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 Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)

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2 participants
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 10 Icon_minitimeMer 16 Mar 2011 - 15:03

super désolé du retard mais euh... professionnellement en ce moment c'est la galère complète ^^

Je vais me rattraper ça va me changer les idées.

Citation :
dans une nouvelle « pièce » de la grotte
le terme de "salle" devrait convenir.

Citation :
mais les jeunes femmes nues sont malades, mais on y perd pas au change
deux fois "mais" trop vite.

Citation :
Je m'occuperais de vous en dernier
occuperai

Citation :
vous ferais
ferai... et un peu plus loin, infligerai

Citation :
bloqué son coups
coup

Citation :
Sergent c'est, entre autre, fait bruler les couille
s'est... brûler

Citation :
il était sur pied dans une semaine
serait... suivi de "pourrait"



Citation :
Je lui ai doucement dit
tu pourrais dire : soufflais pour remplacer

Citation :
tendue à l'extrême,
tendus

Citation :
je me suis battue pour te protéger
battu (beaucoup de féminin today Smile tu veux faire passer un message ? Very Happy )

Citation :
car je te traquerais toute l'éternité si il le faut »
traquerai

Citation :
Puis ma main gauche a lâché la lame tandis que la main droite, qui tenait la lame avec deux doigts, tirait maintenant la pointe de la lame pour la diriger vers le ventre du chef. Une fois la lame suffisamment proche
tu dois pouvoir éviter la répétition de "lame" (qui se répète encore plein de fois après) mais sinon joli mouvement Smile


pas mal le reste, rapide efficace, tu progresse en orthographe. Tcho.
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 10 Icon_minitimeMer 27 Avr 2011 - 11:42

Yo, ça faisait un pti moment que j'avais pas posté, prend ton temps je suis pas pressé non plus^^ et merci d'avance


Chap 39.
part 5


« Oh, du calme. On vous veut pas de mal. »

Ai-je dit, en jetant à terre l'épée que je n'avais pas lâché depuis notre fuite

« Donc, vous chargez des convois en courant, l'épée à la main et sortant des bois, et vous voulez nous faire croire que vous ne nous voulez pas de mal ? »

A demandé celui qui semblait être le chef des mercenaires.

« Si le convoi n'était pas escorté vous auriez dit que vous ne vouliez pas de mal ?
-Oui. »

Ai-je dit, en souriant.

« J'ai du mal à vous croire.
-Vous êtes con ou quoi ? On a un mec qui s'est prit une dague dans le dos, un autre qui est gravement malade, on est fringué comme des mecs qui sont séquestrés depuis une semaine, on a la respiration de mecs qui courent depuis une heure.
-Vous êtes des gueux, ça je ne le nierais pas, mais...
-purée, arrêtez de jouer au con et aidez nous. »

Un changement de stratégie s'imposait, d'autant plus que je sentais que mes compagnons étaient sur le point de réellement en arriver aux armes. Et, ma personnalité naturelle ne servait, en l'occurrence, pas vraiment mes intérêts : les gens ne trouveraient pas crédible qu'un mec qui fuie des démoniste après avoir été enlevé et séquestré, soit calme et prenne le temps de faire un beau débat argumenté... Bref, je suis donc passé dans mon mode acteur, mimant la colère et le désespoir. Je crois que j'étais plutôt crédible.

Le mercenaire s'apprêtait à répondre un truc cassant, mais un mec qui était resté en arrière est intervenu.

« D'accord, d'accord... Excusez sa méfiance, c'est juste que ces derniers temps il y a eu pas mal de problèmes dans les environs. »

D'après sa tenu, j'en ai déduis que c'était un marchand, surement le propriétaire du convoi.

J'aurais pu faire miroiter une récompense pour nous emmener à Traven, mais, d'un, je doute que la capitaine aurait accepté que je m'engage à ce qu'il paie, et de deux le marchand semblait suffisamment sympathique pour ne pas avoir besoin d'une récompense pour nous aider.
Bref, le marchand qui allait justement à Traven a sympathiquement accepté de nous transporter, et quelques temps plus tard nous étions donc au campement de la compagnie. Le capitaine nous a ordonné d'aller attendre dans sa tente, ce que nous avons évidemment fait. Quelques minutes plus tard il était avec nous. Il a immédiatement demandé que Bebert et Beylke aille à l'infirmerie. Il a dépêché deux hommes pour raccompagner le marchand d'argent chez lui, puis enfin, il s'est occupé de nous.

