commentaires.

Chez toi, nous sommes trois, mais je vois que Elgringo a un peu de retard.....Comme tu mets toujours des extraits courts, au bout de deux commentaires tu peux y aller je pense. on rattrapera rapidement.
Tu peux aussi doubler le volume. Si tu vas jeter un coup d'oeil aux autres récits, ce que je t'encourage a faire, car il y en a de très bons, et soit dit en passant, ce forum est une sorte d'échange (je commente/ tu me commente ou tu commente quelqu'un d'autre), donc pour reprendre si tu vas jeter un coup d'oeil chez les autres tu veras que les extraits sont plus longs.
Enfin à toi de voir....

cordialement,

Bonjour,
D'accord , je vais essayer deux pages, tu me diras.Merci.
Cordialement.
auteur008.

Bonjour,
Voici un nouvel extrait un peu plus long. Merci.
Cordialement.
auteur008.


On peut toujours leur demander un petit loyer pour compenser les dommages. Là, tu es contente !
- Bon d’accord, fais comme tu veux, mais n’oublies pas le travail, ce n’est pas eux qui laboureront à ta place.
Ils ne se lassaient pas de regarder les photos qui recouvrait les façades des caravanes, vantant tel artiste tel numéro. Quand Olivier et Colette furent rassasiés de ce spectacle inhabituel, ils rentrèrent car il y avait de la besogne qui les attendait. En cours de route, Olivier dit à Colette.
- Nous allons aller chez le maire tout de suite.
Le maire possédait lui aussi une ferme, mais bien moins importante que celle d’Olivier. Mais avec ses fonctions de maire, cela lui suffisait amplement. C’était un homme d’une cinquantaine d’années avec une tête toute ronde, une petite moustache et des yeux globuleux. Il était de petite taille, ce qui finissait de rendre son aspect rigolo. Malgré cette apparence, il savait se faire respecter. Il était près de dix heures, quand Olivier pénétra dans sa cour. Un chien loup attaché à une chaîne, donnait l’impression de dormir. A leur approche, il s’éveilla et aboya. Olivier après quelques mots gentils à son encontre , entra avec Colette dans la maison et trouva le maire en train de casser la croûte. Quand il les aperçut, il s’écria.
- Diable, les Alix. Quel bon vent vous amène, les amis !
Il les appelait ainsi parce que ils étaient allés un jour au parc Astérix et cela avait fait du bruit dans la commune. En vrai, leur nom de famille était Guillaume.
- Voilà monsieur le maire, il vient d’arriver un cirque au village et ils ne savent pas où s’installer. Alors j’ai pensé avec ma femme qu’on pourrait les mettre chez moi, dans le champ qui borde la route.
Le maire se servit un verre de vin et montrant un verre vide qui traînait par là, demanda à Olivier.
- Tu en veux ?
Olivier refusa d’un geste de la main. Après avoir bu son verre et lissé sa moustache d’un revers de la main, il s’adressa à Olivier dans un sourire narquois.
- Nous avons bien une place.
- Mais monsieur le maire, c’est que c’est le cirque Édouard.
Là, l’homme se gratta la tête et s’exclama.
- Le cirque Édouard, alors là, oui en effet ça change tout.
Après un moment de réflexion, il releva le visage vers le couple qui attendait le souffle suspendu, le verdict.
- Je te fais marcher. Je suis déjà au courant. Tu fais comme tu veux,après tout c'est ton champ, mais ne viens pas te plaindre si tu as des ennuis.
Le visage d’Olivier se détendit et un large sourire fendit celui ci.
- Vous en faites pas monsieur le maire, tout ce passera bien vous avez ma parole.
-Bon et bien vous pouvez rentrer chez vous pour préparer leur arrivée. Quand à moi, je vais aller trouver le directeur de ce cirque pour lui annoncer la bonne nouvelle.
Alors que le couple s’appétait à sortir, le maire rajouta à l’encontre d’Olivier.
- Et ne m’appelle plus monsieur le maire, je te l’ai déjà dit plusieurs fois.
C’est vrai qu’Olivier et le maire n’avaient que deux ans de différence. Plus jeunes, beaucoup plus jeunes, ils avaient usé leurs pantalons dans la même école. Pas longtemps bien sur, mais ils avaient continué dehors dans leurs jeux d’enfants. Rémi le maire, était comme un grand frère pour Olivier à l’époque. Mais en grandissant, ils avaient fait chacun leur route et à l’occasion de l’élection du maire, ils s’étaient présentés tous les deux. Ce fut Rémi qui remporta la place et depuis ce jour, Olivier se crut obligé de l’appeler monsieur le maire. On ne sut si c’était par dépit, ou par respect, mais toujours est-il qu’il n’arrivait plus à le tutoyer et à l’appeler par son prénom.

