le cirque en folie

Bonjour,
Merci pour votre avis. J'ai changé en bleu. Dois-je vous envoyer la suite ou attendre ?
Cordialement
auteur008

Bonjour,

Peut-être attendre un peu le passage de schadow54

Cordialement,

Bonjour

Voici les corrections !

— Comment expliquer à sa femme son intention. : phrase interrogative donc ? à la fin
— et de ce fait, qu'il soit : pas de virgule
— Il cogita un long moment pour trouver une solution et n'en trouva qu'une : répétition de trouver (n’en découvrit aucune)
— et à de nouveau cogité : a
— d'angoisse et d’impatience, qu'il prépara : pas de virgule
— l'endroit ou elle se trouvait : où
— une bonne demie heure et puis : demi-heure
— sur le sol ou, lentement, elle reprit : où
— monsieur Édouard sorti de sa cachette : sortit
— Alors il chercha encore : virgule après Alors
— Il réunit tous le personnel : tout
— il leur fit part qu'il allait présenter : il les informa qu’il (l’expression « faire part que » n’est pas correcte on dit « faire part de ») (… il leur fit part de sa décision : il allait présenter un numéro…)

Bonjour,
Merci pour la correction. Je remets la partie corrigée.
Cordialement
auteur008



Comment expliquer à sa femme son intention ? Il avait peur de sa réaction et de ce fait qu'il soit obligé d'abandonner son projet définitivement. Il cogita un long moment pour trouver une solution et n'en découvrit aucune. Tout dire à sa femme et lui fournir tous les éléments intéressants de cette idée. Après avoir maintes fois revu son discours, il profita d'un jour ou Diane était dans un état de bonne humeur. Quand il eut fini de lui livrer son plan pour sauver le cirque et l'avoir rassuré le plus possible, il attendit non sans appréhension, la réponse de sa femme. Cela ne se fit pas attendre, car elle entra dans une colère folle et lui ordonna de ne plus lui parler de cette affreuse idée et qu'il l'oublie immédiatement. Monsieur EDOUARD s'est senti trahi et blessé. Il est parti sans dire un mot et a de nouveau réfléchi.
Le couple, pendu aux lèvres de l'officier de police, en perdait le fil du temps. C'est Olivier qui demanda pour donner un peu de repos au narrateur :
- Comment a-t-il fait pour en arriver à ce drame ?
L'inspecteur l'arrêta d'un geste de la main et continua :
- Après avoir calmé et rassuré son épouse, il échafauda un plan diabolique. Il subtilisa les cachets de Catherine et administra des somnifères à Diane aux moments du spectacle du soir. Il fit tout pour cacher l'horrible vérité aux deux femmes. Avant de présenter son numéro, il effectua un essai et le premier soir, c'est avec un mélange d'angoisse et d’impatience qu'il prépara son forfait. Tout d'abord, il répartit la potion entre les deux femmes et une fois endormies, enferma Diane dans sa caravane et emmena Catherine dans une des cages les plus solides. Il dut
attendre une bonne heure avant le réveil de Catherine. En apercevant l'endroit où elle se trouvait, elle se leva d'un bond et inspecta les lieux tout en commençant à gémir de peur. Caché dans un coin, le directeur l'observait une boule dans le ventre et le corps tremblant. Peu à peu, il vit cette belle jeune femme se transformer en une bête féroce aux yeux injectés de sang et aux crocs luisants comme des sabres affûtés. La créature s'agita ainsi pendant une bonne demi-heure et puis petit à petit, elle sombra dans un mutisme et finit par s'écrouler sur le sol où, lentement, elle reprit son apparence humaine. Quand elle se rendit compte qu'elle était dans une cage, elle se remit à crier. C'est alors que monsieur Édouard sortit de sa cachette pour tenter de la calmer. Tandis qu'elle s'étonnait de se trouver dans ce lieu, il lui donna une explication bidon et la délivra.
À ce stade du récit, Colette ne put s'empêcher de le couper :
- Comment a-t-il fait pour la ramener dans sa caravane sans éveiller des soupçons chez elle ?
- Sous le prétexte de lui donner un cachet pour la calmer, il lui a fait prendre de nouveau un somnifère. Le lendemain, il guetta la réaction des deux femmes pour voir si elle avait un quelconque souvenir. Apparemment, il n'en était de rien. Il se frotta les mains et fut prêt à recommencer , mais cette fois avec le public. Toutefois, un nouveau problème se présenta. S'il pouvait cacher le phénomène aux deux femmes, il ne pouvait pas le dissimuler au personnel du cirque qui allait se demander d’où venait cette créature. Alors, il chercha encore une solution. Au bout d'une heure, il finit par trouver. Il réunit tout le personnel et chose pire encore, les deux femmes.
- Les deux femmes ! S'écrièrent d'un commun accord, le couple.
- Oui, car il s'était dit que tôt ou tard, elles auraient été mises au courant et aurait fait le rapprochement avec la maladie de Catherine. Alors devant tous, il leur fit de sa décision : il allait présenter un numéro de femme se transformant en monstre.

juste un oubli

- il leur fit de sa décision: leur fit part de

Erreur réparée. Merci.

