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 Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)

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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeLun 11 Mai 2009 - 3:16

Bon et bien, je suis toujours sous le charme de Tekmerak, j'aime bien ça façon de parler assez particulière, ça donne une raison de plus pour apprécier la première personne cheers

La description de la route est sympa, et on se demande ce que sont toutes les zones qu'ils ont traversé, ça pousse à vouloir en savoir plu sur l'univers dans lequel se passe l'histoire à mon avis.

Mis à part ça, l'aura que tu fais planer autour des Dix les places déjà comme éléments très important pour la suite.

Et comme touche final : Kado est vraiment génial génial , et accessoirement on se demande bien pourquoi il peut pas quitter la ville ( encore et toujours des questions sans réponses ... la suite je t'en supplie !! )
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Morrigan
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 17:41

Marrant,j'imaginerai bien Kado comme l'un des dix Razz

A part ça,je trouve un peu étrange que leur inconnu n'insiste pas plus ... Après tout, ils l'ont trouvé en prison. S'ils racontaient ça, ça pourrait faire du grabuge je présume.
Et puis surtout : si c'est bien l'un des dix et qu'il fait de ma magie, pourquoi il n'est pas sorti par ses propres moyens ? Et comment il s'est fait attrapé ?
Bref,y'a un truc là dessous qui ne tourne pas rond et qui m'embête ^^

Sinon,j'ai repéré des fautes encore mais j'avais un peu la flemme de te les signaler, d'autant plus que c'est souvent du même genre : les "se/ce", et surtout cette foutue ponctuation xD (je vais revenir souvent là dessus je crois ^^)

Mais autrement, bon, un petit passage bien sympa et j'apprécie toujours autant l'histoire. Suite ? Very Happy
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 19:34

"Après tout, ils l'ont trouvé en prison. S'ils racontaient ça, ça pourrait faire du grabuge je présume."
ba je n'ai peut etre pas insister sur ce fait (pour l'instant) afin de ne pas etre lourd, mais l'Ertickos et l'empire celeste son en guerre, donc je vois pas en quoi le fait d'etre en prison en ertickos est gennant dans l'empire celeste.

Bo et puis pout tous le reste, si je te le dit, y a plus d'interet a faire un livre...
D'aileur je suis pas sur d'avoir compris, tu crois que ce sont des incoherences de ma part ? (quesqu'y faut pas entendre...Razz)

Sinon, ba merci a vous deux pour vos critiques
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 19:44

C'est vrai tu a s raison tu connais ton histoire mais il arrive quand même parfois d'écrire des incohérences et de ne pas s'en rendre compte. Wink Moi ça m'arrive tout le temps mais heureusement que vous êtes là pour veiller au grain. cat
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 19:54

Ba une incohérence du genre au debut le mec a un pull bleu et a la fin un pull rouge, sa peu m'arriver
mais des incoherence du genre qu'a dit morrigan non, pas apres tout le temps que j'ai passé a inventer l'histoire et les justification de chaque geste, les objectifs de chaques personages etc...
j'ai meme passer plus de temps a rendre chaque actions justifiable qu'a immaginer les actions, le tout en faisant de superbe conversation avec moi-meme (d'un coté le mec qui passe son temps a pointer les incoherences (et je peux vous assurer qu'il en trouve plein) et de l'autre celui qui ecrit berhkael...)

Bref... pour pas paraitre trop sur de moi, je devrais dire un tru du genre l'ereur est humaine donc sa peux m'arriver de me tromper, mais je suis desolé, pas a ce niveau, l'erreurs je l'ai deja faite et je l'ai corriger avant de corriger cette corection et ainsi de suite...

Mais comme je sais que sa suffira pas a vous convaincre, ba...
Essayez tant que vous voudrez, vous ne trouverez rien devil (en tous cas sur le plan scenaristique)
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 20:34

Tekmerak a écrit:
"Après tout, ils l'ont trouvé en prison. S'ils racontaient ça, ça pourrait faire du grabuge je présume."
ba je n'ai peut etre pas insister sur ce fait (pour l'instant) afin de ne pas etre lourd, mais l'Ertickos et l'empire celeste son en guerre, donc je vois pas en quoi le fait d'etre en prison en ertickos est gennant dans l'empire celeste.
ah,j'avais pas assez fait gaffe au fait qu'on passait d'un pays à l'autre et que les deux se tiraient la bourre ... désolée,mais là ça prend son sens (même si là,ce sont tes gardes que j'aurais envie de critiquer : on met pas des abrutis pareil pour garder une frontière comme ça ^^)

Tekmerak a écrit:
D'aileur je suis pas sur d'avoir compris, tu crois que ce sont des incoherences de ma part ? (quesqu'y faut pas entendre...Razz)
non,je ne disais pas ça. Je m'interrogeais moi-même en fait ^^
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeJeu 14 Mai 2009 - 21:03

A, une habitude dans mes recits, les gardes sont cons (sauf rares exeptions)
et en fait les deux pays ont beau etre en guerres, la frontieres reste ouverte, en effet les dix ne vont pas cracher sur les marchand et les bourgeois qui emmigrent (au debut je l'avais mis puis je l'avais enlevé en me disant que sa faisait trop lourd, je devrais tetre le remettre finalement)
Chap. 8

Je me suis réveillé tôt, trop tôt.
J'ai tenté de me rendormir, mais j'ai finalement abandonné et me suis levé.
Les autres dormaient encore, je me suis donc rendu dans la salle principal de l'auberge et ai commandé le « plat du matin », une vulgaire assiette de gruau.
Âpres avoir finis mon assiette, je suis retourné voir l'aubergiste.

« Es qu'il y aurait moyen de se laver ?
-Et bien, oui, je peux faire monter une cuvette d'eau chaude dans votre chambre, si vous voulez.
-Eu... Je ne suis pas seul dans ma chambre, vous n'auriez pas un autre endroit ?
-La chambre 05 est libre, je fais amener l'eau la-bas, par contre si vous salissez la chambre vous payez un supplément.
-Bien entendu. »

Quelque instant plus tard, je marinais dans une grande baignoire d'eau chaude, n'étant pas de nature passive (du moins dans mon bain), je me suis vite lavé avant de me rhabillé tout en évitant de mouiller la parquet.
Quand je suis sorti, Kado prenait son petit-déjeuner dans le réfectoire.

« Tekmerak, comment va l'ami de Kado ?
-Aussi bien qu'hier, moins bien que demain.
-Kado est heureux que tout aille pour le mieux.
-Bob dort toujours ?
-Oui. » Bien, ça m'évitera de lui dire au revoir avant de partir.
« Bon, ba salut.
-Tekmerak part ?
-Oui » Joignant le geste à la parole je me suis levé
« Tekmerak sera alors désolé de l'apprendre, mais il ne peut pas partir.
-Pourquoi ?
-Et bien, certains parlerons de malchance, d'autres parlerons de destin.
-Continue.
-Kado a fini.
-Mais tu ne réponds pas à ma question.
-Et pourtant...
-Bon, garde tes mystères pour toi, moi j'y vais. »

Je me suis dirigé vers le comptoir, ai payé la chambre et le repas, puis je me suis dirigé vers la sortie.

« Où vas tu mon gars ? »

La porte d'entrée venait de s'ouvrir sur un homme de taille moyenne, habillé de cuir de pied en cape.
Il s'était placé sur le pallier du côté extérieur, j'étais sur le palier intérieur, il me barrait donc la route.

« Et bien, visiblement pas ici.
-Pas ici, dans la ville ou pas ici dans l'auberge ?
-Excusez-moi, mais en quoi ça vous concerne ?
-C'est une bonne question.
-Par contre, ça c'est une réponse de m***e. Laissez-moi passer.
-Ça c'est de la répartie, je sens qu'on va bien s'entendre.
-Ha bon ? C'est pourtant pas mon sentiment. Laissez-moi passer. » C'est vrai que mon sens de la répartit est impressionnant.
« Il ne faut jamais se fier à sa première impression.
-Bon... J'en déduis que vous venez de la part des dix.
-Malin en plus. »

Simple déduction logique : Il semblait envidant que ce mec ne m'avait pas abordé pour le plaisir de faire la conversation. Ne connaissant personne en ville les possibilités de personnes pouvant vouloir me parler étaient limitées : soit les dix puisqu'ils me connaissent soit des ennemies des dix qui pensent que je coopères avec eux.
Ne pouvant être sur du parti auquel je parlais, j'ai fait un choix logique : En disant ce que j'ai dit soit c'était bien un serviteur des dix et à ce moment c'était un bon point pour moi, soit c'était leurs ennemies et la je passais pour un con, mais très franchement ce que pensent les rebelles j'en ai rien à foutre, ils n'ont pas le pouvoir des dix.