Bonjour,

Aïe, tu risques de nous perdre si tu envois tes textes dans deux sujets qui portent le même titre .....tu pouvais mettre ce texte à la suite des autres...

Citation :

Là, tu es contente !

Bon j'ai un doute, mais je crois qu'un "?" conviendrai mieux qu'un "!" à la fin.

Citation :

mais bien moins importante que celle d’Olivier. Mais avec ses fonctions de maire, cela lui suffisait

tu peux remplacer le second "mais" par "cependant"

Citation :

En vrai, leur nom de famille était Guillaume.

En réalité à la place de "en vrai" ?

Citation :

Alors j’ai pensé avec ma femme qu’on pourrait les mettre chez moi, dans le champ qui borde la route.

Il ya quelque chose qui me géne dans cette phrase... Je dirai plutôt :
Alors, avec Colette nous avons pensé qu'on pourrait ....

Citation :

Le visage d’Olivier se détendit et un large sourire fendit celui ci.

Pour ma part je n'aime pas le verbe "fendre" ici...

Citation :

Plus jeunes, beaucoup plus jeunes, ils avaient usé leurs pantalons dans la même école. Pas longtemps bien sur, mais ils avaient continué dehors dans leurs jeux d’enfants

ici, j'ai l'impressions qu'ils ont continué à user leurs pantalons...ce qui peut être le cas ....mais je ne sais pas, il y a quelque chose....
Je verrai simplement : Pas longtemps bien sur, cependant ils avaient continué par la suite leurs jeux d'enfants
C'est juste mon avis, il n'est pas forcément très bon

Citation :

Rémi le maire, était comme un grand frère pour Olivier à l’époque. Mais en grandissant, ils avaient fait chacun leur route et à l’occasion de l’élection du maire

Tu peux tout simplement écrire : à l'occasion des élections

Cordialement,

Bonjour,
Merci pour la correction et pardon pour l'erreur. J'ai fait les changements que tu m'as indiqué en jugeant que c'était logique et bien trouvé.
Cordialement
auteur008.

Voici quelques corrections.

— les photos qui recouvrait les façades : recouvraient
— ils rentrèrent car il y avait : virgule avant car
— En cours de route
— Un chien loup attaché à une chaîne, donnait l’impression : on ne sépare jamais un verbe de son sujet par une seule virgule, soit tu la supprimes, soit tu en ajoutes une après loup
— Il les appelait ainsi parce que ils étaient allés : qu’ils
— Alors j’ai pensé avec ma : virgule avant j’
— comme tu veux,après tout c'est ton : un espace après la virgule
— un large sourire fendit celui ci : celui-ci
— Bon et bien vous pouvez rentrer : virgule après bien
— Quand à moi, je vais : Quant à
— Pas longtemps bien sur, mais : bien-sûr
— continué dehors dans leurs jeux d’enfants : enfant
— Rémi le maire, était comme : là aussi, deux virgule (une après Rémi) ou pas du tout

Après toutes ces judicieuses corrections, je n'ai plus grand chose à rajouter, sinon une question de typologie : à mon sens, la première phrase devrait être précédée d'un tiret pour bien marquer qu'il s'agit d'une conversation.
L'entrée en matière est intéressante, j'ai bien envie de lire la suite !

Bonne continuation

Bonjour,
Merci pour la correction et le commentaire. Je suis un peu perdu. Où dois-je mettre le prochain extrait? Merci de me renseigner et excuse pour ma bévue.
Cordialement.
auteur008.