« Tekmerak, vous allez m'expliquer ce que c'est que ce bordel. Et purée de m***e, où est passé Sergent ?
-Sergent est mort, capitaine.
-Mort ? Expliquez-moi tout depuis le début. »

C'est ce que j'ai fait. Enfin, c'est ce que j'ai presque fait, car dans mon histoire, Sergent, Reginald et moi attaquions l'adversaire dé qu'on arrivait dans la salle de torture, et Sergent s'était sacrifié pour nous laisser le temps de nous enfuir... Ainsi, je n'avais pas tué Sergent et je n'étais pas la cause d'une hypothétique séance de torture dont il aurait été victime... Et, quand le capitaine trouvera sergent et ses marques de tortures, il en déduira qu'il n'a pas été tué tout de suite après notre fuite, mais qu'il a, avant, été torturé. C'était une meilleure version, plus... glorieuse, et ce pour tout le monde : Sergent devenait un héros et je ne passais pas pour un connard. Reginald a confirmé mon histoire.

Sur ce, il nous a remerciés et nous a enjoint d'aller nous reposer. Nous sommes donc sorties de la tente. Autour de nous, une partie de la compagnie s'était amassée, curieuse de savoir ce qu'il était arrivé. Je me dirigeais droit vers ma paillasse, heureux que tout soit finie et rêvant d'une bonne journée de sommeil, quant un éclat de... lucidité, je ne sais pas... mais, du moins de... pensé, m'a atteint. Je me suis retourné vers le capitaine qui sortait de sa tente et j'ai demandé.

« Vous allez attaquer la grotte ?
-Plus tard.
-Mais, ils savent que nous sommes en vie, ils vont s'enfuir si on leur en laisse le temps.
-Depuis quand les simples soldats donnent-ils leur avis à leurs supérieurs ? »

La ton qu'il avait utilisé, ainsi son regard, étaient incroyablement cassants, j'ai bégayé un « dé dé désolé ca pi taine » avant de me barrer, la tête basse, complétement démoralisé.

Cinq minutes plus tard, je dormais. J'aurais pu dormir une journée entière... si Bob ne m'avait pas réveillé.

« Tekmerak. »

J'ai d'abord feint le sommeil, espérant qu'il finirait par partir, mais ça n'a pas marché.

« Tekmerak
-Quoi ? » Ai-je grommelé.
« C'est Bebert. On a besoin de toi.
-Quoi ?
-Il est gravement malade, on ne sait pas quoi faire.
-On ? Depuis quand tu 'occupe de Bebert ?
-Je... Dépêche toi. »

Bon... j'ai rapidement mi une chemise et je l'ai suivi.

« C'est le capitaine qui t'envoie ?
-Non, il est parti attaquer les démonistes. »

Le camp était désert, nous avancions d'un pas pressé.

« Mais... Bebert n'a pas un apprenti ?
-Si.
-Pourquoi il ne s'en occupe pas, alors ?
-Il ne sait pas quoi faire. »

Ah... Le « on » c'était Bob et Gus, l'apprenti, son nouvel ami.
On est finalement arrivé à la tente hôpital. Bebert était allongé sur de la paille, il suait beaucoup et semblait dormir.

Gus, l'apprenti, était assis à côté de lui, il paniquait et a semblé soulagé de me voir arriver. Mais, c'est Bob qui a parlé. Gus semblait vraiment inquiet et perdu, sans repaire... Il tenait donc sincèrement à son maitre.. Pourtant, à ce qu'il se disait dans la compagnie, Bebert ne se contentait pas d'apprendre la médecine à Gus, il lui initiait aussi d'autre savoir, plus... A quoi bon vouloir être subtile : Bebert enculerait Gus et Gus n'apprécierait pas vraiment... D'où vient cette rumeur ? En plus des cris qui sortent de leur tente la nuit, un soldat, je ne sais plus lequel, prêtant qu'un jour, il était blessé et avait donc été installé dans la tente infirmerie... Il s'était endormi, et quand il s'était réveillé, il savait surpris le médecin et son apprenti en pleine.... copulation. Je ne sais pas si c'est vrai, mais purée, si ça lui était réellement arrivé, il devait être vraiment mal à l'aise.

« Alors, qu'est ce qu'on fait ?
-Qu'est ce qu'il a ? »

J'avais passé une semaine avec lui à le regarder souffrir sans me demander ce qu'il avait... faut dire que même si j'avais pu diagnostiquer le problème je n'aurais rien pu faire... Et j'étais pas dans l'état d'esprit nécessaire pour tenter de l'aider.