« Qu'est-ce que vous me voulez ?
-Et bien, moi rien, par contre certaines personnes hauts placées voudraient vous parler.
-Et si je refuse. » Question sans intérêt tellement la réponse semblait évidente mais bon...
« Je ne crois pas que vous ayez le choix.
-Moi non plus... Et pourtant. »

Tout en parlant, j'avais pris la porte de l'auberge avec ma main droite, d'un geste brusque j'ai fermé la porte, abattant ainsi le lourd volet de bois sur le nez de mon interlocuteur.
Je me suis retourné et suis passé par une fenêtre donnant sur une ruelle à l'arrière de l'auberge (j'avais fait mon repérage des issues de secours en arrivant, hier).
Sans réfléchir, j'ai pris à droite, puis à gauche, puis encore à droite, m'enfonçant dans un vaste labyrinthe de ruelles étroites.
Je me suis ensuite caché derrières des caisses empilées contenants certainement de l'alcool.
Quelques instants plus tard, une dizaine d'hommes sont passés devant moi en courant.
Attendant qu'ils soient passés, je suis ensuite retourné sur mes pas, avant de partir dans une autre direction.
Personne à droite, personne à gauche, j'ai fait un effort pour ralentir mon rythme cardiaque et me suis mis à marcher.

« Fchiou »

Je me suis jeté a terre, évitant de justesse une flèche mouchetée, ils me voulaient vivants, c'était déjà ça.
Sans me retourner je suis reparti en courant, tournant à droite, à gauche, à gauche, à droite, tout droit, à gauche, à gauche, tout droit, à gauche, à droite, tout droit, à droite, tout droit , à gauche...
Soufflant comme un bœuf, j'ai finalement rejoins la route principale, je me suis alors mêlé à la foule, marchant à son rythme.
Je me suis ainsi lentement, mais surement approché de la sortie de la ville.
J'ai finalement traversé les portes et suis sortie de Pirkatia.


N'ayant pas pu dans la précipitation récupérer mon cheval, j'ai du me résoudre à marcher, mais vers où ?
J'ai opté pour le nord, Margard est celons les quelques rumeurs que j'ai entendu à son sujet, le genre de ville que je cherche.
Je longeais donc la grande route, marchant sur le bas côté, maudissant les Dix de devoir marcher.

Âpres environ cinq heures de marche, j'ai atteint une des étapes jalonnant la route.
J'ai décidé de m'arrêter pour manger un morceau, me reposer et éventuellement acheter un cheval (quoiqu'étant donné le peu d'argent me restant, le voler serait plus réalisable).
L'auberge était un bâtiment récent en bois plutôt propre, j'ai cherché une table libre quand mon regard c'est finalement arrêté sur une table occupée.

D'une démarche lourde, le regard hésitant, je suis allé m'installer à cette table.

« Tekmerak a l'air surpris de me voir.
-Moi qui pensais avoir un visage impénétrable.
-Kado est heureux de revoir Tekmerak.
-Je croyais que tu ne quitterais pas Pirkatia ?
-Kado le croyait aussi.
-Comment m'a tu retrouvé ?
-Et bien, Tekmerak disait vouloir rejoindre une ville décadente et corrompu, Margard semblait être le choix le plus plausible.
-Heureux de savoir que ma destination était prévisible, où est Bob ?
-Il attend Kado à Pirkatia.
-C'est bien ce que je craignais... Dit moi Kado, j'ai l'impression que tu n'es pas venu ici pour le plaisir de me parler, ni pour m'accompagner jusqu'à Margard, je me trompe ?
-Hélas, non.
-Avant de tenter de ramener à Pirkatia surement devant les dix, tu pourrais me dire pourquoi ?
-Si Tekmerak est aussi malin qu'il le pense, surement l'aura il deviné.
-Bon... Et tu vas faire quoi maintenant m'assommer ?
-Moi ? Non, mais lui si. »

A-t-il dit en indiquant mon dos du doigt.
Comme un con je me suis retourné, il n'y avait personne, une vive douleur a alors retentis dans la base de mon crane, je me suis ensuite évanouie.

Bâtard
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeJeu 14 Mai 2009 - 22:15

et ai commandé" c'est pas top. Je propose
je me suis donc rendu dans la salle principal de l'auberge pour commander ..."
j'ai cherché une table libre quand mon regard c'est finalement arrêté sur une table occupée.
D'une démarche lourde, le regard hésitant, je suis allé m'installer à cette table." trois fois table
je propose
j'ai cherché une place libre quand mon regard c'est finalement arrêté sur une table occupée.

D'une démarche lourde, le regard hésitant, je suis allé m'y installer.

A suivre.
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeVen 15 Mai 2009 - 18:49

je me suis vite lavé avant de me rhabillé tout en évitant de mouiller la parquet. => rhabiller / le

soit des ennemies des dix qui pensent que je coopères avec eux. => ennemis / coopère

Margard est celons les quelques rumeurs => selon

je me suis ensuite évanouie. => évanoui

Je maintiens que tes dialogues sont assez terribles en général geek je me paye quelques fous rire de temps à autre. Je ne sais pas si tu les travailles ou si c'est naturel, mais bravo quand même ^^
à part ça,j'ai bien aimé l'intervention du gars qui veut emmener Tek. Il était moins abruti que les faire valoir que tu as présenté jusqu'à présent.
Et puis la petite chute est sympa aussi, évidemment Wink
à suivre
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeSam 23 Mai 2009 - 21:29

Ba les dialogues c'est de loin la partie la plus spontané de ce que j'ecrit.
MErci des critiques, je vais éditer

La suite : J'en suis pas vraiment fiere, il se passe rien, mais bon...

Chap. 9

Lorsque je me suis réveillé, je me trouvais dans une pièce de taille moyenne, contenant un lit d'assez bonne facture ainsi qu'un bureau et une chaise.
Une petite fenêtre grillagé donnait sur l'extérieur, mais on n'y voyait que le ciel, c'était le matin.
Sur le bureau était posé, bien en évidence, mon journal, ce journal, ainsi qu'un matériel d'écriture de qualité supérieure a celui que j'utilisais jusque là.

Étrangement, je n'avais pas mal à la tête, enfin je dis étrange parce que j'avais entendu dire qu'en se réveillant après avoir été assommé on avait mal à la tête, ceci étant dit, je n'ai jusque-là jamais été assommé donc je ne peux pas comparer.

« Vous... Vous êtes réveillé ? »

Je me suis tourné vers la direction d'où provenait la voix.
Il y avait deux hommes de petites tailles, peut être un peu plus grand que l'autre crevure de Kado, mais pas plus d'un mètre dix.
Ils semblaient plus ou moins jeunes, dans les vingt-cinq ans.

« Visiblement.
-Bien, je me nome Kulk et voici mon frère Kluk.
-Moi, c'est Tekmerak, mais j'imagine que vous le savez déjà.
-Moi et Kulk avons étés chargés de nous occuper de vous. » Cool, j'ai toujours rêvé d'avoir des larbins.
« Et bien, vous pourriez peut-être commencé par me dire où je suis.
-Vous êtes dans le donjon des dix.
-Évidemment... Où est Kado ?
-Un cadeau ?
-Non, un petit homme obèse atteins de calvitie qui parle à la troisième personne.
-Ni moi ni mon frère ne connaissons de personnage de la sorte, n'est-ce pas Kulk ?
-En effet.
-C'est pourtant lui qui m'a assommé avant de me livrer aux dix.
-Si je ne me trompe pas, on vous a trouvé en train de dormir, la tête dans votre choppe à une des auberges de la ville. » Kado a décidément un sens de l'humour très personnel.
« Vous êtes sûr que vous ne le connaissez pas ?
-Oui.
-Bon... »

Étrange, pourquoi Kado me vendrait-il aux dix s'il ne travaille pas pour eux ? A moins qu'il travaille pour eux, mais que les deux frères ne le sachent pas ou encore qu'ils me mentent.
« Et qu'est-ce que je suis censé faire maintenant ? Attendre qu'on me donne des ordres ? A moins que je puisse quitter le donjon ?
-Et bien nos ordres sont simples : répondre a toutes vos questions, mais ne pas vous laisser quitter la chambre.
-Super... Puisque que j'ai le droit de vous interroger : Pourquoi les dix m'ont ils fait « enlever » ?
-Et bien...
-On ne sait pas.
-Les dix n'ont pas l'habitude de nous expliquer leurs raisons.
-C'est cool que vous répondiez à mes questions, mais si vous en savez pas plus que moi ça me fait une belle jambe.

-Si nous ne pouvons rien vous apprendre sur les raisons et objectifs des dix, nous pouvons tout de même vous apprendre beaucoup de choses.
-A oui ?
-Vous vous y connaissez un peu en ingénierie ?
-Un peu.
-Peut être pourrions nous alors, vous apprendre certaines choses.
-Nous sommes des ingénieurs.
-Les dix enverraient des ingénieurs faire du baby-citing de prisonniers ?
-Lorsque moi et Kulk avons rencontrés les dix, ils avaient déjà assez d'ingénieurs, nous avons donc du nous contenter d'un emploi de serviteurs.
-Pourquoi n'êtes-vous pas simplement allez voir ailleurs ?
-Et bien à partir du moment ou l'on propose aux dix de les rejoindre, on ne peut plus faire machine arrière.
-L'éternel problème... Bon, puisqu'il n'y a rien d'autre à faire, apprenez-moi des choses. »

Nous avons passé plus de quatre heures à parler d'ingénierie avant qu'un serviteur arrive pour m'apporter à manger.
Les deux petits hommes sont alors partit.
J'ai entrepris de vider l'assiette qu'on m'avait gracieusement donnée, c'était du porc avec quelques légumes et du pain frai. Pas le meilleur repas de ma vie, mais surement mon meilleur repas depuis au moins deux ans.
Une fois rassasié, je suis allé consigner les évènements récents.
Alors que je fermais mon journal, une femme est entrée dans ma chambre, dans les un mètre soixante-cinq soixante-dix, long cheveu brun... Sans entré dans une description détaille, elle était belle (quoique cette notion soit extrêmement relative).