Bonjour,
Je vous mets la fin du roman. Merci.
Cordialement
auteur008




Les visages furent déformés par la surprise et les deux femmes pâlirent. Des murmures d'incompréhension commencèrent à parcourir l’assistance. Cependant, il ne dévoila pas tout l'ensemble de son plan. Il expliqua avoir imaginé un spectacle avec le concours des deux femmes. En effet, il avait conçu un projet basé sur la ressemblance des deux sœurs. Il décrivit le scénario élaboré par ses soins à sa troupe. Tout d'abord Diane entrait sur la piste protégé par des grillages solides. Une fois accomplis quelques gracieux mouvements pour détourner l'attention du public, la lumière se voilerait légèrement pour faire la subtilisation. Dans les coulisses, Catherine attendrait que son tour vienne de rentrer en scène. Elle serait grimée en animal féroce et monstrueux. Un disque enverrait à cet instant, les cris et rugissements d'un animal en furie. Lorsque le directeur eut fini d'exposer son idée, il attendit la réaction de ses employés et des deux femmes. Alors que le personnel se mit à applaudir, les deux femmes s'éclipsèrent. Monsieur Édouard remercia vivement ces gens et se hâta vers le lieu où il avait vu se diriger les deux femmes. Il entra en premier dans la caravane de sa femme et les trouva toues les deux en train de préparer quelques affaires. Devant son étonnement, elles le mirent au courant de leur intention de s'en aller. Il ne dit rien et se mit à pleurer. Alors Catherine, touchée par sa réaction et en souvenir du bien qu'il lui avait fait en la faisant sortir de l’hôpital, prit la décision de faire le numéro. Sa sœur eut beau la supplier et son mari lui jurer qu'elle n'était pas obligée, il se débrouillerait autrement, elle resta sur ses positions.
Olivier pesta malgré lui :
- Quel homme machiavélique ! Ses larmes était des larmes de crocodile ?
L'inspecteur avoua dans un petit sourire et continua :
- Ils tentèrent une première représentation, après s'être bien mis d'accord qu'au premier incident, ils abandonnaient le projet. Ils firent bien sûr plusieurs répétitions et c'est quand le numéro fut à point, qu'ils tentèrent l'expérience. Cela fonctionna à merveille jusqu'au jour où le drame arriva.
Colette le coupa, pressée de savoir :
- Quel drame ?
L'inspecteur la rassura d'un geste de la main :
- J'y arrives. Le jour de son arrivée dans votre champ, avec la panne du camion et tous ses désagréments, il n'avaient plus penser à renouveler le médicament de Catherine. Cette potion prise à des heures régulières empêchait la transformation. C'est pour cette raison aussi qu'il ne voulait pas s'arrêter dans notre village. Notre petite pharmacie n'avait pas ce genre de remède. Il avait été dans la commune la plus importante des environs et ne l'ayant pas trouvé, l'avait commandé en urgence. Mais en attendant, il fallait trouver une solution. C'est ainsi que l’idée de la retenir enfermée dans sa caravane le temps de réparer lui est venu. C'était sans compter sur la malchance. Les crise de Catherine devenant dangereuses, il dut avertir le personnel et de ce fait, renforcer la garde à ces moments précis. Mais voilà, elle a réussi à échapper à la vigilance de ses gardiens et a ainsi, commis les atrocités que vous savez.
Après ces aveux, le silence retomba dans la pièce et l'inspecteur se leva. Il lança :
- Voilà toute l'affaire. Je suis désolé pour tout le malheur que cela à occasionné et espère que vous allez vous en remettre.
Puis il sortit rejoindre d'autres drames, d'autres enquête. Cependant, il aurait toujours un souvenir de celle-ci. Il ne savait pas si un jour, il pourrait aller voir un spectacle de cirque sans se rappeler d'un certain cirque en folie. Pour le jeune couple d'agriculteurs, le cap fut long à franchir avant de retrouver la sérénité. Colette fit des cauchemars pendant quelques mois et Olivier avait pleuré en voyant le cirque s'en aller vers la fin de sa carrière. À présent, il ne voulait plus entendre parler de cirque.








Fin

Bonjour,

Votre histoire porte bien son nom ! j'ai pris plaisir à la suivre.
Quel homme ce Monsieur Edouard....je l'aimais bien moi. Colette et Olivier sont attendrissant

Sinon voici :

Citation :

c'est quand le numéro fut à point

"au " point ?
à point me fiat plutôt penser à de la cuisine...

Citation :

il n'avaient

Il n'avait

êtes vous sur une seconde histoire ?

Cordialement,