« Je ne sais pas, il dort beaucoup, se réveil parfois en délirant, il a de la fièvre, il transpire.
-Ça je le vois... La cause ?
-Je ne sais pas... Il a du sang à l'arrière du crane.
-Pousse toi. »

Je me suis agenouillé à côté de Bebert afin d'examiner son crane. Le coup pour l'assommer avait dû être un peu trop brutal. Rien de très violent non plus, je crois, mais la plaie s'était peut-être infectée. Bon, si il avait eu un traumatisme crânien important, il serait déjà mort.
A l'arrière du crane, il y avait un congloméra de cheveux, de sang coagulé, de poussières et de terres.

« Bon, trouvez moi une bassine d'eau que vous aurez fait bouillir, de l'alcool fort, des torchons propres, une dague bien aiguisé. »

Ils se sont dépêchés. La plaie étant sur le crane, il fallait être prudent. J'ai pris un torchon, l'ai trempé dans la bassine d'eau bouillie et ai entrepris de nettoyer un peu la plaie pour mieux voir les dégâts. Avec le scalpel que j'avais chauffé sur le feu de la tente, j'ai enlevé les agglomérats de cheveux, sang et tout ce qui me cachait la plaie. Âpres une dizaine minutes de travail soigné, j'ai pu voir la plaie dans son intégralité. Rien de bien grave, j'ai nettoyé à l'alcool, et je m'apprêtais à me lever en disant que j'avais fait ce que je pouvais quant deux pensés m'ont traversées l'esprit : Gus n'est pas un génie et cette plaie avait l'air un peu faible pour être à l'origine de la fièvre de Bebert. Et en effet, après quelques recherches, j'ai trouvé une plaie bien plus importante sur l'épaule droite de Berbert, une blessure qui avait pu être provoquée par une chute sur un truc pointu comme un coin de tables de marchés, ou même son épée (pendant une course poursuite, on a plein d'occasion de s'auto-embrocher)... Cette plaie là était vraiment laide. Elle était rouge, boursouflée et suintante. Elle avait commencé à se refermer, emprisonnant le pue et de la terre. Un liquide jaunâtre et verdâtre s'en écoulait avec aussi quelques teintes rosées.
Bob et Gus qui regardaient derrière mon épaule étaient devenus blancs.

« Bon... Il va falloir nettoyer la plaie, enlever le pue et la terre... Pour ce, il va falloir rouvrir la plaie. Tenez le, je ne voudrais pas le balafrer parce qu'il a bougé. »

Youhou, que du bonheur. J'ai incisé avec délicatesse, Berbert a bronché, mais n'a pas bougé. Puis, toujours avec soin, j'ai entrepris d'enlever toutes les merdes qui infestaient sa plaie à l'aide d'un torchon humide. J'ai aussi dû retirer quelques parcelles de peaux nécrosées. Puis, j'ai nettoyé avec de l'alcool.

« Berbert a de l'argile ?
-Oui.
-Parfait, tu sais faire des cataplasmes d'argile ?
-Oui, j'en ai déjà fait.
-Bon, je te laisse faire alors, tu recouvres les plaies avec, puis tu bandes avec du tissu et tu le refais régulièrement.
-Et pour la fièvre ?
-On ne peut pas faire grand-chose... Linge humide sur le front, et... Où est-ce que Bebert range ses herbes ?
-Ici. »

Apres, quelques minutes de fouille, j'ai trouvé de l'écorce de saule... Ba, en infusion, ça serait mieux que rien. Je l'ai dit à Gus tout en insistant pour que Bebert mange et boive régulièrement. Puis, je suis retourné me coucher, en me demandant si le café avait des propriété médicales. Pour l'instant le seul point notable que j'avais remarqué concernant le café était son effet laxatif... Et ma foi, je m'en serais bien passé.

« Tekmerak ! »

Dans ma tête, je me suis dit un truc du genre « Putaint... fait chier », ce qui, lors de sa sortie de ma bouche c'était transformé en un « Salut Baldawyn
-Je croyais que tu dormais. »
Si seulement... « Non, Bebert est dans un sale état et... fallait bien que j'aide.
-Tu t'y connais en medecine ?
-En tout cas plus que Gus... » Ce qui est loin d'être un exploit
« Et Bebert va s'en sortir ?
-C'est du soixante-quarrante pour qu'il survive... Tu n'es pas allé attaquer la grotte avec la compagnie ?
-Il fallait que certains restent monter la garde. »

Bref, ceci entrainant cela, je me suis retrouvé assis avec Baldawyn autour du feu à parler de tout et de rien. Si vous ne l'avez toujours pas compris, j'étais complètement crevé et je me demande vraiment pourquoi je n'étais pas directement rentré à ma tente... Toujours est-il que je ne l'ai pas fait...
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