« Bonjour Tekmerak.
-Heu... Bonjour.
-Désoler d'avoir dû utiliser la manière forte, mais tu ne me laissais pas le choix.
-Vous êtes une des dix ?
-Oui.
-Pourquoi m'avoir enlevé ?
-Parce que tu es quelqu'un de compétent.
-Vous voudriez me forcer à travailler pour vous ?
-Oui.
-Ça a le mérite d'être clair.
-Demain vous rejoignez l'armée.
-J'ai jamais dit que j'acceptais.
-Nous savons tous les deux que quoi que je dise vous finirez par accepter.
-Et bien... En effet... Mais quand vous voulez m'intégrer à l'armé, vous voulez dire a quel grade ?
-Soldat.
-Je croyais que j'étais quelqu'un de compétant ?
-Je suis contente de savoir que vous vous tenez en haute estime.
-Mais c'est vous qui m'aviez dit que vous m'aviez enlevé parce que j'étais quelqu'un de compétent!
-J'ai dit sa ?
-Arrêtez de vous foutre de ma gueule et dite moi pourquoi vous m'avez enlevé.
-Je n'apprécie pas votre ton. »

Arg, j'avais un cruel choix à faire, soit je continuais a m'énerver et risquais de me faire carboniser, soit je m'écrasais comme une lamentable chaussette, dans les fictions les gens continuent, mais on n'est pas dans une fiction et je tiens à ma vie.

« Excusez-moi je me suis emporté, c'est juste que j'aimerais savoir pourquoi vous m'avez enlevé.
-Peut-être te le dirais-je un jour. En attendant, prépare toi, Kulk et Kluk vont bientôt venir te chercher. »
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeDim 24 Mai 2009 - 22:15

Une petite fenêtre grillagé => grillagée

Étrangement, je n'avais pas mal à la tête, enfin je dis étrange parce que j'avais entendu dire qu'en se réveillant après avoir été assommé on avait mal à la tête, ceci étant dit, je n'ai jusque-là jamais été assommé donc je ne peux pas comparer. => des points, bon sang ! des points ! ^^ (après les deux "mal à la tête")

Il y avait deux hommes de petites tailles => petite taille

je me nome Kulk et voici mon frère Kluk. => ah ben ça va être facile s'il faut prononcer les deux noms à la suite, tiens Razz les parents devaient pas avoir beaucoup d'idées ...

vous pourriez peut-être commencé par me dire où je suis => commencer

un petit homme obèse atteins de calvitie => atteint (à vérifier quand même)

Pourquoi n'êtes-vous pas simplement allez voir ailleurs => aller

du pain frai => frais

long cheveu brun. => elle n'en a qu'un ? Razz "longs cheveux bruns"

Sans entré dans une description détaille => entrer / détaillée

Kulk et Kluk vont bientôt venir te chercher. => je maintiens que les deux associés ça fait un effet très comique . tu devrais essayer d'exploiter ça si ça n'est pas déjà fait ^^

Ben, je ne vois pas pourquoi tu n'en es pas fier de ce passage : il est très bien Very Happy à la limite, je dirais que je le préfère au précédent ... pas le plus d'action, mais il est très sympa.
j'ai vraiment apprécié cette phrase : "dans les fictions les gens continuent, mais on n'est pas dans une fiction et je tiens à ma vie. " qui fait un joli clin d'oeil au roman lui-même, justement. bien trouvé Wink

va pour la suite ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeLun 25 Mai 2009 - 17:22

Kulk et kluk hein? T'a vraiment pas trouvé mieux? lol!
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeMer 27 Mai 2009 - 18:29

Ba, enfait, je suis rarement fier de mes passages.
Ba kulk et kluk c'est super comme noms et c'est pas dure a pronnoncer enfait Kulk et Kluk...
Bref, merci des critiques, la suite, j'en suis en core moins fiere que celui la, mais il est a mon sens necesaire (le chapitre)


Chap 10.

Il y a un peu plus de dix ans, dix êtres mystérieux ont fait leurs apparitions dans le vaste bassin Pirkatien.
A l'époque, le bassin était divisé en une vingtaine de petits royaumes (dont mon royaume natal), ce disputant le contrôle du moindre hectare.
En apprenant les intentions conquérantes des dix, une majeure partie des paysans Pirkatiens décidât de les rejoindre, pensant ainsi mettre fin aux guerres et se libérer du joug cruel de leurs dirigeants.
Ainsi aidés, les dix prirent le contrôle total des lieux en six mois, cette performance inédite dans toute l'histoire de Berkhaël fut en grande partie permise par l'usage de pouvoirs magiques.
Une fois le bassin sous leurs contrôles, ils firent de Pirkatia la capital de leurs nouvel empire.
Pour la petite histoire dans l'histoire, Pirkatia fut fondé par Pirkos qui en fit la capital de son, à l'époque, jeune royaume.
Cependant, le temps passant, le royaume de Pirkos s'effondrât, ne restant dans les mémoires de quelques rares érudits (dont je prétend faire partie) et Pirkatia devint un petit royaume indépendant, sombrant dans la déchéance.
Bref, ensuite les dix déclarent au monde entier qu'ils étaient les dix dieux fondateurs de la religion qui se pratiquait à l'époque (et se pratique évidemment toujours) : le Stulitisme
Une délégation de prêtres de tout le continent fut alors envoyée afin de prouver l'imposture des prétendus dieux.
Mais soyons franc comment des imposteurs prétendant communiquer avec des dieux qui n'existent pas pourrait prouver que d'autres imposteurs en sont ? C'est tout le problème d'une religion, comme toutes autres choses inventées de toute pièces, personne ne peut prouver qu'on a tord, mais on ne peut pas non plus prouver que les autres ont tort.
Bref, les prêtres ont finalement reconnue les dix comme étant leurs dieux et une semaine après l'empire céleste avait triplé de volume (les pays croyant se mettant de plein gré sous leur domination).
Maintenant soutenue par le clergé, les « dieux » entreprennent la conquête du contient tout entier, dont l'Ertickos.

Pourquoi est-ce que je vous raconte ça maintenant ? Et bien premièrement, fallait bien que je le place quelque part et ensuite, j'ai bien peur que la suite de ma vie soit (du moins pendant quelque temps) liée a celle des dix et a celle de l'empire céleste, connaître les grandes lignes de l'histoire pourrait donc être important pour la suite.
Bref, les deux autres, sont venues me chercher un peu plus tard, il devait être seize-quinze heures.
Sans prononcer un mot, je me suis mis à les suivre dans le dédale de couloir du donjon, nous sommes finalement sortis, trois chevaux nous attendaient, nous avons alors quitté la ville puis avons chevauchés pendant quelque lieux avant de finalement arriver à destination : une ancienne école d'officier servant de logement et de lieu d'entrainement aux nouvelles légions céleste fraichement recrutées qui partiront bientôt aux fronts.


Le camp était parsemé de tente, plantées de façon à former un rectangle, les deux frères m'ont conduits jusqu'à une de ces tente avant de me lâcher.
Je suis donc bien sagement entré dans la tente, l'intérieur était assez sobre, une couchette, un bureau, deux chaises dont une occupée par un homme frôlant la quarantaine auquel les cheveux bruns coupés courts donnaient un air sévère.
« Vous êtes ? »

L'homme avait redressé la tête tout en me posant la question et me fixait maintenant de ses petits yeux verts.

« Tekmerak.
-Hum... Un instant »

L'homme a saisi un petit livre à la couverture en cuir noir, l'a rapidement feuilleté avant de s'arrêter à une page.

« A partir de maintenant vous êtes membre du troisième peloton, du troisième régiment, de la quatrième compagnie de la cinquième légion. » En gros j'étais avec les soldats les moins expérimentés de l'empire, la cinquième Légion étant la dernière crée et la quatrième compagnie n'étant tout simplement jamais allée au combat.
« En tant que soldat ?
-Bien entendue. » Super, je me retrouve sous le commandement d'homme ne s'étant jamais battus.
« Et c'est où ?
-Dans le coin supérieur gauche du camp. » Mon régiment étant le plus récent, il était logique qu'il se retrouve sur un bord.

Je suis partie en direction de mes quartiers, sur le chemin j'ai croisé quelques soldats, aucun d'entres eux ne dépassaient les vingt-cinq ans.
Arrivé dans ma section, je me suis rendu dans la tente la plus grande de ma section, c'est-à-dire celle contenant le caporal de mon bataillon.

La politesse veut que l'on frappe avant d'entrer, mais je me voie mal frapper sur le volet d'une tente, ça ne serait pas très efficace.
J'ai donc légèrement ouvert l'entrée, assez pour qu'on puisse m'entendre à l'intérieur et ai demandé, d'un ton hésitant : « Sergent ? »
Un « entré » sec m'a poussé à pénétrer dans la tente.

La tente ressemblait à la précédente, sauf que son occupant avait cette fois le crane rasé et ne devait faire dans les vingt-deux ans.
Me rappelant plus ou moins, le protocole militaire de mon pays natal, je me suis mis au garde à vous et ai attendu que mon « supérieur » prenne la parole.

« Identifier vous !
-Soldat Tekmerak, troisième peloton, du troisième régiment, de la quatrième compagnie de la cinquième légion... Sergent! » Et tout ça sans m'arrêter pour respirer.
« Hum... Tekmerak, hein ? Vous êtes nouveau ?
-Je viens d'arriver, sergent.
-Bien, puisque vous êtes sous mon commandement, je tiens à vous prévenir que je ne laisserai passer aucune impasse au règlement. Est-ce que c'est clair soldat ? » Vas y rappelle moi, que tu es le chef et moi une petite fiotte.
« Oui, sergent.
-Bien, vous dormirez dans la tente numéro quatre et serrer par conséquent sous le commandement du caporal Bartok.
-Bien sergent.
-Vous pouvez vous retirer.
-Merci sergent. »

Heureusement, les vieux souvenir de ma formation sont vite revenues. J'ai fait une courbette, puis me suis retiré.
La tente numéro quatre était assez proche, c'était une grande tente dortoirs, abritant dix personnes, absolument parfait pour passer des heures à tenter de s'endormir en faisant abstractions des ronflements des voisins.
Bien que le caporal soit mon supérieur, le protocole « subalterne/supérieur » n'était pas en rigueur, je me suis donc contenté de me présenter sans êtres au garde à vous ou autre co*****e avant de m'installer sur ma couchette.
J'ai ensuite entrepris d'écrire ce que vous lisez dans le journal.
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeVen 29 Mai 2009 - 17:52

dix êtres mystérieux ont fait leurs apparitions dans le vaste bassin Pirkatien. => leur apparition

ce disputant le contrôle du moindre hectare => se

Une fois le bassin sous leurs contrôles, ils firent de Pirkatia la capital de leurs nouvel empire. => leur contrôle / capitale / leur

Pirkatia fut fondé par Pirkos qui en fit la capital de son, à l'époque, jeune royaume => fondée / capitale / "capitale de son royaume, jeune à l'époque" (parce que sinon tu coupes trop bizarrement)

le royaume de Pirkos s'effondrât => s'effondra

ne restant dans les mémoires de quelques rares érudits (dont je prétend faire partie) => dans les mémoires que de quelques / prétends

Bref, ensuite les dix déclarent au monde entier => déclarèrent

Et bien premièrement, fallait bien que je le place quelque part et ensuite => là,je prends ça plus comme une phrase de l'auteur que du personnage-narrateur. un peu l'impression que tu te débarrasses de l'historique de ton univers, parce que donc, "il fallait le caser". Il vaudrait mieux trouver un argument qui aille (aussi) avec ton personnage à mon avis.

Bref, les deux autres, sont venues me chercher un peu plus tard, il devait être seize-quinze heures. => pas de virgule après "autres" / venus / quinze ou seize heures

je me suis mis à les suivre => je les ai suivit ? (ça t'enlève le "mettre" qui revient souvent, comme les "être,avoir,faire")

chevauchés pendant quelque lieux => si tu veux parler de la mesure,c'est "lieues"

nouvelles légions céleste fraichement recrutées qui partiront bientôt aux fronts => au front (même s'il y en a plusieurs, elles, elles ne seront que sur un front en même temps)

Sans prononcer un mot, je me suis mis à les suivre dans le dédale de couloir du donjon, nous sommes finalement sortis, trois chevaux nous attendaient, nous avons alors quitté la ville puis avons chevauchés pendant quelque lieux avant de finalement arriver à destination => un peu long. il y a pas mal d'endroits où, au lieu de virgules, tu peux mettre des points

petit livre à la couverture en cuir noir, => de cuir noir

vous êtes membre du troisième peloton, du troisième régiment, de la quatrième compagnie de la cinquième légion => j'ai l'impression de relire "Asterix Légionnaire" là Razz

la cinquième Légion étant la dernière crée => crée

Bien entendue => entendu

sous le commandement d'homme => d'hommes

Je suis partie => parti

Sergent => juste avant tu dis que la tente est celle du caporal

Un « entré » sec => entrez

et ne devait faire dans les vingt-deux ans. => et devait avoir dans les 22 ans

Identifier vous => identifiez

et serrer par conséquent => serrez

les vieux souvenir de ma formation sont vite revenues => souvenirs / revenus

sans êtres au garde à vous => être

bah,voilà. toujours sympa à lire. à part les remarques que j'ai faites plus haut,rien d'autre à redire.
petite suite bientot ?
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeSam 30 Mai 2009 - 9:39

Malgré un sacré retard, je m'y remets avec plaisir, et peux te dire déjà, que les chapitres 6 et 7 m' ont bien plu, comme aux autres Ornicars^^
Alors, à plus Wink

* Absolument tout m'a intéressé.

*J'ai raccroché très facilement car, ton style est bien alerte et tout...

* Les bonnes corrections de Morrigan sont précieuses.

Pourquoi n'as-tu n'as toujours pas mis d'accent circonflexe sur crâne^^et, cependant récris Âprès au lieu de Après ?

* Tu commences deux ou trois fois des phrases par moi et bidule, et, même si ton personnage dit clairement qu'il est atteint de narcissisme, reste que la forme n'est tout de même pas la bonne...à mon sens.
cela m'a fait rudement plaisir de te lire à nouveau, et, j'espère que tu vas nous poster bientôt la suite.



cat
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeDim 7 Juin 2009 - 20:16

Merci pour la correction, pour le "faut bien que je le place" ba c'est aussi valable pour Tek, mais je modifié la justifiaction, sinon, c'est bien un sergent (entre les deux passages j'ai réorganisé mon systeme militaire).

Et je sais que le troisieme peloton... fait long, mais sa fait partie d'un systeme d'organisation militaire trés precis et organisé (je l'expliquerais plus tard)

bref, la suite :

Chap. 12

« Elle s'appelle Yldora, elle a de long cheveux blond, des yeux bleus...
-Une grosse poitrine.
-Quoi ? Eu... Oui. Mais ce n'est pas ça qui compte le plus.
-Si tu le dis. »

Le « bon chiffre » est un jeu fort simple : le joueur donne un nombre entre deux et douze, puis lance deux dés.
Si la somme additionnée des dés est égal au nombre qu'il avait prédit, il gagne.
Ce jeu est fréquemment pratiqué dans l'armé des dix de la façon suivante : le premier à donner le bon chiffre, se déleste d'un tour de garde et le dernier à donner le bon chiffre ramasse le tour de garde.

Voyant, en ce jeu une bonne occasion de dormir plus souvent, j'ai étudié les probabilités afin de savoir quel chiffre tombait le plus souvent :
Étant donné que chaque dés peut donner six résultats différents, on peut avoir six au carré c'est-à-dire trente-six combinaisons différentes.
Le nombre qui permet le plus de combinaison de dés possible est le sept, ainsi on a six façons différentes de faire un sept avec deux dés.
J'ai donc six chances sur trente-six de tomber sur un sept (en imaginant que les dés ne sont évidemment pas pipés)

« Elle est drôle, intelligente, courageuse, travailleuse...
-Tu lui a déjà parlé ?
-Non.
-Alors comment est-ce que tu sais ça ?
-Eu... »

Mais voilà, les probabilités ça reste du hasard... Et même en misant sur le chiffre ayant le plus de chance de tomber on peut quand même finir dernier et ce plusieurs fois d'affiler, c'est pourquoi je me tape la garde depuis une semaine.
« Mais le problème c'est ses amis, ils passent leurs temps à se moquer de moi, à me faire des blagues de mauvais goûts et elle, elle rit devant leurs blagues, du coup je n'ose pas aller lui parler.
-J'ai trois solutions : Soit tu vas quand même lui parler, soit tu surines ses amis comme ça elle ne rira plus de toi, soit tu te dis que vu ses amis, c'est forcement une conne et tu l'oublies.
-Mais je ne peux pas tuer ses amis.
-Bon écoute Bob, j'essaie d'être sympa et tout, mais faut que je te le dise : tes histoires de coeur, je m'en fous totalement. »

Il n'a pas répondu.

J'ai passé toute la semaine à faire le guet avec Bob, parce que ce con joue tout le temps son tour de garde aux cartes avec Kado et il n'a visiblement toujours pas compris que Kado triche aux cartes.
Mais d'ailleurs, je n'ai expliqué comment j'ai retrouvé ces deux joyeux larrons :

C'était le lendemain de mon arrivée au camp d'entrainement, j'étais allé à ce qui servait de cantine.
C'était en plaine air, un sympathique bonhomme coiffé d'une toque et armé d'une grande louche en métal bombardait assidument les écuelles que les soldats lui tendaient.
J'étais parti pour faire la queux quand j'ai entendu mon nom, je me suis retourné et voilà...
Bien entendu Kado ne m'a pas expliqué pourquoi il m'avait donné aux dix, j'ai préféré ne pas insister.

Depuis nous avons quitté le camp et somme maintenant à la frontière entre le royaume céleste et la Dirembie, un pays de paysans diriger par une ligue de petits seigneurs.

Certain d'entre vous s'étonneront certainement que je ne fasse pas plus cas de la trahison de Kado, ils auront certainement raisons, mais au fond si Kado ne m'avait pas livré aux dix, ils auraient certainement réussit à me récupérer d'une façon ou d'une autre et puis tant que je ne connaîtrais pas les raisons l'ayant poussé à son acte, je ne pourrais pas le juger (ou alors mon jugement sera faussé).

« Garde à vous !! »

C'était mon sympathique sergent, qui ne trouvait visiblement pas le sommeil.

«Rien à signaler ? »

J'ai répondu, car il s'adressait à moi, en effet Bob ne faisant pas partie du même bataillon, le sergent ne le connaissait pas.

« Non, sergent.
-Bien, demain c'est le grand jour, on compte sur nous pour protéger l'ail ouest alors j'ose espérer que vous serez à la hauteur de la tâche.
-Oui, sergent.
-Bien, je vous laisse a votre garde.
-Sergent ?
-Quoi soldat ?
-Excusez-moi de vous demander ça, mais que va il ce passer exactement demain ? Nous savons qu'il y aura une bataille, mais c'est tout ce qu'on nous a dit. Sergent.
-Il n'y a pas grand-chose d'autre à savoir, nous allons affronter l'armée des seigneurs Direnbiens qui ont assemblés une troupe composée de mercenaires, de soldats de métiers et surtout de paysans. La bataille aura lieux dans une plaine située derrières ces collines.
-Et qu'elle est notre stratégie ?... Sergent.
-Vous ne comprendriez pas.
-Je t'en... J'aimerais bien essayer tout de même sergent.
-Et bien pour faire simple : Étant donné que nous sommes mieux entraînés, mais moins nombreux, nous allons mettre la pression sur le centre de leurs lignes afin de les séparer et d'entrainer la débandade. » Tu parle d'un plan de génie.
« Merci, sergent.
-Tachez de ne pas mourir dès le début du combat, ça me suffira. »

Sur ce, il est partit.

« J'espère qu'elle ne sera pas au cœur des combats, demain, si elle venait à mourir avant que je lui déclare ma flamme, je crois que je ne m'en remettrais pas. »

Et c'est repartit...
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeLun 8 Juin 2009 - 3:40

Salutation de la nuit Tek,
Je passe après plusieurs chapitres que j'avais quand même tous lu le jour même ou le lendemain de leur publication sur le forum Very Happy, et pour faire simple je reste toujours aussi fan de l'humour, je rigole à en réveiller mes parents dormant dans la chambre d'à coter en ce moment.
Je laisse les plus doués que moi à la correction des fautes Razz

Sinon ça fait plaisir de revoir Bob et Kado ( même si on a juste entendu parler de ce dernier pour l'instant ).

On attend toujours des nouvelles de l'inconnu qui tenait tellement à s'échapper de prison également mais ca nous tiens en haleine à défaut de venir lire juste pour tes boutades ::lol:

Edit : Chapeau pour les détailles sur les parties de dés, la chute était hilarante
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeLun 8 Juin 2009 - 8:59

Citation :
C'était en plaine [ plein ]air,
Citation :
J'étais parti pour faire la queux[ queue]
Depuis nous avons quitté le camp et sommes maintenant
un pays de paysans

Citation :
Citation :
Certain d'entre vous s'étonneront certainement que je ne fasse pas plus cas de la trahison de Kado, ils auront certainement raisons, mais au fond si Kado ne m'avait pas livré aux dix, ils auraient certainement réussit à me récupérer d'une façon ou d'une autre et puis tant que je ne connaîtrais pas les raisons l'ayant poussé à son acte, je ne pourrais pas le juger (ou alors mon jugement sera faussé).

Citation :
Bien, demain c'est le grand jour, on compte sur nous pour protéger l'ail [aïe^^, aile]ouest alors j'ose espérer que vous serez à la hauteur de la tâche.

Citation :
Il n'y a pas grand-chose d'autre à savoir, nous allons affronter l'armée des seigneurs Direnbiens qui ont assemblés[assemblé] une troupe composée de mercenaires, de soldats de métiers et surtout de paysans. La bataille aura lieux[lieu] dans une plaine située derrières ces collines.
Citation :
-Et bien pour faire simple : Étant donné que nous sommes mieux entraînés, mais moins nombreux, nous allons mettre la pression sur le centre de leurs lignes afin de les séparer et d'entrainer [entraîner] la débandade. » Tu parle [ parles] d'un plan de génie.
Razz

C'est vrai que le jeu de dés est expliqué de façon intéressante; toujours ces pointes d'humour efficaces, on ne s'ennuie pas ...
Au plaisir de lire ta suite, Tèkemérak study
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeLun 8 Juin 2009 - 18:27

Bon, je ne signalerai pas les fautes aujourd'hui (hélène l'a déjà fait et y'en a pas tant que ça).

Comme ça a été dit, la partie sur les dés est très sympa et bien expliquée, mais c'est surtout les petites remarques à propos de la jeune femme qui m'ont fait marrer ^^ l'insertion au milieu du dialogue qui n'a rien à voir est vraiment terrible ... (quoique d'ailleurs,je me demande : y'a beaucoup de femmes dans l'armée dans ton monde ? c'est pas ultra courant même si on l'utilise pas mal en fantasy).

bon,à part ça,je reste sur mes avis de départ : c'est un plaisir de te lire encore une fois. donc à bientôt pour la suite j'espère Wink
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeJeu 18 Juin 2009 - 19:53

Deja, merci de vos critiques, sans ça, j'aurais vraiment du mal a me motiver.

Pour répondre, les femmes sont rare, mais autaurisé (pourquoi se priver de soldats volontaires ?)

Voila, bon le chap 12, bien que j'aime beaucoup raconter les scene de bataille, je trouve celle la moyenne, aller savoir pourquoi, enfin bon je la poste quand meme Smile

Chap. 12


Il devait être huit heures du matin, l'horizon était masqué par un épais brouillard.

Les deux armées se faisaient face.

Du côté Dirembiens, les troupes formaient une ligne maintenant un semblant de cohésion qui ne manquerait pas d'éclater durant leur charge.
De notre côté, nous étions en arc de cercle, la « pointe » de l'arc en direction de nos adversaires.
Au centre était disposé le premier régiment de la dernière compagnie de la dernière légion.
C'était le seul régiment de soldats expérimentés de toute la compagnie, en effet ces soldats provenaient de la première légion qui après avoir perdu beaucoup d'effectif c'était démantelée, ses troupes se retrouvant placé dans les nouvelles légions.
En plus d'être plus expérimente que les autres, ces bâtards bénéficiaient d'un meilleur équipement (en effet, ils avaient des cottes de mailles, des épées longues de qualité correct, des vouges capables de ne pas céder durant toute une bataille et des boucliers de bois recouverts de métal à la résistance plus que convaincante, tandis que nous nous en étions encore à l'armure en cuir, a la vouge en bois merdique et à l'épée courte qui galère pour couper du fromage), vous imaginez donc les tensions constantes entre les membres du premier régiment et les autres.

Ensuite, sur chaque côté était disposé un régiment, le mien était sur la gauche.

Enfait, nous n'étions qu'une compagnie (la dernière), les dix jugeant ce nombre suffisant, nous laissant nous arranger avec notre large infériorité numérique.

Au cas ou le système militaire aurait changé, entre mon époque et la vôtre, voici un bref récapitulatif :
Un bataillon contient quarante soldats plus un sergent, un régiment contient trois bataillons plus un lieutenant, une compagnie contient trois régiments plus un capitaine, et une légion contient quatre compagnies plus un général.

Puisque nous n'étions qu'une compagnie, nous étions trois sergents plus trois lieutenants plus un capitaine plus trois fois trois fois trois fois quarante soldats, c'est à dire mille quatre-vingt-sept hommes.
En face il y avait, environ deux mille cinq-cent hommes, heureusement moins bien entraînés et moins bien équipés que nous.

L'herbe était humide et donc glissante, le brouillard semblait s'épaissir.
J'établissais tranquillement mes pronostiques météorologiques quand un mouvement sur ma droite capta mon attention, c'était Bob qui me faisait de grands signes de main, il était dans le régiment couvrant l'aile droite.
Kado tant qu'à lui s'était engagé comme cuisinier et ne prenait pas part au combat, j'ai fait un signe a bob.

Aucune des deux armées ne bougeaient, à côté de moi, certains de mes compagnons d'armes (ne s'étant encore jamais battu), semblaient au bord de l'évanouissement.
Le temps passait et le brouillard s'épaississait de plus en plus, je ne pouvais même plus voir bob.

« Chargez »

Si s'était notre capitaine qui avait hurlé ça, le cri aurait été suivit d'un bruit de corne, les Dirembiens chargeaient donc.

Le brouillard m'empêchais de voir l'armée adverse, au bout de quelques minutes un énorme bruit de choque me fit comprendre que les Dirembiens venaient de rencontrer le centre de notre armée.

Si je devais onomatopiser ce que nous entendions, ça ressemblerait à ça :

« Ktink »

En me concentrant, j'ai réussit a voir la scène, les paysans commençaient à gagner du terrain, utilisant leurs supériorité numérique pour déborder le premier régiment.

« Ha!!! Ha!!! Ha!!! »

Si une partie de notre régiment était maintenant au cœur du combat, notre bataillon se trouvait à l'extrémité de l'aile Ouest, nous étions donc loin du combat.

« Crack »

Du peu que nous pouvions discerner des combats centraux, les paysans semblaient prendre l'avantage.

« Fchre »

Les hurlement et le bruit du combat en général avaient eu raisons des nerfs de certain soldats dont la vessie s'était vidée.
L'odeur d'urine commençait à devenir dérangeante lorsque le sergent du deuxième bataillon est venue rejoindre le notre (celui du troisième).

« Chtink »

« Le premier régiment est en difficulté, il faut qu'on aille l'aider.
-Je pensais la même chose. »

Halala, voyant la grande stupidité de mes supérieures risquer la victoire de cette bataille, j'ai cru bon d'intervenir.

« Sergent, permission de donner mon avis ? »

Les deux sergents m'ont jetés un œil étonné avant de me donner un signe de consentement.

« Aller en aide au premier serait une très mauvaise idée.
-Et pourquoi ?
-Ça nous ferait abandonner l'aile Ouest et exposerait donc le flanc Ouest de l'armée.
-L'exposer à quoi ? Au vent ? »

Les deux officiers ce sont esclaffer, fier de leur répartie.

« Aux soldats adverses, sergent. Le brouillard peut aisément nous caché plusieurs régiments ennemies.
-Et alors ? De toute façon, si le centre cède la bataille sera perdu.
-Oui, mais le partie centrale ne va pas céder.
-Je ne m'attend pas a ce qu'un simple soldat puisse remarquer cela, mais la premier régiment est en train de perdre.
-Je m'attendais à ce qu'un officier sache cela, mais il n'est pas rare que des troupes supérieurement entrainées mais inférieures en nombres se face déborder pas l'adversaire avant de reprendre l'avantage. Ceci parce que comme tout officier le sait : les troupes mieux entrainées et mieux équipées résiste mieux a la fatigue, sont plus discipliné et ne risque pas de rompre leurs armes en plein milieux d'un combat... Sergent.
-Je...
-Lorsque cette bataille sera terminé, vous payerez votre insolence soldat, maintenant allons aidés le premier régiment. »

J'avais peut être répondu un peu vite, mais sa ne changeait rien au fait que j'avais raison.
J'ai donc décidé de repartir à la charge, mais en changeant de tactique.

« Sergent, il est amusant que vous parliez de punitions, comment pensez vous que réagirons les dix quand ils apprendrons que vous avez désobéit à un ordre ?
-Pardons ?
-Et bien oui, le capitaine vous a demandé de tenir l'aile Ouest, en la quittant vous lui désobéissez et ruiner toute sa stratégie, imaginez que vous demandez à des hommes de se positionner a un certain endroit. Ensuite, vous allez élaborer toute votre stratégie en partant du fait que ces hommes seront là où vous l'avez demandé. Maintenant imaginez qu'ils bougent, c'est toute votre stratégie qui est mise à l'eau.
-Mais, si nous n'intervenons pas la bataille sera perdue. » Tu m'écoute quand je te parle ?
« Vous aurez du mal à l'expliquez après que les dix vous aient pendus.
-Je...
-Lorsque cette bataille sera terminée, vous payerez votre insolence soldat. Mais nous resterons là. »

Sur ce le sergent du deuxième à rejoins son régiment et j'ai tenté d'éviter les regards admiratifs de mes compagnons qui n'avaient pas l'habitude de voir un soldat convaincre un sergent que ce dernier avait tort, alors convaincre deux sergents...
C'est un peu comme convaincre deux chats d'aller nager un cent mètre, ou encore convaincre un troupeau de sanglier de changer de route.

Nous sommes donc rester debout à regarder les autres se battre.

« Sergent !! »

Des soldats ennemies tentaient de nous contourner afin de prendre le premier régiment à revers.

« Interceptez moi ces bouseux ! »

Mon bataillon ainsi que le second de la troisième nous sommes jetés sur les troupes adverses, ce rendant compte de notre forte infériorité numérique, notre sergent a souffler dans sa corne.
Les deux dernier bataillon du second régiment nous ont alors rejoins.
Une chance qu'ils n'aient pas fait ce que nos sergents voulaient faire (déserter leur position).

Nous sommes alors retrouvé à trois-cent contre environs six-cent.

Si nos bataillons étaient encore plus ou moins organisées, on ne peux pas en dire autant des adversaires, c'était sans doute la que résidait notre seul chance de victoire.

J'ai rapidement abandonné la vouge que fournissait les dix à leurs soldats, afin de sortir mon épée bâtarde personnelle.
Les paysans étaient armés de fourche et de couteau, je m'étais arrangé pour être sur un bord, ainsi les attaques ennemies ne pouvait provenir que d'un seul coté, autant dire que j'augmentais ainsi considérablement mon espérance de vie.

Je plantai tranquillement une des mes hachettes de lancer dans le dos d'un de mes adversaires, quand j'ai aperçu Bob, il était quelque pas plus loin occupé par deux pecnots armés de couteau.
L'un d'entre eux avait volé sa vouge, lui laissant une épée courte.

J'ai rapidement repris ma hachette sur dans le dos de l'autre et l'ai jeté sur un de ses deux adversaires, ce dernier c'est bien évidemment écroulé.

Le problème était que tendis que je m'occupais des amis de bob, un sympathique adversaire avait décidé de me contourner avant de me planter son couteau dans le dos.
Sentant sa présence dans mon dos, j'ai entrepris de pivoter sur ma jambe gauche afin de le frapper avec mon pied droit.
A ma grande surprise, ça a marcher, je l'ai ensuite achevé d'un coup d'épée avant de me remettre en positions de combat.

Le combat c'est poursuivit quelque temps, souillant la plaine, de sang, d'urine et d'excrément, rendant le sol glissant.

J'ai d'ailleurs plusieurs fois faillit tomber, heureusement, mon sens de l'équilibre hors du commun, me permettait de me rattraper par des mouvements forts disgracieux.
Ma stratégie de combat était simple et sûre (enfin qu'une stratégie de combat au corps à corps peut l'être) étant sur un côté, je m'approchais, frappais l'adversaire le plus proche puis reculais, ce n'était certes pas très héroïque mais bon...

Finalement, les paysans, voyant leurs compagnons se faire décimer ont pris la fuite, ils étaient peut-être trois-cent, de notre coté nous n'étions plus que cent-cinquante, mais la panique n'a que faire de quelques chiffres.

Cette fois, nous sommes allés aider le premier régiment, je pense qu'au début du combat ils devaient être environs huit-cent contre mille huit-cent, lorsque nous sommes arrivés ils ne devaient plus qu'être six-cent contre neuf-cent.

Notre simple arrivée à suffit à convaincre nos adversaires de prendre la fuite.
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeJeu 18 Juin 2009 - 22:41

Du côté Dirembiens, les troupes formaient une ligne maintenant un semblant de cohésion qui ne manquerait pas d'éclater durant leur charge.
De notre côté, nous étions en arc de cercle, la « pointe » de l'arc en direction de nos adversaires.
Au centre était disposé le premier régiment de la dernière compagnie de la dernière légion.
C'était le seul régiment de soldats expérimentés de toute la compagnie, en effet ses soldats provenaient de la première légion qui après avoir perdu beaucoup d'effectif s'était démantelée, ses troupes se retrouvant placées dans les nouvelles légions.
En plus d'être plus expérimentés que les autres, ces bâtards bénéficiaient d'un meilleur équipement (en effet, ils avaient des cottes de mailles, des épées longues de qualité correct, des vouges capables de ne pas céder durant toute une bataille et des boucliers de bois recouverts de métal à la résistance plus que convaincante, tandis que nous nous en étions encore à l'armure en cuir, à la vouge en bois merdique et à l'épée courte qui galère pour couper du fromage), vous imaginez donc les tensions constantes entre les membres du premier régiment et les autres.

Ensuite, sur chaque côté était disposé un régiment, le mien était sur la gauche.

En fait, nous n'étions qu'une compagnie (la dernière), les dix jugeant ce nombre suffisant, nous laissant nous arranger avec notre large infériorité numérique.

Au cas ou le système militaire aurait changé, entre mon époque et la vôtre, voici un bref récapitulatif :
Un bataillon contient quarante soldats plus un sergent, un régiment contient trois bataillons plus un lieutenant, une compagnie contient trois régiments plus un capitaine, et une légion contient quatre compagnies plus un général.

Puisque nous n'étions qu'une compagnie, nous étions trois sergents plus trois lieutenants plus un capitaine plus trois fois trois fois trois fois quarante soldats, c'est à dire mille quatre-vingt-sept hommes.
En face il y avait, environ deux mille cinq-cent hommes, heureusement moins bien entraînés et moins bien équipés que nous.

L'herbe était humide et donc glissante, le brouillard semblait s'épaissir.
J'établissais tranquillement mes pronostiques météorologiques quand un mouvement sur ma droite capta mon attention, c'était Bob qui me faisait de grands signes de main, il était dans le régiment couvrant l'aile droite.
Kado tant qu'à lui s'était engagé comme cuisinier et ne prenait pas part au combat, j'ai fait un signe a bob.

Aucune des deux armées ne bougeaient, à côté de moi, certains de mes compagnons d'armes (ne s'étant encore jamais battu), semblaient au bord de l'évanouissement.
Le temps passait et le brouillard s'épaississait de plus en plus, je ne pouvais même plus voir bob.

« Chargez »

Si c'était notre capitaine qui avait hurlé ça, le cri aurait été suivi d'un bruit de corne, les Dirembiens chargeaient donc.

Le brouillard m'empêchait de voir l'armée adverse, au bout de quelques minutes, un énorme bruit de choc me fit comprendre que les Dirembiens venaient de rencontrer le centre de notre armée.

Si je devais onomatopiser ce que nous entendions, ça ressemblerait à ça :

« Ktink »

En me concentrant, j'ai réussi à voir la scène, les paysans commençaient à gagner du terrain, utilisant leurs supériorité numérique pour déborder le premier régiment.

« Ha!!! Ha!!! Ha!!! »

Si une partie de notre régiment était maintenant au cœur du combat, notre bataillon se trouvait à l'extrémité de l'aile Ouest, nous étions donc loin du combat.

« Crack »

Du peu que nous pouvions discerner des combats centraux, les paysans semblaient prendre l'avantage.

« Fchre »

Les hurlement et le bruit du combat en général avaient eu raison des nerfs de certain soldats dont la vessie s'était vidée.
L'odeur d'urine commençait à devenir dérangeante lorsque le sergent du deuxième bataillon est venu rejoindre le nôtre (celui du troisième).

« Chtink »

« Le premier régiment est en difficulté, il faut qu'on aille l'aider.
-Je pensais la même chose. »

Halala, voyant la grande stupidité de mes supérieurs risquer la victoire de cette bataille, j'ai cru bon d'intervenir.

« Sergent, permission de donner mon avis ? »

Les deux sergents m'ont jeté un œil étonné avant de me donner un signe de consentement.

« Aller en aide au premier serait une très mauvaise idée.
-Et pourquoi ?
-Ça nous ferait abandonner l'aile Ouest et exposerait donc le flanc Ouest de l'armée.
-L'exposer à quoi ? Au vent ? »

Les deux officiers ce sont esclaffer, fier de leur répartie.

« Aux soldats adverses, sergent. Le brouillard peut aisément nous cacher plusieurs régiments ennemis.
-Et alors ? De toute façon, si le centre cède la bataille sera perdu.
-Oui, mais le partie centrale ne va pas céder.
-Je ne m'attends pas à ce qu'un simple soldat puisse remarquer cela, mais , le premier régiment est en train de perdre.
-Je m'attendais à ce qu'un officier sache cela, mais il n'est pas rare que des troupes supérieurement entrainées mais inférieures en nombres se fassent déborder pas l'adversaire avant de reprendre l'avantage. Ceci parce que comme tout officier le sait : les troupes mieux entrainées et mieux équipées résiste mieux à la fatigue, sont plus disciplinées et ne risquent pas de rompre leurs armes en plein milieux d'un combat... Sergent.
-Je...
-Lorsque cette bataille sera terminée, vous payerez votre insolence soldat, maintenant allons aider le premier régiment. »

J'avais peut être répondu un peu vite, mais ça ne changeait rien au fait que j'avais raison.
J'ai donc décidé de repartir à la charge, mais en changeant de tactique.

« Sergent, il est amusant que vous parliez de punitions, comment pensez vous que réagiront les dix quand ils apprendront que vous avez désobéi à un ordre ?
-Pardon ?
-Et bien oui, le capitaine vous a demandé de tenir l'aile Ouest, en la quittant vous lui désobéissez et ruinez toute sa stratégie, imaginez que vous demandiez à des hommes de se positionner à un certain endroit. Ensuite, vous allez élaborer toute votre stratégie en partant du fait que ces hommes seront là où vous l'avez demandé. Maintenant imaginez qu'ils bougent, c'est toute votre stratégie qui est mise à l'eau.
-Mais, si nous n'intervenons pas, la bataille sera perdue. » Tu m'écoutes quand je te parle ?
« Vous aurez du mal à l'expliquer après que les dix vous aient pendus.
-Je...
-Lorsque cette bataille sera terminée, vous payerez votre insolence, soldat. Mais nous resterons là. »

Sur ce, le sergent du deuxième à rejoins son régiment et j'ai tenté d'éviter les regards admiratifs de mes compagnons qui n'avaient pas l'habitude de voir un soldat convaincre un sergent que ce dernier avait tort, alors convaincre deux sergents...
C'est un peu comme convaincre deux chats d'aller nager un cent mètre, ou encore convaincre un troupeau de sanglier de changer de route.

Nous sommes donc restés debout à regarder les autres se battre.

« Sergent !! »

Des soldats ennemis tentaient de nous contourner afin de prendre le premier régiment à revers.

« Interceptez -moi ces bouseux ! »

Mon bataillon ainsi que le second de la troisième[ ? ] nous sommes jetés sur les troupes adverses, ce[ nous] rendant compte de notre forte infériorité numérique, notre sergent a soufflé dans sa corne.
Les deux dernier bataillons du second régiment nous ont alors rejoint .
Une chance qu'ils n'aient pas fait ce que nos sergents voulaient faire (déserter leur position).

Nous nous sommes alors retrouvés à trois-cent contre environ six-cent.

Si nos bataillons étaient encore plus ou moins organisés, on ne peut pas en dire autant des adversaires, c'était sans doute que résidait notre seul chance de victoire.

J'ai rapidement abandonné la vouge que fournissaient les dix à leurs soldats, afin de sortir mon épée bâtarde personnelle.
Les paysans étaient armés de fourches et de couteaux, je m'étais arrangé pour être sur un bord, ainsi les attaques ennemies ne pouvait provenir que d'un seul coté, autant dire que j'augmentais ainsi considérablement mon espérance de vie.

Je plantais tranquillement une des mes hachettes de lancer dans le dos d'un de mes adversaires, quand j'ai aperçu Bob, il était quelques pas plus loin, occupé par deux pecnots armés de couteau.
L'un d'entre eux avait volé sa vouge, lui laissant une épée courte.

J'ai rapidement repris ma hachette sur dans le dos de l'autre et l'ai jeté sur un de ses deux adversaires, ce dernier s'est bien évidemment écroulé.

Le problème était que tandis que je m'occupais des amis de bob, un sympathique adversaire avait décidé de me contourner avant de me planter son couteau dans le dos.
Sentant sa présence dans mon dos, j'ai entrepris de pivoter sur ma jambe gauche afin de le frapper avec mon pied droit.
A ma grande surprise, ça a marché , je l'ai ensuite achevé d'un coup d'épée avant de me remettre en position de combat.

Le combat s'est poursuivi quelque temps, souillant la plaine, de sang, d'urine et d'excréments, rendant le sol glissant.

J'ai d'ailleurs plusieurs fois failli tomber, heureusement, mon sens de l'équilibre hors du commun, me permettait de me rattraper par des mouvements fort disgracieux.
Ma stratégie de combat était simple et sûre (enfin [ autant] qu'une stratégie de combat au corps à corps peut l'être), étant sur un côté, je m'approchais, frappais l'adversaire le plus proche puis reculais, ce n'était certes pas très héroïque mais bon...

Finalement, les paysans, voyant leurs compagnons se faire décimer ont pris la fuite, ils étaient peut-être trois-cent, de notre côté, nous n'étions plus que cent-cinquante, mais la panique n'a que faire de quelques chiffres.

Cette fois, nous sommes allés aider le premier régiment, je pense qu'au début du combat ils devaient être environ huit-cent contre mille huit-cent, lorsque nous sommes arrivés, ils ne devaient plus qu'être six-cent contre neuf-cent.

Notre simple arrivée [ apparition ] à suffit à convaincre nos adversaires de prendre la fuite.

Tu m'as fait faire un bon exercice^^
Je ne me suis pas du tout embêtée durant ces lignes, et, comme toujours, je ne demande qu'à lire ce qui suit...
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeVen 19 Juin 2009 - 17:55

Encore une fois,Hélène a fait mon boulot ^^
Je me concentrerai sur l'extrait en lui-même donc.

Ben, une fois n'est pas coutume, je ne me suis pas tant amusée que ça. Soyons claire, c'était agréable à lire mais je trouve que ça manquait de cette petite touche personnelle que tu avais réussit à mettre jusque là.

Je pense déjà que ça vient du fait que la bataille aurait méritée un peu plus de clarté, que tu t'attardes dessus - ou du moins, certaines manœuvres.

La discussion avec les sergents était sympa par contre. Ils ne se sont pas laissés convaincre par le 1er argument venu Smile

Donc voilà. J'ai apprécié encore une fois, et j'attendrais la suite avec plaisir Wink
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeVen 19 Juin 2009 - 18:16

Ouai, je sais bien que sa manque le petit truc des chapitres précédents, mais je sais pas, pas d'inspi pour ce coup la, puis apres je me suis dit : un livre ça se fait sur la longueur et persone va se mettre a dire d'un livre : "ouai c'est bien enfin sauf le chapitre 63 qui etait un peu moyen, par contre le chap 43 etait exélent"

Enfin tu vois ce que je veux dire, apres ça fait un peu excuse pouris (enfait c'en ai une donc sa tombe bien), mais ouai j'ai du mal avec ce chap donc ptetre que d'ici un mois j'aurais le courage de la retoucher mais pour l'instant je vais tenter de faire mieu pour la suite
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeVen 19 Juin 2009 - 21:42

Parceque le chapitre précédent ma laisser un gout amer en bouche, je vous poste la tesui : un chapitre ma fois plutot court, dans lequ'elle on retrouve l'amis Kado... mis a part ça c'est pas forcement tres réjuissant mais bon....

Chap. 13

« Comme Kado l'a déjà dit à Tekmerak : le secret pour réussir un bon rôti c'est de commencer par le plongé dans du bouillon en ébullition pendant une dizaine de minute puis de le cuir au four normalement.
-Mais tu ne me l'a jamais dit »

Une fois la bataille terminée, l'armée était partie en direction de la capitale Dirembiene.
A notre arrivée, la capitale c'est purement et simplement rendue.

« Bien sûr que si, kado viens même de la faire
-Oui mais au moment où tu l'a dit, tu ne l'avais pas encore dit »

Depuis, nous stationnons dans la cité et passons le plus clair de nos journées dans des tavernes bas de gamme.

« Kado anticipait
-Mais c'est complètement con.
-Ça n'en est pas moi véridique
-Bien sûr que si... »

Pour l'anecdote : les sergents du deuxième et troisième bataillions ont été pendus pour avoir voulu abandonner leur poste. Je n'ai évidemment rien à voir avec ça.

« Dit moi Kado ?
-Que veut donc bob ?
-Bob heu... Je voudrais savoir si tu as déjà été amoureux d'une fille qui ne te regardait même pas ?
-Une bien dure question que Bob pose là à Kado, enfaîte Kado n'est pas assez insouciant pour jouer à être amoureux »

D'après les dernières nouvelles, nous allons bientôt être expédiés au front Sud-Est.

« Et puis tout le monde regarde Kado.
-Tekmerak à très bien résumé la situation.
-Évidemment, mais enfaîte Kado, je crois que bob espérait que tu lui donne des conseils pour ses problèmes amoureux.
-Mais Si Bob, voulait des conseils de la part de Kado, il aurait du le demander. »

En effet, les dix ont semblent il, décidés de rapidement écraser les cités-États du Sud-Est afin de pouvoir se concentrer sur le Front Est ainsi que les Mortagiens.

« Ba justement, c'est ce qu'il a fait, mais de manière à avoir l'air moins... désespéré
-Pourquoi désespérer ?
-Ba pour te demander des conseils en amours...
-Kado pourrait bien surprendre Tekmerak en matière de connaissance sur le domaine amoureux.
-Je n'en doute pas.. Mais il le fera une autre fois, voilà notre homme. »

Des fois je plains Bob d'avoir des fréquentations comme nous.
J'ai fait un signe à l'homme qui venait d'entrer dans la taverne, c'était un homme de taille moyenne, qui enfaîte n'avait rien de remarquable.
Il est venu rejoindre notre table.

« Salut... mec, je te présente Kado et voici bob.
-Enchanté Monsieur Kado et Monsieur Bob
-Moi aussi Monsieur...
-Kado vous salut également, sympathique mec »

Et oui, bien que bob ne l'ai pas compris, notre invité se nommait vraiment mec, ce pseudonyme est certes assez médiocre, mais il y en a bien qui se font appeler bob la bricole et d'autre Kado...
Bon, c'est maintenant que ça se corsait, il fallait que j'arrive à me faire inviter, mais le demander aurait entraîné un refus.

« Tu as entendu parler de ce qui est arrivé à Bob ? » Le voyant sur le point d'ouvrir la bouche, j'ai fait signe a bob de se taire.
« Eu.. non, on m'a rien dit.
-Et bien, sa mère est morte.
-Mes condoléances.
-M..m.. merci ?
-Mais le plus triste dans tout ça, c'est que bob avait dit à l'armée qu'il devait rester près de sa mère pour assurer ses soins, mais ils l'ont tout de mémé obliger à s'engager.
-Les salauds !
-Ouai, moi ce genre de truc ça me révolte, pas toi Kado ?
-Kado aussi, mais ce n'est pas tout : Gymbi, le plus jeunes frères de Tekmerak à un jour eu la malheur de dire dans son école qu'il ne pratiquait pas la religion des dix, son instituteur lui a alors coupé la langue, avant de lui arracher un oeil et de l'obliger à le manger.
-Oh, c'est affreux ! » Comment est-ce qu'on peut gober de pareils absurdités ?
« Et encore, mec ne sait pas ce que le prêtre des dix a ensuite fait au frère de Tekmerak...
-Je sais pas toi, mais moi je rêve du jour ou les dix seront décapités et que le pouvoir reviendra aux bons rois d'avant.
-Et bien...
-Kado ne voudrait pas élever ses enfants dans un monde dirigé par les dix.
-Heu..
-Enfait avec Kado et bob on avait même pensés les aider à se faire décapiter si tu vois ce que je veux dire...
-Et bien, je ne devrais peut-être pas vous en parler, mais j'ai des amis qui pensent la même chose que vous, nous devons d'ailleurs nous réunir ce soir afin de préparer nos opérations.
-Vraiment ? Est-ce qu'on pourrait venir ?
-Ba...
-J'aimerais tellement contribuer à la purification de ce monde et aider bob à venger sa mère.
-Il faut que vous n'en parliez à personne.
-Bien entendu.
-Bon... heu, suivez-moi, ça va bientôt être l'heure.
-Kado a hélas des responsabilités qui l'appelle ailleurs, mais il viendra une autre fois. »

Sur ce nous sommes partis...
Trop facile.
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeSam 20 Juin 2009 - 15:32

c'est de commencer par le plongé dans du bouillon en ébullition pendant une dizaine de minute puis de le cuir au four normalement. => plonger / minutes / cuire

la capitale c'est purement et simplement rendue. => s'est

Bien sûr que si, kado viens même de la faire => le faire

Ça n'en est pas moi véridique => moins

enfaîte => en fait (attention, tu fais très souvent cette faute)

il aurait du le demander => dû

En effet, les dix ont semblent il décidés de rapidement écraser les cités-États du Sud-Est => semble-t-il / décidé ["d'écraser rapidement" me semblerait mieux]

sympathique mec => si c'est son surnom, une majuscule s'impose : Mec

mais ils l'ont tout de mémé obliger à s'engager => même / obligé

Ouais, trop facile ... Ca cache quelque chose, ça ^^ Ou alors c'est que les gens en face de Tek et ses amis sont vraiment idiots à chaque coup ^^
En tout cas, je suis ravie de retrouver cette ambiance que tu avais réussit à instaurer. Le début autour du rôti, entrecoupé de commentaires sur la bataille était savoureux (ce fichu bout de viande m'a donné faim,tiens ^^) Very Happy

Juste, ça aurait peut-être été pas mal d'expliquer rapidement cette histoire de rencontre dans la taverne. Je me doute que ça fait partie du petit secret du moment mais là j'ai un peu eu l'impression qu'on passait du coq à l'âne entre la bataille et la taverne.
Mais bon, c'toi l'auteur hein Razz
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MessageSujet: Re: Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version)   Les chroniques de Berkhaël (nouvelle version) - Page 3 Icon_minitimeSam 20 Juin 2009 - 17:04

Pas toujours évident de rester concentrée sur l'histoire, avec les fautes d'orthographes qui me sautent à la figure...
Mais vraiment sympa et bien rigolo!
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